Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Jessica Skyangel

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Jessica Skyangel

Pages: [1]
1
Vous nous quittez déjà ? / Pardon !
« le: lundi 04 avril 2016, 20:40:03 »
Bonsoir !

Je viens vous prévenir que je n'arrive plus du tout à suivre ce forum. Pour plusieurs raisons et c'est pourquoi je quitte ce forum.
Je m'excuse auprès des personnes avec qui je faisais un rp, et je vous souhaite à tous une bonne continuation !

2
« Nan mais t’es sérieux mec ? T’as cru quoi oh ? Que j’étais ta chienne peut-être ? » Un coup de pied dans le ventre ponctua les mots. « Apprend ça et reste à ta place, je suce qui je veux, où je veux et quand je veux ! Rien à foutre que tu ne sois pas satisfait ! » Un autre shoot suivit. « Maintenant ferme ta gueule et estimes-toi heureux que je ne t’arrache pas les couilles ! Elles ont plus de valeur que toi ! Pauvre merde !

- Heu … Jessica …

- QUOI ?!

- Je, je crois qu’il a compris, si tu continue faudra l’emmener à l’hôpital. »

Bonjour à tous, je m’appelle Jessica Skyangel et je suis officiellement la grande patronne du lycée Kohaï. La big boss, celle qui donne les ordres, celle qui fait l’objet de tous les fantasmes, celle qui a dépuceler tous les garçons de cet établissement, sans exception. Une pute ? Non non, la dernière personne a m’avoir traité ainsi vous le savez, elle a encore son affiche parmi les gens disparus, au bureau de ma mère. Et ça va faire plus de cinq ans que personne n’à retrouver sa trace, héhé. Mais bref, tout ça je vous l’ai déjà raconté. Le garçon par terre qui pleurniche en se tenant le ventre, c’est Tosuko, un nouveau de première année qui n’a pas encore tout à fait intégrer le fait que ce n’est pas parce que je lui ai tailler une pipe dans le vestiaire, qu’il a le droit d’en réclamer plus. Et la chieuse à côté, qui demandait à ce que j’arrête, c’est ma rouquine favorite. Elle a de ces seins ! Mon fan-club n’a de cesse de grossir au fil des semaines, des années et tous propagent les mêmes règles. Ne jamais m’insulter en-dehors des séances de baise. Jamais.

« Bien, j’espère pour toi que tu auras retenu la leçon. Ciao merdeux. »

Héhé, j’adore me la jouer tyrannique. Ça en rajoute à mon charme, vous ne trouvez pas ? Le genre bad-girl, caïd des lieux. Je suis en terrain conquis ici, même les profs ne disent plus rien. Et le proviseur, c’est limite s’il ne rêve pas que je le bâillonne et que je l’attache au portail de l’école pour le fouetter devant tout le monde … Ouais ça atteins des sommets dans la débilité ici.
Mais bon, c’est ainsi. Oh ? Maman qui m’envoie un mail ? Rare ça, qu’est-ce qu’elle me veut encore celle-là ? Tellement envahissante et irrespectueuse de ma vie privée !
J’ouvris mon téléphone et lu les quelques lignes avant de le refermer et de soupirer, avachie sur ma table. Je suis déjà bien assez sportive comme ça, justement Copperhead pourrait ne pas aimer si je me mets à prendre du muscle alors franchement, flemme … « Ce n’est pas une option » nya nya, j’avais peut-être quelque chose de prévu cet aprèm hein ! Punaise, bon ils ont intérêt à me plaire les mecs qu’elle ramène, sinon je me barre direct. Un coup d’œil à l’horloge, il me restait un peu de temps. Un passage à la cantine, un crochet dans le vestiaire des garçons et ce sera bon.

Hop, plus que vingt minutes. Je montai dans le bus tout en terminant de remettre mes vêtements. Le chauffeur me regarda d’ailleurs avec étonnement mais c’était le cadet de mes soucis. Un coup de peigne dans les cheveux une fois installée au fond du véhicule, et ce sera suffisant. Ça va hein, ce n’est pas la reine d’Angleterre non plus. C’est juste une vieille peau qui ne peut pas s’empêcher de me mettre des bâtons dans les roues quand j’essaye de faire ce qui me plait.
Embouteillages et feux rouges interminables, j’arrivai à destination avec plusieurs minutes de retard. Et qu’est-ce que je m’en cogne ! Poussant avec nonchalance la porte du gymnase, je repérai rapidement le groupe et m’y approcha. Maman était sur le ring, dans sa tenue traditionnelle de boxe, et elle faisait face à une femme qui devait quasiment avoir le même âge que moi. Tous les hommes observaient à l’extérieur des cordes, mais bon ça on s’en fiche un peu. Non j’observai l’inconnue qui commençait à échanger des coups avec son adversaire. Elle me ressemblait beaucoup. Même style de bronzage, même forme de visage, même hanches, même poitrine opulente qui mmmmh se balance bien à chaque mouvement vif.

« Yo m’man. Dit donc c’est qui celle-là ? Elle fait partit de ta brigade aussi ? » Un des flics me chuchota que non. « En tout cas elle te domine, ahah ! Ça craint un peu ! Et dit donc, t’as ramené des changes pour moi ? Si tu veux que je fasse du sport … sinon je reste assise là hein, ça me va très bien aussi. »

3
Le moteur rugissant au démarrage fut le premier à prendre la parole. Est-ce qu’elle aurait fait exprès de prendre ce véhicule-là en particulier pour moi ? Juste pour venir me chercher ? Certes elle adore se faire voir et provoquer des soupires d’envie dans l’assemblée, mais si c’était vraiment juste le but aujourd’hui, elle aurait due prendre la décapotable, ou le 4x4 hammer ! Ça aussi ça en met pleins les yeux ! Mais bon, l’avantage non négligeable de cette voiture-ci, c’est qu’on est bien assis dedans. Les sièges sont super confortables, et ça vaut mieux quand on sait jusqu’à combien un tel bolide peut grimper.
Copperhead répondit ensuite qu’elle allait bien, et que je lui avais manquée aussi. Enfin non, techniquement j’avais manqué à son membre. Une précision qui me fit sourire alors que je venais déposer ma main sur son entrejambe, et sur la bosse dissimulée. Par contre, chose inattendue, elle vint me saisir par les cheveux pour m’approcher et m’embrasser avec ardeur. Nos langues jouèrent ensemble à nouveau quelques courtes secondes avant qu’elle ne me repousse dans mon siège.

« Et bé, quelle fougue en cette fin de journée ! Ahah ! » Lui lançai-je.

« Ne t'occupe pas de la destination. Pour le moment, la seule chose qui doit occuper ton esprit c'est comment tu vas me vider les couilles … Et tu sais que je n'aime pas atteindre … »

C’est cru, franc et direct. Tout ce que j’aime. Pourquoi les gens aiment tant tourner autour du pot quand ce serait si simple de dire ce que l’on veut tout de suite ? Bah ouais, regarder-nous. Maintenant je sais exactement ce qu’elle veut, pas besoin de perdre plus de temps en hésitations inutiles.
Sans même prendre la peine de mettre ma ceinture, je me penche sur les cuisses de la belle blonde et en un tour de main, je libère son phallus de sa prison de tissu. Un phallus qui a déjà commencé à se raidir, mais c’est loin d’être son état maximal. Nous sommes encore face au lycée mais les vitres tintés permettent d’échapper aux regards indiscrets. Ici je suis une esclave, une bonne soumise obéissante et affamée. Dehors au contraire, c’est moi qui fait la loi, c’est moi qui choisi qui je suce, qui je baise et quand. Et pas l’inverse. Merci aux vitres tintées donc ! Je vins m’approcher et respirer cette belle bite encore à moitié endormie, sourire aux lèvres :

« Mmh, elle sent fort. Tu as encore fais des folies avant d’arriver ? Ou ça date d’hier soir ? En tout cas maitresse, je vais me faire plaisir de te la nettoyer. »

Et aussitôt après, je passai la langue sur toute la longueur du manche. De mes léchouilles j’aidai l’engin à terminer son durcissement et enfin la voilà. La bite tant désirée. Vingt-cinq centimètres de long, quasiment six de large. Hélas ses bourses sont encore prisonnières mais en étant ainsi installée, dans une voiture, c’est pas trop possible de faire autrement.
Bref, je débutai une délicieuse fellation sur ce sceptre de chair chaud, l’accueillant avec plaisir dans ma bouche. Le gland fleuretait avec l’entrée de ma gorge encore, mais elle non plus n’allait pas tarder à s’écarter pour se faire envahir.
C’est là que quelqu’un vint toquer à la fenêtre de Copperhead. Merde c’est le puceau de ce midi. Je ressortis le pénis de ma bouche juste pour chuchoter à ma maitresse que je ne souhaitais vraiment pas l’avoir avec nous. Mais connaissant la blonde, une telle révélation pourrait justement lui donner envie de le faire venir. Juste pour me taquiner … Je retourne aussitôt gober son sexe, et commença à le pomper par des va-et-vient, comme si j’espérais que mes gestes la convaincs de ne pas l’inviter.




[Je te laisse choisir si tu veux l’ajouter au lot, ou non ^^ et aussi de l’endroit où nous nous rendons, bien sur]

4
Trois ^^ même si Jody a prit le nom de son père et pas de sa mère  :P

5
Bienvenue petite soeur ! :D

6
Poooh ! Fin des cours !! Putain c’est enfin fini !! Quelle barbe la philo, sérieusement ça fait une demi-heure déjà que j’ai fini de me faire les ongles, ils ne pouvaient pas accélérer ? Et ce prof qui écrit comme ses pieds au tableau alors qu’on a des ordinateurs. Nan mais allo quoi ! L’ère du numérique, tout ça, ça vous parle ? Non ? Et bé …
Et en plus avec ce cours, on avait math. Les dérivations et toutes ces conneries, c’est comme ma mère quand elle me parle des impôts. Ça me passe tellement au-dessus de la tête. Heureusement que pendant la récrée, j’ai eu droit à ma fellation. Le garçon qui a eu l’honneur de se faire pomper le chibre aujourd’hui, c’est le petit intello en informatique. C’était trop mignon, il tremblait comme une feuille quand je lui ouvrais sa braguette. Un puceau encore, tout vierge et délicat. Le genre de personne que j’adore pervertir et convertir aux plaisirs de la chair, au point qu’il en rêve jour et nuit, et qu’au final il finisse comme tous les autres, à me réclamer de recommencer. Hihi, ils sont nombreux dans son cas en plus dans le lycée. Et je les ai tous à ma botte ainsi, ils sont tous prêt à réaliser le moindre de mes caprices pour avoir le nouveau moment intime qu’ils idolâtrent tous !

Ah putain je me kiff ! Et ooooh, voici ma préférée ! Je n’étais pas encore sortie du bâtiment que je reconnaissais déjà le sublime automobile garé devant. Une sacrée bête, autant sous le capot que concernant la personne qui la pilote. Cette blonde à forte poitrine, du doux pseudonyme de Copperhead. J’avais fais sa connaissance il y a cinq ans déjà, via ma mère. J’étais en pleine crise d’adolescente et … hep ! Je ne vous permets pas de dire que je n’en suis pas sortie ! Nan mais oh ! Bref, je traversais une période importante de ma vie, et elle a été là pour m’orienter, me guider. Si je suis ce que je suis aujourd’hui, c’est en bonne partie grâce à elle. Oui y a ma mère aussi dans le lot, forcement. Mais la relation que j’ai avec cette femme n’est pas vraiment la même qu’avec ma génitrice. Non, avec elle c’est comme … heu … comme une maitresse et son esclave, voyez-vous ? Je suis sa chose, son trou à sperme, sa poupée, et j’adore ça !

Un sourire et un petit coucou furtif de la main à son attention, puis je dis au revoir à tout le monde, à mon fan-club également tout en ignorant bien entendu les supplications diverses et variées. Puis je rejoignis Copperhead, accoudée à sa fenêtre ouverte.

« Bonjour maîtresse. Hihi vous m’avez manquée, et votre engin aussi. » Tout en parlant je faisais exprès de remuer des fesses pour faire gémir mes groupies d’envie. « Ça fait longtemps que tu attends ? Désolée hein, le prof voulait pas nous lâcher avant … Je monte, sinon ils ne vont pas arrêter de gueuler derrière. »

Rapidement je fis le tour de la voiture, salua une dernière fois la foule et me glissa sur le siège passager. Piouf, enfin du silence ! Je tournai à nouveau le regard vers la belle blonde, une main sur sa cuisse.

« Et toi comment ça va ? Tu m’emmènes où cette fois ? »

7
Prélude / Re : Bride of Tekhos [Valimenstrué... ée... é...et puis merde !]
« le: vendredi 26 février 2016, 22:23:55 »
Bienvenue !!

Punaise j'adore tellement ta prez ! Et ton vava ! Et ton perso ! C'est magnifique !! I like it !!! :D

8
Le coin du chalant / Re : Anuket la Prêtresse.
« le: jeudi 25 février 2016, 16:31:23 »
Bonjour

La demande est-elle toujours d'actualité ? Si oui, je serais intéressée pour te servir de guide dans la ville.
(Je débute tout juste sur ce forum donc bon, difficile au début pour s'y retrouver ^^)

9
Prélude / Re : Jessica Skyangel, la gosse d'une flic ! [Valilouvée]
« le: jeudi 25 février 2016, 16:06:55 »
Merci pour la validation ^^

Tessou > non non je suis pas flic, ma mère oui (Hélene) mais pas moi :P

10
Prélude / Re : Jessica Skyangel, la gosse d'une flic !
« le: jeudi 25 février 2016, 15:56:29 »
Merci à tous !
Et merci maman ! <3

11
Prélude / Jessica Skyangel, la gosse d'une flic ! [Valilouvée]
« le: jeudi 25 février 2016, 15:38:22 »
Identité : Jessica Skyangel
Âge : 20 ans
Sexe : féminin
Race : Humaine
Sexualité : Bi, malgré une préférence non négligeable pour les pénis.
Expérience : Très expérimentée avec les hommes, moins avec les femmes.


Physique :

Comment décrire Jessica ? Rien de bien difficile en fait. Pour un être humain lambda, elle ressemble en tout point à une bimbo. Vous voyez le genre ? Gros lolos, lèvres pulpeuses, fesses généreuses sans graisse en trop, des cheveux bruns ondulés qui lui tombent juste au-dessus des seins. Bref, des courbes qu’on ne peut ignorer à moins de n’avoir aucune attirance pour le corps féminin. Par contre, contrairement à sa mère Hélène, elle n’a pas héritée de la même taille. Quand sa génitrice mesure plus de deux mètres, la gamine ne fait « seulement » qu’un mètre quatre-vingt-dix. Certes c’est déjà beaucoup pour une femme, elle a eu le temps de le constater durant ses années de collège et lycée, mais rapidement elle a pu en tirer un certain avantage. Voir les gens de haut, ça donne une certaine prestance, voyez-vous. Ça impose le respect, ou la crainte. Ça dépend du point de vue, héhé.

Des yeux bleus, une peau bronzée aux UV (oulala c’est pas bien !), un petit nez, un maquillage que beaucoup pourrait voir en trop grosse dose. Jessica est une femme de vingt ans qui prend vraiment soin d’elle. Avec une bonne couche d’estime de soi, elle utilise ses charmes à chaque fois qu’elle est en a l’occasion, sitôt qu’elle est en compagnie de quelqu’un ou qu’elle veut quelque chose.
Accro au shopping, son style vestimentaire est à la fois très bling-bling, et très provocateur. Avec un décolleté plongeant, ou des vêtements moulants. Parfois les deux ! Elle n’apprécie pas les tissus qui couvrent trop son corps. Un minishort vaut mieux qu’une longue robe. Ne cacher que le nécessaire pour laisser à l’imagination le reste du boulot.

Dernier point, les armes. Nous vivons dans un monde dangereux ! Les rares cours de self-défense qu’elle a pu suivre durant sa courte existence ne suffiront jamais en cas de véritable agression. C’est du moins ce qu’elle pense. Ainsi elle ne sort jamais sans son couteau papillon dans une poche et sa bombe au poivre dans l’autre.

Caractère :

Faisons maintenant une liste de ses qualités, les défauts viendront ensuite car ils sont bien plus long. Elle est courageuse, rebelle (si si, c’est une qualité), elle sait guider une équipe ou un groupe de personne par le bout du nez. Elle est active et franche, même quand il ne faut pas.
Les défauts maintenant. Elle est matérialiste, avare, superficielle dans le sens où il est très souvent plus simple de jugé quelqu’un par son physique que par ce qu’il y a à l’intérieur. Vicieuse, elle n’hésite pas à utiliser le poste de sa propre mère (commissaire de police) pour se faire entendre et respecter. Perverse à la limite de la nymphomanie. Tailler une pipe à une jeune garçon dans la cabine d’essayage d’un magasin pour qu’il lui paie ses nouveaux vêtements, ça ne lui pose aucun problème par exemple. Même s’ils ne se connaissent quasiment pas.

Pour ce qui est de la politique elle s’en cogne totalement. Le monde est bien trop grand pour qu’elle domine tout ce monde. Son petit univers est déjà bien assez complexe, pas besoin d’élargir les horizons. Un jour peut-être, mais pas aujourd’hui.
Cela dit, si elle a bien peur d’une chose, c’est justement de se retrouver seule. De perdre son fan-club, d’être discréditée, insultée sans plus n’avoir quoi que ce soit à répondre. Rappelez-vous, elle est du genre superficielle, sans public elle n’existe plus. C’est réellement sa plus grande phobie, son plus grand cauchemar. Les araignées, le noir, les gens louches, ça ne la met pas franchement à l’aise non plus oui, mais c’est d’un tout autre niveau.
Elle a tellement peur de perdre ses fidèles, que le dernier qui a eu le malheur de la traiter de pute, il est encore sur la liste des personnalités disparues, sur le mur du bureau de sa mère, héhé. Vous voilà prévu.

Histoire :

Cette histoire a commencée il y a déjà une vingtaine d’année ! Vous êtes en retard ! Je suis la fille de mademoiselle Hélène Skyangel commissaire de Police de la ville, et la soumise dévouée de maitresse Copperhead. Quoi ? Ça vous choque ? Ah mais attendez, on a pas commencer depuis le début !
Je suis née pendant que ma chère mère préparait son concours d’officier, et je crois pouvoir dire sans trop me tromper que dès le départ, je lui en ai fait bavée. D’après les médecins, je n’étais pas un tout petit bébé, et déjà dans le ventre on pouvait entrevoir toute l’énergie que j’allais être capable de déployer une fois dehors. Pauvre maman, elle ne méritait pas ça. Quoi que … si en fait ! Vous voyez, elle est flic, elle aime son boulot et elle est très douée là-dedans. Mais moi dans tout ça ? Je compte pour du beurre ! Je passe après sa carrière, après ses collègues ! Peut-être que ce n’est jamais ce qu’elle a voulue, qu’elle ne s’en rendait pas compte, mais c’est ce que j’ai toujours ressentie ! Du coup forcement sitôt que j’ai commencée à gagner en maturité, son autorité déjà très faible n’avait maintenant plus aucun pouvoir sur moi. Obligée ! Au moins comme ça elle voyait que j’existais ! Elle gère peut-être ses hommes et ses équipes d’une poigne de fer, mais à la maison c’est du vent qu’elle gère.

En conclusion, une enfance difficile, une adolescence turbulente et une période pré-adulte chaotique. Des amis ? Je n’en ai jamais eu. Bien sûr j’avais dès les premiers jours de classe un vrai fan-club. Des groupies qui me suivent partout, des flots de garçon qui vendraient leur mère pour une photo avec moi. Les écoliers étaient tous à ma botte, peut importe l’établissement où j’étais inscris. Le règlement intérieur changeait en fonction de mes choix, les pions rentraient chez eux en courant. J’étais la big boss. La reine. Et a chaque rentrée, je faisais mon tri dans les nouvelles têtes. En conséquence, beaucoup d’ennemi, beaucoup de jalousie, beaucoup d’admirateurs et admiratrices aussi, mais jamais aucun véritable ami.
Le coup de foudre est venu me voir bien entendu, comme à toute les jeunes filles lors d’un instant de faiblesse. Oh il était si beau, si fort. Nous n’étions pas dans la même classe mais à chaque récrée nous nous retrouvions pour baiser comme des sauvages dans les toilettes. Ah que de souvenirs. Magnifique … Jusqu’à ce qu’il me traite de pute. Oui oui, c’est lui le garçon qui est porté disparu depuis des années maintenant et dont l’avis de recherche est toujours accroché dans le bureau de maman. Héhé, l’acide, quelle formidable invention pour faire disparaitre un corps.

Vous vous demandez sans doute comment on en est arrivé à une telle extrémité ? Bah c’est tout simple. Vers mes quinze ans, ma mère est venue me présentée une très belle femme surnommée Copperhead. Vraiment très belle, si bien qu’au début je la détestais. Elle n’avait pas le droit d’être plus belle que moi ! Pas le droit d’avoir plus d’attention de la part de maman que moi ! Et pourtant, les mois ont passés et j’ai appris à la connaitre. Nous avions la même libido, le même penchant secret pour les relations sexuelles. Et en plus c’est une hermaphrodite ! C'est-à-dire qu’elle a entre les jambes à la fois un sexe masculin et un sexe féminin. Le premier reste mon favori et elle l’a très vite compris. Il ne fallut ainsi pas longtemps pour que je devienne sa soumise dévouée, son objet de jouissance, son trou à sperme. Brr, j’en tremble encore d’envie, j’en rêve la nuit, je n’attend que ça la journée. Un appel de sa part suffit pour que j’abandonne mon groupe de fan et file me calfeutrer chez elle, pour des heures et des heures de plaisir.

Autre :

Sa surdose d’énergie est telle, que cela pourrait passer pour un pouvoir. Une réserve insatiable d’endurance qui lui a jusqu’à maintenant permit de ne jamais être fatiguée ni véritablement essoufflée. Courir une heure avec une  bande trou-du-cul aux fesses, et être capable de remettre ça aussitôt quand il s’agit de semer la police.

Son fan-club est si étendu qu’il englobe presque tous les corps de métier. De l’apprenti garde-du-corps au pirate informatique, en passant par l’étudiant en droit et la caissière de supermarché à l’écoute de tous les nouveaux ragots. Ainsi, elle sait énormément de chose, possède encore plus et peut fournir le moindre de ses caprices en quelques mots, sans que sa mère flic n’en sache rien.

Pages: [1]