Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre > Les alentours de la ville

[Terminé] Un trajet mouvementé (PV |-| Laëlia et Nyoras Club)

(1/9) > >>

Souta et Janus:
Travailler de jour est tellement rare que j'ai un mal fou à gérer ce genre de cas. La faute au fait de travailler dans un milieu douteux où on agit principalement lorsque le monde de la nuit tend ses bras à toutes les crapules et autres truands. En général je fais des pieds et des mains pour éviter ce genre de mission. Sauf que voilà... ce boulot est tellement bien payé que j'aurais perdre trop de contacts en le refusant.
Dans le milieu on ne fait pas confiance à ceux qui refusent de se remplir les poches quand la situation le permet. Ça éveille les soupçons. Et dans le pire des cas, ça va jusqu'à se prendre un coup de couteau sans qu'on puisse le voir venir.

La journée a été plutôt alors calme alors que je devais assurer la sécurité, de façon incognito, d'un VIP qui participait à l'inauguration d'un parc aux abords de Seikusu. Un évènement banal composé de gens banals dans un lieu banal. Bon, okay, il y a bien quelques nanas qui ont attiré mon regard à plus d'une occasion. Malheureusement le boulot passe avant le reste.

Habillé comme à mon habitude d'un jean noir et d'une chemise blanche pour offrir un semblant de sérieux, je vois les heures défiler jusqu'à ce que la nuit tombe enfin. Signe que mon calvaire est sur le point de se terminer. C'est en tout cas ce que je m'imagine alors que le client passe une heure de plus à saluer toutes les personnes présentes qui partent chacune leur tour dans des voitures de luxe.
Autant dire que l'environnement il s'en tape complètement.

Tout naturellement je l'accompagne à sa voiture quand il me lance :
- Il y a un bus un peu plus loin qui va vous raccompagner.
- Hein ?

Effectivement, un bus se trouve bien positionné derrière des arbres. Le client profite de ma surprise pour monter dans sa bagnole qui démarre en quatrième vitesse.

- Génial...

L'envie de me barrer d'ici est si forte que je n'ai pas l'énergie de m'énerver. Surtout que ça pourrait inspecter mon salaire.
Je décide alors de me diriger vers le bus en question qui est quasiment vide. Un homme, qui a clairement trop tiré sur la bouteille, est en train de pioncer au premier rang. Sur les sièges de derrière se trouve un couple qui tourne la tête en me voyant pour éviter tout contact visuel. Puis un ado d'environ 16-17 ans est scotché sur ton portable.

Histoire d'être tranquille, je vais me foutre tout au fond dans l'un des espaces qui propose quatre sièges. Deux dans un sens et deux autres en face. Côté vitre, histoire de pouvoir m'occuper... ou m'endormir comme l'autre soulard.

Laëlia:
J'avais passer la journée dehors avec une bande d'amis pour aller m'amuser un peu et l'alcool avait couler à flots dans la petite sauterie à laquelle nous avions été invités. Etrangement, l'alcool n'avait pas tendance à me faire beaucoup d'effet et il fallait vraiment que je me mette à boire des litres de ces breuvages pour ressentir un maigre effet de ce qu'il était censé faire. J'avais donc toujours tendance à finir la plus sobre et ce n'était pas forcément très drôle. Ducoup, pour une fois, j'avais descendue quelques bouteilles à moi toute seule pour ressentir les mêmes effets que tout le monde.

Sauf que lorsque j'avais commencer à être à peine un peu pompette, la  fête touchait à sa fin et le DJ remballait déjà son matos alors qu'il faisait nuit depuis une petite heure seulement. Dépitée, j'avais décider de ne pas m'attarder dans le coin et de rentrer pour aller me coucher. La journée de demain serait sans doute meilleure. Ayant préférer éviter de prendre le taxi pour venir, il fallait que je marche pendant des plombes pour trouver un bus qui pourrait me ramener jusqu'à chez moi.

Celui-ci est finalement caché derrière des arbres qui longent un parc. Un autre évènement, bien plus classe, semble s'être aussi terminé tout près et le véhicule devait permettre de ramener les rares individus qui n'étaient pas véhiculés, contrairement à là où je me trouvais précédemment.

Comme à mon habitude, je portais une petite tenue assez sexy composée d'un mini short qui laissait voir la naissance de mes fesses et d'un petit haut qui cachait tout juste ma poitrine. Court en bas, et court en haut, je ne faisait jamais dans la demi mesure. Sauf qu'aujourd'hui je n'étais pas parvenue à me mettre grand chose d'intéressant sous la dent contrairement à mon amie qui s'était fait raccompagner par un bad boy qui allait certainement se la faire dans tous les sens possibles.

Bref, je monte dans le bus qui est presque vide à cette heure ci et décide de me mettre à l'arrière, pensant pouvoir ruminer tranquillement sans être dérangée. Je prends place dans un carré pour 4 qui est finalement déjà occupé. Je décide de m'asseoir en face de l'homme assis du côté de la vitre  sans prendre la peine de croiser mes jambes qui restent naturellement un peu écartées, et le salue de manière polie.

- Bonsoir... ça ne dérange personne si je m'assoie ici ?

Nyoras Club:
(PoV : Yor)

« Je vois pas pourquoi ça dérangerait quelqu’un… »

Ce soir, j’étais sortie me promener. Oui, ça m’arrive… surtout quand le club est fermé. Je veux dire, quel intérêt de sortir faire des rencontres alors qu’au club je me fais passer dessus à longueur de temps ? Oui c’est ça, aucun ! J’ai tourné pendant un petit moment, me demandant où aller, mais je dois bien admettre que je n’ai pas vu l’heure passer et que je me suis retrouvée à chercher un endroit ouvert alors que la plupart étaient en pleine fermeture. Oups.

Alors je me suis faites une liste des endroits où trouver des gens prêts à s’envoyer en l’air. Des parcs. Des boîtes encore ouvertes. Des coins sordides. Les transports en commun… ? Oh peut-être tiens, j’ai jamais tenté ma chance. Pourquoi c’est sur ma liste ? Parce que je vois un bus à l’arrêt là, et qu’une fille s’y dirige… et elle a un cul superbe ! Alors je grimpe dans le bus à sa suite, souriant au chauffeur en le voyant la mater… puis me mater. Bon déjà y’en a un avec qui y’aura moyen… mais ça serait bien qu’il y en ait plus. Il y a de bons candidats dans ce bus après tout.

Et c’est donc à ce moment que je réponds à cette charmante demoiselle. Un sourire enjôleur sur les lèvres, je viens m’installer à côté d’elle tout en saluant notre voisin. Je suis sûre qu’il va aimer ce qui suit…

« Vous aussi vous avez fini la soirée seule ? »

Contrairement à elle, je croise mes jambes. Ca fait remonter ma longue jupe moulante, et j’en profite pour caresser le tibia de ma voisine du bout du pied. A la réflexion, j’aurais peut-être dû prendre le même genre de tenue qu’elle… j’en salive tant la vue est agréable.

« Ah, pourtant votre tenue vous met très bien en valeur… et vous devez avoir bien moins chaud que moi. »

Pour appuyer mon propos, je tire un coup sur mon haut pour faire mine de m’aérer. Bien sûr, ça révèle bien plus que ça ne le devrait à mes deux voisins et je ne me gène pas pour en rajouter une couche.

« Si je m’écoutais j’enlèverais tout ça… »

Souta et Janus:
Ma torpeur est vite balayée par l'arrivée d'une bombe qui me demande si elle peut venir s'asseoir à côté. Elle n'a même pas besoin de me demander la permission. Ni à moi, ni à qui que ce soit d'autre. Je me demande d'ailleurs si on doit lui refuser quelque chose en général avec un physique pareil et des tenues aussi ravageuses. Ceci dit, je n'ai même pas le temps de lui répondre qu'une autre inconnue s'en occupe à ma place.

Et il n'y a rien à jeter sur elle non plus à ce que je vois. Moi qui enchaîne les galères depuis quelques temps, on dirait que ma chance est en train de tourner tout d'un coup. Va falloir que je pense à m'acheter un billet de loterie demain matin.
Le canon en robe moulante engage la conversation avec la nana au short rikiki avec un naturel assez surprenant.

C'est à peine si je sais où donner de la tête avec tout ce qui se trouve actuellement face à moi. Les gros nichons de la black captivent particulièrement mon attention avec son petit haut qui doit souffrir le martyr pour contenir tout ça. Puis, là, une rencontre entre grands esprits. L'autre femme vient lâcher une véritable bombe.

- Ouais, tu serais clairement plus à l'aise sans.

Toute cette situation, en plus du manque d'action depuis quelques temps, font tressaillir ma queue qui prend doucement forme alors que celle-ci est collée contre ma cuisse gauche.

- Ca dérangera personne. Et surtout pas moi. Tous les autres dorment ou sont trop occupés pour nous mater.

Je marque une très courte pose en me redressant sur mon siège vu que l'échange du moment est cent fois plus intéressant que le panorama stagnant vu que le bus n'a pas encore démarré.

- Sauf si t'aimes qu'on te mate.

Mon petit doigt me laisse à penser que c'est clairement le genre de nana à aimer se donner en spectacle.

Laëlia:
Je ne remarque pas tout de suite la jeune femme qui monte à ma suite et c'est lorsque je sens son regard insistant sur mon cul que je comprends quel beau spécimen se trouve derrière moi.

 Elle ne cherche d'ailleurs pas à comprendre et vient s'installer à ma suite dans le petit carré pour 4 sous le regard soudainement intéressé du mec qui était là avant nous, tout en me demandant si j'ai fini la soirée seule ce que je lui confirme.

Un petit sourire étire mes lèvres lorsque ma voisine vient caresser mon tibia et je lui lance un regard lourd de sens. A m'allumer comme ça elle ne risquait pas de rester habillée très longtemps c'était certain. Je plonge mes yeux dans sa poitrine lorsqu'elle fait semblant d'avoir chaud tout en me lechant les lèvres. Elle savait comment me mettre en appétit celle-ci.

Je m'imagine déjà entrain d'explorer son petit corps d'aguicheuse jusqu'à ce que notre voisin exprime clairement son désir de la voir se dévêtir. Intéressant. Je le dévisage avec curiosité et remarque rapidement qu'une légère bosse se forme au niveau de son entre-jambe. Il faut croire que la situation tournait à mon avantage et je me range à son avis.

- Je suis d'accord avec le beau jeune homme. Tu ne devrais pas t'encombrer de tant de tissus...

Sa petite robe lui allait comme un gant et était particulièrement sexy mais j'étais certaine qu'elle devait être mieux sans. Je ne me genais pas de la dévisager de la tête aux pieds en imaginant tout ce que je pourrais lui faire. Mon regard passait ensuite sur l'homme à la musculature saillante qui venait de tirer le gros lot avec deux grosses chaudasses.

- C'est vrai qu'il fait chaud par ici...

Je relève un peu mon haut, laissant volontairement déborder un de mes seins qui cherche à s'échapper de son fourreau. Je n'avais clairement pas de temps à perdre en conversations lamba et ils avaient tous deux éveillés mes sens en quelques secondes seulement.

Navigation

[0] Index des messages

[#] Page suivante

Utiliser la version classique