Elle me résiste ! Mais il ne faut pas la prendre sur le champ, pas ici. C’est trop exposé … même si je pourrais nous entrainer à l’écart.
Je ne cesse de chercher à m’approcher, en dépit de ses protestations, mais sans forcer ni exagérer.
- Enfin voyons, je ne vais tout de même pas prendre ma forme de dieu ici, au beau milieu du parc de Seikusu ! Tu pourras voir, et même goûter, si tu le souhaite ma forme divine quand nous serons entre nous, en privé.
Cet air féroce, cette volonté de s’opposer à ma volonté, ça m’excite. J’ai bien envie de la prendre là, sur le champ. Mais ce serait un poil excessif avec le monde autour.
- Enfin entre nous … entre nous trois visiblement, puisque cette étrange chose avec toi, en toi, ne semble pas être capable de se dissocier de toi. D’ailleurs c’est vivant ou c’est mort ? Un conseil, ne le laisse pas sortir en public où tu va être dans la panade.
Elle est mignonne, ça me donne envie de lui coller ma bite dans la bouche, pour la voir fondre de plaisir en me suçant.
- Déjà il faut te trouver d’autre vêtements. Ensuite je te propose de découvrir la cuisine locale et les bains japonais. Enfin, nous pourrions terminer avec … ah ! Le Cinéma ! Tu ne vas pas en croire tes yeux. Ensuite seulement nous irons dans un coin tranquille pour apprendre à nous connaitre, si j’ose dire.
Mais en même temps ... on pourrait faire ça après la baise aussi. J'ai trop envie et je pense que je pourrais tenter quelques chose, une autre approche. Plus elle me résiste et plus j'ai envie de la sauter sur le champs !
- Écoute, si tu veux vraiment une preuve, je peux t’en donner une, tu va voir.
D’un coup rapide, je lève la main et je pose mon index impérieux sur le front de la jeune mortelle.
- C’est ce qui va t’arriver.
Une vision éclate alors dans l’esprit de la jeune femme. Moi sous ma forme divine et elle nue, allongés. J’apparais sous la forme du Dieu Bouc qu’est Khnoum, puissant et musclé, rudement bien membré. L’ambiance est très chaude, nos corps collés. Elle se tient sur le dos, les jambes écartés et les bras immobilisés par mes poings. Ses seins gigotent au rythme de mon pilonnage. Puis survient aussi l’orgasme, immense, qu’elle ressent dans la vision mais aussi en vrai. Puis doucement la vision s’estompe.
Moi pendant ce temps je m’étais rapproché pendant cette inconscience. Collé à elle, les bras autour de sa taille.
- Alors ma belle ? Tu en pense quoi ?