Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Bastien Hachimato

Pages: [1] 2 3
1
L'aéroport / Re : Un long vol... En bonne compagnie. [PV]
« le: mardi 10 octobre 2023, 00:00:35 »
La chaleur montait dans la cabine et ma belle voisine n'y était pas pour rien. Je dois dire que sa photo avec les bras liés était particulièrement suggestive et avait pour effet immédiat de déplacer mon sang vers mon entrejambe. Ma main enserrée entre ses cuisses, je lâchais prise et appréciait sans complexes le défilé des photos, dont certaines laissaient transparaitre ses détails les plus intimes alors même que sa poitrine était sous mes yeux.

 Si je me laissais aller, mes doigts auraient glissé plus en profondeur en direction de sa culotte.

Je crois que je préfère le blanc, c'est plus... saillant.

 J'allais dire révélateur mais cela était un peu trop direct. Je devais quand même trouver un moyen de me redresser et de m'écarter un peu de son corps, sans quoi mon excitation allait devenir visible. Je ne sais pas ce qui me traversa par la tête, peut-être était-ce l'altitude mais je m'entendis dire:


Et si nous faisions un photoshoot souvenir, ici, maintenant?



Mais qu'est-ce qui m'arrivait donc? Je regrettais instantanément cette idée saugrenue. Sans oublier que je n'avais strictement aucun talent de photographe et que mon pauvre smartphone comme instrument. Face à cette professionnelle du métier, je m'attendais heureusement à une réponse négative et un éclat de rire moqueur. Au moins j'allais gagner des points sur le terrain de l'humour. 


Je n'eu même pas le temps d'attendre sa réponse qu'une violence turbulence vint me projeter sur elle. Ma main coincée entre ses cuisses, je du me rattraper à une seule main et ne parvins pas à amortir tout mon poids. Sa poitrine plaquée contre mon torse et nos lèvres à seulement quelques centimètres, je n'eu d'autres choix pour me stabiliser que d'appuyer ma main en l'enfonçant jusqu'au creux de ses cuisses. Je pouvais presque sentir le relief de sa fente. Ou alors mon imagination me jouait un tour.

Le malaise aurait pu s'arrêter là si mon membre gonflé de plaisir n'était pas venu se presser contre sa cuisse, venant soulever le fil blanc de son string sur sa taille.

Je pense qu'on ne peut pas faire mieux pour convaincre l'hôtesse de l'air de la réalité de notre union!

2
One Shot / Re : Le dîner de tous les dangers [PV]
« le: lundi 09 octobre 2023, 23:53:54 »
Canelle continuait à faire comme si de rien n'était, j'allais donc faire de même. Cela s'annonçait toutefois difficile. Bien que je faisais tout mon possible pour fixer les marches que je gravissais, je ne pu résister à laisser mon regard remonter le long de ses cuisses. Elle tenait habilement sa jupe, comme pour ne pas la froisser, et il me semblait bien qu'elle remontait d'un centimètre à chaque marche. Arrivé au sommet, je devinais tous les contours de ses fesses galbées.

C'est à ce moment précis, alors que mon membre gonflé déformait mon pantalon, qu'elle fit chuter sa culotte et se pencha pour la ramasser. Ma verge gorgée de plaisir vint se plaquer entre ses deux fesses qu'elle frotta allègrement contre moi. Elle devait être ravie de son effet.

Sans attendre, je m'engouffra enfin à l'abri des regards dans la salle de bain désignée. Je comptais bien emprunter un pantalon à mon hôte et redescendre le plus vite possible. Avec un peu de chance, Canelle ne reviendrait même peut-être pas à table et je pourrai alors profiter sereinement de la soirée.

 
Je me rapprocha du côté de la salle de bain qui semblait être utilisé par le père de la jeune femme. Je me regarda dans la glace, j'avais l'air d'avoir sacrément chaud. La disposition de la salle de bain était atypique mais collait finalement bien à l'image d'une famille assez rigide que je me faisais.

 
Ma tentatrice réclame alors mon pantalon, tout en fermant la porte. 


Inutile de le laver, votre père pourra me le rendre ultérieurement sans problème. Si vous pouviez simplement me donner un pantalon de rechange...

 
Je parlais haut et fort, reprenant le vouvoiement, au cas où un employé de maison était dans les parages. Je n'aimais pas trop l'idée d'être surpris avec la fille de mon client en sous-vêtement sans motif solide. D'autant plus que ce n'était manifestement pas sa salle de bain à elle.


Je n'allais toutefois pas encore patienter longuement: plus vite cela serait terminé plus vite je serai redescendu.

 
Je me tourne donc dos à la jeune femme et je déboucle ma ceinture. Seul problème, mon érection encore puissante était plus qu'apparente. Ma verge tendue sous le tissu jaillit immédiatement de la braguette ouverte. 


Discrètement, je glisse ma main dans mon boxer pour tenter de mettre mon sexe à la vertical, le moins visible possible.

 
J'essayais en parallèle de penser à de multiples souvenirs tristes ou douloureux (la mort de mon chat en tête), mais rien semblait fonctionner pour atténuer mon érection. Au contraire, je pouvais sentir mes testicules bouillonner de plaisir à l'idée de la savoir nue sous sa robe. Mon imagination tournait à plein régime, et je m'imaginais glisser ma langue entre ses cuisses avant d'y glisser autre chose.


Sans la regarder afin de garder mon dos face à elle et ma pudeur intacte, je lui tend alors le pantalon, gardant ma main tendue afin de récupérer celui de rechange.

 
De l'autre côté de la salle de bain, j'aperçois une pile de serviettes. J'aurais du commencer par là. Mais trop tard. 

 
Si vous ne trouvez pas de pantalon de rechange, dites-moi où je peux en trouver un moi-même. 

 
Je réalisa alors qu'elle pouvait faire désormais ce qu'elle voulait de moi puisque sans pantalon je ne pouvais tout simplement plus redescendre. Encore moins avec une érection si forte que je pouvais voir les battements de mon cœur faire bouger mon boxer.

3
Events / Re : Jeu d'Halloween n°1, le Skoopictures
« le: lundi 09 octobre 2023, 23:43:02 »
Je mise tout sur C7!

4
One Shot / Re : Le dîner de tous les dangers [PV]
« le: vendredi 28 avril 2023, 20:12:07 »
Il fallait l'avouer, l'excuse de la serviette était bien trouvée, elle avait du talent. L'art et la manière de ne pas se laisser déstabiliser et arriver à ses fins malgré son jeune âge. Et une répartie d'enfer.


Je ne laissa toutefois absolument rien transparaître de ce petit échec et lui retourna un sourire hypocrite. Je n'en revenais pas que son père ne soit même pas capable d'identifier une culotte d'une serviette. Ca en disait long sur sa vie sexuelle.
 

Canelle n'avait manifestement pas fini de jouer. Mais je n'imaginais pas un seul instant jusqu'où elle était prête à aller.


Soudain, dans un grand fracas, les verres vinrent se mirent à trembler suite au choc entre le corps frêle de la jeune femme et la table. Je regarda bouche bée en direction de Canelle et compris sans difficulté qu'il s'agissait d'un nouveau stratagème de sa part, le choc étant totalement disproportionné. Sans aucun complexe, et presque en me regardant, sa main vint de manière faussement accidentelle heurter le verre le plus proche de moi. Son contenu vint se renverser généreusement sur la table et je ne pu que regarder le liquide se déverser sur mes cuisses en atteignant le rebord de la table.


La colère de son père était à la hauteur de l'immense tâche mais ce n'était après tout qu'un accident à ses yeux. Je craignais le pire en entendant ma voisine de table indiquer qu'elle allait réparer son erreur.

 
Je n'avais pas d'autres choix que de la suivre, même si j'aurais largement préférer rester sous l'œil protecteur de son père.

 
Je me redressa donc, et me pencha en avant en direction de mes hôtes pour m'excuser par avance pour mon absence momentanée.

 
Je parvins à dissimuler derrière ma serviette mon sexe gonflé dont le tissu mouillé épousait parfaitement la forme.


Par un signe de la tête, je fis comprendre à Canelle que je la suivais. Sa main était tendue vers moi, j'ignorais s'il s'agissait simplement de me montrer le chemin ou si je devais la saisir. Je préférais au maximum limiter le contact physique.

 
Dans un silence de plomb, nous quittons la salle.

 
Je comptais bien trouver un pantalon de rechange et revenir immédiatement. Une absence trop longue serait suspecte. Même si elle renouvelait ses avances, je ne craquerai pas. Je n'en avais pas le droit.

 
Alors que nous arrivons au bas des marches, je fais l'erreur monumentale de la laisser passer devant. J'aurais du oublier ma galanterie quelques instants. C'est en apercevant dans sa main le fin tissu de sa culotte que je réalise que marcher derrière elle alors qu'elle ne porte plus de sous-vêtement n'allait pas aider à réduire le barreau enserré dans mon boxer.

Je préfère te prévenir, ton petit jeu à intérêt à s'arrêter immédiatement.

5
One Shot / Re : Le dîner de tous les dangers [PV]
« le: vendredi 14 avril 2023, 17:40:13 »
L'incident sur mon pantalon n'avait évidemment pas échappé à l'œil acéré de ma jeune voisine de table qui sauta sur l'occasion pour voler  à mon secours.

 Je cru un instant qu'il n'y avait là qu'une aide innocente, bien que j'aurais préféré m'occuper seul de cette tâche.

 C'était mal connaître la jeune femme.

 Si le passage rapide d'une cuillère sous les billes ébènes semblait bienveillant, ses mains habiles s'étaient bien vite emparées d'une serviette humide qu'elle appuya avec force sur mon sexe gonflée.

 Je pouvais sentir ma verge pressée par ses doigts contre mes testicules pleines de semence.

Ca ira, je vous remercie...

 
Son père, qui n'imaginait rien de la scène, semblait apprécier les manières prévenantes de sa fille et l'encourageait presque du regard à prendre soin de moi. Canelle ne se gêna donc pas pour continuer malgré mes protestations polies.

 Je voyais définitivement clair dans son jeu et ne me laissais plus tromper par son sourire innocent.

 Elle savait que je savais et pourtant, alors que son regard était plongé dans le miens, je perçu le son de ma braguette s'ouvrir, imperceptible pour les autres convives. Elle n'oserait quand même pas....

 Et bien si, elle avait osé.

 Ses doigts s'étaient introduits dans la fente de mon pantalon pour se coller à mon gland à travers le tissu humide de mon boxer et me stimuler au plus haut point.

 J'aurais pu exploser ainsi si elle n'avait pas retiré ses doigts, sentant déjà la sève monter dans ma queue. Je me précipita pour refermer ma braguette, imaginant une nouvelle fois les conséquences pour ma carrière si quelqu'un avait surpris la scène.

 Je ne pouvais évidemment pas la réprimander verbalement mais ne pouvait pas laisser passer ca. Je devais lui faire comprendre qu'elle devait arrêter à tout prix même si dans un autre contexte, je l'aurais déjà retournée sur la table.


 A côté de moi, elle continuait de se tortiller sur sa chaise pour dévoiler toujours plus ses cuisses, s'assurant ainsi de maintenir mon érection tandis que son parfum de rose m'enivrait. 

Cette question vous reviendra, j'en suis certain. 

 Elle savait que pour continuer à jouer avec moi son père ne devait rien savoir. Elle l'utilisait comme une arme, m'empêchant de protester. Mais je pouvais aussi m'en servir...et c'est-ce que je fis.

 Mon regard plongé dans le sien et sans sourciller, je glissa ma main sous la soie qui cachait sa cuisse et attrapa sur sa hanches le tissu de son sous-vêtement que je fis descendre à hauteur de genoux. Cela fut suffisant pour que la gravité face le reste du travail et que le fin tissu termine sa course au sol. D'un geste habile, je vins alors le faire tourner autour de ses pieds et le prendre à pleine main en le sortant de sous la table.

Je viens de trouver cela à mes pieds... De quoi s'agit-il?

 J'interrogeais ainsi son père avec un air d'incompréhension.

 Je n'avais pas trouvé mieux pour la mettre dans l'embarras.

 Avec un peu de chance, son père outré lui demanderait de quitter le repas.

 Pour ma part, tant que j'étais à table, j'étais en sécurité, protégé par l'aura et la surveillance de son père. Je devais quitter sa protection sous aucun prétexte.

6
Le parc et son sous-bois / A l'état sauvage (PV Ayumi)
« le: mercredi 01 mars 2023, 23:32:38 »
J'attendais ce weekend dans la nature avec impatiente. Une manière de me couper du tumulte de la ville et de la pression du quotidien. J'avais quitté la ville aux aurores, vêtu d'un pantalon de randonnée moulant et d'un haut proche du corps, emportant dans mon coffre mon sac à dos. Après m'être garé sur le parking absolument vide de la forêt, je chercha ce nouveau chemin que je voulais inaugurer. Il me fallut presque 20 minutes rien que pour en dénicher le départ. Il n'était manifestement pas souvent utilisé, la nature ayant largement repris ses droits. La destination était toutefois prometteuse car j'étais censé arriver après 7 heures de marches au bord d'un lac immaculé.

 Après 10 heures de marche, je compris que quelque chose clochait: aucune trace d'un lac ni même d'une rivière. Au loin, de la fumée s'échappait de la cime des arbres. Peut-être un autre randonneur qui pourrait me renseigner. J'accéléra le pas pour finalement découvrir que ce n'était pas un feu de camps mais la cheminée d'un large manoir. Tant pis, j'allais quand même tenter ma chance. 

 Alors que le soleil s'apprêtait à se coucher, j'arriva enfin face aux lourdes portes de la belle bâtisse baroque. A l'entrée, une inscription: "Café Kôsho ". Ca alors! Un café dans la forêt et de surcroit dans un manoir ce n'était pas courant. Mais c'était une très bonne nouvelle, avec un peu de chance je pourrais même y passer la nuit avant de faire le chemin du retour le lendemain matin.

 En rentrant, je m'arrêta net et me demande si ce n'était pas un mirage. L'endroit était tamisé, joliment décoré et accueillant mais un détail le rendait très original. Les quelques serveuses que je pouvais apercevoir était vraiment très légèrement vêtues. A cette heure là, il n'y avait pas d'autres clients de sorte que j'attira immédiatement l'attention.

 Gêné, je pris place dans un coin. Je ne parvins pas à trouver un menu et fit un signe à la jeune femme la plus proche pour qu'elle puisse m'aider.

Je suis navré de me présenter dans cette tenue... je suis un randonneur perdu.

Face à moi, le corps dénudé de la serveuse était tout droit sorti de ses rêves les plus fous. Seuls quelques éléments de latex venait sauver in extremis sa pudeur. Je tenta toutefois de faire comme si de rien n'était. Après tout, c'était peut-être simplement une communauté écolo ou naturiste.

Je ne veux surtout pas abuser de votre gentillesse, je souhaiterais simplement me restaurer un peu et éventuellement passer la nuit dans votre belle auberge. J'ai de l'argent évidemment, ce n'est pas un problème.


Il fallait quand même éviter qu'elle pense que j'étais là pour profiter de leur hospitalité sans aucune contrepartie.

7
Le quartier de la Toussaint / Re : Fenêtre sur cour (PV)
« le: mercredi 01 mars 2023, 23:11:49 »
Mon corps était toujours suspendu dans les airs à travers le trappe, à la force de mes bras. Je gesticulais tant bien que mal, balançant mon bassin dans tous les sens, mais rien à faire. Tel un bâton, ma verge tendue ne voulait pas passer la trappe. Mon excuse de la ceinture qui bloquait n'allait pas marcher très longtemps, d'autant plus qu'elle devait avoir une vue directe sur mon entrejambe.

 Pire encore, mes testicules étaient si pleines que cela en était douloureux. La faute à la chaleur de sa chatte sur ma bouche. 

 Lorsqu'elle m'annonça qu'elle allait m'aider, je tenta de plus belle de m'extraire de cette satanée trappe par mes propres moyens, mais rien à faire. Je n'avais d'autres choix que de la laisser m'aider.

 Si elle était VRAIMENT naïve, peut-être penserait-elle que ma ceinture était coincée sous mon pantalon...

 Ses doigts se refermèrent sur la couture de mon pantalon. J'ai cru quelques secondes que mon subterfuge avait marqué mais la paume de sa main vint bien appuyer en même temps sur mon érection de taureau.

 C'est dans cette position relativement humiliante qu'elle commença un décompte à l'issue duquel j'étais supposé pousser de toutes mes forces pour enfin dépasser la trappe.

 Alors qu'elle progressait dans le décompte, sa paume s'appuyait de plus en plus sur mon sexe. Mon imagination me jouait des tours car j'avais l'impression que sa paume parcourait un peu ma verge, comme pour en jauger la taille.

 Arrivé à la fin du décompte, je force franchement mais mon gland gorgé de sang est coincé contre le rebord de la trappe. Je sens alors une seconde main venir en renfort qui vient involontairement caresser mon membre gonflé, augmentant encore sa taille. Je force alors à nouveau, tandis que ses doigts s'agrippent désormais à mon érection pour la plaquer contre mon corps.

Enfin! Vous m'avez bien aidé...Désolé pour ma ceinture.

 
Mon bassin réussit finalement à passer et je m'étala de tout mon long sur le toit de l'ascenseur. Je me redressa bien vite en sentant une toile d'araignée sur mon visage.

C'est assez bas de plafond, il faudra bien rester à quatre pattes sinon vous allez vous cogner la tête.


Sans perdre une seconde, je récupéra ses chaussures et son sac qu'elle me tendait par la trappe. Déjà, elle s'apprêtait à s'élancer vers la main que je tendais dans sa direction. Nos paumes se collèrent et nos doigts s'entrelacèrent tandis que je la tira vers le haut.

Le haut de son buste passa sans difficulté mais sa poitrine exubérante avait plus de mal. Ses deux mains occupées, je tenta tant bien que mal de l'aider à faire passer ses deux seins. Je posa mes paumes avec la plus grande délicatesse sur le côte de ses seins pour les presser l'un contre l'autre, espérant réduire leur volume. Leur contact doux et chaud raviva immédiatement mon érection dont la bosse était à quelques centimètres seulement de son visage. Petit à petit, sa poitrine épousa la forme de la trappe pour finalement en jaillir. Sa robe par contre n'avait pas passé l'épreuve de la trappe était s'était enroulée sous sa poitrine. Face à moi, reposant sur le bord de la trappe, sa poitrine nue aux formes irréelles m'était offerte. Ses magnifiques tétons étaient tendus, et mon imagination ne fit qu'un tour: je m'imaginais y refermer mes lèvres pour les sucer délicatement.

 Je me ravisa bien rapidement afin de garder mon sérieux pour la sortir de cette situation humiliante. Je tenta de faire comme si de rien n'était, même si mon érection me trahissait.

Ca va aller, je vais vous tirer les deux bras pour que le reste du corps suive.

 
J'attrapa alors chacune de ses mains et tenta de la tirer. J'étais alors assis face à son buste sortant de la trappe, une jambe de chaque côté de ses épaules et mon érection en direction de son visage. 

 Cette fois, pas le temps pour un compte à rebours. Je tire sans crier gare. Son ventre musclé apparut rapidement mais ses fesses, bien plus volumineuses que ses seins, posèrent un nouveau problème.

Accrochez vos mains à mes cuisses, je vais utiliser les miennes pour faire passer vos... votre bassin.

 
Mes mains ainsi libérées, je renferme mes paumes pour la seconde fois de la soirée sur ses fesses galbées. Je tente tant bien que mal de les malaxer pour gagner petit à petit quelques centimètres. Pour renforcer ma prise, mes doigts glissent le long de ses courbes pour se rapprocher dangereusement du carré de soie de son string entre ses cuisses. Je retrouve alors soudain l'humidité que j'avais remarqué sur le tissu quelques minutes plus tôt. Au contact de mes doigts, je réalisa que ce n'était pas ma salive mais quelque chose d'un peu plus dense qui coulait le long de ses cuisses... Mes doigts commencèrent alors à glisser sur son épiderme. Ma mains s'enfonça alors entre ses fesses, seul moyen d'avoir une prise solide. Je parvins alors à la hisser pour finalement faire surgir ses fesses de la trappe. Sa robe n'avait toutefois pas suivi et s'était enroulée autour de ses cuisses afin finalement de tomber en abs de l'ascenseur sous l'effet de la gravité. Il ne lui restait donc que ses bas et son string.

 Epuisée, la jeune femme se laissa tomber sur moi de tout son corps. Nous étions collés l'un à l'autre dans l'espace étroit, elle sur moi. Mon érection était à peu près cachée par la pénombre de ce nouveau lieu. Son poids appuyait toutefois dangereusement sur mes testicules mais je n'osais pas bouger d'un centimètre.

Il ne nous reste plus qu'à forcer la porte du palier pour nous y glisser et nous serons libérés.

8
Centre-ville de Seikusu / Re : Un dîner mémorable[Pv]
« le: mercredi 01 mars 2023, 22:26:33 »
La jeune restauratrice dont les mains glissaient dangereusement le long du torse de Bastien s'arrêtèrent heureusement à son ventre, sans quoi elles auraient percuté la bosse de son pantalon. La jeune femme disparut ensuite pour ramener l'entrée.

Bastien profita de cette courte absence pour glisser une main sous sa ceinture. Il vint saisir sa verge gorgée de sang pour tenter de la plaquer contre sa jambe et cacher un peu son érection.

Dès qu'il entendit à nouveau des pas, il replaca à la hâte son pantalon comme si de rien n'était. Il dégusta à nouveau de grandes gorgées d'alcool, accentuant sa sensation de lâcher-prise.

C'est donc sans résistance que Bastien laissa Catherine lui attacher un bandeau autour des yeux, lui bloquant totalement le champs de vision. Il laissa même sa tête retomber en arrière afin de lui faciliter l'attache, et se rendit compte que sa nuque reposait sur sa lourde poitrine.

Je suis prêt pour la suite.

 Bastien sentit un corps le contourner tandis que la poitrine de Catherine était toujours collée derrière sa tête, l'empêchant presque de se dérober de l'entrée qui l'attendait.

Quitte à décupler mes sens, autant également me priver du toucher. Je vais me servir exclusivement de ma langue.

 A tâtons, Bastien se pencha légèrement en avant, les lèvres entrouvertes, le bout de la langue prêt à déguster ce qui se présenterait à lui.

 C'est une crudité connue qu'il rencontra d'abord. Du bout de la langue, il avait en effet identifié la douceur d'une courgette délicatement accompagnée d'une sauce à base de fromage blanc et de ciboulette. Il se croyait dans la Provence de ses grands-parents. Il fit glisser la courgette sur sa langue avant de la déguster avec plaisir. Il lui semblait qu'il restait un peu de sauce, Bastien replongea alors sa langue afin d'essuyer l'assiette. Alors qu'il s'attendait à rencontrer la dureté froide de la vaisselle, sa langue lécha une surface chaude et douce. Peut-être s'agissait-il d'une feuille d'arbre sur laquelle était disposée l'entrée. Le mystère demeurait mais cela n'empêchait pas Bastien de déguster la crème jusqu'à la moindre goutte.

 Bastien poursuivi son chemin sur cette surface mystère et rencontra son légume préféré, une délicate tranche d'aubergine marinée dans de l'huile d'olive. Il devinait également un arrière-goût de feta.

C'est un délice!


Le petit légume était gorgé d'huile d'olive qui coulait sur son support. Bastien en suivi alors la trace du bout de la langue et s'aperçu qu'en plus d'être tiède, la vaisselle n'était pas droite mais courbée. A tel point que son visage, voulant suivre le filet d'huile d'olive qui avait coulé, vint se perdre entre deux protubérances. Malgré tout, cela ne l'empêcha pas d'en récupérer le nectar le long de ces courbes.

 Bastien repartit ensuite à l'aventure du bout de ses lèvres, à la recherche du contact avec de la nourriture ou d'une odeur familière. Il rencontra cette fois une mousse aux milles saveurs: il arrivait à deviner une touche de radis, de betteraves, de menthe et de butternut. Ses lèvres  se refermèrent dessus et rencontrèrent au centre de cette mousse une petite protubérance, comme une tétine. Il la suça pour en extraire une éventuelle saveur, tenta de la mordiller pour voir si elle était comestible puis finalement se contenta de jouer avec du bout de la langue.

 Je sais pas sur quoi est servie cette entrée mais c'est ludique!


La suite n'allait décidément pas le décevoir.

9
Le quartier de la Toussaint / Re : Fenêtre sur cour (PV)
« le: mardi 21 février 2023, 15:06:08 »
Sans perdre de temps et aussi déterminée que moi à sortir de cette prison nocturne, ma jolie voisine glisse ses cuisses musclées autour de mon cou, la frontière de ses bas caressant mes joues. Je sens sa prise se resserrer, devinant ses jambes se croiser derrière moi tandis que sa main agrippe mes cheveux. Je suis obligé de garder ma bouche grande ouverte pour capter de l'air dans les interstices de sa dentelle, ma langue collée au tissu et la chaleur de sa fente irradiant mes papilles.

Alors que mes doigts s'enfonçaient dans le muscle de ses fesses afin d'avoir une bonne prise, je réalisais qu'elles étaient non seulement musclées mais aussi très volumineuses. Le passage de la trappe, à la condition évidemment qu'elle s'ouvre, allait être sportif!

La belle inconnue tambourine encore et toujours contre la trappe, son corps se soulevant avant de retomber brutalement à chaque coup. A chaque fois, sa fente frotte de bas en haut sur mon visage, avalant mon nez à travers le tissu avant d'épouser ma bouche. 

Au fur et à mesure, ses gémissements s'accéléraient, jusqu'à ce qu'elle annonce carrément qu'elle allait venir. Parlait-elle toujours de la trappe ou bien de son plaisir intime? Totalement confus et dans le doute, j'exagère alors l'appuie de ma bouche sur son string pour stimuler son clitoris entre mes lèvres. J'aspire légèrement sa protubérance tout en massant sa vulve de mon menton, toujours encouragé par ses râles.

Soudain, un bruit sourd retentit, annonciateur d'une bonne nouvelle: la trappe avait cédé et venait de violemment se retourner sur le toit de l'ascenseur. Je relâche alors un peu la pression sur ses fesses pour me permettre un peu de respirer et libérer ma bouche pour m'exprimer.

-Bravo!! Je n'y croyais plus.

Le visage dégagé, mon menton posé sur son pubis, je pu regarder en haut en sa direction. Je ne voyais pas son visage mais sa poitrine juste au dessus de moi qui ne tenait plus que par un angle de robe d'une fragilité extrême.

-On va faire une pause! Redescendez et on va me faire passer en premier comme ca je vous hisserai de la haut.

Délicatement, je m'agenouilla sur le sol de l'ascenseur pour lui permettre de retirer ses cuisses de mes épaules et de poser pieds à terre. Un dernier coup d'œil au triangle de dentelle noire face à moi et j'aperçus une tâche humide en son centre. Probablement ma salive...

Dans mon pantalon étroit, mon sexe était lourd et gonflé depuis que ma bouche s'était aventurée entre ses cuisses. J'allais faire de mon mieux pour qu'elle remarque rien mais cela s'annonçait difficile. Je me redressa face à elle, tentant difficilement de me mettre de côté pour ne pas qu'elle sente mon érection appuyée sur son corps.

-On a fait le plus dur. A mon tour de faire des acrobaties.

Tel un basketteur, je me projette alors verticalement dans la cage d'ascenseur et mes mains parviennent à saisir les rebords du trou. Toutes ces heures passées à la salle de sport servaient enfin! Je me hisse à la force de mes biceps, abdos tendus, et parviens à passer mon torse dans l'espace plongé dans l'obscurité situé au dessus de la cage d'escalier.

-Je ne vois pas grand-chose mais on devrait pouvoir y tenir à deux! Par contre c''est très bas de plafond.

Je tente alors de me hisser complètement mais mon bassin refuse de passer: mon sexe tendu à travers le tissu bloque. 

-Je vais...je vais y arriver..  Je crois que ma ceinture bloque.

10
Le quartier de la Toussaint / Re : Fenêtre sur cour (PV)
« le: samedi 18 février 2023, 23:39:16 »
"UN"

 
Le compte à rebours avait commencé.

Je tenais fermement entre mes mains son pied, prêt à la hisser le plus haut possible. Plus agréable que ses talons qu'elle avait retiré, le contact de ses collants était toutefois assez glissant.

Ne vous inquiétez pas, tout va bien se passer.

 
Je n'y croyais pas du tout mais il fallait bien tenter de la rassurer un peu. Si par miracle la trappe s'ouvrait, il faudrait encore qu'elle se hisse et que j'arrive à la rejoindre pour qu'ensuite nous cherchions ensemble un moyen d'ouvrir la porte coulissante du premier étage. Ses mains vinrent se poser sur mes épaules, le décollage était imminent. 

"DEUX"

 
Je regarde avec concentration son pied que je ne devais pas laisser s'échapper, et je pouvais déjà remarquer sa robe ultra moulante remonter un peu sous l'effet de la flexion de sa jambe. De toute façon il n'y avait pas vraiment de place pour la pudeur dans notre plan.

"TROIS"

 
Alors que je la soulève d'un coup, son second pied vint se glisser entre mes deux mains. Il n'y a plus de retour en arrière quand ses mains quittèrent mes épaules pour tenter d'atteindre la trappe. Difficile de maintenir l'équilibre dans cette cage sombre et étroite mais étonnamment haute de plafond. Surtout, impossible pour moi de lui faire garder l'équilibre juste en bougeant ses pieds. Très vite, la gravité était en train de gagner le combat, basculant son corps vers l'avant. Son bassin vint s'appuyer droit sur mon visage, le tissu de sa robe se plaquant sur ma bouche et mon nez appuyant sur son pubis.

 N'ayez pas peur, tendez vos jambes!

 
Rien à faire, elle restait recroquevillée sur moi, les jambes fléchies. Soudain, son corps bascule en arrière, ses mains ayant probablement quitté le plafond. Là ou je suis j'y vois strictement rien, alors que mes mains glissent sur ses pieds à cause du collant. J'arrive heureusement à rétablir l'équilibre en me penchant à mon tour en arrière pour contrebalancer. Son entrejambe me revient alors en plein visage avec force, ses seins fermes étaient désormais posés sur mon crâne. Elle écarta alors lentement ses cuisses pour tenter de reposer ses genoux contre mes épaules et se stabiliser. Face à mon visage, la robe moulante remonta alors petit à petit jusqu'à faire apparaitre la frontière entre sa peau et les collants qui se révélèrent finalement être des bas.

 Malgré l'effort physique et la panique ambiante, c'est assez excitant et largement suffisant pour dessiner la forme de ma verge à travers mon pantalon. Pas le temps d'apprécier la vue que déjà elle gigote à nouveau. La trappe semble résister, je peux la sentir forcer, ses seins retombant sur ma tête après chaque tentative. Elle commence alors à tambouriner dessus pour faire céder les joints. A chacun de ses coups, son corps se tend et sa robe remonte. Bloqué sous le poids de son corps, j'aperçois inexorablement le tissu disparaitre face à moi. En une poignée de secondes, sa robe s'est transformée en un bandeau reposant sur ses hanches. Mon visage fait désormais face à la dentelle d'un magnifique string noir, si proche que mes lèvres effleurent les siennes à travers le tissu. Entre la dentelle, je peux deviner ses plus intimes détails, tandis que le bout de mon nez est lui appuyé sur son clitoris. Mon cœur s'accélère et je ne peux que difficilement réfréner mon souffle chaud sur sa peau, tandis que ma circulation sanguine converge vers mon sexe désormais bien gonflé. Concentre-toi Bastien, c'est ta voisine et on est coincés en pleine nuit dans un ascenseur. Il faut sortir d'ici.

 Enroulez vos cuisses autour de mon cou et croisez vos chevilles derrière ma tête. J'aurai les mains libres et je pourrai vous aider à garder l'équilibre.

 
Elle gagnerait un peu de hauteur et de stabilité. Pour faciliter la transition, je laisse l'un de ses pieds pour glisser ma main derrière sa première fesse dénudée, puis une fois fermement tenue, je lâche la seconde qui vint saisir à pleine paume sa seconde fesse au galbe parfait. Elle était désormais parfaitement plaquée contre mon visage, même si ses cuisses qui ne tarderaient pas à se refermer autour de mon cou allaient forcer encore plus cet intime contact. C'était inévitable, sinon elle risquait de retomber en arrière. Intérieurement, j'espérais bien que la trappe allait résister un peu, son parfum était enivrant

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Le quartier de la Toussaint / Re : Fenêtre sur cour (PV)
« le: vendredi 17 février 2023, 16:37:31 »
 Je ne pu m'empêcher de sourire en l'apercevant se retourner pour tenter d'ouvrir à mains nues les portes de l'ascenseur rongées par la rouille. Ses ongles manucurés n'allaient pas apprécier.


"Je crois que c'est peine perdue, cette vieille machine est centenaire et le dernier entretien doit dater d'avant votre naissance."


L'avantage c'est que la jeune femme était alors dos à moi et que ses fesses rebondies était venues s'appuyer délicieusement sur mon entrejambe. Il y avait pire position pour être coincé dans un ascenseur. Heureusement que ce n'était pas la vieille du 3ème!  La belle inconnue semblait toutefois de plus en plus agitée, se tortillant dans le minuscule espace de la cage d'ascenseur. J'espère que cela ne présageait pas d'une crise de panique. A chacun de ses mouvements, ses courbes venaient se frotter à mes muscles, éveillant en moi une douce chaleur.


Pourquoi n'y ai-je pas pensé plus tôt! J'ai effectivement mon portable.

 

Je plongea tant bien que mal ma main dans ma poche, appuyant généreusement sur sa fesses pour y accéder et ressorti le smartphone noir.

Ca serait trop beau..... pas de réseau entre les étages. 

 

Je regarda une nouvelle fois dans la direction de la trappe au dessus de nous, utilisant le flash de mon téléphone à portée de main.


Je crois que j'ai une idée... mais ca risque de ne pas vous plaire. A priori notre seul moyen de sortir c'est la trappe qui se situe sur notre plafond. En y accédant on devrait déboucher sur le haut de l'ascenseur qui n'est qu'à quelques mètres du palier.  Je doute que vous puissiez soulever mon gabarit donc je vais vous faire la courte échelle. 

 
Je jeta quand même un œil en direction de ses pieds. Sa tenue n'allait pas simplifier l'opération.


Enlevez vos talons, je tiens quand même à mes mains. Je vais vous soulever jusqu'à la trappe. 

 
Mes mains étaient jointes, prêtes à venir saisir son pied pour la hisser au dessus de moi, alors que j'étais désormais face à elle. Je ne savais pas encore si j'allais réussir à la soulever suffisamment longtemps pour qu'elle ouvre la trappe. Si la trappe était aussi rouillée que le reste, cela risquait d'être un peu plus long. Dans le pire des cas, je poserai ses cuisses sur mes épaules. L'essentiel étant simplement de ne pas trop faire trembler l'ascenseur dont la solidité semble assez relative.

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L'aéroport / Re : Un long vol... En bonne compagnie. [PV]
« le: samedi 11 février 2023, 18:08:22 »
Ma main n'avait pas quitté la chaleur de sa cuisse, mes doigts délicatement appuyés sur l'intérieur de sa jambe. Il fallait bien rendre crédible notre mensonge  commun, et cela semblait d'ailleurs amuser ma chère voisine qui m'avait déjà affublé d'un surnom affectueux.

C'est pratique de travailler en famille! Je ne doute pas un seul instant de ton succès dans ce milieu...

 Il fallait avouer que son physique ne pouvait laisser personne indifférent. Il suffisait de regarder les autres passagers masculins mais également féminins qui louchaient dans sa direction pour s'en rendre compte. Je sauta évidemment sur l'occasion pour en voir un peu plus que ce que sa tenue ne dévoilerait pas déjà.

Oui avec plaisir! Je suis curieux de voir ca.

 J'avais à peine répondu que des photos défilaient déjà sur l'écran de son ordinateur qu'elle venait de sortir.

 Il me semblait qu'à chaque photo la tenue était de plus en plus légère. Je resta bouche bée face à ses photos en maillot de bain, c'est pas tous les jours que je voyais un tel physique. On aurait dit ses courbes sorties tout droit d'un manga. Sans m'en rendre compte, ma main qui était restée posée sur sa cuisse descendit un peu plus à l'intérieur de celle-ci, le bout de mes doigts appuyant sur sa chair. Avec la courbe de ses seins, ses jambes galbées et ses fesses rebondies, sa carrière s'annonçait pleine de succès.

 Le rythme avec lequel Annie faisait défiler les photos était  également assez perturbant... Moins Annie était vêtue, plus elle laissait la photo affichée longtemps sur son écran, comme si elle voulait faire tourner à plein régime mon imagination.

 De savoir qu'une si jolie jeune femme était assises à coté de moi commençait à réveiller entre mes jambes une lente mais puissante érection. La photo suivante n'arrangea rien puisqu'elle portait plus que des sous-vêtements sexy dans une position suggestive.

-Ah oui, c'est...., c'est très varié.

 Je ne savais pas trop quoi dire, gêné et un peu inquiet: si un passager ou une hôtesse passait à ce moment là et apercevait cette photo en gros plan sur l'écran, cela risquait d'être drôle.

 Je resserra un peu mes cuisses pour contrôler mon érection, écrasant ma verge gorgée de sang. Soudain, Annie se colla à moi. Je compris très vite que l'hôtesse était de retour et qu'il fallait jouer le jeu. Sa main vint rejoindre la mienne tandis que sa lourde poitrine dont je pouvais sentir une douce chaleur se dégager se colla à mon bras. Sa tête sur mon épaule, nous étions plus que crédibles. 

 Mon regard croisa celui de l'hôtesse un peu trop curieuse et je compris que nous avions oublié un détail pour être tranquille: la photo suggestive en plein écran.

 Je répondis à son regard noir par une moue gênée, puis elle tourna les talons.

-Décidément, elle ne pas vas nous laisser tranquille celle-là.

 La bosse de mon pantalon n'était qu'à quelques centimètres de la taille d'Annie, toujours collée contre moi malgré le départ de l'hôtesse.

 Pour avoir un peu d'intimité, j'appuya sur un bouton au centre de l'accoudoir, pensant que cela allait remonter la petite paroi nous séparant de l'allée. Il n'en fut rien, et à la place nos deux fauteuils commencèrent à ronronner et s'inclinèrent au ralenti.

 Je tenta de rappuyer sur le bouton pour le stopper,  mais le processus était enclenché et les fauteuils se transformaient petit en petit en un lit.

 En même pas une minute, nous étions à l'horizontal et la lumière se tamisa toute seule. Seul l'écran de son ordinateur sur lequel son corps transpirant l'érotisme était affiché.

-Décidément, même l'avion nous joue des tours! Terminons la séance photo et ensuite je demanderai à l'hôtesse comment redresser les fauteuils..

 La poitrine d'Annie reposait désormais sur mon torse, et ma main était coincée entre ses cuisses refermées. J'étais suspendu à son doigt positionné autour de la flèche de son ordinateur qui s'apprêtait à afficher une nouvelle photo. 

 A l'extérieur de l'avion, le ciel venait peu à peu s'assombrir, promesse de turbulences.

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L'aéroport / Re : Un long vol... En bonne compagnie. [PV]
« le: lundi 16 janvier 2023, 15:27:50 »
La jeune inconnue semblait agréablement surprise que j'accepte aussi rapidement de lui accorder la place à mes côtés. Il fallait reconnaitre que les hommes étaient bien faibles face au charme féminin. Je ne doutais toutefois pas avoir pris la bonne décision lorsqu'elle réajusta son haut, dont la poitrine semblait constamment vouloir s'échapper.
 
Elle disparut ensuite quelques minutes le temps de récupérer ses affaires. Lorsqu'elle réapparut enfin avec son sac, elle se faufila tant bien que mal devant moi pour rejoindre le siège côté hublot. A quelques centimètres seulement de mon visage, ses fesses rebondies me narguaient. Mon imagination me jouait des tours et je m'imaginais descendre son mini short pour découvrir ses fesses sublimées par son string blanc qui dépassait outrageusement sur ses hanches, et y parcourir ma langue.
 
Son passage devant moi fut malheureusement furtif et elle prit place à ma gauche, sortant sagement ses affaires pour s'installer.

Je suis sur que vous auriez fait la même chose pour moi!

Je fus un peu surpris par son tutoiement mais cela semblait bien correspondre à sa personnalité que je devinais particulièrement extravertie.

Moi c’est Bastien! Dans quel domaine es-tu employée pour avoir la chance de pouvoir travailler de n’importe quel continent ?

Je n’ai même pas eu le temps d’attendre sa réponse qu'une hôtesse de l’air surgit avec un air réprobateur.

Mademoiselle, ma collègue m’a indiqué que votre siège était en classe économique. Je vous remercie de le regagner immédiatement.

Il y a un malentendu…

Je baissa l’accoudoir central séparant mon siège de celui de ma charmante voisine et posa ma main sur sa cuisse.

C’est mon épouse.

L’hôtesse hésita, louchant sur la main de la jeune femme sans alliance.

Il y a eu un malentendu, mais je vous confirme que les deux places me sont bien réservées.

Elle se résigna à croire ma version.

Très bien… bon vol.

Elle tourna les talons mais je me doutais qu’elle n'était pas totalement convaincue.

Désolé j’ai du improviser ! A mon avis elle risque quand même de repasser pour vérifier que nous sommes bien en couple.

La paume de ma main épousait toujours la courbe de sa cuisse, au contact de sa peau d'une grande douceur, mes doigts posés sur l'intérieur de sa cuisse.

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Centre-ville de Seikusu / Garde à vue nocturne (PV)
« le: jeudi 15 décembre 2022, 21:00:43 »
Bastien venait de rentrer chez lui après une journée épuisante au travail. Il laissa tomber ses vêtements dans le salon et entra nu dans la salle de bain, se glissant sous l'eau brulante de la douche à l'italienne. C'est à ce moment là que son téléphone dédié aux urgences sonna.


-Mais c'est pas possible!


Furieux, Bastien sortit de la douche et attrapa le smartphone la main dégoulinante.


-Maître Hachimato, excusez-nous de vous déranger. C'est le commissariat central. Nous avons une jeune femme en garde à vue. Elle ne veut pas dire son nom mais elle dit vous connaître. Elle vous veut comme avocat.

 
Cela faisait bien longtemps que Bastien ne prenait plus de nouveaux clients et il était certain de ne défendre aucune jeune femme en matière criminelle. Cela l'intriguait quand même. Et si elle l'avait fait appeler, c'est que normalement elle avait de quoi s'offrir ses honoraires exorbitants.

 
-Très bien, je serai là dans 30 minutes.

 
Bastien termina rapidement sa douche et enfila un nouveau costume, bleu sombre. Il attrapa son attaché case et téléphona à son chauffeur qui pensait à tort sa journée terminée.


Une trentaine de minutes plus tard, Bastien poussa les portes du commissariat. Certains policiers le détestaient car il avait l'art de faire libérer les prévenus sur des nullités de procédure. D'autres l'admiraient secrètement. De son côté, Bastien s'en fichait totalement: seul lui importait de faire libérer son client, à tout prix. Il salua la policière en charge de l'enquête de sa cliente inconnue et parcouru un dédale de souterrains pour arriver dans une petite salle sans fenêtre avec en son centre une table et deux chaises. Il s'installa en attendant sa cliente: il avait droit à une heure en tête à tête avec elle loin des oreilles des policiers afin de la préparer à l'interrogatoire qui allait suivre.


La porte s'ouvrit finalement et il aperçut sa cliente. C'était certain, il ne la connaissait pas. Elle avait donc menti à la police. Surtout, il fut surpris par son jeune âge. Elle n'avait probablement même pas 20 ans. Il fallait reconnaitre toutefois que son physique était loin des femmes qui fréquentaient d'habitudes les cellules du commissariat et qui ressemblaient souvent à des joueurs de rugby. La jeune femme était de petite taille avec de longues nattes et surtout des formes à rendre fou n'importe quel homme.


-On ne se connait pas.. Et vu votre âge je doute que vous soyez en mesure de régler mes honoraires, je suis navré. Je vous invite à demander un avocat commis d'office. Et d'ailleurs, que vous est-il reproché?

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Salles de cours et bibliothèque / Re : Visite en terre inconnue (PV)
« le: jeudi 08 décembre 2022, 18:30:39 »
Les questions s'enchainaient à un rythme soutenu, Bastien n'avait pas fait le déplacement pour rien. Les interrogations étaient toutefois loin d'être toutes juridiques et s'éparpillaient un peu. Les élèves profitaient surement de l'absence de leur professeur et de son inexpérience à gérer une classe, pour notamment s'intéresser à sa situation personnelle. Il remarqua que presque tous les élèves avaient participé, sauf une jeune femme au premier rang. Derrière ses lunettes et ses cheveux noirs, il pouvait deviner une grande beauté pleine d'innocence. Elle soutenait son regard et l'écoutait attentivement. Contrairement à ses camarades qui prenaient la parole sans la demander, elle leva la main timidement. Il lui donna alors bien volontiers son attention. 

 
-Monsieur?... Quels sont les procédures à suivre pour poursuivre des gens? 

 
Après quelques secondes de réflexion, il apporta une réponse à sa question.


-La procédure pour poursuivre quelqu’un en justice est très complexe, c'est pour ca que la plupart des gens ont besoin d'un avocat pour le faire. Au Japon, cette procédure coûte malheureusement très cher... 

 

Il était gêné d'apporter cette réponse à la triste et timide jeune femme mais c'était la réalité. Sans un avocat et un compte en banque bien garni, il était illusoire de réussir à poursuivre quelqu'un en justice. Il se doutait toutefois que cette question la concernait directement. Peut-être était-elle-même en danger. Au fond de la classe, la grosse horloge murale affichait déjà qu'une heure s'était écoulée, il était presque 17h30. Il ne devait pas trainer s'il voulait être à l'heure à son rendez-vous galant de 19H de l'autre côté de la ville.


-J'espère que cette classe un peu particulière vous a plus. L'heure avance et je vais devoir clôturer mon intervention. Si l'un d'entre vous a des questions trop personnelles, il ou elle peut venir me voir librement. Pour les autres, je vous remercie de votre écoute et vous invite à sortir, la classe est finie!

 

Il s'adressait évidemment à la jeune femme du premier rang lorsqu'il proposait aux élèves de rester éventuellement. La plupart des élèves quittèrent d'ailleurs la salle en une poignée de minute, et il pu répondre brièvement à une ou deux questions. Bastien, assis au bureau du professeur, se retrouva alors seul avec la jeune femme brune qui manifestement voulait continuer à lui parler.

 
-Je suis désolé de ne pas avoir pu plus vous aider. Puis-je faire quelque chose de plus pour vous?

 

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