Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Draven Dairn

Pages: [1] 2 3 ... 6
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Les contrées du Chaos / Re : Un paiement de dette [Pv]
« le: mardi 07 mai 2024, 21:03:40 »
Elle accepta sans broncher. Bien, c’était une bonne chose. Nue, elle passa par-dessus le rebord de la baignoire, aidée par ma main, pour finalement venir s’installer dos à moi dans l’eau, pour commencer un peu à se laver. Elle devait clairement se douter que tout ne se passerait pas simplement. Après tout, elle avait été utile les nuits précédentes, sans doute un peu bon gré mal gré. Mais je ne l’avais jamais surprise à faire montre de la moindre désobéissance. Elle me craignait suffisamment pour cela semblait-il. La crainte était une bonne option. Une manière sage de réagir devant mo, et un premier bon pas vers la reconstruction, donc.

Nue, elle barbotait légèrement et se lavait consciencieusement, mes mains, doucement, glissaient sur sa peau, nettoyant avec douceur et tendresse son dos, jusqu’à ce que, finalement, elle en vienne à tourner sa tête vers moi et me regarder, sans doute inquiète de la suite. Ah, c’était cela. Je lui souris et je lui caressais doucement les cheveux.

« Tes mains crasseuses n’auraient rien pu laver, ma belle… »
 
Il faudrait d’ailleurs qu’elle lave sa tignasse à l’occasion. Non qu’elle soit particulièrement plus sale que le reste, mais un peu de cheveux de soie, ça aiderait, n’est-ce pas ? Je lui fis un air doux avant de finalement remonter une main à son sein que je pressais doucement. Une bien belle possession bien propre, voilà ce qui était agréable, n’est-ce pas ? Je venais doucement taquiner la pointe du bout des doigts avant de finalement relâcher la pression et je lui disais.

« Maintenant, il est temps de me laver, ma toute belle. Mais pour cela je t’interdis de sortir ton bassin de l’eau. Et inutile de te dire que ce n’est ue le début de ce bain, n’est-ce pas ? »

Je lui caressais les cheveux doucement.

« Mets-toi au travail, et fais ça bien ou ke te fais me laver à la langue, ma belle, d’accord ? »

2
Les contrées du Chaos / Re : Un paiement de dette [Pv]
« le: jeudi 25 avril 2024, 08:06:21 »
Bon, maintenant que nous étions arrivés, je pouvais enfin me détendre. Enfin, c’était ce que j’vais prévu, mais il allait falloir que j’éduque la nouvelle esclave au nom de vachette. Elle en avait les pis, ceci dit. Je lui souris et je la regardais un peu. Elle était épuisée, je le voyais bien. Et elle avait réellement besoin de repos. Mais après mon confort. C’était une règle importante. Une règle simple qui devait guider sa vie : elle devait tenir pour faire passer mes besoins avant les siens. C’était une immense importance. Je lui fis un sourire entendu avant de finalement la regarder commencer à s’occuper de préparer le bain que j’avais exigé d’elle.
Elle s’était faite à sa condition, c’était évident, selon moi.

Je la laissais faire les trajets, avec son seau, après avoir allumé le feu, boitillant un peu, elle devait avoir les pieds dans un triste état sans doute. Il allait falloir que je m’occupe de ça. Le bain étant bien « vite » prêt, je me dévêtais et j’entrais dans la grande cuve, alors qu’elle y versait le dernier seau. Bien, bien, nous allions pouvoir en profiter. Je la regardais et je rajoutais alors, doucement mais fermement.

« Viens dans l’eau. Tu as aussi besoin de se décrasser. »

Je lui fis un air presque tendre, immergé jusqu’au milieu du buste. Elle pouvait venir dans l’eau à condition de s’installer un peu sur moi. Cela ne me dérangeait pas. Je lui tendais la main pour l’aider à rentrer dans le bain et je rajoutais, d’une voix douce.

« Tu sais, il est aussi de mon devoir de prendre soin de toi, je sais que le voyage a été éprouvant, alors je vais m’occuper de toi. Considère ça comme une récompense pour avoir tenu le coup de cette marche éprouvante. Elle était nécessaire, tu comprendras, je n’allais pas charger mon cheval trop souvent, et je n’allais pas t’en acheter un non plus. Je l’aurai payé plus cher que toi… »

3
A sa place, je me serai dépêché… non que je sois d’humeur à lui faire passer le gout du pain, mais d’un autre côté, je n’aimais pas avoir l’impression qu’elle n’avait pas tellement envie que je sois content d’elle. Certes, je voyais bien que je l’avais surprise, elle en faisait tomber son téléphone qui avait dû lui couter une couille et elle écarquilla les yeux un instant, mais au-delà de ça, elle semblait assez peu prompte à saluer ma personne comme elle aurait dû…

Elle se leva lentement, marmonnant d’abord avant de me remercier. Je soupirai un peu. Je voyais bien que rester si longtemps loin d’elle n’avait pas eu que de bonnes conséquences sur le sujet… elle semblait avoir oublié les règles de base de la dernière fois, non ? Il était temps de voir ce que ça allait donner, tout ça. Je lui fis un sourire avant de finalement hausser les épaules.

« Oh, je ne sais pas si tu peux me remercier, tu sembles ne pas faire grand cas de mes derniers ordres. Si ? »

Je la regardais et je lui disais, d’une voix dure.

« Devrai-je sévir ? »

La réponse &tait oui, sans doute, sauf si elle avait un excellent argument. Je lui fis un air un peu ricanant, les yeux mauvais qu’elle connaissait bien.

« Il va falloir que je recommence à zéro… Mais cette fois, je ne vais pas jouer à pourrir pour ton plaisir. C’est épuisant, malgré tes plaisirs évidents à cette utilisation de mon corps. »

Je comblais la distance qui me séparait d’elle et je venais glisser mes doigts à sa joue sombre, avant de glisser à sa gorge et de m’employer à la serrer doucement, jusqu’à ce qu’elle manque d’air.
Puis je la relâchais et je la giflais doucement.

« Je vais donc refaire toute ton éducation. Au fond, c’est pour ça que tu ne semblais pas m’attendre, n’est-ce pas ? Parce que tu es mal éduquée ? »

4
Prélude / Re : Livie Morgan - Qu'allez vous faire de lui ?
« le: dimanche 14 avril 2024, 17:44:58 »
bienvenue !

5
bienvenue !

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Le quartier de la Toussaint / Re : Le Fruit d'une obsession [Pv]
« le: vendredi 12 avril 2024, 08:17:27 »
La jeune femme sembla prête à lutter, mais rien. Rien en fait ? c’était surprenant. Elle ne chercha pas à se dégager très violemment, au mieux cherchait-elle à s’éloigner du mur en s’écartant un chouia de sa main libre. Je ne l’en empêchais pas, je m’en fichais cela n’avait aucune importance. Elle ne pourrait pas lutter après tout. Sauf surprise énorme bien sûr, mais comme je l’avais surveillée un peu, je ne doutais pas trop de moi. Je n’avais aucune raison de douter, en fait. Je lui fis un sourire avant de finalement l’entendre dire, d’une voix un peu craintive. Pas ouvertement effrayée, mais qui ne serait pas craintive dans cette situation…

« Que de bravade… tu es drôlement courageuse dis-moi… »

Je fis légèrement remonter le bras dans son dos pour causer un peu de douleur, histoire de lui passer l’envie de se montrer de mauvaise volonté.

« Je ne suis pas là pour simplement tirer un coup, ma chérie… je sui là pour m’occuper de toi… »

Je me penchai se nouveau sur elle, contre elle, pour lui mordre doucement l’oreille.

« Parce que je sais ce que tu vaux, je sais ce que tu mérites, et je suis ici pour ça… »

Je lâchais son poignet. Elle avait désormais les mains libres pour essayer de se débattre si elle voulait. C’était excitant, qu’elle espère vraiment s’en sortir. Mais comme ça, de mon côté, je pouvais à nouveau user de mes deux mains, pour, sans vergogne, la peloter, laissant une main sur le sein étouffé et l’autre venant à sa gorge.

« Je sais où tu travailles. Je sais ce que tu y fais. Et je sais que tu joue à mener cette double vie pour que personne ne le sache… »

Je lui embrassais le cou avec presque une douceur malsaine.

« Pourquoi tant de mystères… tu es tellement belle que tous devraient le savoir, le voir, et avoir l’occasion d’en profiter, de cette beauté… non ? »

Ma main glissa, du sein bandé au ventre sur lequel je continuais de dévaler doucement.

« Tu es si sexy quand tu ne te cache pas…… »

Mon autre main se contractait sur sa gorge sans trop serrer.

7
Les contrées du Chaos / Re : Un paiement de dette [Pv]
« le: vendredi 12 avril 2024, 08:17:07 »

La petite esclave ne comprenait sans doute pas pleinement ce que j’attendrai d’elle dans le futur, et rien que pour cela, je pouvais comprendre qu’elle ne soit pas à sourire, toutefois, les chialeries ne me donnaient pas envie de lui tapoter la tête gentiment. En fait, parfois, entendre sa possession chouiner pouvait être agréable, mais c’était lié à des considérations et des moments bien spécifiques, en fait… je regardais la jeune femme un peu en silence avant de finalement lui faire un petit air entendu/

« Bien, il n’y a que cette manière qui t’apportera une vie heureuse, crois-moi. »

Je lui fis un air un peu mauvais, alors que je la voyais essayer de ne pas se mettre à chialer. Je venais doucement lui caresser les cheveux d’une main douce avant de finalement lui dire, d’une voix douce, presque tendre.

« Bien, il est temps de te reposer un peu. Tu vas être très occupée plus tard et demain une longue route t’attend. »

*
*   *

Je n’avais pas menti, nous nous étions mis en route le lendemain. Moi à cheval et elle à pied, tenue en laisse, mais une laisse pratique, attachée non à sa jolie gorge mais à ses poignets, qui nous avait conduit loin de Nexus. Je me rendais chez moi, ce qui serait son « chez elle » si l’on pouvait dire. La demeure où elle serait affectée. Je ne comptais pas l’honorer de ma présence en permanence, mais c’était un es endroits que j’affectionnais parmi ceux que je possédais. Cela nous avait pris trois jours de trajet. Trois jours où elle avait été mise à rude épreuve, par le rythme, notamment. Une ou deux fois, j’avais même du la prendre en travers de ma selle, car elle n’en pouvait plus.  Les douleurs alors occasionnées par ma main sur ses fesses avait du bien lui faire comprendre que cela me déplaisait…
Enfin bref. Nous y étions arrivés.
Je descendais de cheval, mettant pied à terr vers elle. J’avais insisté pour qu’elle fasse le dernier kilomètre à pied.

« Bien, nous y voilà, c’est ta nouvelle maison. »

La maison avait plutôt l’air un petit manoir entouré de forêt.

« Tu devras l’entretenir, intérieur comme extérieur, en plus de devoir répondre à tous mes besoins, cela va sans dire. »

Je lui détachais les poignets et je la regardais. Bon, la tenue de marche ne serait plus nécessaire désormais. Elle l’abandonnerait, ainsi qu’elle avait réussi à abandonner sa pudeur, plus tôt.

« Tu visiteras toute seule, je n’ai pas que cela à faire, commence par me faire chauffer un bain, j’ai besoin de me délasser et de me décrasser du voyage. Tu me laveras. Ensuite, tu utiliseras la même eau pour te débarbouiller. »

J’ouvrais la porte de l’entrée des lieux. Il y avait un peu de poussière mais ça allait encore.

« Il y a un puits dehors et une cuve au-dessus d’un feu que tu vas devoir allumer pour faire chauffer l’eau. Au travail. »

Je lui donnais une bonne claque sur le cul et je la regardais s’activer. Je la surveillais, oui, car je ne lui faisais clairement pas encore confiance.

8
J’avais fait comme certains pères de famille. J’avais dit que j’allais acheter des clopes mais je n’étais jamais reparu. Bon, là je ne parlais pas de clopes, bien sûr, mais ça, vous l’aviez sans nul doute deviné. En même temps, à quoi d’autres fallait-il s’attendre ? Que je consacre tant de temps à une petite humaine ? Sincèrement, j’avais eu l’intention de revenir, mais je l’étais fait happer par d’autres activités, mais du coup j’avais oublié de revenir aussitôt.
Cela faisait deux semaines et j’avais enfin le temps de revenir m’occuper d’elle… du coup, forcément, je faisais les choses bien, j’achetais ce que je lui avais promis de prendre, des jouets et des choses plus odieusement obscènes les unes que les autres, et je m’étais rendu du coup chez elle. En bon voleur, j’étais rentré san qu’elle ne m’entende. Elle semblait mener la belle vie, quand je la voyais, ainsi avachie sur son téléphone dans son canapé, vêtue d’une petite tenue clairement peu propice aux soirées bridge.

« Bonjour Pupuce… »

S’attendait-elle à me voir ? Probablement pas. Peut être espérait-elle que je l’avais complètement oubliée. Mais j’en doutais. Je lui fis un sourire torve en la regardant réagir, sans doute sursauter. Je m’approchais alors, laissant choir sur la table basse du salon un sac en plastique contenant de jolis effets pour elle, des cadeaux, bien sûr.

« Je t’ai manquée j’espère ? »

Restait à voir si elle avait tout oublié ou si elle se refondrait dans le rôle immédiatement ? Je pariais qu’elle bugguerait et ne ferait rien. Pas par incompétence, juste parce qu’elle devait sans doute être sûre que je ne reviendrais jamais.

« J’avais pris un double de tes clefs en partant pour être sûr de pouvoir revenir… j’ai été prévoyant tu ne trouves pas ? »

J’étais presque parvenu à son niveau.

« Je t’ai acheté des cadeaux en venant, pour me faire pardonner de ne pas t’avoir donnée de nouvelles. »

9
Les contrées du Chaos / Re : Un paiement de dette [Pv]
« le: mardi 02 avril 2024, 20:42:42 »
Elle avait une forme de sourire sur les lèvres, comme si un peu de douceur, une paillasse, de la chaleur, et une écuelle faisait son bonheur. Bien, bien. C’était une excellente chose. Je lui fis un sourire avant de lui caresser les cheveux doucement et je me contentais de cela alors qu’elle semblait montrer plus de bonne volonté que par le passé. C’était une bonne chose qu’elle soit assez docile. Non que lui meurtrir le corps de coups de fouet pour faire rentrer la notion d’obéissance dans le crane d’une esclave me dérange. Loin de là, ça pouvait même être excitant comme apprentissage à lui faire, mais je me doutais qu’avec elle, ce ne serait pas nécessaire.

« J’en suis sûr… de toute façon, si tu n’es pas obéissante, tu découvriras que je ne suis pas quelqu’un de très patient, ni prompt au pardon… »

Je lui tapotais la joue avec douceur.
Sa petite insolence quand elle mentionna les seigneurs et ce qu’ils pouvaient exiger d’elle avant. Je n’aimais pas ce petit ton et elle eut droit à un regard mauvais. Elle avait tout intérêt à changer de ton, sincèrement. Sinon, ça allait très mal se passer, en fait. Mais elle devait s’en douter, donc je doutais qu’elle recommence.

« Tu as raison d’avoir peur, parce que je ne supporte pas les bons à rien. Et ne pas savoir, ce n’est pas une raison de ne pas, au moins, essayer de toutes ses forces. Et que tu sois une petite sotte de la campagne n’est ni un frein, ni une excuse. Au contraire. Ça veut dire que tu dois accepter que, ne connaissant pas grand-chose, tu n’as aucune raison de refuser quoique ce soit. »

Je souris, et mon doigt vint doucement glisser sur ses jolies lèvres.

« Je vais te dresser comme il se doit. Tu vas souffrir mais tu vas apprendre. Je vais t’éduqur à chercher les plaisirs comme la douleur et d’en tirer parti, ma petite chérie… »

10
Les contrées du Chaos / Re : Un paiement de dette [Pv]
« le: vendredi 22 mars 2024, 08:43:44 »
Elle avait donné une bonne dose de son énergie pour finir le travail, et elle s’était montrée à peu près à la hauteur. Je lui fis un sourire entendu. Je regardais la jeune femme, l’air un peu pensif, alors qu’il lui fallait maintenant finir son repas. Elle ne touchait toujours pas à son vin. Libre à elle. Tant pis pour elle, même, d’une certaine manière. Je la laissais se pencher et je la regardais alors pousser le vice plus loin. Elle ne s’ennuya même pas à utiliser ses doigts, comme elle l’avait fait peu de temps auparavant pour manger. Non. Là, elle se penchait et elle se mettait à lécher le sperme avec application. Je n’aurai su dire si elle avait envie de cela. Ou si elle le faisait par petit gourmandise.

Et une fois l’écuelle bien nettoyée, elle s’intéressa au sol. Je savais ce qu’elle faisait. Elle essayait de laper au sol, mais elle ne pouvait pas bien faire ainsi. Et je ne le lui reprochais pas. Alors, je la regardais jouer de petites inspirations pour nettoyer les traces de semence qui ornaient le parquet bien net… le bruit était peu élégant, mais je préférai qu’elle se montre plus diligente que distinguée. Quoi de plus normal. Je regardais la jeune femme avec un air approbateur.

« C’est bien… je suis content de voir que tu sais te montrer appliquée pour cela aussi. »

Elle restait au sol, à quatre pattes, consciente sans doute que c’était sa plus précieuse chance d’avoir une vie confortable.

« Bien, bien… je suppose que tu peux aller te reposer, la journée a dû être éprouvante. Il va juste falloir que je fasse poser une paillasse. Tu ne vas pas dormir par terre. Ou même dans mon lit. Je te laisserai même dormir bien au chaud près de la cheminée, si tu veux. »

Je lui fis un air tendre avant de me pencher, lui caressant les cheveux avec douceur, avant de lui baiser le front avec tendresse. Je lui chuchotais alors avec cette même tendresse que j’avais manifesté dans ce baiser sur son front.

« Je vais bien m’occuper de toi, et tu seras heureuse, dans ta nouvelle condition, dans ton nouveau foyer. Tu ne manqueras de rien. Nourriture, chaleur, vêtements… tant que tu seras obéissante. »

Puis je me redressais, et, plus amusé qu’autre chose, je lui disais.

« Tu feras tout ce que je voudrais donc ? Et si je veux que tu fasses quelque chose dont tu n’as pas envie ? Comment est-ce que ça se passera ? »

11
Laelia suçait. Elle le faisait bien, avec cœur, et, quand je voyais le fond de ses yeux, je comprenais qu’elle ne le faisait pas par plaisir. Enfin, si, mais que c’était aussi une drogue, ce plaisir, elle avait la tête d’une camée en manque sur le point d’avoir sa dose, malgré les orgasmes précédents, comme s’ils n’étaient rien face à une bonne giclée de semence masculine. Ça ne me surprenait pas. Elle avait toujours eu, tout du longs, l’air de la manière d’être une salope. Elle avait tout enduré et n’avait jamais protesté.
Bon, j’idéalisais peut-être un peu. Toujours était-il qu’elle ne semblait même pas se faire le moindre souci quant à sa nouvelle vie. Elle suçait et finit par me faire craquer, savourant la généreuse dose de semence qu’elle but jusqu’à la lie, avalant sans fausse retenue, par pure gloutonnerie, suçant la moindre goutte avant de relâcher mon sexe.

« Repue, petite chienne ? » [/i]

Je pariais que non, et alors que je lui caressais les cheveux, je lui disais, avec amusement.

« Je suis sûr que non. Trop gourmande et trop avide, n’est-ce pas ? » [/i]

Je la relâchais et je regardais le sol, y voyant la trace de ses plaisirs successifs. C’était bien, une belle manière de montrer ce qu’elle valait vraiment.

« Et tu as très bien joui aussi. C’est bien… » [/i]

Je lui caressais un instant les cheveux, avant de finalement réfléchir, sans trop me soucier d’elle, comme si elle n’était qu’un objet parmi d’autre avant de lui dire, revenant comme à la réalité de l’instant, à la présence de la putain docile à mes pieds.

« Tu dois être épuisée, non ? Tu devrais peut-être te reposer, pendant que je fais quelques emplettes pour t’équiper comme il faut, Qu’en penses-tu ? J’ai beaucoup à faire pour te rendre heureuse… » [/i]

D’ici là…

« Je te conseilles de le faire avec au moins un plug anal… je pourrai avoir envie de t’enculer à mon retour… » [/i]

12
Les contrées du Chaos / Re : Un paiement de dette [Pv]
« le: mercredi 20 mars 2024, 21:37:13 »
Je levais un peu les yeux au ciel. Elle avait un petit côté incapable qui pouvait être pénible, peut-être… mais bon, je ne voyais pas de raison de me montrer plus indulgent avec elle que je ne l’aurai été avec quoi que ce soit d’autre… quant à me refuser ce que je souhaitais, c’était quand même particulièrement mal venu. Alors forcément qu’elle n’était pas particulièrement bien reçue.
Je lui saisissais le menton fermement et je la regardais dans les yeux.

« Tu feras ce qu’on te dira, pupuce… me suis-je bien fait comprendre ? » [/i]

Voilà qui était clair, et voilà que le reste allait de lui-même. Elle avait compris que ma contrariété ferait son malheur, alors elle se jeta à corps perdu dans cette branlette espagnole, jouant de ses seins sans la moindre retenue, pressant, salivant, jouant de ses mouvements de haut en bas, parfois même asynchrone dans une belle valse qui était bien plus maitrisée que l’on aurait pu croire… je venais doucement glisser mes doigts à ses cheveux humides, de nouveau, comme si le petit intermède pénible n’avait existé ni pour elle ni pour moi.

« Voilà, c’est déjà mieux. » [/i]

Je caressais ses cheveux et je soupirai, restant debout, la forçant à pas mal pousser sur les genoux pendant qu’elle s’activait à mon service.

« Brave fifille… » [/i]

Je lui donnais une petite tape douce avant de cola laisser continuer, jusqu’à finalement sentir que je ne tiendrai plus, alors, fermement, je l’écartais et je me finissais en me masturbant pour jouir en direction de son écuelle. Plusieurs longues giclées arrosèrent le reste de nourriture et certaines arrivèrent même à tomber à côté. Pas de bol.

« Ha ça fait du bien. Allers, finis ton repas ma belle. Je compte sur toi pour ne rien gaspiller. » [/i]

Je voulais voir comment elle gèrerait aussi ce qui était tombé à côté, du coup… je me rasseyais, toujours sexe à nu. Ce devait être un de ses horizons, une des raisons de son existence.

« Tu es plutôt efficace avec tes mamelles. » [/i]

13
Ville-Etat de Nexus / Re : La vampire domestique [ Draven Dairn ]
« le: mercredi 20 mars 2024, 21:36:30 »
Vampirella devait avoir salement la dalle. En fait, c’était une quasi-certitude quand on voyait sa diligence. Elle allait devoir se donner du mal. Parce que si je n’étais pas réellement de mauvaise humeur, la voir ramper était toujours quelque chose que j’adorais. Elle subirait en guise de punition quelque mortification. Je me disais que ce serait quelque chose d’intéressant… je lui fis un sourire un peu moqueur, me moquant d’une dépendance que nous partagions mais à un degré asymétrique, pourrions-nous dire. D’autant que ce corps était neuf. Et du coup, il fallait sans doute qu’elle offre suffisamment de piqûres de rappel pour que je ressente ce même empressement à la morsure qu'elle semblait avoir... je savais que c'était une drogue...

Je la regardais se lever et se dépêcher, appréciant de voir ce petit corps élancé se mettre au travail, faire ce qu’elle aurait déjà dû faire et j’en ricanais presque de la voir peiner avec les chaudrons d’eau pour les faire chauffer. Aimait-elle ce genre de petites taches ? Je pariais que non, bien sûr.

« Je suis surpris de ta diligence. Un peu plus et je vais croire que je t’ai beaucoup manqué… »

Je ricanais un peu et quand le bain fut près, je lui souris et je la rejoignais vers la grande cuve d’eau. C’était une bonne chose de faite. Bien, maintenant. Je m’étirais et je retirais mes vêtements avant de m’étirer de nouveau, savourant cette nudité, étant d'un naturel peu enclin à la pudeur, contrairement à elle, ce qui lui valut, vous vous en doutiez bien, une nouvelle moquerie, cette fois concernant une pudeur particulièrement déplacée. Puis je m’immergeais dans l’eau chaude qui n’aurait pas déplu à un chef pour la cuisson du homard.
Ou alors j’exagérais un chouia.
Bon, d’accord, j’exagérais un chouia. Mais que ce serait chiant si je ne le faisais pas… je ne me plaignis pas et je me prélassais quelques instants, avant de lui laisser un peu plus de place pour qu’elle puisse s’immerger. Je l’entendis retirer son haut mais je ne la regardais pas. Je ne me souciais pas d’elle. Elle savait ce qu’elle avait à faire.

Je la sentais s’installer, venir doucement glisser ses jambes autour de ma taille, dans un premier temps, pendant qu’elle me savonnait, ses orteils venant chercher à caresser un sexe pour le moment endormi. Madame voulait la jouer coquine tout en faisant assaut de pudibonderie ? Voilà qui me faisait un peu rire, je le reconnaissais. Je la laissais faire. Elle m’enlaçait, utilisant son corps comme un gant de toilette pour me savonner, ses jolies petites rondeurs mammaires frottant contre mon dos, ses mains sur mon torse. Elle savait comment faire.

« Tu as été bien dressée, dis donc. Je me demande qui t’a modelée… »

Je ricanais. Elle avait eu une période bien plus rétive que cela. Maintenant c’était du passé et je la laissais gérer. Elle connaissait son œuvre, son art, faisant assaut de ses talents pour me laver et m’exciter en même temps, semblant chercher toujours à rester en contact avec mon sexe, avec mes testicules, en les caressant que ce soit de l’orteil, de la cheville, du mollet, de la main, du bras. Elle se donnait du mal pour ça, même si elle prit quelques petites tapes – légères – quand j’estimais que ses menottes   griffaient trop la peau pour être agréables. Même si, pour elle, c’était sans doute pire. Mais je m’en fichais. Qu’elle ne s’en plaigne pas, j’aurai pu décider de la menotter sous peau. Cela aurait été bien pire, bien sûr.

Je la laissais même me laver les cheveux avant de soupirer profondément, dans le bain, me sentant propre dans une eau rendue opaque par le savon. J’attirais la vampire sur mes genoux pour la peloter doucement et je la gardais sur mes genoux.

« Et toi, tu t’es bien lavée de partout, même à l’intérieur ? »

Bien sûr, j’exigeais d’elle des lavements réguliers, pour qu’elle soit impeccable. C’était, selon moi, une base nécessaire étant donné certains usages que je faisais d’elle. Je glissais entre ses cuisses d’un doigt aventureux, mais sans timidité, conscient qu’elle était mienne et que j’aurai pu faire n’importe quoi.

« Je pourrai utiliser le chat à neuf queues… tu sais, celui avec les lames…. Qu’en penses-tu ? »

Lui dire cela, avait quelque chose d’érotique, trouvais-je… surtout quand je savais qu’elle ne pouvait pas vraiment lutter.

« Il te reste une chose à faire pour me détendre complètement dans mon bain… tu ne crois pas ? »

14
Au moins, elle se démenait et se donnait du mal. C’était bien le moins que j’espérais venant d’elle. La bougresse à la peau sombre avait prouvé qu’elle avait de la bouteille. ? mais le moins que l’on puisse espérer. Je la regardais avec un œil sévère, mine de rien, alors qu’elle jouissait en sortant mon sexe. Bon, c’était faiblard et potentiellement simulé. Bien sûr. Mais bon, c’était de bonne guerre et je lui laissais le bénéfice du doute.
En tout cas, j’adorai voir le visage de la jeune femme à l’aperçu de mon sexe. Un égard captivé. Comme si elle n’avait rien vu de si beau, de si désirable. Je souris. Vraiment, cette manière qu’elle avait de regarder mon sexe comme si c’était le plus parfait chose au monde pour elle, j’adorai. C’était dire à quel point elle était complètement matraquée par le sexe, cette petite chienne.

« Tu es une suceuse avant tout, n’est-ce pas ? » [/i]

Je caressais sa joue, creusée par la succion. Elle savait sucer, je l’avais constaté et pas qu’un peu. Ma main serrait ses cheveux et je savourais, la sentant donner tout ce qu’elle avait, et je savais qu’elle était capable de tout donner. Elle agissait avec moi, et à raison, comme si sa vie en dépendait. C’était en effet peut-être le cas.
Deuxième orgasme, plus violent. Mais pas encore ce que j’attendais.
Elle faisait ce qu’elle devait. Et elle le faisait bien. Elle avait les yeux larmoyants, et l’air un peu hagard de celle qui manquait d’air. Pour ma part, je savais qu’elle perdait un peu pied. Cela se voyait. C’était l’évidence même… en même temps, elle était douée… difficile de le nier. Et elle était comme une camée en manque.

Et le troisième orgasme vint, cette fois, je la sentis vraiment se raidir, et éclabousser son sol comme si elle avait pissé tant c’était abondant… voilà, c’était ça que je voulais voir. D’ailleurs je souris, lui caressais la joue, et je lui disais alors.

« Bien. C’est bien. » [/i]

Je lui fis un sourire encourageant ;

« Tu devrais jouir comme ça tout le temps. » [/i]

Je lui pinçais doucement la joue.

« Savoure ton premier repas de femelle domestiquée. De chienne en collier. Fais-moi jouir. Gave-toi de foutre. » [/i]

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Les contrées du Chaos / Re : Un paiement de dette [Pv]
« le: jeudi 14 mars 2024, 21:11:21 »
« Cela reste à voir, je risque d’avoir envie de te louer à d’autres, auquel cas tu ne seras pas juste ma petite putain. Tu pourrais être celle de beaucoup… mais tu es mon esclave. Et ça, personne ne te l’enlèvera quand je l’aurai inscrit sur ton corps, dans ta chair… » [/i]

Je lui souris, je lui caressais les cheveux tendrement alors qu’elle se branlait, dans un exercice compliqué, je n’en doutais pas. Je balayais sa manière de dire les choses d’un revers de main et j’attendais de voir ce qu’elle allait bien pouvoir me proposer comme spectacle. J’étais persuadé qu’elle pourrait monter en compétence et pas qu’un peu. Le souci, c’était qu’elle semblait avoir beaucoup de mal à faire deux choses à la fois… puisqu’alors qu’elle se masturbait, elle me négligea un peu… voilà qui était trop loin de ce que j’attendais et méritait peut-être même un petit rappel à l’ordre douloureux. Je la rappelais à l’ordre d’une pression sur sa tignasse. La deuxième fois, je recommençais. La troisième je la repoussais rudement.

« Tu me déçois. Beaucoup. » [/i]

Je soupirais et je gardais ses cheveux dans ma main et je lui donnais même une petite claque.

« Il va falloir travailler. Travailler dur pour être à la hauteur. Je te pensais meilleure suceuse… » [/i]

Je fronçais un peu les sourcils et je la regardais.

« Alors, comment vas-tu gérer cet échec ? » [/i]

Du pied, je venais donner un petit coup de pied – pas fort, hein – contre son sexe humide.

« Il faudrait peut-être que je te fasse travailler dans un bordel pour que tu sois convenable ? Rassure-moi. ; au moins, tu sais te faire troncher comme il faut ou même ça tu ne sais pas faire correctement ? » [/i]

Je levais les yeux au ciel.

« Oublie tout ça. Je t’éduquerai plus tard. Finis-moi avec tes seins et dépêches toi. Si j’estime que tu mets trop de temps tu seras punie. » [/i]

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