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Messages - Asuka Kahori

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Centre-ville de Seikusu / Re : Invocation démoniaque [Desmina]
« le: lundi 27 août 2018, 00:52:16 »
J’étais de plus en plus excitée, dans un état difficilement contrôlable. Cette femme me faisait tellement d’effet... Ma Maîtresse ! Depuis ce matin, je devais endurer ses provocations, ses baisers, ses caresses, ses insinuations. Elle m’avait roulé une pelle devant l’établissement, et elle avait même laissé une professeur me fesser ! Sans parler des fois où elle usait de sa magie rose sur les autres enseignants ! Si ça se trouve... J’en venais en fait même à demander si elle n’utilisait pas ça sur moi aussi, pour être honnête. Ou peut-être que je me cherchais juste une excuse ? Ce qui est sûr, c’est que j’avais très envie de me faire baiser. Ce n’était sans doute pas très moral, surtout dans un lycée, un établissement public, mais, après tout... Tout le monde ici était un pervers potentiel ! Je ne faisais que suivre le rythme, moi !

Quand la sonnerie sonna, ma tension nerveuse était toujours aussi forte, et, prenant tout son temps, ma Maîtresse continuait à me frustrer. Sérieusement ? Est-ce qu’elle ne voyait pas dans quel état j’étais ? Tout mon corps me donnait l’impression de trembler sur place, tandis que je ne pouvais m’empêcher d’imaginer le contact de sa queue en moi. Oh oui ! Je n’avais aucune honte à le penser, mais, en ce moment, je fantasmai clairement là-dessus. Nous rejoignîmes ainsi les toilettes. Au lycée Mishima, comme partout ailleurs, les élèves se chargeaient après les cours, par roulement, de l’entretien des salles et des classes, et il fallait bien admettre que nous faisions plutôt un bon travail. De plus, ces toilettes n’étaient pas très souvent utilisées, surtout à l’heure de la pause récréative, car ils étaient assez éloignés. Il n’y avait d’ailleurs que nous, et je me retrouvai très vite acculée entre, d’un côté, la paroi, et, de l’autre, le corps de ma Maîtresse, qui m’exhiba sa grosse sucette.

« Maîtresse..., me mis-je à gémir de nouveau. Pitié... »

Difficile de dire à quel point, en ce moment, je voulais sentir cette grosse queue me perforer, me prendre énergiquement, et me faire hurler comme une folle. Oui, là, tout de suite, il était difficile d’imaginer à quel point tout ce que j’avais en tête, c’était la sensation de remplissage, de complétude en sentant ma Maîtresse me prendre. Je mouillai, et sentis ensuite ma Maîtresse se rapprocher de moi. Elle abaissa ma culotte, et je lui tournai le dos, cambrant mes fesses, avant de couiner en sentant sa main me gifler.

« Haaa... N-Non, Maîtresse, c’est... Vous avez passé toute la matinée à côté de moi, à me titiller, à me provoquer, haaa... Comment voulez-vous que je vous résiste, hmm... Maîtresse, ma Maîtresse... »

Oui, sa Maîtresse ! Un possessif un peu mal choisi, mais qui, à mes yeux, illustrai surtout le fait que j’étais ravie d’avoir une Maîtresse. C’était... Eh bien, j’étais sans doute folle, mais, pour moi, c’était comme si je venais d’avoir un petit-ami. Et, en fait, c’était sans doute encore mieux que ça. Je goûtais en ce moment à une plénitude incroyable, un sentiment de bonheur absolu qui me remplissait de joie, au point que je risquai le débord. Je la sentais là, dans mon dos, à me prendre, et je manquai bien d’avoir un orgasme pile quand elle me pénétra... Mais, hey, je devais tout de même être à la hauteur des ambitions de ma Maîtresse ! Je me retins donc, soupirant, m’appuyant sur la cuvette des toilettes, gémissant à nouveau, sentant le membre de ma Maîtresse se glisser plus profondément en moi. De la salive coula de mes dents, tandis qu’elle continuait à me prendre.

Toute à mon excitation, je n’entendis évidemment pas une personne supplémentaire arriver. Ces quelques bruits de pas m’échappèrent donc. La femme referma doucement la porte à clef derrière elle, puis s’assit sur un lavabo, et attendit patiemment, observant ses longs ongles en souriant encore.

Après tout, ce n’était pas tous les jours qu’une vampire comme Mélinda Warren surprenait dans les toilettes une démone en train de besogner férocement une jeune femme...

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Centre-ville de Seikusu / Re : Invocation démoniaque [Desmina]
« le: dimanche 19 août 2018, 22:07:47 »
Quand Homura-sensei feignit de s’intéresser à mon collier, je posai instinctivement ma main dessus, comme pour le protéger, et pour empêcher cette femme de le retirer. Certes, elle était ma professeur, et, même si elle était une perverse qui aimait battre le cul de ses élèves avec une cravache, je lui devais le respect, mais... Ce collier était mon collier ! Ou, plus précisément, celui de ma Maîtresse ! Et, même si je n’osai pas encore me moquer du corps enseignant comme Maîtresse Desmina le faisait, je la voyais comme ma Maîtresse. Homura-sensei sourit doucement, puis nous laissa filer. Le cœur battant la chamade, je me retrouvai donc dehors, en compagnie de ma Maîtresse, l’esprit empreint de confusion... Tout était allé si vite ! Avais-je seulement eu le temps de réaliser ce qui venait de me tomber dessus ? À peine ! Et, alors que je commençai à retrouver mes esprits, ma Maîtresse se montra... Inhabituellement bienveillante envers moi. Bon, je ne la connaissais que depuis hier, mais j’avais déjà compris qu’elle était une démone, et qu’elle aimait beaucoup me mettre en difficulté ! Mais, manifestement, mon comportement envers Homura-sensei lui avait fait plaisir, ce qui, je dus bien l’admettre, fit doucement bondir mon cœur dans ma poitrine.

« Maî-Maîtresse... »

Elle m’avoua alors que j’aurais droit à une récompense, et... Bon, en fait, il était assez facile de deviner ce que j’allais demander ! En tout cas, je me pinçai les lèvres, toute heureuse, toute excitée. J’avais donc vraiment réussi à impressionner ma Maîtresse ? À faire en sorte qu’elle soit fière de moi ? C’était... C’était tellement excitant ! Je lui souris donc, et elle me recoiffa ensuite les cheveux, me faisant encore furieusement rougir. Toutefois, alors que nous approchions de la prochaine salle, ma main se serra subitement sur le poignet de ma Maîtresse.

Prenant mon inspiration, je la regardai alors, et me lançai :

« Vous êtes ma Maîtresse ! Homura-sensei est une professeur, mais... Je n’ai qu’une seule Maîtresse, et c’est vous ! »

J’avais envie de la prendre dans mes bras, ou de lui baiser la main, mais nous étions en retard, et je ne savais pas trop comment expliquer ce geste spontané, cet aveu irréfléchi et rapide, mais bien évidemment sincère. J’ouvris ensuite la porte de la salle, après avoir toqué à cette dernière, et me courbai en avant pour présenter mes excuses. Le cours avait à peine commencé, et, comme il était 10h, c’était un cours réduit d’une demi-heure avant une pause de 15 minutes, puis un dernier cours, un peu plus long, avant la pause-déjeuner.

Les cours d’une demi-heure étaient souvent l’occasion de faire des modules, des cours particuliers, notamment en éducation civique. Je m’installai donc, tandis que le professeur, un jeune homme, reprit le cours. Plutôt calme, il avait axé ce module autour du système électoral japonais. C’était assez barbant, et je ne retins rien de cette demi-heure, car je commençais en fait à avoir très chaud entre les cuisses, attendant désespérément que la pause arrive. Mais que ce fut long ! Maudite horloge ! Maudit « dieu sinistre », comme l’avait écrit Baudelaire, elle se refusait à avancer ! Et moi, mon esprit partait en roue libre, repensant à tout ce que ma Maîtresse m’avait fait la veille ! J’avais de plus en plus chaud entre les cuisses, une démangeaison qui m’amenait presque inconsciemment à me caresser sur le rebord de la chaise, cherchant le meilleur moyen de glisser le rebord de la chaise entre mes cuisses, me pinçant les lèvres, écrivant nerveusement.

Au bout d’un moment interminable, la sonnerie libéra enfin les élèves. Je me retournai alors vers ma Maîtresse, et, sur un regard suppliant, et sur un ton implorant, je lui demandai ce qu’elle devait bien se douter :

« Maî-Maîtresse, je vous en supplie, je... Prenez-moi dans les toilettes ! Comme si j’étais vo... Votre chienne ! »

Mais n’étais-ce pas ce que j’étais, après tout ? Sa chienne ? Sa délicieuse et magnifique chienne ? J’aurais dû me sentir horrifiée à l’idée de me considérer ainsi, comme une chienne... Mais appliquer ce qualificatif à moi en parlant de ma Maîtresse, en réalité...

Et bien, ça m’excitait beaucoup !

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Centre-ville de Seikusu / Re : Invocation démoniaque [Desmina]
« le: lundi 13 août 2018, 01:03:39 »
Je n’en menais effectivement pas large du tout, allant de surprise en surprise. Cette journée était complètement folle, et nous n’étions même pas à l’heure du déjeuner ! Déglutissant sur place, je réalisai qu’Homura-senseï était une professeur très catin, très perverse, qui prenait visiblement plaisir, non seulement à coucher avec ses élèves, mais aussi à les punir ! C’était bien là la preuve, s’il en fallait encore une, que toutes les rumeurs circulant sur le lycée Mishima étaient fondées. Homura-senseï se glissa dans mon dos, tandis que ma Maîtresse y vit là une juste punition pour avoir osé remettre sa parole en doute sur l’existence du corset en cuir.

« Mais, Maîtresse, jamais je…
 -  Shhhhttt… Tu es avec moi, maintenant, Kahori-san. Petite rebelle effrontée… »

Je ne pus que fermer les yeux, écartant les jambes en déglutissant, sentant Homura-senseï pousser sur mon visage, me plaquant doucement contre le bureau. Sa cravache glissa contre mes jambes, remontant ensuite sur mes cuisses, passant sous la minijupe. Ma Maîtresse s’était assise dans un coin, et, alors que je me tortillai doucement sur place, en ayant furieusement chaud, j’entendis la voix de ma Maîtresse dans ma tête. Elle me proposa de l’aide à condition que je prononce son nom, mais, dans ce cas, elle irait punir Homura-senseï !

Cette perspective me fit déglutir, et je secouai la tête.

« N-Noonn…
 -  Hmmm… Tu te rebelles encore, Kahori-san ? »

Oh, que j’avais chaud ! Je soupirai encore, avant de la sentir se pencher vers moi, me murmurant dans le creux de l’oreille qu’elle allait faire de moi sa chose, et, surtout, me faire oublier ma Maîtresse. Je secouai alors vigoureusement la tête en tentant de me redresser tout en protestant :

« Non, c’est ma Maîtresse, et je… »

La cravache s’abattit brusquement sur ma culotte, m’arrachant un petit cri suraigu. Je frissonnai sur place, yeux clos, avant de sentir la cravache me punir à nouveau, s’abattant pile à l’emplacement de mon sexe, m’arrachant un cri supplémentaire. Je me pinçai encore les lèvres, l’esprit empreint de confusion. Homura-senseï était très belle, et je comprenais maintenant pourquoi tant de gens fantasmaient sur elle, sur sa beauté, sur son autoritarisme naturel. Oui, il était très dur de rivaliser avec cette femme, mais… Elle n’était pas ma Maîtresse ! La cravache s’abattit encore sur moi.

Cherchant un moyen de secours, je gémis alors :

« Je… Je vais arriver en retard au prochain cours ! »

Homura-senseï gloussa en me frappant encore, m’arrachant un nouveau cri. Elle-même, n’avait-elle pas des élèves après ce cours ? Je me dandinai sur place, avant de sentir la main d’Homura-senseï remplacer sa cravache. Elle se mit à caresser ma culotte, à l’emplacement de mon sexe, m’arrachant de nouveaux soupirs, différents de mes couinements de douleur. Mes joues étaient en train de rougir.

« Là, voilà… Ta senseï peut se montrer méchante, mais elle sait aussi récompenser les élèves quand il le faut, même les mauvaises élèves comme toi…
 -  Sen-Senseï, haaaa…
 -  Oh, mais ça a l’air très humide par là ! Tu aimes les femmes fortes, hein ? Celles qui savent comment s’occuper de toi, je me trompe ?
 -  Ouuii, hmmm… »

Un sourire moqueur sur les lèvres, Homura-senseï se retrouva ensuite vers ma Maîtresse.

« Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle t’est fidèle. Tu l’as bien dressé, Katõ-san… »

À ce moment, je ne savais pas si je devais en être fière ou pas.

Tout ce que je savais, tout ce que je sentais, c’est que le plaisir était en train de monter insidieusement en moi… Et que ça faisait du bien !

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Centre-ville de Seikusu / Re : Invocation démoniaque [Desmina]
« le: mercredi 08 août 2018, 17:59:41 »
Ohlàlà ! Je me faisais vraiment remarquer, moi ! Quelle honte ! Bon, c’était certes ma Maîtresse, mais… Eh bien, là, c’était le lycée, c’était différent ! J’étais dans ce genre de moment où on rêve de se transformer en une petite souris et de disparaître, de s’enterrer très profondément sous terre, et d’oublier tout le reste. C’était ça, en ce moment, c’était moi. Ma Maîtresse prenait un malin plaisir à perturber tous les cours, et, comme j’étais assise à côté d’elle, mon visage était également retenu. Alors, certes, j’étais sans doute différente de quand on me prenait en levrette, mais j’étais une fille gentille, moi ! J’avais été élevée par un père strict, qui m’avait enseigné l’obéissance japonaise, le respect dû à l’autorité légitime. J’avais grandi comme ça, et j’étais donc particulièrement gênée d’attirer l’attention de mes professeurs.

Fort heureusement, Maîtresse Desmina s’en sortit bien, tant et si bien qu’Homura-senseï demanda à voir ses notes. Ses sourcils se froncèrent légèrement, puis elle rendit son cahier à ma Maîtresse, et le cours reprit. Je restai silencieuse la plupart du temps, notant consciencieusement, et faisant les exercices. Encore une fois, Maîtresse Desmina n’avait pas de livre, aussi partageai-je donc le mien avec elle, me rapprochant encore de son corps. Même si nous entamions la deuxième heure de cours, j’étais aussi nerveuse qu’au début, si ce n’est plus ! Car j’avais eu l’occasion de réaliser que ma Maîtresse se montrait volontiers impertinente, provocatrice, défiant sans vergogne le corps enseignant.

*Qui sait ce qu’elle prépare encore ?*

Et cette histoire sur le corset de cuir… J’avais encore du mal à y croire ! Homura-senseï, vraiment ? J’étais toujours convaincue que ma Maîtresse se moquait doucement de moi, tout en ignorant aussi qu’elle pouvait, en ce moment, lire dans mon esprit. Aucune de mes pensées ne lui était dissimulée. Qu’aurais-je fait si je l’avais su ? Honnêtement, j’aurais sans doute encore plus paniqué ! Mais, pour l’heure, je notai donc, jusqu’à ce que le cours ne se termine.

Homura-senseï nous fit noter sur notre agenda les exercices à faire pour la prochaine leçon, ainsi que les pages à lire, mais, alors que nous partions, elle nous convoqua toutes les deux, moi et ma Maîtresse. Surprise, je regardai cette dernière en écarquillant les yeux.

*Encore ?!*

Diable ! Je n’avais jamais été autant convoquée par mes enseignants que jusqu’à présent. Je rejoignis donc sagement le bureau, me tenant devant, tandis qu’Homura-senseï nous regardait l’une après l’autre. Plusieurs instants passèrent avant que quiconque ne réagisse, et je regardai nerveusement ma Maîtresse, tête basse.

« Je vois… La mine couchée de Kahori-san, toi qui me regardes avec effronterie, Katõ-san… Tu cherches à impressionner ta soumise ? »

La question, très directe, me fit écarquiller les yeux. Je rougis furieusement.

« Ho-Homura-senseï, que…
 -  Silence, Kahori-san. Je me demande juste d’où tu viens, Katõ-san… Tu n’es pas venue ici pour étudier, n’est-ce pas ? Est-ce que tu as rencontré Kahori-san par ses séances privées de kinbaku, ou est-ce par un autre moyen ? »

Je me mis à paniquer de nouveau, également très surprise. Comment donc Homura-senseï était au courant de tout ça ? De mes secrets les plus intimes ? Elle se redressa alors, et défit son chemisier devant nous. Ma bouche s’ouvrit en un grand « O » que mes mains bloquèrent, et je rougis furieusement en détournant les yeux devant les seins monstrueux d’Homura-senseï. Mise à nue, celle-ci portait ce fameux corset en cuir dont ma Maîtresse m’avait parlé.

« Le sexe fait partie prenante de ce lycée, Mesdemoiselles… La discipline est une valeur cardinale, et nous punissons chèrement les élèves indisciplinés, tout en récompensant les plus talentueux. Toi, Kahori-san, tu as invité cette petite effrontée au lycée, alors… »

Le chat avait avalé ma langue depuis plusieurs minutes quand Homura-senseï sortit une cravache, et en posa le bout sur mon nez. Je ne pus que rougir davantage, avant que la cravache ne se décolle de mon nez de quelques centimètres, et ne s’y abatte à nouveau. Je sursautai doucement, et sentis ensuite la cravache se poser sur la pointe de mon menton, me faisant relever le visage. Inutile de dire que, à ce moment, j’étais crispée de partout.

Sourire moqueur sur les lèvres, Homura-senseï tourna son regard vers ma Maîtresse.

« Mais ta Maîtresse autorise-t-elle d’autre qu’elle à te punir, petite catin ? »

Pourquoi c’était moi qui étais punie ? Je n’avais rien fait ! L’injustice de cette situation me sautait aux yeux, mais…

Eh bien, d’un autre côté, je ne pouvais pas nier que ça commençait doucement à chauffer entre mes cuisses !

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Centre-ville de Seikusu / Re : Invocation démoniaque [Desmina]
« le: jeudi 02 août 2018, 10:45:21 »
Inutile de dire que, face à la perversion de ma Maîtresse, je n’en menais pas large ! De plus, celle-ci me réaffirma qu’elle voulait que je lui trouve quelqu’un pour aller avec elle en Enfer ! Et, bien évidemment, elle ne crut pas bon de me préciser ce qu’elle comptait en faire. Quel choix me faisait-elle donc faire ! Un choix tout simplement impossible, puisque je ne pouvais tout simplement pas envoyer un camarade là-bas ! D’accord, je pouvais maintenant reconnaître sans difficulté que Maîtresse Desmina était une démone qui me plaisait beaucoup, mais, de là à envoyer un individu en Enfer… Je n’allais tout de même pas désigner Mélinda Warren ! J’étais donc toujours aussi confuse, ce qui faisait que j’avais du mal à me concentrer. C’est là-dessus qu’Homura-sensei entra. Comme à son habitude, la belle professeure portait un costume assez serré, mettant en valeur sa généreuse poitrine, et nous nous levâmes tous pour la saluer… Sauf ma Maîtresse ! Celle-ci resta les lèvres closes, un geste qui n’échappa nullement à Homura-sensei. Belle et sympathique, elle se montrait aussi très ferme envers les élèves leur manquant de respect, et on disait même qu’elle battait les impudents ! En tout cas, elle les mettait en colle, et, généralement, au lendemain, ils étaient très obéissants, et très respectueux, regardant avec hantise leur professeur. J’ignorais totalement ce qui pouvait bien se passer pendant ces heures de retenue, alors j’imaginai que c’était pour ça qu’on disait qu’elle les battait… Mais je n’avais aucune raison de croire cela !

En tout cas, ma Maîtresse s’amusa encore à défier l’autorité en place. Homura-sensei se rapprocha d’elle, et, quand Maîtresse me reprocha son inattention, je me mis à rougir confusément. Nous étions évidemment toutes les deux debout, et je rougissais donc furieusement, sentant tous les regards peser sur moi. Finalement, Homura-sensei s’écarta, et ma Maîtresse me perturba, en me disant que la sensei avait, sous le corps, un « corset en cuir ».

À cette idée, je ne pus qu’écarquiller les yeux, avant de la regarder lentement.

« C’est… Arrêtez de vous moquer de moi, Maîtresse… »

Un corset en cuir… Et puis quoi encore ?! Nous nous installâmes donc, et Homura-sensei se racla la gorge, avant d’attraper une craie, et d’écrire au tableau le thème de cette journée : la bataille de Sekigahara. Nous avions dû, comme à chaque fois avec Homura-sensei, préparer un peu le cours en avance. S’asseyant sur le rebord du bureau, Homura-sensei lança d’ailleurs la discussion…

« On l’appelle ‘‘La bataille qui décida de l’avenir du pays’’…
 -  C’est la bataille qui permit à Ieyasu Tokugawa de prendre le contrôle du pays et d’instaurer une nouvelle ère…
 -  Tokugawa était supposé perdre, mais il a bénéficié de l’aide inattendue de Kobayakawa Hideaki, qui était au début de la bataille allié avec l’adversaire de Tokugawa, Mitsunari Ishadi…
 -  Les deux camps se sont battus pour l’unité du Japon… »

Chaque élève qui participait avait droit à un bon point, et, preuve de la discipline qui régnait au lycée, dès qu’un élève levait la main, il se levait de son siège, et parlait debout. Comme quoi, malgré la réputation sulfureuse du lycée, nous étions des élèves très motivés ! Homura-sensei nous félicitait et nous encourageait. Elle savait faire vivre son cours, et, après un quart d’heure, elle distribuait ensuite son savoir, tout en revenant régulièrement sur ce que nous avons dit. D’ailleurs, elle notait au tableau nos éléments de réponse.

Mais moi, curieusement, je songeais surtout à ce corset en cuir évoqué par ma Maîtresse, peinant encore à y croire sérieusement. Elle se moquait sûrement de moi, encore ! Finalement, Homura-sensei se retourna vers ma Maîtresse :

« Et vous, Katõ-san, votre savoir permet-il de rattraper votre impertinence ? »

Encore une fois, je me mis à rougir, me recroquevillant sur place…

21
Centre-ville de Seikusu / Re : Invocation démoniaque [Desmina]
« le: dimanche 22 juillet 2018, 23:14:31 »
J’attendais avec un mélange troublant d’inquiétude et d’excitation dans le couloir ce qui allait se passer. Je me disais alors que Sayaka-sensei voulait juste s’entretenir avec la petite nouvelle. Moi qui commençais à peine à connaître Mishima, j’étais encore loin de savoir à quel point le surnaturel, ici, dominait les lieux. Mais qu’allais-je bien pouvoir faire avec ma Maîtresse, moi ? Surtout, je n’avais pas oublié sa demande... Mais je ne pouvais pas lui présenter personne ! L’Enfer, après tout... Et puis... Je n’osai pas encore me le dire, mais, en fait, il était fort probable que, si ma Maîtresse s’amusait à dresser un autre esclave ici, comme un camarade de classe, je ressente de la jalousie. En fait, je commençai à comprendre que j’avais avec Maîtresse Desmina une relation très particulière. Après tout, non seulement elle ne m’avait pas tué (ce qui était tout de même, reconnaissons-le, un soulagement !), mais elle continuait à me suivre, et même à ne plus me lâcher ! Alors, peu importe ce qu’elle disait, si elle préférait passer son temps avec moi, elle qui m’avait fait tant de bien hier soir, je ne pouvais qu’en être fière, non ? En tout cas, c’était la réflexion que je me faisais en ce moment. Maîtresse Desmina tenait à moi, et j’avais le sentiment, sur le moment, peut-être erroné, d’avoir avec elle une relation particulière, atypique, quelque chose que je tenais en tout cas à préserver ! Alors, forcément, si une autre élève pointait le bout de son nez...

Je me sermonnai de penser ça ! De faire la jalouse ! Ce n’était pas digne, tout simplement... Même si parler de dignité en étant une esclave sexuelle pouvait faire sourire... En clair, j’étais toujours aussi confuse qu’auparavant ! Qu’allais-je bien pouvoir faire avec ma Maîtresse ? Comment allais-je pouvoir mener tranquillement ma journée ? Me pinçant les lèvres, je la vis soudain revenir vers moi. Le prochain cours allait bientôt commencer, et Desmina-senpai me rejoignit, s’accolant contre moi.

« Euh... Eh bien, euh, Desmina-sen... Desmina-san ! »

Oh, j’avais failli gaffer ! Il ne valait mieux pas dire publiquement que Desmina était ma Maîtresse, non ? Et les élèves utilisaient rarement le suffixe « senpai », signe d’autorité, entre eux ! Rougissant donc, je répondis à ma « camarade » qu’il fallait se rendre pour le prochain cours.

« C’est... C’est un cours d’histoire... » déglutis-je lentement.

Ohlàlà, ça allait être dur... Très dur ! Je restai proche de ma Maîtresse, n’osant pas lui demander ce qu’elle avait dit à Sayaka-senseï. Nous allions donc rejoindre le reste de la classe dans une autre partie du lycée. Mishima était un lycée moderne, très agréable, avec des écrans le long des murs, évoquant les activités extrascolaires, ou les grands évènements à venir, comme le prochain match de football, la prochaine représentation du club de théâtre, etc... La vie scolaire y annonçait aussi les professeurs absents. Étrangement, il y avait souvent beaucoup de congés maternités au lycée. C’était d’ailleurs le cas de l’actuel professeur d’Histoire. Il avait été remplacé par une femme après avoir pris un congé parental. J’ignorai qui était l’heureuse élue, car il était célibataire, et je ne croyais pas aux rumeurs disant qu’il avait engrossé l’une des élèves de la classe.

Après tout, il circulait tellement d’histoires folles sur le lycée ! En tout cas, il avait été remplacé par une gaijin, Homura-sensei, qui arrivait très souvent en retard, et portait souvent de magnifiques jarretelles... Ainsi qu’un corset en cuir sous sa tenue, mais ça, je l’ignorai !

Desmina-senpai et moi nous installâmes dans une salle de cours plus classique. Les élèves discutaient entre eux, formant des bandes entre eux. Décidée à présenter un peu ma Maîtresse, je lui parlai de deux filles qui papotaient énergiquement entre elles : Violaine, une gaijin, et celle qui avait été chargée de veiller sur elle au lycée, Naoko. Deux belles lycéennes qui étaient proches d’une autre lycéenne, Mélinda Warren.

« C’est... C’est l’une des filles les plus riches du lycée, elle ne vient pas souvent, mais personne ne lui dit jamais rien. Elle change même de classe quand elle le veut, c’est... C’est très étonnant. »

Il y avait quand même des trucs bizarres dans ce lycée ! Tandis que je m’approchai d’une table, je m’adressai de nouveau à ma Maîtresse sur ce qu’elle m’avait imposé tout à l’heure :

« Maîtresse, je... Euh... Vous n’étiez pas sérieuse tout à l’heure, hein... ? Je veux dire, je... Je ne peux pas conduire l’un de mes camarades en Enfer ! »

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Centre-ville de Seikusu / Re : Invocation démoniaque [Desmina]
« le: lundi 16 juillet 2018, 01:00:50 »
« Mais, Maîtresse, protestai-je vainement, c’est la senseï »

Paradoxal, n’est-ce pas ? J’étais face à une démone, une femme qui pouvait m’envoyer en Enfer d’un claquement de doigts, une femme violente, magique, passionnée, qui avait pris en quelques heures sur moi une emprise assez folle. J’étais donc face à cette femme, et je paniquai devant ce qu’elle faisait vivre à la senseï ! Mais, hey… J’étais une Japonaise pure souche, moi ! J’avais grandi dans un respect immodéré envers l’autorité étatique, personnifiée en l’occurrence par ma belle senseï, alors, voir ma Maîtresse se gausser d’elle ainsi, la perturber… J’en étais toute confuse, moi ! Ce n’était pas normal ! Et j’étais énormément gênée, sans trop pouvoir me l’expliquer ! Me pinçant doucement les lèvres, je me dandinai sur place, voyant que ma Maîtresse n’arrêtait nullement son office, mais que Sayaka-sensei s’en sortait plutôt bien. S’il y avait bien quelques murmures circonspects, il fallait bien admettre qu’elle arrivait à donner le change à la perfection ! Finalement, elle sembla avoir un orgasme, et, après ce début en fanfare, le cours se déroula plutôt bien, même si j’avais la détestable impression que Sayaka-sensei me regardait à chaque instant !

Le temps passa lentement, et je me dandinai sur place, redoutant la colère de ma Maîtresse… Je m’étais opposée à elle, et je redoutai logiquement le pire, car elle venait clairement de prouver qu’elle était capable de tout ! Elle ne me provoquait pas, elle ne me titillait pas, ce qui, paradoxalement, m’inquiétait, et m’excitait aussi ! J’avais vraiment du mal à comprendre comment ma Maîtresse fonctionnait, comment elle réagissait… Et, pendant ce temps, le cours continua à se poursuivre. Sayaka-sensei s’était reprise, donnant des exercices, menant un cours qui, comme à son habitude, était assez sérieux, mais aussi plaisant à suivre. J’écoutai tout cela d’une oreille distraite, notant vaguement quelques notions sur le mode de division des cellules eucaryotes, Sayaka-sensei parlant de mitose et de méiose… En d’autres circonstances, la science me fascinait, surtout les mathématiques, car, à travers les mathématiques, j’étudiai la résistance des corps, et le fonctionnement des cordes ! Mine de rien, le kinbaku nécessitait de solides connaissances anatomiques et mathématiques pour pouvoir soulever et immobiliser des corps.

Tandis que j’y songeai, la sonnerie sonna, et, alors que j’allai partir, ma Maîtresse… Ma Maîtresse me demanda de lui trouver un élève pour aller en Enfer avec elle ! La surprise fut telle que j’en fis tomber mon manuel, que j’étais en train de ranger. L’objet s’affala sur le sol, et je regardai ma Maîtresse ensuite, les yeux écarquillés sous la stupeur.

« Maî-Maîtresse… ?! »

Elle ne pouvait tout de même pas être sérieuse, si ?! Quelqu’un… En Enfer ? Mais… Comment je pouvais faire ça, moi ?  Alors que je commençai à y réfléchir, Sayaka-sensei nous convoqua toutes les deux. Je déglutis doucement, et rangeai silencieusement mes affaires, avant de rejoindre Sayaka-sensei. Celle-ci nous observa silencieusement, tandis que mon cœur bondissait dans le creux de ma poitrine.

« O-Oui, senseï… ? »

Sayaka-sensei sourit alors doucement, ses opulents seins semblant si serrés dans son chemisier…

« Kahori-san, j’aimerais que tu te charges d’aider Katõ-san dans son intégration au sein du lycée.
 -  Oh… Euh…
 -  Le lycée Mishima est un très grand établissement, avec beaucoup d’activités extrascolaires, et il est important de veiller à l’intégration des nouveaux élèves, tu n’es pas d’accord ?
 -  Si, si, bien sûr ! »

J’acquiesçai donc, avant de regarder ma Maîtresse, rougissant légèrement :

« Je… Je serais naturellement ravie de… De présenter à Katõ-san notre lycée, Sayaka-sensei…
 -  À la bonne heure ! s’exclama-t-elle, avec un sourire ravi sur les lèvres. Je suis ravie de l’entendre, Kahori-san ! Maintenant, est-ce que tu peux nous laisser quelques secondes avec Katõ-san ? J’ai à lui parler du programme scolaire… »

Ma tête se leva encore, puis je me courbai légèrement en avant, saluant Sayaka-sensei, avant de tourner les talons, et de sortir, l’esprit encore plein de confusion.

Emmener quelqu’un en Enfer…

Comment étais-je censée résoudre ça ?!




Dès que la porte se ferma, Sayaka-sensei, qui conservait alors sur ses lèvres un léger sourire, le rompit immédiatement. Elle regarda alors Desmina avec un sourire plus sévère.

« À nous maintenant. »

Son ton chaleureux avait laissé place à un ton plus sec, comme si… Comme si elle avait percé le jeu de Desmina.

« Je sais très bien que tu n’es pas une simple élève, Katõ-san. Le lycée Mishima est un endroit très particulier… Des vampires, des succubes, des Terranides, et Dieu sais-je quoi encore. Tu t’es inscrite de manière assez inhabituelle, mais ne recommence pas ce que tu as fait avec moi. »

Sayaka-sensei se racla la gorge pendant quelques secondes.

« Du moins… Sauf à ce que tu me dises qui tu es vraiment et ce que tu viens faire au lycée. Qu’est-ce que la petite Kahori a bien pu faire pour attirer ton attention ? »

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Centre-ville de Seikusu / Re : Invocation démoniaque [Desmina]
« le: lundi 09 juillet 2018, 00:43:30 »
Le cours de sciences et vie était assurée par une professeur qui, il est vrai, était très belle : Sayaka-sensei. Elle avait une impressionnant poitrine, et beaucoup d’histoires circulaient sur elle... Comme sur la plupart des enseignants de Mishima. En fait, et à bien y réfléchir, Mishima n’avait que des profs sexys ! Cette circonstance m’avait frappé il y a plusieurs semaines, et n’avait troublé personne. Ce lycée n’était pas comme les autres, tout simplement. J’étais encore loin de réaliser à quel point, en tout cas. Je savais que certains disaient que Sayaka-sensei couchait avec les élèves, et avec d’autres enseignants, comme Ichtora-sensei, mais... Bah, de toute manière, en ce moment, j’étais ailleurs ! Je n’étais pas déjà beaucoup dans le cours en venant, mais, en voyant ma Maîtresse débouler sous mon nez... Comment donc avait-elle bien pu faire ? Il y avait forcément des formulaires, des papiers à remplir ! On ne pouvait tout de même pas se faire passer si facilement pour une lycéenne... Si ? Je n’y comprenais plus rien, et j’étais donc très nerveuse. Mais étais-je pour autant ennuyée de voir ma Maîtresse ? Ou « pas contente » ? Quand ma Maîtresse glissa cela, je rougis en secouant la tête.

« Je... Pas du tout, Maî-Maîtresse, mais... Je... Je n’imaginais pas que vous... Euh... »

Je me pinçai les lèvres, incapable de poursuivre. Ma surprise était-elle si étonnante ? Quand je l’avais invoqué par mégarde hier soir, elle n’avait eu de cesse de dire qu’elle avait des choses plus intéressantes à faire que s’occuper de moi. J’avais cru alors que je l’avais dérangé, et qu’elle m’aurait fait cuire pour l’avoir dérangé, mais... Pourtant, non seulement elle était restée avec moi toute la soirée, mais elle m’avait accueilli dès ce matin, en Lamborghini, et se faisait maintenant passer pour une élève ! La seule conclusion que je pouvais en tirer, c’est qu’elle m’appréciait. Et ça, cette idée, m’excita encore plus, m’amenant à me mordiller doucement les lèvres. Ma Maîtresse m’appréciait ! Et, si j’en étais ravie, sachant qu’elle était une démone, je me dis tout de même que le pire était à venir.

Tandis que j’essayai tant bien que mal de me plonger dans le cours, qui portait sur les cellules, ma Maîtresse m’arracha à la vision d’une étonnante image fluorescente en me parlant de Sayaka-sensei, et de... J’écarquillai les yeux en regardant la senseï, puis de nouveau ma Maîtresse.

« Que... Que voulez-vous dire, Maî-Maîtresse... ?! »

Oh, j’imaginai très bien ce qu’elle voulait dire, mais... Je n’osai le concevoir ! Sayaka-sensei posa alors une question sur le phénomène de division cellulaire, à laquelle ma Maîtresse répondit sans difficulté... Puis en commençant à perturber Sayaka-sensei, qui se mit à rougir, et se dissimula les lèvres, retenant ainsi un soupir. Elle s’assit alors précipitamment, et avala plusieurs gorgées d’eau, avant de demander à un garçon quelconque de faire la lecture. Écarquillant les yeux, je compris ce que ma Maîtresse faisait, et me retournai vers elle quand elle me demanda si elle devait continuer.

Continuer... Mais elle était folle ! Hey, on parlait d’une senseï, quand même ! Et moi, même si j’aimai le kinbaku, fondamentalement, je restai une jeune femme très respectueuse de l’autorité et, par conséquent, du corps enseignant. Je me rapprochai donc d’elle.

« Arrêtez, Maîtresse, vous perturbez Sayaka-sensei !! »

Ohlàlà ! Et si Sayaka-sensei le voyait ? Je me mis à rougir encore plus furieusement à cette idée ! En fait, ma tête devait sans doute ressembler à une tomate rouge tant j’étais gênée !

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Centre-ville de Seikusu / Re : Invocation démoniaque [Desmina]
« le: lundi 02 juillet 2018, 00:52:21 »
Je sentais les murmures autour de moi, les interrogations, les suspicions… Tout le monde m’avait vu dans cette  Lamborghini étincelante, et tout le monde avait également dû voir cette séance intense de baiser. J’eus évidemment bien rapidement droit à des  questions là-dessus de la part de mes amis. Il y avait essentiellement  des filles qui me demandèrent si la rumeur était vraie, et, si oui, qui  était donc cette riche fille adulte aux cheveux de feu.  Rougissant timidement, j’avais toujours été un paradoxe à part entier.  Donnez-moi une combi’ moulante, un jeu de cordes, et je devenais la plus  sadique des Maîtresses. Mais laissez-moi à l’air naturel, et je  rougissais bêtement ! C’est d’ailleurs ce qui se passait, tandis que je  bafouillai, expliquant qu’il s’agit d’une baby-sitter un peu particulière.

« Elle est originaire du lycée ?
  -  J’aimerais bien l’avoir comme baby-sitter, moi aussi… »

Une baby-sitter… Ouais, ben, je n’avais rien trouvé de mieux ! Je  ne pouvais quand même pas leur dire que c’était une démone que j’avais  invoqué par mégarde, qui m’avait violée toute la nuit, et dont j’étais  désormais la bien consentante soumise ! Fort heureusement, elles  n’insistèrent pas trop, même si elles devaient être surprises  d’apprendre qu’il pouvait exister une baby-sitter âgée roulant en  Lamborghini. Clairement, mes copines n’étaient pas suffisamment idiotes  pour croire à la totalité de mon histoire, surtout à  Seikusu mais elles  ne m’embarrassèrent pas trop.

Le premier cours put ensuite commencer. J’étais assez partagée. D’un  côté, j’étais contente de retrouver une vie normale, bien sûr, de  pouvoir reprendre mes cours sans me faire baiser dans tous les sens.  Mais, de l’autre… J’avais chaud entre mes cuisses, une saine torpeur qui  remontait doucement en moi et qui me possédait progressivement. Une  chaleur croissant doucement entre mes cuisses, s’accompagnant de  frissons, de frémissements, et d’images  fort peu indiquées avant un  cours de sciences et vie !

Mais le pire était encore à venir. Alors que je me plongeai dans mon  cours, sortant mon livre et mon cahier, le professeur annonça une  nouvelle élève. Bien évidemment, les sages élèves que nous sommes se  levèrent pour l’accueillir… Et je crus bien défaillir en voyant cette  femme entrer. J’écarquillai les yeux en voyant la silhouette flamboyante  de ma Maîtresse, dans un sailor fuku qui semblait serrer et  mouler outrageusement ses formes ! Très belle, elle avait une allure  d’adolescente, et je déglutis doucement, surtout quand elle se présenta.

*Desmina… Impossible !*

Mais pouvais-je prétendre être si surprise ? Pour elle qui avait  l’habitude de changer d’apparence… Mais qu’est-ce que cela voulait dire  ? Avait-elle réellement réussi à avoir une voiture de sport et un  dossier de lycéenne en une seule matinée ?! Qui était donc cette femme ?  Je déglutis encore, sentant tout de même la peur pointer devant les
pouvoirs effrayants de ma Maîtresse. J’étais si nerveuse que je baissai  timidement la tête en rougissant, tandis que, d’une même voix, mes  camarades souhaitèrent la bienvenue à Desmina.

« Tu, euh, tu n’as qu’à t’asseoir auprès de… Euh… »

Le professeur hésitait, puis, sans aucune réelle surprise :

« Kahori-san ! »

Je relevai la tête en la hochant timidement, du haut vers le bas.

« Il y a toujours un élève au sein de la classe qui  prend les nouveaux élèves sous son aile, expliqua le  professeur. Kahori-san vient récemment d’arriver, alors  elle me semble être un excellent choix. »

De quoi me faire trembler sur place !

« O-Oui, senseï, tout à fait… »

Desmina se rapprocha alors de moi, et je me sentis me ratatiner sur place. Elle s’assit donc, mais je constatai bien vite qu’elle n’avait pas de manuel scolaire !

« C’est normal, soupira le professeur,  il y a souvent du retard. Bon, ben tu liras avec  Kahori-san ! »

J’acquiesçai, tout en posant le manuel entre nous deux, ce qui me fit me  rapprocher encore  plus de ma Maîtresse. Oui, à ce niveau-là, impossible de me  tromper ! Je rougis furieusement, sans trop savoir quoi dire, et je  réussis finalement à balbutier quelques modestes mots :

« Maî… Maîtresse ? »

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Centre-ville de Seikusu / Re : Invocation démoniaque [Desmina]
« le: lundi 25 juin 2018, 07:23:40 »
J’avais vraiment du mal à croire à ce qui m’arrivait ! Ma Maîtresse était là, dans une superbe Lamborghini, alors que j’étais convaincue qu’elle ne connaissait rien à la Terre ! Après tout, n’était-ce pas moi qui l’avais invoqué ? Pourtant, elle avait une apparence humaine tout à fait ravissante (et très excitante !), en plus d’un véritable bolide. Avait-elle pu avoir tout ça en une nuit et en un début de matinée ? Je n’étais même pas sûre que les concessions automobiles soient déjà ouvertes... Tout cela avait donc de quoi me perturber, mais je grimpai, bien évidemment. C’était ma Maîtresse, et, derrière l’évidente surprise, j’étais aussi extrêmement ravie. Ma Maîtresse était là, face à moi ! Belle, fatale, parfaite ! Elle me fit doucement rougir, tandis que, sous mes fesses, je sentais le cuir du fauteuil. En effet, elle m’indiqua que, désormais, il n’y aurait plus de « bus miteux », ce qui signifiait que...

*Elle va venir me chercher chaque jour ?*

À cette idée, mon cœur bondit dans ma poitrine, et je crus bon, alors, en relevant ma tête pour la regarder, de lui faire quelques précisions :

« C’est juste que je ne pensais pas vous impressionner autant pour que vous décidiez de me revoir chaque jour, Maîtresse, mais... Il est évident que j’en suis ravie ! Vous êtes ma Maîtresse... »

Je me tus, craignant de prendre un ton obséquieux, mais j’étais sincère. Maîtresse Desmina était belle, forte, et visiblement riche. Le luxe, la luxure, l’opulence... Il n’y avait que dans les films qu’on refusait ça ! Moi, je n’avais pas l’avantage d’être riche. Certes, j’avais mon propre studio, et je ne vivais pas dans les dortoirs de Mishima, mais, pour autant, j’étais loin de rouler sur l’or. Mon père subvenait à mes besoins, mais sans plus. Le kinbaku était autant un plaisir qu’une manière d’arrondir mes fins de mois. De fait, c’était bien la première fois que je grimpai dans une Lamborghini, et j’étais encore loin d’être au bout de mes surprises.

En effet, Maîtresse Desmina démarra sur les chapeaux de roues, et ma tête bascula en arrière. Le reste fut particulièrement à l’avenant, car Maîtresse Desmina me fit vite comprendre qu’elle aimait rouler vite. Elle se trouva sur un premier boulevard, et je vis l’arrêt du bus scolaire, avec d’autres élèves. La Lamborghini rugit, et Maîtresse Desmina enclencha la cinquième vitesse en un temps record. De fait, je ne pus voir que quelques visages, avant de voir la Lamborghini filer vers un carrefour.

« Maî-Maîtresse... !! »

Je paniquai en vain, et la Lamborghini fila le long du carrefour, évitant les voitures, puis braqua à droite, dans un virage serré qui fit crisser les pneus. Elle longea plusieurs voitures garées, se retrouva sur la voie de gauche, face à une voiture en face, mais, plutôt que de se rabattre, la Lamborghini accéléra brusquement, afin de doubler une voiture sur la file normale, avant de se rétablir. Et moi, je voyais ma vie défiler à chaque instant ! Maîtresse Desmina avait indéniablement une conduite très sportive, ne respectant aucune règlementation. Les feux rouges, les panneaux « STOP » lui étaient indifférents, tandis qu’elle évitait à chaque fois les autres voitures, faisant des virages très secs, sans jamais arrêter son véhicule, le ralentissant juste de temps en temps.

C’est ainsi que, en un temps record, je me retrouvai devant l’enceinte du lycée. Maîtresse Desmina s’arrêta dans un dérapage contrôle, faisant crisser les pneus, et attirant bien des regards. Mishima restait un lycée public, pas un établissement privé, et une Lamborghini ici, ça détonait. Nerveuse, je rougis en voyant plusieurs regards, et même des portables, photographiant la voiture étincelante... Et Maîtresse Desmina se pencha alors vers moi, venant m’embrasser langoureusement.

« Hmmm... ! »

Doucement, je me mis à soupirer, et serrai les cuisses, avant de me détendre en sentant le baiser s’étirer. Je savais que bien des lycéens devaient me voir, et étais donc morte de honte... Mais en même temps terriblement excitée. Oh, comme j’aimais ça ! Ses lèvres, son audace... Elle était bien ma Maîtresse ! Et, si le monde entier devait le savoir, alors qu’il en soit ainsi ! Au moins, je pourrais fièrement leur dire que j’étais l’esclave d’une incroyable femme ! Je répondis donc à son baiser, en soupirant doucement, jusqu’à ce que, au bout de plusieurs minutes, Maîtresse Desmina ne vienne le rompre.

L’esprit confus, embrumé, je mis quelques instants à revenir à la réalité, et à comprendre ce que Maîtresse Desmina venait de me dire.

« Je... J’aimerai bien, mais... Vous ne pouvez pas assister aux cours avec moi, Maîtresse... »

Reprenant mon souffle, je réalisai alors qu’elle avait dit venir me chercher ce soir, et sentis une nouvelle pointe de plaisir se former entre mes cuisses.

« Vous... Nous allons passer la soirée ensemble alors, Maî-Maîtresse... ? »

D’emblée, je pouvais le sentir : cette journée risquait d’être très longue si j’allais devoir attendre jusqu’à ce soir pour retrouver ma Maîtresse !

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Centre-ville de Seikusu / Re : Invocation démoniaque [Desmina]
« le: lundi 28 mai 2018, 20:20:42 »
Je me réveillai sans rien comprendre à où j’étais, ni même quelle heure il était. Ce fut mon réveil qui m’arracha au doux rêve. Je grognai donc, similaire en ce sens à six milliards d’êtres humains qui se réveillaient le matin en grognant. Mon iPhone se tut pendant quelques minutes, et, alors qu’une guerre terrible s’engageait entre moi et le sommeil, Morphée gagna la première manche… Puis le réveil revint encore, m’arrachant un nouveau soupir. Je remuai sur place, cherchant de la main le téléphone, malicieusement dissimulé sur ma table de chevet, refusant de venir à moi. J’appuyai finalement dessus, et observa le plafond, revenant peu à peu dans le monde des vivants… Sans comprendre comment j’avais atterri ici.

Mon premier réflexe, ce fut de me dire que j’avais fait un très étrange rêve cette nuit… Puis, peu à peu, les souvenirs revinrent. Et, quand je me rappelai avoir perdu ma virginité entre les mains d’une démone, j’écarquillai brusquement les yeux, et me releva d’un coup. Je bondis sur place, et fila dans la salle de bains, observant mon corps dans le miroir. Ouf !

*Pas de cornes !*

Je me tapotai aussi les fesses, ne sentant aucune queue caudale, ni poils de bouc et sabots à hauteur de mes pieds. C’était moi, c’était mon corps, mais je me sentais… Différente. Très clairement différente.

*Oh mon Dieu ! Oh mon Dieu ! Je ne suis plus vierge !*

Papillonnant des yeux, j’observai l’eau dans le bain, et regardai silencieusement celle-ci. Je fis alors un incroyable effort de mémoire, essayant de me rappeler la soirée. En vrai, je me souvenais de quasiment tout. L’invocation foireuse, les provocations de Maîtresse Desmina, sa belle peau rouge, sa queue, elle me labourant sans relâche, visitant ensuite mon modeste studio, me narguant en voyant mon minuscule donjon… Vaguement, je me souvins d’avoir fait couler l’eau, mais, ensuite… Comment avais-je fait pour traîner ma carcasse dans le lit ? De plus, il n’y avait pas d’eau sur le sol, ni dans le lit. Je regardai à nouveau ce dernier. Je m’étais rincée en mode somnambule ou quoi ?

Confuse, j’observai alors, sur un coin du lit, un curieux objet, et l’attrapai. C’était un collier. Un mot à l’intérieur, finement brodé : « ASUKA KAHORI ». Et, de l’autre côté du collier, je rougis en voyant une inscription sur une plaque dorée : « PROPRIÉTÉ DE DESMINA ». Je me mordillai alors les lèvres, et repensai alors à toute cette nuit de débauche… Ce qui, concrètement, m’amena à me masturber sur le lit, en gémissant le nom de ma Maîtresse. Pathétique ? Hey ! Il fallait aussi se mettre un peu à ma place ! J’avais perdu ma virginité avec une démone qui était terriblement sexy ! En une nuit, j’avais appris que les démons existaient, et que j’avais probablement lié ma vie à jamais avec cette femme !

« Maîtresse… Haaaan oui, Maîtresse, punissez-moi, haaaa… »

Je laissai mon esprit vagabonder, me rappelant ses coups de reins, sentant mes doigts s’imbiber de mouille… Et poussai un dernier gémissement, avant de me relâcher sur le lit. Soupirant ensuite, j’observai mes doigts, perdue dans mes pensées. J’avais une Maîtresse… C’était une grande nouveauté pour moi ! Une magnifique et terrible Maîtresse, torride et redoutable, qui ne manquerait pas de me faire souffrir à nouveau, de me rappeler à elle !

Le reste de la matinée se passa de manière assez machinale. Ce que j’avais vécu ne changeait, somme toute, rien à mon petit quotidien, au train-train habituel. Je préparai mon petit-déjeuner, le mangeai tout en allumant mon ordinateur, consultant mes mails, les dernières actualités… Mais je faisais ça de manière automatique, car mon esprit revenait sans cesse à cette soirée. Assez stupidement, je fixai aussi mon téléphone portable, attendant de recevoir un message de ma Maîtresse, ce qui était assez idiot, car, après tout, je ne lui avais pas donné mon numéro.

Dire que j’allais devoir aller en cours, passer une journée normale… Comme pour me convaincre davantage que tout cela n’avait pas été un rêvé, je regardai dans ma penderie, ne voyant pas trace de ma combinaison rose. Ça, par contre, c’était dur… Elle m’allait si bien !

*Je n’ai plus qu’à ne commander une autre…*

Dans ma douche, je me masturbai encore, jusqu’à approcher le pommeau de mon intimité, laissant les rayons d’eau chaude m’accompagner dans un nouvel orgasme, tout en imaginant ma Maîtresse dans mon dos, venant me bourrer sèchement, me tirant les cheveux, me griffant le ventre… Diable, mais comment j’allais faire aujourd’hui ?! J’étais chaude comme une pile électrique ! Après ce second orgasme, je constatai que j’allais être en retard à force de traîner ! Je me dépêchai donc d’enfiler mon uniforme, et observai ensuite le collier de ma Maîtresse.

Mordillement des lèvres, puis, après quelques secondes d’hésitation, je l’attrapai, et le mis. Somme toute, il était plutôt élégant, et je le caressai ensuite délicatement, l’esprit embrumé.

*Ma Maîtresse…*

J’avais une Maîtresse ! Encore un peu, et je le crierai sous tous les toits ! C’était dire à quel point mon esprit était confus, empreint de trouble et de doute… Mais j’avais une Maîtresse ! Sur cette merveilleuse idée, je sortis finalement de chez moi, dévalant les marches. Pour aller au lycée, il me fallait prendre le bus, et, alors que je sortais, je vis juste devant le perron… Une impériale Lamborghini Murcielago noire ! Surprise, je vis alors la portière passager s’ouvrir devant moi en se relevant, et me penchai à l’intérieur, confuse.

« Euh… »

Une superbe femme à la chevelure de feu me regarda, dardant sur moi un regard de femme fatale derrière ses lunettes noires, tout en ayant un ensemble très sexy et serré : veste de cuir, pantalon en cuir noir moulant…

« Maî… Maîtresse ? » m’étonnai-je.

Quelle idiote ! Évidemment que c’était elle ! Hey, dans tous les films, les démons pouvaient prendre une apparence humaine ! Je rougis donc, et déposai mon sac à dos devant moi en entrant, très intimidée. Je n’avais jamais grimpé dans une voiture aussi luxueuse, et j’observai ma Maîtresse en rougissant. Je ne savais pas quoi dire, et ne pus donc que bredouiller, les joues cramoisies, en sentant mes émois revenir, se concentrant à hauteur de mes cuisses.

« Je… Euh… Je, hum… Je… Je dois aller à… À l’école… » réussis-je finalement à dire, comme si mon uniforme scolaire n’était pas suffisamment parlant pour ça !

Ohlàlà ! Mais qu’est-ce qui m’attendait avec elle ?!

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Centre-ville de Seikusu / Re : Invocation démoniaque [Desmina]
« le: dimanche 13 mai 2018, 21:06:18 »
J’avais peur, j’étais confuse, je ne savais plus vraiment quoi faire. Cette femme, ma Maîtresse... Elle m’enthousiasmait autant qu’elle me terrifiait ! Puissante, belle, séductrice, autoritaire, dangereuse... Qu’étais-je face à elle ? Rien d’autre qu’une misérable lycéenne, une gamine qui avait invoqué une créature surnaturelle. Je la vis donc nier ma requête, et déglutis sur place. Menaçante, Maîtresse Desmina s’approcha de moi, et je reculai nerveusement, jusqu’à sentir mes fesses heurter le mur.

« Maî-Maî... » balbutiai-je.

Je ne pus achever ma phrase, car une main me serra à la gorge. Maîtresse Desmina me souleva sans difficulté, et je me hissai sur la pointe des pieds en soupirant, gesticulant sur place. Mes mains se posèrent par réflexe sur le bras de ma Maîtresse, mais je ne pouvais rien faire contre sa poigne. Gardant sa phrase en suspens, elle m’expliqua alors que ma destinée était d’être sa « traînée personnelle ».  Évidemment, en entendant de tels propos, je ne pus m’empêcher de rougir confusément, déglutissant lentement. Est-ce que je devais paniquée, ou être excitée ? Sincèrement, j’oscillai franchement entre les deux. Je commençai en tout cas à réaliser que ma vie venait de prendre un tournant singulier, et que plus rien ne serait comme avant. C’était impossible, maintenant, car cette femme me tenait dans sa toile !

Elle continua à serrer ma gorge, et je couinai encore, clignant des yeux, sentant la respiration commencer à manquer. J’entrouvris donc les lèvres, ce qui fut l’occasion pour Maîtresse Desmina de m’embrasser énergiquement. Ses lèvres se collèrent aux miennes, et j’esquissai un délicieux soupir, continuant à me tortiller sur place, avant qu’elle ne me relâche... Aux termes d’un baiser passionné et énergique, où j’avais couiné faiblement, gémissant comme une petite chienne, en sentant sa langue s’enfoncer de force dans ma bouche, m’envahissant, m’étouffant sous un plaisir fort et autoritaire... Puis elle m’ordonna de me laver, et... Nouveau baiser, et... Pouf !

Une fumée rosâtre émergea devant moi à la place de ma Maîtresse, me faisant éternuer sous la surprise. Quelques instants après... Plus rien. Étonnée, je papillonnai des yeux en regardant autour de moi, une main caressant pensivement ma gorge, là où, peu de temps encore auparavant, ma Maîtresse avait serré ses doigts sur ma peau.

« Maîtresse ? Vous... Vous êtes là ?! »

Pas de réponse, bien entendu. Je sortis de mon cagibi, m’attendant à la voir dans mon studio, de nouveau assise sur mon fauteuil, ou lascivement allongée dans mon lit, mais... Rien. Comme si tout ça n’avait été qu’un rêve, mais j’avais le goût de ses lèvres sensuelles sur ma bouche pour me convaincre du contraire. Tout d’un coup, je réalisai qu’elle m’avait dit de me lmaver, et rejoignis rapidement ma salle de bains, m’attendant à la voir dans ma petite baignoire... Mais personne ! Je me mis à frissonner, ayant la désagréable impression qu’une paire d’yeux m’observaient. Toujours aussi nue, je me regardai alors dans le miroir de la salle de bains. J’avais les joues rougies, les cheveux dans un état pas possible... Et, en levant mon cou, je vis bel et bien des marques sur mon cou.

Non, je n’avais pas rêvé, et je commençai par faire couler l’eau du lavabo, m’aspergeant le visage, et buvant quelques gorgées ensuite. Étant nue, je ne tardai pas à frissonner sur place, et fis couler l’eau du bain, machinalement, parce que ma Maîtresse me l’avait ordonné, mais aussi parce que ça me ferait du bien. Mon corps était un peu endolori, et j’observai mon sexe, caressant ce dernier, plus par curiosité qu’autre chose. Après tout... Je n’étais plus vierge. J’ignorai comment je devais prendre ça. Une démone m’avait enlevé ma virginité, brisé mon hymen, et m’avait marqué. Une démone ! Est-ce que ça ne faisait pas de moi une âme damnée, ou quelque chose de ce style ?

L’eau se déversa dans la baignoire, et je finis par me plonger dedans. Ça me faisait du bien, et je sentis mes muscles se détendre petit à petit. Une chape de plomb s’abattit alors sur moi. Mes yeux devenaient lourds, et je me mis à bailler. Ce soir, ça avait été intense, si intense... Que je finis tout simplement par m’endormir dans ma baignoire.

« Maîtresse... » glissai-je d’une voix endormie.

Demain, à l’école, ça allait être dur !

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Centre-ville de Seikusu / Re : Invocation démoniaque [Desmina]
« le: lundi 30 avril 2018, 00:52:12 »
Évidemment, ce n’était pas digne d’elle ! Mais comment attendre autre chose ? Je n’étais qu’une simple lycéenne, moi ! Je n’avais pas toute une fortune colossale pour créer un immense donjon ! Je faisais avec les moyens du bord, et je dois bien admettre que sentir le dédain de ma Maîtresse devant mon aménagement me courrouça un peu. Mine de rien, j’étais assez fière du travail accompli. Aménager ce petit débarras en un donjon, ce n’était pas aisé, et j’avais dû refaire l’espace pour pouvoir y attacher les sangles, les cordes... J’y avais passé plusieurs heures, et le résultat final était très réussi. Il n’y avait pas de croix saint-André, ni de chevalets, ni aucun autre instrument, vu que je n’avais, ni les moyens, ni la place de les avoir, mais j’étais tout de même assez fière de mon œuvre.

« Je ne peux pas faire mieux, Maîtresse, expliquai-je, il n’y a pas la place pour davantage... »

Pour en avoir plus, il me faudrait un autre local. L’observant, je notai alors, avec une légère surprise, qu’elle avait rétracté sa verge. Elle présentait donc une très belle intimité, que j’imaginais sûrement trempée. En tout cas, elle était toujours aussi magnifique. Ses formes langoureuses, ce corps athlétique à la peau rouge avec des arabesques noires... Ouais, j’en étais définitivement fan ! Elle m’avait épuisé comme jamais, et je continuai à respirer lourdement, le corps en sueur, mais j’étais vraiment heureuse. Qui aurait cru que je puisse un jour dire ça ? Être heureuse de forniquer avec une démone ? Cette scène était irréaliste, totalement délirante, mais c’était pourtant bien ce qui se passait. J’avais involontairement invoqué une puissante démone, et elle avait fait de moi sa chienne, son esclave. Je ne savais pas trop ce qu’elle me réservait, ni ce qui allait se passer maintenant. Initialement, tout ce que je voulais, c’était la faire partir... Mais, maintenant, je ne savais plus trop. En fait, je craignais surtout qu’elle ne cherche à me piéger, à dévorer mon âme ou un truc du genre. C’est ce que les démons faisaient, non ? J’étais donc entièrement légitime à me méfier !

Ma Maîtresse m’indiqua alors que, en raison de mon « dévouement », elle m’accordait une « faveur ». Je la regardai en clignant des yeux, un peu surprise. Une faveur, vraiment ? Hum... Tout ça ressemblait surtout à un piège ! Une invitation que je ne pouvais pas refuser sans la froisser, et qui nécessitait donc, de ma part, que j’y réfléchisse sérieusement. Que pouvais-je bien lui demander ? Honnêtement, mon esprit était si confus, cette situation était in invraisemblable, que j’avais du mal à réfléchir à quelque chose d’intelligent à dire. Je me méfiais d’elle, bien entendu, mais, si elle avait voulu me dévorer, elle l’aurait fait depuis longtemps, non ?

Alors, une faveur ? Eh bien... Me voilà bien avancé ! Je posai nerveusement un doigt sur mes lèvres, signe que je réfléchissais.

« Je... Euh... »

Je rougis furieusement, les idées se fracassant dans ma tête, sans que rien de cohérent ne semble en ressortir.

« J’aimerais beaucoup que... Que vous... Que vous me preniez sous votre aile... Mais je veux pas aller en Enfer, ou... Euh... Enfin... Être vo... Votre... Votre disciple... »

Le mot que je cherchais était « esclave sexuel », mais, du fait de mon état, j’avais encore un peu de mal à le dire...

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Centre-ville de Seikusu / Re : Invocation démoniaque [Desmina]
« le: lundi 23 avril 2018, 01:25:17 »
Il est clair que je n’en menais pas large. Maîtresse Desmina me dominait totalement, elle avait fait de moi sa petite poupée, sa chienne, sa délicieuse esclave. Elle continuait à me prendre, et je dansais sur elle, dans un état second. Une véritable transe. Je sentais ses puissantes mains, son corps musclé, la douleur sur mes tétons, mais tout ça, tout ça se noyait dans le décor. Là, je ne pensais qu’à cette queue sur laquelle je dansais, qu’à ce corps rouge et anguleux, magnifique et torride, qui me faisait du bien, tant de bien. Je couinais, je gémissais, sans même le réaliser. Mes lèvres s’écarquillèrent encore, et je me mis à gémir encore, avant de la sentir me narguer, de l’entendre se moquer de moi. Oh ! Oh ! J’aurais pu lui répondre, bien sûr, mais... Rien à faire ! J’étais trop excitée pour ça. Je me pinçais les lèvres, crispant mes mains sur ses épaules, et sentis soudain sa queue caudale me fouetter les fesses.

« Haaaaaa... !! »

La queue me fouetta le cul, et m’arracha pendant quelques secondes à cette transe que je ressentais, en déclenchant chez moi une douleur vive. Mais, loin de refréner mes ardeurs, ce coup de fouet m’avait surtout excité, surtout qu’il s’accompagna d’une gifle, qui m’arracha un nouvel hurlement. Souriant doucement, je répondis donc à cette dernière :

« Ouiii, hmmm... J’aime çaaa, haaaa... Ouuuiii, hmmm, que... Haaaaannn... Que vous me foue-Fouettiez, et, et, haaaa... »

Bon, j’avais clairement du mal à en dire plus ! En même temps, vu mon état... Elle me maltraitait, et elle recommença ensuite à me fouetter. Et le fait est que, au-delà des mots, j’aimais effectivement sentir sa belle queue me taper dessus, fouetter mon corps, ondulant dessus... Ah, que de sensations exquises ! Douleur, plaisir, je ne savais plus où donner de la tête, tant tout cela me traversait et m’emportait ! Je ne pouvais que gémir, encore et encore, tout en sentant la virale queue de ma Maîtresse me pourfendre.

Elle m’embrassa ensuite, un baiser intense, langoureux, auquel je répondis tant bien que mal, tout en continuant à fuir abondamment. Mon corps se pressa contre le sien, et, quand elle me demanda l’endroit de ma chambre secrète, mon donjon, là... Ben, là, je ne pus lui répondre immédiatement, car le plaisir explosa définitivement en moi. Un orgasme me traversa, et je jouis pendant plusieurs secondes, m’étalant copieusement sur sa queue. Ma mouille se répandit, et un sourire idiot dut sans doute s’afficher ensuite sur mes lèvres. Je regardais ensuite ma Maîtresse, et hochai la tête.

« Bien, Maîtresse... »

Je me redressai alors, et l’observai encore. Si ce corps m’avait effrayé au début, avec sa peau rouge, sa chevelure enflammée, et les multiples tatouages noirs ornant son corps, cette fois, je voyais juste une Maîtresse magnifique.

« J’ai... J’ai aménagé une petite pièce... »

Je n’avais qu’un petit appartement, mais il y avait, près de la chambre, un cagibi. Oh, c’était tout petit ! Enfin, un peu plus grand qu’un placard à balais, mais il y avait tout ce qu’il fallait pour avoir un donjon, à savoir une pièce fermée. Avançant difficilement, titubant même, ce qui m’amena à m’appuyer contre le mur, je me rapprochai d’une porte coulissante, et l’ouvris, permettant ainsi à ma Maîtresse de voir cette pièce sombre, à hauteur de l’entrée. Il y avait, à l’intérieur, des crochets et des sangles, servant pour y fixer les cordes.

« C’est... C’est là que j’attache mes clients, Maîtresse... »

M’écartant pudiquement, je la laissai entrer. Derrière moi, telle une version érotique d’Hansel et Gretel, je laissai mes traces sur le sol, des marques de cyprine formant une série de gouttes. J’espérais qu’elle ne serait pas trop déçue, parce que ce n’était pas clairement pas un truc Deluxe, vraiment une petite pièce artisanale... L’expression de ma passion, en fait !

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Centre-ville de Seikusu / Re : Invocation démoniaque [Desmina]
« le: lundi 16 avril 2018, 00:56:31 »
Il est vrai que cette femme m’avait... Marqué. Bon, j’étais déjà une jeune fille bien perverse avant de la rencontrer quand même, mais... Là, c’était un tout autre niveau ! Je n’arrivais pas à lutter, tout simplement. Cette femme me submergeait, me prenait avec une envie féroce et incroyable. Elle me mettait en morceaux, en miettes, le plaisir éclatait dans tout mon être, se diluait dans mon corps, et je ne pouvais rien y faire. Je suçais sa magnifique queue, et, plus je goûtais à son corps, et plus j’avais envie d’y goûter ! C’était comme une délicieuse et interminable drogue, à laquelle je ne cessais de m’attaquer, y plongeant encore et encore. Quand Maîtresse Desmina me présenta son collier, je ne pus le voir, toute occupée avec ce chibre en bouche, et je me débrouillai tant bien que mal pour l’attacher, frissonnant en sentant les perles, le contact précieux de ce collier, étrangement flattée d’être son esclave ! Incroyable, non ? Quelle fierté pouvait-il y avoir à ça ? À être la soumise d’une démone impitoyable ? Et pourtant... Pourtant, je me sentais fière, heureuse d’être dans cette situation ! Je caressais doucement ce collier, sentant, contre mes ongles et mes doigts, les reliefs de la couture, des mots gravés dessus, ce qui ne manqua pas de me faire déglutir de nouveau.

Maîtresse Desmina me parlait doucement, visiblement satisfaire de moi, et moi, en sentant ce gros membre, en le prenant en bouche, en aspirant l’air, et en le suçant, creusant ainsi mes joues, je sentais la chaleur croître dans mon corps. Finalement, elle m’attrapa, et je me retirai de sa queue. J’aspirai l’air à grandes goulées, un peu confuse, sortant de ma longue transe. Il faut dire que... Eh bien, quand elle m’avait dit que ma vie se résumerait à la sucer, je m’imaginais déjà la prendre en bouche pendant des heures, sous son bureau, à recueillir tout ce que sa queue cracherait en moi, y compris... Hum !

Je devais commencer à devenir folle, sans doute. Quoi qu’il en soit, Maîtresse Desmina me souleva sans difficulté, et serra mon visage contre ses seins. C’était chaud, c’était doux, c’était moelleux, voluptueux et agréable, et... Bon, en fait, je sentais surtout sa queue en moi ! Ma tête se redressa lentement, et je posai mes mains sur ses épaules, avant de couiner, me pinçant les lèvres. J’avais tellement bien sucé sa queue qu’elle était bien dure, et, donc, bien épaisse ! Autant dire que la sentir en moi me prodiguait un bien fou, immense, intense. Me dandinant sur place, j’émettais de longs soupirs, et même des cris, pinçant sa chair à hauteur de ses épaules.

« Hmmm... Maî-Maîtresse, haaaa... Maîtresse ! »

Je gémis encore, continuant à danser avec la femme. La queue de Maîtresse Desmina remuait en moi, me prenant longuement, sans relâche. Mes yeux se fermèrent pendant plusieurs secondes, et je poussais encore de longs soupirs. Mes lèvres se pincèrent, et la sueur coulait abondamment le long de mon corps. Là, je n’arrivais même pas à m’imaginer Maîtresse Desmina m’attacher avec les cordes, tortiller mon corps dans tous les sens... Là, là, je pensais juste à cette queue qui me prenait énergiquement, à ma mouille qui claquait contre son membre assoiffé.

Et, en fait, j’approchai surtout encore d’un nouvel orgasme !

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