Titre: Lord
Nom: Van Der Kingston
Prénom: Alexander
Âge: 27 ans
Métier: Aristocrate
Race: Humain
Description Psychologique: Narcissique, bourgeois, apathique et susceptible, il considère les gens du peuple comme ses inférieurs, n’ayant pas le titre, la caste ou même les manières pour le regarder dans les yeux. Pour lui, ses serviteurs sont des esclaves et sont les êtres vivants les plus hauts placés dans la hiérarchie après lui. Il ignorera tout ce qui se passe autour de lui sauf si cela finit par l’irriter à un niveau élevé. La personne qui refusera de lui obéir se verra corrigée jusqu’à ce que ladite personne devienne docile à souhait aux moindres de ses caprices. Ne faites même que l’effleurer et vous aurez droit à l’une de ses redoutables gifles du revers de la main. Alexander a une habitude qu’il fait inconsciemment: lorsqu’il porte un chapeau, il ne peut s’empêcher de le toucher sans cesse… Mais comme il déteste avoir les cheveux mal coiffés, il vit un terrible dilemme…
Description Physique: Alexander est un grand aristocrate et il émane de lui une aura de style inatteignable. Il incarne la perfection de ses beaux cheveux noirs au reflet d'un beau bleu soyeux, aux semelles de ses bottes de qualité. Ses yeux dorés lui donnent un regard mystérieux et attirant, tout en étant froid et cruel à la fois. Le genre de regard qui fige n'importe qui sur place à l'instant même ou la dite personne le croise. Il a une bouche sensuelle avec des lèvres faites pour le baiser. Sa voix est étonnamment douce et virile tout à la fois et son vocabulaire enrichi est aussi impressionnant que son image est soignée. Sa taille est plus fine que masculine, mais ça ne fait qu'ajouter à sa qualité de gentleman qui ne force pas pour les tâches indignes. Le fait qu'il n'a pas à accomplir des actes physique rend ses mains très frêles et féminines. Sa carrure sensiblement petite ne l'empêche pas d'avoir un énorme sex-appeal; sa personnalité s'occupe de combler ses manques physiques. Il porte un veston noir en soie par dessus sa chemise blanche, Il a aussi des gants noirs pour grandir un peu ses mains et un joli chapeau haut de forme aussi noir. Il emporte toujours sa canne d'os avec lui. Personne n'a jamais su de quel os elle était fabriquée et peu savent qu’elle dissimule une fine et longue lame.
Histoire:
Perfection: qualité de ce qui est parfait, sans défaut, accompli, idéal
Noble: membre de la noblesse, aristocrate
Narcissique: personne éprise exclusivement d'elle-même
Alexander Van Der Kingston : Noble narcissique et parfait.
-Allemagne, 1786-
Heinrich Van Der Wein n’était rien d’autre qu’un simple paysan de région qui ne vivait que de ses vignobles où il y cultivait plusieurs types de raisins différents, les écrasait lui-même pour en faire un vin qu’il faisait vieillir dans les caves de sa modeste petite maison. La phrase qui restait gravée dans sa tête n’était rien d’autre que "Je suis né pour le vin". Il vendait son produit au marché du village le plus proche et y récoltait parfois un moyen profit satisfaisant qui lui permettrait de manger pour le mois à venir. Une routine difficile à laquelle il s’était habitué comme son père, son grand-père et les sept générations précédentes l’avaient fait. Il ignorait tout de ce qui se passait dans le pays, trop concentré sur sa production. S’il ne travaillait pas, il n’avait pas de produit. Sans produit, pas d’argent. Pas d’argent, incapacité à vivre bien.
Un beau jour, quelqu’un vint frapper à sa porte, un étranger qui demandait à se rafraichir un peu. Heinrich étant un homme généreux, il lui offrit un verre de son meilleur vin et l’homme affirma qu’il s’agissait du vin le plus exquis qu’il n’avait jamais bu. Quelques minutes plus tard, l’homme quittait les lieux avec une bouteille du fameux vin et disparut dans l’horizon. Six ans plus tard, on vint à nouveau frapper à sa porte mais cette fois-ci, il s’agissait de la gendarmerie royale qui lui apportait un message du nouvel Empereur d’Autriche et d’Allemagne, Franz II qui lui offrait le poste de sommelier personnel de l’empereur. Qui n’accepteraient pas celle offre alléchante? C’est ainsi qu’il acquit un titre de mi-noble et qu’il apprit à vivre dans le luxe des dirigeants du monde.
En 1809, Lorsque Franz II attaqua la France et fut battu par Napoléon, Heinrich passa du côté français, gardant son rang et son travail de sommelier pour les plus nobles. Il finit par se marier et avoir des enfants. Il mourut dans le luxe le plus parfait, aux côté de sa nouvelle génération qui allait commencer la plus totale lignée de perfections de la nature.
Ses descendants restèrent dans la mi-noblesse en tant que familles amies des familles nobles et avaient un certain titre qui imposait le respect auprès des gens. Ils étaient les pauvres des riches en quelque sorte…
-Lieu inconnu, 1981-
Un bal, quoi de plus banal pour des nobles et les plus riches de la société que d’assister à ce genre d’événement et rencontrer les plus et moins riches que nous? Parmi la plèbe de faux riches et de semi-nobles se trouve un homme qui a une longue histoire gravée dans les côtés de la royauté. De l’une des familles annexes à la famille royale principale, Lord Frederick Kingston le troisième, est assis à une table en regardant avec ennui la coupe de vin qui lui a été servie. Ce genre d’événement ennuyant où il faut être pour démontrer que nous sommes plus riches, plus snobs et plus parfait que les autres… Il savait qu’il était au dessus de tous ces gens… Mais soudain, une voix charmante et sensuelle susurre à ses oreilles, une réplique sur le vin lui étant adressée.
"On ne peut mettre de vin nouveau dans de vieilles outres… Mais un très vieux vin dans une nouvelle coupe gagne à tous les coups, surtout le vin délectable de ma famille…"
Se retournant, Kingston vit une jolie femme vêtue de rouge qui le regardait du coin de l’œil dans sa robe aussi rouge que le vin dans la coupe qu’elle tenait en mains… Cette femme était Franziska Van Der Wein, dernière héritière de la famille de nobles sommeliers pour la haute-classe. C'était la femme parfaite en tout points. La première fois que leurs regards se croisèrent, c’était comme si l’alliance était déjà passée à leurs doigts. Quelques semaines plus tard, ils se mariaient sous le nom Van Der Kingston, de sorte à garder les racines germaniques des Van Der Wein et le titre de noblesse Anglaise des Kingstons. Le somptueux manoir des Wein fut vendu à une famille de nouveaux-riches et le Château Ancestral des Kingstons fut rénové de fond en combles, remplaçant la pierre taillée d’origine par le marbre et le chêne. Une réplique identique (sans oublier le vignoble) du château rénové vu construite dans la ville japonaise de Seikusu, par pure fantaisie et devint rapidement leur maison d'été.
L’union des deux familles les fit passer au niveau des plus riches de tous les riches et de snobs à encore plus snobs. Les fortunes des deux familles sans oublier les héritages combinés faisaient d’eux des multimilliardaires. Un gigantesque vignoble fut instauré sur leur domaine, entouré de montagnes pour protéger le raisin et les escl... employés rémunérés. Pour mesurer leur propriété, on ne se servait plus de mètres carrés, mais bien d’hectares.
Il leur fallu trois ans pour enfin concevoir un garçon qu’ils nommèrent Alexander.
Alexander est né dans les billets. Certains naissent avec une cuiller d’argent dans la bouche, et bien, la sienne était faite d’or et de diamants. Cependant, il n’eut pas la vie facile… Il devait aller chercher le journal le matin tout les jours, avec son propre chauffeur, être présent aux cérémonies ennuyantes que ses parents organisaient pour entretenir de bonnes relations avec leurs actionnaires et leurs semblables de sang riche, se faire voir dans tous les établissements que ses parents possédaient… En plus des cours de violon et de piano donnés par des maîtres de ces instruments. Durant toute sa jeunesse, la mère d'Alexander ne cessait de lui dire qu’il était le plus beau, le plus parfait, celui qui était trois-cent étages au dessus de la masse grouillante que représente le peuple. Ses parents avaient toujours méprisés les hybrides, ces êtres immondes nés de l’union malsain d’un humain et d’un animal ne pouvaient être que traités comme des animaux, bons à se retrouver dans une fourrière ou dans un chenil pour le restant de leur misérables vies.
Le comportement de ses parent finirent pas déteindre sur son psychologique et fit en sorte qu’il grandisse en étant snob, narcissique, égoïste, au dessus des autres et que rien au monde ne puisse l’intéresser au même niveau que sa parfaite personne. Cette conscience involontaire le poussa donc à devenir le meilleur dans tout ce qu’il entreprend et c’est ainsi qu’il passa à travers l’enseignement privé avec des résultats de génie. La même chose se produisit avec ses cours de piano et de violon, sans oublier ses cours d’escrime qui prenaient pourtant tout ses mercredis et jeudis.
Bien qu'extrêmement riche, Alexander ne pris jamais conscience de la valeur réelle de l'argent. Il dépensait sans compter pour des parures extravagantes qu'il offrait bien évidement à sa charmante personne.
Lorsqu’il eut l'âge de 26 ans, ses parents partirent en voyage de noces pour un temps indéterminé dans le but premier d'initier leur fils à la direction d'un manoir aussi énorme que celui qu'ils possédaient. Ils avaient remarqués son comportement insouciant et ils avaient décidés d'y mettre fin en le forçant à prendre des décisions importantes pour gérer sa propre fortune. (La leur étant en sécurité dans un compte suisse, ils ne sont pas si suicidaires.) Ils partirent donc, dis-je, dans deux buts. Le premier étant dit, le deuxième étant bien sûr de renouer amoureusement leurs liens. Quand Alexander découvrit le petit mot de ses parents richissimes disant qu'ils mettaient les choses entre ses mains gantés, il s'enragea, puis repris vite le contrôle de lui même car froncer les sourcils ça donne des rides. Ils voulaient partir? Ils lui donnaient les reines de la maison d'été? Bien, très bien. Il ferait donc dorénavant tout à SA manière, la forte. Son humeur fut grandement affecté par ce changement de vie imprévu et il passa la plupart du reste de son temps à malmener ses nombreux employés.
Le Manoir Van Der Kingston: Le manoir ancestral des Van Der Kingston comporte une quinzaine de sales toutes plus luxueuses les unes que les autres. Il y a trois ailes en tout. L'aile A comporte les cuisines, qui elles donnent vers l'extérieur où il y a un magnifique jardin rempli des plus rares fleurs exotiques du monde. À partir de ce jardin on peut accéder aux dortoirs des employés du manoir, et aussi au vignoble personnel de la famille Van Der Kingston. Les vins qui y sont fabriqués sont bien entendu les plus exquis du monde depuis plusieurs générations grâce à la méthode secrète du premier Van Der. L'aile B est réservée à la salle à manger familiale, au grand salon remplis de tableaux de maîtres hors de prix, à la salle de thé et à l'immense bibliothèque qui selon des sources fiables, contiendrais les livres les plus recherchés dont certains seraient apparemment même des livres dits disparus depuis des milles. Quant à l'aile C, elle est composée des "bedrooms" confortables à souhaits, de la salle de réception immense pouvant contenir plus de 2000 invités (Évidement, tous ces invités sont choisis avec les plus grands soins pour éviter la racaille, cela va de soi.) La décoration du manoir est planifiée et exécutée par les plus grands designers du monde. Ce n'est pas le confort et la soie qui manque dans cette demeure qui respire le luxe à plein nez.
Aime: Sa personne, les beaux vêtements, la mode, les gens qui ne le touchent pas, les arts, la musique classique, le bon parlé…
N'aime pas: Tout ce qui n’est pas lui, les esclaves, les gens malpropres, les araignées, les choses qui font trop de bruit, le manque d'honneur, les fumeurs, l'humour et les hybrides.
Comment j’ai connu le forum: Par le channel IRC
