Le gars derrière moi est au repos mais je peux sentir à quel point son anatomie est prometteuse. Je commence à avoir un peu d’expérience en la matière. Il est difficile de le comparer à d’autres à ce stade où seule ma propre excitation m’encourageait à chercher un faible contact. Il m’offre déjà quelques sensations exaltant mon désir. J’ai vraiment chaud. Ce n’est pas la rame bondée et les chaleurs extérieures qui me mettent dans cet état second mais l’homme avec sa carrure imposante, l’attirail assorti dont la bosse prend forme au creux de mes fesses.
Je peux la sentir et me presser à loisir contre lui pour en saisir toute la complexité. Cette simple proximité suffit déjà à me mettre dans tous mes états… La suite risque d’être prometteuse. Il m’est désormais impossible de m’arrêter en si bon chemin, fébrile et impatiente de découvrir à quel point il est bien monté. Je ne me soucie guère des autres passagers dispersés autour de nous et obnubilés par leur propre vie et l’inconfort d’être pris au piège dans les transports.
Puis l’arrêt brusque m’offre une occasion de mieux le sentir. Il est poussé, sa bosse bien ancrée contre mon cul et je me retiens difficilement de ne pas tomber. Il s’excuse mais m’invite clairement à continuer mon petit jeu par son mouvement. J’attendais avec impatience cette autorisation tacite avant de pimenter notre situation plaisante. Mes doigts se posent sur les bords de ma jupe que je remonte au bas de mon dos. Sous le regard privilégié de l’inconnu, ma culotte en dentelle noire et transparente se dévoile.
La rame freine une seconde fois jusqu’à l’arrêt. On est un peu secoué dans tous les sens et cette fois-ci, je manque encore une fois de tomber maladroitement sur la personne devant moi. Après m’être redressée, j’en reviens vite à nos moutons. Maintenant que le tissu tendu de ma jupe a disparu, je peux sentir clairement sa forme. Je me frotte discrètement contre son jeans alors que les autres passagers s’énervent de l’immobilisation soudaine du métro. L’agitation ambiante m’offre le loisir de profiter de l’homme derrière. J’en suis tellement émoustillée que mes tétons dressés pointent à travers mon crop top.
Un message est finalement énoncé dans les haut-parleurs pour expliquer la situation.
Nous rencontrons un obstacle sur les rails. Votre rame sera immobilisé le temps que la situation soit réglé. Veuillez nous excuser du désagrément causé.
Les râles et les protestations s’élèvent tout autour. Le brouhaha devient peu à peu insoutenable pour les passagers. Mais je suis comme isolée dans ma propre bulle, seulement intéressée par l’inconnu. Je suis tellement excitée que je pourrais oublier les gens autour pour lui demander de me baiser là tout de suite. Les caresses insoupçonnables et les frottements discrets ont un charme. J’adore jouer à ce jeu dangereux et voir combien de temps et jusqu’où nous pouvons aller jusqu’à être remarqué.
Mes doigts se faufilent dans mon dos et je défais maladroitement les boutons de son pantalon. Je descends sa braguette jusqu’à avoir accès à la bosse enflée marquée dans son sous-vêtement. J’en profite pour le caresser longuement du bout de mes phalanges. Quand tout à coup, un passager se tourne vers moi. Je retire mes mains et plaque innocemment mes fesses charnues contre lui. Son excitation s’y dissimule bien, poussant ma culotte comme un string. Il n’y a que deux maigres barrières de tissu qui sépare nos peaux d’un contact érotique.