Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => Le parc et son sous-bois => Discussion démarrée par: Kuro Tenshi le dimanche 16 août 2009, 00:59:02
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Kuro avait marché pendant plus de trois jours, sans dormir, de quoi faire apparaitre des cernes sur son visage, buvant des jus de fruits, il ne pouvait pas approcher l'eau, même ceux en bouteille, c'était assez dure de combler cette soif, une chance que certain fruit contiennent une forte teneur en élément liquide. Il ne savait pas pourquoi il avait fuit aussi lois, le pire c'est que partout où il était allé, il savait tout jusqu'au nombre de tige d'herbe près. Il savait énormément de chose, mais rien sur lui.
Il rencontra beaucoup de personnes qui lui proposèrent de voyager avec eux gratuitement, supposant qu'il s'agissait d'une jeune fille vierge, mais ils mentaient tous, ne lui demandé pas comment il savait cela, il le savait, comme quand on vous jetait de l'eau au visage en vous demandant si vous avez reçu quelque chose de liquide.
Quoi qu'il en l'amnésique en mangea des kilomètres, avant de sentir ces jambes lui supplier de s'arrêter quelque part. Aussi vit-elle que le parc était ouvert, bizarre, mais c'était un lieu qu'il connaissait comme calme et reposant.
La vérité fut tout autre, il y avait un lac, donc un énorme quantité d'eau, comment rester calme avec une menace de ce genre tous proche, mais Kuro se dit qu'il devait se reposer, sinon sont corps ne voudraient plus répondre et il serait dans un fichu pétrin qui quelqu'un voulait profiter de lui. il s'assit sur un ban et cala sa tête et dit de sa voix assez féminine.
- Si quelqu'un savait qui était Kuro Tenshi, cela m'avancerais bien.
Il avait demandé à tous les passants s'ils connaissaient Kuro Tenshi, tous ce qu'il sut, c'est que c'était une femme craint de tous, car très efficace et qui faisait ces missions jusqu'au bout. Elle cherchais une certaine Angelus, mais cette dernière à disparue de la surface de la terre, depuis bientôt plus de dix ans. Kuro soupira une coup; pour évacuer se stress et aussi pour atténuer ce feux en lui.
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Andrea Romanxe
Pour une fois, Andrea n'était ps insupportable, et Romanxe marchait, tranquilement, vers le lac. Elle voulait profiter de ce calme intérieur pour se reposer. En ce moment, Andrea la hantait même la nuit et elle commençait à s'épuiser. Elle marcha vers son banc favori, d'un pas léger, les yeux fixés sur ce dernier. Elle réfléchissait à pourquoi Andrea était si calme dans sa tête, elle espérait qu'elle était partie, même si elle s'était habitué à elle, et qu'elle lui faisait penser à son ancien amant et agresseur. Une larme vint à ses yeux, elle se demandait comment elle pourrait vivre sans son double psychique, malgré qu'elle soit insupportable. Mais ele avait beau prononcer son nom dans sa tête, elle ne trouvait aucunes réponses, elle se sentait vide. Alors qu'elle arriva à hauteur du banc, elle vit quelqu'un couché dessus, cette personne avait l'air d'être une femme, une jolie femme.
* Romanxe, Romanxe, une fille, elle est pour moi, steuplééé !*
Ah, elle était revenu, Romanxe soupira et un sourire lui échappa, Andrea était bien là, calme, prête à bondir. Maintenant elle la sentait en elle, rugir, tenter de prendre le dessus. Romanxe se pencha au dessus de la jeune femme et dit :
"Mademoiselle ? Tout va bien ?"
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Kuro sursauta de manière magistrale et s'étala sur le sol en se faisant mal au visage. Puis il se releva et parla avec sa voix presque féminine.
- Non, tous va mal, je me retrouve dans un corps d'homme, avec des vêtements de femme, sans savoir qui je suis vraiment, ni pourquoi je connais des choses qui devrais m'être inconnue.
Quand je vous disait que Kuro ne savait pas mentir, vous lui demanderiez de quelle couleur est sa culotte, il vous le dirait, malgré sa gêne. D'ailleurs, il semblait très calme, quelqu'un de normal aurait pensé que cette femme pourrait être une violeuse en quête de victime, mais cela ne lui vint pas l'esprit. Il dévisagea le visage de cette demoiselle et finit par sourire. Il est vrais qu'il était dure de savoir qu'un mec se cachait derrière ce déguisement. Si Kuro n'avais pas un sens développé pour dire la vérité, on aurait juré que ce soit une demoiselle et non un homme. Kuro se s'assit au sol et se mit à pleurnicher, comme une gamine l'aurait fait.
- Je ne me souviens de rien, je sent que j'ai un passé douloureux et pleine de colère, mais je ne me souviens de rien, si je n'avais pas vue un papier je n'aurais pas supposé que je serais Kuro Tenshi et encore, si cet femme est bien moi. J'ai peur de l'eau et je ne sais pas non plus pourquoi.
Il continuait à pleurer, d'un certain côté, cela donnerais envie à plus d'un de se tuer. Kuro se contentait de laisser apparaitre ces émotions, comme l'aurais fait une jeune fille émotive.
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* Owii Owii, une fille-mec, pleurnicharde, elle est pour moi !*
Romanxe évitait de prêter attention à Andrea et écoutait ce que disait cette fem.. cet homme, elle ne savait comment l'appeler. Elle lui tendit sa main pour qu'il se relève, avec un joli sourire, cet homme avait l'air en détresse, elle l'aurait bien invité chez elle pour qu'il se repose mais avait peur de lui faire peur, un amnésique a peur de tout. Elle s'assit sur le banc, laissant ainsi ses portes jartelles être visibles, et elle regarda cet homme, Kuro. Il avait un prénom de femme, u, visage feminin, des mains fines, apparament il n'y avait que les bijoux de famille qui cassaient sa beauté féminine. Andrea prit alors la parole :
"Je m'appelle Andrea."
*Andrea s'il te plait, laisse moi faire.*
Andrea avait prit le dessus, Romanxe ne savait même pas pourquoi. Mais ceci pour peu de temps, Romanxe prit alors la parole :
"En vérité je m'appelle Romanxe, si vous voulez, Kuro, vous pouvez venir vous reposer dans mon appartement, le temps qu'il vous plaira."
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Kuro prit la main de la demoiselle et put s'assoir sue le banc, bien sur qu'il voyait la tenue de Andrea, mais il n'était pas en état d'avoir une attirance quelconque avec cette demoiselle, assez sexy, il faut dire. Kuro entendit les présentation et ce qui fut bizarement il sentit que ces deux noms étaient la vérité, ce qui mit la puce à l'oreille;
- Ce que je sais c'est que vous devez avoir deux prénoms je me trompe ? Quand vous avez dit Andrea, cela était la vérité de même pour Romanxe. J'arrive à discerner le mensonge de la vérité, mais votre demande ne semblait pas tintée de mensonge.
Comme les deux facette de la demoiselle était deux entité distincte, leurs phrases pouvaient être opposé et pourtant vrais. Kuro pourrait en faire les frais, mais il avait confiance et était content de voir quelqu'un qui voulait l'aider, sans profiter de lui.
- Je serais ravit d'accepter, si cela ne vous gêne pas bien sur. Je m'appelle Kuro Tenshi, mais si vous voulez me donner une surnom, cela m'irais parfaitement.
Que dire de la situation , hormis qu'il était d'une naïveté à faire pleurer les anges.
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*Cet homme est d'une naïveté déconcertante Romanxe ..*
Quand Kuro accepta sa demande, Andrea se fit entendre, et pour une fois, Romanxe était d'accord avec elle. Cet homme avait l'air vraiment perdu et désespéré, mais elle ne lui ferait aucun mal. Elle lui prit la main et l'entraîna vers la sortie du parc, pour qu'il vienne dans son appartement, se trouvant juste à la sortie. Elle trouva la clé et le fit entrer, lui indiquant directement où se trouvait la salle de bain, car il devait avoir envie de prendre une douche. Elle marcha vers la cuisine et servit deux verres de soda et prépara deux sandwiches avec du beurre de cacahuète. Cet appartement, elle l'avait trouvé, un jour, sur une annonce, on disait que l'ancienne locataire avait disparu sans laisser de trace, et quand elle emmenagea, il restait tout de l'ancienne habitante, jusqu'à ses papiers, Hana Ima, disparue sans laisser de traces. Cela lui faisait toujours bizarre de penser à ça, elle avait peur de disparaître elle aussi. Tout à coup alors qu'elle refermait le pot de beurre d'arachide, Andrea se fit entendre.
*Et moi ? Pas de Sandwich ?*
Romanxe répondit à voix haute à sa soeur psychologique :
"Non, on partage le mien ?"
Puis elle se rappela qu'elle n'était pas seule, et que son hôte risquait de la prendre pour une folle.
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C'était bizarre pour Kuro de se faire amené chez quelqu'un, elle n'habitait pas loin, une chance, car ces jambes lui faisaient encore mal. Il capta tous les détails de ce lieu, qui était lui aussi dans sa mémoire.
C'était la maison d'une jeune fille dont on a déploré la disparition, la police avait clos l'affaire avec comme motif, qu'elle était parie pour ne pas dire qu'elle ne pouvait plus payer ces factures, raison fausse bien sur et resté dans le domaine du surnaturel.
Kuro suivit Romanxe et quand il eut l'information de l'endroit où se situait la douche, il y alla, non sans oublier de prévenir la maîtresse de maison. Il ferma la porte, sans la dérouiller, cela aurait été très impoli de sa part de faire cela. Il retira ces vêtements et vit une nuisette, Kuro hésita un instant, puis se dit qu'il s'excuserait d'avoir emprunté des affaire de la demoiselle. il se rappela au bon moment que l'eau lui faisait peur, aussi il décida de se laver en mouillant un gant de toilette, cela paraissait un peu débile, mais sa phobie de l'eau l'empêchait de prendre ne serais-ce qu'une douche. Puis il lava ces cheveux via le lavabo. Au moins Kuro n'aurait jamais une grosse facture sur l'eau, ce qu'il avait utiliser devait être dix fois moindre qu'une douche rapide. Il enfila sa culotte, non sans se demander ce qu'il se passerait s'il était excité, puis la nuisette qui faisait plus robe de nuit sur son corps. Il plia ces affaires et les mit, près du bac à linge, puis il sortie, elle vit la demoiselle attendre avec de quoi boire et manger. Kuro dit avec une certaine timidité.
- Je vous ai emprunté cette nuisette, cela ne vous dérange pas ?
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*Il s'est habillé en fille, encore, ahaha*
"Andrea ça suff.."
Les joues de Romanxe devinrent rouge, elle venait de se faire carrément prendre en flagrant délit, il allait vraiment la prendre pour une folle. Sans rien ajouter, elle marcha vers le canapé blanc et déposa les verres et les assiettes sur la table du salon. Elle dit alors, pour répondre à Kuro :
"Il n'y a aucun problème, mais si vous voulez des habits masculins, il doit y en avoir dans les armoires de la chambre, car il reste les effets personnels d'Hana, l'ancienne locataire."
Aussitôt elle se releva et partit voir dans les armoires, elle trouva alors un vêtement très bizarre, qui ressemblait à une armure, elle chercha encore et trouva un haut qui faisait un peu masculin, et un pantalon un peu large. Elle retourna dans le salon et dit alors, un sourire confus sur les lèvres :
"Je n'ai que ça, sinon y a des habits qui ressemblent à une armure."
*Ouais une armure, tu passe pour une tarée là.*
Romanxe saisit la télécommande et alluma la télé. Mordant dans son sandwich, les yeux fixés sur les images défilant sur l'écran plat du salon. Elle dit alors à Kuro :
"Vous ne voulez pas vous asseoir et me raconter ce qui vous est arrivé ?"
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Kuro perçut la gêne de Romanxe, mais n'y fit pas attention, il ne voulait pas se montrer curieux et chaque personne avait des secrets, sauf lui qui ne s'en souvenait pas. aussi fut-il soulagé de l'entendre dire que cela ne la gênait pas. Il voulut dire quelque chose mais la demoiselle était déjà partie cherchée des affaires pour Kuro.
Quand elle revint avec des affaire plus masculin, Kuro prit la parole.
- Je ne sais pas pourquoi, mais porter des vêtements de ce genre, me rassure, sans doute que mon ancien moi n'aimais pas ce qui gêne les mouvements.
Kuro vit sur le front de la maîtresse de maison une ride de frustration, il avait une idée de ce qui se passait, mais préférais ne rien dire. Puis à la demande de Romanxe, il s'assit sur le canapé et bu avec délicatesse le soda. Sont corps montrait effectivement des signe de féminité, rien que la manière de tenir le verre et de le porter à ces lèvres le montrait. Après avoir bu deux gorgé, il posa le verre et passa son index au dessus du verre, le faisant légèrement émettre un son. Il dit d'une voix calme, mais d'où l'on pouvait percevoir de l'angoisse.
- L'ennui c'est que je ne sais pas trop ce qui m'est arrivé. Je me souvient m'être réveillé comme quand on sort d'un rêve et là j'ai vue que j'étais enchainé sur un table avec au sol un pentacle de rite démoniaque, j'ai vue un papier avec marqué dessus Kuro tenshi transmuté en Oni-Ryuu, je sais que transmuté vient de l'alchimie, même si je ne vois pas trop ce qu'ils auraient fait de moi, le pire, fut de découvrir un cadavre au dessus de moi.
Kuro déglutit, car il arrivait au passage qui le faisait très peur et c'est en partie à cause de ça qu'il ne voulait pas dormir, pour ne pas revoir cette scène dans son sommeil. LA voix se fit plus tendu, moins calme et moins assurant non plus.
- J'ai essayé de me libérer, mais c'était impossible, pendant un mois je suis resté enchainé, le cadavre m'est tombé dessus le deuxième jour et comme je n'avais rien pour boire et manger, j'ai du …
Il butait à la phrase, cela se comprenait, quiconque serait fière d'avoir mangé un mort serait un fou. Il prit une bonne inspiration et trouva un moyen de contourner la difficulté.
- J'ai du m'en servir pour survivre, à la fin du moi écoulé, une personne m'a trouvé, entre temps mon corps c'est amincit, ma voix est devenue presque comme celle des jeunes femmes et mes cheveux qui étaient noire ont viré au blanc, sans doute à cause de la peur continuel de voir le mort bouger. C'est sans doute débile, mais je n'ai pas dormit pendant tous ce temps, par peur que le cadavre me mange.
Un rire de frayeur sortie de la bouche de Kuro, rien que le fait de le dire, lui foutais les pétoches. Puis d'un coup sa tête se fit lourde, il réussit à reprendre ces esprit, il faut dire que ce manque de sommeil l'avait très affaiblit, sans compter la marche.
- Quand il m'a libéré j'ai fuis ce lieu, tout en sachant que je ne savais pas qui j'étaie, depuis trois jour je marche plein sud-ouest et c'est là que je me suis arrêté dans le parc et que vous m'avez découvert.
Le ventre de Kuro gargouilla et il prit son repas, tout en prenant son temps, il fallait réhabituer son corps à de la nourriture plus ... normal.
- Je ne sais pas non plus pourquoi j'ai une phobie de l'eau et ceux sous toute ces formes.
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*Il est bizarre ce type..*
"Andrea la ferme s'il te plait !"
Romanxe ne prêtait même plus attention à ce que pourrait penser Kuro, elle avait écouté tout ce qu'il disait et voyait qu'il était complétement épuisé puisqu'il s'endormait presque en parlant. Elle tendit sa main pour caresser son visage, et elle lui sourit, d'un air presque maternel. Elle éprouvait la même sensation que lorsqu'on trouve un chaton abandonné dans la rue et qu'on décide de le recueillir chez soi, elle commençait à s'attacher à son nouveau protégé, malgré les mauvaises pensées d'Andrea. Elle dit alors :
"Si vous voulez aller dormir, prenez ma chambre,vous avez l'air épuisé et c'est tout à fait normal. Si je ne suis pas là quand vous vous réveillez c'est que je suis partit chass.. prendre l'air, ne sortez pas d'ici, au risque de vous perdre."
Elle lui fit un clin d'oeil et se leva pour aller dans la cuisine s'expliquer avec Andrea.
"Andie, tu vas arrêter à un moment ?!"
*T'as raison, on va sortir quand il dort et j'vais aller boire un coup.*
Romanxe se dit qu'à un moment il allait falloir lui expliquer pourquoi elle parlait toute seule.
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Kuro eut le droit à une autre intervention de Andrea, mais son état de fatigue, ne lui permettait pas de poser la moindre question, cela lui aurait demandé trop d'effort, aussi il allait repiquer du nez, quand une mains le caressa, il ne sut pourquoi, mais ce geste et cette douceur, lui semblait familier, comme une sœur voulant le consoler, cette image était parfaite pour illustrer cet événement.
L'offre de la maîtresse de maison fut accueillit avec un sourire assez dure à faire apparaitre, vulnérable, voilà le mot pour qualifier l'état de cet homme qui n'avait pour souvenir qu'un cauchemar, qui le hanterait toujours. Il réussit à parler.
- Je crois que cela serais judicieux, en effet.
Il n'avait même pas fait attention au mot "chasser" que Romanxe avait faillit laisser échapper complètement de sa bouche. Kuro se leva, non sans un peu tituber et dit une faible "Bonne nuit" à la maîtresse des lieux, il se dirigea vers la chambre et s'affaissa sur le matelas, sur le ventre et tomba immédiatement dans un sommeil plus que mérité.
Le rêve ne fut pas bien joyeux et il commença à s'agiter dans son sommeil, il faisait un cauchemar horrible, son corps était tenu par des morts et l'un d'eux remontais le long de Kuro en disant qu'il voulait récupérer ce que l'amnésique lui avait prit, il se mit à supplier et pleurer.
Si Romanxe était là, elle l'aurait vue sur le dos à pencher sa tête de gauche à droite, avec des larmes et des gouttes de sueur sur sa peau, en murmurant des mots comme "non", "laissez moi".
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Lorsque le jeune homme partit s'allonger et dormir, Romanxe tourna les talons vers la sortie et partit à l'extérieur, fermant la porte à clé. Alors elle laissa le contrôle à Andrea pour qu'elle s'abreuve et se calme.
[...]
Lorsque Romanxe dévérouilla la porte d'entrée, et qu'elle pénétra dans le salon, elle entendit des cris et gémissements venant de sa chambre. Elle marcha doucement vers ce lieu et y vit Kuro, sur le lit, tout transpirant, agité, en plein cauchemard. Lentement, elle s'approcha et s'assit à côté de son hôte, passant sa main dans ses cheveux, et murmurant :
"Calmez vous, je suis là, calmez vous, ce n'est rien ..."
Elle le regardait, il ressemblait tellement à une femme, mais c'était un homme, il n'y avait aucun doute, cela se voyait à son entrejambe qui n'était pas exactement comme celle d'une femme. Elle l'attira contre elle et commença à le serrer dans ses bras, le berçant légèrement, comme si c'était un enfant, un fils, un petit frère apeuré. Un larme dévala son visage, elle commençait à vraiment s'attacher à cet homme, et avait comme une sensation de déjà vu.
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Son cauchemar n'avais fait qu'avancer, Kuro se trouvait amputé de ces bras et ces jambes, alors que un mort levais la main pour lui arracher le cœur. C'est à ce moment qu'une voix de jeune fille se fit entendre.
- Kuro calme toi, je suis là, ne pleure plus, sourit.
Le jeune homme entendit un rire cristallin, qui bizarrement le calmait, il commençait graduellement à se réveiller, il sentit d'abord une étreinte douce, d'où il pouvait sentir de la chaleur et Kuro entendit une berceuse, cela réconforta encore plus le pauvre amnésique, même s'il connaissait beaucoup de chose, il avait la sensation à cet instant d'être dans les bras d'une mère ou d'une grande sœur et que lui n'était rien d'autre qu'un enfant qui aurait eut peur d'une araignée. D'un geste irréfléchi, il passa ces mains autour du corps de la demoiselle, pour ne plus la lâcher.
- Désolé .
Pourquoi disait-il ça, car pour la première fois il allait avoir un moment heureux et il ne voulait pas que cet instant s'envole dans ces souvenir et reste intact et réel. Quand on a vue la mort et des horreur, pendant un mois entier, le simple fait de pouvoir enlacer quelqu'un le rassurait et fit naitre un sourire sur son visage.
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Lorsque les bras de Kuro enlacèrent Romanxe, un sourire vint illuminer son visage, le pauvre était complétement effrayé et elle avait l'impression d'avoir recueillit un enfant maltraité et abandonné. Elle passa sa main dans ses cheveux doucement, pour le calmer. Puis l'entendant s'excuser, elle dit :
"Tu n'as pas à t'excuser.."
Elle resta un moment encore à le consoler, à le calmer, puis, lui souriant, elle l'allongea à nouveau sur le lit et passa sa main sur sa joue avant de déposer un baiser sur son front. Elle lui dit alors, d'une voix douce et rassurante :
"Rendors toi, je reste là, près de toi."
Elle ne connaissait en rien Kuro mais se sentait pousser un élan de maternité, comme si elle était obligé d'être ainsi avec lui, maternelle, affectueuse, responsable, essentielle. Elle vit qu'il n'avait aucune envie de refermer les yeux, elle prit sa main, et dit :
"N'aie pas peur, je t'assure, je suis là."
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Kuro fut ravit, d'entendre Romanxe dit qu'il n'y avais pas de raison de s'excuser, il ferma un peu les yeux, le temps que la demoiselle arrête de caresser ces cheveux de neige. Puis il se laissa allonger sur le dos, il était très docile pour une personne ayant subit un traumatisme, normalement quelqu'un d'autre serait à cran, il l'était à l'intérieur, mais il était aussi habité par un calme qui surpassait sa conscience. Le jeune homme sentit la mains douce et chaude de la maîtresse de maison lui caresser la joue, suivit d'un baiser tendre sur son front, qui détendit les dernière rides de stress. Kuro se détendit, mais il n'arrivait pas à dormir, son cauchemar hantait toujours sa pensée.
- …
Avant qu'il n'ait eut le temps de dire sa peur de se rendre compte que cet événement n'était qu'un rêve, il sentit sa mains droite prise avec douceur et Romanxe dit des phrases qui calmèrent les doutes de Kuro, qui voulut dire.
- J'aimerai que …
Il avait à peine esquissé sa phrase, que ces paupière se firent lourde et Kuro retomba dans son sommeil, offrant à la maîtresse de maison la vue d'une jeune fille dormant avec avec un sourire, un mèche traversant son visage angélique, sans son membre entre les jambes, il aurait été une vraie fille, il en avait les attitudes et le physique. Ce qui prouvait encore une fois qu'il n'était pas un homme à l'origine, mais bien une femme. Il aurait été marrant de savoir comment auraient réagit Romanxe et Andrea devant ce phénomène qu'était le jeune amnésique.
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Enfin il ferma les yeux et s'endormit. Romanxe écarta la mèche de cheveux qui était sur le visage de l'amnésique et lui donna un autre baiser sur le front avant de le couvrir du drap et de sortir de la chambre, son estomac réclamant quelque chose pour elle, car le sang ne la nourrissait pas. Elle ouvrit le frigo et en sortit du steak haché et de la salade, ainsi qu'un pot de mayonnaise. Elle alluma la plaque chauffante et y mit la viande à cuire avant de retourner sur la point des pieds dans la chambre, où elle vit que Kuro dormait toujours. Elle ressortit et finit de se préparer à manger, le posa sur un plateau, et revint dans la chambre où elle s'installa sur le lit pour se nourrir. Elle mangeait lentement, pensant à ce qui allait se passer, lorsqu'il se réveillerait, si il décidait de partir, si il retrouvait la mémoire. Il fallait qu'elle appelle sa vieille amie Taya, car elle était un peu sorcière sur les bords, et peut-être qu'elle trouverait une solution pour Kuro, pour enlever ses bijoux de famille sans passer par la chirurgie. Ou sinon, il fallait qu'elle lui coupe ses cheveux de neige et lui achète des affaires d'homme. La première solution était meilleure mais beaucoup moins réaliste. Elle posa le plateau au sol et s'allongea à côté de son hôte, passant ses bras autour de sa taille pour l'attirer contre lui et fermer les yeux à son tour.
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Kuro dormait paisiblement et rien de ce qu'avait fait Romanxe, ne l'avait tiré de ce sommeil réparateur, car il fit pour la première fois un rêve, étrange certe, mais une rêve où se mêlait, tristesse, joie et rire. Il se voyais avec une fille très jolie qui l'appelai par son prénom, Kuro. Puis d'un coups se fut les ténèbres et il entendit que cette fille avait disparut, cela le fit mal et il se réveilla.
Il vit la maîtresse de maison, ainsi que ces mains qui se voulait assez protecteur, profitant du fais de pouvoir bouger, il se blottit contre la demoiselle, sa tête prêt de sa poitrine, son geste n'avait rien de sous-entendu, il ne connaissait pas ce que le mot sexe voulait dire dans ce monde qui lui était connut et pourtant était si intriguant.
- Bonne nuit.
c'était ce qu'il avait voulut dire avant de sombre dans le sommeil, il se cala bien conter elle, sentant sa chaleur et son odeur qui le calmait et se rendormit.
Kuro fut réveille au petit matin, par un rayon de lumière et le chant des oiseaux, et oui même les piaf peuvent servir de réveil matin. il ouvrit ces paupière et ce les massa, le cerveau encore embrumé, il remarqua que Romanxe n'était plus là, aussitôt un doute lui prit. Est-ce que cette demoiselle l'avait trompé et mit dans un pétrin. Il sortie de la chambre et sous la précipitation se fit lui même un croc-jambe, pitoyable cet amnésique. Kuro s'étala par terre et vit les pied de Romanxe.
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Romanxe s'était réveillé très tôt, un foutu rayon de soleil qui perçait dans le volet était venu pénétrer sa paupière droite. Elle remarqua que Kuro l'avait lui aussi enlacé et était attaché à elle. Se sentant comme prisionnière, elle l'observa pendant une heure ou deux, et après avoir réfléchit à une stratégie pour sortir de la chambre, elle se libéra doucement de son étreinte, en faisant attention de ne pas le réveiller, il était si beau lorsqu'il dormait. Elle sortit sur la pointe des pieds de la chambre, la veille, elle avait oublié de se déshabiller et était donc vêtue d'un pantalon de toile blanc, et d'un débardeur de couleur noir. Elle se dirigea vers sa cuisine et fit couler du café, même si la machine faisait du bruit, elle ne pensait pas que cela réveillerait un amnésique qui n'avait pas dormit depuis des jours entiers. Ensuite, elle dévérouilla la porte et sortit acheter des croissant à la boulangerie typique française se trouvant au coin de la rue.
Elle ne savait même pas d'où venait Kuro, s'il était japonais, s'il était d'un autre continent, d'un autre pays, et lui même ne devait pas les avoir. Elle aurait aimé l'aider, au moins pour qu'il retrouve son corps d'origine, il fallait qu'elle appelle Taya pour cela. Mais l'heure n'était pas à ça, elle se dépêcha de prendre les croissants et retourna dans l'appartement, de peur que Kuro se réveille et se voie seul, elle ne voulait pas qu'il s'affole. Lorsqu'elle rentra, la cafetière avait débordé, mais Kuro n'était toujours pas debout. Elle mit les croissant dans le four pour les réchauffer et netoya les désâstres de la cafetière, songeant à la changer un jour où l'autre. Alors elle mit les croissant dans un panier, du café dans une grande tasse pour elle, et dans un tasse normale pour Kuro. Elle disposa la tasse moyenne et les croissants sur un plateau, but son café, et se dirigea vers la chambre, pour lui apporter la colation matinale. C'est alors qu'elle vit le visage de Kuro, d'abbord débout, puis ensuite à ses pieds, ce qui la fit sursauter, heureusement le café resta docile et ne déborda pas. Elle dit alors, d'une voix douce :
"Bonjour Kuro, où allais tu comme ça ?"
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Kuro releva la tête et vit Romanxe avec un plateau. Il balbutia.
- Je ne te voyait pas et j'ai paniqué, en pensant à divers chose, que tu t'étais enfuie comme l'ancienne proprio de cette maison.
L'amnésique souffla un coup pour chasser ce stress d'accumuler et s'assit sur le canapé et faisant signe à la maîtresse de maison de s'assoir aussi. une fois celle-ci assit et ayant déposé le petit déjeuner, il se mit à demander.
- Hier je n'étais pas en état de réfléchir, mais maintenant j'ai une question qui me trotte, parce que tu avais une façon de parler différente quand tu as dis que tu t'appelais Andrea. Excuse moi si je suis un peu direct, mais aurais-tu deux facette ?
Kuro savait que cette question allait sans doute perturber la demoiselle, mais il aviat un doute et voulais le dissiper le plus vite possible, quitte à ce qu'il se fasse mettre dehors. Mais si la demoiselle ne voulait pas répondre c'était son choix.
( Pardon si c'est cour, mais je fais une bio à côté et cela me pompe un peu mon inspi.^^)
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Lorsque Kuro dit à Romanxe de s'asseoir sur le canapé, elle comprit qu'il allait lui poser une question qui necessitait d'être dans la position assise. Du moins il le pensait, lorsqu'il lui posa la question, Romanxe sourit, elle n'avait aucune honte à dire qu'elle était schizophrène, parce que chez elle la maladie était très bien développée, grâce à son ex. Elle commença alors à expliquer :
"Je suis schizophrène, attention, cela chez moi ne relève pas de la psychiatrie, je suis sûre que tu vas comprendre. Quand j'avais quatorze ans, il m'est arrivé quelque chose de traumatisant, depuis, dans ma tête, j'ai quelqu'un qui m'accompagne, Andrea, elle est fort, et bien plus vicieuse et méchante que moi. Elle aime jouer, elle aime chasser, et elle sait se défendre, chose que je sais pas faire. Parfois, elle prend le dessus, mais avec toi elle n'essaye même pas de le prendre, car tu es trop gentil et pas assez interessé physiquement pour l'interesser à elle. Tu n'as aucune raison de la craindre, la seul que tu connaitras, ce sera Romanxe, la vraie moi."
Elle lui sourit et lui tendit la tasse de café, qu'elle avait posé sur la table basse. Elle ne savait pas comment Kuro allait réagir à son histoire, si il allait la croire, si il allait s'appeurer. Pourtant elle ne disait que la vérité, Romanxe ne sait pas mentir, et rien que la vérité. Elle ne voit pas pourquoi elle lui cacherait quelque chose, ce pauvre homme était si perdu. Elle dit alors :
"J'ai cru comprendre qu'avant tu étais une femme, que maintenant tu es un homme. Je te propose deux choses : soit je t'amène au coiffeur et au centre commercial et tu deviens homme, soit j'appelle une vieille amie qui pourra peut-être t'enlever tes bijoux de famille et te remettre un vagin, par la magie, ou l'alchimie, je sais pas trop quoi."
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Kuro fut heureuse de ne pas voir de regard méprisant ou emplie de aine, au contraire, la demoiselle semblait s'y être préparée et fit son explication ainsi que sa proposition. Il prit la parole d'une façon assez sur de lui.
- Même si cela ne dois pas être facile de cohabiter avec une autre personne dans un même corps, on ne doit jamais être seul et même si Andrea avait voulut profiter de moi, je sent que j'aurais put l'en empêcher. Pour votre proposition ...
Il se tut et réfléchit, c'était assez cornélien comme choix, car psychologiquement , il se sentais être féminin, mais physiquement il était un homme. Un choix qui lui semblait ne pas avoir de solution très arrangeante. Il fronça le front pour essayer de fouiller sur tous ce qu'il savait de ce monde et de Terra si il n'y avait pas un moyen de rester tels quels, Romanxe avait parlée de magie ou d'alchimie, cette même alchimie qui avait effacée ces souvenir. Il finit par décider.
- Je préfère allez voir la personne pratiquant la magie, je pourrais sans doute trouver avec elle un solution qui m'arrange aussi, car je sent qu'il ne faut pas trop changer mon corps.
D'un coup il ressentit encore ce feu à l'intérieur de lui bruler et il toussa, laissant échapper des volute de fumée très légère sortir de sa bouche. Voyant ce phénomène pour la première fois il prit la tasse de café et bu, comme pour éteindre ce feux, il n'y eut plus aucune fumée qui sortie de sa bouche.
- Et je crois que votre amies, saura ce que je suis devenue comme monstre.
-
Bizarrement, Romanxe était enchantée que Kuro choisisse la solution alchimique, elle lui sourit amplement puis observa la fumée qui sortit de sa bouche, elle explosa de rire. Se n'était pas un rire moqueur, c'est que c'était vraiment ahurissant et trop mignon, il lui faisait penser à un petit dragon. Elle vit qu'il était un peu appeuré par cet évenement et lui dit :
"Je crois que tu es devenu un petit dragon, c'est pratique pour allumer les cigarettes ça."
Elle lui fit un clin d'oeil se voulant rassurant au maximum, elle passa sa main dans ses cheveux, le regard plein d'affection maternelle. Elle avait chez elle un homme habillé en femme qui crache de la fumée, quelle tournure bizarre prennait son destin, elle se demandait si tout cela n'avait pas un rapport avec cet appartement. Elle soupira puis se leva, allumant la télévision pour Kuro, elle marcha vers sa chambre pour y prendre des affaires propres. Elle lança alors au petit dragon :
"Je vais me doucher, si tu as si peur de l'eau, tu peux venir avec moi, au moins, je t'empêcherai de te noyer."
Elle émit un petit rire et rentra dans la salle de bain, laissant la porte dévérouillée, pour que Kuro puisse entrer si il le souhaitait. L'eau coula sur son corps nu caché par le rideau de douche, elle passa son visage sous l'eau chaude, pour se détendre, et se remettre les idées en place.
-
Kuro eut un petit sursaut en entendant Romanxe rire, bien que ce rire en question ne contenait aucun animosité envers le jeune homme, il ne put pas s'empêcher de ne pas être rassuré. Mais le remarque de la maîtresse de maison calma vite sa peur, sans compter qu'il aimait sentir sa main sur ces cheveux, cela le rendait un peu nostalgique. LA remarque sur sa possible formes, fit un peu sourire l'amnésique, il s'imaginait bien l'image d'un petit dragon allumant les cigarette et les mégots. Puis Romanxe alla dans la sale de bain, il entendit la proposition de la jeune femme et hésita, d'un côté cela serait assez gênant de plus qu'il avait peur de l'eau quand le volume dépassait le niveau d'un verre à whisky, d'un autre côté, il pourrait être avec la maîtresse de maison. Il se posa une question à voix haute.
- Que devrais-je faire.
Il réfléchit une minute, puis il se dirigea vers la salle de bain, il se mit dans un coins et vit la jeune femme à travers le rideau de douche, si il n'avait pas peur de l'eau il aurait demandé, sans arrière penser, s'il pouvait la rejoindre. Comme il ne connaissait rien au sexe, les termes viols et attouchement sexuel, n'existait pas dans sa tête. Autant dire qu'il était comme une brebis dans une meute de loup, voilà un bonne image. Il trouva que ces cheveux était collant, aussi, il s'approcha du lavabo et commença à mouiller ces cheveux, avec de l'eau froide, pour ne pas prendre l'eau chaude à Romanxe qui semblait vouloir en profiter, tout en fredonnant un air qu'il avait entendu dans un de ces rêves. Mais gentil et naïf comme il était, il n'aurait pas dit non si la maîtresse de maison lui demande de venir avec elle.
-
"Tu préfères donc te laver à l'eau froide dans le lavabo que de venir prendre une douche avec moi ?"
Elle sortit la tête, s'enroulant dans le rideau, avec un petit sourire. Elle était nue, et peu lui importait qu'il la voie ainsi, elle se considérait comme se mère depuis qu'elle l'avait trouvé. Elle resta un instant à le regarder, sans rien dire, attendant une réaction particulière. Elle savait qu'il avait très peur de l'eau, et elle aurait aimé l'aider, et si il se douchait avec elle, il ne pourrait rien lui arriver, c'était sûr et certain, et il fallait vraiment qu'il le fasse, car il était un peu trop sale à son goût. Elle reprit alors :
"Si tu es avec moi, il ne t'arrivera rien. Tu as confiance en moi ?"
Quand elle lui posa cette question, elle referma le rideau et se remit sous l'eau brûlante, qui délassait ses muscles et la détendait vraiment. Elle attendait qu'il vienne pour passer du shampoing sur ses cheveux, elle lui en passerait à lui aussi..
-
Kuro eut un autre sursaut en entendant la voix de Romanxe, c'est fou ce qu'il était nerveux, pourtant aucun danger le guettait. Il répondit à sa première question par un hochement négatif de la tête, il aimerait bien, pour la première fois, pouvoir sentir l'eau chaude sur sa peau, mais sa phobie de l'eau gâchait tout. Il ne rougit pas en voyant l'ombre du corps de la maîtresse de maison, il n'était pas pudique, il ne savait pas si son ancien lui l'était d'ailleurs. Puis la deuxième phrase fit grandement hésité l'amnésique, qu'avait-il à risquer, tous ce qu'il avait à faire c'est réussir à se dire qu'il n'y avait pas d'eau.
il renifla son avant bras et se rendit compte qu'il sentait la sueur, une odeur peu agréable, surtout en début de journée. Il retira ces vêtements et regarda dans l'armoire, il trouva des machin pour ne par entendre quand on se met dans les oreilles et s'en mit dans ces deux oreilles, puis il se dirigea vers la douche, quand il sentit sa phobie reprendre, il ferma les yeux, continuant d'avancer hésitant, un fois qu'il sentait le bord de la douche, il tâtonna et passa derrière le rideau, se trouvant sous le jet , par réflexe, il voulut fuir l'eau et sentit le corps de Romanxe.
il faut dire que Kuro avait été futé sur ce coup là, en supprimant ces sens de la vue et de l'ouïe seul le contact de l'eau confirma qu'il était en présence d'eau. Il tremblait, car sa phobie reprenait le dessus, il dit timidement, en ouvrant les yeux.
- Je suis là, désolé.
Il réussit à retire de ces main timide ce qui supprimait son ouïe.
-
Romanxe voyait à quel point Kuro avait peur de l'eau et cela la navrait, car elle était un poisson et ne se sentait bien qu'en abondance d'eau. Elle se sentit se heurter à elle et ne le repoussa pas, un sourire rassurant aux lèvres. Il s'excusa, elle ne répondit pas, toujours souriante. Elle ne put s'empêcher de regarder son entrejambe pour y voir un appareil génital masculin, elle releva les yeux et mit Kuro face à elle, toujours souriante. Elle devait l'aider, c'était sûr, il fallait qu'il passe sous l'eau pour perdre sa peur, et elle avait alors une idée. Délicatement, elle le prit par la taille et le colla à lui, son visage se retrouvant à quelques centimètres du sien. Elle le regarda, d'un air tendre, et l'embrassa, doucement. Alors qu'il était occupé par ses lèvres, elle recula tout doucement et l'eau lui tomba sur les cheveux et le torse, et sur celui de la jeune femme également. Elle recula alors son visage, le tenant toujours pour ne pas qu'il parte, et lui dit :
"Alors, tu n'es pas mort vois-tu."
Elle posa sa tête sur son épaule et le maintint sous l'eau un moment, pour qu'il s'habitue. Elle voyait qu'il avait toujours peur, mais elle le tenait assez fermement pour ne pas qu'il fuie en courant. Il fallait qu'il se lave, c'était primordial. Elle tendit la main et attrapa du shampoing, avec délicatesse elle le posa dans les cheveux de Kuro et commença à les masser, la mousse apparaissant. Puis elle le poussa de sous l'eau et prit du savon qu'elle lui étala aussi délicatement sur tout le corps, et ce sans pudeur. Elle l'attira à nouveau sous l'eau et le savon coula le long de son corps pour s'échapper par le bas de la douche. Elle posa à nouveau sa tête sur son épaule et lui dit :
"Si il faut que je t'accompagne à chaque douche, je le ferai."
-
Kuro eut le droit à son premier baiser, il fut surprit de cet action auquel il ne s'y attendait pas le moins du monde, il put sentir la douceur des lèvres de la maîtresse de maison contre les sienne, embrumant un peu son esprit qui se posait la question suivante, est-ce bon signe ou non, pendant que cette question existentielle lui triturait l'esprit, la demoiselle l'amena avec douceur sous l'eau.
Bien sur au début il grelotta de peur, mais l'eau chaude eut vite fait de détendre ces muscles et de laisser son corps à la merci de Romanxe, qui aurait put à tous moment profiter de lui, mais elle n'avait pas ça en tête, heureusement pour lui. Sentir le corps de la maîtresse de maison contre lui, apaisait vite sa peur, c'était vrais que l'eau chaude était très bon pour le jeune homme, bien qu'un peu brulante au début. Quand Romanxe voulut mettre la tête de l'amnésique sur son épaule, le pauvre du se mettre sur la pointe des pieds, il faut dire qu'il avait le corps d'une personne de 15 ans et était plus petit que Romanxe.
Kuro eut le droit de se faire laver les cheveux, c'était très agréable de sentir les doigts de la maîtresse de maison frotter ces cheveux, ensuite vint le nettoyage du corps, il ne fut pas gêné, mais les mains douce de Romanxe firent de l'effet au membre du jeune homme qui ne remarqua pas cette réaction naturel. Il était content qu'une personne s'occupe de lui comme ça, cela lui donnait l'impression d'avoir quelqu'un dans la vie et de ne pas être seul. Puis il dit avec timidité.
- Merci Romanxe.
-
Le voir si rassuré ravit la jeune schizophrène, mais elle sentait qu'Andrea avait quelques idées derrière la tête. Elle éteint alors l'eau et sortit rapidemment de la douche pour stopper sa soeur psychique avant qu'elle ne fasse de mal à Kuro. Elle s'habilla à toute hâte et sortit de la salle de bain, en laissant Kuro, alors elle parla à Andrea :
"Andrea, je t'interdits ne serais-ce que de penser à toucher à Kuro, c'est mon protégé et je ne te laisserai pas lui faire de mal, est-ce clair ?"
*Mais arrête tu l'as pas laissé indifférent, t'as pas vu entre ses jambes ?!*
"Et alors, cela ne m'interesse pas de prendre du plaisir avec un homme amnésique et perdu !"
C'est alors qu'elle entendit des pas derrière elle, elle se retourna et vit Kuro, habillé. Confuse, elle baissa les yeux au sol et commença à marmoner des choses inaudibles à voix basse avant de relever le visage pour dire :
"Je suis désolé, Kuro."
-
D'un coup le jet s'arrêta et Romanxe partie en courant, Kuro se doutait bien qu'il y avait un problème et s'habilla vite fait, il s'arrête à al porte de la salle de bain et entendit le monologue de Romanxe, d'après ce qu'elle disait Andrea avait finit par vouloir s'intéresser à lui et celle qui c'était occupée de lui n'était pas du même avis. Il avança en douceur près de Romanxe et l'entendis s'excuser, bizarrement Kuro dit avec un sourire.
- Pas la peine de t'excuser. Je m'étais un peu préparé à vous causer des problèmes.
Le jeune homme avait effectivement pensé à cette éventualité, mais il n'aurait pas cru que cela arrive. Il s'avança ver Romanxe et l'enlaça avec douceur.;
- Je ne veux pas être la source de conflit, même si cela veut dire me retrouver tous seul.
-
Les yeux de Romanxe se remplirent de larmes lorsque Kuro évoqua la possibilité de partir, elle commençait à trembler et enrager après Andrea, car tout était de sa faute à elle, donc à elle, et elle se demandait si elle ne serait pas mieux sans cette peste dans sa tête. Elle se laissa enlacer, une petite larme coulant le long de sa joue et disparaissant dans son décolleté. Elle ne voulait pas qu'il parte, car en peu de temps elle s'était attaché à lui comme si c'était son fils, son chaton. Elle passa sa main dans ses cheveux comme elle le faisait tout le temps puis dit :
"Jamais elle ne te fera de mal, ais confiance en moi."
Elle se libéra de l'étreinte de l'amnésique et remplit un verre d'eau, regardant l'eau dans le verre, élément si calme et si apaisant. Parfois elle aurait aimé être la reine des mers, ou un sirène. Elle soupira et vida le récipient dans son intégralité, elle savait que Kuro avait peur de ce liquide et l'idée de lui faire peur en faisant cette action lui vint à l'esprit. Elle posa le verre et se mit à marcher dans le salon, tournant en rond, suivant avec application une rainure du plancher, comme une femme dérangée mentalement. Et finalement c'était ce qu'elle était, même si elle s'était éloigné de son ancien amour, elle était toujours pareil, malade. Elle revint vers Kuro et le serra dans ses bras, plaquant sa tête sur son épaule et caressant ses cheveux, comme un enfant qui a du chagrin, et elle sentit une autre larme couler, elle lui murmura alors :
"Ne pars pas, je t'en prie."
Elle le recula pour voir son visage et le souvenir de leur baiser sous la douche la fit frémir, cela ne lui avait pas déplu, elle ne savait pas pour lui, mais elle avait l'étrange envie de recommencer. Elle avança son visage et l'embrassa à nouveau, les yeux pleins de larmes.
-
Kuro fut surprit du comportement de Romanxe, mais pas temps que ça, il la considérait comme sa grande soeur, car la considérer comme une mère serait la donner un âge qu'elle ne semble pas avoir. Il se laissa caresser les cheveux, puis la maitresse de maison prit un verre et le bu, cela ne faisait pas peur à Kuro, car l'eau ne lui était pas destiné et n'allais pas vers lui. Kuro revit encore son visage en larmes venir vers lui et le tenir comme pour l'empêcher de partir, le jeune homme eut même le droit à un demande de rester. Kuro fut un peu gêné et dit d'une voix timide.
- Je veux bien rester, de toute façon je n'ai aucun autre endroit où aller et ta présence est apaisante ...
Il vit le visage de Romanxe avvancer et l'embrasser à nouveau, cet fois encore il eut un frisson, mais il devint vite très calme et détendu, il ne savait pas si cela était mal ou non, mais ce qu'il savait c'est que cela appaisait la jeune femme, aussi il ne recula pas et ce laissa faire, il voulut caresser les cheveux de la demoiselle et pouvait sentir que c'était très doux, il se demandait si ces cheveux était pareille ou non, puis il trouva que le baiser était un peu trop long et il préfera le briser tout en douceur.
- Je ne veux pas non plus que tu sois en pleure, je ne sais pas pourquoi mais à chaque fois que je te vois en larmes j'ai un frisson, comme-ci un souffle glaciale parcourait mon cou.
D'un coups, Kuro eus un effroyable douleur au ventre, l'espace d'un instant ces yeux virèrent aux rouge sang avec des pupille de dragon où semblait sortir des brasiers., il sentit son corps bruler de l'intérieur, par peur, il courut vers la salle de bain et passa sa tête sous l'eau froide de la douche, sa peur occultais sa phobie. Il avais peur de ce qu'il était devenu et d'un coup une horrible douleur parcourut son dos, puis ce fut le trou noir, il c'était évanouis, avec toujours le jet d'eau froide qui passait sur sa tête et trempait ces vêtements. Romanxe pouvait voir, par transparence se la nuisette humide, sur tous le dos de Kuro apparaitre un tatouage tribal, ressemblant à un dragon, une dragon neigeux.
-
Les réaction dragonesques de Kuro étaient à chaque fois plus impressionnantes, plus de chaleur, plus de fumée. Romanxe en avait même sursauté et après être resté plantée immobile au milieu du salon, elle s'était rué dans la salle de bain car elle entendait l'eau couler mais pas de signes de Kuro. Lorsqu'elle arriva, elle crut qu'il était mort et le sortit de sous l'eau, de peur qu'il se noie, elle sentit alors dans son dos ne chaleur étrange. Elle retira son t-shirt et vit une sorte de tatouage tribal qui parcourait sa colonne vertébrale. Il incarnait un dragon, un dragon des neiges. Elle le regardait, pétrifiée, elle se demandait ce qu'il lui arrivait, et effectivement on dirait qu'il subissait une transformation, et qu'il devenait dragon. Cela devenait affolant, elle le releva et le serra fort contre lui, un main sur son tatouage, qui avait l'air douloureux vu la chaleur qu'il dégageait. Elle le poussa en le supportant un peu jusqu'au lit dans la chambre et l'allongea. Elle passa sa main dans sa chevelure mouillée et lui dit :
"Kuro, est-ce que ça va ?"
-
Quand Kuro reprit connaissance et ouvrit ces paupières, une larmes coula le long de sa joue, pendant qu'il était dans les vapes, le jeune homme avait entendu une voix crier un nom, cette voix, venant d'une femme, était triste et en peine, puis il y eut un coup de feu, ensuite ce fut le silence, jusqu'à ce qu'il se réveille. Kuro sentit une voix demander si il allait bien, il tourna son visage et vit Romanxe, puis il regarda le plafond.
- Mon dos me brule encore un peu, mais cela s'apaise, mon corps semble inapte à tous mouvement physique, mais cela va passer très vite.
L'amnésique tenta de se lever et son dos se remit à le bruler de plus belle, le tatouage dragonnien vira de la couleur noir à celui de rouge sang. Une fois assit il continua à parer plus pour lui que pour la maîtresse de maison, en massant son front comme pour chasser un mal de tête.
- Il semble que mon ancien moi était une femme et qu'elle cherchait quelqu'un. Mais quelque chose c'est passé et elle est devenue d'une tristesses très profonde. Je ne sais pas si c'est son choix d'avoir voulut tout recommencé ou que l'on lui a imposée cela, je ne sais pas et pourtant j'aimerai savoir.
Les mains de Kuro se crispèrent, c'était pour lui l'enfer, pourquoi n'arrivait-il pas à ce souvenir clairement de qui il est vraiment, pourquoi ne voyait-il que des fragment altéré dans ces rêves et sans image. il regarda Romanxe avec des yeux retenant es larmes de tristesse.
- Heureusement que je t'ai connut, sinon je ne sais pas si à l'heure actuel j'aurais encore la volonté de vivre.
Il était vrais que Kuro devait beaucoup à la maîtresse de maison, pour sa douceur qui faisait office de baume à cette blessure qu'est la perte de mémoire.
-
Les paroles de Kuro était si flatteuses, que Romanxe se sentait enfin de l'importance, et Andrea avait arrêté de se manifester, comme si elle avait disparu de son esprit, quel plaisir ! S'il n'était pas mal en point elle se serait jeté dans ses bras pour récolter un réconfort maximum, et le lui offrir également. Elle se contenta de lui sourire, caressant toujours ses cheveux comme à son habitude. Elle voulait qu'il ait moins mal, mais ne savait comment faire. Elle sortit de la chambre sans un mot et marcha d'un pas pressé vers sa cuisine où elle remplit un saladier avec de l'eau froide et elle y ajouta des glaçons, puis elle prit un gant dans la salle de bain et revint dans la chambre, d'où Kuro n'avait pas bougé. Elle trempa le gant et l'essora avant de le passer sur le front de l'amnésique, pour le rafraîchir, car ce tatouage faisait augmenter considérablement la température de son corps. Il fallait qu'elle trouve une solution à ce problème de dragon, et ce très vite. Elle posa le gant dans l'eau et se pencha au dessus du visage de Kuro pour lui offrir un doux baiser, assez long pour qu'elle réalise ce qu'elle voulait faire. Elle dit ensuite :
"Voilà un bisous magique, j'espère que tu te sens mieux."
-
Kuro ne fit aucun geste ou commentaire en voyant la maîtresse de maison partir dans la cuisine, elle pouvait entendre de loin l'eau couler, une eau froide, mais qui avait pour but de soigner, le jeune homme se surprit de pouvoir savoir cela, c'était presque comme-ci quelqu'un lui disait ce qui se passait autour de lui. Il sourit en voyant Romanxe revenir avec un saladier d'eau, avec des glaçon, bizarrement sa phobie ne prenait pas le dessus, un autre sentiment le bloquait et il n'avait pas de mot pour le décrire. La chaleur en lui baissait, mais son corps augmentait en température, ce qui ne l'effraya pas, il avait de nouveau son calme et pouvait réfléchir de façon raisonné. Il s'allongea, pour que Romanxe puisse déposer le gant glacé sur son front, tout en ayant le droit à une baiser qui finit de chasser les quelques doutes qui subsistait. Kuro dit avec une voix calme, ce qui montrait qu'il avait murement réfléchit à sa phrase
- Je crois avoir comprit quelque chose en moi. Oni veut dire démon et Ryuu dragon, donc je crois que je dois avoir en moi un dragon démoniaque, c'est pour cela que j'ai cette impression de chaleur constante.
Pour dire vrais l'amnésique avait poussé sont idée très loin, pour lui cette chaleur était ce qui maintenait en vie, tout dragon devait avoir un chaleur interne assez élevé pour pouvoir à tous moment cracher sont feu.
- Je vais essayer de voir si je suis bien un dragon, si c'est la cas je devrais pouvoir réguler cette température. J'aimerais que pendant ce temps tu t'occupe de toujours garder le gant humide et si je te demande de me verser la bassine, tu le fais.
Il avait un peu la voix hésitante, car cela pouvait aussi bien marché que de le rendre malade, voir le faire mourir d'auto-combustion, il ferma les yeux se détendit et commença à essayer de réguler cette chaleur, il devait l'augmenter, pour l'affaiblir et ensuite l'abaisser. Au bout de dix minute sont corps avait atteint 40° et il en faisait les frais, mais continuait à essayer de contrôler cette chaleur, il apprenait la maîtrise de ce feux au fur et à mesure, puis le tatouage s'étira et la tête de dragon se plaça sur côté droit du cou, la gueule ouvert.
Kuro ouvrit les yeux, qui avait prit la teinte rouge et la pupille dragonienne, mais le feux des pupilles était un feux doux, apaisant, le jeune homme soufflet sa température chuta d'un coup revenant à celle d'un humain en pleine forme. Kuro reprit des yeux humains et sourit à Romanxe.
- J'ai apprit beaucoup de cette expérience. Comme la raison de ce nouveau corps.
Le jeune homme était tellement content qu'il embrassa sur les lèvres de Romanxe, sans prévenir, c'était un baiser joyeux, n'ayant encore une fois rien de sexuel. il avait comprit pourquoi l'ancienne Kuro Tenshi avait fait ce changement physique, mais il garderait cette raison en lui. C'était son premier secret en se monde.