Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Calliope Tick

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Les alentours de la ville / Re : Chaque rose à ses épines [Jonathan Saints]
« le: jeudi 27 novembre 2014, 20:18:16 »
Son regard se posa sur la bague quand il en fit mention. Elle était tiraillée entre deux envies contradictoires. Dune part, elle voulait rentrer, voir Gabriel. Mais en même temps, d'autre part, elle ne voulait pas laisser Johnny. C'était totalement incompréhensible.

Elle ne tergiversa pas plus longtemps, parce que le barman la plaquant contre le mur pour l'embrasser. Elle laissa elle aussi tomber sa bière, nouant impulsivement ses bras autour du cou de l'homme. Elle entrouvrit les lèvres, laissant le loisir d'explorer sa bouche comme il le désirait.

Il finit par venir lui mordiller le cou. Elle laissa échapper un soupir, sa raison déclarant forfait. Elle sourit, un bref rire franchit ses lèvres.

« Alors, tu vas me violer ? Susurra-t-elle contre son oreille. »

Un frisson d'excitation la parcourut tandis qu'il emprisonnait les fins poignets de la rousse. Elle était à sa merci, oui. Et le pire, dans tôt ça, c'est que ça l'excitait. La pauvre était dominée par ses hormones. Attirée par les mauvais garçons et le danger. Avec ça, Gabriel n'était pas sorti de l'auberge.

Elle marqua un peu le dos pour se décoller du mur, et ses lèvres effleurèrent celles du barman, sans toutefois s'y attarder.

Calliope était aussi peu méfiante que s'il s'était agit de Tyler, de Gabriel, ou de n'importe qui qu'elle connaissait depuis longtemps. Elle faisait trop facilement confiance, et elle était trop facilement excitée par l'inconnu.

« Raconte-moi donc ce que tu voudrais me faire... »

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Le quartier de la Toussaint / Re : Euh... tu fous quoi ici ? [Pv]
« le: jeudi 27 novembre 2014, 17:35:35 »
Trois autres personnes ? Calliope fronça les sourcils. Décidément, cette nuit avait été riche en émotions. Elle n'eut pas le temps de s'interroger plus que déjà Gabriel revenait vers elle, l'entraînant avec lui. Il lança l'idée de le regarder, une fois à l'appartement. Elle approuva immédiatement. Ne serait-ce que pour voir la tête de ces trois autres personnes. Mais un frisson d'appréhension la parcourut, comme si, sur ce film, il risquait d'y avoir une partie de la nuit encore complètement loufoque. Dangereuse. Qu'est-ce qu'ils allaient pouvoir trouver dessus ?

Elle secoua la tête pour chasser ses pensées, et répondit avec fougue au baiser qu'il lui offrit. Ses doigts s'entrelacèrent derrière la nuque du policier alors qu'elle collait ses formes contre son corps. Puis, le couple étrange remonta sur la moto et démarra dans un rugissement presque effrayant.

La distance était avalée par la moto à grande vitesse. Le bitume en mauvais état apparaissait sous les roues, puis disparaissait pour en laisser place à d'autres. Le temps passa rapidement, et ils arrivèrent à l'appartement du blond en un rien de temps. Ravie de revenir à l'abris, malgré les marques de coups de feu dans la porte, Calliope refit le chemin jusqu'au lit, mutine, et s'affala avec un soupire sur les draps entortillés. C'est qu'elle avait un peu froid, à force, dehors. Et la peur qui résultait de ces flash-back de leur nuit n'y était pas étrangère non plus.

Elle était sur le dos, son regard observant un instant le plafond, avant de rouler sur le ventre, tournant la tête à moitié vers Gabriel. Son regard se fit chaleureux. Presque lubrique, si c'était son genre. Haussant un sourcil, elle se défit de ses chaussures en un rien de temps, et remonta les jambes, agitant ses pieds en l'air. Elle était plus ou moins dos au blond, et son regard l'appelait.

« Tu viens me rejoindre ? Ou tu préfères voir le film d'abord ? »

Elle sauta soudain sur ses pieds.

« Je sais ! Le mieux, pour se poser à regarder ce film, ce serait une bonne bière, non ? »

Sans attendre de réponse, la volcanique jeune femme se glissa dans le coin cuisine de l'appartement, ouvrant le frigo. Par chance, il restait quatre bières. Elle en sortit deux, et revint vers la chambre après avoir glissé un mouchoir entre ses cuisses, histoire de chasser l'humidité de leur étreinte. S'appuyant au montant de la porte, elle aguicha Gabriel d'un regard de braise.

« Tu veux une bière, chéri ? »

Battant des cils comme une petite poupée, Calliope glissa une des bière entre ses cuisses. Le contact de la bouteille froide la fit frémir, mais elle ne renonça pas. Elle glissa le goulot juste à l'entrée de son intimité, et contracta ses muscles vaginaux avec force pour réussir à décapsuler la bouteille. Elle s'y reprit à deux fois, mais elle finit par réussir, et le bouchon tomba au sol dans un tintement.

Elle tendit la bière ouverte à Gabriel, et ouvrit la sienne. Elle s'y reprit plusieurs fois également, mais au final, le résultat était là. Elle effleura le cou du policier de ses lèvres, et alla se caler sur le lit, contre les oreillers, remontant ses genoux contre sa poitrine. Sa robe se plissa, se souleva, et dévoila la chair de ses cuisses et de son antre intime.

« Tu mets le film ? »

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 26 novembre 2014, 19:34:34 »
Haha, installes Panda après :D.

19h34

34
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 26 novembre 2014, 19:31:56 »
Je sais héhé.
Mais je réagissais rapport à kaspersky et avast.

19h31

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Un sourire taquin ornait les lèvres de la rousse, qui caressait l'appendice caudale, avant qu'Alastar ne les change de place et de position. Elle déposa de petits baisers un peu partout, sur les griffures qui étaient à portée de ses lèvres, tandis qu'il parlait. Elle frissonna au son de sa voix, impatiente de la suite. Elle était vraiment enfiévrée. Elle était un peu épuisée, mais toujours partante. Elle ne se reconnaissait plus. Mais elle adorait ça.

Docilement, avec le regard brillant de convoitise, l'irlandaise se mit en position, comme demandé par Alastar. Ses genoux se posèrent sur le carrelage de la pièce, alors que sa croupe se relevait, et que son dos se creusait. Ses mains se posèrent à plat, et sa peau frissonna en réponse à la soudaine fraîcheur de son appui, comparé à la chaleur qui émanait de son corps.

Un nouveau frisson la secoua tandis que l'appendice caudale se glissait sur son corps, entourant sa nuque et venant effleurer ses lèvres. Elle avait repris cet aspect si semblable à une verge. Gourmande, Calliope ouvrit les lèvres, lapant le membre. Elle gémit sourdement alors que les doigts du démon se faisaient inquisiteur, et elle creusa un peu plus le dos, totalement offerte à la convoitise de son amant diabolique.

« Oh, Alastar... »

Elle ne put continuer car le mâle venait enfin en elle, forçant son entrée lubrifiée avec passion. Et l'autre appendice glissait entre ses lèvres, étouffant les sons de de ses gémissements. Elle commença alors à aspirer le membre dressé, sa langue venant le cajoler avec douceur.

Elle gémit quand une main claqua sur ses fesses, et ondula en réponse, son corps s'adaptant à la présence de l'incube. Calliope soupirait, suçotant le sexe dressé qui coulissait entre ses lèvres. Elle avançait et reculait la tête en rythme. Le même que celui qui était donné par les coups de reins de son amant déchaîné. Elle recula la tête un instant, le temps de soupirer le nom du démon et d'avaler sa salive, pour ne pas baver partout.

« Alastar... Mmmh ! »

Elle reprit l'appendice entre ses lèvres, mettant plus d'ardeur encore à sucer, aspirer et jouer tout contre la peau veinée avec le bout de sa langue.

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Le quartier de la Toussaint / Re : Euh... tu fous quoi ici ? [Pv]
« le: samedi 22 novembre 2014, 15:25:40 »
La panique de Gabriel se répercuta lentement sur la jeune femme. A voir son air effrayé, ce devait être franchement dangereux. Elle serra ses bras autour d'elle alors qu'elle observait la caisse qu'il venait de vider. Il revint finalement vers elle, et elle le serra contre elle en retour. Un frisson la parcourut. Mais de peur, cette fois. Un frisson de terreur, imaginant sans peine les sévices qu'ils pourraient endurer si jamais il manquait quelque chose.

En sortant de l'entrepôt, ses bras entourant l'agent de police, elle cala sa tête contre son épaule, elle-aussi ayant blanchit d'un coup. Revenant vers la moto, elle le laissa s'installer devant. Elle avait bien senti que sa conduite lui avait un peu fait serré les dents (et d'autres choses) par moment, et elle ne se sentait pas particulièrement prête à conduire après les révélations qu'ils venaient d'avoir sur cet entrepôt.

« On... On va vite fait au dernier endroit, et on rentre oublier ces derniers instants ? »

Elle eut un pâle sourire, alors qu'elle le laissait s'installer. Ses yeux parcouraient nerveusement les environs. Finalement, elle se hissa derrière lui, et il démarra. Accrochée à sa taille, Calliope ne cessait d'observer autour d'eux, sans pouvoir se défaire de cette impression d'être observée.

Ils ne tardèrent pas à arriver au dernier endroit. Un terrain vague, où les clochards se réunissaient près des bidons où l'on avait allumé un feu pour se réchauffer. Un lieu où la drogue et les armes étaient en vente, en sous-main, et où la police ne venait jamais fourrer son nez. Il n'était pas rare, ici, de disparaître de la circulation pour ne jamais revenir. La mort, ou pire, attendaient ces gens-là.

Un autre frisson parcourut Calliope. Elle s'apprêtait à demander à Gabriel de redémarrer quand une voix puissante rompit le brouhaha ambiant :

« Hey, Mr and Mrs Smith ! Vous êtes déjà de retour ? »

Les épaules de la rousse s'étant raidies, elle tourna doucement la tête pour observer le géant qui leur avait parlé. Il devait avoisiner les deux mètres dix, facilement. Le regard qu'il lui jeta était évocateur. Il s'était passé ici quelque chose qui pourrait la faire rougir.

A ce moment-là, il fit un signe de tête vers la tente aménagée au fond du terrain vague. Tout un attirail de caméra était présent, presque comme si la tente avait été le lieu de tournage d'un film. D'un film porno, sans doute. L'irlandaise se sentit rougir jusqu'à la racine de ses cheveux de feu.

« Oh merde. Dis-moi qu'on a pas fait ce que je pense... »

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Les alentours de la ville / Re : Chaque rose à ses épines [Jonathan Saints]
« le: jeudi 13 novembre 2014, 17:35:04 »
Elle sourit alors qu'il la flattait au détriment des gardes du corps fictifs dont ils parlaient. Mais son regard était porté sur les ronds de fumée qu'il faisait. Elle résista à l'envie de lui piquer à nouveau la cigarette, et finit par glisser ses yeux sur lui. Elle eut un fugace pensée pour Gabriel, pensant aussi à l'anneau qui ornait toujours son doigt, mais la présence de Johnny la rappela au présent. Il se penchait pour attraper deux bouteilles, de sa réserve personnelle, de ce qu'il disait. Un sourire effleura ses lèvres tandis qu'il lui en proposa une.

« Puisqu'elles sont sorties... Oui, j'en veux bien une, merci. »

Elle prit celle qu'il lui tendait, et l'ouvrit rapidement. Elle avait la technique pour décapsuler, apprise à la dure lors de son passé. Prenant une gorgée, elle tourna la tête vers le barman.

« Amusons-nous, alors. Que proposes-tu ? »

Elle avait un sourire malicieux. Elle avait perçu, dans son ton, la notion d'amusement qu'il proposait. Et oui, ça lui plaisait. Elle ne renonçait pas à une occasion de s'amuser, fut-elle engagée ailleurs. C'était, par ailleurs, son gros défaut. Son inconstance sexuelle avait fait fuir plus d'un prétendant.

Mais elle l'avait développée à la dure également, cette inconstance. Quand on est violée par le type avec lequel on sort... Oui, on cherche du réconfort ailleurs. On le cache, même, qu'on part voir ailleurs. On le dissimule. Mais on continue. Et on devient accroc à ce frisson de l'interdit. Du non-convenable. Alors on continue, et on ne peut plus s'en empêcher.

Revenant au présent, elle piqua à nouveau la cigarette des doigts de Johnny, effleurant volontairement sa main, et la porta à ses lèvres pour en tirer une autre bouffée. Elle aussi, elle savait faire des ronds. Pas aussi parfait que les siens, mais tout de même raisonnablement ronds.

Elle la lui rendit, glissant ses doigts contre les siens quand elle inséra le filtre entre deux des doigts du barman.

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 12 novembre 2014, 10:42:01 »
Dire que je regardais ça avec mon père sur VHS...

10h41

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Le quartier de la Toussaint / Re : Euh... tu fous quoi ici ? [Pv]
« le: mardi 11 novembre 2014, 18:46:37 »
Un sourire avait orné les lèvres de la rousse après la remarque du policier, dans le bar. Elle avait juste continué son chemin, ignorant les regard lubriques qui se posaient sur elle et son déhanché. Elle avait réussi à s'installer sur la moto sans trop grimacer. Car, malgré son attitude bravache, elle ne pouvait nier que Gabriel lui en avait sacrément "mit dans le cul", pour reprendre ses mots.

La proposition qu'il lui fit alors la laissa sans voix. Un sourire monta bientôt sur ses lèvres, presque jusqu'aux oreilles. Elle n'avait pas le permis moto, mais elle en avait déjà conduit pleins de fois. Elle adorait ça. C'était grisant. Et à en croire le regard et l'expression de son amant, ça le serait d'autant plus.

Elle hocha la tête, ravie, et se mordilla la lèvre en le sentant s'installer derrière elle. Un petit rire s'échappa lorsqu'il annonça que c'était la première fois qu'il laissait quelqu'un, surtout une femme, piloter. Elle se sentit flattée. Mais en même temps, une réplique se glissa dans son esprit. Et elle souffla :

« Baisse ta culotte, c'est moi qui pilote..., avant de pouffer doucement. »

Elle sourit de plus belle lorsqu'il annonça sa façon de la guider. Un petit gémissement s'échappa de ses lèvres alors qu'il titillait ses tétons encore érigés et sensibles. Elle avait hâte de démarrer.

« Fin prête, chéri. Je vais faire rugir ton engin ! Glissa-t-elle avec un sous-entendu évident. »

Elle avait même d'autant plus hâte qu'elle pensait à la suite des opérations, une fois qu'ils seraient sûrs que rien ne viendrait plus les troubler.

Elle roula légèrement des épaules, et démarra enfin la moto. Elle partit dans la direction qu'indiquait le policier, frissonnant délicatement sous l'air frais et les attouchements délicieux qu'il effectuait. Cette façon de la guider était érotique et originale. Finalement, alors qu'elle était une nouvelle fois moite, et que la pauvre selle devait la supporter ainsi, ils arrivèrent à l'entrepôt mentionné.

A première vue, c'était vide. Coupant le contact, la rousse tourna la tête vers son copilote de génie, et mordilla ses lèvres. Puis, glissant à terre, essayant de reprendre une certaine contenance malgré ses seins tendus et son entrejambe humide, elle avança vers l'entrée.

A l'intérieur, tout était sombre. Un interrupteur sur le côté attira son attention, et elle appuya, illuminant de ce fait l'immense entrepôt. Un spectacle étrange se livra à ses yeux. A leurs yeux. Partout, des caisses ouvertes, remplies d'accessoires pour le moins déroutant. Des sex-toys, partout. Des déguisements aussi, sexy. Et au centre, un matelas improvisé, avec des couvertures et même du papier-bulle qui devait faire du bruit si on s'allongeait dessus. Autour du lit de fortune, quelques accessoires étaient sortis, abandonnés après usage.

« Bon... Je crois qu'ici, au moins, il n'y a pas eu de fusillades... »

Elle sourit, et ajouta, mutine :

« Peut-être était-ce là que nous avons célébré notre nuit de noce ? »

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Depuis combien de temps étaient-ils ainsi, imbriqués l'un et l'autre, gémissant et criant ? Elle ne savait pas. Elle ne savait plus. Perdue dans un maelström de sensations grisantes, la rousse s'agrippait au démon de la luxure comme une naufragée à sa bouée. Le mur s'éloigna de son dos pour laisser place à la table. Son déshabillé était trempé de sueur. Il glissa sur ses épaules. Les liens s'étaient dénoués, et le fragile sous-vêtements glissa, dévoilant sa nudité. Ses seins appréciaient les attentions de l'incube. La pointe en était dressée, sensible et délicieusement malmenée par son amant.

Ses cris se succédaient, au même titre que ses orgasmes. Elle n'avait jamais connu ça. Elle savourait chaque vague d'extase, chaque coup de rein puissant qu'il lui donnait. Elle était folle de plaisir. Elle ferait littéralement tout ce qu'il lui demandait à cet instant, incapable de raisonner convenablement.

« Ah, Alastar ! »

Elle se sentait flattée de ce qu'il venait se dire, et, en ouvrant ses yeux, elle le regarda avec désir.

« Si... Mh... Si c'était mon genre... Je... Aaah ! Je dirais... OUIII... »

Une déferlante de plaisir l'acheva à cet instant. Elle arqua le dos, griffant la table, le Diablotin et même sa poitrine, son esprit en feu voyant des étoiles, des feux d'artifices même.

Calliope ferma les yeux. Emportée par le plaisir et par la puissance qui se dégageait des coups de reins de son amant. Quand l'orgasme cessa, la rousse était haletante. Son bassin répondait toujours aux attentions d'Alastar, alors que ses.doigts caressaient les griffures avec tendresse. Elle releva le buste, venant embrasser le démon sur le torse, remontant dans son cou, et venant capturer ses lèvres. Une de ses mains glissa sur la table, allant enserre l'appendice caudal.


[H-S -- un petit peu plus court que ce que je ne pensais, désolée ^^]

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Les alentours de la ville / Re : Chaque rose à ses épines [Jonathan Saints]
« le: vendredi 07 novembre 2014, 19:07:37 »
C'était officiel. Sa raison s'était fait la malle. Elle sentit son coeur s'emballer à la proposition du jeune barman. Son sourire s'élargit alors, mais elle n'eut pas l'occasion de répondre car déjà, un groupe entrait, requérant les compétences de Johnny. Elle sourit, et frissonna imperceptiblement alors qu'il laissait sa main glisser discrètement sur elle avant d'aller servir les nouveaux arrivants.

Finalement, après une petite demi-heure, Tyler revint. Armé d'un sourire désarmant pour la rousse, il reprit son poste. Elle finit de lire sa page, sur son téléphone, et rangea ce dernier dans son sac à main.

« Tyler, ça te dérange si je te laisse mon sac ? Je vais aux toilettes. »

Le barman posa le sac derrière le bar, signe que non, ça ne le gênait pas. Elle lui sourit, l'embrassa sur la joue, et fila dans la direction des toilettes. Mais elle ne franchit jamais celles-ci, préférant ouvrir la porte de la réserve, et traverser cette dernière pour atteindre la porte du fond, comme avait précisé Johnny.

Ses pas la menèrent jusque dehors. Elle trouva, près de la sortie, le séduisant barman qui fumait.

« Mauvaise habitude, commenta-t-elle, amusée, avant d'emprunter cavalièrement la cigarette de l'homme pour la porter à ses lèvres, et tirer une bouffée. »

Elle la lui rendit immédiatement après, un sourire joueur sur les lèvres. Si elle avait écouté sa raison, elle ne serait jamais sortie. Elle ne l'aurait jamais rejoint. Mais, comme dit plus haut, sa raison n'était plus là. Il n'y avait plus que l'instinct, et le plaisir du flirt.

« C'est donc ici, la sortie des artistes, souffla-t-elle, en même temps que la fumée opaque qui s'élevait en ronds dans l'air. »

Elle tourna le regard vers Johnny, et confia, malicieuse :

« Mes gardes du corps n'y ont vu que du feu. Beau jeu ! »

Si seulement elle savait ce qui l'attendait... Elle ne serait pas aussi frivole. Elle serait sûrement restée à l'intérieur. Mais elle ne le savait pas. Loin de là.

42
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: vendredi 07 novembre 2014, 18:48:56 »
Je suis allergique aux Psy. Ouais.
Sinon, j'vais p'tet faire une troisième réponse aux RPs dans la soirée ! Ce serait cool.

18h47

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Le quartier de la Toussaint / Re : Euh... tu fous quoi ici ? [Pv]
« le: vendredi 07 novembre 2014, 18:23:17 »
Calliope rit doucement, quand le blond s'inquiéta pour son égo en la voyant toujours en forme. Pour le rassurer sur ses performances, la rousse s'approcha de lui, glissant ses bras autour de sa taille, se frottant indécemment contre lui.

« Oh, mais ça, c'est parce que je masque bien mon épuisement, cher époux... »

Elle lui fit un clin d'oeil, avant de reprendre un peu de sérieux. Un peu. Elle ne put empêcher un sourire taquin de glisser sur ses lèvres alors qu'il lui pinçait les fesses. Ses dents sur son oreille sensible achevèrent de chasser le sérieux qu'elle s'était bâti, et elle se colla sensuellement contre lui, prête à remettre ça dès maintenant, s'il continuait.

Son regard, malgré tout, chassa un peu de légèreté quand il parla du mariage. C'est vrai. Il y avait ce point aussi.

« Mm... Je crois qu'on a jusqu'à quinze jours pour annuler. A moins que ce ne soit 48h. Je ne sais plus. Quoi qu'il en soit... On ferait peut-être mieux d'essayer d'être raisonnable, et d'aller checker les deux autres places où on s'est arrêtés hier. Histoire de ne pas découvrir de mauvaises surprises, plus tard... »

Ce serait bien leur veine...

Elle regarda longuement l'anneau à son doigt, réfléchissant encore aux conséquences qu'impliquaient leur soirée d'ébriété et de sexe débridé. Elle ne savait pas si elle était partante pour rester mariée. Il restait toujours le divorce, après... Mais... C'était cher. Et c'était long. Est-ce qu'ils réussiraient à bien s'entendre, tout les deux ? Ça avait l'air bien parti pour, en tout cas...

« On va rapidement checker les deux autres endroits, et on retourne chez toi pour la revanche ? On cherchera à ce moment-là pour la durée légale avant l'annulation... Non ? »

Elle lui sourit, presque tendrement, et déverrouilla la porte des toilettes.

« Allez, viens mon étalon héhé... »

Elle le tira avec elle, sortant des toilettes et du bar. Il pu remarquer que, contrairement à l'impression qu'elle donnait, la rousse ne marchait pas tout à fait avec naturel. Elle le cachait bien, mais ça ne pourrait sûrement pas échapper à l'oeil expert d'un homme qui se sentait un peu vexé.

Les regards, dans le bar, les suivirent avec convoitise le temps qu'ils sortirent. Calliope ne s'en préoccupa pas, et s'installa -avec un peu de mal- sur la moto, attendant avec un sourire que son cher amant ne la rejoigne.

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La rousse était impatiente qu'il découvre sa tenue. Elle était certaine qu'il aimerait ce qu'il verrait. Mais il fit durer le plaisir, se contentant de la flatter, de l'effleurer... Calliope frissonnait de plaisir sous ses doigts, sous son appendice caudal. Elle avait relevé la tête, observant le Diablotin avec un désir non feint. Elle ne regrettait plus le tour raté de la veille. Si ses amies savaient... Mais non. La rousse ne partagerait pas ce secret. C'était son petit plaisir. Malgré la grande expérience de son amant, et son amour des femmes, elle avait l'impression d'être exclusive. Unique. Ça, ça lui plaisait à la belle. Elle se dévergondait avec plaisir sœur ses caresses.

Ses lèvres se mêlèrent naturellement à celles du diabolique amant, et Calliope ferma les yeux, se laissant porter par le désir qui grimpait encore un échelon. Ses hanches s'avancèrent d'elle-même vers l'homme, alors qu'elle dardait sa langue à l'assaut de celle d'Alastar.

Quand le peignoir tomba enfin, Calliope ne put retenir une expression de plaisir sincère en voyant la réaction du démon de la luxure. Un gémissement lui échappa quand il tortura délicieusement sa poitrine. Elle creusa le dos, avançant presque son buste vers lui, avide. Ses hanches restèrent en arrière, profitant de cette délicieuse intruse qui venait flatter sa croupe.

« Pas de risque... Je garderais tout ce que tu voudras... »

Sa voix rauque et sensuelle se mua en un soupir quand il approcha de nouveau son visage du sien. Le baiser, intense, n'était rien comparé avec la violence du désir qui la tenailla dès lors qu'il la plaquant contre le mur. Ses jambes remontèrent naturellement contre lui, pressée qu'elle était de le sentir à nouveau en lui.

Sa gorge laissa échapper une plainte satisfaite dès lors qu'il fut enfoncé en elle, et ses mains se nouèrent sans se faire prier à la nuque de l'incube terriblement séduisant.

« Oh, Alastar... »

Elle bougea ses hanches au rythme qu'il imposait, son souffle commençant à avoir quelques irrégularités. Elle était aimée comme si elle était une véritable déesse, et ça flattait son ego. Se sentir aimée, désirée, voir l'admiration dans les yeux d'autrui... Elle ne s'en passerait pas. Ça lui redonnait confiance en elle. En la vie. En les hommes même. Avoir invoqué Alastar était mieux qu'une thérapie, et la rousse en profitait au maximum, arquant son bassin pour l'entrechoquer avec celui du diablotin.

Elle ne voyait pas le temps passer lorsqu'elle se trouvait entre ses bras, comme ceci. Elle était haletante et respirait le plaisir par tout les pores de sa peau. Ses soupirs, mués en gémissements, puis en cris, n'étaient pas feints.

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Vous nous quittez déjà ? / Re : Absences
« le: lundi 03 novembre 2014, 19:19:26 »
Bon. J'ai récupéré deux trois trucs sur mon disque dur. Je n'ai pas pu récupérer mes réponses.

En l'absence de pc !  Je vais répondre avec mon téléphone.
Désolée d'avance si certains mots semblent étrange. Mon correcteur n'est pas toujours au top. Jferais hyper gaffe, mais y en aura probablement qui m'échapperont.

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