Plan de Terra > Territoire de Tekhos

Echange de bons procédés (Grayle-Enmoïra)

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Grayle le pérégrin:
Grayle eut un sourire presque prédateur, alors qu'il ouvrait la main, coincée à l'intérieur de la chatte déformée de la bichetauresse. Elle était brûlante, et il sentait ses chairs gonflées et douces presser sur ses doigts. Il referma le poing, enfoncant son bras, et le reculant, remuant au sein des entrailles de la femelle, dont le corps équin s'agitait dans tous les sens, tapant du sabot sur le sol. Des frissons parcourant tout son corps comme des vagues dans la mer, et l'humain prenait un malin plaisir à voir ce corps puissant s'agiter, entièrement soumise aux mouvements de ses doigts.

Il se frottait doucement contre elle, pour qu'elle puisse sentir sa verge contre elle, alors qu'il laissait un mince filet de pré-sperme couler le long de son pelage.

- Ahh, pitié, faites-moi jouir ! Arrêtez de me faire attendre, hmm ! On verra pour le re... reste ! Han oui bon sang, ma chatte !

Il se mit à rigoler. Il continua ses mouvements, intensément. Elle allait jouir. Il vit un tremblement dantesque agiter son corps, le début d'un cri...

Et il retira son poing, dégoulinant de fluides, la laissant ainsi, à deux doigts de l'orgasme, abrutie par le plaisir qui s'évanouissait à toute vitesse. Il lui fallut plusieurs secondes pour qu'elle se rende compte qu'il n'était plus en elle, sa chatte grande ouverte totalement orpheline.

- Voyons Enmoïra...

Il marcha doucement à côté d'elle, une main glissant le long de son dos, jusqu'à ce retrouver à côté de son torse humain. Il se colla contre elle, la serrant contre lui d'une main. L'autre, poisseuse et dégoulinante des fluides de la bichetauresse, remonta le long de son ventre plant, avant de caresser sa poitrine, puis ses lèvres. Il mordilla doucement une de ses oreilles, continuant de harceler ses zones érogènes.

- J'avais dit un "acompte"... ma chère... pas le versement complet... il lui prit un poignet, le posant contre son sexe, imposant, dur, brûlant, pulsant. Qu'elle sente son désir, qu'elle imagine ce qu'il pouvait lui infliger...

Il lécha son oreille, avant de chuchoter, se mettant à la tutoyer, harcelant sa poitrine, tirant sur ses mamelons tendus, jouant avec ses blanches collines.

- Si tu jure de faire tout ce que je te demande et prépare la potion pour moi... tu aura la suite de mon versement... et bien plus... tu aura mes remerciements et... dit-il d'un air mystérieux... ceux de nombre de mes amis...

Largement de quoi stimuler l'imagination d'une bichetauresse en chaleur qui vient de subir un déni d'orgasme...

Enmoïra Liavaris:
Ce pervers tenait à l'avoir son produit aphrodisiaque à base de mouille de femelle biche ! Il a quand même bien de la chance qu'elle soit en période de chaleur et qu'en plus elle ait eu trop d'hommes autour d'elle ce qui n'a pas aidé et les sujets traités dans cette ville de pervers n'aident pas non plus ! Et maintenant ce pervers qui la tripote dans une cage d'escalier hors des regards, mais assez loin des gens. En plus il la fait languir bien trop longtemps et son festin était des plus efficace en tout cas ! Elle était bien trempée et fallait au moins ça pour la faire jouir, ce qui n'allait pas tarder s'il continue ainsi ! Elle sent aussi sa verge humaine tenter de frotter sur son fessier et se faire sentir, mais ce n'est pas suffisant, faut le poing entier, les vas et viens pleins de mouille collante et glissante ! Elle retient ses cris de son mieux avec les mains, mais il finit avant qu'elle ne puisse jouir, quel monstre ! Elle sentit vite le vide dans son antre qui était encore dilaté et rempli de mouille, l'un des ingrédients qu'il faut pour son philtre...

- Héé, je n'ai pas joui...

Elle le sent bouger et l'écoute alors et n'aime pas trop ce qu'il tente de faire, elle peut survivre sans jouir, même rentrer chez elle et vivre sa vie... Mais là elle doit jouir ! Elle va le lui faire payer son audace un jour ! Elle lui marchera dessus avec ses gros sabots et lui brisera les noix à grand coup de patte arrière ! Elle pointe fortement et commence à se calmer un peu, mais rapidement elle imagine la tournante, voilà une chose qu'elle n'a pas vécue depuis un moment, et elle sait que les humains sont suffisants pour la faire jouir ! Mais il lui faut de nouvelles expériences, plus osées, plus perverses que juste une tournante et de la baise.

- Rhaaa... OK ! OK ! Mais allons ailleurs, je peux plus me montrer ainsi en public...

Bha oui, sa chatte dégouline jusqu'au sol, ses seins pointent fortement et elle est toute rose de gêne, sans compter la fourrure fine et humide à cause de la mouille qu'il a étalé dessus ce bourrin ! Elle le regarde donc sérieuse et semble vouloir jouer ailleurs, enfin il faudra sans doute aller dire au revoir quand même...

- Je vais la faire votre stupide potion...

Humains à la noix, tout ça pour une potion qui ferait craquer n'importe quelle femme d'un manque total de contrôle et d'une lubricité énorme ! Heureusement ça ne marchera pas sur la créatrice vu qu'une partie des ingrédients vient d'elle-même !

Grayle le pérégrin:
Il la gratifie d'un beau sourire, alors qu'elle cède devant ses demandes. Il n'espérait pas que ca se passe aussi bien.

- Je suis ravi que nous ayons un accord, ma chère dit-il d'un ton tout à fait officiel. Câlin, il l'embrasse sur la joue, avant de se saisir de son menton pour faire pivoter son visage.

Il lui roule une pelle ardente, venant chercher sa langue, mordillant ses lèvres, continuant de caresser sa poitrine, devenue si dure et si chaude. Pendant une longue minute, la cage d'escaliers ne résonne que des soupirs et des gémissements plaintifs de la bichetauresse. Il recula enfin, la regardant. Elle avait les larmes aux yeux d'envie, tapant du sabot sur le sol, les lèvres dégoulinantes de salive et de sa propre mouille, qu'il lui avait fait goûter. Si elle avait été du genre agressive, elle aurait probablement essayée de lui sauter dessus. Mais il était évident qu'elle était plutôt du genre soumise.

Il remonta son pantalon. Lui aussi était en chien, mais pour être sûr que sa mission soit menée à bien, il devait se retenir...

- Dans trois jours, à la même heure, je viendrais vous rendre visite dans vos quartiers. Je crois qu'ils vous ont installé au troisième étage de l'immeuble Jourdain ? Quelle cruauté, une bichetauresse aussi mignonne que vous, dans cette grande ville de métal...

- J'espère que la potion sera prête. Si c'est le cas... et bien, je m'occuperais de vous jusqu'au lever du soleil.

Et ainsi, lui envoyant un dernier baiser dans le vent, il sorti de la cage d'escalier, laissant derrière lui la bichetauresse la plus frustrée de la galaxie.


***** 3 jours plus tard *****

Il s'était préparé. 3 jours d'impatience, mêlée de crainte. Il l'avait laissée en plan, comptant sur la luxure et les chaleurs de la femelle pour faire ce qu'il désirait faire. Rien ne garantissait que tout son plan fonctionnerait comme prévu... mais normalement, tout devait rouler. Il savait que la pauvre Enmoïra avait eu d'autres événements dernièrement. Il l'avait suivie à la télé, et malgré un très bon jeu d'acteur, il avait clairement vu que ses chaleurs étaient présentes, voir pire, qu'elles avaient encore augmenté.

Alors qu'il arrivait en bas de l'immeuble, il senti une douce chaleur se former dans son bas-ventre, par anticipation. Elle devait mourir d'envie... quelle supplice d'être un équidé, incapable de se masturber et dépendante d'un autre pour les plaisirs de la chair !

Il se présenta à l'acceuil. L'après midi était déjà bien avancé, et on entrait dans le début de la soirée.

- Bonjour mademoiselle, j'avais un entretien avec damoiselle Enmoïra... pouvez-vous me signaler s'il vous plaît ?

Enmoïra Liavaris:
Enmoïra lui fera un jour payer cela, mais pas aujourd'hui, elle veut partir d'ici et qu'il la baise comme il faut cette fois ! Embrassée elle partage le baiser se demandant toujours quel est l'intérêt des baisers, c'est bien un truc humain ça, de fourrer leurs langues dans des endroits inadaptés. Et heureusement pour lui qu'elle n'est pas violente, car elle serait partie en le poussant dans les escaliers direction sa forêt adorée pour se faire tringler par des centaures ! Enfin s'il est assez bête pour croire qu'elle va attendre trois jours sans baiser... Elle le regarde mécontente et est bien contente qu'il ne réalise pas qu'elle n'a qu'à marcher quelques heures et elle trouvera un sexshop !. Ça ne lui prendra que quelques heures et elle sera satisfaite au moins ! Elle l'écoute aussi revenir sur la potion, oh elle la fera sans mal, elle rentrera chez elle d'abord pour se laver, une bonne douche qui détend un peu, puis elle tuera le temps en travaillant et essayant de ne plus penser au sexe, ce qui ne marche pas plus que cela. Elle devra en plus attendre quelques jours pour revoir le pervers et se faire baiser, ce qui pourra donc la calmer pour de bon. Une chose est certaine, sa prochaine invention sera une potion qui coupe toutes ces envies sexuelles ! Ce n’est pas comme si elle prévoyait de se reproduire de toute façon ! Enfin, c'est durant sa journée qu'elle entendit que l'homme était arrivé, elle ira donc en haut vers les jardins où ils seront plus à l'aise pour le faire, car cette fois il a intérêt à lui faire la totale ! Elle n'attendra pas plus longtemps !

Grayle le pérégrin:
On l'avait invité à revenir là où ils s'étaient rencontrés. Les jardins suspendus, sur le toit de l'immeuble. Le choix le surprenait. Il aurait pensé que la bichetauresse aurait préférée un endroit plus discret... même si ces derniers étaient sensés être presque vides à cette heure.

Prenant l'ascenseur, il frétillait déjà d'impatience de la voir. Et lorsqu'il arriva enfin à destination... il n'était pas déçu. Au milieu des haies et des arbres surplombant le reste de la ville en contrebas, elle était là, en train de l'attendre. Bras croisée, agitant sa petite queue adorable, et tapant du talon sur le sol. Il avança vers elle, tout sourire. Elle était habillée comme la dernière fois, et le regardait d'un air qu'il devinait comme impatient.

Lui aussi était impatient. Il lui fit un grand sourire.

- Bonjour Enmoïra. Moi aussi, ca me fait plaisir de vous revoir. Je ne vous ai pas fait trop attendre ? dit-il en faisant un clin d'oeil. Il la détailla de haut en bas, se mordant légèrement la lèvre inférieur. Alors qu'il la dévorait du regard, il vit que elle aussi le regardait avec intensité, et que ses beaux yeux jaunes descendaient sur son torse, et en dessous.

Avec douceur, il se saisit de la main de la druidesse, et lui fit un baisemain, embrassant doucement ses doigts, avant, subrepticement, d'en attraper un entre ses lèvres, puis un deuxième, les léchant avec envie. Sa langue chaude et humide avalait doucement les doigts fins de la bichetauresse. Il la sentait excitée. Moins que lors de leur dernière rencontre. Mais il sentait qu'elle ne serait pas aussi patiente que la dernière fois.

- Je suis surpris que vous m'ayiez convoqué ici, dans les jardins. J'aurais pensé que vous préfériez un endroit discret... il lâcha sa main et fit glisser les siennes sur son ventre et ses flancs. Il vit une belle potion bleutée pendre à sa ceinture.

- Oh, je vois que vous avez rempli votre part du marché. En réalité, peut-être qu'elle se foutait de lui ? Et que c'était une fausse potion ? Il n'en avait cure. Il lui avait promis une baise, et elle allait en avoir. Et si la belle pensait que l'humain ne saurait pas la satisfaire... il allait vite lui apprendre qu'on avait pas besoin d'une verge de 40 cm pour envoyer une bichetauresse au septième ciel. Il savait y faire avec celles de son espèce.

- Je présume que c'est à moi de remplir la mienne... il s'esquiva, caressant lentement sa robe, se dirigeant vers sa croupe...

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