Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Seki Kusu

Pages: [1] 2
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Les alentours de la ville / Re : Viol avec un Kitsune [PV letyhs]
« le: mercredi 22 décembre 2021, 21:47:46 »
Bon le gamin était sérieux et ne jouait pas au psychopathe pour se donner un air. Lorsqu’il lui donna un autre coup de pied, Seki ne put rester debout. Il savait comment et où frapper pour faire mal. Son équilibre perdue, la jeune femme ne put offrir beaucoup de résistance, lorsqu’elle se retrouva traînée sur le sol. Le mordant de la lame sur sa gorge finit de la convaincre. Mais elle n’a pas le temps de répondre, que son visage se retrouve écraser contre le sol, à deux reprises avant qu’un coup de pied au niveau de son dos, lui arrache un gémissement de douleur. Son agresseur se désintéressant d’elle Seki, crache le sang qui coulait de sa bouche blessée. Elle passe sa main sur son visage afin de le nettoyer et retirer la terre qui s'y était collée suite sa rencontre avec le sol. La jeune femme tout à son nettoyage ne préta pas attention au sac qui se trouvait non loin et dans lequel le gamin fouillait. Un frisson parcourut la colonne vertébrale de la jeune femme, lorsqu'elle se demanda ce qu'il pouvait bien y chercher. Quoiqu'il en soit, Seki était de plus en plus convaincue que se soumettre pourrait être une bonne idée après tout.

La lame qui lui présente avait quelque chose de plus sinistre que l’épée. De toute façon, la jeune femme avait décidé qu’elle préférait le viol à la promesse de torture. Vu sa spécificité, son pouvoir, son choix lui paraissait le plus logique. Elle ne se voyait pas se vider de son sang, dans un état problématique, l’empêchant de rentrer chez elle, attendant que son corps se régénère. La torture, elle connaissait, tout comme la violence, mais toujours dans un cadre contrôlé, sécurisé. Par contre c'était la première fois qu'on lui adressait des mots aussi violent. Ces derniers finissaient de prouver la nature de son agresseur, un sadique, misogyne, en un mot une ordure. Ses mots avaient plus d'impact sur la jeune femme qui les agressions physiques qu'elle avait jusqu'à présent subie. Elle savait que les hommes la considérait pour la plupart comme un objet leur permettant de satisfaire leur désirs et fantasmes et elle l'acceptait d'une certaine manière. Après tout même Père avait abusé d'elle, même si ce n'était pas la raison première de l'expérience qu'il avait mené sur elle. Alors que les autres hommes, la coïncidèrent comme un objet sexuel n'avait rien de choquant. Mais la violence des propos, la désignation de son rôle. Les larmes qui se mirent à couler sur les joues de Seki avaient pour seule source ces mots ainsi prononcés.

Ne disant aucune parole et évitant de regarder son agresseur dans les yeux, Seki commença à se déshabiller. Elle accepta la claque, dans une posture de soumission, finalement nue, elle attendit que son bourreau choisisse ce qu’il désirait la voir faire. Son esprit s’était détaché de la situation, mais cela n’était nullement perceptible. Comme à son habitude, elle ne garderait aucun traumatisme suite à ce qui l’attendait au main de ce gamin dérangé.

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Gymnase en plein air et piscine / Re : Une histoire de vestiaire [PV Héraclès]
« le: vendredi 17 décembre 2021, 16:53:46 »
Douleur et plaisir, le cerveau de Seki était partagé entre ces deux sensations. Son ventre, son intimité, ses organes internes avaient été brutalisés, traités comme ils ne l’avaient jamais été. Mais à chaque coup de rein, la jeune femme ne pouvait retenir son plaisir, ce désir de se sentir possédée de la sorte. Tout chez cet homme était brutal, aucune douceur, la seule chose qui l’intéressait, était son plaisir propre sans se soucier de celui de la jeune femme. Lorsqu’il éjacula en elle, Seki ne put s’empêcher d’écarquiller ses yeux sous la surprise de la quantité de sperme qui était expulsée dans son intimité malmenée. Sous cette dernière son ventre se gonfla légèrement, avant que le surplus ne s’écoule de son vagin le long de cette colonne de chair qui continuait de la pilonner durant les secousses qui la parcourait durant l’éjaculation.

Lorsqu’il se retira d’elle, Seki se sentit vide, sensation qui augmenta lorsque la semence épaisse s’écoula librement. Sans les capacités du corps de la jeune femme, elle aurait certainement risqué une descente d’organe. Sans rien pour la retenir, la jeune femme se retrouva rapidement au sol, mais sous l’effet de la fatigue dut à son orgasme, elle glissa et se retrouva à genoux dans un mélange d’eau et de divers fluides, que le siphon de la douche avait bien du mal à faire disparaître. Un sourire apparut sur le visage de Seki, qui reprenait son souffle. Mais elle n’eut pas le temps de récupérer que l’homme vint lui plaquer fermement le visage contre ses couilles lourdes et massives. Devant l’ordre donné, elle resta quelque peu interdite, pourrait elle seulement accueillir cette hampe dans sa gorge. Totalement soumise la jeune femme commença le travail demandé.

Sa langue vint lécher le surplus de fluide encore présent sur la hampe de ce pilon de chair. Un frisson parcourut le corps de Seki, un frisson de plaisir légèrement masochiste. Cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas été soumise de la sorte, qu’elle n’avait pas rencontré un homme capable de s’imposer à elle de la sorte.  Lorsqu’elle parvint au niveau du gland, elle posa sa bouche au niveau de son sommet et fouilla le méat de sa langue. Puis plaçant ses lèvres autour de ce somment se mis à le sucer, aspirer ce qui restait de sperme dans cette hampe. Puis se doutant de ce qu’attendait l’homme, elle se déboîta la mâchoire afin de faciliter l’insertion de ce dernier dans sa bouche, centimètres par centimètres. Elle se positionna afin de faciliter la pénétration le plus profondément dans sa gorge, lorsque le gland massif vint s’approcher de son larynx. Un flot important de salive commença à napper cette masse de chair qui commençait à déformer la gorge détendue de la jeune femme. Seki ne tenta d’avaler complètement cette colonne puissante, préférant la libérer de sa bouche tout en aspirant toute trace de fluide sur cette dernière. Puis elle recommença  à avaler ce gland massif et la hampe de chair sur laquelle il trônait, l’enfonçant toujours plus profondément. Mais il allait lui falloir plusieurs aller-retours avant de pouvoir avaler totalement ce sexe imposant. Une de ses mains alla caresser, malaxer les couilles massives qui pendaient entre les jambes puissantes de l’homme. Elles étaient chaudes et lourdes, emplies d’une semence qui attendait d’être à son tour libérée.

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Les alentours de la ville / Re : Viol avec un Kitsune [PV letyhs]
« le: mardi 30 novembre 2021, 20:47:51 »
Seki courait aussi vite qu’elle le pouvait, son souffle était rapide, pas dans le bon rythme. Le stress d’une situation qu’elle n’avait jamais expérimenté, déréglait ce dernier, elle qui avait l’habitude de courir. Par chance, sa cheville ne la dérangeait plus et elle pouvait donner toute sa vitesse, mais elle perdit l’équilibre quelqu’un vint de la pousser. Surprise elle ne parvint à se rattraper et finit dans une chute douloureuse, qu’elle ne put même pas amortir ou accompagner. A peine son corps s’était-il allongé au sol qu’un coup de pied vint la frapper dans le côtes, lui coupant le souffle. Son cri de douleur s’échappe à peine qu’une main vint obstruée sa bouche. Seki commence à ressentir autre chose que le stress, la peur. Elle avait été habitué à la violence, mais cette dernière avait toujours été sous la supervision de Père ou encadrée par des membres du laboratoire. Celle dont elle était la cible n’avait rien à voir et ce que l’on ne comprend pas, ne connais pas nous fait peur. Malgré le fait qu’elle se savait immortelle, elle n’était insensible. Sur de nombreux points elle n’était que ce qu’elle paraissait être, une jeune femme tout ce qu’il y avait de plus normale. Elle ne comprenait pas les mots prononcés, non pas que son agresseur parlait une langue qu’elle ne maîtrisait pas, mais son cerveau était chamboulé par les hormones qui le noyait. La gifle la ramena un peu à la raison, la douleur qui irradiée de son visage venant s’ajouter à celle de ses côtes. Qui furent de nouveaux frapper,  coupant de nouveau la respiration de la jeune femme qui ne pouvait répondre pour le moment. Des larmes commencèrent à perler sur ses joues. Alors qu’il semblait ne plus s’occuper d’elle, Seki essaya de se relever, mais une douleur au niveau des côtes la stoppèrent, sous l’effet des deux coups ces dernières s’étaient fêlées et signifiaient qu’il leur fallait du temps pour s’en remettre.  Malgré tout, la jeune femme mis à profit les quelques secondes qu’il lui laissait pour observer son agresseur. Il est petit, voila ce qu’elle pensa, il n’avait rien de menaçant, de dominant dans sa stature. Il devait être un peu plus petit qu’elle et ne semblait pas posséder une masse musculaire puissante. Peut être même qu’elle était plus forte que lui.
 
Lorsqu’il pointa la lame de son épée vers elle, lui ordonnant de se déshabiller, elle faillit éclater de rire. Même le ton de la voix, cette violence que l’on pouvait percevoir, n’était pas suffisante pour que la jeune femme se soumette … «  Tu as quel âge ? Tu n’est pas un peu jeune pour jouer aux méchants ? » … On ne pouvait pas dire si Seki se moquait de la personne qui lui faisait face, mais il était certains qu’elle ne le prenait pas au sérieux ou que la peur qu’elle avait put ressentir avait disparut. Ignorant la douleur qui irradiait de ses côtés, elle se redressa lui faisant face prête à l’affronter. Certaines personnes pourraient dire qu’elle n’avait pas d’instinct de survie, ce qui n’était pas totalement faux. Mais que voulez, cet instinct apparaît chez les être qui craignent la mort ou les répercussion de la violence à leur encontre. Seki savait que tout cela ne la concernait pas ou du moins était temporaire, de plus les manipulations mentales dont elle avait été victime durant ses années en tant que cobaye avaient fait disparaitre ce dernier. Comment voulez-vous sinon qu’elle se soumette à des expériences ayant pour but de tester son immortalité et sa capacité de régénération de son propre chef.

4
L’Homme parut quelque peu surpris par la réponse faite, mais cela n’avait rien d‘étonnant. Qui accepterait de satisfaire tous les désirs d’un être dont le corps était aussi puissant. Une personne ayant perdu tout sens commun ou avec un esprit des plus déviant. Seki n’était ni l’une ou l’autre de ces personnes. Elle savait que quoiqu’il arrive, cela ne sera pas grave, qu’elle ne garderait aucune séquelle aussi bien physique que psychique. La jeune femme laissa apparaître un léger sourire devant la remarque faite en réponse aux mots qu’elle avait prononcé.

Lorsqu’il la positionna, plaçant les jambes de Seki autours de sa taille et plaquant cette dernière contre la paroi de la douche, celle-ci se rendit compte de la différence de taille. Son visage se trouvait au niveau du torse de l’Homme, elle leva ses bras pour attraper ses épaules et s’y cramponner. Lorsqu’elle sentit le gland monstrueux écarter ses lèvres intimes, elle se mordilla les lèvres et retint sa respiration. Lorsqu’il la pénétra dans mouvement ravageur et puissant, elle ne put retenir un cri de douleur, son visage se levant vers le plafond. Son corps se serait cambré si il l’avait put, mais bloqué entre le buste puissant et le mur, il ne pouvait que subir. Ses mains se crispèrent sur les épaules puissantes, sans y faire la moindre marque. Beaucoup aurait perdu connaissance, sous la douleur et le choc de subir une telle pénétration. Mais le regard de la jeune femme sembla s’éclaircir au contraire, comme si elle avait été sortie de son état précédent. Sous la force des coups de riens, et son vagin ne pouvant accueillir toute la longueur de cette queue sans subir des lésions, son visage se retrouva presque à hauteur de celui de l’homme qui la baisait sans pitié. Une langue avide et puissante vint envahir sa bouche, étouffant tout cri ou son que Seki pourrait émettre. Seul les grognement de cet Homme et le bruit que faisait son sexe en pénétrant celui de la jeune femme était perceptible dans cette douche. L’Homme avait un comportement presque animal, lui mordant les lèvres faisant saigner ces dernières, avant de lui lécher le visage. Seki avait répondu à ce baisé avec une avidité contagieuse.

Lorsqu’une de ses mains, vint malaxer l’un de ses seins, de nouvelles vagues de plaisirs et de douleur vinrent s’échouer sur les rives de son esprit. Son ventre se déformait sous chaque poussé, mettant à mal les muscles abdominaux de Seki. Bloquée comme elle était, elle n’avait aucune chance de glisser et une de ses mains, vint se placer contre ce ventre endolori afin de le caresser, mais aussi sentir sa déformation. Puis descendant légèrement, entre le nombril et son clitoris qui était sortit de son capuchon, elle augmentant la pression qui s’exerçait sur sa paroi vaginale. Son téton tiré, envoyait des ondes de douleurs mélangeait à une touche de plaisirs. Seki sentit les contractions musculaires de l’Homme, les pulsations dans la hampe qui avait pris possession de son vagin … « Vous (moam) pouvez éjaculer (moam) en moi » … Sentant l’Homme être sur le point de jouir, le cerveau, le corps de Seki avait accéléré la montée de son désir, dans le but de satisfaire celui qui la possédait totalement, aussi bien physiquement que mentalement. Sous la puissance écrasante de cet Homme, le conditionnement de Seki agissait à plein régime. Elle acceptait le fait que cet Homme pourrait jouir de son corps, d’elle, de toutes les manières qu’il le désirerait.

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Les alentours de la ville / Viol avec un Kitsune [PV letyhs]
« le: dimanche 28 novembre 2021, 17:59:34 »
Seki avait passé une journée assez épuisante nerveusement, Tout ce qu’elle avait tenté de faire avait finit par tourner à l’échec. Elle avait vu un joli ensemble dans une boutique, mais le dernier modèle venait d’être vendu. Le fast food qu’elle fréquentait, avait dut fermé suite à des évacuations bouchées et donc elle n’avait put se réconforter avec leur menu spécial. Mais si il n’y avait eu que cela, sur le campus elle s’était pris la tête avec un garçon qu’elle ne connaissait pas et qui s’était montré un peu trop entreprenant. En plus ce dernier devait être plus jeune qu’elle. En cours, elle avait été surprise en train de dormir et avait écopé de ménage des salles de cours, à la fin de ce derniers. Ce qui expliquait que la journée touchait à sa fin lorsqu’elle avait pris le métro pour rentrer. Et pour ne pas améliorer sa journée, elle avait eu le sentiment que quelqu’un la suivait, ce qui avait finit de mettre ses nerfs à l’épreuve. Par chance, elle n’eut pas à faire à un frotteur, alors qu’elle avait dut rester debout tout le long du parcours. Elle ne comprenait pas pourquoi, mais certains hommes semblaient ressentir le besoin de se frotter au cul des filles. De plus vu qu’elle portait encore l’uniforme de l’établissement scolaire, les chances d’attirer un de ces pervers étaient augmenté.

Il lui restait encore plusieurs minutes de marche avant de parvenir à la maison qu’elle occupait. Cette dernière était un peu isolé par rapport au reste du quartier et elle devait passer près d’un bois pour arriver. Avec l’obscurité qui tombait sur la zone, Seki commença à ressentir un malaise, sa fatigue et son état nerveux devait jouer sur ce qu’elle ressentait. Sans parler du fait qu’un sadique errait dans les rues de la ville. Le quartier où vivait la jeune femme était éloigné de la ville, donc aucune chance qu’une telle personne vienne jusqu’ici. Elle crut distinguer une silhouette furetant autours de sa maison, mais celle-ci disparut. La jeune femme pensa que cela devait être un jeu de son esprit et de l’obscurité ambiante. Deux lampadaires ne marchaient que par intermittence, créant des jeux d’ombre. Seki poussa la porte de chez elle, se débarrassa de sa veste et jeta son sac sur le canapé avant de se diriger vers la cuisine. Elle portait l’uniforme de l’école, il ressemblait à tous les uniformes, Seki avait par le rajout d’une paire de bas blancs montant à mi cuisse, juste sous la limite de la longueur de la jupe. Elle s’était déchaussée peu avant et apprécier la fraîcheur du sol. A travers une fenêtre dont les rideaux n’étaient pas tirés, elle aperçut une silhouette se glisser dans le jardin de  la maison. Son cœur accélérer d’un coup et un filet de transpiration coula le long de sa colonne vertébrale. Il essaya de se convaincre que ce n’était qu’une ombre, rien de plus, mais quand la porte fut forcée, elle ne put plus douter. Son corps réagit de lui même cherchant un moyen de fuite, elle se dirigea vers l’escalier menant aux chambres. Son corps se mouvait avec souplesse et détermination, alors qu’elle apercevait la silhouette rentrer dans le salon. Étrangement, elle nota que cette dernière n’était pas impressionnante, presque petite. Quoiqu’il en soit, elle gravit les marches quatre à quatre. Elle se disait que son possible agresseur, allait la suivre et s’attendre à ce qu’elle se réfugie dans l’une des chambres. Mais au lieu de cela, elle opta pour un autre plan. Elle s’engouffra bien dans sa chambre et claqua la porte. Mais au lieu de rester immobile, elle ouvrit la fenêtre de cette dernière et après quelques longues secondes sauta par celle-ci. Elle n’était pas une acrobate et se brisa la cheville. Une douleur apparut sur son visage, mais Seki se releva et commença à courir ignorant sa blessure.

Lorsqu’elle passa devant la porte fracturée, elle eut la mauvaise surprise de constater que la silhouette n’était pas monté. Elle ne put s’empêcher de lâcher un petit cri de douleur, lorsque déstabiliser par cette surprise elle s’appuya de tout son poids sur sa cheville en cours de réparation. Elle se mis donc à courir, son but rejoindre le quartier plus résidentiel, derrière le bois. Seki courrait régulièrement ce qui fit que malgré sa cheville, elle pensait pouvoir distancer son assaillant. Avec cette certitude, elle pris le chemin y menant, elle pouvait percevoir l’orée de ce dernier et qui sait pourrait y perdre celui qui avait forcé la porte de sa maison. Sa cheville était rétablie alors qu’elle pénétra dans le bois, c’est alors qu’elle sentit la présence proche d’un prédateur qui fondait sur elle. Par réflexe elle se retourna afin d’y faire face et fut soulagée de voir le gabarit de ce dernier. Elle ne montra nullement le soulagement qu’elle venait de ressentir, juste qu’elle n’allait pas fuir.

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Prélude / Re : Une sirène qui casse un peu les codes... [Re-Vanéalidée !]
« le: vendredi 26 novembre 2021, 13:33:30 »
bienvenue à toi

7
Gymnase en plein air et piscine / Re : Une histoire de vestiaire [PV Héraclès]
« le: mercredi 24 novembre 2021, 20:22:12 »
La violence des assauts que son vagin subissait diminuèrent, puis elle sentit le massif mandrin se retirait d'elle. Ce dernier ne sortit pas complétement, mais la pression que ses organes internes subissait cessa. La différence de taille, entre eux deux, n'aidait pas à la manœuvre. Puis la retournant afin de lui faire face, il la soutint en lui levant les bras, poignets serrés dans une seule de ses mains. Le corps de cet homme était l'incarnation de la puissance et le fait qu'il pouvait la soutenir de cette manière sans forcer le démontrait. En la soulevant et la tenant ainsi il parvint à se dégager. Un bruit se fit entendre alors, léger, obscène, rappelant que le vagin de la jeune femme avait été totalement rempli par ce sexe. Les fluides vaginaux recouvraient l'épaisse colonne de chair, coulant le long de cette dernière jusqu'à se perdre dans les poils de la toison épaisse qui se trouve à sa base. Du vagin libéré, quelques gouttes de ces fluides allaient se mélanger à l'eau qui s'évacuait. Seki sentait que les muscles de son vagin, se contractaient au rythme des pulsions du désirs et plaisirs qui parcouraient son corps et son cerveau. Ses muscles abdominaux suivaient le même rythme, eux aussi avaient été maltraités. Elle avait eu l'impression que sous la pression de ce sexe qui l'avait pilonné, son ventre s'était déformé. Même son anneau anal avait des contractions, sous l'effet du plaisir et du désir qui se mélangeait. Lorsqu'elle croisa son regard, le peu de résistance qui lui restait s'évaporait. Les mots qu'il prononça enflammèrent dans son esprit le désir de sentir ce tronc la pénétrer sans retenue, s'enfonçant en elle quitte à la déchirer de l'intérieur. De toute façon, cela ne la tuerait pas et son corps finirait par s'en remettre.

Lorsqu'elle lui avait dit ces mots, qu'il allait la briser,  ce n'était pas totalement dans le but qu'il s'arrête. De plus elle parlait plus de son esprit qui faute de pouvoir se fermer, de pouvoir s'éteindre, en voulait de plus en plus. Malgré sa brutalité, il n'avait pas poussé son corps dans les extrémités de ses limites. Même si il n'avait pas de capacités de résistance particulières, la tonicité de sa musculature, sa souplesse et celle de son corps, ainsi que les expériences qu'elle avait subit, lui avait conféré une certaine résilience à ce genre de traitement.

La question la laissa sans réponse, elle n'avait pas l'habitude que l'on la pose. Tous les hommes ou personnes qui avaient jouit de son corps ne s'en n'étaient jamais préoccupés, prenant leur plaisir et la laissa là, une fois qu'ils en avaient finit. Mais aucun d'entre eux pouvaient tenir la comparaison avec lui dans les domaines de la puissance et du gabarit. Si le regard de l'homme était perçant le sien montrait son état mental et dans quel était brumeux il se trouvait. Puis elle se rendit compte que les contractions qu'elle ressentait, resserrait son vagin afin qu'il retrouve ses dimensions originelles. Reprenant son souffle et dans un sourire soumis, les mots sortirent de sa bouche, presque instinctivement. Le conditionnement dont elle était victime, qui la poussait à se soumettre aux désirs des puissants, était en partie responsable de sa réponse ... " comme bon vous semble, tout mon corps appartient à votre plaisir ". Dans le brouillard de son esprit, une question se posa, pourrait elle l'accueillir dans son autre canal intime ? Le fait qu'il puisse réellement la briser, physiquement et mentalement, avait disparut de son esprit. Elle ne désirait qu'une chose satisfaire tous les désirs de cet homme et les conséquences n'avaient aucune importance.

8
Le comportement et la réponse de son hôte surpris quelque peu la jeune femme. Il faut lui reconnaitre qu'en matière d'expérience avec les hommes, Seki n'avait pas été gatée. Pour la plupart ils ne voyaient en elle que, soit un sujet d'expérience, soit un moyen de satisfaire leurs fantasmes les plus ordinaires aux plus malsains et violents. De plus, elle ne cherchait à satisfaire un quelconque désir ou satisfaction. N'était-ce pas ce qu'il désirait, sinon pourquoi l'avoir ramené chez lui. Le fait qu'il s'intéressait à Omcorp, du moins qu'il connaissait le nom de la maison de Père, ne signifiait il pas qu'il désirait cela de sa part ? Elle ne voyait pas cette personne qui s'était montré gentille avec elle désirer faire des expériences sur elle. Quoiqu'il en soit, elle n'allait pas faire marche arrière, surtout que sa proposition avait été acceptée. Il était malpoli de revenir sur une offre faite, cela aussi Père le lui avait appris.

Cependant, quelque chose était différent chez lui. Non pas que son physique était particulier, on pourrait même dire qu'il était dans ce que l'on pouvait appeler les canons de la beauté masculine. Mais son corps sembla différent, une différence qu'elle n'avait pas remarqué au premier abords, mais ne venait-il pas pour la première fois respirer et sa peau n'avait-il pas sembler changer de teinte. La jeune femme était perplexe, mais n'eut pas le temps de se poser plus de questions, que les lèvres de son hôte vinrent se poser au creux de son coup pour y déposer un délicat baiser. Tout dans le comportement de ce dernier semblait attentionné. Seki n'était pas habitué à cela, les hommes qu'elle avait connut, avaient l'habitude de se montrer plus violent, plus direct dans leur approche. Ne sachant comment réagir, elle se laissa faire. Ce qui est différent n'est pas forcément désagréable et la sensation sur son sein le démontrait.

La respiration de la jeune femme s'accéléra quelque peu, tout comme son rythme cardiaque amenant un peu de rouge sur certaines parties de son corps. Ce qu'elle ressentait, lui faisait penser au plaisir qui lui arrivait de se donner. Mais il manquait quelque chose pour que sa libido se réveille. Elle avait rapidement pris conscience que pour qu'elle puisse pleinement jouir du plaisir charnel, il lui fallait se sentir dominé. Pour l'instant elle n'avait connu quasiment que la domination physique, obtenue par la violence. Même si avec Père, celle-ci pouvait se montrer plus pernicieuse, plus mentale que physique. Mais le résultat finissait toujours pas être le même, brutalité, violence, soumission physique. La violence et la brutalité n'étaient pas les déclencheurs de son plaisir, alors que la soumission en était le fondement. Mais peut être qu'elle découvrirait quelque chose de nouveau et ayant le même résultat. Quoiqu'il en soit la prévenance de cet homme était quelque chose nouveau. Elle aurait put se laisser porter et attendre, mais elle se demandait si cette retenue n'était pas feinte. Peut être avait-il peur de la blessée, malgré le fait qu'il avait remarqué sa particularité " Vous savez, vous n'avez pas besoin de vous retenir ". Cette phrase était le fruit, de ce que certains appellerait déviance et du fait qu'elle voulait se montrer gentille avec son hôte, pensant qu'il pouvait être timide ou délicat. Elle n'avait nullement conscience de la raison de ce comportement et de la nature de celui qui caressait délicatement sa poitrine.

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Gymnase en plein air et piscine / Re : Une histoire de vestiaire [PV Héraclès]
« le: vendredi 19 novembre 2021, 13:51:17 »
Le temps sembla se suspendre dans l'esprit de la jeune femme, elle resta là immobile alors que cet amas de testostérones, de puissance, tournait autours d'elle tel un prédateur. Père avait instiller en elle, ce sentiment de devoir se soumettre face à l'autorité quelque soit sa forme. La soumission sexuelle n'était peut être qu'un effet annexe, non recherché, mais il en avait profité et l'avait rendu prégnant dans la personnalité de Seki. Peut être qu'il n'avait pensé qu'à ses propres intérêts et non au fait que son exclave sexuelle, sa poupée lui soit retiré et envoyé dans le monde. Un monde dans lequel il ne pourrait pas la surveiller, la contrôler et dans lequel elle risquait de se trouver confrontée à des situations de soumission.

Quoiqu'il en soit la jeune femme n'en avait pas conscience, elle se rappelait juste de ce désir qui s'éveillait en elle devant la présence d'une autorité. Ce n'est pas pour autant qu'elle se transformait en une chienne lubrique, comme l'avait définit un autre scientifique qui avait abusé d'elle. Mais à cet instant, elle était encors sous le coup de ce plaisir incomplet qu'elle s'était donnée. Sans parler du fait de celui qui la regarder, avec désir. Un désir qui était presque matérialisé. Seki avait la sensation du contact de l'autre, alors que ce dernier ne l'avait pas encore touché. Lorsqu'il vint se placer devant elle, presque à la toucher, elle put se rendre compte de sa masse, de son gabarit. Jamais elle n'avait rencontré homme aussi impressionnant, dominant, physiquement. Le contact de son doigt sur son corps, créa sur sa peau comme une brulure. Son regard ne put s'empêcher de se poser sur l'imposante colonne de chair qui s'était dressé et de l'inquiétude pointa dans son esprit ... " Ce n'est pas possible, ça ne rentrera jamais ". Elle ne se rendit compte qu'elle avait reculé sous la seule pression de ce doigt sur sa poitrine lorsque son dos vint se coller au mur de la douche. Le système automatique de la douche s'activa et l'eau tomba en cascade sur leur corps.

Au moment ou la main se referma sur sa gorge, elle tenta de résister dans un effort inutile. Inutile car elle n'avait pas la puissance nécessaire pour s'y opposer, inutile car son esprit avait accepté ce qui allait se passer, inutile car son corps répondait déjà au désir que sa situation avait rallumé. la brutalité dans les rapports sexuels étaient quelque chose qu'elle avait déjà connut, et si son esprit n'en gardait pas de souvenirs vivace, son corps lui s'en rappelait et l'acceptait. Il la retourna, libérant sa gorge, sa main libre vint lui soulever une jambe y enfonçant ses doigts. Elle en ressentit de la douleur ce qui apparut sur son visage, alors qu'elle sentait la hampe de chair venir frôler son intimité, une main vint brutalement pétrir l'un de ses seins. Sentant le désir gagner de plus en plus l'homme, percevant encore plus sa brutalité, Seki tenta de le convaincre de se montrer doux ... "C'est très gros vous allez me faire mal ". Mais avait elle à peine finit sa phrase que l'énorme phallus la pénétra sans ménagement, occupant tout l'espace disponible. Il vint heurter le fond de son utérus, le dilatant brutalement. Aucun son ne sortit de la bouche grande ouverte de Seki, mais la douleur était perceptible sur les traits de son visage. Ses yeux s'étaient écarquillés et devenaient humide. Mais comme il l'avait remarqué, Seki était déjà humide, lubrifiée, ce qui avait facilité la pénétration. Si cet homme était banal dans ses dimensions, cette pénétration aurait put être agréable. Mais le mandrin de chair qui lui ravageait l'intérieur de son intimité n'avait rien de banal. A chaque coups de butoir, qu'il donnait, elle avait l'impression que ses organes internes se déplaçaient pour accepter ce corps étranger qui la pénétrait.

Si son esprit essayait de résister au flot d'hormones que son corps générait pour répondre à la douleur, mais aussi au plaisir. Son corps lui répondait aux assauts qu'il subissait, lubrifiant l'intérieur de ce vagin malmené. D'une main elle essaya de ralentir, de contrôler ces allées et venues. Mais elle était trop petite, trop faible et puis un certains plaisir se faisait ressentir se déversant en vague de plus en plus puissante, accompagnant le rythme des pénétrations. Elle pensa qu'à ce rythme elle allait perdre pied, perdre connaissance, ceci aurait peut être arrêté l'homme. Mais cela ne se passa pas, tout comme le fait que son corps encaissait les assauts sans faiblir. Pire son vagin semblait se resserrer autours de la hampe qui le malmenait. Sous la puissance des coups de butoir, Ski se retrouvait maintenant le buste contre la paroi de la douche, sa poitrine écrasée contre elle à chaque pénétration... "vous * Hum * allez me briser ". Il lui était difficile de parler dans sa position, sans oublier la douleur et le plaisir se mélangeant et s'exprimant par des petit cris entre ses mots.

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La réponse vint, elle était des plus logique, en effet qui coucherait une jeune femme avec des vêtements ensanglantés sur un lit au drap de soie. Peut être était ce dut au ton de la réponse ou au fait qu'il semblait prendre en compte la réaction de la femme de ménage, quoiqu'il en soit Seki ne se sentait pas en danger. Elle profita du temps que mis son hôte à venir à elle pour mieux observer son environnement. La faible luminosité pouvait la rendre méfiante, mais cela ne fut le cas. Le fait que les fenêtres soient closent et qu'elles ne laissaient aucune lumière passer, l'interrogeait mais sans plus. Lorsque son hôte se rapprocha, Seki perçut quelque chose, il se dégageait de lui comme une odeur, une sensation, à la fois de danger, de pouvoir, mais aussi autre chose. Il était clair qu'il était un homme de pouvoir, ou du moins qu'il avait les moyens financiers suffisant pour avoir du pouvoir, la preuve cette chambre. La jeune femme ne put s'empêcher de suivre du regard, les moindres gestes de ce dernier. Mais le plus captivant était son regard qui semblait briller. Elle sursauta lorsqu'elle sentit le doigt se poser sur son ventre, juste à l'endroit où sa blessure devrait se trouver. Puis il pris la parole et Seki sentit une sueur froide couler le long de sa colonne vertébrale.

Elle savait, même si ce n'était pas clair, que Omcorp ne l'avait pas laissé partir comme cela, elle ne s'attendait pas à retomber dans leur main si rapidement. Non pas que la jeune femme avait peur de ou quoique ce soit, mais elle commençait tout juste à goûter à la liberté et y prenait goût. Maintenant qu'elle s'était libérée, si on peut dire, de l'emprise de son regard, elle s'aperçut que ce dernier était assez similaire à celui que portait certains scientifiques du centre dans lequel elle avait vécut. Même si les paroles qu'il prononça par la suite aurait dut la rassurer, il n'en fut rien. Seki ne savait rien sur Omcorp, elle se rappelait juste que c'était la société pour laquelle Père travaillait et qu'elle leur devait d'être en vie.

Devant la proposition d'une collation, Seki regarda l'assiette avec surprise, se rendant compte de sa présence pour la première fois. Elle devait reconnaitre qu'elle commençait à ressentir une sensation de faim, elle n'avait pas pris la peine de manger avant d'aller faire son footing et son dernier véritable repas devait remonter à plusieurs heures. Notre belle amie, pris l'assiette et commença à grignoter son contenu avec plaisir. Sa capacité ne puisait pas dans ses réserves ou ressources, de ce fait elle n'avait pas besoin de remplacer l'énergie dépensé. Ce fait avait intrigué Père, mais il avait pris cela avec satisfaction, comme une preuve qu'elle était exceptionnelle. Seki n'avait pas compris que la satisfaction de ce dernier n'était pas lié à elle, mais à sa réussite à lui. Pour revenir à son hôte, Seki lui offrit un léger sourire et cacha sa bouche constatant qu'elle était entrain de manger. Père lui avait bien enseigner qu'il était malpoli de manger la bouche ouverte ou de parler la bouche pleine. Concernant ce dernier point, elle se rappelait qu'il était difficile, voir impossible, de le faire dans certaines situations de toute manière. Mais cette situation bien précise n'était pas celle dans laquelle elle se trouvait pour l'instant ... " Que comptez-vous faire de moi ? Vous savez je ne suis pas quelqu'un de si intéressant que cela. Mais Père m'a appris qu'il fallait se montrer gentille avec les gens en retour d'une gentillesse, donc si je peux vous être agréable en quoique ce soit n'hésitez pas ". Le sous-entendu sexuel n'était pas dissimulé, surtout dans sa posture et le fait qu'elle commençait à défaire les boutons de sa chemise. Elle se doutait bien qu'un homme si précautionneux que son hôte ne voudrait pas salir ou abimer un si beau vêtement.

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Lorsqu'elle s'était allongée, son esprit avait commencé son reboot, la laissant dans un état de semi-conscience, son corps pouvait bouger, mais son esprit n'était pas au commande. Elle pouvait percevoir son environnement mais juste de manière instinctive. Elle ne perçut rien de la mise à mort de ses agresseurs, quand à ses sauveurs, elle ne pouvait que ressentir leur présence. Lorsque l'un d'entre eux la souleva, elle essaya de le repousser, mais elle manquait de force. Son corps décida de se laisser faire, attendant que sa blessure soient guérie et qu'elle retrouve pleinement conscience.

Seki emmargea de son état, dans l'obscurité, ce qu'elle sentait sur sa peau n'avait rien de commun avec ce dont elle avait l'habitude. Seki n'avait jamais été habitué au luxe, elle n'avait connut que la texture du coton ou du synthétique. Elle crut dans les premières secondes avoir perdu la vue, ce qui était impossible techniquement. Mais dès qu'elle essaya de se lever, la lumière se fit. Elle se trouvait dans une pièce inconnue au luxe tapageur, du moins d'après ces critères et ces derniers étaient assez bas. Pour une raison qu'elle ignorait les fenêtres étaient fermées et aucune lumière ne les traversait. Il lui fallut quelques instants pour remarquer la personne assise étudiant des documents. Mue par un réflexe, elle se redressa, s'agissait-il d'un nouveau teste, d'une expérience que voulait mener Père ? Comprenant qu'il ne s'agissait pas de cela, Seki laissa apparaitre une expression d'incompréhension sur son visage. Puis elle prit un peu plus de temps pour étudier son environnement et l'homme sans quitté le lit. La première question qui lui vint, concernait le comment elle se retrouvait ici. la dernière chose dont elle se souvenait était qu'elle était rentrée dans le sous-bois et qu'elle avait été blessée. Mais elle ne se rappelait plus avec exactitude le déroulement des évènements. Après tout, si elle devait se rappeler de toutes les fois où elle avait été blessée, sa mémoire serait saturée. Donc elle décida d'ignorer sa blessure, d'ailleurs elle ne vérifia pas les possibles séquelles ou traces de cette dernière. Puis une seconde question lui vint à l'esprit et ce fut celle-ci qu'elle posa ... " Où se trouve mes vêtements ? ". Ce n'est pas qu'elle tenait particulièrement à ces derniers, mais on les lui avait chaudement recommandé, ils devaient donc avoir un intérêt quelconque. Le ton de sa question était assez neutre, aucune trace de craintes ou d'inquiétudes. Si elle avait été kidnappée, elle découvrirait assez vite pourquoi et par qui. De plus considérant qu'elle n'avait aucune valeur, son kidnappeur se débarrasserait d'elle rapidement. Mais les kidnappeurs sont-ils tous des gens riches, séduisant, traitent ils leur victime avec assez d'égard pour couvrir son corps avec de la soie, après les avoir déshabillés ?

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Gymnase en plein air et piscine / Une histoire de vestiaire [PV Héraclès]
« le: vendredi 12 novembre 2021, 19:05:29 »
La pratique du sport est une des rares activités que Seki pratique avec un certain plaisir. Pas tous les sports, les sports en équipe ne l'attirent que peu, mais la pratique du fitness est quelque chose qu'elle apprécie. Pouvoir être seule, concentrée sur ses mouvements, sur quelque chose qui lui permet d'ignorer, sans forcément vexer, les autres. Bien sur, une belle jeune femme risque de temps en temps d'attire l'attention d'hommes, qui se croient dans l'obligation de venir lui expliquer comment se tenir pour tel ou tel exercice. Seki n'est pas une pro du fitness, mais étant donné qu'elle en apprécie la pratique elle s'est montrée plus qu'attentive lorsque le responsable de la salle lui a expliqué quels mouvements faire et ceux à éviter. Donc elle n'a pas besoin de l'assistance de ces hommes. D'ailleurs son comportement fait que dans la plupart des cas, ces derniers finissent par la laissé.

Cela faisait 2 heures que Seki transpirait, sur les engins de torture, qui devaient lui permettre de garder sa silhouette el raffermir ses fesses et abdominaux. En toute honnêteté, la jeune femme n'en avait nullement besoin. Mais la dépense d'énergie, la mettait dans un état de léthargie, fatigue, qui lui arrivait d'apprécier. Ou bien était-ce seulement le fait des hormones que son corps générait. Peu importe, après l'effort un autre réconfort, la douche. La salle était presque vide, il ne devait rester que quelques personnes, tous des hommes. Notre belle amie, se dirigea vers les vestiaires réservés aux femmes. Elle fut accueillit par le silence, on pouvait entendre au loin, le bruit des quelques appareils encore utilisés. Le système de ventilation avait dut s'arrêter ou était en panne, on pouvait ressentir une certaine humidité, du à la chaleur et aux douches incluses dans le vestiaire et que rien ne séparait. Cette atmosphère augmenta la léthargie que Seki ressentait, une bonne douche lui ferait du bien.

Lorsque le jet d'eau chaude vint frapper son corps, elle se détendit. Ses mains enduites de savon, commencèrent à parcourir ce dernier, puis sans qu'elle ne s'en rende compte à le caresser, soupeser sa poitrine, ses fesses. La lassitude dut à l'effort se transformait peu à peu en lascivité. Quel mal y avait-il a ces caresses, elle ne dérangeait personne. Sa main vint se glisser dans son entre-jambe, avant que de ses doigts elle écarte délicatement ses lèvres intimes. Son pouce vint à la rencontre de son clitoris, le caressant par de petits mouvements circulaires. Puis elle se fit plus audacieuse et deux de ses doigts se glissèrent dans son intimité. Son autre main, vient jouer avec sa poitrine et ses mamelons qui se dressaient légèrement. Il ne fallut pas longtemps pour que se doigts qui s'étaient glissés en elle imprime un mouvement de va et vient tout en appuyant vers l'extérieur par moment. Un léger orgasme s'annonçât au bout de quelques minutes. Seki ne chercha pas à le faire grandir, elle n'était pas chez elle et l'onanisme n'était pas une pratique à laquelle elle se livrait couramment. Peut être aurait elle dut chercher à aller plus loin, se libérer de ce sentiment de lascivité toujours présent.

Alors qu'elle sortait de la douche, nue, sa serviette à la main et eut la surprise de tomber sur un homme. En temps normal, elle se serait demandé ce que cet individu faisait là. Mais elle n'était pas tout à fait dans son état naturel. D'un elle avait encore en elle un désir pas totalement éteins, de plus celui qui se trouvait devant elle était, comment dire une incarnation de la puissance masculine. Il se dégageait de lui des effluves qui auraient dut la dégouter, mais venant de lui c'était un autre sentiment qu'elle ressentait. Au fond d'elle, dans cette partie de son cerveau dans lequel réside l'instinct primaire, quelque chose s'activa, elle voulait se soumettre à cet homme, ce soumettre aux envies et besoin de cet homme. Son regard, son attitude, la rougeur sur son visage et certaines parties de son corps n'avaient rien à voir avec la chaleur du lieu. Inconsciemment, elle entrouvrit sa bouche, avant de se mordiller la lèvre inférieure. Sa posture changea légèrement, tout comme son attitude, appelant celui qui lui faisait face à la prendre. Entendons nous bien, elle ne s'était pas mise à quatre pattes ou n'avait pas écarté les jambes, cela était bien plus subtil, mais le message était le même.

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La soirée s'annonçait agréable, le ciel dégageait offrait une vision claire de la voute stellaire. Les myriades d'étoiles scintillantes qui apparaissaient avec la disparition de lumière de l'astre solaire, appelait aux promenades romantiques. Mais il n'y avait rien de romantique dans la raison de la présence de la jeune femme dans les contres allées du parc de la ville. Seki avait besoin d'être seule, elle avait passé la journée à l'université et avait dut participer à un travail en groupe, ce qui lui demandait un certain effort, pour simuler de l'intérêt pour ses camarades d'étude. La jeune femme avait découvert que le sport était un bon moyen de se couper des autres, et la course à pied peut être le plus efficace avec la natation. Mais ne sachant pas vraiment nager, la jeune femme ne se voyait tenter de faire des longueur ou rester sous l'eau. Le jogging dans le parc, qui plus est en début soirée, lui offrait cet oasis dont elle avait besoin. Dans ses premiers essais, quelques joggers avaient essayait de lui parler, de lui tenir compagnie. Depuis, elle avait opté pour un lecteur MP4, de plus en joggant elle se concentrer sur son rythme et la cadence de sa respiration. Le cumul de ces pratiques la coupait totalement de son environnement. Il n'y avait rien d'anormal alors qu'elle ne remarque pas le trio de silhouettes plus ou moins avachies sur l'herbe, lorsqu'elle passe à quelques mètres d'eux. 

Ces derniers l'avaient remarqué, ce n'était pas la première fois qu'elle les croisait, sans jamais leur prêter la moindre attention malgré leur tentatives maladroites. Si elle ne le remarqua pas, elle ne put distinguer le regard qu'ils portèrent sur elle. Était-ce dut à sa tenue, tenue qu'elle avait acheté sur les conseils plus que poussé du vendeur, lorsqu'elle l'avait essayée. La matière du legging, sa conception gainait les jambes et le cul de la jeune femme. On pouvait deviner le sillon qui séparait les fesses, si elle n'avait pas porté de dessous on aurait certainement put distinguer  quelques détails de sa féminité. Quand a sa poitrine, elle était à la fois soutenue et relevée, ce qui rendait ses rondeurs encore plus  marquées. C'était la première fois que Seki portait cette tenue, le vendeur lui avait assuré qu'elle serait des plus agréables et confortable, et il n'avait pas mentit sur ce sujet. Il n'y avait pas que la tenue qui pouvait allumer le désir dans le regard des individus qui s'étaient mis en mouvement. La course même de Seki, mettait en avant la tonicité et la souplesse de son corps; son ventre dénudé et plat laissait entre apercevoir une musculature confirmant ce que son mouvement annoncé.   

Tout à son course, Seki quitta les allées du parc, pour celle de son sous-bois, plus par réflexe ne se rendant pas compte quand ce début de soirée, l'obscurité présente offrait un camouflage parfait pour certains comportements ou actions. Comme à son habitude, la jeune femme s'arrêta à la fontaine publique afin de se désaltérer. C'est à ce moment que le trio se mis en action. Cela faisait quelques temps qu'ils avaient remarquait les habitudes de la jeune femme et avaient put ainsi la devancer. " Alors ma jolie, on cours seule, tu sais il y a des mauvais garçons dans le coin et ils pourraient être tentés par une si jolie proie " ... Celui qui venait de parler, insista sur le mot proie, offrant par la même un sourire amusé à ses camardes. Seki ne comprit pas le  sens du sourire, tout comme elle ne voyait pas ce qu'il y avait de marrant dans ce qui venait d'être dit. Pour toute réponse, la jeune femme souleva les épaules, désireuse de mette un terme à cette discussion que sembler vouloir engager cet homme. Sans dire un mot, elle voulut s'éloigner et reprendre son jogging. Mais un deuxième individu vint se placer devant elle et elle ne put que le heurter. L'impact ne fut pas violent, mais suffisamment appuyé pour lui faire perdre l'équilibre et la faire tomber. " Tu pourrais faire attention, on vient de prévenir et toi tu te comporte comme une garce " ... Le ton de ce deuxième homme était moins amical et ne contenait aucune trace d'un humour sous-entendu. Seki le regarda ne comprenant pas trop pourquoi il était en colère, après tout c'était lui qui s'était mis devant elle. " Désolé, mais c'est moi qui devrait être fâchée, c'est vous le fautif " ... Il n'y avait aucun sentiment dans la voix de la jeune femme, ni colère ou quoi que ce soit. " La salope, elle nous snob et maintenant nous manque de respect, mais pour qui elle se prend " ... Le troisième larron qui n'avait rien dit et pas bougé, pris la parole et rajouta une couche à la mauvaise foie ambiante. " Elle nous aguiche avec sa tenue et son comportement, tu as vu la manière dont elle buvait, son cul en arrière et après elle nous prend de haut " ... La situation prenait une direction que Seki ne comprenait pas trop, mais elle voyait où celle-ci risquait de l'amener.

La jeune femme n'est pas une personne particulièrement courageuse. On pourrait se dire que sachant ses capacités, elle pourrait agir sans réfléchir. Après tout, elle ne risquait pas de mourir, son corps se régénérerait et elle oublierait tout de l'évènement. Mais cela ne faisait pas partie de ses instincts, malgré tout elle décida de ne pas se laisser faire. Non pas comme dit parce qu'elle ne risquait rien, mais car les trio n'avait rien qui puisse se rapprocher d'une once d'autorité. Cela pouvait venir de leur look, débraillé, de leur vêtement trop large pour eux, de leur stature rachitique, de leur voix, qui malgré un ton menaçant n'avait rien de puissante. S'ils avaient été plus crédibles dans l'incarnation d'un pouvoir, d'une autorité quelconque, Seki n'aurait certainement pas agit comme elle allait le faire en leur tenant tête. Elle se serait surement excusé et montré bien plus docile. Mais voilà, il n'en était rien. " Je ne te permet pas de parler de moi de la sorte, et puis qu'est ce que vous allez faire, si il y avait du vent vous ne tiendriez pas debout " ... Le défit présent dans la voix de la jeune, son attitude alors qu'elle se relevait, fut l'étincelle qui activa les évènements qui allait suivre.

Celui qui semblait le chez, celui qui avait initier le contact sortit un cran d'arrêt et activa le mécanisme qui libéra la lame. " Ecoute salope, je vais te découper et on te violera jusqu'à ce que tu nous supplie " ... Les deux autres laissèrent échapper des rires et encouragement, l'un d'entre eux tenta d'attraper la jeune femme. Mais s'y prenant mal, trop pressé, il ne parvint qu'à la pousser vers la lame tendue qui se planta dans son ventre. L'homme se figea comme celui qui tenait la dite lame. Jamais il n'aurait pensé qu'une telle situation allait arriver. Il avait juste voulut impressionner la jeune femme et l'obliger à le sucer. Ne sachant comment réagir, il lâcha le manche de son couteau et vit le regard que Seki plongeait dans le sien. la jeune femme semblait surprise, la lame avait atteint un organe vital. Toujours présente dans la plaie, elle empêchait le processus de régénération d'empêcher l'hémorragie qui menaçait. la seule pensée qui traversa l'esprit de Seki en cet instant, c'était que son legging risquait d'être fichu si du sang venait à couler dessus, heureusement qu'elle en avait acheté deux exemplaires.

Le trio s'éloigna de la jeune femme, bafouillant des mots incompréhensibles entre deux " bordel de merde ". Seki ne s'était pas trompée sur la nature de ces individus, qui commencèrent à fuir. Le fait que la jeune femme se retirait la lame, ne devait pas les aider à surmonter la situation. Seki compris son erreur, lorsque l'écoulement de sang devint plus rapide et qu'elle commença à avoir un vertige. Elle se laissa tomber au sol, gisante, attendant que sa régénération face son office, les souvenirs de ce qui venait de se passer commençant à s'estomper peu à peu.

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Le coin du chalant / Re : Un petit RP with me ?!
« le: mercredi 10 novembre 2021, 20:09:39 »
Seki est douce et peut se laisser faire si tu sais t'y prendre, et son avatar n'est pas vilain ...

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Le coin du chalant / Re : Vocatum sanguine aeterni
« le: mercredi 10 novembre 2021, 20:07:09 »
Satisfaire sa faim et son autre faim, avec une jeune femme qui peut supporter ce que rares peuvent, cela te tente ?

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