Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Miyoko Sasake

Pages: [1]
1
Les heures passaient, les gens défilaient dans les rues : tout d'abord des gens légèrement habillés car il faisait chaud, puis des gens en survêtement en train de courir, puis des gens avec un gilet, et des gens en habits de soirée, puis des gens avec un regard louche et des habits passe-partout, puis des gens à moitié dénudés...
La petite fille au déguisement de chat déambulait dans la ville de Seikusu. Le soleil poursuivait sa course dans les cieux et ses pas la menaient dans des quartiers de plus en plus mal famés jusqu'à arriver dans le quartier de la Toussaint. Rien ne semblait choquer l'enfant aux yeux ronds comme des billes, et elle continuait d'avancer, perdue dans ses pensées.

Elle n'avait toujours aucun indice valable lui permettant de rencontrer le méchant monsieur qui avait kidnappé Armelle, son amie de La Maison. Le seul élément qu'elle avait pu récolté dans son enquête était que les méchants monsieurs se trouvaient généralement le soir, dans les méchants quartiers. C'est pour cela qu'elle était venue ici, non au hasard, mais parce qu'elle savait qu'elle avait ici une plus grande chance de trouver le méchant monsieur et de retrouver Armelle pour la sauver.
Malheureusement, elle ne savait comment procéder. Elle ne savait même pas à quoi pouvait ressemble le méchant monsieur. Cela aurait pu être n'importe lequel de ses gros bonhommes au ventre gras et à la peau tatouée, ou alors ce grand colosse qui se tenait à quelques mètres d'elle, appuyé contre la façade d'une maison, caché par un coin d'ombre que la lueur du réverbère ne pouvait atteindre.

Ne sachant que faire, Miyoko décida de faire comme à son habitude. Elle s'assit par terre, devant une boutique, fermée à cette heure tardive et attendit. Elle ne bougeait plus d'un poil, si ce n'était son pouce qui se faisait langoureusement sucer par sa bouche. Elle échaffaudait un plan, ou plutôt plusieurs. Des plans qui lui permettraient de trouver le méchant monsieur, et d'autres qui lui permettraient de sauver Armelle des griffes du méchant monsieur.

2
Ville-Etat de Nexus / Envie de pain chaud [pv : J. C. Daclusia]
« le: mardi 02 juin 2009, 13:41:05 »
Cela faisait déjà plusieurs jours que le garçon rencontré au centre commercial lui avait faussé compagnie. Il était gentil, mais ne l'avait pas beaucoup aidé à avancer dans son enquête. Et il avait eu la sale manie de l'empêcher de bouger lorsqu'elle voulait courir ou s'amuser, préférant la câliner et lui déposer de doux baisers contre la capuche de son déguisement de chat.
La petite fille à la frimousse ronde et à la frange raide arpentait en solitaire les rues de la grande ville. Une grande ville qu'elle avait l'impression de ne plus reconnaître. Sans s'en rendre compte, elle avait passé un portail la menant au plan de Terra, mais elle n'en avait pas conscience. Elle se sentait juste plus à l'aise ici, car son déguisement n'était plus vu comme quelque chose d'inhabituel et de sale. Au contraire, les gens dardaient sur elle des regards envieux, et la petite Miyoko s'en enorgueillait.

Les maisons étaient quelques peu délabrées, et les rues si semblable qu'il lui arrivait de passer plusieurs fois devant les mêmes bâtiments. Les heures défilaient et le soleil montait de plus en plus haux dans les cieux. Quelques nuages le voilait à la vue de l'enfant, mais elle savait que midi approchait et que cela faisait donc bientôt deux jours qu'elle ne s'était rien mis sous la dent, à part quelques miettes de pain fauchées à des pigeons. Son petit estomac criait famine, mais Miyoko n'arrivait pas à dénicher de la nourriture.
Les marchands qu'elles avaient l'habitude d'aller quémander sur Terre n'était plus présents dans cette ville. Et ceux qui étaient là avaient un air louche et une mine patibulaire qui faisait peur à l'enfant. Elle n'osait s'approcher des passants pour leur demander une pièce parce que ceux-ci avaient l'air trop pressés ou trop méchants. Elle cherchait désespéremment une âme gentille lorsque ces pas la guidèrent jusqu'à un endroit paradisiaque.

Elle était certaine d'être déjà passée dans cette rue et de ni avoir aperçu qu'un portillon en ruine, mais à présent, naissait sous ses yeux un lieu de merveilles. La demeure, typiquement japonaise, semblait spacieuse et accueillante. Les fleurs qui l'environnaient invitaient les oiseaux et les insectes qui venaient gaiement y faire leur repas, leur nid et y passer leur temps. L'herbe semblait plus verte de l'autre côté du portillon que les brindilles jaunâtres que les pieds de Miyoko foulaient. Elle n'hésita donc pas longtemps, trop ravie d'observer une si belle maison, et sachant qu'un endroit si joli ne pouvait être que "gentil", selon ses critères.

Pénétrant dans le jardin, puis poussant la porte d'entrée située au milieu de la façade, Miyoko s'aventura dans un couloir chatoyant. Elle n'avait pas besoin de déposer ses sandalettes puisqu'elle n'en portait pas. La seule tenue qu'elle traînait depuis des mois était son déguisement de chat qui la recouvrait des pieds à la tête, lui servant à la fois de manteau, de chaussure et de capuche.
Les pieds de l'enfant se déposaient délicatement l'un après l'autre sur le parquet lisse et brillant du couloir. La petite s'amusait à ne provoquer aucun crissement. Son petit jeu mis en place, elle put progresser jusqu'au milieu du couloir. Puis son attention fut détourner par une odeur familière. Son ventre gargouilla et ses narines se dilatèrent : un fumet vagabondait dans le couloir et venait se répercuter jusque dans le nez de Miyoko, lui donnant ainsi l'eau à la bouche. Son voeux le plus cher, dans l'instant présent, était de trouver une miche de pain tout juste sortie du four. Oubliant son jeu, la gamine se précipita le long des murs mauves et dorés, fit une longue glissade sur le sol, et s'arrêta au bout du couloir, ne sachant plus dans quelle direction elle devait se rendre.
Elle prit alors son pouce dans la bouche et prit une mine attendrissante.

Elle ne trouvait pas étrange de n'avoir rencontré personne. Elle ne se trouvait pas impolie d'avoir pénétré dans un bâtiment qu'elle ne connaissait pas. Elle ne cherchait pas à comprendre comment il était aparu là. Elle se demandait simplement quand est-ce que la minuterie du four sonnerait, indiquant que le pain qui semblait y chauffer serait doré à point et prêt à être mangé.

3
Vous nous quittez déjà ? / Miyoko Sasake, Ichiro Kozake, Kohana Ôno
« le: vendredi 13 février 2009, 10:51:42 »
Nous nous absentons durant une préiode indéterminée.
L'actualité française, les grèves et les mobilisations rendent mon emploi du temps surchargé et j'ai tout juste le temps de me connecter sur Internet.
J'essayerais donc de répondre à un post par-ci pr-là de temps en temps, plutôt le week-end.
En attendant bon RP !
En espérant obtenir gain de cause le plus rapidement possible pour revenir vous voir (et reprendre des cours normaux).

4
Miyoko était aujourd'hui venue devant le centre commercial. Armelle avait disparut et il fallait bien trouver un moyen de la retrouver. Un méchant monsieur l'avait enlevé, il fallait donc trouver le maximum d'informations sur cette personne. Mais Miyoko ne pouvait quitter son travail quotidien qui consistait à venir devant certains magasins dont elle connaissait maintenant les vendeurs et à attendre le soir qu'ils daignent lui offrir quelque chose à manger.
Aujourd'hui, elle était venue avec deux petites filles qui aimaient jouer aux billes. Elles s'étaient rendue toutes les trois devant la boulangerie. Le gros monsieur boulangerr avec des yeux si petits qu'on ne les voyait presque pas derrière son énorme visage, n'avait pas été difficile. Il acceptait qu'une petite traîne devant sa boutique, mais s'il y en avait trois ! C'était une toute autre affaire ! Il était sorti rapidement avec trois petits pains au chocolat encore tout chaud et les avait lancer aux gamines.


"Et ne venez plus foutre les pieds ici ! Je veux pas de trois morveuses qui font fuir la clientèle !"

Miyoko avait compris que si elle voulait que le boulanger reste un gentil monsieur, il ne fallait plus qu'elle vienne accompagnée. Mais en ces temps difficiles, cela n'allait pas être évident. Toujours était-il que maintenant, elle n'avait plus rien à faire. Elle avait donc raccompagné les fillettes à La Maison. Puis elle avait commencer son deuxième travail, celui qui était nécessaire pour retrouver Armelle.
Elle se dirigea vers le centre commercial. Après tout, le terrain de basket n'en était pas très éloigné, il y aurait peut-être quelqu'un qui aurait vu la scène. Et puis de toute façon, écouter les commérages est le seul moyens que connaissait la fillette pour glaner des informations.

Elle s'installa devant un magasin qui vendait des habits d'une grande enseigne connue, mais plutôt réservée à une clientèle dépassant la trentaine. Les jeunes parlaient souvent, mais de choses qui n'avaient rien à voir avec l'actualité (si ce n'était leur propre actualité amoureuse ou relationnelle), tandis que les personnes plus mûres avaient tendance à craindre tout ce qui se passait autour de chez eux, et en parlaient tout autant !
Assise en tailleur, pelotonnée dans son déguisement de chat tout sale, elle ferma les yeux pour mieux se concentrée sur les discussions environnantes.

5
Prélude / Miyoko Sasake
« le: samedi 31 janvier 2009, 19:37:12 »
Nom : Sasake
Prenom : Miyoko
Surnom : Mimi/Miyo

Age : 12 ans et 7 mois

Sexe : Fillette

Race : Humaine

Orientation sexuelle: trop jeune pour savoir cela

Description physique :
Miyoko est une toute petite fille. Bien sûr, elle va certainement grandir, mais même par rapport aux filles de son âge, elle semble toute petite.
Depuis son arrivée dans la rue (et à la maison) elle porte toujours le même déguisement de chat. Confectionné en lin très doux et en laine, il lui sert à la fois de pyjama et de manteau pour sortir. Ce vêtement ample cache toutes les formes qu'elle ne possède de toute façon même pas.
Ses cheveux sont châtains clairs, longs et attachés par de petits noeuds roses. Cependant, lorsqu'elle porte la capuche de son déguisement, on ne voit que la frange qui dépasse, ce qui lui donne l'air d'une fille aux cheveux courts.
Son visage est rond, ses yeux sont ronds, sa bouche est ronde. Tout chez Miyoko rappelle la rondeur ou la courbe, comme le ferait le corps d'un nourrisson bien portant. Si sa bouche semble ronde c'est parce qu'elle suce encore son pouce, et ce, plusieurs heures durant la journée et la nuit ; et lorsqu'elle n'a rien dans la bouche, elle garde une petite expression mi-surprise mi-simple d'esprit.

Caractère :
Miyoko est une grande rêveuse. Mais pas au sens ou on l'entend. En fait, elle a plutôt beaucoup d'imagination, comme tous les enfants de son âge. Et elle reste souvent plongée dans cet univers qu'elle se crée. Elle n'est pas du genre à voir des dragons se promener dans les rues ou des fées lui murmurer à l'oreille, mais pour elle, les hommes sont soit des "vilains méchants" soit des "gentils tout plein".
Elle est directe et franche et ne connaît pas l'art de la diplomatie, du tact ou du mensonge. Son esprit reste encore très enfantin. Les toits sont rouges, le ciel est bleu, l'herbe est verte, le soleil est jaune et chaud, la pluie est froire et mouille, le vent pique les yeux, la nuit est faite pour dormir et le jour pour chercher à manger. Pour Miyoko rien est compliqué. Tout peut se résumer simplement, et c'est ce que fait son esprit et sa bouche d'enfant.

Histoire :
Miyoko avait des parents, ils étaient riches et ils lui faisaient des cadeaux. Mais sa mère n'aimait pas que Miyoko mette son déguisement pour aller à l'école et son père rentrait tard le soir. Un jour, en rentrant chez elle, elle vit son père à la maison. Il était rentré plus tôt et discutait avec sa mère. Miyoko monta se changer et enfila son déguisement. Lorsqu'elle redescendit, papa et maman étaient fâchés l'un contre l'autre et pour ne pas avoir mal à la tête, la fillette sortit prendre l'air. Elle marcha beaucoup puis revint chez elle.
Papa n'était plus là et maman faisait dodo sur le carrelage de la cuisine.
Miyoko s'assit sur le canapé et attendit en suçant son pouce. Les heures passaient et la fillette commençait à avoir faim, mais sa mère ne se réveillerait plus et son père était parti à jamais. Quand la nuit tomba elle s'endormit. Quand le jour se leva, elle fouilla dans le frigo et les placards, et mangea ce qu'elle put. Elle resta chez elle encore quelques jours puis partit (il n'y avait plus rien à manger de bon et sa maman ne sentait pas bon), sans rien emporter d'autre que son déguisement.

Miyoko marcha longtemps mais ne sortit jamais de la ville. Quand elle en eut marre de marcher, elle s'assit contre un mur et suça son pouce, la tête baissée. Sa capuche recouvrait sa tête et l'on ne voyait plus son visage.
Lorsque les gens passaient devant elle ils la regardaient et s'appitoyait sur le sort d'une pauvre petite abandonnée. Certains lui lançaient des pièces et d'autres lui donnaient des bouts de pain. C'est ainsi que Miyoko fit son repas du soir avant de s'endormir.

Le lendemain, elle marcha, s'arrêta, reçut de l'argent, mangea ce qu'on lui donnait. Et ce, plusieurs jours durant. Une fois, personne ne lui avait rien donné et elle resta de longues heures à baver devant une devanture de boulanger. A la fin de la journée, le gros homme gentil tout plein qui tenait la boutique lui donna des gâteaux qui ne s'étaient pas vendus.
Et puis un jour vint la pluie. Miyoko aimait beaucoup la pluie parce qu'elle pouvait sauter dans les flaques et éclabousser tout autour. Mais la pluie donnait froid et elle mouillait. La petite fille avait toujours pu rentrer se changer chez elle, mais elle ne pouvait plus. Elle se mit à l'abri et s'enrhuma. Elle resta plusieurs jours sous son abri, à grelotter, éternuer et frissonner.

Heureusement, une fille à peine plus âgée qu'elle la découvrit. Ou plutôt, elle remarqua un petit tas de chiffons crasseux ressemblant à un chat mouillé qui gigotait d'une façon étrange. La fille s'était approchée et avait soulevé un chiffon (la capuche) pour découvrir une enfant malade. Elle lui avait sourit et tendu la main. Miyoko l'avait regardé avec ses yeux ronds comme des billes et ses joues rougies par le froid et la maladie, puis elle avait pris la main.
Elles avaient marché toutes les deux jusqu'à une baraque au milieu des bois qui semblait inhabitée et y avaient pénétré. Là, Miyoko avait fait la connaissance de plein d'autres filles qui lui avaient toutes montré plus ou moins d'affection, mais toutes s'étaient accordées pour lui offrir le gîte en attendant qu'elle fasse ses preuves.

Ainsi, Miyoko avait pu se rétablir assez rapidement, avec des médicaments volés et de la nourriture plus équilibrée, certainement volée elle aussi. Elle avait un toit sur la tête qui la protégeait de la pluie et une couverture pour la nuit lorsqu'il faisait froid. Elle avait des amies et aimait beaucoup les regarder entrer et sortir de la maison à toute heure de la journée, en suçant son pouce.
Une semaine plus tard, Miyoko dut ramener sa part de vivres. La petite ne savait pas voler, mais son allure faisait pitié dans son vieux déguisement sale et les gens continuaient à leur offrir des restes quand elle restait trop longtemps devant chez eux, soit par appitoyement, soit pour la faire partir parce qu'elle leur enlevait des clients.

Bientôt, Miyoko eut des habitués. Le lundi, elle allait voir le boucher ; le mardi, le boulanger ; le mercredi, l'épicier ; le jeudi, la poissonnière ; et le week-end, elle allait dans les parcs ou devant des maisons de riches. Comme cela, elle ramenait toujours de quoi manger pour une personne ou deux, et un peu d'argent qu'elle avait amassé en restant assise dans un coin de la ville. Son innocence attirait la sympathie des gens et personne ne se méfiait d'elle au point de la suivre jusqu'à La Maison.
Les filles qui habitaient avec elles lui avait laissé sa place sous l'escalier. Un petit coin juste à elle où elle aimait rester assise à regarder les autres. Elle était heureuse et personne ne lui voulait du mal.

Situation de départ : vierge, à son âge, ce n'est pas le genre de chose à laquelle on pense


Comment avez vous connu le forum: doublette pour le script


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