Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Thaïs écarta délicatement le bras de Grayle et quitta le lit, encore fébrile. Elle manqua de tomber tant ses jambes fluettes tremblaient encore, conséquence de ces quoi... quelques heures?
Elle n'aurait sut dire combien de temps tout cela avait duré, mais son corps portait encore les stigmates de ces agapes excessives et bien que la plupart s’effaceraient avec la régénération, le reste nécessitait a tout le moins une bonne douche. C'est d'un pas peu assuré qu'elle s'approcha du mur, s'agrippant à une petite commode pour ne pas chuter; ses petits pieds poisseux collants sur le parquet. La tête lui tournait encore et il lui fallut quelques instants pour retrouver un semblant de contenance et remettre son esprit en place. Ses pensées, d'habitudes semblables à un papillon qui volette doucement de fleur en fleur étaient encore en ébullition plus semblable à une libellule. Elle ne devait son apparent calme qu'à l'influence sereine du pérégrin endormi et à leurs corps vidés de toute énergie.
Laissant des petites flaques humides et gluantes derrière elle, elle se dirigea vers la baie vitrée qui donnait sur une échappée dans la forêt luxuriante. Elle suivit un petit escarpement menant à un bassin d'eau cristalline alimenté par une petite chute d'eau. Là, elle se défit des ses derniers vêtements, ses bas rayés, et se glissa dans l'eau fraîche et pure pour faire disparaître les dernières preuves des récents événements.
C'est l'esprit un peu plus clair qu'elle réalisa cette absence qui l'avait titillée à son arrivée: les filles n'était pas là! Elle n'avait pas entendu un seul rire depuis son arrivée, et même si elles étaient plutôt timides avec les inconnus, elles n'auraient normalement pas manqué de venir tourner autour de Grayle par simple curiosité pour ce beau et mystérieux voyageur.
"Thalie ? Era ?! Poly !?!"
Thaïs n'obtint nulle autre réponse que le bruit des oiseaux et de la chute d'eau.
Ses protégées manquaient à l'appel et elle se devait de tirer ça au clair.
Nue comme au premier jour, elle sortit de l'eau et s'engagea dans les sentiers ombragés qui serpentaient autour de la maison. Il lui fallut dix minutes pour trouver la clairière où étaient réunies les muses dans un silence glaçant. Calliope fut la première à réagir à l'apparition de Thaïs avec de grands gestes emphatiques, comme effrayée par l'immortelle.
"Calme toi Calli, ce n'est que moi!"
Les autres muses semblaient tout autant effrayées à la vue de Thaïs et elle eut toutes les peines du monde à calmer ses amies. Ce n'est qu'après un moment qu'elle réalisa que l'une d'elles n'avait pas bougé, elle restait là, étendue sur l'herbe, une fleur écarlate à la hanche.
"Oh, non non non non non non !"
Thaïs se jetta sur le corps inerte de Polymnie. Voilà pourquoi les filles avaient les larmes aux yeux, pourquoi elles ne s'étaient pas montrées à son arrivée; la muse de la rhétorique gisait dans son sang, froid depuis plusieurs heures.
Une rage froide envahit Thaïs, déformant son visage en un rictus qui dévoilait son âge sous ses traits juvéniles. Elle prit délicatement la main de Clio et usa de toute sa volonté pour rester calme:
"Montre moi ce qu'il s'est passé!"
Des flashs successifs d'images floues envahirent l'esprit de Thaïs: deux silhouettes dans l'ombre de la végétation, une lame acérée, la panique des filles courant en tout sens; et un visage: celui de Thaïs.
C'était bien son visage qu'elle avait vu, mais ce n'était pas elle. Les lèvres étaient violettes, le maquillage grossièrement appliqué et vulgaire (du moins de son point de vue) et l'expression de haine et de mépris n'était clairement pas la sienne. Et puis il y avait aussi cette spirale noire qui revenait a plusieurs reprises dans les visions que lui transmettait la muse de l'histoire.
C'est en courant qu'elle prit le chemin de la maison, mais sa colère s’amenuisait au fur et à mesure qu'elle se rapprochait de la maison. Le pérégrin endormi dans sa chambre était tellement paisible que lorsqu'elle arriva enfin sur le seuil de sa chambre, sa colère s'était presque muée en simple agacement; conséquence du lien de leur Nómos.
Elle s'approcha calmement du lit:
"Grayle... Grayle, réveille toi."
Elle grimpa à califourchon sur son partenaire, prit ses épaules en main et le secoua doucement.
"Grayle, s'il-te-plaît!"
Elle observait son visage si paisible et heureux et s'en voulu presque de le réveiller. La mélodie était calme et appaisée, les notes sereines et chaleureuses. Ses petites mains glissèrent de ses solides épaules vers sa poitrine qu'elle se mit à caresser. Envolées la colère, la peur, le sentiment d'urgence; la petite immortelle se faisait envahir par les rêves érotiques de son alter-ego et plus rien n'eut d'importance quand elle sentit le membre viril de son compagnon se durcir sous elle.
"Grayle!"
Elle s'était mise à faire des mouvements de va-et-vient, sa vulve frottant contre le sexe encore humide de Grayle et celui-ci ouvrit enfin les yeux quand sa verge pénétra à nouveau l'intimité de Thaïs.
2
Les alentours de la ville / Re : C'est un Pokémon...{Dragunov}
« Dernier message par Randal Dragunov le Aujourd'hui à 07:29:04 »
Savoir s'entourer des bonnes personnes est primordial. Et ce peu importe dans quel secteur d'activité vous officiez. Il en va donc de même pour la personne qui suit au quotidien un homme d'affaires comme Randal Dragunov qui démarre tranquillement sa journée en entrant dans son bureau dont les locaux sont situés au plein centre-ville de Seikusu pour un tas de raison pratiques. Les deux grandes portes du bureau en question s'ouvrent en grand avec derrière-lui une femme au physique élancé. Il s'agit de Saeko, sa secrétaire personelle. Deux critères particuliers ont été privilégiés lors de son recrutement. A savoir ses compétences et son physique. Là encore, tout n'est que calcul car lorsqu'on a baigné dans les affaires assez longtemps comme c'est le cas pour Randal on sait que ce genre de compagnie aura toujours ses avantages. A maintes reprises les charmes de la jeune femme se sont avérés utiles dans ses négociations car certains hommes concentraitent davantage leur énergie à chercher à voir sous sa jupe qu'à écouter leur interlocuteur. D'autres cherchaient à se faire bien voir par cette créature de rêve en allongeant inutilement l'argent. Saeko n'avait aucun problème à en jouer à la perfection au fil des années car elle savait que son patron lui accorderait un bonus amplement mérité en fonction de son rendement.


« Monsieur, aujourd'hui vous avez une réunion à 10h avec Lupiol Inc, puis un déjeuner à 13h avec Monsieur Toki pour finaliser le rachat de sa start up. Puis, cet après-midi, une AP* qui est planifiée jusqu'à 17h avant la réception de ce soir pour l'écrivaine Mona Duval qui aura lieu dans votre villa secondaire. » (*Affaire Personnelle)
« Encore une longue journée. Merci, Saeko. Je compte sur ta présence durant ce déjeuner. »
« Vous êtes sûre, Monsieur ? Je ne voudrais pas déranger vos négociations. »
« Au contraire. Tu as vu comme moi sa façon de te regarder l'autre jour. Avec un peu de chance il baissera son prix et une partie de ces économies iront dans ta prime trimestrielle. »
« Très bien, je ferais de mon mieux. »



Son air impassible derrière ses lunettes font partie intégrante de son charme. Rares sont les personnes à pouvoir faire perdre ses moyens à la jeune femme qui semble promise à un avenir prometteur... ou à une retraite largement anticipée dans quelques années si elle arrive à bien gérer l'argent qu'elle gagne depuis quelques années auprès de son employeur actuel.


*****   *****

Le déjeuner se passe comme prévu. Le dénommé Toki dont Dragunov doit racheter la start up qui développe un tout nouvel outil technologique est un otaku en manque de confiance en lui qu'il cherche à masquer en portant des habits de luxe et une coupe à la mode. Un seul battement de cil de la part de Saeko ou un croisement de ses longues jambes suffit à lui faire perdre tous ses moyens et provoquer chez lui un retour de plusieurs années en arrière. Le voilà redevenu ce lycéen quasiment bégayeur dès qu'une fille s'approche de lui ou vient lui poser une question innocente. Sauf que pour ce pauvre bougre, la séduisante Saeko n'a plus rien d'innocent.

Le duo se met alors dans l'idée d'obtenir autant d'avantages que possible de ce dernier dans le contrat qu'ils finiront par signer une heure plus tard autour d'un dernier café. L'homme d'affaire s'en ira avec une promesse de bénéfices conséquents dans les prochaines années. Sa secrétaire avec un bonus amplement mérité. Et l'otaku un doux rêve de revoir celle avec qui il est persuadé d'avoir partagé des moments intimes et des regards pleins de sous-entendus alors que tout se jouait dans sa tête.

On peut trouver cela cruel mais c'est ainsi que le monde des affaires tourne. Peut-être qu'il se servira de cette expérience à l'avenir.


*****   *****


« B-Boss ! C'est un mal-ARGH !» Dans les films et séries ont voit souvent les victimes de passages à tabac attachées à une chaise ou à des chaînes avec les bras levés. Ici il n'en est rien car la personne qui est en train d'asséner des coups à sa victime sait qu'elle n'a rien à craindre de sa part. En face de lui se trouve un homme au visage tellement tuméfié que même sa mère aurait du mal à reconnaître son fils. C'est d'ailleurs avec difficulté qu'il arrive à articuler quelques mots.

« J'ai un sérieux problème avec toi, Takeshi. Car je vois la chose de deux façons différentes. Et, malheureusement pour toi, aucune des deux n'est bonne pour toi. » lui annonce Randal en se tenant fièrement devant lui tout en faisant craquer les os de ses deux mains. Telle une promesse de ce qui va lui arriver dans quelques instants.


« Tout a été vérifié ? »
« Oui, Boss ! Regardez ! »



Un homme tend un dossier à Randal qui commence à l'ouvrir et le parcourir dans les grandes lignes. Sa main fait tourner les pages et son regard devient plus sévère à chaque seconde qui passe sous l'expression terrorisée de l'homme à genoux face à lui. La peur qu'il ressent est si forte qu'il n'arrive pas à bouger. Pire encore, il craint que le moindre mouvement lui provoquer un accident de vessie.


« Takeshi, Takeshi, Takeshi... En lisant ça je me demande si tu es un idiot fini ou un déviant de la pire espèce. J'ai pourtant averti tous ceux qui veulent gérer des filles : PAS DE MINEURS !
Mais toi tu as cru bon de n'en faire qu'à ta tête. »

« J-J-J-J-Je... Je.... Pardon !»
« En plus de ça tu sais qu'il est interdit de tester la marchandise soi-même, non ? »
« E-E-E-E-Euh... Ou-Ou-Ou-Oui !»
« Alors pourquoi t'as fait ça ? J'ai une réputation à tenir. Vous avez d'excellentes conditions de travail. T'as un bureau, les filles bossent à l'abri et dans des lieux sûrs contrairement à d'autres pays où elles font le trottoir comme des animaux. Alors pourquoi ? Je comprends vraiment pas. »
« J-J-Je... Je sais pas ! »
« Heureusement c'est ton jour de chance. Je vais te garder en vie pour que le message passe auprès de tout le monde. »
« V-Vraiment ? »

« Oui, car contrairement à toi, je tiens toujours ma parole. Par contre... »

Randal termine sa phrase en même temps que deux de ses hommes viennent se saisir de Takeshi pour l'emmener plus loin. Ce dernier commence alors à paniquer et remue les jambes dans tous les sens pour tenter de se libérer de la prise des deux malabars qui font deux têtes de plus que lui.

« ... tu peux dire adieu à ce qui faisait de toi un homme. Si tu en as déjà été un un jour. »

Sans perdre de temps, l'homme d'affaire se tourne vers l'autre homme de main qui lui a tendu le dossier compromettant sur Takeshi quelques instants auparavant en lui demandant « Et pour la fille ? Vous l'avez localisé ? Parfait ! Allez la voir pour lui transmettre nos excuses à elle et sa famille. »


Bien entendu son nom ne sera jamais mentionné car Dragunov reste un homme d'affaire connu dans le milieu du business. Les rumeurs à son sujet vont bon train mais personne n'irait s'oser lui demander ouvertement dans quoi il trempe réellement. En tout cas les "excuses" offertes par ses hommes prendront la forme d'une somme d'argent rondelette.
D'ailleurs si Takeshi s'en sort en vie après cette histoire c'est parce qu'il n'y a pas eu viol et que la fille avait 17 ans. Si ça avait le cas on ne l'aurait probablement jamais retrouvé. Pas en un seul morceau en tout cas.



*****   *****


Toute cette excitation n'est pas encore retombée alors que Randal vient de finir de se changer au sein de sa villa qui a été légèrement redécorée pour l'évènement du soir. Le terme sobre n'est sans doute pas le plus approprié pour décrire les lieux et pourtant c'est la propriété la moins clinquante qu'il possède. L'endroit peut aussi bien accueillir des personnes pour une soirée qui rimerait entre chic et détente qu'une fête décontractée en plein été grâce à la grande piscine qui se trouve à l'arrière.
Deux grands salons, une cuisine qui fait la taille d'un appartement moyen, une piscine à l'eau transparente qui est mise en valeur par des lumières à son fond et des braseros positionnés de chaque côté en plus d'une terrasse qui peut accueillir plusieurs dizaines de personnes en font un endroit idéal et paradisiaque.

Très rapidement les invités défilent les uns après les autres qui doivent passer par une armoire à glace à l'entrée qui vérifie que chaque personne dispose de son invitation. Randal ne s'est occupé de rien concernant cet évènement si ce n'est de fournir les lieux pour accueillir cette artiste dont il est particulièrement friand. Une situation assez particulière quand on sait quel type de roman elle écrit et qu'on connait sa personnalité à lui. Comme quoi, les goûts et les couleurs...

Afin de se calmer un peu et faire redescendre sa tension, l'homme d'affaire qui porte son plus beau costume rouge ce soir commence par engloutir deux coupes de champagne d'une traite pour ensuite se rendre dans le premier salon afin de saluer ses invités avec son plus grand et charmeur sourire. Et cela semble bien se passer pour le moment car il échange des banalités et propositions d'affaires sans envergure avec de parfaits inconnus ou des contacts de contacts commerciaux. Rien de bien galvanisant en soi. La recette parfaite pour se changer les idées.

C'est alors que plusieurs voix se lèvent d'un coup et que l'attention de toutes les personnes se portent vers l'entrée de la villa. Apparemment l'invitée d'honneur vient de faire son apparition. Un petit attroupement vient alors se former au point de quasiment bloquer le passage. Un des agents de sécurité se voit alors forcé d'intervenir pour demander à tout ce petit monde de reculer de quelques pas en leur rappelant qu'ils auront tous l'occasion de discuter avec la personne qu'ils sont venus voir.
3
One Shot / Re : Hollywood Trap
« Dernier message par Leon Redgrave le samedi 25 mai 2024, 23:45:46 »
Dio avait réussi l’impossible : voler la vedette à Kim, celle qui était prédestiné à conquérir Hollywood. Beaucoup se demandaient comment ce changement de cap avait bien pu occurer, alors que Kim était pourtant au sommet de sa gloire. Cependant, du jour au lendemain, les films dans lesquels Kim jouaient commencer à chuter au box-office, sans aucune explication plausible. Et là, apparut Dio, comme par magie, sorti de nulle part. certains disaient que c’était le fruit du hasard, mais meme le hasard, avait parfois ses limites…

Dio sourit à Kim lorsque celle-ci lui répondit qu’il avait beaucoup de mains à serrer, elle ne pouvait etre plus correct : Dio avait effectivement captivé la foule, et nul doute qu’il allait serrer beaucoup de mains cette soirée.

« Oh, a vrai dire, je fus surpris lorsqu’on annonça le résultat, Kim. Je n’imaginais pas remporter le prix, je croyais que c’était toi qui allais remporter l’oscar. »
, prononça Dio avec un air légèrement ironique.

Puis Dio tourna son regard vers l’horizon, fixant une porte qui menait vers le buffet.

« Que diriez-vous d’aller au buffet ? Après tout, cet endroit commence à devenir étouffant, tu ne penses pas ? »

Dio tendit une main à Kim, avec un sourire presque diabolique. L’atmosphère devint plus lourde, et Kim sentit son corps bouger de lui-même, sa main se tendant vers celle de Dio, comme si elle n’était plus maitresse de son corps. Dio l’emmena ensuite au buffet.

Le buffet était un véritable spectacle en soi. De longues tables drapées de nappes blanches immaculées se déployaient en enfilade, couvertes de mets raffinés et de boissons scintillantes. Des centres de table somptueux, ornés de fleurs fraîches et de chandeliers en cristal, ajoutaient une touche de sophistication à l'ensemble.

Les plats disposés sur les tables étaient un hommage à la haute gastronomie. Il y avait des stations de découpe où des chefs en toques blanches tranchaient des pièces de viande juteuses, des rôtis de bœuf vieilli et des gigots d'agneau parfaitement rosés. À côté, des plateaux débordants de fruits de mer – des huîtres sur glace, des crevettes géantes et des crabes royaux – reflétaient les lumières tamisées, offrant une symphonie de couleurs et de textures.

Les boissons n'étaient pas en reste. Une longue rangée de seaux à champagne tenait fièrement des bouteilles de millésimes rares, tandis que des barmans experts concoctaient des cocktails artistiques, mélangeant des ingrédients exotiques avec une précision déconcertante. Des fontaines de chocolat et des carafes de vins fins complétaient ce tableau opulent.

Un peu plus loin, une table dédiée aux desserts attirait l'attention des nouveaux venus. Des pâtisseries délicates et des gâteaux ornés de dorures se succédaient, chaque bouchée promettant une explosion de saveurs. Des macarons de toutes les couleurs, des tartes aux fruits et des verrines élaborées composaient une véritable mosaïque sucrée.

L'ambiance dans le buffet était à la fois détendue et raffinée. Les invités, parés de leurs plus beaux atours, discutaient avec animation, leurs rires résonnant doucement dans la salle. La musique douce jouée par un quatuor à cordes ajoutait une note élégante à l’atmosphère.

Dio s’avança, tenant Kim par la main. Le couple captiva l’attention de certaines personnes présentes au buffet. De loin, on pouvait presque dire que les deux acteurs étaient en couple. Dio s’avança vers une table ou était posé une bouteille de champagne et retira le bouchon avec la seule force de ses dents avant de verser un verre pour Kim, un autre pour lui.

« C’est un peu mieux ici, vous ne trouvez pas ? »

Ses yeux lubriques fixèrent l’actrice. Il s’approcha d’elle, avant de poser une main sur son menton.

« Oh, vous êtes magnifique aujourd’hui, Kim… »
4
Le Seikusu Palace et cinéma / Re : Inside the Lux, the place of Lust [Sareeth]
« Dernier message par Leon Redgrave le samedi 25 mai 2024, 19:47:10 »
Ce qu’il y’avait bien avec les boites de nuit comme le lux, c’est que ces derniers abritaient des quartiers privés qui étaient à l’abri du bruit assourdissant produit par le dj. Et donc, si on voulait avoir une conversation constructive avec quelqu’un, il fallait s’y rendre, encore fallait-il pouvoir s’y rendre… heureusement, puisque j’étais accompagné par la sensation de la soirée, nous rendre dans la cabine de maquillage s’avéra chose aisé. Sur le chemin, nous rencontrâmes plusieurs videurs, qui me dévisagèrent. Ils n’étaient certainement pas enchantés à l’idée que je puisse accompagner la meuf de la soirée…
 
Nous arrivâmes finalement sur les lieux, une porte ornée en noir, orné par plusieurs motifs en or, sur lequel était écrit « sareeth ». Loin du tumulte bruyant de la scène principale, la cabine dégageait une atmosphère apaisante et presque sacrée. Les murs étaient tapissés de miroirs éclairés par des ampoules LED disposées tout autour, projetant une lumière blanche et éclatante. Chaque reflet capturait des fragments d’histoires silencieuses et de secrets soigneusement gardés.
 
Au centre, de grandes tables de maquillage recouvertes de produits multicolores, de pinceaux soigneusement alignés et de palettes de fards à paupières ouvertes, formaient un kaléidoscope de nuances. Des chaises hautes, rembourrées pour le confort, étaient dispersées devant ces miroirs, chacune témoignant des transformations minutieuses qui s'y déroulaient chaque soir.
 
« Je m’appelle Léon, Léon Redgrave. Disons que je ne suis pas un habitué des boites de nuit »
 
Plusieurs costumes étaient suspendus sur des portants à vêtements contre les murs. Toutes des lingeries fines, afin d’attirer le maximum de regard. Il fallait dire qu’au lux, la lingerie fine était une marque de fabrique… puis vient justement le moment ou mon interlocutrice me parla de lingerie. Il fallait dire qu’elle était déterminée
 
« Non, pas besoin, je pense que vous êtes très présentable comme ça », dis-je avec un ton légèrement ironique.
 
L’odeur douce et familière des produits cosmétiques et des lotions flottait dans l’air, mêlée à un parfum subtil de vanille et de musc. Des poubelles discrètes, presque invisibles, étaient stratégiquement placées, témoignant du souci constant de propreté. Je scrutai la pièce, quand mon interlocutrice me demanda mon nom.
 
*ah oui, mon nom…*
 
Il est vrai que je ne m’étais pas présenté, mais en même temps, voyant comment mon nom commençait à être connu récemment, suite aux nombreux démons que j’avais envoyé vers la faucheuse, je me disais qu’il valait mieux que je reste discret. Surtout si mes suspicions envers cette jeune femme s’avèrent fondés. Mais politesse oblige, je me présentai :
 
Je pris place sur le sofa, avant de fixer mon interlocutrice :
 
« Vous êtes d’ici ? je ne vous ai jamais vu dans la ville auparavant »

5
Vous nous quittez déjà ? / Re : Un retour !!
« Dernier message par Shun le samedi 25 mai 2024, 18:56:00 »
Hello !
Je te souhaite un bon rétablissement! Ne va pas trop vite en besogne et préserve-toi! :-*
6
Vous nous quittez déjà ? / Re : Un retour !!
« Dernier message par Khai Do le samedi 25 mai 2024, 17:16:30 »
Repose toi bien, ma chère. Le jdr est avant tout une distraction.

Signé un inconnu à qui tu as tapé dans l'oeil, semble-t-il.
7
Vous nous quittez déjà ? / Re : Un retour !!
« Dernier message par Souta et Janus le samedi 25 mai 2024, 15:23:02 »
Prends le temps de te reposer avant de relancer les réponses. Le but d'un forum c'est justement de pouvoir faire les choses à son rythme.  :D
8
Vous nous quittez déjà ? / Re : Un retour !!
« Dernier message par Draven Dairn le samedi 25 mai 2024, 09:22:47 »
Bon retour !

Fais comme tu peux, à ton rythme, je crois que personne n'en demande davantage de toute façon ! ;)
9
Le palais d'ivoire / Re : La Crise Nexusienne [PV: Serenos]
« Dernier message par Eleanor vi Luciem le samedi 25 mai 2024, 07:27:08 »
Le Roi quitta la pièce, laissant Eleanor seule dans la chambre royale. Elle passa nerveusement une main sur son front, se demandant si elle avait bien fait de mettre son destin entre les mains du Roi étranger, sachant qu'il était maintenant bien trop tard pour changer d'idée ou le rappeler. Maintenant que le Roi était parti, tout ce qu'elle pouvait faire, c'était lui offrir son support.

Elle ne prit pas la peine de se changer; à quoi bon puisque sa robe sera ruinée de toute façon. Elle passa devant Tohru et sa garde, les sommant de la suivre d'un geste de la main, avant de dévaler les couloirs à pas rapides, dégravissant les escaliers qui les menèrent au premier étage, puis direction la salle du trône.

En cinq minutes, elle avait regagné le siège du pouvoir de Nexus, et sans grande surprise, son remplaçant n'avait pas bonne mine. Elle le voyait à son air absent et la bave qui coulait sur son menton que son esprit n'était pas au beau fixe; il avait déjà été assailli par les créatures qui se cachent derrière le voile. Elle jeta un simple coup d'œil aux prêtres du Trône, et ils comprirent ce qu'elle comptait leur demander.

Normalement, un noble ne serait pas retiré aussi rapidement du trône, simplement parce que la plupart des sangs dilués ne survivent pas à l'opération. Les sangs proches de la lignée principale, comme Eleanor, étaient capable de survivre aux effets dévastateurs du trône, et de diriger son pouvoir. Et maintenant, c'était ce que Eleanor comptait faire. Une fois le jeune homme débranché et presque négligemment jeté dans les bras d'un garde, les prêtres prirent quelques secondes pour faire les ajustements nécessaires, puis remplacèrent les aiguillons par de nouveaux, propres et sanitaires, avant de laisser la noble duchesse prendre sa place.

Elle s'assit, et regarda le Chef des Prêtres Rouges.

"Je veux que vous alliez au second sous-sol, et que vous activiez les golem B3 à B19 s'ils sont encore opérationnels."

"B5 n'est pas en fonction, il a été endommagé dans la dernière bataille, mais les autres devraient être aptes à l'action."

"Alors B5 ne sera pas de la partie", conclut Eleanor, avant de s'adosser au trône. "Faites évacuer la salle du trône. Aucune doléance… je… ah…"



Prendre le contrôle du trône, pleinement et consciemment, était une expérience qu'Eleanor trouvait à la fois déconcertante et, pourtant, fascinante à la fois. Etre capable de tout voir, de tout ressentir, de tout toucher, malgré son esprit humain, était un rare privilège que son sang lui accordait. Même si ce pouvoir ne lui était accordé que parce que sa nation était dans le plus grand danger, elle ne pouvait s'empêcher de s'extasier. Mais elle ne pouvait pas se laisser envahir par son désir d'expérimenter; elle avait un devoir à remplir.

Serenos était déjà en route vers la tour, et les créatures du voile l'avaient détecté, et avaient également capté ses intentions. D'un geste de la main, Eleanor déploya les golems, et ceux-ci se mouvèrent à travers la matière jusqu'à bondir hors des rues pour frapper.

Les golems de Nexus n'étaient pas des êtres de pierre, mais des automates de chair et de sang créé par la magie, et lié à l'esprit qui contrôlait le trône. En l'essence, c'était des parasites qui, une fois logés dans le corps d'un défunt, prenait possession de celui-ci et activait ses fonctions vitales, mais sans lui rendre son esprit. Les parasites accordaient de nombreuses capacités à leur hôte, notamment celle de passer outre la matière, et de survivre à de graves dégâts et blessures.

B3 fut autrefois Nathaniel Basaras, fils du Seigneur Basaras, et un maître d'épée de renom. C'est de sa volonté propre que son corps fut donné à son devoir éternel, et malgré son décès de la maladie, le parasite lui permettait de continuer de servir au travers de la mort.

Alors que Serenos passait la rue principale, une engeance quadripède à grande corne chargea vers son groupe, et B3 se matérialisa sur le chemin pour l'intercepter. D'un coup de sa large épée, il dévia la trajectoire du monstre et l'envoya se heurter à un mur de brique, rapidement achevé par les lance de B4 et B6. B7 à B19 se déployèrent en fer de lance. Inutile de se soucier de leur bien être; les golems engagèrent les engeances perçant le voile avant même que ceux-ci ne puisse s'attaquer au Roi et à ses compagnons.

Enfin, presque.

À travers B10, Eleanor vit quelque chose se manifester; les énergies négatives convergeaient sur le chemin. Quelque chose s'apprêtait à sortir, quelque chose de grand et de dangereux.

"Serenos! Prenez garde!" cria-t-elle à l'esprit du Roi.
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One Shot / Re : Un mâle pour un bien (PV)
« Dernier message par Souta et Janus le samedi 25 mai 2024, 07:10:07 »
Ce qui était d'abord une impression finie par se produire dans la réalité. Quelqu'un se met bel et bien à tambouriner dans la porte contre laquelle j'écrase le corps parfait de cette blonde dont je connais tout juste le prénom. En tout cas ce n'est pas ce genre d'intervention qui risque de m'arrêter une fois que j'ai démarré. Il faudrait une réelle menace pour me couper clairement l'envie. Seule la directrice pourrait me forcer à arrêter ce que je suis en train de faire. Et encore... Quitte à perdre mon boulot je serais aller au bout pour lui donner une raison de me virer.

Mais c'est là que je sens une main me saisir la queue pour branler ce qui n'arrive pas à rentrer dans son petit trou trempé et étroit. Faut dire qu'elle a avoué d'elle-même que ce que j'avais à lui offrir était un peu trop volumineux pour sa petite personne.

- Je comptais pas m'arrêter en route, ma belle.

Sa masturbation ajoute un second rythme. Un faux rythme plutôt à ma pénétration brutale. C'est à la fois dérangeant et excitant, comme le fait d'entendre quelqu'un parler de l'autre côté de la porte pour nous demander d'ouvrir.
Pourquoi est-ce qu'elle veut qu'on ouvre d'ailleurs ? Avec les cris de plus en plus audibles de la jolie blonde qui remue sur moi ce qu'on fait de notre côté est évident. Est-ce que sa copine veut se rincer l'oeil ? Dommage que je baise celle-ci contre la porte sinon je lui aurais fait profiter du spectacle.

Avec une de ses jambes sur mon épaule, j'ai une main libre pour venir lui agripper un sein et le pétrir en pressant dessus afin d'accélérer le mouvement. Je sens qu'elle a encore plus envie que moi que je vienne la remplir et mon corps le démontre un peu plus à chaque seconde qui passe. J'ai tellement chaud à me frotter contre elle. Mon souffle doit s'écraser sur la peau douce de son visage et de ses épaules en fonction de la direction dans laquelle je regarde quand ma tête remue en même temps que mes coups de hanches brutaux. La transpiration se fait elle aussi de plus en plus présente sur mon front et mes joues quand une goutte ne vient pas me rentrer dans l'oeil.

- Haaa, merde, ouais ! Urrrrrrgh !

Je ne prends même pas la peine de la prévenir quand l'explosion arrive. La surprise sera sans doute plus excitante pour elle alors que mon corps se raidit dans une dernière tentative pour faire entrer ma queue tendue et pulsante en elle le plus possible. Mon pubis s'écrase sur ses doigts fins qui me branlaient jusque là.
Un énorme et long soupir d'extase s'échappe de ma bouche alors que ma tête se plie en avant pour se coincer dans son cou délicat qui sent si bon. Je peux sentir ses cheveux se frotter contre les miens. Ce contact me fait frisonner légèrement au point de remuer un peu plus les hanches de manière circulaire tandis que je me vide totalement en elle.

On ne peut pas parler de jets de sperme mais de déversement. Le fait de ne pas avoir eu de contact durant tout ce temps est évident. Une énorme quantité de pâte visqueuse et brûlante s'échappe de mon gland pour la remplir à grande vitesse pour déborder et couler sur ses mains et ma tige toujours plantée en elle.

- Bouge pas ! Il m'en reste encore.

Sur le moment je me demande si je parle  Kimberly ou à moi-même car nos deux corps restent figés dans cette position pendant une bonne dizaine de secondes. Le temps de complètement me vider après cette première éjaculation qui me fait trembler de la tête aux pieds.
Une fois terminé je sens comme un poids énorme qui a quitté mes épaules. Le sperme qui ne pouvait tenir en elle a dégouliné jusqu'à tomber à même le sol pour former une petite flaque blanche que je vais avoir du mal à nettoyer plus tard.
Mais ce n'est rien comparé au son dégueulasse qui est produit par nos deux corps lorsque je décide de de me retirer d'elle lentement. Une main vient se saisir de sa cheville pour la retirer de sur mon épaule histoire de l'aider à retrouver l'équilibre même si la chose risque de s'avérer compliqué après le traitement que je lui ai fais subir.

Je l'aide à se poser un peu plus loin puis je me retourne pour me saisir de la poignée de la porte et l'ouvrir. Ce n'est pas une mais deux filles que je découvre sur le pas de ma porte contre laquelle l'une d'elle se lâchait depuis un petit moment déjà.

- Doucement avec la porte, déjà qu'elle a pas l'air super solide.

Le torse et le visage couverts de transpiration, on peut sentir la fatigue dans ma voix après ce sprint des plus intense. J'en avais presque oublié que je suis à poil et avec la queue toujours aussi dure et tendue. Recouverte d'un sperme blanchâtre et presque solide qui y est bien accroché en plus de restes de cyprine. Le parfum doit probablement leur avoir sauté au visage à l'instant où j'ai ouvert car la chambre dans laquelle je viens d'arriver pue déjà le sexe et cette délicate odeur aura vite fait de prendre possession du couloir tout entier.
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