Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Centre-ville de Seikusu => Le quartier de la Toussaint => Discussion démarrée par: Yasuo le vendredi 08 mai 2015, 18:56:35
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Yasuo était partie de Nexus, elle faisait sa depuis plusieurs semaines maintenant, elle cherchait des passages, des failles, un "truc" pour aller dans un autre monde quoi ! Elle s'était rendue dans le centre-ville de Nexus pour chercher des informations mais elle n'avait rien trouver, ou alors, tout avait disparu. Pas de chance pour elle, et donc comme je le disais, elle se déplaçait hors de Nexus, cherchant. Elle avait naturellement avec elle ce dont elle avait besoin, son katana, son instrument à vent, des bandages, quelques provisions et de l'argent. Elle se déplaçait, elle avait commencer par le Nord, puis était allé à l'Est, puis au Sud, et maintenant, elle était à l'Ouest. La jeune femme avait cherché durant des heures et semblait fatiguée. Au moment où elle allait repartir, elle apperçus un petit chemin rocheux, qu'elle n'avait pas remarqué auparavant, celui-ci s'enroulait autour d'une sorte de pic rocheux, et lorsqu'elle fût en haut, après quelques minutes de marche bien entendu, une énergie bizarre était devant-elle. Elle n'avait jamais vu sa, mais au premier coup d'oeil, elle savait que c'était ce qu'elle cherchait, du moins elle ésperait. Elle ésperait également que ce portail, la mène vers ce qu'elle voulait, un endroit rempli de faible, et non un enfer quelconque qu'elle n'apprécierait pas grandement.
La jeune épéiste vérifia une dernière fois ses stocks, puis traversa le portail décidée. Une sensation particulièrement étrange, elle avait eu l'impression d'avoir fait des milllions de kilomètres en quelques secondes. Et la voilà dans un monde, assez surprenant, à peine arriva-t-elle que son cerveau fût rempli d'information, il y avait beaucoup de bruit, et celà provenait de carcasse en métal, ça allait vite en plus, et il y avait des gens à l'intérieur. Il y avait de grandes constructions au loin, c'était haut, très haut! Il y avait des sortes de ponts sur lesquels les carcasses de faire marchaient, volaient? Enfin bref, elle voulait s'échapper de tout ce vacarme dont ses oreilles se remplissaient, alors d'une forte impulsion, elle sauta sur le pont, puis couru sur celui-ci pour s'éloigner des carcasses en fer. Elle arriva donc dans un lieu, ça ressemblait à Nexus, c'était grand, pleins de gens partout, qui défigurait la jeune et belle fille. Parcontre, il n'y avait pas de marché aux esclaves, c'est la seule chose qu'elle remarqua.
Soudainement, elle se fit arrêter par un homme, quelqu'un en bleu, on ne voyait que son visage et ses mains, le reste était couvert, il avait une sorte de symbole, et des trucs en fer bizarre. Il lui demanda de s'arrêter, et c'est ce qu'elle fît. Une discussion s'ensuivit :
- "Madame, et vous en tant que citoyenne, vous ne pouvez pas exposer votre corps ainsi, vous incitez au sexe et cela nuit à votre image, à celle que vous donner aux femmes et à la société, je vous prierais de bien vouloir vous recouvrir plus que sa."
La jeune fille le laissa parler, ne comprenant pas tout ce qu'il disait, mais bordel, elle faisait bien ce qu'elle voulait, elle s'était habillée comme sa depuis toujours et voilà qu'on vient lui dire qu'il faut qu'elle se change, non mais oh !
- " Excuse-moi, moooonsieur. Mais je fais comme je veux, d'accord? Ce n'est pas parce que je suis supérieur à toi que tu peux me parler comme ça, et d'ailleurs, utilise des mots que je comprends ! "
L'aggressivitée s'était faite ressentir, et le policier vint sortir ses menottes puis se rapprocha de Yasuo, afin de la menotter. Chose perdue d'avance, puisque l'homme se fît tué aussi sec. Le problème c'était les gens autour, tout le monde courait dans tous les sens en criant qu'un "policier" venait de mourir, et Yasuo ne comprenait pas, seul un homme continuant son chemin sur le même côté que la jeune femme, il ne semblait pas avoir été affectée par la mort de l'autre homme.
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Que faisait votre bon vieux Sarkesh sur terre ? Hum… facile à deviner en fait, le démon développait sa filière… il y avait une propension aux humains magiques sur terre était au moins identique à celui de terra, et plus encore, il y avait quelque chose de plus, ici, notamment la concentration… en général, par village, il y en avait un ou deux par génération, mais sur cette planète, il y avait de telles concentrations humaines que rien que dans ces bâtiments où on élevait les jeunes, le taux de magie était hallucinant ! Il voyait les profits juteux qu'il pouvait en faire et commençait à construire un réseau d'enlèvement pour se retrouver à s'amuser sur terra avec des proies faciles d'ici. Il était prêt à s'amuser ainsi…
Il était en train de faire un repérage dans le quartier de la Toussaint, le meilleur endroit pour réussir ! Ici, les enlèvements et autres infamies(selon les humains ) avaient lieu assez souvent pour qu'il puisse penser que c'était l'endroit parfait. Pour que tout soit réglé il avait même acheté une « planque » un grand appartement au dernier étage d'un immeuble un brin mal famé qu'il avait vite vidé de sa mauvaise graine pour être à l'aise, quitte à ce que certains disparaissent mystérieusement. Il ne pouvait s'empêcher de sourire alors qu'il repérait un spectacle étrange, une femme, habillée à la mode de Nexus, pas la grande mode, mais il reconnaissait assez bien les éventements, qui marchait un peu l'air de rien ici, alors qu'elle se faisait aborder par un policier. Sans doute un de ceux qui tentent de tirer leur coup, vu la tenue de la belle.
Le suite le surpris un peu… à peine deux mots d'échangés et déjà elle lui pourrissait la gueule à coup de sabre, le faisant assez pisser le sang pour qu'il crève avant de toucher le sol… vindicative et agressive… d'autant qu'il avait vaguement entendu le contenu du discours… rien de bien folichon de la part du défunt… et elle… attendez… elle avait dit qu'il était faible ? C'est tout ? Et ben elle n'était pas prétentieuse pour un sou celle-là…
Déjà autour, la foule était gagnée par la panique, les gens couraient en tout sens comme des animaux effrayés, il fallait qu'ils soient ainsi, car ils n'étaient jamais que cela, des animaux un rien plus évolués que les autres, mais des animaux. Elle ne semblait pas non plus perturbée… amusant… il se dirigea vers elle d'un pas tranquille, un pas félin, un pas de prédateur, car c'était ce qu'il était… un prédateur et un tueur… Arrivant à sa hauteur il lui lança sur un ton badin.
« Pas très discrète comme réaction… tuer à tout bout de champ est une connerie… si tu veux vivre, et surtout si tu veux rester libre, je te conseille de ranger ton sabre et de faire profil bas…. Alors, tu vas m'écouter ou me penses-tu faible ?? »
Provocation, peut être. Elle ne le toucherait pas. Il était un putain de démon. Que craginait-il d'elle au juste ? Absolument rien. Ses lippes s'ouvrirent sur un sourire carnassier.
« Alors viens, nous allons te trouver un coin tranquille pour te faire oublier... »
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Yasuo remarqua l'homme arriver, il semblait sourire, pour le moins content, joyeux, il marchait toujours vers moi en me fixant, puis lâcha d'un air hautain :
- "Pas très discrète comme réaction… tuer à tout bout de champ est une connerie… si tu veux vivre, et surtout si tu veux rester libre, je te conseille de ranger ton sabre et de faire profil bas…. Alors, tu vas m'écouter ou me penses-tu faible ?? Alors viens, nous allons te trouver un coin tranquille pour te faire oublier... "
Je le fixais dans les yeux, qu'est-ce qu'il voulait, ce type? Il avait l'air fort, c'est le moins qu'on puisse dire, parcontre, il l'ouvrais trop, malgrès son beau physique. Et il y allait une autre chose qui allait s'ouvrir; son crâne :
" Pourquoi je devrais écouter un faible parmis les faibles, pour l'instant tout ce que tu as fait, c'est marcher, et non fuir, ce qui est déjà une preuve de courage, ou de stupiditée. Et puis d'abord, pourquoi je devrais venir avec toi? Pourquoi devrais-je t'obéir alors que tu n'est poir l'instant, rien pour moi, hein?!"
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Comme toute première réaction, elle se contenta de le regarder dans les yeux. Effrontée ! Elle baisserait les yeux devant plus fort qu'elle ! Comme tous les autres. Il était un démon, pas une pucelle ! Il allait lui mettre une tannée si elle continuait à le regarder comme ça… était-il présomptueux ? Peut être mais il en doutait. Il se connaissait bien, il se connaissait même trop bien… il savait qu'il devrait sans doute se retenir pour ne pas lui défoncer le crâne. Rien que la taille et la carrure mettait en avant la différence déjà marquée. Il était presque un colosse à tout point de vue et sous la chemise ouvert en partie on voyait le début de pectoraux saillants qui apparaissaient.
Elle prit la parole, le défiant, lui, après le policier… belle erreur. Savait-elle à qui elle avait à faire ? Non, sans doute pas, ça aurait été trop beau sinon ! Elle aurait pu voir son pas félin et carnassier, son sourire ravi à l'idée de la violence comme du massacre.. il sourit et regarda la jeune femme avec un petit sourire alors qu'elle concluait ses paroles… et il ricana avant de carrément éclater d'un puissant rire, rire qui ne dura pas bien longtemps, d'ailleurs… en effet il finit et ses traits se durcirent d'un d'un seul coup. Elle voulait une leçon, elle allait l'avoir.
« Tu es de Nexus, c'est ça ? Ta tenue le laisse supposer… je ne suis moi-même pas d'ici… mais si tu viens bien de nexus tu devrais te montrer plus prudente… tu dis que je ne suis rien pour toi ? Et bien je vais t'abimer ta petite gueule d'ange suffisamment pour que tu te rappelles avec humilité de cette journée, journée où ton seul repas aura été une bonne salade de phalange... »
Entérinait-il le défi ? Tout à fait… Il comptait bien lui faire comprendre qu'il était fort. Plus fort qu'elle, il était un démon.
« Je suis Sarkesh, grave ce nom dans ta mémoire. Ton nom n'est pas important, on ne retient jamais le nom des perdants. Il signifiera défaite, mais je pense qu'avant de se battre il y a quelque chose à définir... »
Oui, un petit élément, qui pourrait rendre les choses plus qu'amusantes, non ? Alors à elle de le déterminer… ou alors il faisait une petite proposition.
« Si tu es battue, tu me serviras, si je suis battu, tu feras ce que tu veux, je m'en fous, ça te va ? »
Il se mit en position pour se battre, sortant un couteau papillon de sa poche et s'amusant à montrer une dextérité plus qu'appréciable avec. Puis, en position, il attendait qu'elle porte le premier coup.
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L'homme prît directement la parole, il était très content, et en même temps énerver, excité :
- "Tu es de Nexus, c'est ça ? Ta tenue le laisse supposer… je ne suis moi-même pas d'ici… mais si tu viens bien de nexus tu devrais te montrer plus prudente… tu dis que je ne suis rien pour toi ? Et bien je vais t'abimer ta petite gueule d'ange suffisamment pour que tu te rappelles avec humilité de cette journée, journée où ton seul repas aura été une bonne salade de phalange... Je suis Sarkesh, grave ce nom dans ta mémoire. Ton nom n'est pas important, on ne retient jamais le nom des perdants. Il signifiera défaite, mais je pense qu'avant de se battre il y a quelque chose à définir... Si tu es battue, tu me serviras, si je suis battu, tu feras ce que tu veux, je m'en fous, ça te va ?"
Je l'écoutais proliférer ses singeries, son blablabla de "belles paroles", seule la fin m'intéressait, et me donna un sourire carnassier, avant de lui rétorquer :
-"Tu parles trop, connard. Retiens seulement le fait, que tu as le privilège de mourrir à mes pieds!"
Et sur ce, mon visage se refroidis et se raidis, je le fixait droit dans les yeux, alors que j'essuyais ma lame du vil sang du policier que j'avais déchiqueter auparavant. Je rengainais alors mon sabre, et en rien de temps je me retrouvais derrière lui. Pour une personne normal, je suis juste passer derrière lui, alors qu'en réalitée, je me suis ruée vers lui, tout en dégainant mon katana, afin de le trancher en biais, d'en bas à gauche en haut à droite, sur tout son torse, puis passer derrière lui afin de rengainer mon katana. L'attaque l'avait-il touché?
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Oui, c'était excitant, il allait se battre, il allait frapper fort et elle comprendrait qu'il ne se moquait pas d'elle… il était capable de l'affronter, il était capable de la battre, il en était intimement persuadé… et il le montrait ouvertement par la confiance en lui qu'il montrait, qu'il affirmait par tout son être… elle n'était jamais qu'une humaine, habile au sabre peut être mais rien de plus… il sourit et regarda la jeune femme qui faisait clairement comprendre qu'elle n'avait rien à foutre de tout cela… il sourit et regarda la jeune femme qui essuyait méthodiquement le sabre du sang qui le maculait. Première erreur : le sang était à retirer à peine le coup porté, pas plus tard, question de ne pas abîmer la lame.
« Tssst… prétentieuse... »
Plus elle attaqua, un coup diagonal, de haut en bas. Parfaitement exécuté, presque trop rapide pour être esquivé. Presque. Il se déplaça juste un peu, la lame ne fit que lacérer le tissu, les chairs n'étaient épargnées que de justesse. Il sentit le coup lui effleurer la peau, laissant une marque d'égratignure tout du long. Ça ne saigna pas. Il sourit et ne rechercha pas à frapper de suite après, ayant suivi le mouvement des yeux… il y avait une faille ans le fait de rengainer… juste avant de la lame ne se glisse dans le fourreau.
« erreur »
Il fit pivoter son couteau, rangeant à moitié la lame et la deuxième parte du fermoir s’abattit sur la lame de la jeune femme pour qu’il puisse la tenir en toute sécurité. Et qu'importe qu'il la lui brise ! Il fit descendre la prise jusqu'à la garde et utilisa un mouvement de torsion dans le but de la lui arracher des mains. Dans le même mouvement, il se glissa vers elle pour exécuter un tacle sur son genou peu orthodoxe mais terriblement efficace quand il était réussi...
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Mes yeux s'étaient écarquillés, il venait non seulement d'esquiver mon coup, mais en plus, il était en train de me désarmer ! Malgrès la différence de nos armes, je n'avais pas le choix, il était beaucoup plus fort que moi, et je me devais de lâcher mon arme, qui se planta au sol quelques mètres plus loin. Mais ce ne fût pas sans lui laisser une surprise, j'avais vu son tacle arriver, et ainsi je sautais rapidement, afin de renvoyer mes pieds sur son genou à lui, il eût été possible que je lui brise. Et je prenais appui de ce coup afin de me projeter vers ma lame, que je venais récupérer. Le combat marquait une légère pause, et je le fixais dans les yeux.
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Redoutable coup, il ne pouvait que reconnaityre cette capacité qu'elle avait e vite s'adapter, en effet, elle avait lâché son sabre mais elle n'était pas restée à attendre, elle avait sacréfié son arme pour qu'elle soit en mesure de ripostrer,et c'était une riposte oplus que convaincante, plus que réussie : sauter à pieds joints sur son genou pour le faire céder, voilà qui était une bonne idée, un bon moyen de terrasser un adversaire : le rendre incapable de rester en appui sur cette jame. Cela aurait mis en déroute un humain. Il n’était pas un humain.
Son genou tint bon, mais il devait faire attention, un deuxième coup comme ça et ce ne serait sans doute pas la même limonade ! Il se redressa et ne prit même pas la peine de ramasser le couteau encore au sol, à quoi bien Il sourit et regarda la jeune feme dans les yeux, comme elle le faisait elle-même. Il eut un sourire et arracha sa cghemise abimée pour se mettre torse nu, ça ce serait mieux ; il fit rouler les muscles des épaules avant de finalement lui sourire, carnassier.
« T'es pas mauvaise… et si tu me montrais ce que tu vaux, au lieu de tourner autour du pot et de jouer les danseuses, femelle ? »
Il se plaça dans une position étrange, inclinant ses jambes jusqu'à être presque accroupi, un avant bras à la verticale devant lui, poing ferré, et son autre bras replisé, paulme vers le ciel… cette position était la huitième garde d'un vieil art matrtial ensigné durant son enfance, et perdu depuis longtemps… elle n'était pas imparable, cette garde, en fait elle indiquait qu'il était prêt à encauisser un coup pour en rendre un, et si il rendait, ce serait relativement violent...
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Il l'avais encaisser, ce mec n'était clairement pas humain, ni faible, c'est ce que je comprenais, son articulation aurait du craquer, c'était sûr, j'en péter plus d'un genou depuis ma naissance avec cette technique, alors pour qu'il l'encaisse, c'est vraiment qu'il est balai-.. pourquoi il se déshabille là? Il est malade ce type.. :
- "T'es pas mauvaise… et si tu me montrais ce que tu vaux, au lieu de tourner autour du pot et de jouer les danseuses, femelle ?"
Grr... danseuse?.. Il se fout de moi, il va en voir, de la danse !
A ce moment précis, mon inspiration explosa, et le vent apparu en moi comme une magie innée. Si bien, qu'en moins d'un fragment de seconde, mon katana s'était rengainer, et une pression due au vent autour de moi était forte, presque palpable. La seconde qui suivit, mon katana était pointée vers lui, et comme un commandement, l'air qui s'était accumulé autour de moi fonçait vers mon adversaire, un vent plus tranchant que jamais. Je l'observais attentivement, j'avais dès alors rengainer ma lame dans mon fourreau, observant son esquive ou sa parade, pour lui foncer dessus en exécutant une technique de Iai, plus rapide que jamais.
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Elle perdrait ce combat. Il en faisait son leitmotiv, pour une seule raison : voir le visage déconfit de la jeune femme ! Voilà qui était- parfait à ses yeux ! Oh oui, ce serait un délicieux spectacle ! Il eut un ricanement alors qu'il la voyait se vexer encore un peu tous ces propos ! Il lui fit un clin d’œil et lui fit signe de venir, qu'il l'attendait et qu'elle n'avait aucune chance…
Il la vit rengainer son katana.. ; oh, allait-elle employer des techniques de batto ? Peut être ! On disait que cet art permettait d'être aussi mortel que celui du simple combat… il eut un nouvel éclat de rire alors qu'elle se mettait en position face à lui, prête à dégainer. Elle ne se battait pas trop mal, il fallait le reconnaître. Bon, okay, il fallait le reconnaître, il n'encaisserait pas des coups comme ça tous les jours… mais il pouvait bien encaisser pour aujourd'hui !
Elle avait dégainé à une vitesse qui, il était difficile de le nier, était plus que bonne, suffisamment pour sentir la brûlure de la friction du vent qui passa contre lui, lui laissant une jolie entaille sur l'épaule… il avait eu chaud ! Un peu trop lent et il aurait été proprement,et coupé en deux… il grogna de douleur mais ne regarda même pas sa blessure, la laissant à l'air libre et attendant la suite, suite qui venait déjà dans une nouvelle coupe, plus proche cette fois puisqu’elle lui avant foncé dessus. Okay, il était temps de régler le problème.
L'art de dégainer une lame était quelque chose de simple et efficace : avec une bonne technique on pouvait à peu près tout contrer, pour peu que l'on puisse s'orienter vers l'adversaire… attaquer quelqu'un en position de dégainer était du suicide. Il lui sourit et lui fit une sorte de grimace peu aimable alors qu'il reculait au bon moment pour qu'elle dégaine dans le vide. La lame, juste après le mouvement pour dégainer devenait un fardeau pendant quelques instants. Il les mit à un profit, frappant de son poing au niveau de son plexus. Et si elle avait la cage thoracique brisée. Au pire, tant pis.
« Alors, respire un coup ça ira mieux ! »
Si ça avait porté, il al regarderait se lier en deux, pour enchaîner avec un violent coup de coude sur la tempe.
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J'étais déterminée, concentrée comme jamais devant cet adversaire démesurément fort. Alors que ma technique de vent s'était lancée et était venue entaillée son épaule, mon coup de Iai le frôla, quelques centimètres seulement et il aurait été tranché, mais ce ne fût pas le cas, ce qui ce passa, c'est qu'après ma technique, le faible temps où je ne pouvais attaquer, il en fît usage pour m'asséner un coup de poing d'une violence inouïe, qui aurait presque pû expulser mes yeux de leurs orbites. A l'impact j'entedis quelques côtes craquer, quel force brute.. je n'ai jamais vu sa.
« Alors, respire un coup ça ira mieux ! »
Et en plus il me provoque ce chien! Mes yeux fusèrent sur mon autre flan, il attaquait donc avec son bras opposé, et avec son coude visiblement. Le coude est puissant, beaucoup plus qu'un coup de poing, mais sa portée est courte, et pour atteindre sa cible, il faut souvent faire un pas en avant, un pas sans doute mortel. Alors que cet enculé s'était avancé, il n'avait sans doute pas remarquer ma lame, qui avait pris la direction opposée, et qui s'apprêtait à couper son joli corps en deux. Oh, et son coup de coude me direz-vous? Le fourreau que je tenait dans ma main droite remontait rapidement pour aller taper dans le coin sensible, ce tout petit coin du coude qui quand on le touche vous donnez l'impression d'avoir des éclairs dans le bras.
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Il sentit la douleur dans ton son bras… saloperie… il le laissa pendre un peu alors qu'il faisait attention à rester contre elle, le temps que la douleur passe… elle avait foutrement bien visé, c'était la moindre des choses qu'il devait reconnaître… mais elle avait bien visé la garce… maintenant il sentait son bras tout engourdi !
Une chose était sur, au moins, elle était encore pleine de fougue et d'envie de lutter, mais d'une certaine manière, tout cela ne valait pas tripette face à lui, mais l'effort était louable, il fallait le reconnaître ! Il eut un petit sourire amusé avant de finalement lui sourire, sarcastique et plein de morgue ! Il la regarda à nouveau alors qu'elle était en train de riposter, ramenant la lame vers lui. Mais elle avait oublié deux choses. Deux choses qui, selon lui, étaient de toute première importance ! Il regarda la jeune femme et lui fit un nouveau sourire en ricanant. Ramener l'arme ainsi vers lui était une erreur.
Il regarda la jeune femme et lui sourit alors qu'elle ramenait son sabre vers lui pour frapper. Mais au lieu d'esquiver comme avant il s'avança davantage. Elle n'avait pas la place de frapper ! Il regarda la jeune femme et lui sourit, se collant à elle., collant son torse contre son corps et la forçant, pas à pas à reculer, assez lentement.
« Pas de bol, difficile de frapper de ta lame, ainsi ! »
Il lui faucha les jambe en lui attrapant les poignets, profitant ainsi de sa masse pour la coucher au sol et lui tenir d'une oigne à presque les lui casser, les poignets tranquille, pour qu’elle ne rappe plus. S'avançant sur son torse il posa son genou sur son plexus et commença à appuyer.
« Tu te rends maintenant ? »
Il appuierait jusqu'à ce qu'elle cède et sa position le prémunissait des coups coups dans les valseuses.
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J'allais le tuer, c'était sûr, il allait mourir, coupé en deux, devant moi, sous mes yeux ! Cette pourriture arrogante crèverait ! Il souriait beaucoup, pour quelqu'un sur le point de mourir, et soudainement, lorsque ma lame se bloqua, je compris pourquoi. Je compris également la différence de niveau entre lui et moi, il s'était avancé, au premier abord je m'étais réjouie car il fonçait vers sa mort, mais lorsque ma lame ne le trancha point je compris toute l'intelligence de sa manoeuvre. Cela me rappela des paroles de Joshua : "Tu sais Kairi, dans ce monde il y a beaucoup d'épéistes, et souvent la différence entre les bons et les exceptionnels n'est que d'un pas.". "Le pas"..., je ne bougeais plus, j'avais seulement tourné la tête pour voir où ma lame s'était arrêtée, sur son épaule, elle n'avait laissé qu'une petite entaille. En une fraction de seconde je me retrouvais à terre, sur le dos, les poignets serrés d'une force inconsidérable, qui m'obligeaient à lâcher mon katana et mon fourreau. Alors que cet enfoiré venait, imposant au-dessus de moi, son genou sur mon plexus, pile l'endroit où il avait précédemment frappé, la douleur était atroce et je ne pusse m'empêcher de lâcher un long cri :
- "AAAAAAAAAAAAAAAAAAAARGH!..."
J'eût fermer les yeux, et lorsque je les rouvris, il m'adressait la parole :
- « Tu te rends maintenant ? »
Je me forçais à sourire, le fixant dans les yeux alors qu'une perle salée emplie de douleur prenait son chemin le long de ma joue, attirée par la gravitée, lui donnant sa réponse en souriant pleinement :
- "Ouais, j'me rends."
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Il l'avait battue, c'était clair, maintenant, non ? Il sourit en la regardant, au sol ; bloquée ainsi sous lui, et sans aucun autre moyen de défense qu'un cri qui ne donnerait jamais à la moindre réponse dans ces lieux. Il était à depuis assez peu de temps, mais assez longtemps pour le savoir néanmoins. Il sourit alors qu'elle admettait sa défaite, les yeux baignés de larmes, mais en même temps le sourire aux lèvres… il relâcha un peu la pression sur son thorax, qu'elle respire plus facilement.
Il ne pouvait s'empêcher de ricaner devant son sourire. Avait-elle tout compris, pour sourire de la sorte ? Peut être ! IL ne lui lâcha pas les poignets pour autant mais se pencha sur elle et lui baisa avec tendresse le front avant de prendre la parole, sur un ton doux, au creux de son oreille, désormais à califourchon sur son ventre musclé.
« Tu as raison de sourire, car tu ne pouvais pas rêver mieux que cela n'est-ce pas ? »
Il sourit et attendit en silence, de voir sa réaction, il voulait lire la peur ou la panique, ou même une légère appréhension, ce ne serait déjà pas si mal ; Il lui sourit de nouveau avec qu'il lui lâchait les poignets pour lui saisir la tête doucement, lui caressant les joues avec les pouces.
« Tu te retrouves devant le plus beau moment de ta vie : d'abord tu prends la valeur de ta force, chose déjà magnifique, mais en plus… mais en plus tu te retrouves à devoir m'obéir, à entrer au service de celui qui t'a vaincue, corps et âmes… que trouves-tu à réduire à cela ? Tu m'appartiens et en plus, tu souris à cette idée… profite, ma belle, profite, car je pense que tu le regretteras bien assez tôt je pense, mais d'ici là, profite pleinement de ce qui t'es offert... »
Il lui sourit avant de la lâcher et de lui dire.
« Jures-tu sur ton sabre de te conformer à mes ordres, de m'obéir et de me servir ? Sans résistance ni discussion ? »
Voilà qui était clair, non ? Si elle était une vraie guerrière, cela l'enchaînerait à vie...
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Je le fixais toujours dans les yeux, et il avait l'air heureux, cet enfoiré. Il ricanais même de sa victoire, quel connard. Puis il s'approcha de mon front alors que mes sourcils se fronçaient, j'étais méfiante. Il posa simplement ses lèvres sur mon front avant de venir chuchoté à mon oreille quelques mots, sur l'instant, j'aurais pût lui arracher l'oreille si l'envie m'en passait, mais j'avais la flemme.
- « Tu as raison de sourire, car tu ne pouvais pas rêver mieux que cela n'est-ce pas ? »
Mes sourcils se réhaussaient alors.
- "Comment sa, rêver mieux? Je me suis fait battre, ce qui n'est pas arrivé depuis un bon moment, mais c'est comme sa."
Il me caressait maintenant les joues alors qu'il y a deux minutes il m'aurait casser une jambe. Mes mains étaient libres, mais je ne faisais rien, il est plus fort que moi de toutes manières, enfin pour l'instant..
- « Tu te retrouves devant le plus beau moment de ta vie : d'abord tu apprends la valeur de ta force, chose déjà magnifique, mais en plus… mais en plus tu te retrouves à devoir m'obéir, à entrer au service de celui qui t'a vaincue, corps et âmes… que penses-tu d'être réduite à cela ? Tu m'appartiens et en plus, tu souris à cette idée… profite, ma belle, profite, car je pense que tu le regretteras bien assez tôt je pense, mais d'ici là, profite pleinement de ce qui t'es offert... »
Aucunes pensées, des réponses directes.
- " Le plus beau moment de ma vie? J'pense pas non, le plus moment de ma vie ce sera quand je botterai le cul de Joshua. (Elle souria largement après cette phrase.) Ma force évoluera constamment, elle n'as pas de limites. On as fait un pari, j'ai perdu, je te sers. Je ne souris pas à l'idée de te servir, je souris car je sais que je vais devoir m'entraîner encore plus pour pouvoir te battre. Et puis t'es pas si moche que sa, donc ça va. "
Il sourit derechef, puis me lâcha.
- « Jures-tu sur ton sabre de te conformer à mes ordres, de m'obéir et de me servir ? Sans résistance ni discussion ? »
- " A partir du moment où je prends un pari, je le respecte. Je n'ai pas besoin de jurer sur mon katana, je te servirais, serais à tes ordres. "
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Il avait écouté ses propos, et il ne s'était jamais départi de son sourire, bien au contraire, il avait toujours été plein de malice et de ravissement quant à l'acquisition qu'il venait de faire… il lui sourit et se releva, lui faisant signe de se relever par la même occasion. Il ne dit rien dans un premier temps, mais quand il prit la parole, il avait un ton particulièrement sec. Le rapport de force avait été clairement établi, et si elle ne voyait pas dans quelle mesure elle avait une chance phénoménale… il eut même, en même temps un geste de la tête.
« Tu as de quoi te réjouir car tu vas pouvoir t'épanouir à la place que tu as bien méritée. Et en plus tu as appris beaucoup de choses avec ce combat et c'est aussi de cela que tu peux te sentir bien et souriante, quant à me battre à 'avenir ? Ne rêve pas ! Tu ne pourras jamais ! Tu es née mille ans trop tard… dans un combat à la loyale, c'est à dire avec un sabre chacun, tu serais morte en moins de dix secondes. Là, j'étais mains nues, alors imagine avec une arme... »
Il sourit et la saisit par le menton pour qu'elle le regarde dans les yeux. Il voulait voir si elle comprenait ce qu'il lui disait en la regardant dans les yeux alors qu'il reprenait.
« Une chose que tu as bien compris,c'est que désormais, tu es à moi ! Alors viens, je vais te montrer où je loge et je t'expliquerais ce que j'attends de toi, exactement ! »
IL lui fit signe de passer devant et il la guida dans les rues jusqu'à un appartement ; Il n'était pas grand, mais largement suffisant pour ce pied à terre temporaire. L’appartement devait faire deux cents ou trois cents mètres carrés quand il entra et il lui montra les lieux rapidement, en silence avant de finalement s'installer dans un fauteuil et attendre qu'elle arrive. Qu'elle s'asseye par terre, à sa place, il lui fit signe d’ailleurs de prendre place sur le pouf à raz le sol, la bonne place à son avis.
« Voilà, tu connais un peu les lieux, je verrais où te faire dormir, mais d'abord, je pense qu'il serait bon de t'expliquer quelques petites choses… en premier lieu, sache que je ne tolère pas la désobéissance, quelle que soit sa forme ! Elle sera punie par le fouet. Si tu as des questions, je suis disposé à te répondre quand tu poses des questions, à condition qu'elles soient pertinentes, justifiées et posées avec déférence. »
Il lui sourit avant de lui lancer, sur un ton particulièrement doux.
« Je suis Maître Sarkesh, rappelle-moi ton nom, servante, et déshabille-toi ! Que je vois ce que j'ai gagné aujourd'hui ! »
Il attendit. Il voulait voir à quelle vitesse elle s'exécuterait !
-
Il n'arrêtais pas de sourire, tout le temps il avait ce sourire au visage. Il se levait, puis je faisais de même, me mettant face à lui en observant les traces que j'avais laisser sur son corps, puis examinant ses muscles avec un léger appétit. Puis je le fixait dans les yeux avant qu'il ne prenne la parole :
- « Tu as de quoi te réjouir car tu vas pouvoir t'épanouir à la place que tu as bien méritée. Et en plus tu as appris beaucoup de choses avec ce combat et c'est aussi de cela que tu peux te sentir bien et souriante, quant à me battre à l'avenir ? Ne rêve pas ! Tu ne pourras jamais ! Tu es née mille ans trop tard… dans un combat à la loyale, c'est à dire avec un sabre chacun, tu serais morte en moins de dix secondes. Là, j'étais mains nues, alors imagine avec une arme... »
Sur mon visage se dessinait un sourire, et même un petit rire se fît entendre. Je le laissais continuer avant de prendre la parole :
- « Une chose que tu as bien compris,c'est que désormais, tu es à moi ! Alors viens, je vais te montrer où je loge et je t'expliquerais ce que j'attends de toi, exactement ! »
Nous commencions à marcher, il me guidait et j'observais la ville, ce n'était vraiment pas le même décor que Nexus.. :
- "Je te battrai, sois en sûr, un jour à armes égales, quand tu seras au maximum de ta force, dans un combat loyal, je vaincrai."
Je continuai d'observer les alentours tout en suivant le chemin qu'il m'indiquait, nous arrivions à sa maison, qui était grande, je n'étais jamais aller dans ce genre de maison, il me disait de le suivre et il me montrais beaucoup de choses que je ne connaissais pas. A Nexus, ceux qui ont des maisons sont riches, dans les bas-fonds on vit dans des taudis. Mais apparemment ici tout le monde a une maison, tout le monde doit être riche je suppose. Nous avions apparemment finit la visite puisqu'on revenait a un endroit que j'avais déjà vu auparavant, lui s'asseyait sur un fauteuil et il me disait de m'assoir sur un truc, je ne savais pas ce que c'était, alors je tatais du doigt, puis de la main. Mais je n'avais vraiment pas confiance, alors je m'asseyais sur le sol à côté de la chose molle alors que l'autre prenait la parole :
- « Voilà, tu connais un peu les lieux, je verrais où te faire dormir, mais d'abord, je pense qu'il serait bon de t'expliquer quelques petites choses… en premier lieu, sache que je ne tolère pas la désobéissance, quelle que soit sa forme ! Elle sera punie par le fouet. Si tu as des questions, je suis disposé à te répondre quand tu poses des questions, à condition qu'elles soient pertinentes, justifiées et posées avec déférence. »
- "Donc si je comprend bien, pas de flemme?"
Pas de flemme, sèrieusement? Il abuse, il veut vraiment que je sois son esclave, et pas sa servante.
- « Je suis Maître Sarkesh, rappelle-moi ton nom, servante, et déshabille-toi ! Que je vois ce que j'ai gagné aujourd'hui ! »
J'haussais les sourcils, comme par hasard. Pourquoi je m'en doutais? Non mais vraiment, tous des pervers. Je me levais alors la mine un peu déconfite avant de lui faire un vif faux sourire et d'enlever mes habits, ce qui me prenait le plus de temps c'était sans doute l'épaulière, je posais le tout sur la chose molle sur laquelle je devais m'asseoir tout à l'heure. Je regardais alors Sarkesh, commençant à enlever les bandages qui retenaient ma poitrine, n'ayant que ma culotte qui restait :
- "J'enlève tout?"
-
Non, elle ne le battrait pas, pour la simple et bonne raison qu'elle n'était pas en mesure de le battre ! Tout simplement ! Il ne se vantait pas en pensées, il savait exactement ce qu'il valait ! Nuance ! Et quelle différence cela faisait ? Aucune çà proprement parler ! Elle était du genre à ne pas l'ennuyer avec ce genre d'histoires ! Il sourit et la regarda, moqueur, alors qu'elle parlait de la flemme. Tout simplement. Il attendit qu'elle ait finie de râler, il ne dit rien, la laisser ronchonner.
Il la regarda se déshabiller, la laissant faire jusqu'à ce qu'elle ne soit plus qu'en culotte et pose une question stupide. Il ne répondit pas immédiatement, levant juste un sourcil des plus évocateur avant de lui sourire et d'opiner du chef. Mais il fit mieux que cela, il s'approcha d'elle et lui arracha la fameuse culotte qui restait d'un geste sec et brusque avant de la contempler rapidement et de l'examiner de la main, palpant son corps, glissant ses doigts fugacement entre ses cuisses, notamment, lui malaxant fortement le sein, lui examinant les deux. Il n'y avait rien de sexuel dans cette série de gestes, c'était plus comme un marchand de bétail qui examinait une nouvelle bête dont il venait de faire l'acquisition.
« Ma foi, tu es convenable mais sans plus. Va mettre tes vêtements dans l'âtre, nous les brûlerons lors du prochain feu que l'on allumera… ce soir sans doute et va vers l'armoire. À sa base il y a un tiroir large et profond dans lequel tu devrais trouver des vêtements qui correspondent mieux à ce que j'attends de toi… non ! Mieux ! Je vais te sortir une tenue, ce sera à toi de la laver, et de l'entretenir, de la repriser aussi, si besoin est ! » [/b][/i]
Il se dirigea vers ladite armoire et ouvrit le tiroir avant de sortir plusieurs piles bien propres de vêtements soigneusement pliés et repassés. Puis il les donna, un par un, à la jeune femme sans se soucier de ses états d'âme. Bien sûr, elle remarqua sans doute qu'il n'y avait pas le moindre sous vêtement parmi ces tenues. Toutes étaient du même genre, un kimono court, s'arrêtant, pour les plus bas, à mi-cuisses, plus ou moins de toutes les couleurs, mais rarement des couleurs trop vives, parfois opaques, parfois transparents, bref, une vraie collection, certains n'iraient peut être pas, mais à elle d'essayer tout cela.
« Voilà, tu devrais avoir de quoi faire. Maintenant, habille-toi de manière adéquate, je te prie, et sans rouspéter, car je ne suis pas spécialement d'humeur patiente. Toutefois, comme il s'agit de tes débuts, j'utiliserai une cravache et non un fouet pour les punitions… un geste miséricordieux, tu ne trouves pas ? » [/b][/i]
Sourire en coin avant d'ajouter.
« Tu n'auras pas besoin de sous-vêtements. Après tout, tu m'appartiens corps et âme, non ? » [/b][/i]
Il lui fit un sourire et un léger clin d'œil pour conclure.
« Ah et j'oubliais, il y a une règle que je n'ai pas mentionnée… quand je donne un ordre, il doit être exécuté le mieux possible et le plus vite possible, et ce sera dix coups pour chaque minute de retard, décompté à partir de la première seconde, tout simplement. Et j'aimerai examiner tout sabre, je te le rendrai après ! Je te le promets. Et pour le moment, n'ai-je pas tenu toutes mes promesses ? » [/b][/i]
Si elle acceptait, il sortirait du tiroir une longue ceinture faite d'une simple bande d'une soie particulièrement fine et onéreuse et noua celle-ci de manière à couvrir le haut du fourreau, la garde et une légère partie du manche, comme un sceau. C'en était un, un sceau qui serait magiquement renforcé. Pour dégainer son sabre, elle devrait lui demander l'autorisation. Tout simplement. Mais si elle refusait, il ne la réprimanderait pas.