Chengzu n’aurait jamais cru devoir un jour enfiler cette combinaison Pourquoi ne l’avait-il pas jeté ? La raison première, c’est que le jeune homme n’aimait pas le gaspillage. Quand il avait fini sa commande, il savait que personne n’aurait repris le surplus qu’il avait en stock. La valeur marchande du peu de latex restant était quasiment nulle, et, plutôt que de la jeter, il l’avait donc utilisé pour se confectionner une tenue. Si Theorem était le premier à la voir, il l’avait déjà essayé sur lui-même, solitairement, et s’était admiré devant le miroir, se sentant très paradoxal devant cette tenue. Elle était effectivement très belle, très réussie, et il ne savait pas trop définir, à l’époque, ce qu’il ressentait en se voyant ainsi. C’est sans doute pour ça que, après mûre réflexion, il avait choisi de la conserver, et non de la jeter. Un choix finalement très judicieux, car, en le voyant ainsi, Theorem sentit son cœur s’emballer. Son regard exprima une joie infinie, un désir sexuel terrible, et Chen’ ne put que déglutir, la queue bien tendue. Lui-même se sentait maintenant dans un drôle d’état, très emballé par la fougue de son jeune amant.
Dans ces circonstances, Theorem s’empressa de prendre sa queue en bouche, et…
« The… Theorem, haaa… !! »
Son bel amant lui offrit une fellation incroyable, pleine d’énergie, pleine d’appétit, pleine d’une fougue insatiable ! Impatient, assoiffé, gourmand, il opta rapidement pour une série de lourdes gorges profondes, provoquant des claquements spongieux en enfonçant le vit turgescent de son amant en lui. Chengzu déglutit en sentant sa queue taper contre sa gorge, au fond de sa bouche, et crispa ses doigts gantés sur ses cheveux, serrant cette masse rouge, tout en sentant le nez de Theorem frotter sur sa peau, son menton flattant ses bourses, s’écrasant dessus.
Grognant lentement, le Terranide-bélier sentit une violente énergie le traverser, un désir sexuel furieux et puissant. Ses mains se crispèrent donc sur ses cheveux, et il accompagna les mouvements du jeune homme, le tout en couinant et en soupirant profondément. Une énergie incroyable, renversante, le traversait, s’emparait de lui, le laissant pantois. Rien ne semblait devoir arrêter Theorem, et Chengzu ne voulait surtout pas que son amant s’arrête, bien au contraire ! Qu’il continue, encore !
« Theorem, pu… Putain, quel affamé !! Theorem !! »
Chengzu venait à sortir lentement de ses gonds, comme un volcan en éruption, une force tranquille qui émergerait. Ses mains devenaient plus lourdes, et Theorem cessa sa fellation, pour frotter son visage contre sa queue, impatient, assoiffé… Autant dire que la bite de Chengzu était devenue bien dure, véritable trique qui lui faisait mal, stimulant son adrénaline. Ce premier juron ne fit que le débloquer, car, quand il vit Theorem devant lui, la bouche grande ouverte, assoiffé, Chengzu déglutit.
Le Terranide-bélier aurait pu se masturber, mais il poussa un grondement, et enchaîna :
« Prends ma bite en main, Theorem ! Allez, branle-moi, je vais te jouir sur la gueule ! Allez, dépêche-toi, sale pute en chaleur ! Branle ma grosse queue, vite ! »
Chengzu n’allait pas lui offrir le plaisir de se masturber devant lui, pas dans cet état. Le latex n’avait fait que contribuer Chengzu à sortir de son état passif, à s’arracher à sa passivité pour dévoiler un homme énergique, un amant assoiffé qui comptait bien plonger pleinement dans le jeu de soumission voulu par son ancien, et désormais renouvelé, amant…