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La zone industrielle / Re : Tester la marchandise - PV (Sareeth)
« Dernier message par Sareeth le Aujourd'hui à 23:21:53 »« Très bien. » Un mois, ça peut être extrêmement court comme une véritable éternité. Je ne sais ce qu’il met derrière ses conditions. Mais il est clair que je ne décevrais pas notre engagement. Séduire des hommes est si facile que j’en ai perdu le goût. Je n’ai aucune inquiétude à avoir. Mais lui devrait se faire du souci pour sa part du marché. Il se distingue et quelque chose de spécial se dégage de lui. Cette sensation s’accentue quand il s’approche mais est-ce suffisant ? Assez pour attiser mon intérêt, pour l’instant. « C’est vous que je veux une fois mes preuves faites. » Sans détour, j’exprime mon envie.
Il ne reste planté devant moi que pour attraper l’invocateur et lui ordonner ma libération. Le cercle s’efface et je peux enfin bouger à ma guise. Je m’étire de mon long. Ils s’éloignent tous comme si je représentais un réel danger ? Le petit humain était si fière de son invocation, il y a encore quelques secondes. Maintenant, je suis devenue une source d’inquiétude. Il n’est pas le seul à posséder cette réaction étrange. Son absence de courage m’arrache un rire et me permet de patienter jusqu’à la présentation de mon épreuve.
Avec l’homme de main sous le nez, je comprends vite les intentions du contractant. Je lui laisse toutefois le loisir d’expliquer la situation et les différents méfaits qui l’ont conduit à cette situation. S’il me livre, c’est qu’il ne doit plus le considérer d’une grande utilité. Une telle décision est souvent motivée par la trahison. « C’est le fruit d’une mauvaise éducation. Tuer pour des gâteaux, c’est une première. Fais-le pour une bonne raison la prochaine fois. » Je n’ai peut-être pas compris la métaphore que leur chef a glissé derrière les biscuits mais ça ne change rien à ma mission.
Le fautif tente de se défendre mais atterrit toujours plus bas, face contre terre. Il m’oblige à m’accroupir devant lui. Les jambes à peine écartées, il peut voir ma culotte. Mais il n’est pas le seul car ma courte jupe remonte au niveau de mes fesses pour le plaisir des hommes derrière moi. Mon corps est fait pour répondre aux fantasmes de ses hommes. « Evitez de le mettre en morceaux avant ! » Il est pas loin de m’offrir un cadavre comme entretien d’embauche… Y a mieux quand même !
Je dépose avec douceur une main sur la joue de James. « Mon pauvre James, il vous malmène pour des biscuits. » Ma voix se fait langoureuse et je n’utilise pour l’instant aucun de mes pouvoirs mais seulement mon charme surnaturel. Je sens tout de suite l’homme réceptif mais rendu méfiant par la présence de son boss. « Je peux vous aider… Vous libérez de lui. » J’appuie chacun de mes mots, à travers eux mon pouvoir de séduction s’immisce. « Lâchez-le et éloignez-vous. » J’ordonne à Randal mais je n’ai pas besoin de ça pour parfaire mon emprise sur James.
« Que dois-je lui faire faire ? »
Il est déjà à mes pieds. Mais la situation se fait plus parlante s’il s’éloigne. James peut se détendre et se laisser consommer par son désir.
Il ne reste planté devant moi que pour attraper l’invocateur et lui ordonner ma libération. Le cercle s’efface et je peux enfin bouger à ma guise. Je m’étire de mon long. Ils s’éloignent tous comme si je représentais un réel danger ? Le petit humain était si fière de son invocation, il y a encore quelques secondes. Maintenant, je suis devenue une source d’inquiétude. Il n’est pas le seul à posséder cette réaction étrange. Son absence de courage m’arrache un rire et me permet de patienter jusqu’à la présentation de mon épreuve.
Avec l’homme de main sous le nez, je comprends vite les intentions du contractant. Je lui laisse toutefois le loisir d’expliquer la situation et les différents méfaits qui l’ont conduit à cette situation. S’il me livre, c’est qu’il ne doit plus le considérer d’une grande utilité. Une telle décision est souvent motivée par la trahison. « C’est le fruit d’une mauvaise éducation. Tuer pour des gâteaux, c’est une première. Fais-le pour une bonne raison la prochaine fois. » Je n’ai peut-être pas compris la métaphore que leur chef a glissé derrière les biscuits mais ça ne change rien à ma mission.
Le fautif tente de se défendre mais atterrit toujours plus bas, face contre terre. Il m’oblige à m’accroupir devant lui. Les jambes à peine écartées, il peut voir ma culotte. Mais il n’est pas le seul car ma courte jupe remonte au niveau de mes fesses pour le plaisir des hommes derrière moi. Mon corps est fait pour répondre aux fantasmes de ses hommes. « Evitez de le mettre en morceaux avant ! » Il est pas loin de m’offrir un cadavre comme entretien d’embauche… Y a mieux quand même !
Je dépose avec douceur une main sur la joue de James. « Mon pauvre James, il vous malmène pour des biscuits. » Ma voix se fait langoureuse et je n’utilise pour l’instant aucun de mes pouvoirs mais seulement mon charme surnaturel. Je sens tout de suite l’homme réceptif mais rendu méfiant par la présence de son boss. « Je peux vous aider… Vous libérez de lui. » J’appuie chacun de mes mots, à travers eux mon pouvoir de séduction s’immisce. « Lâchez-le et éloignez-vous. » J’ordonne à Randal mais je n’ai pas besoin de ça pour parfaire mon emprise sur James.
« Que dois-je lui faire faire ? »
Il est déjà à mes pieds. Mais la situation se fait plus parlante s’il s’éloigne. James peut se détendre et se laisser consommer par son désir.