Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Cyriel Raffaëlli

Pages: [1] 2 3
1
Prélude / Re : Un garçon à qui on ne peut dire non ~ ♥ [Valilouvée]
« le: mercredi 27 janvier 2016, 12:23:15 »
Bof. Tu es beaucoup moins mignonne que moi. *Prend des airs supérieurs.*

Bienvenue quand même, oui.

2
Les alentours de la ville / Re : D'un monde à l'autre [Kota]
« le: mercredi 04 février 2015, 22:02:52 »
Comment est-ce que je devrais réagir ? Je ne le sais pas exactement. J'ai envie de frapper cette petite roturière qui ne paraît même pas vouloir m'écouter. Une princesse soit savoir garder de la dignité et du self-control, non ? Oui mais voilà, cette étape là, elle me paraît déjà passée. J'ai sincèrement essayé de lui imposer le respect qui m'est dû de façon pacifique et décente. Mais elle n'a rien compris. Elle doit être vraiment stupide pour ne pas comprendre qu'une souveraine s'est téléportée chez-elle.

J'aurais été à Castelquisianni, je lui aurais déjà fait mettre aux fers… et ensuite, je me serais amusé avec elle, je lui aurais fait ravaler ses insultes mille fois. Bon, je crois que je ne l'aurais pas trop abîmée, ou pas trop vite… je dois reconnaître qu'elle a quelque-chose de séduisant dans le visage, ou dans le regard, peut-être. Si elle n'était pas aussi mal habillée, elle aurait pu faire une bonne suivante. Malheureusement, elle est au moins aussi agaçante que jolie, et ma patience est vraiment limitée.

En considérant que je ne sais pas exactement à qui je m'adresse, je devrais peut-être la considérer comme la représentante d'une puissance étrangère. Fabbio n'arrête pas de me parler de ce qu'il appelle « la diplomatie ». Je connais bien. Ça consiste à ne pas cracher sur les murs de nos hôtes, même s'ils ont des goûts affreux en tentures et à ne pas ordonner à mes hommes de les mettre en prison, même s'ils m'ont servi un plat de poisson où il restait une petite arête.

Oui mais Fabbio, je l'emmerde. En plus, l'autre débile ne respecte pas la diplomatie non-plus. Est-ce qu'elle vient de me proposer ses charmes ? Alors voilà, je suis fixé, c'est une prostituée, une courtisane au mieux. C'est ce qui justifie sans doute sa bonne toilette et sa robe milieu de gamme. Je n'ai sûrement rien à craindre. Son claquement de doigt presque agacé fait déborder le vase.

Je lève la main et lui envoie une bonne gifle qui cingle sa joue gauche. Bon sang, c'est peut-être primaire, puéril, indigne d'un monarque, mais qu'est-ce que ça fait du bien !

« Ta gueule, maintenant, sale cloche » je lui assène. « Ta gueule, tu te calmes, tu réponds à mes questions ! Putain ! »

Mes yeux lancent des éclairs de colère, ce qui n'est pas forcément cohérent avec mon injonction de calme. Enfin, le peuple n'a qu'à faire ce que la princesse lui dit de faire ; pas ce qu'elle fait. Je lui attrape les poignets, que je serre assez rudement, et me place bien face à elle. Je décompose ma phrase, mot par mot, syllabe par syllabe, à un rythme lent, pour qu'ils impriment bien dans son esprit étroit.

« Où. Je. Suis. En. Ce. Mo-ment ? On est à Nexus ? Dis-moi ! »

Dans la position où nous nous trouvons, elle doit bien voir tous mes bijoux, maintenant. Si elle ne comprend pas mon rang, elle ne le comprendra jamais… dans quel endroit de dégénérés est-ce que je suis tombé ?

3
Les alentours de la ville / Re : D'un monde à l'autre [Kota]
« le: vendredi 30 janvier 2015, 19:51:06 »
Bon, je crois que mon estomac est à peu près vide, maintenant. C'est une bonne nouvelle. Mais maintenant, je me souviens de pourquoi je déteste la téléportation. C'est un moyen de transport tellement peu… élégant. En parlant d'élégance, le bruit – je suppose qu'il doit s'agir de mots mal articulés ? – qui parvient à mes oreilles est tout sauf élégant. Quant au sens, je le saisis à peine. Je me retourne vers cette personne qui a l'air courroucée par ma venue. Qu'est-ce qui lui prend de crier comme ça ? Il n'a jamais vu de téléportation ? Je me dis que dans l'endroit où je suis arrivé, peut-être est-il anormal d'avoir deux bras et deux jambes.

Mais non, même si ça ne me fait pas plaisir de l'avouer, je dois admettre que l'individu est d'un modèle proche du mien. Avec un peu de chance, je suis toujours sur Terra : à l'évidence c'est une humaine avec un air un peu étrange. Instinctivement, je me protège le visage des objets qu'elle m'envoie avec une précision approximative. M'attendant d'abord à une véritable agression, je m'effraie une fraction de seconde que l'amulette de déviation des projectiles que je porte sous mes autres vêtements n'entre pas en fonctionnement. Puis je réalise qu'il ne s'agit en fait que d’édredons. Entre-deux lancers, j'arrive à articuler :

« Hey ! M'insulter, ça, c'est vraiment passible de mort, roulure. »

Je suis trop déstabilisé pour me mettre réellement en colère pour l'instant, mais si elle me cherche, elle va me trouver rapidement. Heureusement pour elle, pas très courageuse, elle se carapate vite, et se réfugie dans une armoire. Je renifle, et tente de faire le point. La jeune fille porte une robe bleus aux motifs de très mauvais goûts. Je ne crois pas que quelqu'un à Castelquisianni puisse faire preuve d'autant de mauvais goût, donc je suppose qu'elle doit relever d'une autre – et franchement dégoûtante – mode. Sinon elle n'avait pas l'air particulièrement princière.

« D'accord, t'es quoi ? Une fille de bourgeoise ? Je suis Cyriel Raffaëlli, princesse sérénissime de Castelquisianni. Cette robe est à moi. Je vais pas te le répéter deux fois. Maintenant sors de là » j'ordonne d'un ton à la fois sec et impérieux.

J'espère avoir dégagé assez d'autorité pour qu'elle m'obéisse. Je n'aime déjà pas beaucoup avoir à demander le respect. En attendant qu'elle se décide, j'attrape un pan du drap rose du lit devant moi et je m'en sers pour essuyer ma bouche, encore souillée d'un peu de suc gastrique.

« Où se trouve-t-on, par rapport à Castelquisianni ? » je soupire si le mot ne lui revient pas. « Par rapport à Nexus ? »

4
Les alentours de la ville / D'un monde à l'autre [Kota]
« le: jeudi 29 janvier 2015, 09:32:31 »
« J'en sais rien moi Baluardo ! Écrase lui la tête ! »

C'était une journée comme les autres. Je passais dans le quartier de la Notto – l'île centrale de Castelquisianni – comme presque chaque jour, pour y faire mon marché. Objets magiques, bijoux, esclaves… j'en ai déjà tellement que même les plus prestigieuses échoppes de la ville peinent à attirer mon attention. Oh, on ne se lasse jamais d'accumuler les artefacts, mais empiler des duplicatas de joyaux qu'on possède déjà, ça ne m'intéresse pas. Quant aux esclaves, je commence à manquer de place : Fabbio n'arrête pas de m'avertir qu'il est dangereux d'accumuler trop de serviteurs dans le même château. Comme s'ils pouvaient avoir dans l'idée de se rebeller. Je n'y crois pas une seconde. La servitude est dans leurs gènes. Enfin, pour une fois, cet emplumé de régent a sans doute raison. Peut-être je devrais me débarrasser de tous ceux qui ne m'amusent plus.

En revanche, il est vraiment rare qu'on essaie de me dérober ma bourse. Le voleur, un homme entre deux âges, n'a pas dû me reconnaître. Il a effectué sa rapine probablement sans même y réfléchir, dans un geste presque complètement automatique. Il a été intercepté un quart de seconde après avoir touché à mes affaires par Baluardo, mon affreusement disgracieux – mais terriblement efficace pour intercepter les tire-laines – golem spostanacci. Il y en a dont c'est le vol qui est profondément inscrit dans la nature. De ceux-là, on ne peut rien tirer de bon.

Si j'avais été de bonne humeur, je l'aurais amené avec moi au Castel, et je l'aurais torturé au moins quelques heures. Comment ose-t-il voler la princesse ? Je devrais m'indigner, hurler, me mettre au moins un peu en colère. Cependant, aujourd'hui, je suis maussade. J'ai préféré donner l'ordre au gros tas de métal sans âme qui me sert de garde du corps de mettre rapidement fin à son existence pitoyable. Dans une seconde, sa tête va exploser, et je lui aurais rendu un fier service. Mais alors que les grosses poignes d'acier enchanté se referment autour de son crâne, le gueux se met à brailler :

« Pitié, princesse sérénissime ! Ex… excusez mon erreur gr… ossière. Je… peux racheter ma faute impa… impa… impardonable. »

Jusqu'ici, Barluardo n'est pas très sensible à ses protestations et sous la pression les yeux du supplicié commencent à ressortir légèrement de leurs orbites. Sentant le point de non-retour proche, il accélère.

« Arrêtez ! Pitié ! Objet magique ! Unique ! Avec moi !
Vraiment ? »
je fais, en consentant à me tourner légèrement la tête vers lui.

Je fais un vague signe de la main et son calvaire s’adoucit un peu. Il essaie de respirer.

« Intéresse moi, vite.
– Vous permettre de vous déplacer, où vous voulez ! Instantanément.
Un charme de téléportation ? J'en ai déjà plein. Ils me vont vomir. Je préfère le bateau.
– Même dans d'autres mondes ! »


Je tique légèrement. Mon spostanacci doit le sentir, puisqu'il cesse complètement de l'écraser. Je fais la moue et encourage par mon silence le voleur à continuer. Prudemment, il sort de sa poche ce qui ressemble à un gros caillou vert translucide.

« D'accord, tu as un gros cristal. Comment je sais s'il est seulement magique ?
– F… faites venir un mage altesse sérénissime !
Ah, tu veux me faire perdre mon temps.
– Alors demandez à quelqu'un ici de l'utiliser ! »


Je scrute la petite foule qui s'est constituée autour de nous. Les exécutions improvisées, ça attire toujours le chaland. Mais à cet instant, tout le monde se désintéresse brusquement de la scène. Pas dupe, je désigne un garçon, sans doute un commis de la boucherie proche si l'on en croit son tablier, qui a détourné les yeux un peu trop tard.

« Toi !
– Moi ?
Comment ça marche ? Dis-le lui. Qu'il parte et qu'il revienne aussitôt. »


Sans lâcher le voleur, Baluardo attrape par l'épaule l'adolescent pour qu'il n'ait pas dans l'idée de se soustraire à sa mission.

« C'est t.. très simple. Il suffit de prendre le cristal et de penser au lieu dans lequel vous voulez vous trouver. Puis il faut dire « Pokušaj » ! »
Les plans célestes ? Ça fonctionne ? »


Il fait vigoureusement oui de la tête. Je lui arrache le cristal des mains et le pose dans celles de l'expérimentateur.

« Ne pense pas trop longtemps, c'est contre-nature pour les gens de ton rang. Ne pense pas trop loin surtout » je lui indique.

Le garçon a une expression étrange, entre la peur et la peur. Mais je le vois quand même fermer les yeux et prononcer d'une voix hésistante :

« Pokušaj ! »

Et aussitôt, sans le moindre effet pyrotechnique, sans le moindre bruit, comme s'il n'avait jamais été là, il disparaît de mon champ de vision. Les secondes passent dans le silence. Le voleur a l'air inquiet. C'est compréhensible. J'aurais été le commis, je ne serais jamais revenu : un artefact comme celui-là coûte plusieurs milliers de fois ce qu'il gagnera dans toute sa vie. Pourtant, moins d'une minute plus tard, le garçon revient, un peu essoufflé, très excité… et avec un chapelet de saucisses dans la main.

« Ça a marché votre altesse ! J'ai pensé à la boucherie de mon père, et regardez ! J'ai ramené ça ! »

Il agite les saucisses devant mes yeux comme s'il s'était agit d'un trophée de guerre. Je suis trop enthousiasmé pour m'en agacer, et je lui reprends aussitôt le cristal. Il me paraît moins lourd que lorsque je l'ai pris la première fois, mais je ne m'en soucis pas. Je le fais brièvement tourner entre mes doigts.

« D'accord. Baluardo, je te retrouve au Castel. Quant à toi brigand, ton crime ne te coûtera qu'un bras rompu. Estime toi heureux. »

La perspective de passer au moins une vingtaine de minutes – le temps qu'il me retrouve – sans le tas de ferraille, me redonne de l'énergie. Je ferme les yeux à mon tour (pourquoi se sent-on obligé de faire ça ?), et je pense à ma chambre, dans le château. Puis :

« Pokušaj ! »

Pourquoi est-ce que le voleur ne s'est pas servi du crystal pour filer, d'ailleurs ? Une sensation désagréable dans mon ventre me pousse à rouvrir les yeux. Ah, j'avais presque oublié. Un spasme me traverse, et je me courbe en deux, commençant à retourner mon déjeuner princier sur le sol.

« Merde. »

Sol bien étrange, d'ailleurs. On dirait une sorte de moquette, pleine de poils longs et… roses. Enfin, qui étaient roses, avant que je renvoie dessus. Au moins, je n'en mets pas partout. Seulement sur cet affreux tapis. Je porte une robe légère en satin bleu, serrée par un cordon dorée à la taille. Un gros nœud bleu orné d'une pierre attache mes cheveux argentés, alors qu'un discret mais précieux collier de joyaux blancs entoure mon cou. Je regarde autour de moi. Tout est rose et rempli d'objets que je ne reconnais pas. Ce n'est pas ma chambre. Je n'ai plus rien dans les mains.

« Merde » je répète.

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Place publique / Re : "Marchandise" de 1er choix!
« le: vendredi 02 mai 2014, 20:28:05 »
Je suis assez habitué à l’alcool. Son odeur m’indiffère un peu... Sur les muqueuses, en revanche, il est plutôt agressif. Je sens que mon gland commence à me brûler un peu. Peut-être Lucas le ressent-il moins que moi, grâce à son atavisme. En revanche, en tant que femme, l’absorption par la surface beaucoup plus large de ses muqueuses doit être encore plus efficace que celle qu’il pourrait avoir par la bouche. Le psychotrope monte beaucoup plus vite au cerveau par ce biais là.

J’y pense calmement, alors que lui est obligé d’y plonger la tête. Je le plaindrais presque. Mais plutôt que de m’apitoyer sur son sort, je préfère profiter du mouvement de sa bouche qui s’empale sur mon sexe. Profiter n’est pas le mot exact, bien sûr, puisque je dois simultanément m’empêcher de prendre trop de plaisir. C’est difficile, car il y met le rythme et n’hésite pas à m’avaler complètement. C’est moi la vrai victime dans cette épreuve, je songe. Des sursauts de plaisir me font me contracter un peu plus. Je gémis.

Lorsque la fin des vingt secondes arrive, je suis haletant, mais je n’ai pas encore joui. Je vais pouvoir prendre un peu de répit, et surtout tenter de gagner activement. Je regarde avec attention quelle manette il va actionner, cette fois : de l’eau de mer. C’est parfait ! Plutôt agréable, et en plus, cela me donne des idées. Je déteste la défaite, et je sens que je suis en train de perdre. Il me faut un peu d’aide... et j’ai volontairement laissé des zones de flou dans les règles.

Je fais semblant de me remettre en position, toutefois, ma main appuie, comme accidentellement, sur un des boutons. Un petit poisson chute dans l’eau.

-Oups !

Ce sont des animaux très spéciaux qui ont servi de modèle. Ces êtres aquatiques long d’une dizaine de centimètres. Leur principal usage, pour les humains, sont les petites dents dont ils sont munis, et qui leur permettent de gratter l’épiderme et de gratter les peaux mortes, tout en fournissant un massage rugueux assez particulier.

-Je crois que je vais être obligée de m’en servir... Tant que je ne te touche qu'avec ma langue...

D’un geste vif, j’attrape le poisson, puis je plonge. L’eau est claire, et je m’y retrouve facilement. Je peux ouvrir les yeux et être beaucoup plus précis. J’approche mon outil du sexe bien ouvert de Lucas : l’animal trouve rapidement ses marques, et indifférent à l’endroit du corps où il se trouve, commence à mordiller les lèvres. Je ne tarde pas à l’aide l’aide en lapant le clitoris gonflé.

Je ne m’arrête pas là, car j’ai trop peu de temps. Aussi je commence à pousser le petit être pour qu’il pénètre dans le vagin, écartant l’entrée sur un côté avec ma langue. Je fais attention à ne toujours rien toucher avec mes doigts, mais je ne m’arrête que lorsqu’il y est entièrement. Le poisson doit se demander où il est, et s’agite à l’intérieur de la cavité rose et sensible. Son contact est frais et chatouille presque. Pourtant, il ne s’arrête pas pour autant de faire jouer ses petites dents sur la chair.

Le temps qu’il me reste, je le passe à m’assurer que la bête ne s’en aille pas, et à suçoter la partie supérieure de son sexe, avec autant d’ardeur que j’en ai mis depuis le début.

J’ignore si cela va faire beaucoup d’effet... mais cela aura au moins eu le mérite d’être amusant. Si malgré tous mes efforts Lucas n’atteint pas l’orgasme après ça, je vais vider le bassin et appuyer une nouvelle fois sur la manette de l’alcool. C’est encore un peu de la triche, mais je ne suis pas à ça près. Si je ne gagne pas, je pourrais quand même avoir le plaisir de le voir saoul. Ce sera amusant, et j’espère que le fait qu’il n’ait plus les idées claires influencera la faveur qu’il me demandera. 

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Place publique / Re : "Marchandise" de 1er choix!
« le: jeudi 01 mai 2014, 23:31:26 »
Il arrive sur moi, mais je suis sûr de mon avance. Il a eu beaucoup de la chance avec le lait d’ânesse. Il y a des liquides bien pire qui peuvent tomber... et parfois, les esclaves avec qui j’ai déjà joué ont préféré abandonner. Mais je ne leur avais jamais parlé de close d’abandon, alors elle n’ont pas pu. C’est encore moi qui décide des règles. L’épreuve est faite pour que de toute façon, l’on ait à absorber au moins un peu du contenu de la baignoire dans la bouche à la fin. C’est presque inévitable, à moins de rester les lèvres absolument fermées, ce qui n’est pas très efficace.

Je sens sa bouche sur mon sexe encore flasque. Ce dernier ne tarde cependant pas à reprendre une belle forme dressée. Il se frotte contre les parois de sa bouche. Je ne peux rien faire, et je ne souhaite rien faire. Lucas n’a pas froid aux yeux, et il s’applique à la fellation sans me ménager. Rapidement, je recule un peu mon bassin, mouvement réflexe. Le bain dans lequel nous flottons est chaud, cela me procure des sensations un peu étranges. En comparaison, l’intérieur de la gorge de Lucas est presque sèche.

-Hmm, putain, on dirait que tu as fait ça toute ta vie.

Je sais que c’est le cas. Je ne pensais pas qu’il irait aussi loin de suite, mais je sens rapidement qu’il prend ma verge en entier dans sa cavité buccale. Ce n’est pas quelque-chose de facile à faire, tout seul : je suis assez impressionné. J’ai très envie de l’aider en l’enfonçant plus puissamment encore. Toutefois, d’une part, je l’ai déjà fait, et même s’il y a des choses dont on ne se lasse pas, ça n’irait pas dans le sens du jeu. Je décide donc de lui laisser cette fois toute sa technique. C’est un peu plus fair-play. Je peux l’être, parfois... lorsque je pense gagner.

Je ne suis pas déçu, et très vite, mon pénis a retrouvé toute sa vigueur. Je fronce les sourcils : je n’ai que quinze ans, je peux jouir deux fois dans un laps de temps assez court. Les personnes plus vieilles ne le peuvent pas, et je pense que c’est un signe de faiblesse. Pourtant, ici, cela ne m’est pas favorable. Heureusement, le temps dont il dispose est bref, et il est obligé de remonter, laissant mon sexe frémir dans le liquide tiède.

Le garçon choisit de vider la bassine avant de commencer son tour. Nous sommes de nouveau pressés contre le sol, et le lait s’évapore, nous laissant un instant nu au regard de l’autre. Il peut voir jusqu’ici qu’il a fait un bon travail. Ma verge collée, tirée par la magie contre mon bas-ventre, décalottée, paraît en demander encore.

Il appuie sur une manette : c’est quelque-chose d’encore plus épais et plus chaud qui dégringole. Du chocolat... on peut dire que la fortune est aussi plutôt avec moi. Quel que soit le liquide étant tombé, je n’ai jamais abandonné, même si moi, au contraire des esclaves, j’aurais pu. Je suis trop têtu.

-D’accord. Alors tu vas voir. T’as intérêt à crier.

Je prends une grande respiration, plus je plonge. Le chocolat me brûle légèrement : c’est toujours le plus dur que d’immerger la tête. Je mets une bonne seconde avant de m’habituer et de trouver ses jambes, alors je ne tarde pas. Je commence à lui lécher le bas du ventre... le liquide est trop visqueux pour que je puisse le savoir au toucher, et trop opaque pour que je puisse le voir. Je sens tout-de-même l’étau de ses cuisses ouvertes, et je m’y engouffre.

Il faut que je fasse vite, car je sais que déjà je commence à avoir envie de respirer. Enfin, mon nez se trouve sur la zone sensible. Mes lèvres s’ouvrent et je les plaque contre le petit relief de son clitoris. Le goût du chocolat m’emplit la bouche. Ma langue l’attaque violemment, et je commence à l’aspirer assez fort. Je me fiche que ce soit un organe très sensible : assez stimulé, doucement ou non, il mène à l’orgasme. C’est tout ce qui compte. Mon muscle buccal descend un peu et va, dans toute sa largeur, écarter son sexe, s’y enfonçant sur un centimètre avant de remonter.

Très vite, le liquide sucré devient insupportable, et les sensations excessives qui envahissent mon palet commencent à me tirer des hauts-le-cœur. Il forme une couche compacte qui m’empêche de bouger avec autant d’agilité que je le voudrais, et de plus je ne peux même pas sentir le goût des parties les plus intimes de Lucas. Cela me fait beaucoup de plaisir en moins. Tant mieux, en un sens.

Je me relève, haletant, la chevelure et le corps noirs, englués. Je cligne des paupières pour libérer mes yeux : ce sont les seuls à afficher encore de la couleur sur mon visage.

-Je sens que je vais gagner, je fais, d’un air taquin et sûr.

Contemplant les différentes commandes de la Vasca, je décide également de vider le chocolat. Une goutte de plus, et je pense que j’aurais développé un diabète. Je crois que je ne vais plus en manger sous aucune forme pendant longtemps. Nous sommes de nouveau séchés : le liquide sombre, cependant, ne se détache pas complètement de nos corps. Il forme une pellicule chocolatée et cassante qui tire légèrement la peau à chaque mouvement. Je peste : il faut que je trouve un moyen de m’en débarrasser... et de gagner.

Je fais seulement semblant de choisir une manette au hasard. En réalité, je sais très bien ce que je suis en train de faire. Un liquide jaune rempli la baignoire... je sens sa morsure légèrement froide, anesthésiante, sur mon épiderme. Surtout, je sens son odeur difficilement imitable, et le fait qu’elle est en train de dévorer lentement la matière sucrée qui nous recouvre. Il s’agit d’alcool. D’alcool à peu près pur, de ce que je sais... Ce n’est pas fait pour être bu, ça saoule très vite et ça n’est pas bon du tout. Pourtant, Lucas risque de ne pas avoir le choix. Quant aux effets que cela aura sur son organisme... Je souris en grand.

-Allez... à toi !

7
Place publique / Re : "Marchandise" de 1er choix!
« le: jeudi 24 avril 2014, 15:13:35 »
Il a bien répondu, alors je cesse de le mordre. Je décolle ma bouche de sa peau, et les traces rouges se dissipent assez vite. Dommage... je sentais être sur le point de laisser quelques marques durables sur sa peau. Je ne me faisais pas trop d'illusion, de toute façon : je sais bien que sa nature les aurait résorbées elles-aussi bien trop rapidement. Cela n'a pas que des désavantages. Je suppose que je pourrais le torturer beaucoup plus longtemps qu'un autre, si je le voulais, et cela sans presque l'abîmer. C'est tentant, mais je n'en ai pas envie pour l'instant. Toutefois, j'esquisse un sourire emballé, légèrement inquiétant.

-C'est un bon choix... Mais j'ai plus de chance de gagner à ce jeu là qu'à l'autre...

Je me colle complètement contre lui, obligeant son dos à entrer en contact avec la paroi froide de la baignoire. Son buste contre le mien est serré, mais nos bassins sont encore séparés par une petite distance, et je parviens à y glisser ma main. Je tâtonne un peu entre ses jambes, à l'aveugle, avant de trouver la petite protubérance gorgée de sang que je cherche. Je commence par l'effleurer.

-Les règles sont simples. Cela se joue chacun notre tour. L'on a le droit de vider le bassin avec cette manette au début de notre tour. Puis l'on doit appuyer sur un levier, au hasard, les yeux fermés. Alors quelque-chose tombe. J'espère que tu arrives à suivre...

J’appuie sur son clitoris d'un seul doigt, précis. Je pousse légèrement, le faisant rouler en changeant régulièrement l'inclinaison de la pression. Sans m'arrêter, je continue à expliquer, d'une voix chaude mais calme :

-Ensuite, c'est à l'autre d'essayer de faire plaisir à celui dont c'est le tour. Il y a deux contraintes. Il doit avoir la tête plongée dans le liquide... peut importe ce que c'est, et n'a le droit de ne toucher la peau qu'avec sa langue et ses lèvres. Lorsqu'il doit remonter à la surface pour reprendre de l'air, le tour est terminé, et un nouveau tour commence... les places sont alors inversées. Le but est d'être le dernier à jouir...

Je retire ma main, et sans quitter son regard, je m'éloigne de nouveau. Il doit être maintenant conscient que je viens de prendre un peu d'avance. Je fais ce que je veux, après tout, c'est moi la princesse.

-Si tu gagnes, je te ferais une faveur... celle que tu veux, car je suis généreuse. Et si je gagnes... il faudra que j'y réfléchisse. Tu aurais quelque-chose à m'offrir de plus que ce que je n'ai déjà ? Tu as une proposition ? J'en doute. Mais ce n'est pas grave. Je suis bonne joueuse. D'abord, il faut vider cela.

M'allongeant dans l'eau et fermant les yeux, sans le prévenir davantage, j'actionne la commande de purge. Mon corps et le sien sont alors assez brutalement aspirés vers le fond du bassin : comme je suis déjà à l'horizontale, je ne suis, moi, pas trop secoué. Outre le choc, la sensation est étrange plutôt que désagréable. Le processus donne l'impression que chaque centimètre de l'épiderme est tiré vers le bas, alors que l'eau mousseuse coule si rapidement qu'elle en est cinglante.

Il s'achève une demi-dizaine de secondes plus tard. Nous sommes complètement séchés, et il n'y a plus une goutte de fluide avec nous. Nous somme nus, allongés, l'un en face de l'autre. Cela ne va pas durer. Je me relève, et déclare :

-La plus jolie commence toujours !

Je ferme les yeux et je choisis sans trop réfléchir un levier. Un liquide tiède monte coule à grands flots. Il est épais, blanchâtre... Lorsqu'il nous arrive à la taille, j'arrête le jet.

-Oh, le lait d'ânesse, tu as de la chance. Allez, tu ferais mieux de te dépêcher, je conseille.

Le traitement que je lui ai réservé il y a quelques secondes m'a un peu émoustillé moi-même, et il pourrait tenter d'en profiter. J'ai joui il y a plus de quinze minutes maintenant, et mon érection revient lentement. Mon sexe, même s'il est un peu plus long, n'est cependant pas encore dur. Cela ne va pas être très évident pour lui de me procurer assez de plaisir. Aussi je décide de lui faciliter un peu l'accès en m'avachissant en arrière, prenant appuis sur mes coudes.

8
Place publique / Re : "Marchandise" de 1er choix!
« le: lundi 21 avril 2014, 00:36:35 »
Je souris lorsque Lucas évoque le sort réservé à Felice, sans être surpris pour autant. Je sais bien que les esclaves ont tendance à se frapper entre-eux, surtout quand ils n'ont pas été correctement éduqués. C'est un peu dans leur nature, de toute façon. La plupart du temps, je laisse faire... tant qu'ils ne s’abîment pas trop, ils peuvent bien s'organiser comme ils le veulent.

Felice est particulièrement virulent envers les nouveaux, mais il fait toujours attention à ne pas trop les casser. D'ailleurs, ça leur apprend la vie. Le soucis de cette situation était que lui-même se sentait un peu trop puissant. Sans compter que le fait de ne pas être un vrai esclave lui monte à la tête. Comme s'il oubliait que j'étais sa princesse en plus d'être sa maîtresse. Je suis content que quelqu'un de plus discipliné prenne le sommet de la chaîne.

-Pauvre Felice. Il apprécie tellement de tester leur résistance, d'habitude... je gémis, sur un ton faussement plaintif.

Je continue ma progression vers le garçon, mes lèvres frottant légèrement contre sa nuque, balayant lentement l'épiderme. Je marque un coup d'arrêt lorsqu'il m'annonce que la transformation en loup-garou sera impossible. Je cherche ses yeux, et les fixant, mon regard devient un instant dur. Finalement, je reviens en arrière dans la conversation.

-Des odeurs ? J'espère que je n'ai pas d'odeur. Ou alors que je sens bon. Dis-moi, qu'est-ce que je sens ?

Puis je me détends aussitôt.  Bien sûr, dans le fond, je me fiche de devenir loup-garou. Si je voulais, je suis sûr que je pourrais trouver un moyen. Il faudrait que je paie un sorcier vraiment très cher, ou alors que trouve un spécimen contagieux. Je n'ignore pas que dans certaines régions, la lycanthropie est considérée comme une malédiction éventuellement transmissible. Hélas, la plupart des contaminés sont dévorés avant même que leur mal se déclare. Sans doute un peu à la manière du mage aux qualifications douteuses dont le petit me fait une description.

Mais cet imbécile de Fabbio ne voudrait pas, il dirait sûrement que c'est incompatible avec la vie d'une princesse. Je ne crois pas que cela soit vraiment incompatible, moi. Parce qu'une princesse loup-garou aurait toujours des proies beaucoup plus facilement qu'un esclave loup-garou. C'est simple, tout est plus facile en étant une princesse. Par contre, les poils, je ne pourrais pas. Ce serait vraiment dégoûtant d'avoir une toison d'animal sur le corps... même si Lucas ne paraît pas très velu en temps normal.

-Peut-être il n'a pas trouvé le bon moyen ? Il faut parfois penser différemment en magie. Lui pensait que si tu le mordais, il pourrait être contaminé. Moi je pense plutôt que j'ai plus de chance en te mordant toi. En plus, c'est beaucoup moins risqué.

Ma bouche remonte le long de son visage et atteint son oreille droite. Là, avec précaution, j'attrape le pavillon entre mes dents, sans refermer complètement ma prise. Avec un peu d'insistance mais sans trop appuyer, je tire sur le fin cartilage. Le bout de ma langue vient ausculter les reliefs, comme si elle goûtait un met rare. Cela dure une dizaine de secondes avant que je me retire, menaçant à tout moment de réellement percer dans la chair d'une de mes canines. Pourtant, je ne suis pas un monstre, évidemment, et je ne fais rien de cela.

-Est-ce que je t'excite ? Tu veux jouer à un jeu ? J'adore jouer dans cette baignoire. Il y a des jeux coquins... et des jeux dangereux... Je n'arrive pas à me décider. Alors je te demande de faire un choix.

Me taisant, je reviens sur l'épiderme de son cou, que je commence à mordiller en suivant une trajectoire qui monte et qui descend. Je commence très doucement. Toutefois augmentant légèrement la pression à chaque nouvelle attaque. Il a intérêt à ne pas trop tarder à se décider... Je sais bien que les esclaves trop soumis ont souvent du mal à prendre une décision propre, alors ça n'en est que plus amusant. De toute façon, je crois bien déjà savoir à quoi l'on va jouer. Il ne reste que la variante à déterminer.

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Place publique / Re : "Marchandise" de 1er choix!
« le: vendredi 18 avril 2014, 01:43:31 »
– Cyriel –

Ces potions curatives sont toujours aussi infectes. Leur goût est acre, et laisse pour de nombreuses minutes dans la bouche et la gorge la saveur d'un blanc d’œuf périmé. Enfin, je suppose, puisque je n'ai jamais eu l'occasion d'ingérer une telle horreur. En tout cas, personne d'autre qu'un fabricant de  ces breuvages mystiques n'oseraient m'apporter un met aussi détestable. Le dire est un véritable lieu commun, mais tout-de-même, bon sang, je ne crois pas qu'un peu de sucre briserait toute l'alchimie. Je déteste ces sorciers rigoureux qui ne pensent même pas au bien-être des pauvres princesses telles que moi. C'est déjà suffisamment pénible de penser que, peut-être, l'on pourrait être malade. Les mages en général n'ont aucune délicatesse. Il n'y a qu'à voir ce qui me sert de garde du corps pour s'en convaincre.

Je ressors donc de ma chambre un peu énervé envers : Lucas, Baluardo, les alchimistes, mes serviteurs en général, et aussi les autres nobles... un peu tout le monde, en fait. Toutefois, croiser Felice avec un air aussi contrarié me redonne instantanément un peu de joie. Cela fait longtemps que je ne l'ai pas vu aussi indisposé. En fait, ça doit remonter à la fois où je lui ai ordonné de nettoyer lui-même les latrines. Il passe en coup de vent, tout en maugréant quelque-chose que je peine à distinguer :

-Folle, cette abomination est folle. M'a agressé sans raison. Très mal élevée. Esclave très désagréable. Dangereuse.

Je remarque ses habits comme enfilés de travers et fait bien attention à lui adresser un grand sourire satisfait. Malheureusement, il ne paraît pas m'accorder beaucoup d'occupation. Je pouffe un peu fort pour être certain qu'il ait bien pris conscience de mon amusement. C'est tout-de-même dans de meilleures dispositions que je continue ma route et fait tourner la poignée de la porte de la salle de bain. Je repousse le vilain spostanacci avec mépris.

-Maintenant, je me lave. Reste là, je lui commande.

Devant mes yeux, la silhouette de Lucas se dessine. Il n'a toujours pas mis le pied dans son bain, et est donc toujours aussi dégoûtant. Je hausse les épaules, et d'un ton calme, je mets au clair la situation.

-Encore là ? Felice ne t'a pas appris comment te servir de ça ? Je t'avais dit qu'il était ennuyeux. Je crois que tu lui as fait peur.

Je m'approche de lui, et lorsqu'il se retourne, je constate qu'il est encore barbouillée d'une substance dorée et collante. Je suppose que c'est du miel ; c'est la seule substance fournie par la baignoire qui, à ma connaissance, ressemble à cela, mais je suis loin de toutes les connaître. J'aime beaucoup le miel... alors je prends le risque. J'attrape le garçon par les épaules, et l'amène vers moi, puis je l'embrasse. Ma langue fait le tour de ses lèvres, les nettoyant complètement des restes de la pâte sucrée, jusqu'à explorer un peu l'intérieur de sa bouche, à la recherche d'un peu plus. C'est bien meilleur que les relents de cette foutue potion.

-Alors tu as découvert la Cambia Vasca ? Elle te plaît ? C'était un cadeau pour mon dixième anniversaire. Je la fais transporter partout. On ne va pas y passer la journée : plouf.

Sur ces mots, je pousse légèrement Lucas pour l'inciter à entrer dans la cuve magique. Après l'avoir regardé un peu se décrasser, je me déshabille moi-même. Il ne me reste plus que ma robe, et mes chaussures, en réalité, puisque je n'ai déjà plus de sous-vêtements. Rapidement, j'enjambe le rebord de porcelaine blanche, et je me retrouve de l'autre côté de la baignoire. Même avec la crasse du garçon, l'eau est encore un peu trop claire. Je ne veux pas avoir à subir son regard sur ce que je suis. J'actionne un levier dont je suis sûr de la fonction, et un fluide moussant vient s'ajouter à la composition de l'onde   parfumée. Nos corps sont alors partiellement cachés, et ce n'est pas plus mal.

-Ce n'est pas mal. Felice charge toujours un peu trop l'eau, lorsqu'il la fait. Raconte moi comment tu l'as humilié, ça me fera plaisir... est-ce que tu lui as montré ton côté... animal ?

Disant cela, je me penche en avant, pour me trouver à quatre pattes en face de lui. Je sors une main de l'eau, et mime un coup de patte.

-Rrrr. Dis, c'est agréable d'être un loup garou ? Comment le devient-on ? Je pourrais en être un, moi aussi ?

Je me rapproche, toujours dans cette position. Je le domine légèrement, placé au-dessus de lui, ma tête près de son cou, mon corps au-dessus du sien. Une nouvelle fois, je fais semblant de le griffer, mais plus près de son torse. Mes ongles se contentent néanmoins d'effleurer sa peau, la raclant légèrement seulement, avec une lenteur plus féline que canine.

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Place publique / Re : "Marchandise" de 1er choix!
« le: jeudi 17 avril 2014, 13:19:56 »
– Felice –

Lorsque la petite paraît se rebeller, je fronce les sourcils et décide sans concession de frapper plus fort. Il est impératif de lui apprendre le respect, surtout si elle doit rester longtemps dans cette maison. En plus, je sens que ça me fait du bien : cela me rappelle que, quoi qu'il menace de me prendre ma place un jour, je lui suis encore supérieur. Il n'y a rien de mieux que frapper un esclave pour retrouver le moral... les princes l'ont compris depuis bien longtemps, et je suppose que c'est le seul avantage qu'ils possèdent sur les serviteurs. Il est certain que nous, nous possédons un peu plus d'estime de nous-même. Mais c'est ce qui nous permet de faire notre travail au mieux, et sans sujétion aveugle et stupide. Tout noble se respectant devrait avoir au moins un valet lucide dans son entourage. N'importe lequel d'entre-eux vaut en jugement mille esclaves flatteurs.

J'ouvre des yeux ronds en voyant mon arme être arrêtée en plein vol. Je me rends compte que quelque-chose ne va pas. Un homme de ma carrure n'aurait sans doute pas pu la saisir ainsi sans douleur apparente, alors une fille. La chose me paraît improbable, et je peine à y croire.

-Que... lâch...

Elle m'approche d'elle par le biais du morceau de cuir, avec une puissance insoupçonnable. Je ne parviens pas à résister à sa poigne. Un frisson me remonte le long de l'échine quand mon regard surpris croise le sien ; jaune, inhumain, affreux de bestialité. Je comprends alors très rapidement la situation. Si cette chose vaut plus que moi, c'est parce que c'est un monstre. Quel genre de monstre, j'avoue ne rien en avoir à faire, et à ne même pas chercher à le déterminer.

J'ai toujours détesté les objets magiques dont la princesse s'entourait, mais si à présent, elle commence à enchanter jusqu'à ses esclaves. La haine s'instille dans mon esprit, toutefois, elle est vite surpassée par la peur causée par le fait d'être seul dans cette pièce avec cette créature inexplicablement agressive.

Je lui laisse ma ceinture entre les mains, et recule précipitamment, en proie à l'effroi. Je m’aplatis contre le mur du fond. De mon bras levé, je lui indique la baignoire, derrière lui. Je bégaie :

-Jbbb... L... Là-bas : v... vous laver.

Puis je sors de la salle de bain à toute vitesse, prenant bien soin de refermer derrière moi la porte. Celle-ci close, la barrière de bois entre moi et cette abomination, je reprends un peu ma respiration. Je souffle. Je me retiens de m'enfuir encore plus loin, en me sermonnant que tout danger est maintenant passé. Ma seule satisfaction est que la salle d'eau est relativement difficile à utiliser, et que sans moi, il ne s'en sortira sans doute jamais. Les différents robinets sont autant d'énigmes alimentées par la magie incantatori.

Je dois être le seul dans cette maison à maîtriser réellement l'art de faire fonctionner cette machine, et pourtant, une grande partie de ses fonctions restent pour moi des mystères. Les deux premières manettes servent à régler la température, en modifiant l'entropie de l'eau. Ils sont sensibles, et si on les maîtrise mal, ils peuvent aussi bien transformer le bain en glace ou le faire bouillir en quelques secondes seulement.

Puis derrière eux se trouvent sur une rangée des leviers qui, en fonction de ceux levés et de ceux baissés, produisent des mélanges de liquides, chacun correspondant à une substance. Il y en a une multitude, et et je ne connais moi-même pas l'usage de tous. Je connais seulement la position de ceux commandants à : l'eau, l'eau de rose, le lait d’ânesse, l'huile d'onagre, et une impressionnante liste de savons et autres moussants divers.

Cela ne représente cependant qu'une petite partie des possibilités, d'autres étant d'un usage beaucoup plus incertain. Parmi les expériences déplaisantes que l'on m'a rapporté, la baignoire s'était une fois remplie de sang frais, une autre fois d'urine, d'huile de ricin... et même à ce qui avait été identifié comme du sperme de bouquetin. D'autres encore prétendent que certains de ses composants sont magiques, et influeraient sur le comportement et les envies de ceux qui s'y baignent... voire de ceux qui en respire seulement les vapeurs mystique.

Une série de boutons permet d'incorporer des éléments solides au bain : algues, masses gélatineuses flottantes, terres rares, et même poissons vivants supposés se nourrir des peaux mortes. En général inoffensifs, ils n'en sont pas moins rarement connus, et plus rarement encore utilisés.

Enfin, une valve aspire tout le contenu de la baignoire par un procédé magique. Si une personne se trouve dedans à ce moment, elle est collée contre le fond, immobilisée pour au moins plusieurs secondes.

Lorsque la princesse viendra rejoindre sa créature, elle risque d'avoir une surprise cocasse... mais ce ne sera rien en comparaison de celle que ce monstre aura.

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Place publique / Re : "Marchandise" de 1er choix!
« le: samedi 12 avril 2014, 01:02:47 »
– Felice –

Je la toise de toute ma hauteur : je dois faire trente ou quarante centimètres de plus qu’elle, ce qui n’est, en vérité, pas très difficile. Pourtant, je sens que cela me donne sur elle un ascendant psychologique certain. Je profite de ma supériorité aussi bien physique qu’intellectuelle pour lui rappeler à quel point, et surtout pourquoi elle est nuisible pour la société dans son ensemble.

-C’est bien ça oui : soumise jusqu’à la bêtise. Si tu avais un peu de bon sens, un peu d’amour propre, un peu de libre-arbitre, nous n’en serions pas là. Mais au fond, tu es quand même contrainte à la servitude. Pour cette raison, les services que nous fournirons seront toujours supérieurs à ceux des esclaves. Car nous, nous servons de notre plein gré, et non par peur d’un châtiment.

J’ai tout loisir de l’observer, nue, dans ses moindres détails, ce que je ne manque pas de faire. Je fais même semblant d’être plus voyeur que je ne le suis, en attardant mon regard sur les parties les plus sensibles de son anatomie. Vraiment, cette petite chose est trop maigre et sans intérêt sexuel, je ne comprends pas ce que la princesse lui trouve. Elle préfère les hommes, en général. Peut-être est-ce le fait que cette esclave là n’est pas très féminine.  Pour être un bon valet, il est indispensable de faire preuve d’ouverture d’esprit, et aussi ne pas trop tenter de trouver de cohérence dans les goûts princiers... l’on a vite fait de devenir agaçant, et ma bien-aimée maîtresse s’agace déjà suffisamment toute seule.

Pourtant, quelque-chose me tracasse. En dehors de ses souillures, la gamine paraît être en excellente santé. Elle m’a même suivie jusqu’ici sans se plaindre. Je formule à voix haute la problématique :

-D’habitude, ils titubent tous en arrivant ici... et toi tu n’as pas mal ? Est-ce que la princesse ce serait montrée... douce avec toi ? Hu. Hu. Improbable. Elle n’a de pitié pour personne, et surtout pas pour une créature comme toi. Je la connais bien, depuis toute petite. Plus une personne lui semble faible et plus elle a envie de se montrer brutale. Elle a du te faire souffrir autant que les autres. Mais alors quoi ?

Je réfléchis et ne trouve aucune réponse satisfaisante ne contredisant pas ma brillante et sûre analyse des usages de la maîtresse des lieux. Je suis à peu près persuadé qu’elle lui a fait subir le même traitement qu’à tous ceux qui sont passés avant elle. Je pense toutefois à un moyen d’éclairer ma lanterne. Un moyen qui pourrait bien se montrer distrayant, en sus.

-Nous n’avons qu’à essayer. Voyons ça.

Mes mains courent le long de ma ceinture, une longue lanière de cuir brun sombre. D’un mouvement expert, je la défais. Je sais que l’excellente insonorisation presque parfaite de la pièce me permet de faire ce genre de chose sans alerter personne. Puis je fais un pas en avant, m’approchant de l’esclave et lui annonçant en ricanant :

-Non... ce n’est pas ce que tu crois. Je n’en ai rien à faire des traînées comme toi. En plus, tu as comme un corps de garçon. C'est dégoûtant.

Je lève le bras, faisant monter la ceinture au-dessus de ma tête. Enfin, je l’abats d’un mouvement sec sur l’épaule de la petite chose devant moi, la faisant claquer comme un fouet. Je répète une deuxième fois l’opération, horizontalement, pour aller frapper son ventre. L’instrument de torture improvisé fait siffler l’air.

-Alors, voyons voir comment tu t’en sors.

Le regard attentif, dans une observation rigoureuse, presque scientifique, mais non sans réel sadisme, je réitère le traitement. Ce n’est pas toujours aussi facile de se faire respecter des nouveaux. Heureusement, avec celle-là, je sens que ça va être aisé. Je songe qu’être sans défense, c’est peut-être sa seule qualité d’esclave. C’est sûrement quelque-chose comme ça qui a excité Cyriel. Un morceau de chair vulnérable et si susceptible d’être malmenée. Je sens que cela m’excite aussi un peu, en fin de compte. Peut-être la princesse n’a-t-elle pas de si mauvais goûts, après tout.

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Place publique / Re : "Marchandise" de 1er choix!
« le: dimanche 06 avril 2014, 17:07:04 »
La tension redescend rapidement dans mon corps, et je me blottis quelques secondes de plus que je ne l'aurais cru contre celui de Lucas, continuant à faire jouer ma langue sur ses lèvres, avec une certaine lenteur. Je me sens bien, mieux que je ne l'ai été depuis un bout de temps, dans cette position, ce petit esclave si frêle respirant sous moi, ses battements de cœur se joignant aux miens. Mon sexe chaud repose contre sa jambe, laissant encore sur la peau un petit filet de semence. Le contact du liquide blanc et visqueux contre l'extrémité de ma verge me fait prendre conscience d'une chose. Il était bien temps que j'arrête d'être trop tendre, de toute façon ! Il a assez profité de ma gentillesse pour aujourd'hui.

-Tu ne t'es même pas lavé avant de te faire saillir ! À quoi pensais-tu ?

Je fronce les sourcils : ma voix est devenue plus stridente. Je me redresse et me lève du lit. D'un mouvement de pied désinvolte, j'envoie ma culotte sous le lit. La robe que je porte suffi à cacher ce que je veux cacher, pour le moment. Puis je prends Lucas par l'épaule et le tire à son tour hors de la couche, le remettant debout sans lui laisser l'occasion de se rhabiller. Peut-être va-t-il avoir un peu de mal à marcher, ces prochains temps, mais tant pis pour lui.

Je le pousse dans le dos vers la porte que j'ouvre en la frappant, et j'appelle mon serviteur en criant presque.

-Felice, montre a ce souillon ma salle de bain !
-Incessamment, princesse ! me répond le valet, alors que j'entends les marches en bois de l'escalier craquer sous ses pas pendant qu'il le monte.

Le temps de regarder méchamment le spostanacci qui n'a pas bougé d'un pouce, et le valet est devant nous. Felice affiche un air sévère lorsqu'il voit mon esclave nu et dans une situation ne laissant aucun doute sur ce qui vient de lui arriver. Je l'ai peut-être un peu trop rempli ; je crois entendre tomber une goutte de liquide sur le sol, entre ses deux pieds.

-Je le rejoins plus tard, je fais avec un certain désintérêt, laissant entrer Baluardo dans ma chambre, et expulsant Lucas dans le couloir. Il ne manquerait plus que j'attrape une maladie de miséreux.

Heureusement, j'ai dans ma chambre ce qu'il faut pour m'assurer que cela n'arrive pas. Je dois bien avoir là-dedans suffisamment de potions curatives pour remettre sur pieds une armée défaite toute entière. Je dois toujours veiller à être bien soignée, même si c'est parfois très pénible. Pour cause, une princesse est un être divin, et donc, une princesse ne tombe jamais malade ; surtout pas de ce genre d'afflictions là. Je referme la porte.

*
*   *
– Felice –

Cette petite peste m'appelle pour la première fois de la journée. Jusqu'ici, j'étais presque tranquille. D'habitude, elle les lave avant de les emmener dans sa chambre ; elle n'a pas du pouvoir se retenir. Je gravis les escaliers quatre à quatre. Elle serait capable de me reprocher de prendre plus de cinq secondes à les monter. Elle est déjà suffisamment insupportable au naturel pour ne pas lui donner de raisons supplémentaires de l'être. Je vois la porte s'ouvrir, et la nouvelle esclave en sortir, poussé dans le dos.

Alors voilà à quoi elle ressemble sans le torchon qu'elle avait en entrant ici. Étrange, j'aurais jusqu'ici pensé qu'il s'agissait d'un garçon. Je me demande combien elle a pu le payer. Elle lui a bien dit qu'elle était plus chère que moi, mais elle a tendance à tout exagérer. Une fille aussi maigre et avec aussi peu de formes, ça ne doit pas valoir grand-chose. Ce devait être simplement le moyen de m'humilier encore. Elle ne s'en prive jamais. Elle sait que je déteste ces esclaves. Leur concurrence est déloyale pour les lignées de serviteurs sous serment comme la mienne. Ils font un travail beaucoup moins sûr, comparé à la qualité de mon service, c'est certain, mais personne ne paraît s'en rendre compte.

-Suis moi, gamine, je lui ordonne sèchement.

La salle de bain n'est pas très éloignée : à l'autre bout du couloir.

-À quand remonte ton dernier bain ?

Je fais tourner la poignée ronde et dorée d'une main experte, et je pénètre en premier dans la pièce. C'est la seule pièce de l'hôtel à disposer d'un carrelage au sol et aux murs, ce qui rend l'isolation presque parfaite. Le silence est absolu dans ce lieu où tout est bleu clair, à l'exception de la baignoire, qui est un peu particulière. En céramique blanche, finement ciselée, elle a une certaine allure. De plus, elle dispose d'un système de chauffage, qui permet de maintenir l'eau à température constante aussi longtemps que nécessaire. Je referme la porte derrière l'esclave.

-La vermine comme toi n'a rien à faire ici, tu ne l'ignores pas ? Ce sont les gens comme toi qui mettent les honnêtes travailleurs dans l'embarra.

Je l'attrape durement par le poignet et le jette au milieu de la pièce. Puis je me tourne vers lui, attendant un éventuel commentaire.

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Place publique / Re : "Marchandise" de 1er choix!
« le: mardi 25 février 2014, 17:21:54 »
Je ne m'attendais pas vraiment à ce que de ma tentative résulte un succès, sans pour autant provoquer de saignement. J'imagine que dix ans d'esclavage et d'exploitation sexuelle ont rendu son vagin particulièrement apte à se déformer, et qu'il a de la chance que ma main soit particulièrement fine. J'éclate d'un rire court et léger, presque émerveillé, alors qu'il continue, malgré sa souffrance manifeste, à aller et venir le long de ma verge, mes doigts toujours à l'intérieur de lui. Brièvement, je serre le poing, modifiant légèrement la largeur de ce qui le pénètre. Le pauvre doit avoir l'impression d'accoucher, ou quelque-chose dans ce ton là... Mes muscles se contractent de manière de plus en plus inquiétante, et je suis en sueur malgré ma relative immobilité. Il est temps de le soulager, et surtout de me soulager par la même occasion.

Sans détendre ma main, je l'extrais de son sexe, poussant pour cela sur son ventre. Je ne lui laisse pas récupérer, et je le bascule sur le côté, l'accompagnant dans son mouvement, sans que nos corps se quittent. Je le place sur le dos, sous moi. Attrapant ses jambes et les faisant passer par dessus mes épaules, je surélève son bassin. C'est la meilleur position : celle qui me donne le plus de force pour le pénétrer.

Je retire mon pénis de son anus, le laissant se reposer une seconde, puis l'enfonce de nouveau violemment... dans son sexe, sans m’embarrasser de le prévenir de ce changement d'aucune façon. De toute façon, après ma main, mon phallus doit lui paraître plutôt mince et agréable. Après m'être introduit dans son rectum, c'est un véritable plaisir que de me frotter contre les muqueuses, tièdes et humides, de son vagin. Chaque coup me retire un petit cri de plaisir, et si la pression autour de ma verge n'est plus aussi forte, la sensation n'est plus mêlée de douleur. Je crois que je n'aurais pas pu, de toute façon, supporter encore longtemps la friction de mon gland contre les parois arides.

-Hn, c'est pas mal par ici aussi, héé.

Je déplace l'effort ailleurs, m'efforçant de le pénétrer avec une certaine vitesse, et surtout une certaine profondeur. Je n'hésite pas pour augmenter la force du coït, en plus du mouvement de mes hanches, à tirer son bassin vers moi. Cette pratique est fatigante, mais particulièrement stimulante. Mon ventre vient taper contre le sien à un intervalle assez irrégulier mais rapide. La chaleur de mon corps devient vite incontrôlable, remonte dans le haut de mon être. Je perds le contrôle de mon souffle, et de mes mouvements en général. Je tremble, les muscles de mes épaules se relâchent, et ses jambes tombent. Je me saisi de ses épaules.

-ALLLLLLEZ !

Le liquide procréateur remonte le long de mon urètre, cette fois pour de bon. Pendant une demi-dizaine de secondes, je ne pense plus qu'à le pénétrer encore un peu plus longtemps. Je ne tente même pas reprendre ma respiration, alors que mon sperme se déverse par saccades dans son vagin. Puis je serre les dents, et dans un râle, cogne une dernière fois contre sa taille. Je souffle. Je retombe sur Lucas, mon visage blottit contre son cou, retirant du même coup mon sexe du sien. Épuisé, j'en suis réduis à passer ma langue sur sa peau, remontant jusqu'à son menton, et finalement léchant ses lèvres. Je le serre contre moi, profite de sa respiration, encore un petit instant.

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Place publique / Re : "Marchandise" de 1er choix!
« le: lundi 24 février 2014, 16:15:34 »
De toutes les pratiques sexuelles, je pense que la sodomie est celle que je préfère. Elle est universelle, et peut se réaliser avec tous les partenaires, hommes, femmes. La plupart des créatures, même les plus étranges que j'ai pu rencontrer, ont, à ma connaissance, un anus, et c'est le cas de tous les animaux... Parfois, j'ai même envie de me faire pénétrer moi-même. Évidemment, pas comme je suis en train de le demander à Lucas. Passer par la voix interdite nécessite en général un certain temps de préparation, au moins quelques attouchements préliminaires, et même en prenant cela en considération, du liquide lubrifiant est souvent nécessaire pour éviter des douleurs excessives.

Mais mon but n'est pas de rendre l'expérience plus plaisante pour lui, même si en conséquence, elle ne le sera sans doute pas pour moi. J'espère pour lui que son orifice a suffisamment l'habitude d'être malmené, car quoi qu'il en dise, sa taille le rend certainement extrêmement étroit. En fait non, j'espère que ce sera le contraire. Plus il souffre, et plus je supporterais de souffrir moi-même. Cela ne me dérangerait même pas de voir un peu de sang, comme cela arrive parfois lorsque j'abuse trop longtemps d'un esclave.

Ce que je lui fais faire est assez cruel. Lorsqu'il se dirige vers moi, je ne daigne pas bouger. Je le regarde simplement se tendre au-dessus de moi, qui suis penché en arrière. Je me félicite qu'il choisisse ce sens, même si je ne lui ai rien précisé, car pour réaliser ce que j'ai ordonné, il est obligé de se cambrer légèrement en avant. Cela me laisse tout loisir de voir son visage, son corps raidi, et aussi son sexe qui passe un instant au niveau de mon visage.

Finalement, il redescend. D'une main, je me décide à tenir ma verge dressée à la verticale, pour être sûr qu'elle le pénètre quel et bien. Sans cela, sans doute le coït anal aurait été impossible. Mon gland seul, en s'enfonçant, me tire un gémissement de plaisir. C'est une sensation qui admet peu de comparaison. Rien à voir avec les rapports oraux, l'acte, même lorsqu'il n'est pas brutal, est beaucoup plus dur. Si ma verge est encore légèrement lubrifiée par sa propre salive, cela ne facilite pas grand-chose. Un centimètre seulement ensuite, je sens ses muscles autour de ma chair, qu'il s'efforce de détendre. J'entends Lucas pousser un cri de douleur, alors que la partie la plus large de mon phallus n'a pas encore franchie cette barrière.

Même s'il essaie de s'enfoncer aussi bien qu'il le peut, je doute qu'il parvienne à me faire entrer entièrement. Mon sexe est heureusement suffisamment profond pour ne plus bouger. Je crois qu'il s'est assez fait mal tout seul. Je souris.

-Attend, je vais t'aider un peu.

Joignant le geste à la parole, j'appose mes mains sur ses hanches, et j'accompagne son mouvement. Je n'arrive pas à beaucoup progresser. Il va falloir forcer un peu plus. Mes mains poussent violemment son bassin vers le bas. Un éclair de douleur remonte depuis mon bas-ventre, alors que l'entrée de son rectum est forcée d'un coup.

-...putain... je grogne.

Instinctivement, je me cabre, ce qui a pour seul effet de m'introduire encore plus profondément. Son ventre frôle le mien. J'arrête le mouvement un instant, quelques étoiles devant les yeux, tout en sachant que le plus dur est fait. La suite sera désagréable pour lui, mais beaucoup moins pour moi. Son anus, dilaté de force, serre mon pénis tout entier avec plus de force que n'importe quel vagin. Lentement d'abord, je l'incite à continuer le mouvement. Je passe mes bras sous ses bras, et me serre complètement contre lui.

-J'adore... putain. Ah.

Mon pénis frotte contre son intérieur terriblement sec et étroit. Le mouvement est lent par obligation, et ne risque pas de me faire éjaculer trop vite. En revanche, les sensations que j'en tire sont incroyables. De son côté, ce doit être très différent. Sachant qu'il n'a probablement pas de prostate, je ne suis pas sûr du plaisir qu'il peut en tirer. Pourtant, je sais que certaines femmes apprécient cette pratique.

-Enfonce-toi seul et plus vite, je réclame, en le lâchant.

Pourtant, mes doigts ne restent pas inactifs pour autant. Ma main droite vient attraper l'un de ses tétons, qu'elle pince, pendant que la deuxième va rapidement rejoindre son sexe, qui monte et descend devant moi. Son petit clitoris se retrouve de nouveau soumis à ma volonté. Pourtant, je ne fais que le frotter rapidement. J'ai d'autres projets. Comme précédemment, j'introduis mon index et mon majeur dans son vagin. Je sens la pression exercée par mon pénis dans son autre orifice jusque dans la cavité, rendue d'autant plus difficile à pénétrer. Je ne m'arrête pas là : écartant les lèvres, j'enfonce mes trois autres doigts. Puis je pousse autant qu'il m'est possible, cherchant à y faire entrer toute ma main, sans savoir si je vais y parvenir, et indifférent à sa souffrance qui dépasse certainement de loin son plaisir.

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Place publique / Re : "Marchandise" de 1er choix!
« le: samedi 22 février 2014, 21:11:54 »
Même de cette façon, totalement soumis au contrôle de mes mains, à la pression qu'elles appliquent sur son crâne, le garçon parvient à être meilleur que la majorité des esclaves. Je me demande ce qu'il fabrique avec sa langue, sans pouvoir, ni en fait vouloir, l'en empêcher. J'ai l'impression de m'enfoncer dans une cavité humide et râpeuse, bien plus stimulante qu'un vagin, même si les contractions sont absentes. Je compense ce fait en frottant, volontairement ou non, de temps à autre, mon sexe contre les parois intérieurs de sa bouche.

-Hn. Oh, oui, ha. Tu es très beau, hn, comme ça.

Pendant que je le pénètre, je continue de regarder ses yeux verts. Malgré ce que je lui impose, il ne les ferme pas, et je ne les lâche pas : il a quelque-chose de très attendrissant. Savoir que cette petite chose, si tendre, si frêle et si innocente d'apparence, que cet enfant, souffre pour mon plaisir... avale un sexe trop gros pour elle, doit prendre sur elle pour ne pas vomir, surmonter son dégoût... cela m'excite terriblement, appelant en moi les pulsions les plus basses, le sadisme le plus cru. Évidemment, cela aurait pu avoir plus d'impact encore si je n'avais pas été la dernière personne d'une longue liste à lui faire subir pareil traitement. Cependant, son visage est si juvénile que j'oublie vite ce détail.

Il est ma chose, et chacun des coups de bassin que je donne sans tendresse jusqu'à sa gorge me le rappelle.

Très vite, des fourmillement de plaisir naissent dans mes testicules, et envahissent mon sexe. Je sais que c'est le signal final. Il ne me reste plus que quelques secondes avant d'éjaculer. Je me rend compte que le point de non-retour à été franchi lorsque je sens un liquide chaud remonter le long de ma verge. Mon instinct me dit de ne surtout pas interrompre la cadence, de me déverser entièrement dans sa bouche. Je pousse un cri de plaisir court, assez aigu, indéniablement féminin.

-Aah.

Mais personne ne me dicte quoi faire, pas même mon instinct. Repoussant la tête de Lucas, je sors mon pénis de son orifice buccal. Un premier jet de sperme jaillit sur son visage. Ma main, très vite, cependant, vient appuyer fortement sur la base de mon sexe. Je me contracte, me replie, me détourne de lui. Bloquer mon éjaculation me brûle toujours, mais c'est une douleur extrêmement sensuelle. Pendant une brève seconde, j'ai l'impression d'exploser de l'intérieur, tout en ressentant un orgasme étrangement contrarié. Je parviens à bloquer ce qui reste mon éjaculation.

Mon organisme comprend certainement qu'il a été trompé. J'ai envie de recommencer tout de suite. Dès que je retrouve mes esprits, je me jette de nouveau sur Lucas, et sans lui demander son avis (ce serait un comble),  je l’aplatis sur le lit, collant son ventre au mien. Mon sexe, très tenté, vient frotter verticalement contre son vagin, dérangeant seulement sa surface. Je résiste au désir que j'ai de le prendre immédiatement, et de reproduire entre ses jambes ce que j'ai fais pour sa bouche.

Je sais que cependant, je ne tiendrais pas plus d'une dizaine de secondes, dans l'état où je suis. Il faut que je me reprenne juste un peu. Renonçant, je me relève, et fait glisser ma culotte, qui ne servait de toute façon plus à grand-chose, le long de mes jambes. J'attrape un genou de Lucas, et sans vraiment écarter l'autre jambe, entre de nouveau l'index dans son intimité, puis le ressors aussitôt.

-J'aurais préféré que tu sois un garçon.

Je m'assois sur le rebord du lit, et attend quelques secondes, reprenant mon souffle. Enfin, je déclare :

-Alors je veux te prendre comme un garçon. Tu n'es pas trop étroit, au moins ?

Mon sexe, toujours très dur, saille d'entre mes jambes. Je m'incline légèrement en arrière, pour qu'il émerge davantage. J'espère avoir été bien compris.

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