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La rencontre de deux vices ~ Pv Sophiana Caldo~

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Sins:
Terra,

Notre Terre promise, la bouée de sauvetage des anciens dieux terriens. Cette terre nous avait permis de non seulement survivre, mais également de prospérer, chacun trouvant son compte, mais moi bien plus que les autres. J'avais finalement trouvé un éden, le paradis du vice, chacun des péchés étant encouragé, et non puni. Même les créatures de ce nouveau monde transpirait les péchés; les démons eux même marchaient parmi les mortels, laissant libre court à toutes leurs pulsions.

Satisfaite, je passai la main sur le bol d'ivoire, rempli d'eau, passant le bout de mes doigts dans l'image d'un groupe d'hommes qui se battaient entre eux à la sortie d'une taverne, et l'eau changea de réflection. Je vis ensuite un couple s'en donner à coeur joie dans une ruelle, à quelques mètres d'une artère principale, tout près d'un marché populeux. Je passai une dernière fois mes doigts dans l'eau crystalline.

Enfer, palais de la luxure.

De toutes les dimensions que comporte notre univers, c'est l'un de mes endroits préférés. J'y avais passé de bons moments comme invitée d'honneur chez le roi, mais apparement ce n'est pas bien vu  pour un dieu de fricoter avec les démons en enfer, même si techniquement je représente ce qui les anime, encore plus que les mortels. Dans tout le désordre de ce royaume des enfers, je remarquai une dame aux cheveux roses. De sa réputation, j'eu tôt fait de reconnaître la princesse de la luxure, Sophiana. Son géniteur m'avait brièvement parlé de cette dernière, qu'elle était sa digne fille et que je devrais la rencontrer un jour.

Le reflet de l'eau changea une nouvelle fois, renvoyant mon visage sur sa surface. Je me déplaçai doucement vers mon manoir, ma robe violette en soie presqu'entièrement transparente, qui laissait entrevoir mes dentelles, dansait paresseusement avec la brise. Je passai des colonnes de marbre blanc, qui faisaient office de séparation entre la cour extérieure et intérieure, puis rejoignis un ensemble de terrasse entièrement composé de pierre blanche d'inspiration grèque antique, excepté pour les coussins brodés rouges, sur les canapés blancs. Sur une petite table étauent apposées des victuailles; fruits, noix, viandes séchées en tout genre ainsi qu'une imposante carafe de vin. Je pris une grappe de raisins de son bol et me remplit un verre de vin avant de poser mon fessier sur une méridienne. M'allongeant sur le côté du canapé, le coude tenant ma coupe de crystal contre la tête, je souris à la demi-démonne qui se tenait à quelques mètrss de moi, encore un peu abasourdie. Je venais tout juste de la convoquer, mais comme je n'aime pas attendre je l'ai simplement arrachée à son royaume pour la rencontrer en cet instant.

-Bonjour, chérie. Je suis Sins, la déesse des péchés. Ton papa m'a beaucoup parlé de toi, et je voulais te rencontrer personnellement. J'espère ne pas t'offenser en te convoquant ainsi... As-tu faim? Tu peux prendre ce que tu veux de la table, l'alcool également!

Je lui souris doucement puis pris une gorgée du liquide rouge. Si cette hybride était la moitié de ce que j'eus entendu d'elle, la journée va être intéressante!

Sophiana Caldo:
Ayant fini mon travail de doctoresse sur Terre, enchaînant les problèmes futiles de ce monde dont les opérations sont banales comparer à ce que j'ai pu faire sur Tekhos ou même au front contre les formiens, mais même si c'était plus simple avec les terriens, plus rapide, le boulot est d'autant plus nombreux et les week-end où je partais de ce monde était le seul moment où j'avais un repos totale. Cette fois-ci, je partais pour le palais de mon père, au royaume de la luxure où il en est le dirigeant, j'avais empruntée un des portails, dont j'avais le secret, cachée dans mon appartement, pour accéder au domaine du démons aux seize mains. Je revêtis ma tenue de princesse démoniaque, une longue robe noire en soie légère, ouverte sur le coté droit pour laisser ma cuisse nue jusqu’à sa hanche mais ne laisse pas voir sur entrejambe. Le haut de sa robe est tout aussi séduisante que moi, laissant mon ventre visible par un losange, les cotés fait en fil d'or, dont les sommets s'étirent vers son pubis et la falaise que crée mes monts très plantureux, ceux ci étant piéger dans un beau décolleté décolleté plongeant, lui arrivant juste au-dessus pointes rosées mais il n'y a pas que du tissus qui les cachent, deux mains en or massif soutiennent et agrippent sa lourd poitrine, les pouces vers l’arête de celle-ci.

Une fois mes talons hauts, montrant mes pieds nus, misent, je pénètre dans le portail pour me retrouver dans ma chambre princière, chez mon géniteur, et y sortit pour aller le voir dans sa chambre, ayant pris l'habitude de se souhaité les retrouvailles en copulant comme des barbares, ce qui pouvait prendre des jours parfois à crier et me faire remplir dans cet relation incestueuse, ce qui ne me déplaît pas pour autant, je ne m'en lassais pas du tout et c'est ce qui me fit accélérer le pas dans les couloirs de la demeure, faisant bondir mes seins à chaque pas, perdant aussi quelques secondes à embrasser les gardes à l'apparence de démons, ainsi qu'amants, laissant leurs mains me parcourir les courbes, puis perdis une heure à copuler avec trois d'entre eux, trop exciter de revoir leur princesse de luxure que pour se contrôler. Finissant à califourchon sur l'un, couché sur lui, le deuxième à genoux derrière moi et le dernier aussi mais avec sa pine bander devant ma bouche, puis, une fois en place, ils me pénétrèrent ensemble, m'offrant du plaisir horriblement puissant lors de cette double pénétration vaginale pendant que j'étais forcé à sucer un beau chibre jusqu’à la gorge. Après ce temps, jouissance et orgasme atteint, ils me lâchèrent avant de se prosterner pour me remercier une fois que je me suis levée, ventre légèrement bombé par toutes la semence déversée dans ma chatte bien entraînée, remis ma robe correctement avant de repartir comme si c'était normal, ce qui est le cas, reprenant ma route en étant bien remplie.

Tout aurait pu n'être que routine mais en passant dans un tournant de couloir, en un clignement d'yeux, je me retrouvais dans un palais plus lumineux, au décor rappelant ceux de la Grèce Antique, tout les détails que mon regard captait est étrangement similaire aux écrits de ce temps. Je reste néanmoins sur mes gardes, sans bouger, avant de tourner rapidement la tête vers mon interlocutrice, dont le corp est digne de sa tenue ainsi que des lieux, qui avoue m'avoir convoqué en prétextant qu'elle connaissait mon père.

Que fais-je ici et qui êtes vous ? Où suis-je surtout ? Je ne vous connais absolument pas, moi.

Je suis sur ma défensive et je ne m'en cachait pas, même mes bras de démon, assez long et invisible sont de sortis, la seule vu, que la déesse peut avoir d'eux, est leurs ombres qui se compte aux nombres de huit et sortant de mon dos. Je ne suis pas aussi stupide non plus et je me doutais que la puissance de l'inconnue égale ceux des dieux car, eux seuls, peuvent convoquer sans effort un démon de la sorte mais cela ne m'empêche quand même pas d’être prête à attaquer celle-ci si elle fait une action de travers envers ma personne.

Sins:
Quel genre d'être de la création peut invoquer un démon sans rituel ni sacrifice? Un être vachement puissant, immortel et à qui il ne vaut mieux pas montrer les griffes. Je ne pus cependant m'empêcher de sourire à la jeune femme, dont la puissance semblait s'être accentuée, aussi avec les ombres de bras qui ondulaient sur le marbre. Le vent se mit à souffler avec une force qui fit danser nos cheveux, sifflant entre les colonnds blanches; les gardiens de l'Olympe avaient porté leur attention sur ma demeure, l'hostilité de la démonne les forçant à signaler leur présence. Si elle montrait les dents une nouvelle fois, ces derniers se présenteraient. Et je ne veux pas de leur présence chez moi. Je pris une nouvelle gorgée, puis répondit à ces questions.

-Comme je t'ai dit, je m'appelle Sins. Tu es chez moi, au sommet de l'Olympe. Pour ce qui est de la raison de ta présence: j'avais envie de connaître la future reine de la luxure, étant donné que votre royaume me rend si puissante. Au fait, tu devrais te calmer un peu. Les gardiens te regardent et n'aiment pas l'hostilité que tu dégages.

Les gardiens avaient été créés, lors de notre arrivée sur Terra, dans le but de protéger les dieux qui trouvaient refuges sur le mont. Presque tous de mes frères étaient faibles et devenaient les proies de la faune de ce nouveau monde, ma foi hostile. Lorsque deux dieux s'affrontaientles gardiens les laissaient se battre jusqu'à ce qu'un prenne véritablement avantage. À ce moment, ils apparaissaient pour prêter main forte au dieu perdant et mettre un stop au combat. Ce sont l'une des rares espèces qui peuvent donner du fil à retordre à un dieu. Mais à 1 contre 1, nous gagnons toujours. Le ciel se faisait de plus en plus sombre et des nuages porteurs de pluie, qui ne se rendent généralement jamais au-dessus de la montagne, se pointèrent, laissant tomber quelques gouttes de pluies, comme un avertissement d'un orage imminent.

Je me levai de ma méridienne et alla apporter une coupe de vin à la femme, encore sur ses gardes.

- J'ai simplement envie d'apprendre à te connaître, et qui sais, peut-être devenir copines!

Je me retournai vers le petit ensemble extérieur en faisant rouler mes hanches, lui laissant une jolie vue. Je pris un raisin de sa grappe avant de croquer dedans et me retourner avec un petit clin d'oeil

-... Et plus si affinité...

Sophiana Caldo:
Mes yeux se lèvent vers les cieux devenant grisâtre quand je me suis mit sur la défensive et prête à attaquer, je ne ressent rien qui se dégage de la déesse aux formes attrayantes. Je réfléchissais à ce que ça pouvait être, un système de défense ? Un autre dieu cacher ici ? Ces questions qui me taraude sont vite résolus par les paroles de Sins et me rassure sur le lieux où je me trouve, me calmant doucement pour arborer un sourire plus doux, mes bras démoniaques revenant à leurs origines.

Je préfère être sûr d'où je me trouvai et ne vous inquiétez pas, ils ne viendront pas.

Je prend délicatement la coupe, en éraflant la main de la charmante déesse, du bout des doigts, tout en la remerciant d'un hochement de tête avec un regard séducteur envers elle, lorgnant sa poitrine à peine cachée. Je la regarde s'éloigner dans un déhanchement aguicheur, un beau spectacle pour mes yeux turquoises qui n'hésita pas à les fixer longuement avec un lèchement de lèvre. Je me laisse tenter et m'approche un peu plus d'elle, sans lâcher les galpes de rêve de celle-ci, qui me vit la mater quand elle se retourne.

Je ne suis pas gênée et lui même d'autant plus en la regardant dans les yeux, buvant une gorgée de ma coupe de champagne. Je n'ai jamais connu de vrais dieux mais je savais qu'il était très mal vu, pour eux, de se tenter aux démons même pour la déesse de l'amour, Aphrodite, c'est ce qui me perturbais d'ailleurs, elle semblait plus s'en foutre et n'hésite pas à mettre ses formes en valeur pour me chauffer. La princesse du Royaume de Luxure comblant les vices d'une déesse olympienne, c'est un défi que je ne peux refuser.

Attention de ne pas être amoureuse, Zeus risquerait de ne pas apprécier, et... je suis plus pour la polygamie et les vices en tout genre.

Je m'approche encore, faisant exprès de marcher lentement pour que mes seins balochent un peu dans ma robe, me mettant devant elle tout en prenant un raisin que je glisse délicatement dans ma bouche, comme si c'était un téton, puis le mange avec un fin sourire.

Mais je ne comprend pas trop en quoi la futur reine de luxure intéresse une déesse olympienne. Déesse de je ne sais quoi, au passage.

Surtout une déesse qui a l'air plus désireuse du plaisir que je vais lui apportée entre ses cuisses qu'autre chose.

Sins:

La démonne était désormais tout près de moi, avalant sensuellement un raisin qu’elle avait pris dans son bol,  mentionnant peu avant le nom de Zeus. Comme si on lui appartenait toute. Un court moment, je fis une moue un peu agacée, avant de lever le menton et le sourcil droit en l’entendant dire qu’elle ne savait pas de quels pouvoirs je possédais. Cette gamine, elle en a encore beaucoup à apprendre si elle souhaite reprendre les rênes du royaume infernal de son paternel. Un petit sourire en coin apparut à mes lèvres roses venu le moment de lui dévoiler qui j’étais, pour la troisième fois

-Vous les démons, vous avez une grande gueule, mais pas d’oreilles. Très bien, petite princesse fragile, je vais te dire qui je suis…

Le ciel s’alourdit à nouveaux, alors que je me reculai de quelques pas en la regardant, mon petit sourire prenant de plus grandes proportions, jusqu’à montrer mes dents blanches. La pluie se mit à battre la demeure avec force, nous détrempant toutes les deux, nos robes respectives moulant notre corps parfait. Soudainement, comme si elles venaient de la pluie, une succession d’images se firent voir par la démone : Trois hommes blancs battaient un noir dans une ruelle, quelque part au Japon; Un noble ashnardien mangeait à pleine joie, se gavant comme un porc; un esclavagiste se pavanait à Nexus comme un paon, trois chaînes partaient de sa main pour venir se refermer sur un collier en acier, traînant trois magnifiques esclaves; Un américain dormait dans un hamac alors que des ouvriers illégaux mexicains entretenaient sa maison; Une femme comptait ses millions, alors que ses proches n’arrivaient pas à manger; Lesdits proches, qui complotaient pour voler l’argent de la femme avare.

Pendant que la jeune femme aux cheveux roses portait son attention sur le « vidéo », j’avais disparut pour arriver dans son dos, si près que ma poitrine était écrasée contre ses omoplates. Je lui susurrai à l’oreille, une main contre sa gorge.

-Je suis l’envie de manger quand tu n’as plus faim, je suis celle qui te met en colère, celle qui t’apporte la fierté après un bon coup, celle qui t’empêche de distribuer ta fortune… Celle qui t’as fait baiser avec les trois gardes il y a à peine quinze minutes, mais aussi qui te donne encore le goût de jouir un peu plus, maintenant. Je suis Sins, la déesse des péchés et du vice. Dis toi, je suis un peu ta déesse…

Ma main droite toujours contre sa gorge, je me saisis d’un de ses seins avec mon autre main, le serrant avec force et finissant par pincer son mamelon au travers de sa robe détrempée. D’un simple mouvement de doigt, je fis sortir son sein de sa prison, laissant la pluie courir sur son mont mis à nu, tout en continuant de le masser avec vigueur.
On pouvait entendre le tonnerre à présent. Chaque dieu peut contrôler son climat autour de sa demeure… Excepté quand les gardiens se trouvent dans les parages. Je mordis son lob d’oreille avant d’y soupirer.

-Dis moi, petite démone, es-tu prête à te donner à moi, désormais…?

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