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Prélude / Re : La déesse que tout le monde aime! [Violidée ~♥]

« le: lundi 17 juillet 2017, 00:33:28 »

0as sûre de comprendre mais merci...?

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Le coin du chalant / Les péchés arrivent jusqu'à vous!

« le: dimanche 16 juillet 2017, 23:56:19 »

Salut à tous!

Force de constater que je n'avais même pas encore fait de demande au chalant, donc je propose ma déesse.

Les idées de trames sont variées, mais toujours liés aux vices:

1- Avarice: On vous prend la main dans le sac alors que vous voliez un établissement de Sins. allez vous réussir à l'amadouer et vous en tirer sans colère divine?

2- Gourmandise: Vous vous demandez pourquoi certains mangent comme des porcs, et vous devez vous retenir? Peut-être serait-ce le temps de prier!

3- Paresse: Vous n'avez envie de rien faire aujourd'hui mais vous avez des tas de choses à faire... Puis vous rencontrez Matsuma. Elle vous propose d'alléger vos tâches, pour un prix.

4-Colère: on vous a baffoué/humilié et vous souhaitez vous venger. Beaucoup parle d'un groupe capable de vous aider, mais leur contact vous dit que ce n'est pas bon marché.

5-Luxure: Vous ne savez pas pourquoi, mais depuis un moment, le lycée semble dénué de tout sens commun, les étudiants et professeurs semnlent baiser partout. Pourquoi ne pas faire une enquête?

6- Envie: Vous connaissez quelqu'un qui semble avoir la vie  parfaite. Pourquoi ne pas faire appel à Sins, histoire d'échanger de vie?

7- Orgueil: quelqu'un s'en prend à quelque chose dont vous êtes fier. On ne peut pas s'en prendre à vous sans réagir, pas vrai?


Toutes les trames sont purement optionnelles. Si vous les voulez, tant mieux. Mais je ne suis pas contre le travail d'équipe pour arriver à quelque chose d'original  

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Olympe / Re : La rencontre de deux vices ~ Pv Sophiana Caldo~

« le: dimanche 16 juillet 2017, 23:01:14 »

L'ambiance commençait à s'échauffer, la pluie tropicale qui s'abattait sur nous n'aidant pas à nous refroidir. Les petits couinements qui sortaient de la bouche de l'hybride, sous mes caresses intimes, n'aidaient en rien mon érection, ou l'aidait grandement, dépendamment de quel point de vue on s'y situe. À un certain point, Sophiana avait levé ma robe, éliminant ainsi le seul obstacle entre son rond fessier et mon barreau de chair, dur et luisant d'excitation. Une fois mon mandrin bien coincé entre ses fesses, la fille aux cheveux roses entâma une série de longs va et viens sur ce dernier, m'arrachant des gémissements se satisfaction.

Cette démonne était douée pour faire plaisir à un membre en érection, mais pas necéssairement pour un égo comme le mien; soit elle avait envie de me défier, soit elle était si excitée qu'elle n'avait aucune idée de la situation dans laquelle elle était, de me dire qu'elle n'appartenait à personne, mais je n'essayais pas de lui soutirer des informations, et elle comprendrait vite son erreur.

Quelques interminables instants plus tard, elle décida de prendre les choses en main, et s'enfonça elle même ma queue de divinité dans son cul de démon avec force, nous arrachant toutes deux un cris de plaisir, ainsi que des frissons, ressemblant plus à des spasmes, incontrôlés. Ce plaisir me fit accélérer les caresses sur son intimité, y insérant mes doigts à l'occasion avant de ressortir faire quelques visites humides sur son membre mouillé par la pluie. Je la laissai faire quelques délicieux allée retours sur ma hampe, nous arrachant tantôt tour à tour, tantôt à l'unisson, des gémissements et cris de plaisir. D'un coup, mes deux mains lachèrent leur occupation et vinrent maintenir fermement en place les hanches de la démonne, l'empêchant de bouger, ma bite toujours enfoncée dans son gros intestin. Je mordis son lob d'oreille avant de lui susurrer

-Que tu me dises que tu n'appartient à personne me peine grandement, petite chienne... Ne suis-je pas ta Déesse? Je suis la déesse des vices, et vous avez reposé votre empire sur l'un des miens...

Si Sophiana était pleine de libido et contrôlée par la luxure, il m'en était rien de moi. La luxure ne me dirige pas, c'est moi qui la contrôle.

- Rien ne se passera de plus, avant que tu ne répondes à ma question... et dis toi qu'il n'y a qu'une seule véritable réponse... Sophiana Caldo, fille du démon à Seize mains.... petite chienne de luxure, à qui appartiens-tu?

Comme pour l'inciter à répondre, une de mes mains se défit son emprise sur la hanche de la démone, et attrappa la queue bien dure de cette dernière, recommençant de petites caresses, insupportables pour n'importe quelle hampe bien prête à pénétrer. Pour inciter un peu plus la réponse, je me mis à très légèrement onduler les hanches, faisant bouger mon chibre à l'intérieur d'elle... pour moi c'était frustrant, je n'imagine pas pour elle!

Je voulais la tourmenter un brin. Des images se mirent à défiler dans la tête de Sophiana; toutes les positions que nous pouvions pratiquer, nous y étions. La vision de mon joli minoi déformé par sa bite entre mes lippes, moi qui baise sa paire de seins sauvagement tout en glissant sa bite entre mes fesses, un joli 69, nos cris de plaisir étouffés par les barreaux disproportionnés et pour finir un facial de mon sperme chaud coulant sur ses seins.

Du coup, je pus sentir sa queue se durcir, le liquide clair se mit à couler le long de son membre et sortir d'entre ses lèvres. Je passai mon doigt sur le long de sa queue, en recueillant une partie du liquide visqueux et le porta à ma bouche. Après avoir léché doucement mon index, je lui murmurai à l'oreille une nouvelle fois:

-Alors, qui est ta maîtresse...? Qui a la chance d'avoir une bonne petite chienne en chaleur comme toi? 

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Les alentours de la ville / Re : Moi,perverse?Non! (Sins)

« le: vendredi 14 juillet 2017, 22:27:00 »

J’étais assise à mon bureau, regardant les caméras, à attendre l’espagnole. Je fronçai légèrement les sourcils quand je vis Kimiko ramasser ses affaires en vitesse et quitta l’établissement à la hâte. Pauvre petite, elle va rejoindre celui qu’elle décrit comme l’homme de sa vie. Elle est belle comme un cœur, et avait beaucoup de qualité, pourrait avoir n’importe qui, la rousse espagnole y compris, mais elle avait jeté son dévolu sur une personne qui n’a aucun intérêt pour elle, excepté pour son corps. Mais bref, ma magie avait déjà fait effet, mais j’espérais qu’elle reste pour la suite des choses, mais je n’avais pas l’intention de la punir, seulement de lui faire peur, après.

-Mademoiselle Itsugaya, mademoiselle Guerrerro est ici pour vous voir.

Je remerciai le gorille avant de faire entrer Sofia. Une mine ravie accueillit la combattante, qui était visiblement mal à l’aise d’être ici, mais je pouvais également sentir une envie qu’elle n’avait pas réussi à en reprendre le contrôle depuis le combat. J’écoutai la jeune femme au visage rouge me dire qu’elle acceptait mon offre de prendre un verre. Je lui souris et bondit de ma chaise avant d’aller vers elle, un large sourire aux lèvres. Je lui attrapai une main puis la dirigeai doucement vers un confortable sectionnel, dans la partie « lounge/vip » de mon spacieux bureau, la section bar de la salle de jeux se prolongeait dans mon bureau, nous permettant de commander des cocktails sans même avoir à sortir de mon bureau.

-Bien sûr que je suis intéressée! Assieds-toi chérie, que veux-tu boire?

Je me retournai, faisant rouler mes hanches pour faire monter encore plus la température dans la pièce, puis me penchai, accotée contre le bar, tapant sur le bois sombre pour attirer l’attention du bar. Je pouvais sentir le regard de Sofia sur mon fessier, ce qui me fit sourire en coin. Je commandai un cosmo, en plus du verre de mon invitée, puis je revins quelques instants, m’assoyant à ces côtés, lui tendant son verre. Croisant les jambes, je pris une gorgée de mon liquide rosé.

-Je suis contente que l’événement t’ait plu. Je sais que cet endroit n’a pas nécessairement bonne réputation, et Evy m’a dit que tu étais incertaine à l’idée de combattre ici. J’espère qu’on a réussi à changer ton avis. Personnellement, je trouves qu’on donne mauvaise presse aux endroits dit « illégaux », mais la vérité c’est qu’ils sont généralement plus luxueux que les casinos…

Je lui souris et pris une nouvelle gorgée du cocktail. La jeune femme semblait très « politicly correct », à toujours faire attention pour ne pas briser les règles. Aujourd’hui, j’avais bien envie de la voir tomber dans le vice. Les images que Sofia avait eu sur le ring lui revenaient en tête, ce qui me fit sourire à voir l’expression de la jeune femme. Ses visions disparurent avec le son de ma voix.

-Depuis combien de temps es-tu au Japon?

Petite question totalement inintéressante, j’avais juste parlé pour parler, je me foutais bien de la réponse, mais il fallait que je dises quelque chose pour faire taire ses visions… Mais il était temps de terminer le jeu.Tout en vidant mon verre d'un ultime trait, et cachant ma main de sa vision derrière ma cuisse opposée, je joignis mon pouce et mon index.

Click! 

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Olympe / Re : La rencontre de deux vices ~ Pv Sophiana Caldo~

« le: vendredi 14 juillet 2017, 21:16:25 »

Je souris en constatant que la démone répondait de manière positive à mes avances, elle avait glissé ses main sous ma robe, s'emparant de mes hanches, les aggripant. Une petite odeur, qu’un être autre que moi n’aurait probablement pas senti, me parvint aux narines. Odeur que je compris la provenance en laissant mon regard passer outre sa magnifique poitrine; un imposant chibre commençait à se mouler dans la robe déjà bien serrée de la fille aux cheveux roses. Ma main sur sa poitrine descendit doucement, caressant son ventre et vint frotter la bosse qui avait fait son apparition. Ma main caressa de haut en bas la hampe, la plaquant contre son ventre.

-Je suis en effet ta Déesse, appelle-moi comme tel, petit jouet. Je vois que tu as un beau jouet, ici bas. On va pouvoir s'amuser ensemble

À ses mots, la démone pu sentir ma hampe s'agrandir entre ses fesses, la sensation étant agréable sur ma personne. Ma main sur sa gorge la força vers l’arrière, lui volant un baiser langoureux, presque bestial. Je lâchai donc sa gorge pour descendre vers sur sa poitrine, libérant son autre sein, pour le malaxer à son tour. L’autre main continuait sa besogne sur la verge, faisant des allées et retours énergiques, ou plutôt frénétiques, puis je m’arrêtai un instant, le temps de faire tomber sa robe, libérant la queue d’étalon que cette chaudasse aux gros seins possédait. Recommençant mon massage sur son sein, l’autre main passa sur la hampe doucement, la frôlant de toute sa longueur.

-Il y a à peine 10 minutes, tu étais prête à m’attaquer… Mais maintenant, tu es bien dure, dans ma main. Tu es une vraie petite  salope, pas vrai?

Je passai soudainement de douces caresses à une masturbation vigoureuse, faisant retirer quelques sons de la bouche de ma nouvelle croyante. D’un petit sourire, je la regardai avec un sourcil en l’air, tout en continuant à pincer ses tétons, mes cheveux mouillés coulaient sur elle.

-Dis-moi, la petite chienne… Elle appartient à qui?

Je stoppai ma masturbation nette, puis ma main glissa une dernière fois vers la base de la queue, allant jouer avec son intimité, caressant ses lèvres et son clitoris. Entre-temps, je pouvais sentir ma queue grossir de plus en plus, me sentant un peu inconfortable... J'avais hâte de la prochaine étape!

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Prélude / Re : La déesse que tout le monde aime! [Violidée ~♥]

« le: vendredi 14 juillet 2017, 00:33:15 »

-Ma religion, c'est "Whatever the hell you want". J'espère vous voir appliquer!

Merci :3

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Les alentours de la ville / Re : Moi,perverse?Non! (Sins)

« le: vendredi 14 juillet 2017, 00:13:19 »

-Ça a marché, je la sentais frémir sous mes mains.

-Évidemment que ça a marché, je suis la déesse des vices, après tout. Même bien refoulé, ce qui n’est pas son cas, j’arrive à faire ressortir n’importe quelle émotion que ma proie ressent. Il ne reste plus qu’à Kimiko à remplir son rôle, et je vais lui donner ce qu’elle désire. Elle sait ce qu’elle a à faire?

-Tout à fait. Elle a même mit le costume que vous lui aviez demandé de porter. Elle est très à l’aise, contrairement à ce que j’aurais pu penser.

Évidemment qu’elle serait à l’aise. Elle faisait tout ça pour avoir l’amour d’une personne qui la rejetait depuis un bon moment, elle était donc prêt à tout pour que cette personne tombe amoureuse d’elle, y compris me suivre, peu importe ce que je lui demanderais de faire! Evy quitta pour se rendre à son bureau, elle avait beaucoup à faire; la gestion d’une salle de jeux presque aussi grosse qu’un casino, ça demande énormément de gestion. Pour ma part, je pris place au bar, commandai mon inévitable cosmopolitan, et attendit le match.

L’espagnole apparut en premier, sous les cris des spectateurs, plus sous l’effet de l’alcool que par fanatisme. La jeune femme semblait avoir repris ses esprits depuis la rencontre qu’elle avait faite d’Evy, mais sa balane psychologique était précaire, et juste une poussée suffirait à la faire basculer vers le bon côté. Alors qu’elle passait la jambe entre les cordes, elle me remarqua et me fit un petit coucou de la main, que je lui rendis avec un grand sourire, en levant mon verre vers elle. L’annonceur maison présenta alors Kimiko. La jeune femme aux cheveux bleus et costume de même couleur fit son entrée sur le ring, sous une nouvelle pluie d’acclamation, certains se mirent même à siffler quand cette dernière retira sa veste. Pour ma part, je regardai la réaction de la rousse, qui ne me déçut pas. Sa mine exprima clairement l’attirance, pour ne serait-ce qu’une seconde, alors qu’elle réussit à se contrôler, et ce, même si elle avait reluqué les fesses de Kimiko.

Le début du combat commença doucement, avec un ou deux coups échangés durant les premières secondes jusqu’à ce que Kimiko agrippe son adversaire, la promenant jusqu’à l’autre coin du ring. Encore là, je pouvais voir un petit sourire poindre sur le visage de Sofia, jusqu’à ce que l’arbitre ne vienne les séparer. Elle voulait tomber, elle n’avait simplement pas encore eut la bonne motivation pour le faire.

Je laissai le combat continuer pendant un ou deux rounds, sans réellement intervenir. Aux yeux de tous, Sofia était nettement supérieure à Kimiko, mais la jolie bleue n’était pas là pour gagner sur le ring, elle n’était là que pour échauder l’espagnole. Quand elle arrivait à mettre la rouge dans les cordes, elle se rapprochait tellement qu’elle mettait ses seins et ses jambes contre cette dernière, s’assurant ainsi d’avoir un contact maximale avec Sofia.

Pendant le troisième round, cependant, je décidai que les choses n’avançaient pas à mon rythme, je pris donc les choses en main. Pendant que Kimiko s’élançait pour une faible attaque, que l’espagnole aurait rapidement contré et attaquer à la première chance, je fis mettre une image dans sa tête, celle de Kimiko, qui retirait doucement la partie du haut de son maillot, laissant à la boxeuse le temps de voir ses mamelons. La vision ne dura plus d’un dixième de secondes, le temps que le punch de la bleue ne l’atteigne dans les côtes, lui faisant revenir à la réalité, la forçant à mettre un pied vers l’arrière. L’expression surprise et gênée de Sofia me fit sourire, alors que je commandais un nouveau verre au barman.

Quelques instants plus tard, alors que le combat battait son plein, je ressortis une vision d’une Kimiko nue qui se tournait dos à Sofia, lui montrant ses fesses et se penchait vers l’avant, offrant une belle vue de ses parties intimes à son adversaire. Quand elle était pour revenir à elle, j’affectai ses sens, faisant en sorte de chaque punch que la combattante recevait n’importe où sur sa personne, était comparable à une vibration contre son clitoris. La vision, combinée à l’altération de son système nerveux, la fit presque crier de plaisir sur le ring. Ne voulant pas qu’elle soit humiliée au point de se sauver en courant, j’arrêtai les supplices que je lui faisais vivre, la laissant continuer son combat en paix.

Deux autres rounds suivirent, où Sofia, bien que visiblement troublée, eut raison de son adversaire, à l’aide d’un ultime uppercut, qui fit s’effondrer la japonaise d’origine. Alors que l’arbitre commença à compter, j’usai de mes pouvoirs pour qu’elle ait une dernière vision, celle de Kimiko et moi-même, presque nues, assises sur le ring à s’embrasser et se caresser tendrement. La « moi » d’illusion regarda sensuellement Sofia en se léchant les lèvres.

-Tu viens prendre un verre?

Les deux femmes dans l’illusion se mirent à rire et disparurent de sa vision quand la cloche sonna. L’arbitre se leva et annonça le « Magnifique miracle espagnol » vainqueur, pendant que des médecins s’assuraient que Kimiko n’avait rien.  Je pris quelques secondes avant de monter sur le ring, alors que l’annonceur demandait le silence, afin que je puisse prendre la parole.

-Bonsoir à tous, j’espère que vous vous êtes amusé!Il y eut une salve d’acclamation et d’applaudissements dans la salle, en confirmant ce que je venais de dire. Un petit rire sortit de mes lèvres, comme pour demander le silence mais paraître sociable quand même. Ce fût un combat enlevant, j’ai vraiment apprécié voir ces deux combattantes à l’œuvre! Mesdames, vous nous avez montré que les femmes aussi, peuvent donner et encaisser de puissants coups! Et je ne sais pas pourquoi, mais j’ai la sensation qu’on va entendre parler longtemps du Miracle espagnol!

Une nouvelle salve d’applaudissements, cette fois dirigé vers Sofia. Je donnai le micro à l’annonceur qui remercia tout le monde d’être venu et leur souhaita une bonne nuit. Pour ma part je pris la direction de Kimiko, qui était assise sur un banc, en train de se faire soigner par les toubibs. Ces derniers prirent congé quand je suis arrivée à leur hauteur.

-Tu as fait du bon travail, Kimiko. Il va t’aimer, plus que tu ne peux l’imaginer. Tu restes pour la fin?
Le visage de la japonaise s’illumina.

-Merci, maît… Mademoiselle Irigaya! Je vous en serai éternellement reconnaissante! Et oui, je vais rester! Je vous dois au moins ça!

Je lui souris et lui bisai la joue, avant de retirer de ma manche la petite goutte de sang qui s’était trouvé dans le chemin. Alors que j’allai quitter, je passai devant Sofia, puis lui adressa un grand sourire.

-Très beau combat, Mademoiselle Guerrerro. Tu peux aller prendre une douche et te changer, mais après passe me voir pour ton paiement. Alors que j’allais reprendre ma route, je passai ma main contre son estomac, l’effleurant discrètement. Et un verre?

Je repris ma route et alors que je passai les cordages que mes deux gorilles tenaient pour moi, je tournai la tête vers mon interlocutrice et lui décochai un petit clin d’œil, avant de reprendre la route vers mon bureau, satisfaite.

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Olympe / Re : La rencontre de deux vices ~ Pv Sophiana Caldo~

« le: jeudi 13 juillet 2017, 22:44:38 »

La démonne était désormais tout près de moi, avalant sensuellement un raisin qu’elle avait pris dans son bol,  mentionnant peu avant le nom de Zeus. Comme si on lui appartenait toute. Un court moment, je fis une moue un peu agacée, avant de lever le menton et le sourcil droit en l’entendant dire qu’elle ne savait pas de quels pouvoirs je possédais. Cette gamine, elle en a encore beaucoup à apprendre si elle souhaite reprendre les rênes du royaume infernal de son paternel. Un petit sourire en coin apparut à mes lèvres roses venu le moment de lui dévoiler qui j’étais, pour la troisième fois

-Vous les démons, vous avez une grande gueule, mais pas d’oreilles. Très bien, petite princesse fragile, je vais te dire qui je suis…

Le ciel s’alourdit à nouveaux, alors que je me reculai de quelques pas en la regardant, mon petit sourire prenant de plus grandes proportions, jusqu’à montrer mes dents blanches. La pluie se mit à battre la demeure avec force, nous détrempant toutes les deux, nos robes respectives moulant notre corps parfait. Soudainement, comme si elles venaient de la pluie, une succession d’images se firent voir par la démone : Trois hommes blancs battaient un noir dans une ruelle, quelque part au Japon; Un noble ashnardien mangeait à pleine joie, se gavant comme un porc; un esclavagiste se pavanait à Nexus comme un paon, trois chaînes partaient de sa main pour venir se refermer sur un collier en acier, traînant trois magnifiques esclaves; Un américain dormait dans un hamac alors que des ouvriers illégaux mexicains entretenaient sa maison; Une femme comptait ses millions, alors que ses proches n’arrivaient pas à manger; Lesdits proches, qui complotaient pour voler l’argent de la femme avare.

Pendant que la jeune femme aux cheveux roses portait son attention sur le « vidéo », j’avais disparut pour arriver dans son dos, si près que ma poitrine était écrasée contre ses omoplates. Je lui susurrai à l’oreille, une main contre sa gorge.

-Je suis l’envie de manger quand tu n’as plus faim, je suis celle qui te met en colère, celle qui t’apporte la fierté après un bon coup, celle qui t’empêche de distribuer ta fortune… Celle qui t’as fait baiser avec les trois gardes il y a à peine quinze minutes, mais aussi qui te donne encore le goût de jouir un peu plus, maintenant. Je suis Sins, la déesse des péchés et du vice. Dis toi, je suis un peu ta déesse…

Ma main droite toujours contre sa gorge, je me saisis d’un de ses seins avec mon autre main, le serrant avec force et finissant par pincer son mamelon au travers de sa robe détrempée. D’un simple mouvement de doigt, je fis sortir son sein de sa prison, laissant la pluie courir sur son mont mis à nu, tout en continuant de le masser avec vigueur.
On pouvait entendre le tonnerre à présent. Chaque dieu peut contrôler son climat autour de sa demeure… Excepté quand les gardiens se trouvent dans les parages. Je mordis son lob d’oreille avant d’y soupirer.

-Dis moi, petite démone, es-tu prête à te donner à moi, désormais…?

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Olympe / Re : La rencontre de deux vices ~ Pv Sophiana Caldo~

« le: samedi 08 juillet 2017, 05:34:17 »

Quel genre d'être de la création peut invoquer un démon sans rituel ni sacrifice? Un être vachement puissant, immortel et à qui il ne vaut mieux pas montrer les griffes. Je ne pus cependant m'empêcher de sourire à la jeune femme, dont la puissance semblait s'être accentuée, aussi avec les ombres de bras qui ondulaient sur le marbre. Le vent se mit à souffler avec une force qui fit danser nos cheveux, sifflant entre les colonnds blanches; les gardiens de l'Olympe avaient porté leur attention sur ma demeure, l'hostilité de la démonne les forçant à signaler leur présence. Si elle montrait les dents une nouvelle fois, ces derniers se présenteraient. Et je ne veux pas de leur présence chez moi. Je pris une nouvelle gorgée, puis répondit à ces questions.

-Comme je t'ai dit, je m'appelle Sins. Tu es chez moi, au sommet de l'Olympe. Pour ce qui est de la raison de ta présence: j'avais envie de connaître la future reine de la luxure, étant donné que votre royaume me rend si puissante. Au fait, tu devrais te calmer un peu. Les gardiens te regardent et n'aiment pas l'hostilité que tu dégages.

Les gardiens avaient été créés, lors de notre arrivée sur Terra, dans le but de protéger les dieux qui trouvaient refuges sur le mont. Presque tous de mes frères étaient faibles et devenaient les proies de la faune de ce nouveau monde, ma foi hostile. Lorsque deux dieux s'affrontaientles gardiens les laissaient se battre jusqu'à ce qu'un prenne véritablement avantage. À ce moment, ils apparaissaient pour prêter main forte au dieu perdant et mettre un stop au combat. Ce sont l'une des rares espèces qui peuvent donner du fil à retordre à un dieu. Mais à 1 contre 1, nous gagnons toujours. Le ciel se faisait de plus en plus sombre et des nuages porteurs de pluie, qui ne se rendent généralement jamais au-dessus de la montagne, se pointèrent, laissant tomber quelques gouttes de pluies, comme un avertissement d'un orage imminent.

Je me levai de ma méridienne et alla apporter une coupe de vin à la femme, encore sur ses gardes.

- J'ai simplement envie d'apprendre à te connaître, et qui sais, peut-être devenir copines!

Je me retournai vers le petit ensemble extérieur en faisant rouler mes hanches, lui laissant une jolie vue. Je pris un raisin de sa grappe avant de croquer dedans et me retourner avec un petit clin d'oeil

-... Et plus si affinité...

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Les alentours de la ville / Re : Moi,perverse?Non! (Sins)

« le: vendredi 07 juillet 2017, 09:25:53 »

La clé du succès quand on veut gérer une compagnie et la voir grandir, c'est ne pas avoir peue de se salir les mains. Ça, et avoir des employés qui savent ce qu'ils font et, surtout, dignes de confiance. Et la confiance, dans le milieu de mon organisation, est difficile à gagner...

Quatre gorilles en habits venaient de finir de battre un petit homme, un croupier de l'une de mes salles de jeux, quand j'ouvrit les deux grandes portes de l'entrepôt désaffecté, accompagnée de mes deux gardes du corps. Les deux mains dans les poches de ma veste violette, le casque de musique sur la tête, je fis un petit sourire aux hommes, incertains de la raison de ma présence.

- Mademoiselle Irigaya? Vous ne devriez pas être ici, ça va devenir laid...

Je levai un sourcil alors que celui qui m'avait parlé sortit un pistolet, équippé d'un silencieux. Un petit " toc" sonna faiblement en écho, précédant les cris étouffés du mortel ligoté et bailloné, mêlés au tintement de la cartouche de cuivre qui rebondissait sur le béton froid. Abasourdis, les quatre hommes, dont celui qui tenait l'arme pas encore chargée, tournèrent leur tête vers moi, pendant que je redonnais l'arme que mon garde du corps m'avait tendue, quelques secondes auparavant.

Laissez-le se vider de son sang, ensuite éventrez-le et pendez-le au quartier de la Toussaint. Emmenez-moi au bar le plus proche, je veux prendre un verre!

Le message s'avérerait être clair; personne ne peut s'attaquer Matsuma Irigaya impunément, même si ce n'est que de voler quelques dizaines de milliers de yens. Vraisemblablement, le seul bar près de l'entrepôt était un bar sportif, et comme c'était en plein milieu de la semaine, il était particulièrement tranquille.

Un cosmo en main, je regardais une émission sur la boxe féminine. Que c'est emmerdant! Elles n'ont pas d'armes et, pire encore, leurs poings sont enrobés d'une mousse absorbante! Au moins quand j'organise des combats dans l'un de mes établissements, ce sont des combats ultimes. Il y a du sang, des os brisés, des gens qui risquent de perdre des appendices, un truc un minimum intéressant, quoi!

Soudainement, on annonce un nouvelle combattante. Une fille qui serait débarquée d'Espagne... Ce n'est pas tant son physique particulièrement soigné et alléchant qui m'attira en premier, mais bien tous les vices refoulés qu'elle portait, dont une libido assez intéressante à faire exploser! D'un coup, avant que le combat ne commence, je vidai mon petit verre triangulaire à long pied puis me levai, mes gardes faisant de même, me connaissant suffisament pour ne pas me faire attendre. D'un geste, je sortis mon téléphone intelligent et appela le gérant d'un de mes "casinos".

- Evy? C'est Matsuma. Dans deux semaines, tu va être l'hôte d'un event de boxe. Je veux tous les bons noms du business... et offre un 250 000¥ à Sofia Mila Guerrero, si elle refuse, offre le double. Je la veux.

Évidemment, que je la voulais!

Deux semaines plus tard

Il y avait une bonne foule dans la salle de jeux, tout le monde jouait sur les tables en parlant des futurs combats de la soirée, et beaucoup se demandaient qui était la combattante espagnole. Moi et Evy attendions impatiemment la nouvelle venue, fixant les caméras de sécurité, scrutant son arrivée. Cette blonde bien roulée, je l'avais sortie d'un mauvais pas, un mari qui la battait... je lui ai offert une chance de se venger et, depuis ce temps, elle était restée avec moi, faisant tout ce que je lui demandais, sans jamais me questionner.

Une fois la jeune femme installée, j'envoyai un de mes hommes pour l'aviser de notre arrivée, qu'elle accepta avec grande politesse. Evy entra en premier, un petit calepin à la main, puis j'entrai à sa suite, saluant la combattante en tenue moulante. Très excitant.

-Salut! Je suis Matsuma Irigaya, la propriétaire du casino, elle c'est Evy, elle va vérifier ton équipement, s'assurer que tout est conforme!

-Si tu veux bien tendre les poings...

Alors que Sofia s'exécutait et que Evy inspectait ses gants, je me mis à lui faire la conversation.

-Je suis contente que tu aies accepté mon invitation! Je suis une amatrice de boxe, tu vois, et j'ai bien aimé le combat que tu as mené contre la japonaise dont le nom m'échappe... on essaie toujours d'avoir quelques recrues dabs nos galas histoire que chacun ait une chance de percer....

-Écarte tes jambes...

Un peu hésitante, elle éloigna ses pieds néanmoins avant qu'Evy se pencha, vérifia l'état des chaussure. Pendant qu'elle remontait lentement en effleurant les jambes de la rousse avec sa poitrine, je pus sentir le coeur de cette dernière se mettre à battre plus rapidement et sa température monter. On dirait bien que ma gérante lui fait un peu d'effet! La blonde alla dans son dos avant d'inspecter les vêtements visuellement, puis se mit à toucher ses fesses, de manière brusque mais sensuelle. Avant qu'elle ne se mette à crier, je levai ma main vers elle en signe de stop.

-Je sais ce que tu penses, maia on n'est pas dans les rings que tu connais et beaucoup de combattants transportent une arme sur eux. C'est pour ta sécurité qu'on fait ça, tu croirais jamais où ils les cachent des fois. Endure la fouille et en un rien de temps tu seras sur le ring!

Je lui souris de manière rassurante alors que les mains baladeuses d'Evy se promenèrent partout sur le corps de la boxeuse, glissant sur ses seins, en dessous et entre eux, puis firent un passage dabs son entrejambe, "fouillant" pour trouver une arme imaginaire. Pendant tout ce temps, Evy respirait tout près de l'oreille de Sofia. Il ne fallait pas trop pousser non plus, je remerciai donc Evy avant d'ouvrir la porte pour la laisser sortir.

-Tu es fin prête pour ton combat! Après viens me voir, je vais te donner ton cachet. Et si tu veux on pourrais toujours partager un verre...

Je lui fis un petit sourire charmeur et quittai la pièce. En direction le ring!

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Olympe / La rencontre de deux vices ~ Pv Sophiana Caldo~

« le: jeudi 06 juillet 2017, 17:01:12 »

Terra,

Notre Terre promise, la bouée de sauvetage des anciens dieux terriens. Cette terre nous avait permis de non seulement survivre, mais également de prospérer, chacun trouvant son compte, mais moi bien plus que les autres. J'avais finalement trouvé un éden, le paradis du vice, chacun des péchés étant encouragé, et non puni. Même les créatures de ce nouveau monde transpirait les péchés; les démons eux même marchaient parmi les mortels, laissant libre court à toutes leurs pulsions.

Satisfaite, je passai la main sur le bol d'ivoire, rempli d'eau, passant le bout de mes doigts dans l'image d'un groupe d'hommes qui se battaient entre eux à la sortie d'une taverne, et l'eau changea de réflection. Je vis ensuite un couple s'en donner à coeur joie dans une ruelle, à quelques mètres d'une artère principale, tout près d'un marché populeux. Je passai une dernière fois mes doigts dans l'eau crystalline.

Enfer, palais de la luxure.

De toutes les dimensions que comporte notre univers, c'est l'un de mes endroits préférés. J'y avais passé de bons moments comme invitée d'honneur chez le roi, mais apparement ce n'est pas bien vu  pour un dieu de fricoter avec les démons en enfer, même si techniquement je représente ce qui les anime, encore plus que les mortels. Dans tout le désordre de ce royaume des enfers, je remarquai une dame aux cheveux roses. De sa réputation, j'eu tôt fait de reconnaître la princesse de la luxure, Sophiana. Son géniteur m'avait brièvement parlé de cette dernière, qu'elle était sa digne fille et que je devrais la rencontrer un jour.

Le reflet de l'eau changea une nouvelle fois, renvoyant mon visage sur sa surface. Je me déplaçai doucement vers mon manoir, ma robe violette en soie presqu'entièrement transparente, qui laissait entrevoir mes dentelles, dansait paresseusement avec la brise. Je passai des colonnes de marbre blanc, qui faisaient office de séparation entre la cour extérieure et intérieure, puis rejoignis un ensemble de terrasse entièrement composé de pierre blanche d'inspiration grèque antique, excepté pour les coussins brodés rouges, sur les canapés blancs. Sur une petite table étauent apposées des victuailles; fruits, noix, viandes séchées en tout genre ainsi qu'une imposante carafe de vin. Je pris une grappe de raisins de son bol et me remplit un verre de vin avant de poser mon fessier sur une méridienne. M'allongeant sur le côté du canapé, le coude tenant ma coupe de crystal contre la tête, je souris à la demi-démonne qui se tenait à quelques mètrss de moi, encore un peu abasourdie. Je venais tout juste de la convoquer, mais comme je n'aime pas attendre je l'ai simplement arrachée à son royaume pour la rencontrer en cet instant.

-Bonjour, chérie. Je suis Sins, la déesse des péchés. Ton papa m'a beaucoup parlé de toi, et je voulais te rencontrer personnellement. J'espère ne pas t'offenser en te convoquant ainsi... As-tu faim? Tu peux prendre ce que tu veux de la table, l'alcool également!

Je lui souris doucement puis pris une gorgée du liquide rouge. Si cette hybride était la moitié de ce que j'eus entendu d'elle, la journée va être intéressante!

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Prélude / Re : La déesse que tout le monde aime!

« le: mardi 04 juillet 2017, 05:38:03 »

Merci à vous deux!! J'ai bien hâte de commencer à rp!

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Prélude / La déesse que tout le monde aime! [Violidée ~♥]

« le: mardi 04 juillet 2017, 04:26:44 »

Bonjour chers mortels.

Qui suis-je? Je suis celle que vous chérissez en secret, la déesse vers qui vous vous tournez quand tout va mal. Je suis celle qui vous encourage là ou tous vous tourne le dos, celle qui vous fais vous sentir bien alors que chacun tente de vous culpabiliser. Je suis… Sins.

La déesse des péchés et des crimes. Comme mes frères et sœurs divins, je suis depuis la nuit des temps, tentant chaque espèce aux plaisirs qu’apporte la vie, offrant à chacun la pomme, la tentation de plonger dans l’interdit.

Je suis celle qui rend toutes les femmes jalouses et les hommes fous d’envie, de par un corps parfait, élancé et bien courbé, de longs cheveux la plupart du temps noirs. Rappelle-toi, je suis une déesse, j’ai l’air de ce que j’ai envie et donc, de ce que tu as envie. Ne vous inquiétez pas mesdames, car entre mes jambes peut pousser un phallus digne de vos rêves les plus fous, de quoi faire « damner une sainte » comme les mortels disent. De toutes mes « vies » parmi les mortels, je ne garde de mes origines divines que mes marques faciales, des arcs mauves sur mon front et mes joues, orgueilleuse de mes racines de l’Olympe.

Mes habits sont différents de chaque époque que je touche. En fonction des mœurs, je prends l’accoutrement le plus choquant possible, tout en restant dans les lignes de la mode de l’époque. Le but n’est pas de me faire dévisager comme un monstre de foire mais bien de me faire voir comme une créature à désirer secrètement. Sur Terre, j’opterai pour le style punk : des shorts en jeans bien serrées par-dessus des collants déchirés, un petit haut arborant une tête de mort sous un jacket avec plusieurs inscriptions anticonformistes et aux pieds tantôt des bottes noires montant jusqu’aux genoux, tantôt des souliers par-dessus des bas rayés noirs. Sur Terra? Quelque chose de bien plus choquant…

Quand on me compare à tous les Dieux qui ne recherchent qu’à augmenter leur pouvoir, qui guerroient sans scrupules et qui s’entretuent sans même savoir ce qu’il y a de mieux pour eux, et qui convoite le trône de l’Olympe, je suis un être puéril. Je n’ai qu’une envie, c’est de faire sombrer chaque être, mortel et immortel, dans les délices de l’interdit.
 
Je suis une divinité peu commune, qui préfère se promener parmi les mortels que de se tenir au sommet d’une montagne ou assise sur un nuage. J’aime faire la fête, voir mes apôtres en pleine effervescence sous les plaisirs que je puis leur apporter. Chacun des sept péchés capitaux me représente; L’avarice, la luxure, l’orgueil, la colère, la paresse, la gourmandise et l’envie. Ce sont les sept mots qui résument la déesse des péchés.

Ma vie éternelle n’a pas plus de début qu’elle aura de fin, mais je ne me rappelle plus du début. La première chose que je me rappelle, c’est d’avoir été perché sur le mont Olympe, à regarder les hommes se détruire pour des croyances dont il n’avait aucune idée de qui avait raison ou tort, je vois encore mes frères jouer à la guerre avec ces pauvres mortels, jouant avec leur esprit pour qu’ils conquièrent plus de terres, faisant accroître leur pouvoir. J’ai le souvenir de mes sœurs, me rejetant simplement parce que j’étais différente, parce que ce que je représentais n’était pas valable à la prière ou à l’effroi, que selon elles ce n’était que la bassesse humaine à sa plus simple expression, qu’il fallait les détruire, et non les prôner. Si ce que je représente est si néfaste pour les mortels, pourquoi est-ce qu’ils tremblent devant la guerre et sourient devant la luxure, ou devant un repas digne des rois?

Mais j’étais quand même l’une des leurs, et ils me toléraient, faute de ne pouvoir me détruire. La vérité étant que j’étais plus puissante que beaucoup de ces Dieux de deuxième ordre, certains demandant même mon aide dans leurs idées démesurées de grandeur. Mais je suis Sins, je ne donne pas à moins d’en recevoir plus. Certaines divinités sont disparues parce qu’ils croyaient pouvoir me faire confiance. Grave erreur.

L’antiquité fût très profitable pour le genre divin, surtout grâce à un mortel appelé Alexandre le Grand, qui avait conquis un grand nombre de terres, étirant notre influence jusqu’à l’Océan. Leur empire tomba, celui des romains s’éleva, encore plus grandiose que le précédent, faisant accroître notre pouvoir toujours plus, mais le temps nous était compté. Nos frères/sœurs les plus avangardiste voyaient la montée d’une nouvelle mode; le monothéisme. Je ne croyais pas que les hommes pourraient un jour nous laisser tomber, mais j’étais aveugle. Un règne, même pour les dieux, ne peut durer éternellement.

Afin d’éviter la disparition, nous nous sommes exilés nous-mêmes, allant s’installer dans une nouvelle dimension, ou nous allions refaire notre pouvoir; Terra. C’est en voyant mes frères et sœurs plus faibles que jamais que je compris une chose. Je ne suis pas comme eux, je n’ai pas besoin de personne qui me prie pour que mon pouvoir se maintienne.

Peu importe le temps, la divinité à la mode ou les mœurs, les mortels auront toujours de la place dans leur cœur pour le vice.

En cette année, j’ère encore sur Terre comme sur Terra, les failles n’ayant aucune emprise sur mes déplacements. J’eus même appris à me mêler aux mortels. Dans les deux dimensions, je possède des édifices permettant à toute personne d’assouvir les vices qui lui ternissent le cœur : Maison close, esclavage, salle de jeu clandestine, même quelques piqueries sur Terre, et l’équivalent sur Terra, peu importe, pour que ça fasse du bien à mes disciples. Les étudiants de Seikusu ne sont pas à l’abri de mes délices, pas plus que les terranides des contrées froides, mes tentacules de péchés rejoignent la lune aussi bien que le cœur de Tekhos.

Je suis en vous.

Âge : Plusieurs millénaires

Race : Dieu

Orientation : Pansexuelle

Sexe : Transexuelle (Devient féminin en présence d’un homme ou pas)

Autre :
Sur Terre, elle utilise le surnom Matsuma Irigaya. Elle passe pour une étudiante de Seikusu, mais on peut aussi la voir dans l’un de ses établissements. Ou n’importe où ailleurs…
Sur Terra, elle est simplement Sins.
D’un simple claquement de doigts, elle peut faire remonter votre désir le plus profond à la surface, peu importe quel désir, au point où vous ne pouvez vous concentrer sur autre chose, jusqu’à ce qu’il soit assouvi.
Elle reste une déesse, donc si vous priez en son nom, elle vous entendra et vous trouvera. J’ai cependant du mal à voir pourquoi on prierait pour des péchés.