Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Madelyne Pryor

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One Shot / Re : Long Live to the Queen[PV]
« le: samedi 27 janvier 2018, 08:28:50 »
L’orgasme de la Faucheuse fut aussi fulgurant qu’inédit pour elle, et éveilla en Madelyne d’exquises sensations, jouissives... Magnifiques. La Faucheuse l’ignorait, mais sa Reine n’était pas aussi inébranlable qu’elle aimait le faire croire. En fait, c’était même l’inverse. Madelyne se questionnait depuis des années sur son identité. Qui était-elle, que voulait-elle, quel était son rôle dans la vie... Elle était, à la base, un simple clone de Jean Grey, clone tellement réussi qu’elle avait ressenti l’amour de Jean pour Scott... Ou alors, cet amour était venu en elle quand la force Phénix était venue lui insuffler la vie. Toujours est-il que Madelyne s’était en ce sens continuellement interrogée sur la portée de ses sentiments, ou sur son rôle dans la vie. Le sexe était un agréable début de réponse, car elle avait la certitude que les sentiments qu’elle ressentait, ou les émotions qu’elle infligeait, étaient bien les siens.

La Faucheuse venait donc de jouir, arrosant copieusement la bouche de Maddie de foutre. Elle avait un phallus impressionnant, et, après cet orgasme, la redoutable tueuse sembla un peu soufflée, mais resta avec une queue bien raide. Madelyne ne réagit toutefois pas immédiatement. Elle avait une bonne partie du sperme de la femme dans la bouche, le reste commençant déjà à s’écouler dans sa gorge, et se massa le cou.

« Hmmm... »

Plutôt que de le recracher, Madelyne se redressa, et posa sa main sur la nuque de la Faucheuse, puis l’embrassa. Son corps se colla contre le sien, et elle ouvrit les lèvres, déversant ce foutre dans la bouche de son amante, l’accompagnant de sa langue, de ses frissons, de son corps qui se crispa au sien. Yeux clos, Maddie gémissait de plaisir, et posa son autre main sur les fesses de la femme, à travers sa longue tenue, tout en la serrant contre elle, et prolongea ensuite le baiser. Ses lèvres étaient collées aux siennes, sa langue se frotta contre celle de la Faucheuse, et, tandis que les deux femmes s’embrassaient, le décor changea autour d’elles, devenant noir, et semblant tournoyer sur place, comme si elles étaient dans une sorte de bulle qui tournoyait sur place.

La bulle tournoya de plus en plus, jusqu’à se volatiliser, les amenant dans une grande chambre luxueuse. Madelyne, qui jouait à partager le sperme de la Faucheuse avec elle, rompit alors son baiser, un mince filet de salive la reliant à elle, qu’elle balaya d’un coup de langue, puis se retourna.

« Bienvenue chez toi, ma chérie ! »

Madelyne avait téléporté les deux femmes chez elle, au Japon, de l’autre côté de l’océan ! Elles étaient à Seikusu, dans le manoir de Madelyne, dans sa grande chambre centrale. Un grand lit se trouvait au centre, avec une cheminée éteinte. Madelyne n’eut qu’à claquer des doigts pour que la cheminée s’embrase spontanément, rejointe par de multiples bougies et autres candélabres, ainsi que par de sensuelles odeurs d’encens.

Tournant le dos à la femme, Madelyne fit lentement claquer ses talons, tout en se déshabillant.

« Je n’ai pas fait que t’embrasser, Faucheuse... Pendant que je nous téléportais, je t’ai ensorcelé, envoûté... Bien sûr, tu es déjà très excitée en ma présence, mais tu vas vite avoir très mal à la queue... »

Et, effectivement, alors qu’elle disait ça, la Faucheuse devrait ressentir une forte tension à hauteur de son sexe. Madelyne, elle, avait ôté sa robe, et les sous-vêtements, finissant toute nue, et se coucha sur le lit, bombant sensuellement ses fesses.

« ...La magie rose, Faucheuse. Ta queue te fera mal tant que tu ne me baiseras pas. Sache que j’ai énormément d’années de retard à rattraper en la matière, et que j’aime le sexe. Je reviens d’entre les morts, ma chérie, ne l’oublie pas. Je veux me sentir... Vivante. Aide-moi. »

Tout simplement. Vivre... C’était son seul objectif. Et pour ça, elle devait baiser.

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One Shot / Re : Long Live to the Queen[PV]
« le: lundi 27 novembre 2017, 21:38:51 »
La Faucheuse était magnifique. Madelyne était aussi fière qu’heureuse d’avoir un tel instrument à portée de main. Elle avait bien besoin d’une tueuse personnelle, d’une femme sombre et cruelle qui accomplirait tous ses désirs. Madelyne était revenue à la vie, et était toujours aussi ambitieuse qu’à l’époque où elle était la Goblin Queen. Qui sait jusqu’où elle irait ? Elle avait de grands projets, même s’ils étaient encore un peu vagues, mais elle savait que cette femme y jouerait un rôle indéniable. La noirceur de son âme ferait d’elle une excellente mage-guerrière, mais Maddie allait devoir s’assurer de sa loyauté, et de sa stabilité mentale. L’usage intensif de la magie noire avait des conséquences redoutables sur l’équilibre mental, et pouvait conduire son utilisateur aux portes de la folie. Madelyne allait donc y aller prudemment, et, pour l’heure, elle suçait donc cette femme.

Le sexe était le point faible de la Faucheuse, la faille par laquelle la Goblin Queen allait pouvoir la contrôler. Une stratégie simple, audacieuse, mais qui allait nécessiter d’elle que se surpasse, afin de s’assurer pour de bon la loyauté de la femme. Bien sûr, elle pouvait toujours utiliser son esprit, la manipuler, faire d’elle son esclave, mais la Faucheuse perdrait alors ses capacités magiques.

« Hmmm... Hmmmm... »

À genoux, Madelyne se concentrait, pompant généreusement ce dard, ses lèvres s’ouvrant pour pouvoir gober ce sexe sans difficulté. La tâche n’était pas particulièrement aisée, car elle sentait le membre de la Faucheuse grossir et durcir, tandis que les mains griffues de sa seconde se serrèrent sur sa tête. Clignant des yeux, Madelyne continuait à agir, recouvrant de sa salive la queue de la femme, couinant et gémissant au fur et à mesure que le temps passait. Elle faisait durer le plaisir, mais elle sentait bien que la Faucheuse approchait du point de rupture... Et elle avait très envie de la sentir jouir en elle, et de boire son sperme.

Madelyne se concentrait donc, creusant ses joues en aspirant l’air, sa langue remuant encore sur ce gros membre, le stimulant à loisir.

*Allez, ma chérie, jouis, je n’attends plus que ça !*

La femme enfonça encore le sexe de la Faucheuse dans sa bouche, optant pour de longues gorges profondes, la queue de sa partenaire tapant dans sa gorge, l’étouffant presque. Elle se reculait ensuite un peu, conservant toutefois toujours ce phallus en bouche, avant d’y retourner, gémissant et soupirant longuement...

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One Shot / Re : Long Live to the Queen[PV]
« le: lundi 13 novembre 2017, 00:27:18 »
La Faucheuse n’en avait peut-être pas encore conscience, mais, en ce moment, elle disposait d’une puissance terrifiante, une force qui surclassait celle qu’elle avait jadis eu en se transformant en démone. Madelyne disposait de ce pouvoir redoutable de partager un peu de son pouvoir avec les autres. Elle ignorait encore comment cela était possible. En fait, il subsistait encore sur elle beaucoup d’énigmes. Sa résurrection, déjà, mais, même avant cela, son existence était un mystère. Essex n’avait jamais réussi à lui donner vie, et Madelyne n’avait pu voir le jour que quand la force Phénix s’était partiellement insinuée en elle. Une force que Jean avait repris, la condamnant à mort... Mais Jean Grey était de nouveau partie. Madelyne supposait en réalité que la force Phénix était de nouveau retournée en elle, mais elle s’exprimait différemment, par le biais de la magie. Madelyne, en Enfer, avait appris à modeler cette énergie, cette puissance. Elle pouvait en partager un peu, ce qu’elle venait de faire avec la Faucheuse. Et, chez cette dernière, ce don réagissait très bien, tant son âme était noire.

*Mais je dois m’assurer qu’il n’y aura plus aucun retour en arrière possible, qu’Ashley Stewart est définitivement morte...*

Pour ça, il n’y avait pas cinquante manières de procéder. Mais, pour l’heure, la Faucheuse avait retiré ses vêtements, et s’offrait à elle. Elle présentait un corps très noir, mais très bien proportionné, avec des formes élégantes et athlétiques. Madelyne sentait son bonheur, qui se manifestait de manière sexuelle. La Goblin Queen sourit alors, et vit que la Faucheuse s’était dotée d’une belle verge.

« Oh... Étonnant, ça... »

Et surtout assez inattendu. Peut-être bien que la sphère de Madelyne comprenait un peu de magie rose. En tout cas, le résultat final était très appétissant. Une magnifique verge se dressait devant elle, et Madelyne se rapprocha lentement, devinant aisément, à son érection, que la femme était très excitée. Un choix compréhensible, après tout. Madelyne fléchit alors les genoux, approchant son visage de ce membre, et le renifla, en frottant doucement sa joue dessus, y apposant ensuite sa main pour frotter ce mât.

« Ou peut-être l’ai-je fait inconsciemment... Le sexe, tu vois, est l’une de ces choses qui m’ont manqué énormément quand je suis morte. Alors... Peut-être que je t’ai rendue aussi cruelle que perverse... »

Et peut-être même avait-elle maudit la Faucheuse de ce point de vue, en faisant en sorte qu’elle ne ressente que du désir sexuel à l’encontre de Madelyne uniquement. À l’égard d’autres personnes, elle serait incapable de prendre son pied, ou, si elle avait une érection, ressentirait toujours une pointe de dégoût. Madelyne n’avait pas fait que changer son corps, mais aussi son esprit. Elle esquissa un léger sourire, et embrassa alors ce beau phallus rigide.

« Tu peux jouir autant que tu veux, ta queue ne débandera pas tant que j’en décide autrement... »

Pour Madelyne, le sexe était fondamental, car elle avait toujours eu envie de vivre, de se sentir vivante. Et, pour ça, il n’y avait tout simplement rien de mieux que le sexe, que les sensations et les pulsions que le sexe induisait en vous.

« En fait, je crois bien que je vais faire en sorte que ma présence t’excite toujours, au moins même un peu... Tu n’as pas idée d’à quel point je peux te rendre puissante, Faucheuse... Je te débarrasserai de tous tes relents d’humanité, et il ne restera en toi qu’une profonde dévotion à mon égard. Tu seras ma Faucheuse et ma Fanatique. »

Et Madelyne lécha alors ce sexe, commençant à le parcourir lentement, le sentant pulser avec grand plaisir contre elle...

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One Shot / Re : Long Live to the Queen[PV]
« le: mercredi 08 novembre 2017, 00:48:52 »
Qui aurait pu y croire ? L’influence de Madelyne était telle qu’elle avait réussi à obtenir une fidèle dévote, une femme qui lui était restée fidèle, totalement fanatisée, et ce malgré les années en Enfer. Madelyne sourit lentement en voyant la femme l’embrasser, tout en lui réitérant son serment, un serment éternel. C’était toujours agréable à entendre, et même très agréable. Madelyne avait toujours eu un manque de reconnaissance. Quand elle avait appris qu’elle n’était que le clone de Jean, que sa vie n’était qu’une succession d’échecs et d’erreurs, elle avait... Clairement pété les plombs. Mais, au-delà de sa haine, Madelyne voulait tout simplement exister en tant que telle, être considérée comme une véritable personne... Alors, voir Ashley s’agenouiller devant elle, tuer en son nom, lui confier l’intégralité de sa vie, c’était particulièrement jouissif.

Madelyne sourit encore en récupérant sa main, et la posa sur la tête de la femme.

« Très bien, Faucheuse. Nous, Madelyne Pryor, Reine des Gobelins, avons entendu ton serment, et l’acceptons. À partir de ce moment, et jusqu’à ce que tu sois déliée de ce serment, tu serviras la Reine en étant son exécutrice, sa faucheuse personnelle. Relève-toi, Faucheuse. »

L’intéressée obtempéra, et, tandis qu’elle se relevait, elle put voir qu’une autre sphère noirâtre pulsait dans la main de Madelyne, vibrant sur place en émettant de multiples éclairs.

« Ashley Stewart n’est plus. Tu es la Faucheuse. »

Et Madelyne allait le marquer définitivement en elle. Sa main se posa sur le corps de la femme, et la sphère rentra en elle. Rapidement, des éclairs se mirent à scintiller dans le corps de la Faucheuse, qui ne put que gémir et hurler en sentant d’épaisses ondes de douleur traverser son corps. Sa peau devrait lui donner l’impression de fondre, comme si elle se liquéfiait de l’intérieur, tout en étouffant en sentant son armure se presser davantage contre elle, serrant, serrant encore... Jusqu’à ce qu’un ultime hurlement ne déclenche une puissante onde magique, qui explosa les vitres autour d’elle. Un cri d’outre-tombe jaillit des lèvres de la femme, qui devrait alors constater que son corps avait changé. Ses sensations, ce sentiment de puissance inné en elle...

Madelyne sourit, et caressa la joue du « masque » de la femme, puis le pinça... Et Ashley ressentit alors une agréable pointe de douleur, en devant peu à peu comprendre ce qui lui était arrivé.

« J’ai fusionné ta peau avec cette armure. Maintenant, tu es ma Faucheuse, et tu n’es plus rien d’autre. »

L’une des conséquences de cette transformation, c’était que les pouvoirs de la Faucheuse seraient encore plus grands... Mais, pour l’heure, Madelyne se pencha vers elle, et l’embrassa tendrement.

« Tu es à moi, Faucheuse... Je serais une Reine douce si tu m’obéis bien... Et je ferais de toi la personnification de la Mort même ! »

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One Shot / Re : Long Live to the Queen[PV]
« le: vendredi 20 octobre 2017, 19:06:54 »
Madelyne voulait la voir à l’œuvre. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle ne fut pas déçue. Le repaire abritait une petite vingtaine de malfrats se livrant à une série de larcins de bas étage. Trafic de stupéfiants, braquages, vols de voitures… La lie usuelle de New York City, des individus ayant des casiers judiciaires longs comme une voie d’autoroute. Ils faisaient de parfaits serviteurs pour Madelyne, mais elle n’aurait aucune hésitation à les massacrer. Cette Ashley l’intéressait. La Faucheuse l’ignorait, mais, en parvenant à surmonter le « cadeau » fait par Madelyne (cette sphère d’énergie noirâtre), elle avait aussi démontré qu’elle n’était pas une simple déséquilibrée. En surmontant ce don, et en parvenant à user de ses pouvoirs, Ashley démontrait inconsciemment à Madelyne qu’elle se souvenait bien de l’Inferno, qu’elle avait véritablement été l’une de ses démones… Et qu’elle était véritablement nostalgique de ce moment.
 
La Goblin Queen la vit donc fondre sur ses proies. Il y eut plusieurs échanges de coups de feu, mais insignifiants face à Ashley, qui semblait littéralement jubiler en les affrontant ainsi. Madelyne la vit décapiter une proie, arrachant sa tête en la faisant voler hors de ses épaules, puis fondre sur un autre. Elle lui trancha la main, et frappa à nouveau, ouvrant son ventre, faisant couler ses tripes sur le sol. Un autre gangster apparut alors dans le dos d’Ashley, tenant un fusil à pompe, mais, quand il lui tira dessus, Ashley ne devint plus que volutes de fumée noirâtres, et se rua sur l’homme, le tuant dans des hurlements de douleur.
 
« Qu’est-ce que c’est que ce monstre ?!!
 -  Non, non, pitié, j’veux pas… Aaaaaaaaarghh… !! »
 
Un autre réussit à rejoindre la porte de secours, mais n’arriva pas à l’ouvrir, tirant furieusement dessus… Puis se retrouva cloué contre la porte, le cerveau éclaté par un cristal sombre.
 
*Impressionnant… La facilité avec laquelle elle emploie la magie noire… Son âme est emplie de ténèbres, elle dispose d’une affinité naturelle avec ça. Pas étonnant qu’elle se souvienne encore du passage o* elle était à mon service.*
 
Tout cela ne manquait pas non plus d’une certaine ironie. Elle, Maddie, qui avait été exploitée et manipulée pendant sa première vie, qui n’avait jamais rien été de plus qu’un clone raté de Mister Sinistre, avait finalement inversé les rôles. Plus elle voyait Ashley, et plus la scène l’excitait, l’enthousiasmait. Sa tueuse finit par se rapprocher des prostituées, qui paniquaient, pleuraient, suppliaient… Vainement. Ashley choisit alors de les tuer de manière assez sinistre, en utilisant un mélange de magie noire et de magie élémentaire liée à l’Électricité.
 
Madelyne frémit devant ce redoutable sortilège, qui fit éclater les prostituées, répandant des bouts d’entrailles et de viscères un peu partout.
 
La scène se calmait quand des bruits de pas se firent entendre dans le dos d’Ashley. Elle se retourna, pour voir sa Reine se rapprocher d’elle.
 
« À genoux » ordonna-t-elle simplement.
 
Une fois qu’Ashley se fut execute, Madelyne tendit sa main vers elle, poings serrés :
 
« Fais le baiser de paix. »
 
Et, quand elle le fit, Madelyne reprit :
 
« À partir de maintenant, Ashley, tu es ma Tueuse personnelle, ma Faucheuse. Je te prends à mon service, et ne t’en délierai que le jour où tu me trahiras. La mort elle-même ne saurait rompre cela. Fais-tu le serment de me servir à jamais ? »
 
Autant le préciser : c’était maintenant l’ultime point de non-retour…

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Centre-ville de Seikusu / Re : La Divine Esclave [Divine Karlberg]
« le: lundi 16 octobre 2017, 00:38:06 »
Divine faisait indéniablement honneur à la réputation des Karlberg. Elle était une esclave d’élite, aussi belle que sophistiquée, capable autant de manier la verve que de parler de manière crue et vulgaire. Pour Madelyne, c’était un vrai plaisir de l’entendre parler ainsi, de s’insulter en se dandinant devant elle, tout en terminant en précisant qu’elle ne s’humilierait que devant sa Maîtresse uniquement. Madelyne en sourit encore, sentant sa perversion croître, au fur et à mesure que quantité d’idées perverses se déversaient dans son esprit, surtout quand, profitant de sa position, Divine lui vola un tendre baiser sur la joue. Entre les flopées d’injures, la promesse de boire l’urine, il y eut cette petite touche de douceur et de tendresse. Et tout ça... Tout ça eut pour effet de bousculer un peu les plans de Madelyne, en réveillant son érection.

Assez rapidement, elle se redressa, et la pénétra à nouveau, enfonçant sa verge dans ses fesses.

« Hmmmm... Vois dans quel état tu me mets, hein, à m’exciter comme ça... Hmmm... Oui, Divine, voilà une chose que je ne veux plus jamais à faire seule... Me masturber, soulager les pulsions de mon corps... »

Désormais, elle aurait toujours sa belle Divine pour ça. N’était-ce pas un immense privilège ? Divine avait de quoi se sentir fière ! Madelyne continua donc à la pénétrer, retournant à leur sodomie, mais avec un rythme plus lent, plus apaisé, que précédemment. Ça ne l’empêchait évidemment pas de prendre son pied, car le beau petit cul de Divine était tout simplement parfait pour ça. Et, pendant que Madelyne recommençait à la prendre, ses mains caressaient ses belles fesses, pinçant sa chair, malaxant ses fesses, giflant et frappant du plat de la main.

« C’est ça, Divine, hmmm... Pour moi, tu es ma chienne, mais, face aux autres, je veux que tu sois une femme à la beauté sophistiquée, intouchable, orgueilleuse et prétentieuse, fière d’être la favorite de Madelyne Pryor, hmmm... Mais n’espère pas, haaaa... Que je ne m’amuserai pas avec toi. Il est si facile de manipuler l’esprit des gens, de leur faire faire ce que je veux. Tu n’imagines pas, hmmm... Com-Combien je peux m’amuser, en désinhibant les pensées de deux parfaits inconnus, pour les regarder copuler en plein air... »

Pourquoi parler de ça ? Divine devait commencer à comprendre où Madelyne voulait en venir, mais sa Maîtresse laissa passer plusieurs secondes, s’attardant sur sa sodomie, avant de préciser le fond de sa pensée :

« Tu m’appelles ‘‘Maîtresse’’, mais... Hmmm... Je suis... Ta-Ta Déesse, haaaa... A-Alors... Quand je t’enverrais faire des courses, et qu’un homme te prendra par l’arrière contre un mur, et glissera dans le creux de ton oreille qu’il vient au nom de ta Déesse... Tu le laisseras... Hmmm... Bien entendu f-faire ! »

Autant dire que Divine n’était pas au bout de ses peines ! Madelyne gémit encore, et, au bout de plusieurs minutes, se relâcha encore dans le corps de Divine. Mais, cette fois, elle n’usa pas de ses pouvoirs pour récupérer son sperme, et le laissa bien au chaud dans le corps de la femme, avant de se retirer de son corps. Madelyne se déplaça alors, et s’assit sur un fauteuil face au lit.

« Assieds-toi sur mes genoux, Divine, je veux te sentir près de moi... »

Elle laissa la femme s’exécuter, et Divine put alors noter la présence d’un plateau d’argent avec des verres en argent, et la théière, abritant du sperme.

« Bon, ma petite puce, tu dois être assoiffée, maintenant. »

L’un des verres se mit à flotter, et se rapprocha de Divine.

« Je te laisse libre de ton choix, ma chérie... Est-ce que tu fais boire ta Maîtresse, ou est-ce que tu avales ce contenu ? Le choix t’appartient totalement... »

Pourquoi la laisser choisir ? Madelyne en avait juste envie... Il n’y avait aucun piège, c’était juste... Par curiosité.

22
One Shot / Re : Long Live to the Queen[PV]
« le: lundi 16 octobre 2017, 00:27:40 »
Bien sûr, elle le savait déjà. Madelyne s’était immiscée dans sa tête, et avait sondé ses pensées. Elle ne voyait chez cette femme qu’une profonde vénération envers elle, comme une dévote se désespérant devant son idole. Madelyne lui avait posé cette question uniquement pour évaluer sa sincérité... Et elle ne fut pas déçue. Maddie esquissa un léger sourire en la regardant avouer qu’elle ne comptait qu’être sienne. La Goblin Queen sourit donc, et sa main caressa la joue de la femme, son pouce appuyant sur ses lèvres, frottant délicatement dessus.

« Très bien... »

La femme hocha la tête, et se décala alors. Ashley n’avait pas cillé, et avait dit la vérité, tout simplement. Madelyne ne savait toujours pas quoi penser d’elle. Cette femme était indéniablement mauvaise. Pour récupérer ses pouvoirs, elle avait commis quantité de crimes, tuant des dizaines d’individus en voyageant à travers les États-Unis. « La Faucheuse »... Madelyne était convaincue que, si elle avait accès au registre du FBI, elle trouverait une fiche à ce nom. La femme avait peu à peu constitué un réseau de planques, et Madelyne savait qu’elle avait encore des prisonniers sous son contrôle, qu’elle torturait régulièrement.

Mais, pour l’heure, elle avait encore un test à faire. Curieusement, elle était décidée à faire confiance à cette femme, à lui donner sa chance. La magie noire était liée à la noirceur de l’âme. Plus un individu était mauvais, et plus il pouvait utiliser facilement la magie noire. Et puis, Madelyne n’avait de « reine » que le nom qu’elle se donnait. Elle avait bien besoin d’une garde du corps, d’une tueuse personnelle, pour la protéger, et éliminer ses rivaux potentiels. Madelyne était relativement amorale, ni spécialement bonne, ni vraiment mauvaise. Elle voyait juste chez cette femme deux qualités qui lui plaisaient : sa loyauté, et sa puissance.

C’est ce qui amena Madelyne à se concentrer, générant dans le creux de sa main une boule noire, une sphère énergétique qui se mit à tourbillonner sur place, avant qu’elle ne se retourne vers la femme.

« Voilà... Voyons voir... »

Madelyne lança soudain la boule sur la poitrine de la femme. Une douleur intense traversa alors le corps d’Ashley, dont les pupilles virèrent au noir. Tout le corps d’Ashley se mit à se tendre, et des éclairs scintillèrent autour de son corps. Madelyne usa alors de ses pouvoirs télépathiques pour calmer l’esprit d’Ashley, et, après plusieurs instants, le corps de la femme se stabilisa, une puissance terrible régnant en elle.

« Voilà... Je ne t’ai pas encore transformé en démone, mais tu disposes désormais de pouvoirs magiques. Rien de bien exceptionnel, mais suffisamment pour accomplir le petit test que je te prépare. »

La femme claqua alors des doigts, et le duo se téléporta. Elles délaissèrent l’Empire State Building pour rejoindre un toit à Harlem. Elles se trouvaient à côté d’une verrière donnant sur un garage.

« Voici un atelier clandestin... Les types qui sont là-dedans volent des voitures, et organisent ensuite tout un trafic de contrebande et de contrefaçon. Montre-moi comment tu arrives à gérer tes pouvoirs sur cette bande... Tue tous ceux qui sont là-dedans. »

Il y avait de simples gangsters, mais aussi plusieurs prostituées. Est-ce que cela suffirait à retenir Ashley ? C’était l’une des choses que Madelyne voulait voir... Jusqu’à quel point elle était impitoyable.

« Montre-moi de quoi est capable la Faucheuse. »

23
One Shot / Re : Long Live to the Queen[PV]
« le: mardi 10 octobre 2017, 08:23:08 »
Les X-Men ? Essex ? Des laquais au service des démons qui avaient fait de sa vie un enfer ? Les hypothèses se multipliaient dans l’esprit de Madelyne quand elle vit une silhouette approcher. Une étrange silhouette encapuchonnée portant un masque sinistre. Elle resta silencieuse, sourcils froncés, ne percevant aucune autre présence, et se prépara à un éventuel combat quand elle vit la mystérieuse créature s’avancer avec une faux... Puis l’intéressée la relâcha, et l’arme tomba sur le sol dans un cliquetis. La jeune femme mit alors un genou à terre, et se mit à lui parler avec le plus profond des respects et des dévouements.

*Qu’est-ce que... ?*

Madelyne, qui ne s’attendait pas vraiment à ça, se demanda alors si c’était un piège... Et sonda l’esprit de la femùme. Il ne fallait pas oublier qu’elle était le clone de Jean Grey, une télépathe dont les pouvoirs de télépathie égalaient ceux de Charles Xavier, même sans le Phénix. En quelques secondes, elle sut tout ce qu’elle avait à faire. L’esprit embrumé de cette femme était à ses yeux comme un livre ouvert, car elle la vénérait. Elle vit l’enfance d’Ashley, une enfance difficile, avec des parents en instance de divorce, qui se haïssaient, et se disputaient la garde leur enfant, chacun des deux manipulant leur fille en ce sens. Elle vit Ashley grandir, et souffrir d’une addiction à l’alcool. Une simple agente commerciale dans une entreprise, mais qui avait reçu plusieurs blâmes pour sa propension à évacuer sa frustration sur les secrétaires.

La vie d’Ashley avait pris un étonnant tournant lors d’Inferno. Étonnant, car Madleyne savait que, après les évènements ayant transformé New York en Enfer, Xavier avait usé du Cerebro pour effacer la mémoire des New Yorkais, avec l’aide du S.H.I.E.L.D. Et tout le monde préférait croire n’importe quelle version plutôt que celle d’une ville transformée provisoirement en Cercle infernal. Mais la télépathie de Xavier avait été inefficace pour Ashley. Pendant le siège, elle et Madelyne s’étaient brièvement croisées. Madelyne voyait la scène dans l’esprit d’Ashley, et voyait la manière dont Ashley la voyait. Plus qu’une femme, une véritable Déesse sombre, qui lui avait ordonné de traquer les ennemis qui s’étaient infiltrés dans son royaume. Avec d’autres démons, Ashley avait attaqué les X-Men à Central Park, mais avait échoué. Elle s’était ensuite réveillée de nouveau humaine, et sa dépression avait éclaté.

Officiellement, elle avait pu sauver son emploi, en devenant une commerciale plus respectueuse du règlement, mais, en réalité... Là encore, Madelyne vit tout. Ses meurtres, ses rapts... De son bref passage en démone, Ashley avait conservé certaines traces. Elle la vit tenter d’organiser des rituels sataniques pour ressusciter Madelyne. Elle avait fini par abandonner son poste, afin de se consacrer entièrement à sa nouvelle vie, et à son objectif : ressusciter Madelyne. Pour ça, elle avait enquêté sur les X-Men, mais sans jamais trop les approcher, et s’était même rendue à Anchorage, en Alaska... Là où Madelyne était née, là où Essex l’avait fabriqué. Un tel dévouement avait quelque chose de très impressionnant.

Et, à chaque fois, la mort émaillait les traces de la Faucheuse. Madelyne la vit notamment massacrer l’intégralité d’une famille dans une ferme reculée, les torturant longuement pour espérer invoquer sa nature démoniaque.

« Tu n’as aucun pouvoir magique en toi, Ashley... Comment voulais-tu te transformer en démone dans ces conditions ? »

Voilà ce que Madelyne dit après avoir terminé de sonder l’esprit d’Ashley. On aurait pu croire que cela lui aurait pris des heures, mais elle ne mit que quelques secondes... Et adopta dans la foulée sa tenue de Goblin Queen. La Reine se tenait ainsi, devant Ashley.

« Je dois admettre que je n’avais encore jamais vu quelqu’un comme toi. Je ne sais si je dois m’en sentir effrayée... Ou impressionnée. Relève-toi. »

L’intéressée obtempéra, bien entendu, et la main de Madelyne caressa délicatement son visage, avant que ses lèvres ne s’approchent des siennes, donnant lieu à un baiser.

« Tu as renoncé à ton humanité pour retrouver ce que tu as ressenti en étant une démone... Ce sentiment de vivre, de compter enfin pour quelqu’un. Ce pouvoir que tu as ressenti, ces sensations... Je peux te les restituer. »

Oui, elle pouvait lui redonner les pouvoirs et la puissance qu’elle avait eu auparavant.

« Tu risques même d’être encore plus forte qu’avant, vu combien ton âme est noire... Une âme parfaite pour l’apprentissage de la magie noire. Mais... Dois-je craindre cela ? Qu’est-ce que tu vénères autant ? Ma personne ? Ou le fait d’être puissante ? Que cherches-tu vraiment, Ashley ? Me servir... Ou devenir puissante ? »

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Centre-ville de Seikusu / Re : La Divine Esclave [Divine Karlberg]
« le: lundi 09 octobre 2017, 00:43:32 »
Si, bien évidemment, Madelyne n’était pas sérieuse sur le bienfondé de ce qu’elle reprochait à Divine, c’était loin d’être le cas pour la jeune femme, qui était bien plus nerveuse qu’elle. Quoi de plus surprenant, après tout ? Divine était comme ça... Tout en se tenant dans son dos, Madelyne comprit que jamais sa favorite ne la trahirait, mais aussi qu’elle allait devoir manier avec parcimonie l’ironie avec elle. Divine avait été éduquée pour ne jamais décevoir la personne qu’elle serait appelée à servir, et ce à tel point qu’elle était tout simplement incapable d’envisager le second degré. Que Madelyne ose ouvrir la bouche pour lui reprocher n’importe quoi, et Divine paniquerait avec toute la sincérité du monde. En réalité... Maddie trouvait ça amusant. Un léger sourire moqueur se dessina sur ses lèvres, tandis que ses yeux se mirent à briller d’envie.

*C’est amusant... Mais voyons jusqu’où je peux te pousser dans tes retranchements, Divine... Oui, tu es très maniérée, comme un délicieux cristal, mais... Je suis démoniaque, moi, mon petit cœur !* songea-t-elle en son for intérieur.

Et que serait le sexe, sans vulgarité ? Le fouet claqua donc, et le délicieux hurlement de Divine enivra les sens de Madelyne, rebondissant avec délectation dans le creux de ses oreilles. Divine parla alors, et Madelyne sourit en l’entendant dire « bite ». Divine jura de goûter tout le foutre de sa Maîtresse « à l’avenir », et Madelyne hocha la tête.

« Boire tout mon foutre ? Et même plus ? Tu sais... Après avoir joui, il m’arrive d’uriner, petite catin... »

Et le fouet vint à nouveau claquer, s’abattant sur le milieu du dos de Divine, pendant que Madelyne lui faisait miroiter des sommets d’indécence et de vulgarité, tant verbale que corporelle. Boire de l’urine... Divine était-elle prête à ça ? Mais, si l’ordre venait de sa Maîtresse... Jusqu’où était-elle capable d’aller ? Au-delà de cette petite punition, Madelyne voulait, justement, s’en assurer. Le fouet s’abattit donc une troisième fois, déclenchant à chaque fois ces délicieux hurlements, qui faisaient frémir Madelyne. La belle rousse s’en pinçait les lèvres.

Le cœur bondissant dans sa poitrine, elle commençait à ressentir une attirance de plus en plus forte pour sa favorite. Elle avait vraiment bien choisi en s’adressant aux Karlberg !

« Tu as été élevée pour être une esclave de luxe, Divine. Le sexe n’est que l’un de tes nombreux attributs. Tu as été élevée comme une véritable geisha moderne... Et, pourtant, je te punis pour ne pas avoir bu tout mon foutre. Alors, tu sais ce que ça fait de toi ? Tu es ma favorite, mais, là, maintenant... Tu es ma chienne ! »

Relâchant le fouet, elle se glissa dans le dos de la femme, et gifla ses fesses d’une main, tout en approchant son visage de celui de Divine, venant murmurer quelques propos salaces dans le creux de son oreille :

« Ma petite pute, une salope que je vais fourrer comme la dernière des chiennes, toi et ton petit cul... Tu entends, ma chérie ? Je vais t’enculer bien fort, te faire couiner comme une grosse truie... Car c’est ce que tu es. Ma favorite, oui, mais aussi... Une pute ! »

Elle pinça alors l’une des fesses de Divine, enfonçant ses ongles dans sa chair, la comprimant pendant quelques secondes, son ton se faisant plus autoritaire, plus sensuel aussi :

« Dis-le... Dis que tu es une belle petite pute, une salope insatiable qui boira tout ce que sa Maîtresse lui foutra dans la bouche, et qui jouira à l’idée de se faire insulter, d’être sa salope et grosse chienne... Dis-le ! »

Tant de mots si sales, si grossiers... Au moins, il n’y avait pas de doutes à avoir sur la très forte perversion de Madelyne. Mais était-ce si surprenant ? On ne pouvait pas passer autant d’années en Enfer sans en être marquée à quelque degré que ce soit...

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One Shot / Re : Long Live to the Queen[PV]
« le: lundi 09 octobre 2017, 00:43:12 »
New York – Times Square

Personne ne faisait attention à elle dans cette étouffante jungle urbaine. Portant une tenue urbaine très moulante et très serrée,  avec une cape, Madelyne ressemblait à une Reine perdue à New York, un peu comme cet Anglais perdu à New York de Sting... Et, là, tandis qu’elle observait les écrans géants tout autour d’elle, elle se rappelait encore ce moment... Cette fameuse séquence... L’Inferno. Madelyne se rappela la Times Square qu’elle avait créé, quand elle avait ouvert un Portail infernal, et libéré sur New York des nuées de démons.

C’était une autre histoire, une autre époque. À cette période, Madelyne ignorait encore ce qu’elle était vraiment, qu’elle était le clone de Jean Grey, une expérience ratée de Nathaniel Essex. Un pion créé par Essex pour s’emparer de son enfant. Dès l’origine, Essex avait noté que Cyclope et Jean Grey étaient deux mutants extraordinairement puissants, et que le fruit de leur union donnerait naissance à un enfant dont il avait toujours voulu s’emparer. Quand Jean était petite, Essex s’était rapprochée d’elle, se faisant passer pour un docteur, bien décidé à la soigner... Il aurait alors pu s’emparer d’elle, mais en avait été empêché par Xavier, qui avait également senti la puissance exceptionnelle de Jean. Plutôt que de se heurter à une confrontation avec le mutant télépathe, Mister Sinistre avait choisi d’utiliser les prélèvements sanguins qu’il avait fait de Jean pour faire un clone d’elle, et pouvoir l’étudier. Las, Madelyne n’avait jamais été qu’une coquille vide. Il avait fallu attendre que Jean Grey devienne le Phénix Noir, et ne soit laissée pour morte, pour que Madelyne prenne vie. Mais, à ce moment, le laboratoire où elle avait été créée avait été déserté par Essex. Le Phénix avait donné vie à Madelyne, et elle avait croisé le chemin de Scott.

Elle l’avait aimé... Tant et si bien qu’ils s’étaient mariés. À l’époque, Maddie n’avait jamais compris l’origine de ce coup de foudre. Elle et Scott s’étaient mariés, et avaient même eu un enfant. À ce moment, Scott s’était éloigné des X-Men, mais les avait ensuite retrouvés, notamment à travers l’agence X-Factor, une organisation gouvernementale chargée d’aider au rapprochement entre mutants et humains. À ce titre, Madelyne, qui était alors considérée comme une humaine, devint une parfaite agente de liaison, très investie, amoureuse, et motivée. Des pensées futiles et vaines, car, quand les Quatre Fantastiques avaient retrouvé le corps de Jean Grey dans l’Hudson River, et avaient constaté qu’elle était toujours en vie, son idylle avec Scott s’était brisé. Parallèlement, les mutants avaient dû affronter de redoutables menaces, qui avaient provoqué une séparation entre les X-Men, en amenant plusieurs à vivre en Australie, dont Madelyne. Scott avait alors cru que sa femme était morte, et s’était donc rapproché, sans honte, de Jean.

Finalement, la résurrection de Jean avait aussi amené Madelyne à développer ses pouvoirs. Elle avait vu les infidélités de Scott, et le démon S’ym en avait profité pour lui faire un marché. Madelyne était alors également traquée par les Maraudeurs de Sinistre, une équipe de tueurs mutants qu’Essex avait déployé pour tuer le clone de Maddie, qui était alors plus une gêne qu’autre chose, mais surtout pour s’emparer du bébé. Madelyne avait alors appris qu’elle n’était qu’un clone, que son amour pour Scott était factice, soit lié à ses gènes, soit à la force Phénix qui pulsait en elle. Désemparée, désespérée, elle avait été manipulée par des démons, et avait, en conséquence, créé Inferno.

Inferno... Littéralement l’Enfer sur Terre. Madelyne n’avait pas fait qu’envoyer des démons, elle avait aussi mélangé sa télépathie à une magie noire de très haut niveau, puisque l’Enfer avait corrompu la matière et les habitants. Les New Yorkais s’étaient transformés en démons, et même les immeubles avaient pris une tournure infernale, les bouches d’égout se transformant en monstres carnivores, les fenêtres et les portes des immeubles se dotant de dents et de griffes tranchantes. Dévorée par la haine, consumée par la jalousie, Madelyne avait fait de l’Empire State Building une haute tour infernale noir, d’où elle dominait son royaume, et avait usé de ses pouvoirs pour faire du frère de Scott, Havok, son chevalier servant et bien-aimé. Manipulée par les démons, elle voulait alors récupérer son bébé, Nathan, pour le sacrifier, et ainsi ouvrir davantage la Porte, pour que la Terre entière soit corrompue par les Limbes.

Son plan avait cependant échoué. Elle avait affronté Jean Grey, et, dans un ultime sursaut de conscience, en réalisant ce qu’elle faisait, qu’elle allait sacrifier son enfant, Madelyne... Madelyne avait laissé Jean Grey récupérer la force Phénix en elle,e t était morte. Ce faisant, le plan des démons avait échoué, et New York avait retrouvé son apparence usuelle. Et, si les habitants avaient choisi d’oublier cette séquence, il y avait manifestement une exception en ville.

*Une exception qui justifie que je retourne ici...*

Récemment, Madelyne avait reçu des informations, sur un mystérieux informateur à New York, qui aurait des éléments sur Mister Sinistre. L’informateur lui avait donné rendez-vous à un lieu fatidique, qui l’amenait à s’approcher de l’Empire State Building.

*Là où tout s’est terminé...*

Madelyne s’avança donc jusqu’à se retrouver devant ce bâtiment immense. Depuis la chute des Twin Towers, il était redevenu le plus grand bâtiment de la ville. Mais, quand elle en avait pris le contrôle, cette tour avait été encore plus grande, immense et majestueuse. Et maintenant...

*Impossible que ce soit une piège des X-Men... Qui cela peut-il être ?*

La mutante s’envola alors, l’Empire State Building étant bien évidemment fermé au public, et fila le long de la devanture du gratte-ciel, jusqu’à se poser sur le toit, contournant le grillage entourant le couloir réservé aux touristes. Un vent fort faisait légèrement virevolter les cheveux, et elle s’avança lentement.

*C’est ici que je suis morte...*

Qui l’avait appelé ? Essex ? Tout était possible, et Madleyne était évidemment sur ses gardes...

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Centre-ville de Seikusu / Re : La Divine Esclave [Divine Karlberg]
« le: lundi 02 octobre 2017, 01:17:27 »
Sans doute y avait-il, chez Madelyne, un fond de bipolarité. Elle pouvait se montrer d’une cruauté extrême, suffisamment pour avoir été, dans le passé, jusqu’à sacrifier son propre bébé afin d’ouvrir entre la Terre et les Enfers un Portail permanent... Mais aussi particulièrement douce et affectueuse, comme elle l’avait jadis été avec son ancien époux, ou comme elle l’était en ce moment avec Divine... Et ce alors qu’elle l’avait sodomisé assez énergiquement, et lui avait fait présenter l’un de ses Gobelins, avec, visiblement, des fantasmes dont Divine n’avait pas encore idée... Et là, c’était tout l’inverse. Madelyne, à son corps défendant, découvrait dans son corps un plaisir qui remontait à des années, un plaisir qu’elle avait ressenti quand elle s’était mariée avec Scott, qu’ils avaient été dans son chalet à Anchorage, en Alaska, et qu’ils avaient fait l’amour. Et, alors que Divine se frottait contre elle, visiblement surprise par cet élan de tendresse, Madelyne ferma les yeux en se rappelant quand ils avaient fait l’amiur sur une peau de bête, devant un feu de cheminée, alors que, dehors, le soleil commençait à se coucher. Scott l’avait pénétré avec vigueur, et elle avait hurlé, en ayant un orgasme pour la première fois, et en se sentant enfin... Vivre. Et, alors qu’elle avait eu son orgasme, étalée sur la peau de bête, elle s’était sentie soulagée de tous les poids pesant sur elle, comme si son esprit avait pu enfin se heurter avec cette chose, malléable, indescriptible, incorporelle, ce sentiment d’être vivante, d’embrasser la vie, d’être sereine... Et c’était ça, très précisément, ce sentiment d’allégresse, qu’elle ressentait en ce moment.

Elle n’avait pas pu lutter, tout simplement. Cette vague l’avait traversé, mais elle la reflua. Non... Elle n’était plus la jeune idiote écervelée qui avait cru aimer Scott. Le sentiment qu’elle ressentait envers Scott n’avait été qu’un amour factice, trompeur, lié au fait qu’elle était, à l’origine, la clone de son premier amour, Jean Grey.

*Je ne peux pas me fier à ces souvenirs mensongers, mais à ceux que je ressens actuellement...(/i]*

La Reine rouvrit les yeux quand Divine, en se lovant contre elle, lui signala qu’elle avait été salie dans le dos. Visiblement, il y avait trop de guimauve pour Divine dans cette scène, et Madelyne sourit alors, une lueur malicieuse venant brûler dans ses yeux. Non... La Madelyne idiote n’était pas morte, mais elle n’était qu’une partie de la Goblin Queen. La femme ne pouvait pas se définir uniquement en prenant ce référentiel comme base.

« Ah oui... Tu crois ? Moi, je crois surtout que tu t’es mal positionnée, ou tu aurais réceptionné tout mon sperme en toi. »

Madelyne posa sa main sur le menton de Divine, remontant son visage, et la regarda silencieusement, mi-sévère, mi-amusée.

« Et, vu comment tu le dis... J’ai l’impression que ça sonne comme un reproche, non ? Depuis quand une favorite se permet-elle de critiquer quoi que ce soit émanant de sa Maîtresse, hm ? Moi, je crois surtout que tu as besoin d’une punition... Mais pas avant que je ne te lave, puisque tu as été négligente... »

On aurait pu croire que le reproche était sérieux, mais il suffisait de percevoir le ton de Madelyne pour constater que, tout ce qu’elle cherchait, ça n’était qu’un prétexte. Elle se décala lentement, et ordonna à Divine de rester couchée sur le ventre. La belle rousse se redressa ainsi, étirant son corps, faisant craquer ses articulations à hauteur de ses côtés, et soupira légèrement, avant de se mettre à califourchon au-dessus de sa favorite... Et se fit la réflexion première que, que ce soit de face ou de dos, elle était... Somptueuse. Madelyne en resta coite pendant quelques secondes, comme si elle peinait encore à croire qu’une simple humaine puisse se montrer si belle, avec un corps aux formes si harmonieuses.

Son dos était zébré de filaments de sperme, qui partaient de ses fesses, et formaient des traînées blanchâtres sur son corps. Du sperme coulait également des fesses de Divine, s’évacuant de son petit trou, qui était encore bien déformé, pour glisser le long de ses cuisses. Plusieurs idées commencèrent déjà à germer dans l’esprit de la femme, qui sourit lentement, et se pencha vers elle.

« Oui, tu as vraiment laissé s’échapper beaucoup de sperme. À croire que ton corps n’apprécie pas le foutre de ta Maîtresse... Mais je ne vais pas gâcher ça, oh non ! »

Madelyne se pencha alors, et avança sa bouche... Puis lécha les traînées situées sur le dos de Divine, pendant que sa télékinésie continuait à agir. Divine sentit alors des fourmillements le long de son fondement, et le sperme, qui glissait sur son corps, se décolla alors, comme s’il était aimanté par quelque chose. Sa belle blonde ne pouvait pas le voir, mais ce liquide intime se glissa dans plusieurs verres à pied dorées que Madelyne avait appelé.

« Hmmm... Haaaa... »

Elle léchait lentement le dos de Divine, avalant le sperme, son sperme, mais en profitait aussi pour racler son dos avec ses dents, sentant au plus près sa magnifique peau. Elle déposait ensuite plusieurs baisers, tout en posant ses mains sur les hanches de la femme, en appui, caressant et grattant les formes de la femme.

Plusieurs minutes s’écoulèrent ainsi, tandis que le sperme affluait, mélangé à la mouille de Divine, remplissant, non seulement deux verres, mais aussi une théière, le tout sur un plateau d’argent suspendu en l’air. Et, quand la collecte fut terminée, Madelyne, qui en avait largement profité pour lécher le reste du dos de la femme, termina en embrassant chacune des fesses de son esclave... Puis se releva.

Des sangles apparurent alors, et s’enroulèrent autour des poignets de la jeune fille, la clouant aux barreaux du lit, puis Madelyne se releva enfin, et généra dans sa main un fouet... Qu’elle fit claquer dans le vide, provoquant le son tant caractéristique du fouet, ce bang supersonique que le fouet faisait en fouettant l’air. Bien sûr, il n’était pas tranchant, spécialement pensé pour.

« Bon... Avant de passer à l’heure du thé, c’est l’heure de la punition. Disons... Dix coups de fouets. Et, à chaque fois que je te fouetterai, je veux que tu t’excuses, que tu implores ma pitié... Plus tu seras convaincante, et plus je serais encline à te pardonner. N’hésite pas à employer des mots crus ou salaces, fais parler ton imagination... »

Madelyne sourit malicieusement, curieuse de voir ce que Divine allait bien pouvoir trouver... Puis abattit alors le fouet une première fois, le claquant en plein sur le délicieux postérieur de son esclave...

*TCHAAAACC !!*

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Centre-ville de Seikusu / Re : La Divine Esclave [Divine Karlberg]
« le: dimanche 24 septembre 2017, 22:59:50 »
Madelyne était en pleine activité, à redécouvrir des plaisirs immenses, jouissifs et terribles, de la sodomie. Tout son corps frissonnait, vibrant en harmonie. Ses mains se crispaient sur les hanches de la femme, remontant pour caresser et gratter sa peau, surtout ses fesses, ses belles petites fesses rondes et tendres. La Goblin Queen retrouvait la vie, mordant dedans à pleines dents, au gré des coups de butoir qu’elle infligeait à la jeune femme. Sa favorite se tortillait sur place, couinant et gémissant, laissant tout son plaisir s’exprimer, pendant que Madelyne, pour mieux profiter du moment, les empêchait toutes les deux de jouir, retenant le plaisir, comme une main invisible qui serrerait la bride du plaisir, et ne la relâcherait qu’en temps voulu.

« Hmmmm... Haaaaa... »

Ha ! Ha ! Quel plaisir ! Vraiment, Madelyne aurait pu rester comme ça indéfiniment, à la prendre, à lui défoncer son beau petit cul, pendant des heures et des heures... Elle en était convaincue, traversée par cette ivresse qui venait avec le désir, cette joie insondable et immense qui lui rappelait combien, ô combien, elle était vivante ! Ah, cette sensation, cette joie, cette... Cette vague ! Madelyne soupira encore, fila en arrière, puis donna encore des coups de reins.

« Di-Divine, haaaa... »

C’en était... C’en était trop ! Madelyne n’arrivait plus à se retenir, elle ne parvenait plus à refréner ses ardeurs, contrôler ses pulsions, retenir cette vague, cette tornade qui enflait en elle, et qui l’emportait. Elle serra encore les dents, ses muscles se crispèrent... Et son corps se relâcha enfin ! Madelyne relâcha la bride, et le désir éclata, dans un cri silencieux. Ses doigts pincèrent douloureusement le fessier de Divine, chaque main se crispant sur son cul. Une immense vague la traversa, un plaisir incroyable, indescriptible, tellement... Tellement... !

Madelyne se mit à jouir, longuement, joyeusement, ayant l’impression qu’un torrent ardent explosait entre ses cuisses. Elle ne prit en réalité même pas conscience qu’elle avait longuement hurlé au début, avant de rester silencieuse, son cri coupé par une vague immense de plaisir. Un plaisir qui la traversa de part en part, irradia dans tout son être. Elle se relâcha donc en elle, jouissant longuement et généreusement, déversant son nectar blanc dans le corps de la femme, et se calma ensuite progressivement, la respiration lourde.

La jeune rouquine sentait tout un poids s’effondrer, se diluant, et, tandis qu’elle reprenait ses esprits, une onde de bonheur l’imprégnait, comme jamais auparavant. Divine allait alors pouvoir constater un phénomène très intéressant : sous l’effet du plaisir, de l’orgasme, Madelyne... Madelyne se détendait. Elle était plus sereine que jamais, et, surtout, plus affectueuse et plus douce que tout ce qu’on pouvait imaginer. C’était comme si, sous l’effet de son orgasme, l’ancienne Madelyne, cette femme douce et bienveillante qui avait un jour été mariée, se réveillait.

Elle retira son sexe du corps de sa favorite, et se coucha sur le lit, en l’emmenant avec elle.

« Ma petite chérie... »

Madelyne s’étala sur le lit, avec Divine à côté d’elle, les deux posées sur leurs flancs, et lui sourit tendrement, avant de l’embrasser.

« J’avais oublié à quel point le sexe était bon... J’espère que je ne t’ai pas trop fait mal, mon petit cœur, je me laisse parfois aller... »

Elle lui caressait son corps, en sachant qu’elle avait serré ses fesses au point de les griffer. Peut-être que Divine avait hurlé de douleur ? Madelyne avait du mal à le réaliser, tant... Tant tout ça l’avait transcendé. Mais elle savait que sa Divine avait joui, car elle pouvait sentir, contre ses cuisses, le délicieux liquide intime de la femme. La respiration lourde, haletante, avec de la sueur sur son corps, Madelyne serra le corps de Divine contre le sien. Et, sans doute à la surprise de la jeune femme, alors que Maddie l’embrassait dans le creux du cou, elle murmura, contre son oreille :

« Merci... »

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Centre-ville de Seikusu / Re : La Divine Esclave [Divine Karlberg]
« le: lundi 11 septembre 2017, 01:17:19 »
Madelyne la pénétrait vigoureusement et énergiquement. Elle était une amante redoutable. La Goblin Queen était sans aucun doute très largement à la hauteur de toutes ces heures d’attente, de souffrance, et de frustration. Et Madelyne, en tout cas, adorait vraiment coucher avec Divine. Sa verge s’était plantée dans ses fesses, remuant en elle, de plus en plus rapidement, mais surtout de plus en plus profondément. Maddie gémissait longuement, encore et encore, donnant à son corps un rythme soutenu, et à ses pénétrations une intensité jouissive. Divine se laissait aller, ne se retenant plus, et, tout en soupirant, et en parlant pour motiver sa Maîtresse (qui n’avait en réalité pas spécialement besoin de ça, étant déjà très excitée), Divine tendit sa main vers elle. Maddie en sourit, et serra ses doigts contre les siens, mêlant ainsi, au milieu de toute cette luxure, une étonnante touche de douceur et de tendresse.

Car intense, cette sodomie l’était... De plus en plus, en tout cas. Madelyne ne la prenait pas par le dos de la cuiller, et accélérait, encore, encore et encore. Plus le temps passait, et plus les parois anales de Divine s’écartaient, facilitant ainsi ses pénétrations. La Reine accélérait donc, baisant avec joie sa favorite, redécouvrant ces sensations exquises dont, bien trop longtemps, son corps avait été privé. Mais quelles sensations exactement ? Comment, en effet, définir le plaisir qu’elle ressentait ? Comment exprimer, par des mots, cette pulsion ? Il y avait tant de façons de le dire. On pouvait parler de la petitesse de ce corps, du plaisir inné qu’il y avait à s’enfoncer en elle, du plaisir ancestral du sexe... Mais, la vérité, c’est qu’il n’y avait aucune logique derrière, aucune explication cohérente. Le sexe, c’était un plaisir ancestral, une sorte de sphère qui échappait à toute logique, à toute règle, à toute convention sociale. C’était comme un ascenseur en arrière, un puits qui réduisait l’Homme à sa partie la plus primaire et la plus bestiale, comme une forme d’égalité universelle commune à tous les hommes. Que ce soit Madelyne ou Divine, la Maîtresse ou l’Esclave, elles étaient toutes les deux sujettes aux mêmes pulsions. Ainsi, et c’était là la conclusion que Madelyne en tirait, le sexe était bon, parce que le sexe vous faisait sentir vivants.

« Hmmm... »

Fermant les yeux, elle serra ses doigts sur ceux de Divine, et appuya avec son autre main sur son corps. Son appui était légèrement déstabilisé, mais elle était prise dans un tel engrenage que rien ne semblait devoir l’arrêter. Le corps de Divine, remué par le sien, filait d’avant en arrière, sans relâche, ses cheveux virevoltant dans tous les sens. Ah, ça, Maddie ne l’épargnait pas, et, au bout d’un moment, elle dut même relâcher les doigts de sa favorite, afin de raffermir sa prise sur ses fesses, et amplifier encore les coups de reins, retirant longuement sa verge, afin de l’enfoncer d’un coup sec, faisant claquer ses bourses contre ses fesses. Madelyne imposait ainsi à la jeune femme un rythme soutenu et lourd, tout en gémissant et en soupirant, allant même jusqu’à se courber dans son dos.

« Di-Divine, haaaa... »

Maddie sentait la femme approcher de l’orgasme, mais... Sa télépathie influa encore, en retenant le plaisir suprême de venir. Instinctivement, elle bloquait Divine, par le biais de suggestions mentales inconscientes, pour la frustrer davantage.

« Hmmmm.... Haaaaa... Hmmmmmm... »

Madelyne jouait un peu avec Divine, en la poussant dans ses retranchements, mais c’était bien normal. Elle allait lui offrir un magnifique orgasme anal. Divine ne le réalisait sans doute pas, mais, au-delà du plaisir purement sexuel, Maddie était aussi en train de prendre définitivement le contrôle sur elle. Par le biais de ses pulsions sexuelles, elle allait pouvoir, ensuite, jouer avec les pulsions de Divine, et ainsi déclencher volontiers des orgasmes à distance.

« Lààààà, hmmmm... !! »

Pour autant, Madelyne n’allait pas la priver ad vitam æternam de son orgasme, mais elle voulait la pousser dans ses ultimes limites, afin que son orgasme anal soit tout simplement à la hauteur de ses attentes...

...Anthologique.

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Centre-ville de Seikusu / Re : La Divine Esclave [Divine Karlberg]
« le: lundi 04 septembre 2017, 01:11:45 »
Le sexe... Un plaisir simple à comprendre, facile à appréhender, mais terriblement délicieux. Existait-il seulement plaisir plus grand dans le monde ? C’était presque une forme d’ironie, quand on savait tout ce que l’Homme avait inventé (la musique, le cinéma, la littérature) pour se divertir... Car tout cela n’était rien face au plaisir suprême, au désir sexuel. Il était donc fascinant de le constater, et Madelyne le ressentait à nouveau, après tant d’années. Enfin, elle ressentait cette ivresse, cette soif, ce sentiment d’aliénation qui s’emparait de son corps. Une sensation ô combien excitante, ô combien agréable, qui faisait frémir tout son corps, tandis que sa queue tapait contre le fondement de Divine, et se glissait profondément en elle. Sa favorite se tortilla sur place, en sentant la présence de ce gros membre, qui s’aventura en elle, explorant ce fessier qui n’avait encore jamais été exploré, pendant que la Goblin Queen, elle, tremblait de partout, frissonnant, retenant difficilement ses pensées. Divine pouvait ainsi sentir le torrent d’euphorie qui s’échappa de l’esprit de Madelyne. Est-ce cela qui précipita son orgasme ? Savoir que, inconsciemment, sa Maîtresse était très heureuse d’elle ? Sentir que Madelyne comptait bel et bien la conserver au plus près d’elle, et faire d’elle sa favorite à jamais ? Fût-ce là le coup de grâce, après tant de minutes et tant d’attente ? Toujours est-il que, peu importe la raison, Divine jouit très rapidement, atteignant un premier orgasme, alors que Madelyne en était encore à s’enfoncer laborieusement dans ce corps étroit.

Un corps très étroit, en effet, mais qui, par les miracles de l’anatomie humaine, s’élargissait progressivement, au fur et à mesure que la queue de Maddie croissait en elle, s’enfonçant de plus en plus profondément dans son corps. Elle s’arrêta néanmoins sur place suite à cet orgasme. Ses mains, pendant les premières secondes, s’étaient crispées nerveusement sur le corps de Divine, pinçant sa peau, et elle se détendit peu à peu, surtout quand Divine eut un orgasme. Le corps de Madelyne se calma, sa respiration se stabilisa légèrement, et un sourire glissa sur ses lèvres quand Divine s’excusa d’avoir joui.

« Oh, ne t’inquiète pas, hmmm... Tu jouiras a-avec moi, hmmm... Mais...Tu peux jouir avant ! »

Et c’était même... Mieux. Très flatteur, en tout cas. Madelyne accéléra  alors, reprenant ses coups de reins. Il fallait bien admettre que, pendant les minutes qui suivirent, elle ne parlait peu, comme si l’acte chassait les mots. Elle s’enfonçait dans le corps de Divine, élargissant de plus en plus son anus, déformant ses parois, facilitant ainsi l’accès de sa verge en elle. Elle gagnait petit à petit, centimètre par centimètre, comme une véritable bataille. Elle était comme une armée partant à l’assaut d’une forteresse, et rentrait par un corps de garde très étroit, qu’elle élargissait à coup de bélier. Le corps de Divine remuait d’avant en arrière, ses beaux cheveux dorés virevoltant en esquivant les coups de reins de Maddie. Sa Maîtresse se montrait plutôt douée, comblant efficacement son manque d’inexpérience.

Encore une fois, elle comptait user de ses pouvoirs au mieux, s’en servant sur elle, non seulement pour restreindre son envie de jouir, mais aussi sur Divine, pour la perturber davantage. Madelyne soupira encore, et la pénétra longuement. Elle ne dit rien pendant un certain temps, afin de se concentrer sur ses pénétrations, sur sa sodomie, sans rien dire, simplement pour savourer, pour apprécier, et pour ce faire à ce corps parfait. Ses mains continuaient à caresser et à glisser sur les fesses de la femme, les pinçant parfois, le corps de Madleyne filant d’avant en arrière, jusqu’à ce que, progressivement, sa queue ne file totalement en elle.

« Hmmm... Haaaa... Vas... Vas-y, Di-Divine, hmmm... Hu-Hurle ton plaisir, haaaa... Hurle, ma délicieuse catin, régale-moi de tes hurlements, motive-moi à te baiser plus fort encore ! »

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Centre-ville de Seikusu / Re : La Divine Esclave [Divine Karlberg]
« le: vendredi 01 septembre 2017, 07:57:46 »
La belle Divine était en transe, le désir croissant progressivement en elle, sans qu’elle ne puisse le retenir. En réalité, le désir était en train de la submerger, tout comme il remplissait Madelyne. Elle pouvait encore se dire qu’elle prenait son temps uniquement pour préparer Divine, mais... Il y avait autre chose derrière. Cette ivresse... Elle voulait la sentir remuer en elle, s’imprégner dans ses veines, la faire vibrer. Le désir était comme une délicieuse drogue, l’empêchant de réfléchir consciencieusement, lui rappelant que l’organisme n’était pas fait que de raison, mais aussi d’une dose d’illogisme, d’irrationalité, qui s’exprimait le mieux à travers le désir, la passion, les émotions... Soit tout ce que Madelyne ressentait en ce moment, tandis que, agenouillée derrière sa favorite, elle léchait longuement sa croupe, se concentrant de plus en plus sur son fondement, écartant les parois roses de son petit trou, ce délicat orifice tendre et étroit, avec sa langue. Lentement, elle léchait cette zone, et, tout aussi lentement, les parois se dilataient, sur quelques millimètres, mais facilitant le passage.

Néanmoins, si la situation devenait de plus en plus difficile à soutenir pour Madelyne, c’était encore pire pour Divine. Elle avait passé une bonne partie de sa vie, de son conditionnement, à attendre ce moment, à le désirer. Celui où elle s’offrirait à son Maître ou à sa Maîtresse. Les Karlbergs ne l’avaient éduqué que dans le but de se sacrifier pour l’autre, et, si Divine savait employer les mots juste pour flatter la magnificence de Maddie, elle était aussi à bout. Même la manière dont elle avait de supplier la Goblin Queen de passer enfin à l’acte principal était, somme toute, tournée de manière à l’exciter davantage plutôt qu’à lui donner un ordre.

« Oui, je sens bien que ma belle favorite n’en peut plus... »

Madelyne le sentait en déplaçant parfois l’une de ses mains de son fessier, venant caresser la cuisse de Divine, sentant toute la mouille qui coulait. Elle s’amusait alors à en recueillir avec ses doigts, puis à les sucer. Elle devait bien admettre ne rien sentir en particulier, faute de prendre des proportions suffisantes, mais, même malgré ça, ce contact ne manquait pas de l’exciter. Et Divine, elle, de se tortiller...

Soudain, une force supérieure s’empara de ses bras, comme si des fils invisibles venaient de s’enrouler autour, afin de les commander. Divine, qui s’était peu à peu affaissée sur le lit pour pouvoir se caresser, sentit ses mains se redresser, et reprendre appui sur le lit, afin qu’elle se dresse à nouveau bien droite, à quatre pattes sur le lit, en position de levrette. Encore une fois, Divine découvrait l’étendue des pouvoirs de Madelyne, d’autant plus impressionnants que, cette fois, Madelyne avait agi de manière presque inconscient. Elle avait juste voulu que Divine se mette en position souhaitée, sans même le lui ordonner, et ceci avait suffi. Soit le désir que Madelyne ressentait l’amenait à utiliser plus intuitivement ses pouvoirs, soit le lien qui existait entre elle et sa favorite commençait déjà à se nouer de telle façon que l’esprit de Divine se soumettait bien plus facilement au sien.

Dans tous les cas, Divine se mit à quatre pattes, et Madelyne se releva. Elle respira lentement, son bassin contre les fesses de la femme. Ses mains caressèrent ses hanches, et s’y appuyèrent, tandis que, fermant les yeux, elle se concentra, puisant dans les sortilèges magiques qu’elle avait appris. Madelyne avait peu l’habitude de le faire ça, mais des succubes le lui avaient appris. Elle se pinça alors les lèvres en gémissant pendant plusieurs secondes. Divine aurait même pu craindre que quelque chose de douloureux n’arrive à sa Maîtresse... Avant que cette dernière ne soupire.

« Hmmmm... Haaaaaa... !! »

Ses mains pincèrent les hanches tendres de Divine, elle hurla... Et quelque chose de gros vint brusquement buter contre le postérieur de Divine, tandis que le corps de Madelyne sembla être secoué par une sorte de coup de fouet. Reprenant ses esprits, Madelyne baissa les yeux, et contempla son nouvel appendice... Appendice que Divine devait certainement deviner au vu de sa forme longue et courbée, dressée vers le haut. Soupirant abondamment, Madelyne venait de faire sortir sa verge, un délicieux membre phallique comprenant, outre la verge en elle-même (par ailleurs recouverte de sa mouille, et donc lubrifiée), belle tige de chair veineuse pointant en hauteur, deux testicules, des bourses qui caressaient déjà les fesses de la femme.

« Je... Je ne l’ai encore jamais utilisé sur... Sur quelqu’un, hmmm... Pour moi aussi, Di-Divine, ce... Ce sera une pre-première... ! »

Madelyne devait reprendre son souffle, et se décala ensuite, tout en rabaissant son sexe, orientant sa verge vers le fondement de la femme. Ses doigts se glissèrent à droite et à gauche de sa croupe, et écartèrent sa peau, facilitant ainsi l’accès à son trou rose. Tant de patience, et la récompense approchait, centimètre par centimètre, millimètre par millimètre... La queue caressa la peau de Divine, remuant dessus, se redressant, et Madelyne se retira encore, usant de sa télékinésie pour abaisser ou relever son sexe, l’orientant ainsi vers le trou de la femme.

En soupirant encore, elle approcha sa queue, et heurta le délicat trou de la femme. Un long frisson la traversa... Puis ses mains se crispèrent à nouveau, prenant appui sur le corps et sur la chair de sa favorite, et, enfin, elle avança ses hanches. Une forte résistance s’empara de son corps quand elle buta contre le fondement de Divine. Madelyne grogna, et se recula, puis tapa à nouveau, sentant encore la résistance de ce corps.

« Hmmmm... Si... Si étroite... ! »

Cette sodomie promettait d’être aussi longue qu’intense, et, lentement, Madelyne s’enfonçait en elle, griffant ou pinçant les fesses de Divine en sentant l’effort déployé, comme une terrible vague qui était en train de la submerger... Pour son plus grand bonheur.

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