Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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One Shot / Re : Ô grande Sobek, ma nouvelle déesse. [Klaus]
« Dernier message par Klaus le Aujourd'hui à 15:06:14 »
Les sables du temps continuaient de s'écouler, inlassablement, irrémédiablement, érodant tout sur leur passage, les religion, les peuples, les villes et les civilisation. Pourtant, une chose n'avait toujours pas été érodé par cela pour le moment, en tout cas pour Klaus, c'était l’espoir.

Les années étaient passé, les nouvelles et les informations ne s'étaient pas arrêté, mais aucune trace de son peuple visible par lui même, et pourtant, il n'avait pas abandonné, il continuait, il gardait toujours espoir. Chaque nouvelle chance d’avancer était un torrent de force qui le poussait à continuer, a traverser ce monde aussi, remplis de paysage magnifique, dangereux et inconnue pour lui.

Mais grâce à ses périples, son chemin l'avait mené dans un endroit qui sonnait chaleureux à son cœur, un endroit qui lui rappelait son clan, ses terres, sa maison. Le sable se trouvait à perte de vue, les dunes formant monts et collines, tandis qu'au plus prés de l'eau se trouvait verdures et arbres. Klaus était ravis de revoir un paysage familier, mais il ne se leurrait pas non plus, car, avec une simple inspiration, il savait qu'il n'était pas encore chez lui. L'odeur du sable chaud, de l'eau, de la terre humide, elle n'avait pas la même que dans ses souvenirs, alors il se savait encore assez loin de son but, même si cette vision lui donnait du baume au cœur.

Klaus remontait donc le cours de l'eau, la suivant en marchant le long de celle-ci. Il aurait très bien put choisir de nager dedans, mais cela lui aurait réduit les odeurs qu'il pouvait sentir, alors il préférait rester sur la terre ferme, gardant une vue plus haute, même si à la vue de tous. De temps à autre, sous le soleil accablant de cette contrées, il allait tout de même s’immerger, soupirant de joie sous ce cours instant de repos dans sa longue marche.

Les heures passaient et le soleil continuait inlassablement sa ronde dans le ciel, venant doucement se couvrir du voile de la nuit, rosant la voûte céleste se trouvant au dessus du kroxigor. Sous ses pas écrasant herbes et couchant les roseau se trouvant sur son chemin, ses yeux s'ouvrir plus grand, venant à se redresser de toute sa taille. Il se mit à prendre de profondes inspiration, humant les odeurs l'entourant avec plus de force. Il avait senti quelque chose, il se sentait observé. Il avait vu les crocodiles, nombreux, qui le gardait à l’œil, mais il y avait quelqu'un d'autre, et la vague d’odeur qu'il venait de respirer ne fit que confirmer ses pensées.

Un parfum, fort, puissant, écrasant, une présence redoutable se trouvait là, tapis quelque part. Il n'avait jamais ressentis cela, même lors de son rite de passage à l'age adulte. Quelqu'un se trouvait non loin et représentait quelque chose de plus imposant que tout ce qu'il avait put rencontrer. Mais là n'était pas le plus gros point qui le travaillait. L'odeur était forte, mais elle imprégnait aussi les alentour depuis un bon moment eu vue de ses fluctuations, pour lui, cela ne voulait donc dire qu'une chose, il était sur son territoire.

les yeux des crocodiles brillait au dessus du fil de l'eau et les sien en faisait de même lorsque son regard laissait passer la lumière du jours tombante. Il savait qu'il aurait dut s'éloigner de cette endroit, mais quelque chose, dans ce qu'il ressentait, dans ce qu'il humait, lui disait de vouloir en voir plus, que sa soif de curiosité se devait être étanché. Il choisi donc d'avancer sur le bord de la berge, à découvert, puis, il se mit à poser ses deux genoux au sol, l'eau venant légèrement les lécher, ses mains posé sur ses jambes. S'il voulait rencontrer l’être qui peuplait ce lieux, il se devait d’être respectueux et surtout de montrer qu'il n'était pas venue sous des intentions belliqueuse.
2
Ville-Etat de Nexus / Re : Le Chant de Kardiù (Grayle et Thaïs les pérégrins)
« Dernier message par Grayle le pérégrin le samedi 01 juin 2024, 23:38:57 »
Lorsque Thaïs avait muettement signalé le début d'une trêve, Grayle n'avait pas résisté, ni protesté. Avec une sincérité presque adolescente, les deux immortels avaient longuement fait l'amour sur le lit, sans songer un seul instant à faire de pause ou même changer de position. Encore et encore, Grayle s'était enfoncé en Thaïs, au point que le matelas lui-même était légèrement enfoncé en son centre, épousant la silhouette fluette de la jeune fille. L'épuisement de l'un influençait celui de l'autre, et, allongé sur le dos dans le lit poisseux et puant, sans la présence de Thaïs auprès de lui, Grayle s'endormit presque instantanément.

Un doux sourire aux lèvres, plus heureux qu'il ne l'avait été depuis longtemps, le jeune homme rêvait, inconscient du drame qui s'était joué à l'extérieur de la maison. Ses songes l'amenèrent chez lui, à Arcadia, là où sa famille travaillait inlassablement les champs. D'immenses étendues de blé dorés s'étendant à perte de vue, sur un sol plus fertile qu'aucun autre dans l'univers. Sa famille était autour de lui, mais leurs visages étaient flous et indéfinis. Depuis les siècles, il avait oublié à quoi ils ressemblaient. Ça n'avait aucune importance. Le soleil, les champs, le ciel bleu, les animaux de la ferme, tous étaient là.

Une jeune fille vint à sa rencontre. Il la reconnu instantanément. Thaïs lui souriait, habillée d'une belle robe de mode Arcadienne. Il s'enlacèrent, s'embrassèrent, avec tendresse. Ses lèvres étaient douces, et il poussa un lent soupir lorsqu'il senti une main coquine se glisser contre son pantalon. Doucement, les rêves de Grayle se teintèrent d'érotisme, influencés par les souvenirs de ses dernières actions.

Au loin, il vit un nuage blanc se griser et tonner, annonçant un orage. Grayle fronça les sourcils. A Arcadia, les précipitations n'existaient pas en plein jour, et ne se déroulaient que la nuit, lorsque ses habitants dormaient, afin qu'ils ne connaissent que le ciel bleu. Quelque chose n'était pas normal. Réalisant ceci, son cerveau comprit qu'il rêvait, et, peu à peu, le rêve se délita, pour laisser place à la réalité.

" Grayle, s'il te plaît ! "

Une douce voix était en train de l’appeler... il cligna des yeux, encore un peu sonné. Il poussa un bâillement, qui se mua en un soupir de plaisir lorsqu'une sensation familière envahit son corps : celle de sa verge enfoncée dans les entrailles de Thaïs.

- Th.. Thaïs ?

Thaïs était au-dessus de lui, cette fois entièrement nue, le chevauchant au début lentement, puis avec une vigueur renouvelée, le visage déformé par le plaisir. Voir son corps enfantin se mouvoir de manière aussi adulte l'excitait de façon perverse, et, par réflexe, ses mains vinrent se saisirent des hanches, puis des seins de Thaïs, pétrissant ces derniers avec envie et jouant avec leurs mamelons.

- A... ah ! Thaïs... hm...

Il avait envie de prendre le contrôle, de la capturer entre ses bras, de la ravager sous ses assauts, mais il se contenait, laissant l'immortelle prendre le contrôle, fasciné par les mouvements lascifs de Thaïs qui montait et redescendait contre lui comme si sa vie en dépendait. Au sein d'elle, l'immortelle pouvait sentir à quel point la verge de Grayle était dure et brûlante et mesurer le désir colossal qu'elle suscitait chez lui. Alors qu'il ondulait doucement pour accompagner ses mouvements, son sexe avide déformant ses chairs, les mains avides de Grayle exploraient son corps nu, venant caresser ses joues, ses lèvres, ses bras puis ses mains. Les yeux bleus du pérégrin allaient de la poitrine -terriblement mignonne- de Thaïs à son visage.

- Thaïs !

Mais en contemplant ce dernier, entre les expressions de plaisir de sa partenaire, il décela quelque chose, comme une fausse note, une subtile erreur presque imperceptible au milieu d'une symphonie. Il se souvint de son rêve et des nuages. Toujours étendu sous elle, il redressa son torse, faisant ressortir ses abdominaux sous l'effort.

- Thaïs...

Redressé, il avait son visage juste en face de Thaïs. Il l’enlaçait, gémissant de plaisir à chaque fois que son petit corps s'empalait encore une fois sur son vit. Ses mains caressèrent le bas du dos et les cheveux de Thaïs, qu'il embrassa avec maladresse, avant de lui demander.

- Thaïs... est ce que... tu vas bien ?
3
Einrich put facilement voir que son récit n'avait pas vraiment fait mouche au vu de l'expression qui se collait au visage de son interlocutrice, mais il ne pouvait pas vraiment la blâmer, il en aurait fait de même si les rôles avait été inversé.

Par chance, sous sa réponse, il fut soulagé, car elle lui annonça lui offrir le bénéfice du doute, venant alors sous ses mot, relâché un très léger soupire de ne pas avoir tout de suite des problèmes. Mais il n'était pas au bout de ses peines, l'entendant de nouveau attiré son attention en prononçant son prénom, ses paroles furent une douche froide. Elle venait de lui révéler l'endroit où il se trouvait et, il n'avait pas envie d'y croire, mais comme elle, il lui laissait le bénéfice du doute.

Il vint alors placer ses mains sur ses tempes, ses les frottant en fermant les yeux, le visage légèrement en direction du sol en réfléchissant à tout cela. Il était à des milliers de kilomètres de chez lui, très loin et dans un endroit totalement inconnue. Il finit par se frotter les paupières fermé avant de les ré ouvrir en l'entendant lui demander de la suivre. Il hocha simplement la tête en marchant sur ses pas, venant ajouter au passage.

" Pour éviter toute confusion supplémentaire, je n'ai pas de titre de noblesse."


Elle l'avait appelé Sir, mais il n'était rien de cela, pas de titre de noblesse, pas d'adoubement, juste un homme quelconque, alors il n'avait pas vraiment envie d'usurper un titre et de s'attirer de gros ennuies. Le chemin qu'il prirent était assez long, lui laissant voir la grandeur de cette endroit, avant d'arriver devant une double porte qui lui laissait deviner que ce n'était pas le bureau du concierge. Il prit donc une discrète mais profonde inspiration lorsqu'elle frappa à la porte, puis, la suivit dans cette pièce.

Un bureau, très spacieux, très luxueux aussi, rien de ce qu'il avait put côtoyer de toute sa vie, et cela ne pouvait dire qu'une seul chose, il était dans le bureau d'une personne très importante et qu'il restait d’être dans de beau draps s'il faisait un pas de travers. les nobles et les gradé lui faisait plus peur que la guerre, car eux, avait le pouvoir de transformer sa vie en enfer, alors que le premier pouvait tout simplement y mettre fin.

Derrière le bureau qui trônait dans cette pièce, se trouvait une grande femme, belle, élégante, au regard acéré, le teint assez proche de celui de la majorité des gens de son royaume, comme sa mère. Lorsque l'Aimante le présenta, il fit une révérence sans attendre, histoire de bien montrer l'exemple et de faire comprendre qu'il n'était vraiment pas la pour causer des problèmes. Sous un geste de sa part qui l'invitait à s'asseoir, il ne se fit pas prier, la paume de sa main venant se poser sur le pommeau de son épée pour la guider et éviter que le fourreau ne le gêne ou ne tape sur la chaise en s'asseyant. Il fit de nouveau un geste de respecter de la tête sous ses mots, puis, répondit donc à sa question

" Et bien, je vous remercie d'abord de me recevoir et d'écouter ma requête. Cela vous semblera sûrement stupide ou étrange, mais j'ai besoin de votre aide pour rentrer dans mon royaume. Voyez vous, j'étais en patrouille quand je me suis retrouvé dans le noir, puis, dans une petite pièce remplis de balais, dans votre demeure."

Il fit une petite pause dans ses paroles, puis repris

" Je sais que mon royaume n'est pas du tout à coté du votre et même qu'un océan les sépare."

Tout ce qu'il espérait, c'était juste que son royaume ne soit pas en froid avec le sien, sinon il sentait que cela risquait de mal tourner pour lui.
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One Shot / Re : Le plaisir au fond de l'impasse [Pv.]
« Dernier message par Shun le vendredi 31 mai 2024, 12:41:16 »
L'argent ... ce domaine là, Thibault savait le gérer. Même si son père le tenait à l'écart des affaires qui avaient rendu la famille riche, il ouvrait quand même les cordons de sa bourse pour que son fils puisse y puiser. Thibault était intelligent et sous prétexte de faire don régulièrement auprès des Ordres de l’Église, il percevait des espèces bien dorées avec la bénédiction paternelle. Bien entendu, cet argent ne quittait pas la chambre du garçon. Il avait trouvé une cachette idéale et accumulait là un magot digne d'un trésor pirate ... ou presque. Pour son escapade à La Clairière des Muses, il avait sélectionné ses plus belles pièces, les mieux frappées, les plus scintillantes, les plus pures aussi, en bel or nexusien. Ne sachant pas le montant qu'il aurait à dépenser, il en avait pris bien plus que nécessaire, de quoi s'offrir une robe de reine en vérité ...

Aussi il était sûr de lui quand il répondit à La Charmante, sans s'offusquer qu'elle lui ai rappelé ce petit point d'importance, ce qu'un grand seigneur n'aurait surement pas accepté.

"Oui ma Dame, tout est là, dans ma bourse, je m'acquitterai du montant exigé."

Bien innocemment, il ajouta.

"J'ai la chance de ne manquer de rien et comme je suis fils unique, mon avenir est assuré."

Les de Limolles père et mère comptaient leur argent et le stockaient consciencieusement. Chaque opération financière était prévue, calculée, étudiée, et le marchand expert ne se trompait jamais. Il flairait les bons filons et repoussait les mauvais, assurant ainsi une constante expansion de la fortune familiale. Aussi, les petites magouilles du fiston ne représentaient que peu de choses auprès des sommes détenues par la famille. D'ailleurs, le jour d'avant, une goélette chargée d'épices exotiques aussi chères que du minerai précieux était arrivée au port de la capitale après un long voyage. La marchandise stockée à bord avait été vendue directement à quai, à des prix exorbitants... Avec un tel succès, le sire de Limolles père envisageait même d'ouvrir une banque pour concurrencer les grandes du royaumes.

La courtisane pouvait être rassurée quant aux capacités de paiement du jeune homme. Nul doute qu'après leur rencontre, si elle se renseignait un peu sur le nom du garçon, elle se rendrait compte de tout l'intérêt qu'il pouvait lui apporter. Elle avait néanmoins pris les devants, devineresse émérite qu'elle était. Son demi-tour suivi d'un déshabillage en règle du garçon fut aussi gracieux que rapide. Thibault n'avait pas eu le temps d'exprimer tout ce qu'il ressentait. La Charmante dégageait une aura magnétique imprégnée d'érotisme. Alors qu'il la serrait, le garçon s'était enivré de son odeur, de ses formes et de la douceur de sa peau. Et à présent, il tremblait sous la précision de son toucher. Elle avait promis la sagesse mais si ce qu'elle faisait était sage, que serait la suite? Dur sous les doigts qui le manipulait, Thibault peinait à contenir ses émotions. C'était la première fois que quelqu'un d'autre que lui le touchait à cet endroit. Elle l'avait subtilement préparé mais il ne s'était pas attendu à un tel ressenti. Son sexe palpitait, gonflé et fièrement dressé, prêt à libérer des flots de plaisir.

La Charmante ne lui laissait aucun répit. Associée à lui, elle réagissait au plus infime des mouvements du garçon. Pour compenser son évidente inexpérience, Thibault lui prit un sein qu'il pétrit sans grande maitrise. Il fallait qu'il se concentre pour ne pas venir trop vite et passer pour un éjaculateur précoce. Lui, seul dans son lit, pouvait s'activer de très très longues minutes avant de jouir. Là, entre les mains de la Muse, c'était radicalement différent. En plus, il fondait face à ce regard aussi azuré qu'intense et passionné.

Ce qu'il voulait d'elle? Tout! L'inavouable! Le péché charnel! Une plongée dans un chaos sexuel débridé! Qu'elle soit son tout mais aussi son rien dont il pourrait presque trop abuser pour se répandre sur elle, en elle, la voir baigner dans ses plaisirs ... En effet, l'inavouable ... et il était bien trop poli pour cela. Bien éduqué et sachant que la prose n'aimait pas la répétition, il préféra ne pas réitérer ses demandes préalables. Au lieu de cela, Thibaut posa ses mains sur les belles épaules de La Charmante et pesa légèrement pour qu'elle s'agenouille face à lui.
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One Shot / Re : Première leçon [Pv]
« Dernier message par Draven Dairn le vendredi 31 mai 2024, 08:25:14 »
Elle avait beau hurler, vouloir que cela s’arrête, vouloir se réveiller, rien n’y faisait, rien ne changeait, les scènes et les reproches continuaient à pleuvoir, comme pour l’ensevelir dessous, avec Hayao Tachibana qui apparaissait comme la seule issue, la seule échappatoire, bien sûr. Je trouvais que ce cauchemar tournait bien. Très bien.et je me matérialisais dans son rêve, prenant mon propre rôle quand elle me rejoignait alors, après avoir réussi à passer la foule d’étudiants, s’agenouillant devant moi, alors, pour supplier. Alors, doucement, je venais poser un genou au sol, et je venais doucement poser ma main sur sa tête, doucement, mes doigts se mêlant à ses cheveux comme on caresserait la tête d’un animal de compagnie que l’on appréciait.

« J’aimerai beaucoup t’aider. Mais tout n’est pas si simple. »

Je jubilais intérieurement. Cette situation était magique, géniale même. Je savourais tant et si bien… cette situation me plaisait énormément, il fallait reconnaitre que c’était quelque chose de magique de la voir dans cette situation… elle était en train de rompre doucement. Rompre pour moi dans ses rêves. Quelles seraient les conséquences à son réveil.

« Je ne peux pas te protéger si tu ne fais pas tout pour ça… »

Les voix s’était tues. Les gènes continuaient à parler et pourtant, nous étions, elle et moi, dans une petite bulle de silence.
Je caressais sa joue délicatement.

« Relèves-toi Priscilla et montre ta résolution. »

Je lui tapotais la joue et je m’écartais.

« Prouve ta résolution à ce que je t’aide et trouve-moi… »

Je me délitais jusqu’à disparaitre et les voix reprirent en intensité, pour marteler son esprit. Il fallait qu’elle fasse ses preuves, et qu’elle me trouve. Me trouver seul dans sa fac ne suffirait pas, bien sûr. A elle de me montrer qu’elle ferait le nécessaire pour que je la protège après tout.
6
Le coin du chalant / Un tableau de chasse à remplir
« Dernier message par Matsuo Butahito le vendredi 31 mai 2024, 06:21:21 »
Pour les personnes qui auront eu le temps de lire la fiche de Matsuo, le jeune homme est bien décidé de se venger des personnes qui auront pourri son existence et je pensais diviser ce chalant en fonction des situations en proposant plusieurs alternatives sur la manière de procéder. Rien n'est définitif, alors venez avec vos idées ou vos suggestions si une trame vous intéresse mais que certains détails seraient à revoir selon vous.


Nana est une gyaru. Grossièrement on pourrait la définir comme une fille qui s'habille de façon vulgaire la majorité du temps avec une personnalité extravagante destinée à provoquer les gens pour son seul amusement. Elle ne s'est non plus jamais cachée d'avoir couché avec une bonne partie des garçons les plus populaires de son lycée à l'époque.

La jeune femme est l'une des premières à avoir brisé la confiance en lui de Matsuo lorsqu'il tentait de profiter de sa jeunesse.



2° La famille Kusanagi est composée d'Ayane (l'aînée), Yuta le cadet et Emi la petite dernière. Ce trio a pris un malin plaisir d'utiliser et abuser du jeune Matsuo au fil des années pour soulager la pression et le stress liés aux attentes de leur famille à leurs égards. A l'époque certaines rumeurs circulairent à leur sujet mais personne n'avait le courage de les confronter là-dessus par peur de représailles.
Selon certains élèves, les deux soeurs auraient développée une affection qui tiendrait plus de l'inceste que de l'amour filiale.



3° Les élèves n'ont pas été les seuls à détruire la personnalité de Matsuo. En remontant en arrière, la première à avoir abandonné le petit garçon était une jeune institutrice du nom de Sayaka. Avec ses remarques acerbes lui ordonnant de "faire avec" ou en excusant ses camarades car "ils font ça pour rigoler avec toi", la jeune femme a été une des premières à contribuer à son mal-être.
Il n'est donc pas impossible que Matsuo cherche à la retrouver pour vérifier si elle aussi arrivera à se rebeller face à ce qu'il lui réserve.



4° Matsuo poste régulièrement sur un forum composé de personnes dans la même situation que lui. Victimes de harcèlement scolaire ou en entreprise, les membres qui y passent régulièrement aiment y parler de leur quotidien pour chercher du soutien ou partager leurs fantasmes de vengeance.
Jusqu'au jour où une certaine jeune femme ouvre un sujet pour parler d'un étrange smartphone qu'elle aurait reçu et qui lui a permis de débuter sa vengeance. En toute logique personne ne la prendra au sérieux. Tous sauf Matsuo... Mais le principal objectif de cette inconnue serait de trouver de l'aide masculine pour faire subir aux filles qui ont gâchées sa vie les même sévices à leur tour.



5° Si vous avez d'autres propositions, n'hésitez pas à venir me voir pour en discuter par message privé.  ;)
7
Prélude / Re : Re : De victime à bourreau
« Dernier message par Matsuo Butahito le vendredi 31 mai 2024, 05:50:17 »
Bonjour tout le monde et merci pour vos messages.



Coucou et rebienvenue o/

Tu es validé ! Attention avec ton joujou tout de même  ::)

Je peux essayer, mais je ne promets rien.  ;D
8
One Shot / Re : Première leçon [Pv]
« Dernier message par Priscilla Nichols le jeudi 30 mai 2024, 23:54:10 »
Chaque fois qu'elle rouvrait ses yeux en espérant se retrouver dans son lit, la situation où elle se retrouvait devenait de pire en pire. Priscilla était à bout, partout où elle regardait, tout ce qu'elle entendait, même sa propre voix la blamait pour ce qu'il se passait. Elle se recroquevilla sur le sol, couvrant ses oreilles et fermant ses yeux en espérant qu'elle se réveille après un temps.

«C'est faux ! Ce n'est pas ma faute !» hurla-t-elle.

Même avec les oreilles couvertes, les voix résonnaient dans sa tête, elle ne pouvait pas les échapper.

«Arrêtez ! Pourquoi moi ?» dit-elle en sanglot.

Au milieu de toute ces voix, elle continua de répéter de plus en plus fort au point où elle pouvait perdre sa voix, paniquée.

«Réveille-toi, réveille-toi, REVEILLE-TOI»

Priscilla releva sa tête en entendant au milieu des moqueries et des accusations une voix chaleureuse. Elle regarda autour d'elle, tourna sa tête dans tous les sens, et elle le trouva enfin. Elle se leva et traversa la foule d'étudiant qui ricanait à son passage. Elle commençait à courir, trébucha presque, mais gardait sa direction pour enfin arriver devant son tuteur. Elle s'agenouilla pour le supplier.

«S'il vous plait aidez-moi, je ferai tout ce que vous voudrez, emmenez-moi loin d'ici, je vous en supplie !»
9
Les alentours de la ville / Re : Divine rencontre...{Los Angeles} {Jin et Hédoné}
« Dernier message par Luxury le jeudi 30 mai 2024, 21:47:23 »
Lorsqu’Edwina entendit sonner, elle sursauta presque, mais son coeur se mit à bondir d’excitation dans sa poitrine. Une sorte de mélodie sur fond de «Le dîner est serviiii» de son giron en ébullition. Si elle n’avait pas été un minimum éduquée, elle aurait tapé dans ses mains en sautillant sur place. Mais au lieu de cela, elle se dirigea vers la porte pour écouter ce qui se disait dans le couloir. Jin semblait s’extasier sur sa demeure et elle en fut plus que ravie. C’était plaisant de savoir que des gens étaient capables d’apprécier le style outrancier de l’architecture qu’elle avait choisie elle-même. Rosie le conduisit ensuite auprès d’elle, qui s’était reculé rapidement afin que personne n’apprenne qu’elle était en train d’espionner comme une enfant qui attend son cadeau de Noël…

«Ne soyez pas si formel ! Appelez-moi Edwina.»

Edwina s’avança en parlant, lui tendant la main afin de recevoir un baiser comme elle avait l’habitude que ce fut fait. Elle aimait déjà ce qu’elle voyait et savait parfaitement ce qu’elle trouverait en-dessous. Ce qui lui plaisait particulièrement. N’était-ce pas odieux, bien qu’excitant, de connaître la nudité quelqu’un alors que ce quelqu’un ne connaissait pas grand-chose de vous ? Oui. Mais elle savait être odieuse dans sa conception des choses, la dame Papadakis. Elle resta à le contempler un moment, puis avisant que Rosie était toujours présente, elle se pencha pour la regarder droit dans les yeux.

«Merci...Josie ! Vous pouvez...eh bien nous laisser. Faites préparez de quoi alimentez ce corps d’Apollon voulez-vous ?» Puis, se remettant face à lui, ses yeux plongés dans les siens avec un sourire éclatant de blancheur. «J’imagine que vous avez faim après ce long voyage ? La nourriture dans les avions n’est pas exceptionnel. Même dans mon Jet et je le déplore...et m’en excuse.» Elle s’était approchée et posa sa main baguée contre le torse, en appréciant la dureté. «Venez. Je vous ferai visiter plus tard et nous irons voir votre chambre. Pour le moment, il faut que nous fassions plus ample...connaissance.»

Edwina pianota de ses ongles longs sur le torse et retira sa main en une caresse délicate qui glissa jusque sur le ventre tout aussi musculeux, elle le savait pour l’avoir vu dans des films. C’est comme à regret d’ailleurs qu’elle se détourna.

«Suivez-moi...Jin.»

 Edwina les conduisit vers une baie vitrée qui couvrait l’arrière de la grande pièce, ouvrit la porte sur une terrasse ensoleillée au sol de pierre blanche. Il y avait des colonnes et un toit en demi-sphère qui les protégerait du Soleil. Là, des sièges confortables les attendaient, avec une table décorée de fleurs. Un vaste jardin les entourait, avec une piscine dessiné comme un immense bassin de pierre naturelle. Elle avait demandé à ce que ce petit havre de paix...enfin...petit. Soit dessiné comme s’il s’était agi du jardin des dieux.

«Installez-vous, Josie va nous apporter de quoi grignoter et boire. Il fait une chaleur étouffante aujourd’hui...» Ou alors c’était elle et ses vapeurs. Mais elle eut la délicatesse de n’en rien dire. «Je vous suis si reconnaissante que vous ayez accepter de venir ! Surtout que ce n’est pas tout près, le Japon !»

Le parfum que dégageait la déesse avait quelque chose de particulier. Une fragrance que l’on n’aurait pu nommer et qui donnait aux personnes se trouvant à son contact, envie de se détendre, de profiter, de rire...un parfum de bonheur et de plaisir. Ses employés n’y étaient pas sensibles autant que les personnes qu’elle ne côtoyait que rarement. Comme une forme d’accoutumance protégeait les habitués de la dame Papadakis de l’attraction que pouvait opérer la senteur divine.

«Mais je parle...je parle...dites-moi plutôt ce qui vous a fait accepter. Et soyez honnête surtout, je ne me vexerai jamais.» Disait-elle. Si une connaissance de la dame s’était tenue présente, elle se serait étouffé devant ce «pieu» mensonge.

Rosie apparut avec un plateau, suivit de deux domestiques qui déposèrent ainsi, des fruits, figues, raisins, baies, pommes, mais aussi une assiette de fromage, surtout du fromage de chèvre, ainsi qu’un panier de petit pain et autre viennoiserie. Il y avait là de quoi nourrir un régiment, sans parler des viandes et charcuteries. En boisson, il y avait divers jus de fruits dont une jarre d’un liquide ambré. Une sorte d’alcool léger au goût de miel, qui rappelait à Edwina l’ambroisie dont elle raffolait au temps où elle siégeait encore sur l’Olympe.

«Laissez, je vais servir monsieur...» Elle dit cela à ses employés, qui s’en allèrent en les laissant seuls. «Permettez ? Que désirez-vous boire ? Après...promis, je me tais et je vous laisse parler.»

 Elle rit de ce rire de poitrine charmant. Elle n’était pas toujours aussi bavarde, mais la liesse qui l’emplissait de voir venir Jin à elle, lui donnait envie de babiller pendant des heures, afin de ne pas trop penser à son ventre qui avait faim et pas de nourriture, pour une fois.
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One Shot / Re : L'entretien d'embauche [PV]
« Dernier message par Mona Duval le jeudi 30 mai 2024, 21:17:36 »
Va-t-il me rendre ma main ? J’en profite pour le détailler sans grande gêne. Je n’ai jamais été du genre timide, alors...une peau caramel, un visage bien dessiné, carré...beau gosse. Je doute que la maison d’édition soit très contente que j’opte pour un assistant aussi comestible, mais tant pis. Ils veulent que je trouve quelqu’un ? Pourquoi pas lui...après tout. Cela pourrait être amusant.

«De même, Darius...»

C’est une presque caresse lorsque ma main quitte finalement la sienne. Ses mots me font sourire. J’ai l’habitude. Et je vais pour ajouter quelque chose, mais il me prend de vitesse par ses simples mots. Pas de problème ? Tant mieux alors...j’aurais trouvé cela triste de ne pouvoir avoir ce bel étalon à mes côtés sous prétexte que je ne suis pas celle qu’il s’attendait à rencontrer. Lorsqu’il s’éloigne vers les sièges en cuir, je souris pour lui signifier que oui, en effet, c’est ici que vous pouvez vous installer. De toute manière, ce bureau n’a pas réellement d’endroit où se poser. Je me suis jurée de mieux meubler celui que j’occuperai bientôt. Le confort est important, surtout lors de rendez-vous professionnels...entre autre chose.

«Oui. Oui bien évidemment, cela fait partie du jeu.» Je viens m’installer en face de lui, la table basse entre nous. Le calepin en équilibre sur mes cuisses jointes. Mon style ? C’est vrai que son texte était osé avec ce qu’il faut de description pour plaire… «Je suis flattée. Eh bien. Pour être honnête, ce serait certainement publiable. Après une petite relecture évidemment...mais non, vraiment, c’était un très bon texte, que j’ai beaucoup aimé lire...» Mon sourire s’agrandit, je ne baisse pas les yeux en rosissant en lui avouant cela. Je n’irai pas jusqu’à lui dire que la lecture m’a fait quelque chose, je dois rester professionnelle… «Non, j’ai aimé...»

Est-ce mon aveu qui a légèrement changé l’expression de son visage ? «Je vous ai choqué ? Pardon. Parfois j’ai tendance à dire les choses peut-être un peu trop franchement et ce n’est pas aux goûts de...» Mal de crâne ? Oh. Certes. Ce doit être ça, car il n’a pas l’air du genre timide, vu la facilité avec laquelle il s’exprime. J’ai déjà eu à faire à des entretiens bien moins confortables. «Nous pourrions nous tutoyer, je doute que nous soyons très éloigné au niveau de l’âge...» Je ne me rappelle plus de ce que disais son dossier à ce sujet. Je me souviens surtout de son texte… «Je comprends...désires-tu un anti-douleur ? Je dois en avoir qui traîne quelque part...»

Ma voix se fait maternante, tandis que pleine de sollicitude, je me lève déjà pour fouiller dans les tiroirs du bureau. Je le partage avec l’autre écrivain, mais il me semble que j’y ai laissé des cachets pour les gueules de bois. Cela devrait suffir...où est-ce qu’elle est cette foutue boîte… «Je les ai..tiens, ça va peut-être te soulager.» Je pose la boîte près de son verre d’eau.

«Je ne conduis pas à cause de ça. Les embouteillages...c’est trop...tellement trop.» Je souris en m’installant à nouveau confortablement, du moins autant que possible, reprenant mon calepin sur mes cuisses, un stylo dans la main. «Bien...alors...» Je soupire, car je ne me suis pas préparée du tout. «Je vais jouer carte sur table, je n’ai pas préparé de question ou...ce n’est pas très professionnel, mais je ne suis pas reconnue pour ça, tu le comprendras rapidement si tu viens à travailler pour moi...» Mon ton est plus ronronnant que ce que j’aurais voulu, mais je ne peux pas revenir en arrière. «Du coup, on va y aller à l’impro...» Je bois une gorgée avant de reprendre. «Qu’est-ce que tu penses être le métier d’assistant d’écrivain ? Histoire de savoir si tu as des attentes qui sont à la hauteur de ce qu’on attend ici. Enfin. De ce que j’attendrai de toi. La Maison d’Édition n’a pas vraiment de regard sur le travail des assistants personnels.»

Des esclaves modernes. C’est ce qu’a dit un jour une secrétaire des autres étages. Je ne sais plus laquelle, il y en a tellement et elles changent souvent. Elle parlait des assistants et assistantes d’écrivains. Et blablabla, je n’aimerais pas être à leur place, blablabla...mais je ne sais pas de qui elle parlait exactement et si elle avait quelqu’un en particulier en tête. Je sais de source sûr, que certains écrivains se comportent comme des divas et d’autres, de véritables tyrans. Je ne suis ni de la première race, ni de la seconde. Je crois même plutôt, sans me vanter, que je suis agréable à côtoyer, du moins dans mes phases hautes. Dans les phases basses, je peux être désagréable, mais j’évite de me pointer au boulot. Jour de congé pour l’assistant, l’assistante…

«Je te dirai ensuite ce que j’attends d’un assistant...» De la pointe de mon stylo, sans le quitter des yeux, je gribouille sans y penser sur la première feuille de mon calepin. Des tourbillons, des petits traits, comme on le fait quand on est au téléphone. «...et les avantages que la maison offre lorsqu’on occupe ce poste.»

 Je trouve qu’il a l’air perplexe. Peut-être que je suis trop délurée et éloignée de l’image que les gens se font des écrivains...peut-être que je ne suis pas assez pro et que cela ne va pas lui plaire...je me mords la lèvre inférieure et je prie pour qu’il ne soit pas effrayé par ma manière de procéder. Cela m’emmerderait. Non seulement il est à mon goût, mais en plus, il est jeune et j’ai royalement la flemme de devoir faire passer d’autres entretiens à des tas de gens sans intérêts. J’aime les choses vite fait, bien fait et n’ai pas le temps pour ces conneries. L’idée, de plus, que la maison d’édition finisse par m’imposer quelqu’un me mettrait dans une mauvaise posture. Ils ont le dont de choisir des gens qui colleraient mieux avec l’image de la maison, qui plus est, qui sont d’un chiants pas possible. Ce n’est pas de bon goût, il paraît, de coucher avec ses assistants ou ses collègues et ils savent que je ne crache pas sur une partie de jambe en l’air dés que l’occasion se présente. Voilà pourquoi ils avaient l’air dubitatifs lorsque Danny, mon agent, à proposer de trouver des candidats et candidates pour moi, me laissant carte blanche pour choisir…

«Est-ce que ça va aller ? Si ton mal de tête ne passe pas ou...s’accentue, nous pouvons repousser l’entretien. Je n’aimerais pas que tu sois mal à cause de moi...»
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