Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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One Shot / Re : Un mâle pour un bien (PV)
« Dernier message par Lilly le Aujourd'hui à 11:05:27 »
Kimberly a des miroitements pleins les yeux. La dernière minute avec Souta a été aussi intense qu'explosive. Les éjaculations successives du garçon accompagnées des pulsations de son sexe dans le ventre de la californienne ont comblées les attentes de cette dernière. Béate et accrochée au cou  de sa cible, elle le laisse se retirer d'elle tandis que dans son dos, les coups sur la porte indiquent que le nouveau gardien n'est pas au bout de ses peines. Cependant, il a fait ses preuves et a montré qu'il dispose d'un potentiel élevé; il en aura bien besoin. Souta la ramène dan son domaine, puisque jusqu'à présent, elle n'est pas allée plus loin que le palier de la chambre. Kim récupère sa culotte et son short et les passe sur ses cuisses ruisselantes. Elle tire son top qui s'est relevé sur sa poitrine juste avant que Souta n'ouvre la porte de sa chambre. Kimberly affiche un sourire de triomphe devant les nouvelles venues. Elle a gagné, c'est elle qui a ouvert le score avec le garçon et elle sait déjà qu'il reviendra vers elle. Et juste avant de sortir en ricanant, elle vient se coller à son dos musclé pour lui murmurer à l'oreille.

Kimberly: "Dès que tu en as envie, viens me voir. Je suis à la 202. Tu pourras me faire ce que tu veux ..."

C'est comme une reine qu'elle ignore les deux filles et elle disparait dans le couloir.

Il est vrai que Kimberly a fait fort en mettant la main aussi vite sur le nouveau gardien. Mais que ce soit elle ou une autre, il était couru d'avance que Souta ne passerait pas l'heure sans que quelqu'un ne lui mette le grappin dessus. Comme le hasard avait bien fait les choses. La résidence regroupait un nid de salopes invétérées portées sur le cul avant tout autre chose. Non non, ce n'était pas un rêve mais bien une réalité. Les féministes pouvaient bien braillées, il n'en restait pas moins que la déviance ambiante était animée par un groupe de nénettes délurées prête à croquer tout ce qui leur tombait sous la main. Quels que soient les goûts et les couleurs, les occupantes de la résidence brillaient par leur diversité. Maison internationale, l'endroit offrait un panel de beautés qui comblait toutes les genres et attentes. Et en retour, ces demoiselles attendaient une attention particulière et un minimum de ... non, de rien. Juste un mâle.

Daniela et Ayame n'étaient pas vierges, loin de là. L'une et l'autre avaient goûté à l'ancien gardien et en gardait d'une certaine manière une grande frustration. Le pauvre homme n'avait pas été capable de leur apporter ce qu'elles aimaient aussi le prétexte de venir voir Souta à cause du bruit était un bon élément déclencheur. Elles étaient curieuses, tout comme les autres résidentes.

Kimberly avait fait son show, c'était typiquement dans les habitudes de l'américaine qui trainait sa réputation de salope où qu'elle aille; aussi, le garçon serait une seconde main d'un soir. Pas grave! Et d'ailleurs quand il ouvrit la porte, nu, transpirant, magnifique avec son sexe raide, ces considérations là furent instantanément oubliées.

Daniela: "C'était bruyant ..."

Elle avait le regard rivé entre les cuisses de Souta. Pas sauvage, son sang sud-américain le lui interdisait, elle saisit par dessous la hampe qui pointait vers elle et posa le gros gland sur son poignet. Bon sang ... presque aussi épais. Daniela était un petit gabarit mais quand même ...

A côté d'elle, Ayame manquait défaillir. Son kink à elle, elle le prenait de plein fouet. La japonaise salivait devant se corps trempé et odorant.

Daniela repoussa Souta dans la chambre, entrainant son amie avec elle. Le scénario se répétait quand la porte claqua sur le trio. Dans le même mouvement, la petite brune s'était agenouillée devant le garçon et le pompait maintenant comme une furie. Si sa bouche était petite, elle n'en était pas moins experte et Souta put tester de son exiguïté. Des deux mains, elle le branlait tandis que sa langue raflait au passage tout les restes de la sauterie précédente. La particularité, c'est que quand Daniela taillait une pipe, elle ne lâchait pas le regard de son partenaire, du début à la fin.

Ayame, elle, s'était collée au flanc du garçon. Elle n'avait pas le physique d'une bimbo et avait toutes les caractéristiques de la japonaise timide. Sauf que ... Quand les effluves de sueur de Souta frappèrent ses narines, elle fondit et leva le bras du garçon pour lui lécher l'aisselle. Elle en roula presque des yeux et sa petite langue s'activa ensuite partout où elle dénichait cet apport de musc viril. Elle serait surement la première à jouir.

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One Shot / Re : Re : Re : Loup y es tu? [PV Tenshi]
« Dernier message par Tenshi Kazama le Aujourd'hui à 10:32:50 »





Tu es vraiment plutôt espiègle ne me demander cela alors que je suis en train de brûler intérieurement, évidemment que je veux te sentir encore en moi,

Elle essaye de contrôler sa respiration comme elle pouvait, mais c’était très compliqué avec les chaleurs qui reprennent beaucoup d’ampleur. Elles continuent de gémir lorsqu’il vient déposer des baisers plutôt sensuels. Rien que ces petits attouchements avaient le don de la mettre dans ses états elle reste bien contre lui, en venant passer ses bras autour de son cou, et commence à se frotter contre le corps de son renard pour venir lui ouvrir le kimono en essayant de le retirer comme elle pouvait avec quelques maladresses à droite à gauche car ce n’était pas encore une experte dans ce domaine, mais elle avait tout le temps avec lui de pouvoir pouvoir apprendre et perfectionner pour pouvoir le satisfaire comme il se doit

Ahri réussi à gagner la bataille avec le tissu de Ahro pour qu’il se retrouve enfin tous les deux, tout nu dans cette grotte inhabitée certes ça pouvait rester temporaire le temps que la pluie s’arrête de tomber et que la nuit passe sans encombre. Après, c’était plutôt Tentant de trouver un petit pied-à-terre dans lequel ils pourraient rester un peu plus longtemps que prévu. Mais c’était une renarde plutôt curieuse et découvrir le monde aux côtés de lui. C’était une idée qu’ils la séduit vraiment.

Elle revient l’embrasser avant de venir frotter son intimité contre le gros membre du renard. Pour bien lui montrer qu’elle était encore en train de bien mouiller, surtout après les attouchements qu’il avait pu lui faire durant la marche, elle avait d’ailleurs réussi à se contrôler pour pouvoir se lâcher à ce moment précis. Ahri finit par se retourner pour se mettre à quatre pattes et frotte son cul et sa chatte contre la grosse bite, en tournant la tête par-dessus son épaule pour le regarder les lèvres entrouvertes

Haaaaa… pitié, prends-moi s’il te plaît



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Vous nous quittez déjà ? / ABSENCE - TENSHI KAZAMA
« Dernier message par Tenshi Kazama le Aujourd'hui à 10:26:02 »
Bonjour tout le monde je ne vous ai pas oublié mais comme je porte flamme olympique mon Relais approche bientôt et je suis pas mal sollicitée dans des interventions et des évènements. Je vais répondre peut-être un peu plus lentement avant de reprendre le rythme dont mes partenaires ont l’habitude.
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One Shot / Re : Première leçon [Pv]
« Dernier message par Draven Dairn le Aujourd'hui à 08:39:28 »
Elle semblait vouloir se montrer un peu moins formelle. Etait-ce une bonne idée ? Peut-être. Je lui souris, l’air de rein. Si elle voulait cela ne me posait pas de problème, mais je ne voulais pas casser pour autant la forme de hiérarchie bien établie qu’il y avait entre nous. je n’hésiterai pas à la reprendre si jamais elle se montrait trop familière. Mais là, ça allait. Elle plaisantait juste. Et tant qu’elle ne faisait que plaisanter…
Mais les airs tristes avaient disparu, et elle semblait avoir repris un peu du poil de la bête. C’était une excellente chose. Elle était quand même un peu instable, ceci dit. Elle avait clairement l’air de passer du rire aux larmes sans difficulté, non ?

« Bien, j’attends de toi que tu fasses tout ce qui est nécessaire pour tout casser. »

Je lui tapotais la joue doucement et nous reprîmes le jeu de cartes. Un jeu de carte assez simple mais qu’elle avait déjà expérimenté. Avec cette fois une idée de carotte et bâton au travers de la récompense et du gage. Bien sûr, il fallait voir à cela une motivation. Une manière d’encourager son côté compétitrice, bien sûr. Elle semblait bien remontée et cela faisait plaisir à voir. Mais d’un autre ôté, il ne fallait pas trop qu’elle oublie ses insécurités non plus, bien sur. Sinon, l’emprise que je commençais tout juste à avoir disparaitrait… ce qui n’était clairement pas souhaitable.

« Après de tels mots, attends-toi à un gage sévère. »

Nous commençâmes le jeu. Bien sûr, si elle avaitune bonne mémoire et en retrouvaient assez facilement, elle se déconcentrait un peu, et n’en connaissait souvent pas le sens non plus. Et quand j’eux passé une quarantaine de cartes, elle en avait moins de vingt de réussies. Une meilleure réussite que le premier essai. Je souris, un peu navré pour elle mais en même temps, un peu amusé.

« Je ne gagne jamais. Il n’y a que toi qui perd ou qui gagne. Quoique si. Je gagne vraiment quand tu fais un sans faute, ça prouve que j’ai réussi à t’éduquer comme il faut. »

Une bonne manière de dire les choses, sans doute. Je pris le temps de lui donner l’impression de réfléchir.

« Dix-neuf. Pas loin de la moyenne. Tu étais presque à la moitié. C’est dommage. Je suppose qu’ol faut marquer le coup… pour qu’en effet la prochaine fois soit une réussite… »

Je semblais continuer de réfléchir. Puis je disais.

« Je crois que j’ai trouvé. Pour une britannique, je crois que l’éducation anglaise soit la manière la plus appropriée. Est-ce que cela te pose un problème ? »

Je lui souris et j’attendis que, d’une manière ou d’une autre, elle me donne son feu vert. C’était une manière de dire qu’elle ne connaissait probablement pas, parce que c’étaoent souvent les étrangers qui parlaient d’éducation anglaise dans le sens que j’avais choisi d’employer. Alors, sitôt qu’elle aurait donné son accord, je viendrais fermement l’empoigner pour la coucher en travers de mes genoux pour lui donner une première bonne fessée. Non déculottée bien sûr. Chaque chose en son temps. Sinon, je chercherai une bonne  idée qui la pousserait dans cette direction aussi.
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Il est fort possible que l'enthousiasme de la jeune femme soit ressorti sur le moment, oubliant totalement qu'il faisait nuit et qu'elle était sur des terres que seul Callisteros connaissait. Elle devait avoir l'air si idiote...Un léger feu lui prit les joues, cette fois-ci, apparaissant clairement sur sa peau rosie. La honte. Soledad n'avait pas vraiment réfléchi. Il était clair que ce n'était pas très malin de vouloir reprendre la route en pleine nuit, ne serait-ce que pour voyager calmement avec les chevaux, que de se déplacer en pouvant faire davantage attention aux possibles animaux et brigands du coin. L'andalouse pouvait toujours très bien se transformer en esprit du feu et se défendre un minimum, ou bien même prendre la fuite mais ce serait se mettre un bâton dans les roues, ne connaissant rien de Terra.

Aussi, le regard sombre de l'hispanique se tourna vers la charrette, ainsi que les chevaux. C'est ce qu'il lui avait servi de transport lorsqu'elle était inconsciente ? Sûrement, mais cela ne devait pas être de tout repos de voyager avec une telle chose. Ses noirs revinrent sur Callisteros et essayent d'identifier ce qu'il tente d'expliquer à la jeune femme. De quoi, les chevaux ? Ah ! Si elle savait monter ? Soledad hocha du chef. Elle ne montait plus aussi régulièrement qu'avant, depuis qu'elle voyageait davantage à travers le monde. Elle avait appris à chevaucher depuis sa plus tendre enfance, puis davantage lorsqu'elle avait dit à ses parents vouloir devenir une danseuse. Elle avait appris à défiler sur des chevaux, en montant comme une amazone, avant certains spectacles de flamenco ou même des corridas. Souhaitait-il qu'ils continuent leur route le lendemain qu'en pleine chevauchée et non avec le chariot ? C'était possible mais l'espagnole allait avoir mal aux fesses, jusqu'au coccyx, pendant quelques jours après avoir atteint leur destination.

Señorita Castejón s'allongea alors à côté de l'homme de braise, se sentant en sécurité. Les bras pliés sous sa tête pour la soutenir, elle se mit à regarder le ciel, ses pensées happées par les étoiles scintillantes sur le voile de la nuit. Tout cela semblait un peu capillotracté. Soledad avait bien compris que Callisteros était sûrement l'homme qui l'avait emmené de force jusqu'ici, en ces terres inconnues, mais il était clair qu'il ne souhaitait guère de mal à la jeune femme. Un kidnapping ? Peut-être, mais il semblerait que cela était pour la bonne cause. Cet homme voulait l'emmener dans un endroit où elle obtiendrait des réponses. Tout du moins, c'est ce qu'elle croyait en l'instant.

Ainsi installée, elle se pencha un peu sur le côté, se mettant en position fœtale, se tournant vers l'éphèbe, tranquille. Elle n'était pas très fatiguée mais, malgré tout, Morphée pointait le bout de son nez pour l'accueillir aux creux de ses bras assez rapidement. Elle n'était pas aux aguets. Ce n'était pas la première fois qu'elle dormait à la belle étoile et cela lui rappelait son enfance, avec sa famille, surtout ses petits cousins. Peut-être qu'elle ronflait dans son sommeil ? Peut-être même qu'elle parlait ? C'était quelque chose dont elle n'était pas au courant si c'était le cas, dormant seule d'habitude. Espérons juste que Callisteros ne se moque pas d'elle au réveil et qu'elle ne soit de nouveau honteuse...
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Blabla / Re : Horloge parlante
« Dernier message par Anéa le dimanche 26 mai 2024, 22:14:53 »
Ouais, non, pas tellement.
Plus parce que c'est toi.

22h14
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Blabla / Re : Horloge parlante
« Dernier message par Serenos I Aeslingr le dimanche 26 mai 2024, 22:13:55 »
Tu dis juste ça parce qu'il y a un panneau "Vêtements interdits" devant le jacuzzi.

16:13
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Blabla / Re : Horloge parlante
« Dernier message par Anéa le dimanche 26 mai 2024, 22:11:45 »
Mmmh, ça paraît tentant...C'est louche, moi j'dis.  ::)

22h11
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Blabla / Re : Horloge parlante
« Dernier message par Serenos I Aeslingr le dimanche 26 mai 2024, 21:58:48 »
Owi! Viens me calmer! ♥

On se fera une soirée jacuzzi, avec massage et pina colada, avant de regarder des séries abrégées sur youtube ♥

15:58
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Centre-ville de Seikusu / Re : Shooting photo en charmante compagnie [Nyoras club]
« Dernier message par Mirena le dimanche 26 mai 2024, 18:54:45 »

Il semblerait que mon charmant partenaire soit tout aussi incapable de rester vertueux que moi. Ca m'arrange, parce que j'ai très envie de m'amuser avec lui. Et ça commence immédiatement après qu'il ait fermé la porte de ma loge. Ainsi seuls, sans personne du staff pour nous déranger, nous pouvons reprendre notre petit jeu là où nous l'avions laissé. Si moi je l'allume en lui demandant de me faire pratiquer, lui ne se fait pas prier pour m'enlacer. Sentir ses mains chaudes parcourir mes jambes est un pur délice. Mon regard se porte sur lui et le détaille d'avantage. Comme je l'avais remarqué dès le début de notre rencontre : il est incroyablement bien bâti. Ses cheveux roux lui confèrent un côté captivant et sensuel qui me donne bien trop d'idée. En plus, j'ai un faible pour les mecs qui me dépassent d'une tête... Surtout s'ils sont capables de me porter, alors là c'est le jackpot.

Avec ce qu'il m'avoue, je constate que je ne suis pas la seule qui a eus des idées salaces pendant tout le shooting. Ca me fait sourire de plus belle et me rend taquine. Je fais en sorte de bien coller mon bassin au sien pendant qu'il laisse ses mains vagabonder vers mes fesses. Les miennes viennent entourer sa nuque et initient un rapprochement de nos visages. Comme je suis plus petit ça le force à se baisser, mais pas au point de lui faire mal. Et une fois lèvres contre lèvres je souffle malicieusement.

- Je ne sais pas ce qu'ils en auraient pensé et je m'en contrefous d'eux. En revanche moi ça me convient parfaitement.

Langoureusement, je viens lui mordiller les lèvres avant de les effleurer avec légèreté. Si jamais il essaie de les garder plus longtemps contre les siennes ou d'approfondir notre baiser, je me recule pour le faire languir. Bien que le temps soit limité, j'ai envie de savourer nos premiers échanges. Les coups rapides ça a son charme, seulement aujourd'hui j'ai besoin de plus pour calmer mes ardeurs. Je compte bien me délecter de sa délicieuse présence et ce même après la fin de cette fichue corvée. Après tout, il m'a assuré qu'il est endurant et prêt à faire des heures supplémentaires, donc pourquoi je m'en priverai ? Amusée par mes propres pensées, je finis par échanger avec lui un baiser fougueux. Le laissant complètement s'appuyer sur moi, me retrouvant ainsi bloquée entre lui et le mur. Une de mes mains se met à glisser de son cou, tandis que l'autre reste sagement sur sa nuque. Là elle se met à frôler tendrement la peau de son dos une fois qu'elle est passée sous sa chemise. Pendant un bref instant de lucidité je ralentis notre baiser et lui murmure quelques mots.

- Par contre on va devoir y aller doucement. Parce que, clairement, une demi-heure ce n'est pas assez pour tout ce que j'ai prévu de faire avec toi Jun.

Ça me frustre de devoir calmer un peu les choses entre nous, mais c'est un mal nécessaire. Je crois que nous serions bien plus frustrés d'être couper au beau milieu. Enfin moi ça serait certain. D'autant que j'aime bien faire cette séance photo avec lui, alors faisons en sorte de ne pas se faire virer tous les deux. Dans tous les cas, ça ne m'empêche pas de continuer à exacerber ses sens. Pour cela je laisse mes lèvres descendre le long de sa mâchoire, avant de progressivement parsemer sa gorge de baisers. L'envie de mieux sentir sa peau se fait pressante, aussi je viens le débarrasser de sa chemise en le faisant glisser le long de ses épaules. Et croyez-moi je me régale de la vue qui m'est offerte, cette saleté de tissu ne lui rend carrément pas justice : un vrai crime.
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