Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Lucie Yriané

Pages: [1] 2 3 ... 6
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Les terres sauvages / Re : Les services du mage de Locmirail [Lucie]
« le: jeudi 03 mars 2016, 17:49:44 »
C'est parfois étrange comme la vie vous réserve des surprises, un jour vous étudiez tranquillement dans une académie de magie et quelque-temps après vous êtes dans une chambre avec un homme possédant deux gros sexes...Si on m'avait dis ça il y a 2 mois je ne l'aurais jamais cru.
Lemme était en train de se faire plaisir, le peu de lucidité que j'avais encore me faisait me demander comment il pouvait aimer autant ça : son sexe prend tout l'espace disponible de ma bouche, il doit frotter contre mes dents logiquement. Mais je suppose qu'il doit tirer plus de plaisir que de souffrance pour continuer ainsi, et puis le sort doit peser dans la balance.

Ce sont là les seules pensées lucides que j'avais, tout le reste de mon esprit embrumé n'était concentré que sur une seule chose : le sexe, la luxure, le plaisir. Toutes mes barrières étaient tombées, je ne résistais plus le moins de monde. Je le laissais faire, respirant par le nez pour ne pas manquer d'air. C'était donc ça le sexe ? Le vrai ? Wouah. Je regardais le visage de Lemme pendant qu'il se servait de ma bouche, j'aimais le regarder, il est beau, mignon, et très gentil. Je voulais plus, je voulais qu'il se souvienne de notre moment passé ensemble ; puisqu'il tenait lui-même ma tête, j'allais jouer avec mes mains. Les coquines allèrent chercher son deuxième membre pour s'amuser avec. Bien sûr c'était assez anarchique vu que ce que j'avais en bouche m'empêchait de penser et de coordonner mes mouvements comme il fallait, je mettais cependant tout mon cœur à l'ouvrage afin de le masturber du mieux que je pouvais.

En bouche, le goût était tout nouveau : c'était très différent du goût d'un sexe féminin, un peu amère. Ce n'était pas délicieux mais pas dégoûtant non plus. Pour être honnête, j'aime ça, j'aime le goût du sexe de Lemme. Si seulement j'étais totalement une fille, j'aurais pu le comble comme il se doit mais là...c'est pas avec mon petit engin que je vais l'envoyer au 6e ciel...ou alors est-ce le 7e ? J'ai oublié.

Je le laissa continuer comme ça jusqu'à ce qu'il en ai marre, jusqu'à ce qu'il finisse par venir. J'espère qu'il sera comblé, si ce n'est pas le cas je m'occuperai de son second sexe. Soudain, j'ai une image en tête, une idée, moi et Lucas, ensemble pour exhausser les désirs de Lemme. Tellement de possibilités nouvelles s'offrent à moi, tant d'idées…

Mon envie, mon désir ne font que grandir, je n'en peux plus, trop d’excitation, trop de nouveautés, le sort est trop puissant. Je finis par stopper mon travail sur le second membre de Lemme afin de me concentrer sur le mien, extrêmement tendu et durci par la situation, s'en était presque douloureux. Je me mit à me branler et des petits couinements de plaisirs s'échappaient, étouffés, de ma bouche pleine. C'était la première fois que je me faisais ça, je découvrais mon propre corps. Et plus je me touchais, plus j'avais du mal à tenir en place, je me tortillais sur place.

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Les terres sauvages / Re : Les services du mage de Locmirail [Lucie]
« le: dimanche 31 mai 2015, 20:52:06 »
La situation était très plaisante pour moi, pourtant elle était très différente de la fois où j'ai couché avec Mélinda. Je ne sais pas vraiment pourquoi, avec la vampire c'était une expérience, il y avait de la passion aussi...mais pas autant que maintenant. J'ai l'impression que la passion qui m'anime est bien plus tendre que celle que j'ai eu avec elle, bien que je suis sous l'emprise d'un sort, je sens que j’apprécie beaucoup Lemme, que je n'ai pas la moindre méfiance envers lui. C'est sûrement ca la différence.

Il n'avait pas beaucoup plus d’expérience que moi, cependant il avait déjà couché avec un homme, c'est l'avantage. Moi devant un sexe masculin je ne sais pas vraiment quoi faire, j'ai bien sûr entendu parler les autres filles de l'école de magie sur ce sujet mais entre la théorie et la pratique le changement est énorme...un peu comme les pénis de Lemme. Quand il enlève enfin son pantalon, je reste bouche bée pendant quelques secondes : ils sont vraiment très gros, et surtout il sont deux. J'ai beau avoir été prévenue, je n'en reste pas moins impressionnés.

-Ils sont vraiment énormes...ça doit être dur à supporter parfois.


Puis il m'attrape la main, je me redresse et me place à genoux sur le lit, mon corps encore plein d'envie. Je suis à présent près des deux membres raides de mon ami, je ne pensais pas voir ce genre de chose un jour. Je reste planté là, ma main était partit caresser ses testicules, c'est étrange au toucher. J'y vais doucement car je sais que c'est une partie très sensible.

Mais mon inactivité ne dura pas, le sortilège reprit le dessus et je me met à passer la main tout le long du sexe du haut, depuis la base jusqu'à l’extrémité, c'est chaud et dur. Soudain je repense à ce que m'a fait Mélinda Warren avec sa bouche, j'avais tellement aimé ça...il faut que j'essaye sur Lemme. Mais j'ai peur de lui faire mal avec mes dents, je vais commencer doucement :
Je vais un peu en dessous de lui et commencer à lui lécher les bourses et remonter doucement sur le sexe du dessous, sans m'arrêter jusqu'à son bout sensible.

-Je sais pas trop comment faire, mais je ferai de mon mieux Lemme, tu peux me demander ce que tu veux... »

Cela dit, je me met à lécher le gland inférieur de Lemme, ça a un drôle de goût, un peu amère. Mais pas mauvais pour autant, je ne sais pas si c'est le sort mais j'aime ça. Sans m'en apercevoir je suis de plus en plus gourmande, léchant de plus en plus vite, changeant de sexe régulièrement ; massant celui qui n'est pas léché de ma main droite. Ma langue joue avec, elle en fais le tour ou le brosse de haut en bas.

-Hum...c'est super j'adore faire ça... » je dis pendant que ma main gauche me caresse mon propre sein.

-Dis moi Lemme, tu aimes bien ? Tu aimerais que je fasse différemment ?  Je lève les yeux vers lui en demandant cela, plongeant mes yeux dans les siens alors que ma langue est toujours sur lui, en train de tourner autour de son sexe.

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Les terres sauvages / Re : Les services du mage de Locmirail [Lucie]
« le: lundi 25 mai 2015, 22:19:13 »
Il ne dit rien, pas un mot pour répondre à ma demande : il fit bien mieux. Il me prit contre lui et m'emmena dans la chambre. Je ne fis même pas attention au lieu, mon esprit était bien trop occupé et aussi parce que j'en ai rien à foutre. Le désir est de plus en plus grand, de plus en plus insupportable, le sentir  contre moi m’apaise, dans ses bras, j’oublie le monde qui m’entoure, mes problème, ma vie difficile...Il n'y a que lui et moi.

Je frissonne en sentant ses doigts caresser mon corps et je frissonne d'avantage quand c'est sa bouche qui se balade sur ma peau. C'est indescriptible, je ne pourrais pas expliquer, mais ce que je sais c'est que je ne veux pas qu'il arrête, qu'il continue le plus possible. Je sers le draps entre mes doigts et je soupire d'aise en le sentant se déplacer. Je n'allais pas opérer la moindre résistance, il pouvait me toucher comme il le voulait. C'est la première fois que cela arrive, même Mélinda Warren a eu le droit à de la méfiance. Lemme nan, je le connais depuis à peine 1 jour mais j'ai déjà une confiance totale en lui.   

Son compliment me vas droit au cœur, mes joues rougissent en l'entendant. C'est la première fois qu'on me faisais un tel compliment surtout que, en regardant ses yeux, je voyais qu'il était sincère, pas besoin de magie pour le deviner.

-Tu es...han...tu es très beau aussi Lemme, adorable même. Hum... »

Puis vint sa question concernant mon expérience dans LE domaine...en temps normal j'aurais été gêné et tout...mais là rien. Je regardais le plafond, profitant de ses caresses en répondant :

-Une fois oui...il y a trois semaines. Mais c'était avec une femme, je n'ai pas d'expérience concernant le sexe des hommes...ou « les » sexes dans ton cas. »

Me sentir soulevée ainsi ne pouvais que m'exciter d'avantage, mais mon pénis lui ne bougeait plus d'un pouce, mon érection était déjà au maximum. Je gémis de plaisir quand sa main vint frôler mes tous petits seins. C'est une chose que j'ai souvent envié aux autres filles sans jamais l'avouer, avoir de vrais seins et pas les deux petites bosses que j'ai moi. Mais ils étaient sensible quand même et me procuraient du plaisir.
Mes mains allèrent dans la masse épaisse de cheveux de mon partenaire, les pics de plaisirs me faisais serrer les mains dans sa chevelure sans que je sache pourquoi, un réflexe instinctif surement, cependant je faisais attention à ne pas y aller trop fort, je ne veux pas lui faire mal.

-Est-ce que tu l'as déjà fais toi ? Tu peux m'apprendre ? J'aimerais...j'aimerais te faire du bien Lemme, je veux t'entendre gémir, t'entendre soupirer...s'il-te-plait.»

Woua, je suis pas aussi franche sur ce sujet en temps normal, le sort puissant allié à la confiance énorme que j'ai en Lemme doit aider.

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Les terres sauvages / Re : Les services du mage de Locmirail [Lucie]
« le: samedi 23 mai 2015, 14:09:33 »
Cette « chose » ? En entendant ça, je sens mon moral chuter en flèche. La dernière fois qu'on a parlé de moi comme ça, c'était à l'école de magie il y a quelques années, quand je suis tombé amoureuse d'un autre élève. On s'était rencontré en cours d'histoire de la magie arcanique depuis l'ère de Zangdar, on a commencé à se fréquenter, se voir de plus en plus souvent. C'était le premier garçon pour lequel je ressentais quelque chose, un jour on s'est retrouvé dans sa chambre on a dû sécher le cours de Psychoentropie pour se retrouver seuls puisque les chambres n'étaient pas individuelles. On s'est embrassé, déshabillé...puis c'est là qu'il me vit nue. Son visage montra rapidement le dégoût qu'il éprouvait en me voyant, ou plutôt, en voyant mon sexe. Il se rhabilla et quitta la chambre, depuis il ne m'a plus jamais adressé la parole. Inutile de dire que cet incident me brisa en mille morceaux, il avait commencé à m'aider surmonter la mort de ma famille mais avec ça, il me replongea dans ma tristesse et ma solitude.

Repenser à cela me faisais mal, je me sentais moche, indésirable, je pensais que je finirai seule : sans famille, sans amour. Une magicienne seule dans son école qui ferai que travailler non-stop, sans affection, sans amis...toute seule.

-Arrête de raconter n'importe quoi… Sors d'ici ! Va… va ailleurs, je… je m'en fiche !
-Lâche moi je peux pas...je peux pas sortir comme ça s'il te plait arr…
-C'est bon, laisse la !

Cette voix, enfin il a décidé de se bouger et de me rejoindre, je pensais presque à croire qu'il était partit en me laissant me débrouiller par moi même. Le sentir se colelr contre moi me soulagea, la tristesse que je ressentais quelques secondes plus tôt s'évaporait. Il me mit un tissus sur les épaules, moche certe mais au moins je n'étais plus totalement nu.  Je me sens mieux comme ça, tellement mieux...est-ce le sortilège qui me fais me sentir aussi bien avec lui ? Je commence à en douter.

-Allons-y Lemme, je ne suis pas la bienvenue ici... » je dis en frissonant à cause de son sexe contre le miens.

C'est ainsi que nous nous sommes dirigés vers la dite chambre, à l’intérieur les clients se turent en voyant Lemme revenir, visiblement ils s'étaient vraiment calmés en prenant connaissance du statut de mon ami. On monta donc les escaliers grinçant et poussiéreux de l'auberge, la décoration de l'étage était inexistante, on avait le droit à des murs gris, sans rien pour les cacher.

Je m’apprêtais à entrer dans la chambre lorsqu'une pulsion s'empara de moi. Je me retourne et enlace Lemme, cette fois sans me retenir. Je l'embrasse, un baiser passioné sur les lèves que je ne peut pas retenir. Lorsqu'il se termina je plongea à nous mes yeux dans les siens, nos intimités collées l'une à l'autre.

-Viens avec moi Lemme, s'il te plait...j'en ai envie. J'ai envie de toi... »

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Les terres sauvages / Re : Les services du mage de Locmirail [Lucie]
« le: vendredi 22 mai 2015, 19:55:05 »
Dans l'auberge, les ivrognes riaient bien. La journée avait été ennuyeuse à mourir, le travail pourri, le chômage, l'ambiance morose du quartier...rien n'aidait à remonter le moral et l'alcool du coin était très prisé pour oublier la vie misérable que ces personnes connaissaient au quotidien. Du coup, l'arrivée d'un terranide comme Lemme égaya leur journée. C'est vrai que j'ai tâché ses vêtements sans le vouloir, mais il est tellement excitant, je n'ai pas pu m'en empêcher. Une vielle femme était présente dans l'auberge, son physique disgracieux n'avait d'égal que la mocheté de ses hâbits : sales, raccommodés des dizaines de fois avec des tissus différents et puant. Elle se leva et marcha vers Lemme en remuant les fesses…
-Hé mon mignon, ça te dis de gagner quelques pièces facilement ? J'ai une chambre là haut et mes vêtements s'enlèvent facilement... »
-Brigitte, tu es aussi en manque que ça ?
-Vu le paquet que doit avoir le chat, tu m'ettonnes qu'elle se jettes sur l'occasion !
-Moi même si on me payais je refuserais de la baiser !
-Allez vous faire foutre, j'ai envie de baiser et il est mille fois pluis mignon que vous tous bande de sac à bierre ! Alors, ça t’intéresse, je suis peut être pas la plus séduisante des femmes de tout Castelinqui mais j'ai pas mal d'expérience tu sais…

Pendant ce temps, de mon coté, je m'étais planqué dans un coin en attendant le retour de Lemme, sauf qu'il y eu un contretemps…un couple fit son apparition et commença à faire l'amour contre un mur. Merde, ça m'aide pas à garder mes esprits, au début j'étais dos à eux, pour ne pas les voir. Mais les entendre ainsi, gémir de plaisir, m'a fais me retourner pour profiter du spectacle. Ils sont plutôt mignon je dois l'avouer, habillés élégamment. Deux amoureux en plein rendez-vous à tous les coups. Jusque là j'étais cachées, mon érection ne faisait qu'empirer avec tout ça, ça devenait difficile de ne pas me masturber dans cette ruelle glauque. Le problème est que, sans m'en apperçevoir, je m'avançais peu à peu jusqu'à ce que la fille me vois.

-Je...je me...enfin…

Difficile de trouver quoi dire dans une telle situation, je n'allais pas leur dire la vérité quand même :
je suis sous l'emprise d'un sortilège qui me rends totalement nymphomane pendant la durée de l'effet »Ils me prendraient pour une folle, dans le meilleur des cas. Il me faut trouver une invention, un mensonge et vite, dommage, moi qui suis mauvaise en bluff...Sans oublier que réfléchir avec mon bas ventre brûlant, c'est pas facile. Une idée, n'importe-quoi…

-Je fais comme vous, mais mon compagnon est partit dans l'auberge là pour nous prendre une chambre. Du coup je l'attends, cachée ici. Mais je pensais pas qu'il y aurait du monde dans cette rue...on est pas du coin... »

Bon ça a pas l'air trop mal, en plus c'est pas vraiment un mensonge. En parlant de Lemme, j'espère qu'il va se dépêcher, je lutte pour ne pas sauter sur le couple et leur faire l'amour ici. Je transpire à grosse goute et ma respiration est de plus en plus rapide, je louche sur le bassin du garçon, en pleine action.  Si le directeur de l'école de magie me voyait dans cet état, il rigolerait bien, c'est sûr...

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Les terres sauvages / Re : Les services du mage de Locmirail [Lucie]
« le: mercredi 20 mai 2015, 18:23:26 »
Lemme a raison, je dois sûrement être sous l'emprise du sort du mage, tout comme la foule qui me retenait tout à l'heure. C'est étrange comme sensation, j'ai chaud, j'ai mon entrejambe qui ne demande qu'à etre stimulé. C'est comme un manque, un horrible manque que je dois assouvir, peut importe le moyen.  Je ne fais pas attention au monde qui m’entoure, je ne fais que regarder Lemme dans les yeux, ne pouvant me décrocher de cette vision. Dans ma tête passent toutes sortes de scène : Lemme, moi et Lucas dans un même lit, faisant sauvagement  l'amour. J'ai de plus en plus chaud et donc je me sers de plus en plus contre le terranide.

Il arrive à nous trouver un espace sombre et calme, je le voyais, il rougissait et commençait à bander. Cela m'excite encore plus, j'ai envie de le toucher, laisser passer mes mains sous le tissus sale de son pantalon, le caresser encore et encore jusqu'à ce qu'il...nan ! Merde reprends toi un peu idiote, tu vas quand même pas te laisser avoir par un sortilège aussi grossier ! Je le lâche, en me tenant la tête, comme pour essayer de me battre, sans grand succès, mais au moins j'arrive à me contrôler un tout petit peu. Je m’appuie à un mur, visiblement essoufflée, je dois garder le peu de dignité qu'il me reste et ne pas succomber comme ça dans une rue dégueulasse.

-Nan nan...rentres et prends nous une chambre s'il te plait...fais vite je penses pas pouvoir me retenir longtemps… J'ai envie de te...humpf...depêches-toi c'est tout.
»

Une fois partit, les images érotiques reviennent dans mon esprits, c'est là que je repense aux photos de Lucas nu chez Mélinda, il est si adorable, j'ai envie de l'embrasser, le prendre contre moi le...merde les photos ! Elles sont restées dans mon sac sur le cheval, dans le désert où j'ai trouvé le convoi d'esclavagistes. Ces photos étaient la seule chose qui m'a rapproché de Lucas, me rendre ocmpte que je les ai perdues aurait du m'attrister, mais là nan, j'ai juste envie de...sexe. Le sort doit vraiment être puissant, c'est dégueulasse, c'est typiquement le type de sort que je ne voulais pas connaître…


Pendant ce temps, dans l'auberge :
l’établissement du « chat et le pot de crème »  est un établissement moyen. Loin d'être un quatre étoiles, c'était un endroit pas super propre sans être insalubre, la clientèle montrait peu de signe de richesse. La grande salle principale est pleine de badauds en train de boire leur bière pas chère. Sur la gauche, des escaliers menant sûrement aux étages des chambres. Cependant malgré l'aspect peu ragoutant, l'établissement n'était pas ignoble : il n'y avait pas de vermine, les aliments/boissons vendus n'étaient pas périmés et étaient même comestible.

L'aubergiste était un humain de 40 ans, obèse et avec un tablier plein de tâches. Chauve et avec une longue barbe, il était en plein nettoyage de ses chopes de bières. L'entrée de Lemme déclencha des regards intrigués dans sa direction. Des chuchotements par-ci par-la se firent entendre, même quelques rires, et un miaulement.

-C'est pour quoi gamin ?
demanda l'aubergiste d'une voix grave.
-Du lait ! » fit une voix dans le fond de la salle, suivit de plusieurs rires.

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Les terres sauvages / Re : Les services du mage de Locmirail [Lucie]
« le: samedi 16 mai 2015, 22:29:36 »
J'ai eu beau tout faire pour me sortir de là, je n'ai pas réussis. Je me voyais déjà morte, retrouvée sans vie au centre d'une place au milieu d'une foule qui n'aurait sûrement rien compris. Se souviendrait-elle seulement de mon existence ? Va t-elle s'en vouloir ? Sera t-elle punie ? Pendant quelques instants j'y songeais, un moyen bien futile de m'échapper mentalement de la situation horrible dans laquelle j'étais. Je n'avais plus espoir de m'en sortir, je me laissais donc faire, espérant que cela rendrait les choses moins douloureuse et plus rapide.

Soudain, je me sentis tiré vers le haut, pas par la foule nan car c'était trop haut pour cela...j'ouvre les yeux et je peux voir mon ami Lemme : il était passé par le portail aussi ? Il était en train de me sauver ?! Il m'emmène avec lui, je me sens aussi tiré mais de l'autre coté : quelqu'un est accroché à moi mais il ne le fut pas longtemps… Je regarde mon sauveur, je...je ne sais pas vraiment ce qu'il se passe : je suis tellement heureuse de le voir. J'ai l'impression de ressentir ce que j'ai vécu en voyant les photos de Lucas chez Mélinda. Je ne sais pas comment le formuler mais c'est fort. D'un coté,  vu la situation de laquelle il vient de me sauver, je pense que c'est normal que je ne puisse pas formuler correctement mes pensées.

Je fais tous les efforts du monde pour l'aider et je me hisse jusqu'en haut de son...truc. Une fois fait, je n'attends même pas et je vais me coller contre lui. Je m'en fou d'être nue ou d'être sale : ce que je veux c'est être serrée à lui et ne pas le lâcher. Ma tête est au niveau de son torse. Je suis tremblante, je ne dis pas un mot. Que dire dans ce genre de situation ? Plein de chose mais j'en suis incapable, comme si ma voix refusait de sortir. Je relève la tête quand il me parle et plonge mes yeux dans les siens. Il est beau, vraiment beau, je ne sais pas ce qu'il m'arrive.

Bon sang, j'ai eu peur. Pas trop de casse ? Dis-moi que ça va ?


-Je...je vais bien je... » mais quelle idiote, je n'arrive pas à aligner trois mots. Je sens mon entrejambe se durcir, j'ai envie de...nan c'est pas possible ! Je viens de me faire violer en place publique par une vingtaine de personne, je ne peux pas avoir envie de Lemme maintenant c'est pas envisageable ! Et pourtant, je lui caresse le visage avec ma main droite sans pouvoir détourner mon regard du sien, comme hypnotisée.

-Qu'est-ce qui se passe ? Lemme, tu as changé depuis tout à l'heure j'ai l'impression...tu es...tu es si beau. » mes yeux deviennent, peu à peu plein de désirs. Je le serre contre moi, mais ce n'est pas une étreinte de peur cette fois ci, c'est une étreinte d'envie. J'approche doucement mon visage du sien, toujours en lui caressant la joue.

-J'ai chaud Lemme, je pense que c'est...c'est...à cause de toi. Je ne sais pas ce qu'il m'arrive... »

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Les terres sauvages / Re : Les services du mage de Locmirail [Lucie]
« le: mercredi 13 mai 2015, 19:01:55 »
Merde merde merde, je sais pas quoi faire. Les premiers mecs hypnotisés se sont brûlés sur mon dôme, visiblement il n'ont plus aucun instinct de survie, même le plus élémentaire. Je suis prise au piège, je pourrais facilement rester bien à l'abri grâce à ma protection mais j'en suis incapable. C'est ce gamin, j'ai l'impression que ça aurait pu être Lucas...bon Lucas est bien plus vieux que lui mais quand même. Je suis en larme, effondrée : je n'ai pas le choix, si je ne veux  pas faire plus de victime je dois abaisser min bouclier et espérer survivre à ce qui m'attends. Drôle de vie que la mienne depuis quelques temps, je suis sûre que ça pourrais faire une bonne histoire à raconter. 

Je regarde l'enfant dans les yeux, ma vision est brouillée à cause des larmes :

-Je...je ne peux pas...bouhouhouuu... Je ne peux pas te faire...te faire de mal...
»

D'un geste de la main j'abaisse mon dôme et tente de prendre a fuite, le problème c'est que je suis encerclé, totalement encerclé par la foule lubrique. Une femme m'attrape et commence à me toucher, je la frappe, la mord et elle me lâche. Je fais tout pour éviter les mains qui me veulent mais je me fais avoir, me fais toucher avant de pouvoir me libérer et tenter de fuir à nouveau. Mais c'est une solution à très court terme, ils sont tous sur moi, prêt à m'utiliser comme un mouchoir ou un jouet sexuel pour satisfaire leur insatiable envie. Je hurle à nouveau, je suis en pleine panique, certains hommes m'ont déjà éjaculé dessus pendant que d'autres veulent visiblement utiliser ma bouche comme défouloir.

Ma fuite s'achève, je suis immobilisé, tout cela s'est produit en à peine 5 secondes mais cela me paraît être des heures. Je les sens, leurs pénis qui frottent contre ma peau, c'est gluant et dégueulasse...putain sortez moi de là. Je continue à crier, espérant que les gardes vont enfin se montrer. Je me débat mais rien n'y fait il sont trop nombreux et j'ai de tous petits bras.

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Les terres sauvages / Re : Les services du mage de Locmirail [Lucie]
« le: jeudi 07 mai 2015, 18:42:56 »
Évidement, je suis vraiment trop conne. J'ai laissé parler l'autre enflure, j'étais comme en transe, je buvais ses paroles, surtout quand il me parlais de retrouver mon frère. Je me disais qu'il avait compris où était son intérêt et que me dire où était Lucas lui sauverait la vie. J'étais captivé par sa magie et sa boule de cristal, c'était beau, vraiment beau. Dommage que ce mec soit un connard d'esclavagiste, il aurait put avoir une grande carrière dans les spectacles itinérants. Je regarde la sphère de cristal avec attention: de toute façon ses sbires ne pouvaient pas passer mon imposant mur de feu alors autant essayer de trouver Lucas dans la foule. Je regardais les passants, espérant le trouver...puis soudain je me mis à tomber sans savoir pourquoi. Encore un mauvais tour du devin, en chutant tout ce que je pu faire c'est crier:

-Fils de puuuuuuute!"

Heureusement pour moi ce n'étais pas vraiment un trou vu que je ne tomba que de 2 centimètres, bizarre, je pensais qu'il m'aurais fait tomber de 200m de haut pour être sûr de se débarrasser de moi... Bordel je suis où? Il y a des gens autour de moi, ils s'approchent. Au début je pensais qu'ils venaient pour m'aider, hélas pour moi ce ne fut pas le cas. Je ne le savais pas encore mais j'ai atterris à Castelquisianni et la foule qui m'entoure a des envies assez pressante. Je le vois dans leurs yeux...et aussi sur leur pantalons, les hommes ont des érections énormes. Il y avait des hommes, des femmes et même des enfants dans le tas et visiblement ils avaient tous envie de me baiser. C'est peut être à cause du devin encore...nan c'est sûrement à cause du devin.

Je commence à paniquer, même dans le harem de Mélinda les gens étaient plus élégant alors qu'ils venaient pour la même chose qu'eux. Putain, putain putain!

-N..n'approchez pas, reculez!" je dis en regardant partout autour de moi. Mais ils approchaient tous, lentement mais sûrement, certains se masturbaient en marchant. C'est quoi ce délire? Je les aurais bien fais cramer mais ils y sont pour rien, et puis surtout: je vais pas tuer des enfants.

-Au secours!! Arrêtez laissez-moi tranquille! AU SECOURS!! A LA GARDE! A LA GARDE! GAAAAAAAAARDE!"
j'hurle à m'en casser les cordes vocale. Ils se rapprochaient, 2 mètres, je n'ai pas la moindre issue pour me tirer de là, je vais pas les tuer c'est pas leur faute s'ils sont comme ça. Surtout que là, si je fais brûler autant de monde, je vais avoir des problèmes avec la garde civile, à tous les coups.

Je fais donc ce que j'ai de mieux à faire dans cette situation, je met à genoux et je me sers du dôme de Dryan, (un des seuls) un sort de protection de la magie du feu. C'est tout connement un dôme de protection qui brûle assez fort quiconque le touche, rien qu'approcher sa main est difficile vu la chaleur intense que ce sort dégage. J'espère juste que, malgré leur état, ils ont toujours un instinct de survie fonctionnel, après tout ça reste un dôme de feu et ils finiront en cendre s'il tentent de le traverser.

Je suis donc cloitré dans ma protection, en pleurs et paniqué: 

-AIDEZ-MOI!!! Il y a quelqu'un? AU SECOURS! GARDE!


Je relève la tête, à mon niveau je vois un petit garçon, à peine 8 ans, approcher, aussi ensorcelé que les autres. Brun et yeux vert, un petit normal qui était au mauvais endroit au mauvais moment visiblement.

-Nan, nan, recule, tu vas te faire mal...recule je t'en prie, je veux pas avoir ta mort sur la conscience... RECULE PUTAIN!!!"
je cri, en larme.

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Les terres sauvages / Re : Les services du mage de Locmirail [Lucie]
« le: mardi 05 mai 2015, 14:38:05 »
Évidement, maintenant que je suis libre il me parle correctement ce fils de pute. Cependant, son petit discours me refroidi un peu, il a raison sur un point : la puissance de deux mages puissants risque de tuer tous les autres esclaves y compris Lemme. Peut être qu'il faudrait que je...hein ? Il a dit quoi ? C'est un devin ? HAHAHA un devin ? Mais c'est génial ça, c'est la meilleur nouvelle de la journée ! Je pouvais pas espérer mieux ! Je le laisse terminer sa phrase, puis je souris. Mais pas un sourire diplomate loin de là, un sourire carnassier…

-Tout d'abord, sachez que ma colère ne se calme jamais... »les torches éteintes des gardes se mirent tout à coup à brûler d'une flamme bien trop puissante, brûlant certains gardes au visage. Ils durent lâcher ces torches bien trop dangereuses pour être tenue. Par chance, aucune de blessa Lemme.
Finalement on put à nouveau me voir correctement, avec mon petit sourire satisfait au coin des lèvres.

-Vous êtes visiblement le chef, et vous êtes bien un devin...dites moi alors  : lequel de vos hommes va mourir le premier ?

Je montre ma main et 5 petites flammes rouge sang y apparaissent, une sur chaque extrémité de doigt. Cela fait, je regarde les hommes armés, de plus en plus hésitants à rester, chacun d'entre eux à le droit à mon regard noir. Ils ont peur et ne restent que pour une raison : ne pas subir le courroux de leur patron.

-Vous avez un chef qui sait parler, c'est une bonne chose, une très bonne chose même. En temps que mage cela serait idiot que je dise le contraire. Ce qui est dommage c'est qu'un devin, ne vaut rien...RIEN en combat brut ! ALORS CREVEZ BANDE DE FILS DE PUTE !!!!!! »

La ma colère explose , je ressers soudainement ma poigne: les 5 gardes, tous les 5 (sauf le devin) se mirent à hurler de douleur, hurler à la mort. Ils tombèrent, se roulèrent au sol en se tenant tantôt le ventre, tantôt la poitrine.  Leur peau rougissait de plus en plus, certains avaient même des bulles qui se formaient sous la peau. De la fumée se mit à sortir de leur bouche avant qu'ils ne cessent hurler, définitivement. Ils avaient brûlé de l’intérieur, tous leur organes/muscles/tissus étaient en train de cuire.

-Oh, que ça me démangeais de faire ça, je dis visiblement satisfaite, Bon maintenant vous allez me dire où est mon frère. Lucas un garçon avec un vagin et une mèche rose. Et n'essayez pas de me baiser sur ce coup sinon je vous jure que ce qu'on vécu vos 5 gardes ne sera rien comparé à la douleur que je vais vous faire sentir car je n'aurai pas la bonté de vous tuer…

Je me lève et boîte jusqu'à la porte de la cage que je réduit en cendre simplement en la touchant. Je descends du chariot, le sol noircie sous mes pas. Je suis très en colère mais ce n'est pas une colère explosive, c'est une colère mauvaise, pleine de haine à cause de ce qu'on m'a fais subir. J'avance vers le devin, en le fixant droit dans les yeux. Tous les autres gardes arrivaient, armés, pour protéger leur patron et tenter de me neutraliser.

-Ashanobélanar... » je dis en crachant par terre. Un fois ma salive au sol, un grand cercle de flamme fit son apparition tout autour de nous, bloquant la route aux gardes. La lueur des flammes, leur lumière vacillante me donne un air terrifiant, surtout combinée à mon regard noir...la température monta tout de suite d'un cran avec ça.

-Alors je t'écoute espèce d'enflure : où est mon frère ?

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Les terres sauvages / Re : Les services du mage de Locmirail [Lucie]
« le: vendredi 01 mai 2015, 18:50:35 »
Je ne sais pas pourquoi mais vider mon sac m'a fais du bien, j'ai l'impression d'avoir un poids en moins sur les épaules, Lemme a réussis à me faire sourire : visiblement il aime aussi ce qui fait boom et a fait exploser des salles entières. Bon il est pas à mon niveau de destruction mais c'est sûrement mieux ainsi. Il fait froid putain, même avec lui contre moi je meurs de froid, qu'est-ce que je donnerais pas pour un thé bouillant, ou mieux un bon bain, oh oui un bain bien chaud...Je me laisserais plonger dedans, plonger..plonger dedans…J'ai envie de fermer les yeux,  oui aller, juste une minute pour les reposer...

Je me secoues la tête soudainement : nan je dois pas m'endormir. Quand on a froid, dormir est le meilleur moyen de crever et je dois pas crever, je dois retrouver Lucas. Euh j'ai entendu un bruit là, merde j'espère que c'est pas un des gardes qui revient pour s'amuser avec moi. Je ne bouge pas, je me crispe et fais mine de dormir...mais je me rassure en entendant Lemme parler, visiblement ravi. Apparemment il connaît la personne, il s'est évadée, veinard.

Je me redresse donc pour voir le duo ravie de se retrouver, sur le coup j'espérais qu'il puisse ouvrir la cage, mais mes espoirs retombent bien vite. Puis, sans que je comprenne, ils se mettent à parler d'un objet dont le nom ressemble à une farce ou aux paroles d'un mec bourré, actino bidulomachintruc. J'en viens même à me demander s'ils parlent une langue ancienne ces deux là. Heureusement que j'en ai rien à foutre, Lemme semble heureux de le récupérer et ça me va parfaitement.

Quand il me demande mon poignet, je lui offre sans même me poser de question. C'est peut être douloureux ? Peut être dangereux ? Je m'en fou, tant que ça permet à mon nouvel ami de me libérer de ce bracelet de merde je suis prête à tous les risques. Il fait désormais bien nuit, et comme on a pas de lumière autre que celle de la lune c'est difficile d'y voir quelque chose. Je vois le cadenas prendre des couleurs, chauffer de plus en plus et, quand un cadenas a cette réaction ça veut dire qu'il tiendra pas longtemps...oui j'ai brûler pas mal de cadenas dans ma vie.

Je sens la liberté toute proche, j'ai un regain d'espoir énorme qui monte d'un coup en moi. Le premier après de longues heures de chaleur et d'angoisse. Mais notre horizon de liberté se trouble quand je vois Lemme soulever par le teranide buffle. Putain de merde fait chier ! Le bidulomagique est par terre et on y voit rien ! Je m'approche de la masse, tente de libérer mon ami et je me met à crier en chuchotant :
-Mais putain lâche-le ! Laisse le me libérer et je t'assure que...argh.

Ce fils de pute m'a chopé et balancé sur le sol de la cage, j'ai mal, j'ai l'impression que cet enfoiré m'a foulé un truc, le cheville droite je pense. Encore une fois je me sens tellement impuissante, je sers à rien, c'était notre seule chance de nous tirer de là et…

-Hé, tiens. C'est ça que le chat avait nan ? 

L'autre teranide de la cage, jusque là silencieux vint me donner le machinthermoniquus de Lemme. Je dois me retenir de foncer sur la grosse vache, l'envie de lui planter mes dents dans le bras est forte mais mon cerveau reste mon meilleur atout.

-Ouai putain c'est ça ! J'espère que je vais trouver comment ça marche...aller merde aller !! » j'appuie sur tout ce que je trouve, il faut absolument que je découvre son fonctionnement avant que...

-Hé, il se passe quoi ici ?

Merde !!! Deux gardes avaient fini de manger et avaient reprit leur poste, pile au mauvais moment évidement.
-Bon, visiblement vous savez pas vous tenir alors on va faire un exemple pour que tout le monde comprenne comment ça se passe ici…

Deux autres gardes arrivèrent, arme au poing, ouvrirent la cage et attrapèrent Lemme en faisant reculer le minotaure à grand coup de gourdins sur la tête. Mon nouvel ami fut balancé par terre, et on lui donna un coup de pied en plein bide pour éviter toute tentative de riposte.
Ils sont 4 autour de lui, visiblement tous agacés…

-Alors, vous êtes rien : d'accord ? Mon chien a plus d'humanité que vous tous réunis, tas de merde !!

Il agrippa Lemme par la gorge et le souleva au dessus du sol :

-Ici, nous sommes vos dieux et nous avons tous les droits sur...*clic* hé c'était quoi ce bruit ? » lâcha Lemme et regarda dans la cage, méfiant...sauf que toute leur torche s'éteignirent d'un coup, sauf une qui rayonnait à peine assez pour éclairer leurs pieds.

Un bracelet de métal noir tombe près d'eux, là où ils peuvent  t y voir  Un silence pesant s’abattit soudainement, silence brisé par ma voix, ma voix mauvaise, pleine de haine. Mais je ne hurle pas, je parle doucement, articulant chaque mot, chaque syllabe, rendant la situation encore plus inquiétante...

-Je vais tous vous buter, un par un bande d'enfoirés, et je vous promet que vous allez souffrir…vous allez souffrir comme jamais.


Mes yeux s'emplirent de flammes, ma magie est là, je la sens ! De tels yeux ont un côté esthétique intéressant car, vu qu'il faisait nuit noir et que la cage n'était pas éclairée, c'est tout ce que pouvait voir les gardes...Deux yeux rouge feu dans les ténèbres. Putain je me sens mieux, je vais pouvoir nous sortir de là maintenant, et tous les faire cramer !


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Les terres sauvages / Re : Les services du mage de Locmirail [Lucie]
« le: lundi 20 avril 2015, 18:23:36 »
La nuit, enfin ! Le temps passait si lentement que je commençais à croire que la nuit n'existait pas dans cette région du monde. Cependant, mon enthousiasme se calme très vite vu que la chaleur étouffante laisse place à une fraîcheur soudaine et déconcertante. Il ne fait pas si froid que ça, c'est la nudité qui me glace comme ça. Je grelotte et me recroqueville sur moi même par réflexe afin de conserver le plus de chaleur possible. Hélas, être nue au milieu d'une cage avec le vent nocturne qui souffle rend ma méthode peu efficace. Soudain, je sens que Lemme se rapproche de moi, je sursaute tout d'abord, je ne suis pas habitué à la proximité, bien au contraire. En temps normal j'aurais collé une bonne baffe à celui qui ose faire ça, cependant au vu des condition climatique je fais une exception. Avec lui près de moi j'ai moins froid et quand il passa son bras dans mon dos, j'ai un léger soupire de contentement, ça me réchauffe.

Les gardes étaient finalement partis manger, bien sûr ces fils de pute ont de beaux manteaux pour se protéger du froid pendant que nous on se les gèles. Mais voyons le bon côté des choses : on pouvait à nouveau parler sans trop de risque et surtout Lemme put regarder ce foutu brassard en Obsidienne. Un grand sourire illumine mon visage quand j'entends dire que le mécanisme peut se briser avec de la magie… Hélas je déchante en apprenant que lui même n'a aucun moyen de le briser. Fait chier ! Je veux pas finir comme ça c'est hors de question ! Il dit qu'il va réfléchir, j'espère de tout mon cœur qu'il va trouver une solution. Papa, maman, aidez-le je vous en prie…   

-Ma...ma magie ? Eh bien je suis une pyromancienne, il n'y a qu'à ça que je suis réellement douée tu sais. J'ai appris à l'académie de magie de Nexus, on m'y a envoyé quand j'avais 5 ans pour que je contrôle mes pouvoirs. J'ai fais brûler des parties entières du bâtiment plusieurs fois...j'ai parfois du mal à contrôler ma colère.

Je n'ose pas le regarder, mes crises sont un peu ce dont j'ai le plus honte...je sais que je prends la mouche un peu vite et malgré ce que certains peuvent penser, je n'y prends pas plaisir.

-Pour mon frère je...je ne sais pas s'il est mage lui aussi, ça m’étonnerais sinon on serait partis ensemble. Je ne l'ai pas revu depuis mon départ pour la Capitale, on vivait dans les terres environnant Nexus. » là ma voix devient plus fébrile, parler de ça m'a toujours fais pleurer et ce n'est pas aujourd'hui l’exception. Des larmes se mettent à couler sur mon visage.

-Un jour, on m'a fais revenir au manoir de ma famille pour les vacances comme c'était prévu. Mais en arrivant...on a vu que tout notre manoir avait été brûlé. Mes parents...mes parents sont morts comme ça, on a retrouvé leur corps, mutilé et brûlé par une foule furieuse. C'est ce jour là qui a marqué le reste de ma vie. Un jour, peu après,  on a retrouvé des membres du massacre, ils étaient en cellules. On est allé voir les coupables avec le directeur, et ils ont tout avoués...ça m'a rendue furieuse...je les ai tués, tous les hommes et les femmes de la cellule on prit feu sans que le directeur n'ai le temps de réagir. Ils sont tous mort en prison, brûlé vif. Le directeur a effacé la mémoire des gardes et on est partis comme si de rien n'était.

Je fais un moment de pause pour sécher les larmes qui coulent sur mes joues et me frotte les yeux. Puis je me décide à me retourner vers Lemme pour lui faire face. Mon regard était triste, accablé par la douleur de raconter cet événement.

-J'ai passé le reste de ma vie à l'académie de magie, surveillée de près par le directeur qui veilla sur moi. J'ai grandie seule, je n'avais presque pas d'ami, je n'avais que ma magie et les livres pour en apprendre toujours plus. Mais il y a quelques mois j'ai appris d'une esclave que mon frère était vivant. Au début je le croyais pas mais la description qu'elle m'en faisait était trop exacte pour être une coïncidence. Même si on a grandi entre temps c'était lui je le savais, je le reconnaissais dans cette description ! Depuis je le cherche, je suis allé jusqu'à Ashnard voir une Vampire du nom de Mélinda Warren qui possède Lucas. Hélas il a été enlevé par ceux qui nous retiennent enfermés en ce moment...Voilà maintenant tu as un aperçu global de mon histoire. Même si tu ne voulais sans doute  pas en savoir tant...désolée j'ai trop parlé.» je dis en me séchant à nouveau les yeux et avec les joues rouge de honte.

Je ne sais pas pourquoi je lui ai raconté ça, peut être parce que je trouve qu'on se ressemble au fond et aussi parce que parler me fais du bien en ce moment. Bien sûr je ne lui ai pas dis que j'étais Loup-Garou, je ne veux pas lui faire peur, les lycans ont une assez mauvaise réputation et je ne voudrais pas perdre le seul ami que j'ai actuellement.

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Dictature d'Ashnard / Re : L'enquête se poursuit. [Mélinda]
« le: dimanche 12 avril 2015, 19:26:10 »
J'écoute parler Mélinda, même si une partie de moi veux la voir réduite en un joli petit tas de cendre vampirique. Peu à peu, je me calme, les flammes voient leur intensité faiblir, et les esclaves présents ne cèdent plus à la panique et sont en train d'éteindre le résultat de ma colère. Je desserre les dents, ma respiration se calme… Elle est très forte avec les mots celle là, rares sont ceux qui peuvent me calmer uniquement en me parlant, je me demande où elle a appris à faire ça… Mais l'heure n'est pas à ce poser ce genre de question : Lucas a été enlevé et les mecs qu'elle a envoyé à sa recherche sont sûrement aussi compétents que ceux qui étaient censés veiller sur lui...à savoir de grosses merde pas foutus de faire leur travail !!

-Très bien, je vous fais confiance...à vous mais pas à vos hommes ou à ceux qui voudront une prime. Je vais me charger de l'enquête moi même. Je vais les traquer et tous les tuer un par un, jusqu'à ce que je retrouve mon frère. Les hommes sont moins enclin à garder le silence après avoir vu leur camarade brûler vif d'un simple claquement de doigts d'adolescente.

Ma voix est mauvaise, on voit bien que j'ai envie de me défouler, heureusement pour les esclaves présents, ce ne sont pas eux qui sont les cibles de ma colère.

-Il me faudra un cheval par contre, je ne pourrai pas travailler correctement à pied. Donnez-moi toutes les informations dont vous disposez, après tout d'après ce que j'ai compris vous tenez à Lucas alors, vaut mieux ne rien me cacher...Je vais me préparer, je serai dans ma chambre.

Je me retourne et pars, sous le regard ahuris des esclaves qui ne comprennent pas comment on peut parler ainsi à leur maîtresse...et surtout comment une ado comme moi peut être aussi colérique. Sauf que je n'y prête pas la moindre attention, je quitte la pièce au pas de course et vais directement dans ma chambre. Je range dans mon sac le peu d'objets en ma possession...puis je vois l'album avec les photos de Lucas. C'est la seule image que j'ai de lui depuis des années, je ne peux me résoudre à le laisser ici. Je le met dans mon sac, bien au milieu pour qu'il soit le plus à l'abri possible. J'ai envie qu'il soit avec moi, comme ça j'aurai l'impression que Lucas est à mes cotés…

Je n'ai plus qu'à attendre les informations de Mélinda, j'espère qu'elle ne va pas tarder.

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Les terres sauvages / Re : Les services du mage de Locmirail [Lucie]
« le: jeudi 09 avril 2015, 20:36:08 »
Alors c'est donc ça qu'a vécu Lucas pendant toutes ces années ? Maltraitance quotidienne, viol ? Qui sais de quoi il a bien pu être la victime, j'ai appris que des expériences ont été faites sur lui, des expériences magique d'où provient sa mèche de cheveux rose. Mon pauvre frère, subir ça dès l'age de 5 ans, sans connaître autre chose que ça. Je...je ne peux pas retourner voir Mélinda, je refuse qu'il subisse encore ce genre de chose. Même si elle dit qu'il est heureux ainsi et qu'avec elle il a un toit et la sécurité. Il mérite de redevenir libre, sans avoir à offrir son corps au premier dégueulasse venu.
On sera ensemble, pauvre, sans maison mais ensemble et libre. Papa, maman, je vous jure que je libérerai Lucas, je sais que vous me voyez depuis l'autre coté, vous serez fier de moi.

Je sens une main se poser contre moi, me tirant de mes pensées agitées, je me doute de qui il s'agit, la voix que j'entends quelques secondes plus tard ne fait que confirmer mon impression. Lemme vient me réconforter, ça me fera pas de mal : je suis totalement sous le choc, je me sens humilié, salie… Par tous les dieux, si seulement je pouvais me débarrasser de ce bracelet maintenant, ma colère serait Homérique, elle rentrerait dans les légende...ma colère et le cataclysme ardent qui s'abattra dans le coin surtout. Je vais les faire souffrir, tous autant qu'ils sont, ils me supplieront de les laisser vivre mais je n'aurai pas de pitié, ils vont brûler de l'intérieur.

Quand j'étais à l'école de magie, je me suis concentré uniquement sur la pyromancie, négligent les autres arts arcaniques. Le problème c'était qu'à un moment je connaissais tous ce qu'il y a à savoir sur la magie du feu.  Je voulais en savoir plus, toujours plus sur les flammes...c'est comme ça que j'ai décidé d'aller dans la partie interdite de la bibliothèque et que j'ai pris des livres de pyromancie obscure...ils s'approchaient de la magie noir sans jamais dépasser la ligne jaune et de toute façon personne ne sais que j'ai lu ce genre de livre.

Le reste de la journée fut éreintant, la chaleur m'a assommé un long moment, je restais là, dans mon coin sans bouger, craignant de redémarrer au quart de tours et le payer après. Autant me faire le plus petit possible tant que je suis sans défense, et après je me vengerai, je vengerai Lemme, Lucas et tous ceux que ces fils de pute ont torturés. Ils ne recommenceront plus jamais pareil traitement.

Mais la nuit était encore loin, l'attente me paraît interminable et bien sûr pas de ration d'eau pour moi, le minotaure en profite bien lui, enflure, il va finir en steak. Heureusement pour moi, Lemme semble vouloir me rendre la pareille et partage son eau avec moi. Je ne me fais pas prier et bois ce qu'il m'offre sans rien dire dans un premier temps, puis je le regarde avec des yeux plein de reconnaissance :

-Merci beaucoup, quand on pourra parler on aura pas mal de choses à se dire. »

Puis je me tais, ne voulant pas m'attirer les foudres de nos bourreaux. Je vais me réinstaller dans mon  coin, en attendant la nuit, avec impatience même. Il fait tellement chaud...

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Les terres sauvages / Re : Les services du mage de Locmirail [Lucie]
« le: lundi 06 avril 2015, 14:11:42 »
En entendant qu'il pourra m'enlever cette saloperie, mes larmes cessent. Je me retourne vers lui rapidement, les yeux encore rouge et humide mais avec de l'espoir dans le regard. Plus important encore: je souris. On a quand même l'air con à rester comme ça, et le fait qu' on soir quasiment pas habillé n'arrange pas la situation.

-Je te garantie que tu ne le regrettas pas et j...
-Hé, vos gueules vermines.
-Et si tu fermais ta grande g...."

Oh putain...j'ai réagis au quart de tour comme d'habitude mais là c'était sûrement pas la meilleur chose à faire. Je vois le garde se retourner, un regard noir et furieux de surcroît. Merde je sens que je vais le regretter, et méchamment en plus. En m’apercevant de se que j'allais dire je me suis couvert la bouche pour me faire taire, mon regard traduit l'état de panique dans lequel je me trouve actuellement.

-Oui aller vas-y j'écoute qu'allais tu dire ma petite salope?
-Euh...je...rien du tout je...
-Nan nan je suis sûr d'avoir entendu quelque chose.
-C'est que...enfin je...
-Je vois, je sais quel est ton problème: tu as pas compris comment marchent les choses ici. Hé toi la vache, ça te tente une autre ration d'eau? Tu sais ce que tu as à faire...

Je vois la bête s'approcher de moi, par peur je recule jusqu'à arriver dos à la paroi de la cage, prise au piège je tente bien sûr de me débattre, de l’empêcher de m'attraper. Malheureusement pour moi mes coups les plus fort ne font que chatouiller le mastodonte qui m'attrape par la jambe. Je vends quand même chèrement ma peau, je le griffe, le mord, le frappe avec une hargne alimentée par mon instinct de loup garou, un vrai petit démon.

-Lâche moi, sale fils de pute, connard, steak vivant je vais te péter la gueule! Je te jure que je vais te buter si tu me lâche pas tout de suite! Connard, chien, chiure de gobelin!" j'hurle en m'agitant dans tous les sens alors qu'il me soulève, pied vers le haut.
Ma réaction doit être drôle à voir vu que le garde a explosé de rire en me voyant réagir ainsi, même le cocher riait sans voir la scène. J'imagine que voir une crevette dire à une baleine qu'elle va la massacrer est amusant...
-Putain, j'ai pas autant ris depuis longtemps. Aller, arrache lui la culotte qu'on puisse profiter du spectacle, ça fait un moment que j'en ai eu une aussi jeune sous les yeux.
-Nan nan nan nan nan me touche pas vache de merde je t'interdis de..." *crac*

Mais je n'eu même pas le temps de finir ma phrase que le dernier bout de tissus présent sur moi était déchiré. Le minotaure me retourna, me tenant d'une main en agrippant les bras pour me maintenir  à quelques centimètres au dessus du sol.  Me voici maintenant totalement nue, à la merci des regards indiscrets des gardes...qui furent surpris de voir mon petit pénis.

-Ah ba putain, c'est la journée des surprise: on a choppé une futa les gars! Toi, approches la. ordonna t'il au minotaure.
-Oh merde je voulais m'amuser un peu avec elle avant de la vendre. fit un autre esclavagiste
-Tu peux toujours.
-Nan, les femmes à bite j'aime pas.

Je rêves, ils parlent de moi comme s'ils m'avais à leur disposition. Même dans cette position, je me débats, tentant de foutre des coups de pieds au minotaure mais, bien sûr, sans le moindre succès. A présent je suis près de la paroi de la cage et l'enfoiré s'approche, curieux. Moi je suis à nouveau en train de pleurer de honte et d'impuissance.

-Tu l'ouvre moins ta grande gueule maintenant hein? T'as compris maintenant? Ici, tu n'es rien! " dit il en commençant à appuyer  sur mon entrejambe, volontairement pour que ce soit douloureux, ce qui me faire pleurer encore plus fort. Finalement, au bout d'un moment, il semble se lasser, me lâche et retourne s'asseoir.
-Putain il est vraiment petit. Petite bite, petits seins. T'as vraiment rien pour plaire toi, je me demande qui pourrais bien vouloir de toi un jour..."

Une fois libre, je tombe lamentablement au sol et me précipite dans le coin opposé de la cage et m'y roule en boule, tentant de me calmer et me cacher. Le terranide buffle lui retourna s'asseoir sans dire le moindre mot.

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