Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Sanzô Komei

Pages: [1] 2
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Dire qu'il n'y a encore que quelques dizaines de minutes, l'homme venait d'enlever la vie à deux malfrats tout en traumatisant à vie le troisième. Et juste après, il avait cet inconnu à genoux, qui gobait merveilleusement bien sa queue. Inconnu, inconnue, le sexe du suceur n'était même plus un problème. Sanzô était quelqu'un de plutôt ouvert d'esprit, et lors des longues campagnes il était plutôt habituel d'en venir à toucher à des partenaires de même sexe. Sauf que là, il fallait tout de même rappeler qu'Okio était physiquement bien plus proche d'une bonne femme ! C'était ainsi naturel qu'il fasse bien plus facilement le lien vers le sexe féminin. De toute manière, cela ne touchait en rien à la qualité de cette pipe offerte gracieusement pour sa protection. Que l'inconnu soit mâle ou femelle n'enlevait rien à cette sensation exquise que de sentir son chibre coulisser dans cet étau de chair humide. Parce que putain, c'était divin ! Cette bouche semblait être née pour accueillir des queues, et il en profitait largement.

Violent, pervers, dominant, il se servait ainsi de lui même de ce trou, à l'image d'un simple orifice. Ces mouvements étaient rapides, ne se souciant même pas de l'état dans lequel il mettait son pauvre partenaire. Manque d'oxygène ? Remontée ? Oh putain, qu'il s'en foutait totalement. Actuellement, seul son propre plaisir comptait. De toute manière, le regard d'Okio venait simplement prouver ce qu'il pensait : il adorait ça. Son regard levé, planté dans celui de l'épéiste, pétillait de perversité. Sa bouche n'était qu'un objet, qu'un fourreau pour sa lame de chair, et il adorait la situation. Un "petite pute" résonne dans sa tête, incapable de lâcher ses mots entre ses gémissements. C'était si bon, putain ! L'homme allait surement drastiquement augmenter ses prix, histoire de profiter au maximum de cet inconnu qui n'appelait qu'à ça.

Il prouva un peu plus le plaisir qu'il prenait à se faire baiser la bouche en libérant sa propre queue, qu'il commença à branler tout en continuant de le pomper. Grommelant de plaisir, excité par cette vision, l'homme accélère alors un peu plus ses coups. Un concert de bruits pervers, naît des gémissements et mêlés aux petits bruits pervers provoqués par la pipe. Et lentement, il atteignit sa limite. Il n'en pouvait plus. Sa queue se mit alors à palpiter entre les lèvres de son partenaire.

« Bordel... J'vais venir... Prépares toi à tout bien avaler... »

Il enfonça alors au maximum sa queue entre ses lèvres pour jouir. Un long, puissant grognement de plaisir. De nombreux jets de sperme chaud s'échappèrent alors de sa queue, tapissant l'intérieur de la gorge de son partenaire. Il se déversait littéralement, crispant ses doigts dans la chevelure de la petite suceuse. Il décida même d'être un peu plus joueur et retira de lui même sa queue peu avant la fin de l'orgasme, tapissant le visage de sa pauvre victime des derniers jets de foutre chaud.

Malgré tout ça, le membre du mercenaire était encore tendu. L'homme était endurant, et il comptait bien entièrement vider ses bourses grâce à cette pauvre victime, avant de le protéger.

2
Le Palais Infernal / Re : Grand retour [PV : Sanzô Komei]
« le: jeudi 20 avril 2017, 23:01:36 »
Les démons. Des êtres singuliers, auquel le mercenaire n'avait que très peu d'expérience. Il en avait affronté quelques uns, durant ses années de vagabondages. Des adversaires valeureux, destructeurs et qui demandèrent de nombreuses ruses pour être abattus. Était-il devenu un chasseur de démons pour autant ? Non, pas vraiment. Son domaine d'expertise restait à ce jour toujours les autres combattants humains. Mais on pouvait tout de même dire très clairement qu'il avait une certaine dextérité quand il devait en finir avec une vie démoniaque. Pourquoi donc parler de tout cela ici ? A cause de son nouveau contrat. Un contrat différent de tout les autres, de part le but à atteindre, d'une part, mais aussi par la personne à l'origine de la demande.

Une sombre histoire, que voulez-vous. Un Sanzô paumé, sans un sous, qui cherchait un endroit où dormir durant une nuit particulièrement froide. Le manque de guerre commençait à se faire ressentir et sa lame était aussi utilisée que les couilles du pape. Et bordel quand on était mercenaire, gagner sa vie autrement que par le combat n'était pas une chose facile. Surtout quand on avait l'image d'un chaud bouillant collé à la peau.

C'est à ce moment qu'il rencontra un démon. Particulièrement propre sur lui, à l'énorme différence de ceux qu'il avait affronté jusqu'à présent. Ce dernier transpirait littéralement de mal par tout les pores de sa peau. L'instinct de notre protagoniste était assez aiguisé pour comprendre directement la nature de la personne rencontrée, son essence, au point où c'est la lame au poing qu'il entama la discussion. Après quelques minutes de dialogues, l'inconnu expliqua qu'il était ici pour acheter ses services de mercenaire. Son supérieur, Lucifer en personne, avait besoin d'un guerrier pour protéger sa fille durant une fête en son honneur. Bordel de merde. Protéger le rejeton de Lucifer, carrément ?

Ce n'était qu'un bête humain, aux capacités limitées. Pas un seul objet magique, pas un sort caché dans sa manche, juste la maîtrise de sa lame. Et cela suffisait pour protéger une personne aussi importante ? Bah. Au moins, sa maîtrise ne semblait pas être aussi mauvaise que ça. Et c'était un plutôt bon point.

C'est ainsi qu'il fut téléporté dans un château qui ne semblait pas se trouver sur Terra. Putain, jamais il n'arriverait à s'y faire à ces moyens de déplacement magique. L'homme l'invita ensuite à le suivre, pour rejoindre le bureau de son supérieur et le rencontrer lui et la personne qu'il devrait très certainement protéger. Déjà ? Merde. Sanzô n'était en effet pas dans le meilleur des appareils : toujours en armure, question pratique, l'homme semblait déjà prêt à s'élancer dans un champ de bataille. Les cheveux coiffés en bataille, coiffé étant un bien grand mot, son corps taillé mis en valeur par sa tenue et enfin sa lame, présente comme toujours à sa ceinture. Le mercenaire parcourra alors le palais aux côtés de son guide, qui l'emmena bien rapidement au bureau de Lucifer.

Ni une, ni deux, sans même attendre une autorisation, notre épéiste ouvrit avec fracas la grande porte du bureau. Droit, fier, il s'avança de deux pas pour mieux observer la pièce. Particulièrement spacieuse, l'endroit avait comme point commun avec le reste du palais de puer la richesse et le prestige. Normal, au vu de la personne qui en avait la possession. Cette dernière était d'ailleurs là, assise à son bureau, triant des papiers. Son regard s'arrêta alors sur une jeune femme particulièrement séduisante, aux formes prononcées et retenant l'oeil. Il étire un léger sourire, avant de comprendre que cette dernière devait être la fameuse fille du boss de l'endroit. Merde. Il matait littéralement la personne qu'il devait protéger. Sanzô se giffla mentalement, histoire de reprendre ses esprits, avant de regarder de nouveau le paternel.

« Sanzô Komei, mercenaire. Je suis ici pour la protection de... Mademoiselle, je suppose ? » Dit-il, se grattant l'arrière de la tête.

Ce genre de mission n'était pas vraiment sa spécialité. La défense d'une seule personne, comme ça... Alors en plus donnée par un démon, c'était plutôt singulier pour l'homme.

3
Ah, ça. Le mercenaire n'était pas quelqu'un très... Vif d'esprit. Attention, en combat, il savait faire preuve d'inventivité et d'intelligence au point de surprendre avec des tactiques inventives et une manière d'appréhender un affrontement d'une nouvelle manière, mais en dehors c'était différent. Reconnaître un mensonge, très peu pour lui, qui ne jugeait que par le maniement de l'épée. Et malheureusement, ce petit brin d'homme qui était actuellement à genoux devant sa queue ne devait pas être un épéiste très doué. Mais bon, à défaut de savoir manier une lame, ce dernier devait très certainement bien mieux savoir comment prendre en soin un membre. Une arme différente, pour un duel différent, sous le signe de la luxure, de la perversité.

Sans même lui répondre, la personne dont il allait bientôt devoir protégé la vie commença son travail. Et bordel, comme il le pensait, il s'y connaissait. Sentir ainsi sa langue sur son membre, le parcourir d'une manière exquise, fit s'échapper de légers soupirs de plaisir. Rapidement, devant cette torture délicieuse, sa queue commença petit à petit à grossir, ne pouvant résister aux talents d'Okio. Il fut ainsi surprit de la vitesse à laquelle le garçon arriva à lever sa queue à son maximum, une belle bite tendue, chaude et épaisse, palpitante, demandeuse. Sans trop s'en rendre compte, notre protagoniste glissa alors sa main dans les cheveux de son partenaire pour les caresser et l'encourager à continuer.

Le fait qu'il soit un homme ne dérangeait en rien notre mercenaire. Ce dernier était plutôt ouvert d'esprit et ne trouvait en rien dérangeant de baiser quelqu'un du même sexe. Surtout que là, dans le cas d'Okio, tout allait plutôt vers le côté féminin. L'apparence, la voix, la corpulence... Il oublierait presque la présence de son sexe entre ses jambes, tellement il était agréable à regarder en tant que femme. Parce-qu'au fond, c'était un peu comme ça qu'il le voyait. Et il allait grandement en profiter. Après tout, après des jours à voyager et combattre, cela faisait pas mal de temps qu'il ne s'était pas... Vidé.

« Je dois avouer que tu as pas mal d'arguments... » Souffla-t-il, taquin, les yeux mi-clos.

Lorsque le garçon s'attaqua de nouveau  à sa queue, désormais au summum de sa forme, il commença par reproduire la torture réalisée plus tôt, arrachant de nouveaux soupirs au mercenaire. Néanmoins, lorsqu'il avala son gland gonflé par l'envie pour s'en occuper de manière plus personnelle, ce n'est pas un soupir mais bien un gémissement qui s'échappa de ses lèvres, alors que ses doigts se crispèrent dans sa chevelure. Mh. Putain. Il était vraiment doué. De nouveaux bruits obscènes sortirent de sa bouche alors qu'il enfonça alors son membre, lentement. Le plaisir était double : tout d'abord il profitait particulièrement de sa bouche humide, enserrant délicieusement sa queue chaude, et de l'autre il avait une vision du paradis en voyant sa bite disparaître, coulisser entre ces belles lèvres colorées, avec en ajout le regard pervers qui en disait long sur ses intentions.... Putain, Okio aimait ça ?

Plutôt rare, pour une prostituée, d'aimer vendre ainsi son corps. D'habitude, ce n'était qu'un travail, qu'une action dégradante, qui ne servait qu'à amasser un peu d'or pour un repas chaud. Là, Okio semblait apprécier sentir son membre tendu entre ses lèvres, apprécier de sucer ainsi son chibre offert. Cela ajoutait encore à l'excitation du mercenaire, dont les gémissements devenaient de plus en plus sonores, alors qu'un plus puissant pointa le bout de son nez quand le garçon attrapa ses bourses remplies d'une délicieuse récompense auquel il aura bientôt droit.

« Mmh... Putain... T'es vraiment une belle petite salope toi. » Souffla-t-il, les mots dépassant sa pensée à cause du plaisir qu'il prenait.

Et comme pour appuyer ses dires, son partenaire entama alors une parfaite gorge profonde, enserrant d'une manière encore plus divine son chibre chaud. Bordel, c'était bon, putain. Crispant un peu plus ses doigts, attrapant presque sa tête, le regard de cette cochonne en termina avec sa retenue. Il pouvait faire ce qu'il désirait. Les yeux pétillants de vice d'Okio en étaient la preuve. Alors que son partenaire entama des vas et viens langoureux, délicieux, notre mercenaire saisit la tête de cette petite suceuse pour imposer son propre rythme, dans de légers coups de reins, qui augmentèrent petit à petit en intensité. Par lui même, il fit coulisser sa queue entre ses lèvres, se servant de sa bouche comme d'un simple orifice. Oui, il lui baisait littéralement la bouche, en poussant des gémissements de plaisir, se mordant la lèvre sous l'excitation.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Nouveau monde • Lirielle Hathran
« le: jeudi 06 avril 2017, 15:30:45 »
Notre ami était plutôt énervé. Lui qui aimait tant la guerre, le combat, le sang, lui en priver d'une manière aussi perfide était tout simplement... injuste. C'était pas du jeu, putain ! Comment pouvait-il montrer sa valeur et gagner en gloire s'il n'est même pas sur le champ de bataille ? On se souviendra de lui comme le gars qui s'est fait téléporté en dehors du combat comme une mère retire son enfant d'un conflit dans lequel il pourrait rentrer. Humiliant à souhait. Enfin, pour le moment, le principal était de rentrer dans un endroit qu'il connaissait pour mieux préparer sa prochaine expédition. Peut-être partir dans le nord, tiens. Des conflits entre seigneurs étaient doucement entrain de se préparer, peut-être pourrait-il prendre partit et remplir sa bourse tout en tranchant quelques têtes ?

Lorsqu'il se retourna, il tomba alors sur une jeune femme. Oh. Il n'avait même pas remarqué qu'une autre personne était présente, bien trop occupé à se lamenter sur son pauvre petit sort. Son regard se posa ainsi sur l'inconnue, aux habits... Singuliers. Ce n'était clairement pas la tenue d'une gamine de Nexus, ça non. Il haussa un sourcil, plutôt étonné, et tentant de relier ce style vestimentaire à un endroit connu par sa personne pour tenter, même maintenant, de deviner où il se trouvait. Sanzô ne perdait pas de temps, son esprit partant déjà au quart de tour pour régler le problème urgent du lieu dans lequel il se trouvait.

Ses yeux captèrent alors le regard de la jeune femme, qui semblaient pétiller d'une curiosité importante. Pourquoi ? C'était la première fois qu'elle voyait un guerrier ? Enfin, c'était quelque chose de commun ! Ne comprenant toujours pas que le sol qu'il foulait de ses pieds n'était pas celui de Terra, il croisa les bras en voyant arriver la petite, qui prit la parole en première, proposant son aide.

« Euh, normalement oui. Là j'ai été un peu... Forcé. » Dit-il, sans comprendre l'intérêt que lui portait la jeune femme.

Sans qu'il n'ait le temps de plus parler, elle lui lança plusieurs questions à la suite, sans même qu'il ne puisse répondre. Putain, c'était un interrogatoire ? Il était simplement là par obligation, téléporté de force, il ne voulait que rentrer dans une taverne, prendre une chambre et pioncer jusqu'au prochain combat en déprimant devant l'état de sa bourse. On pouvait pas le laisser tranquille, un peu ? Toujours remonté, il grogna en écoutant la jeune femme, qui semblait croire qu'il s'était déplacé par choix. Comprenant finalement le léger malaise installé par l'interrogatoire, elle baissa les yeux, ce qui calma légèrement le mercenaire qui décroisa les bras. La jeune femme s'excusa, avant d'expliquer que c'était la première fois qu'elle rencontrait quelqu'un "de différent".

« Sanzô. » Commença-t-il, pour se présenter. « Je suis pas quelqu'un de spécial, j'suis qu'un mercenaire qui était en plein combat. Et alors que je m'apprêtais à buter ce lancier à la con, un mage m'a téléporté ici. Enfin, je crois, j'en sais rien. Y a une seconde j'étais dans une plaine, où on se tapait joyeusement dessus et juste après, POUF, me voilà dans un parc dans un endroit que je ne connais pas ! »

Et encore, "se tapait joyeusement dessus" n'était pas exact. Il n'a même pas eu le temps de taper sur qui que ce soit ! Bordel de merde, rien qu'à y penser il en frissonnait de dégoût et de frustration. Il se calma de nouveau, avant de porter son regard sur la jeune femme, analysant sa tenue. Sans réellement comprendre, il se rappela de cet homme qu'il avait sauvé de brigands. Okio, qu'il s'appelait. Un gamin paumé, qui portait une tenue... similaire, en partie. En tout cas, son esprit faisait doucement le lien. Peut-être que c'était lié ? Enfin, tant pis. Ce n'était qu'une pensée parmi tant d'autres.

Au moins, la chance était un peu présente. Il n'était pas seule et cette jeune personne qui semblait plutôt intéressée par le garçon allait peut-être pouvoir l'aider.

« Peux-tu me dire quel est cet endroit ? Si y a une taverne dans le coin ? J'tuerai pour une p'tite guerre de seigneurs, histoire de gagner un peu d'or. »

Oui, malgré tout, notre protagoniste n'avait toujours pas pité qu'il n'était plus sur Terra. En même temps, ce n'était qu'un parc. Un endroit commun, où la technologie humaine n'était que très peu présente. Mis-à-part les bancs, rien ne montrait la patte de l'homme et l'endroit pouvait tout-à-fait se trouver sur Terra.

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Va faire un tour à la cité-Etat de Haven, tu devrait t'y plaire x)

J'prend note, merci ! o/

Si tu as de la chance de tomber sur Zoe ou Grey, tu pourrais faire un tour ;) Si ton personnage n'a pas peur de voir ce qu'il n'a pas l'habitude de voir :o

Oh Sanzô ne connaît pas la peur, donc aucun soucis à ce niveau, en espérant donc qu'il ait la chance de tomber autant sur l'un que sur l'autre, uhuh.

6
C'est en voyant ça que tu regrettes presque d'habiter principalement sur Terra D:

Welcome !

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Prélude / Re : Le petit frère chérit à sa grande sœur !
« le: mardi 04 avril 2017, 20:20:53 »
Qu'il est meugnon !

Welcome :3

8
Welcome

9
Prélude / Re : Le bras armé du dieu chat ~nyah~
« le: mardi 04 avril 2017, 15:39:50 »
Welcome!

10
Prélude / Re : Ah ben, vous êtes archnophobes? [Darthestar]
« le: mardi 04 avril 2017, 07:45:43 »
MON DIEU



Bienvenue sinon. :3

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Bon. L'homme était plutôt perturbé par tout ça. La personne en face lui semblait ne pas venir d'ici, et il bien qu'il proposait ses services en échange d'un peu d'or, cette pauvre victime ne semblait pas être un riche gamin dont les poches débordaient de pièces. Enfin, quoi qu'il ait, cela devrait suffire pour un voyage. Le mercenaire n'était pas un monstre, ce n'était qu'un voyageur et vu qu'il l'accompagnerait à un endroit où il désirait lui même se rendre, pas besoin non plus d'une grande somme. La main sur sa garde, toujours prêt à dégainer sa lame si l'arbalétrier tentait de revenir pour prendre sa revanche. Après tout, un homme reste un homme et l'honneur était très certainement une des choses qui tenait le plus au cœur d'un mâle, surtout quand ce dernier est habitué aux arts de la guerre.

En tout cas, c'était la chose la plus importante pour notre mercenaire.

Mais revenons en à cette scène plutôt singulière. Lorsque Sanzô évoqua le léger problème relié à la tenue du jeune homme, ce dernier bredouilla que c'était en réalité... Fait exprès. Oh. Une tenue créée spécialement pour susciter la luxure ? Étrange. Certes, les prostituées avaient comme habitude de porter des habits de ce genre, mais généralement il y avait tout de même plus de tissu. Les vêtements portés par les filles de joies ayant pour but de susciter l'imagination et l'envie des potentiels clients, qui auront ensuite comme désir de retirer ces barrières de tissu inutiles pour découvrir le cadeau joliment empaqueté. Là, on découvrait déjà tout de base. Son torse était visible, caché par un simple filet et une veste, alors qu'en bas Okio ne portait qu'un simple short, moulant parfaitement un fessier plutôt agréable à l’œil.

Le protagoniste devait avouer au moins une chose : ce garçon était particulièrement attirant. Autant qu'une femme, voir même plus. Son corps était bien formé, fin, attirant. Cela lui fit même étirer un sourire. S'il était vraiment dédié au plaisir payant, alors il devait très certainement avoir son petit succès. Même un pur hétéro aurait du mal à ne pas taper dedans.

« Peut-être, mais un viol peut aussi finir le couteau sous la gorge. Donc évites de trop montrer ton corps, aussi beau soit-il. »

Et oui, Sanzô n'était pas un mauvais bougre ! C'est le neutre par excellence. Il ne cherchera jamais quelqu'un gratuitement, mais ne sauvera pas la veuve et l'orphelin par pure bonté non plus. S'il avait sauvé la vie d'Okio, c'était dans le but d'abattre des cibles, de salir sa lame de sang frais et non par simple envie de justice. La part des choses devait toujours être faite, quelqu'un qui en sauve une autre ne le fait pas toujours par simple gentillesse et ça notre protagoniste le savait mieux que quiconque. Personne n'aide son prochain gratuitement, quelque chose devant toujours être payé, un jour ou l'autre.

Quoi qu'il en soit, le mercenaire attendait simplement la réponse de son potentiel client. Si ce dernier n'avait rien pour payer, tant pis ! Il le laissera simplement ici. Peut-être qu'il arrivera à s'en sortir, qui sait. Sa venue était presque un miracle, alors peut-être que la chance lui permettrait d'arriver à Nexus sans encombre. Après, arriver dans la ville-état était une chose, échapper aux esclavagistes et ne pas finir en cage, surtout quand on porte une telle tenue, c'était une tout autre paire de manches. Boarf, s'il avait l'habitude de vendre son corps, au fond, ça ne le changera peut-être pas.

C'est à ce moment que le garçon partit dans son mini monologue, expliquant qu'il était amnésique et que tout ce dont il se souvenait était une maison close. Bon, déjà, son idée que cette personne était une fille de joie -garçon de joie dans son cas, prouvé par le fait qu'il parle de lui au masculin- était juste. Petite victoire. Mais putain, la maison close devait être bizarre pour habiller ses gagneuses comme ça. M'enfin, des tarés y en avaient partout, après tout certains appréciaient qu'on leur écrase les couilles, donc pourquoi pas. Soit disant une attaque a eu lieu et rien d'autre.

Autre chose : comme il le craignait, la jeune victime n'avait absolument rien pour payer. Merde. Rien du tout, putain. Il n'avait déjà pas des masses d'argent, fallait qu'il tombe sur une ancienne prostituée fauchée et amnésique. Néanmoins, il proposa d'offrir son corps et ses services en échange de sa protection. Plutôt étonné par la proposition, singulière, il ne réagit pas directement quand le garçon efféminé sauta presque sur son bas pour tenter de le retirer. Le mercenaire écarquilla les yeux, déposant sa main dans les cheveux du garçon avant de tousser.

« Hem, euh, calme-toi, tu veux ? Pas besoin de me sauter dessus comme ça. Si t'agis de cette manière à Nexus, tu vas vite finir dans la cage d'un esclavagiste en attente d'être vendu à un vieux noble qui te jettera après utilisation. »

Il le prévenait, au cas où. S'il était vraiment amnésique, il ne devrait pas être habitué aux règles de ce monde, donc autant lui éviter des soucis. Enfin bon. L'idée d'avoir droit à son corps le fit sourire et il se lécha les lèvres, ses yeux pétillants d'une envie purement perverse. Il glissa alors sa main de sa tête à son ceinturon, défaisant le tout pour libérer sa queue, en demi-érection. Néanmoins, même s'il ne bandait pas encore réellement, Okio pouvait déjà voir l'épaisseur de son membre.

« Néanmoins je reste un homme... Et je ne peux pas refuser un paiement comme ça. Alors montre moi tes talents, et on verra si tu mérites que je te protège. ~»

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Centre-ville de Seikusu / Nouveau monde • Lirielle Hathran
« le: lundi 03 avril 2017, 14:07:56 »
Le sang. Les cris. Des bruits sourds, violents, qui retentissent. Bordel, qu'il se sentait bien. L'homme lève les bras, le sourire aux lèvres, et prend une profonde respiration, profitant de cet air frais, de cette cacophonie ambiante qui sonnaient comme une douce mélodie à ses oreilles.

Ah, la guerre.

C'était bien sur un champ de bataille que le mercenaire se trouvait. En haut d'une colline, seul, il observait avec plaisir des hommes s'affronter dans un pur combat à mort. Une véritable boucherie, où les lames s'entrechoquaient avec une violence rare. Les flèches pleuvaient, les hurlements retentissaient et le sang du protagoniste bouillonnait. Son rictus était empli d'une folie particulière. Bordel, ces sensations. Ce plaisir. Il sentait d'ici le sang gicler, les vies s'éteindre, les larmes couler. Putain, une petite guerre entre deux familles, rien de mieux pour remplir sa bourse et en même temps trancher quelques têtes ! Une multitude d'honneur allait s'abattre sur lui, à mesure qu'il enverra des âmes de l'autre côté. Putain, c'était ça, la vie. L'homme allait enfin se sentir vivre, sentir son être manqué de passer en enfer à chaque seconde, à chaque échange de coup, à chaque lame passant un peu trop près de son corps.

Il s'élança alors vers le champ de bataille, dégainant sa lame dans le bruit caractéristique de l'acier glissant contre le fourreau. La lumière du soleil se réfléchit sur l'épée, parfaitement entretenue et vierge de toute trace, n'attendant qu'à être souillée par le sang de ses adversaires. Le cœur battant, le regard pétillant, il n'attendait qu'une chose : rencontrer son premier ennemi et le décapiter d'un coup sec, rapide et brutal.

Et c'est avec plaisir qu'il repéra un soldat éloigné, un lancier. Ce dernier, qui devait très certainement tenter de fuir, hurla de terreur lorsqu'il remarqua le protagoniste s'élancer vers lui pour abréger sa vie. Sanzô, fidèle à son principe du "j'te vois j'te bute" s'apprête donc à faire tomber son jugement, et saute en direction de son adversaire, lame en avant... avant de traverser un portail, sans même s'en rendre compte.

Passant à travers les plans, quittant pour la première fois le monde confortable et fantaisiste de Terra, il arriva sur terre, en Angleterre plus précisément. D'une grande prairie où la mort était le plus proche ami des différents acteurs de cette guerre, il arriva dans un parc, en fin de journée, le soleil normalement destructeur se couchant lentement, dans un doux couché de soleil. L'homme tomba lourdement au sol, sa lame tranchant le vide, alors que ses yeux s'écarquillèrent. Où était l'autre enculé, putain ?! Il se releva d'un bond, observant ce lieu étrange qu'il ne connaissait pas. Bordel de merde, où était-il ?

Silence.

Comment ça, silence ? Putain ! Pas un bruit ? Pas une lame tranchant un corps perdant son essence ? Pas une lame traversant un cheval pour abattre son cavalier ? Pas de bruits de pas violents d'un groupe de camarades sautant sur un autre groupe ennemi ? Qu'un bordel de merde de silence, dans un endroit inconnu ? Mais, merde ! S'était-il téléporté, peut-être ? Un mage devait être dans leurs rangs. Un connard de lanceur de sorts, une tapette qui ne sait que se battre à distance, planqué derrière une rangée de boucliers. D'accord, c'était ça, obligatoirement. Un enfoiré en robe l'avait envoyé dans un endroit au hasard pour l'éloigner de la guerre. Lui, et peut-être d'autres malheureux qui devraient se passer du goût du sang.

« BORDEL DE MAGE DE MERDE ! »

Hurla-t-il, frappant le sol de son pied. Fallait que ça tombe sur lui ! Et où était-il, en plus ? Ses yeux furetèrent ainsi autour, observant les arbres et tentant d'analyser l'endroit pour comprendre où l'enfoiré l'avait envoyé. Son regard s'arrêta sur des bancs, en bois, signe de civilisation. Un parc ? Il avait fini en ville ? Peut-être à Nexus, qui sait. Au moins, Sanzô pourrait vite rejoindre une auberge pour noyer sa tristesse dans l'alcool. Grommelant, il pensa aussi que sa paye serait sucrée à cause de son absentéisme. Rah, sérieusement ! L'homme était dégoûté. Il n'a pas pu tuer une seule personne ! Sa lame était toujours parfaitement propre, blanche, brillante même. Il était frustré au plus haut putain de point.

D'un mouvement, le mercenaire rengaina son arme, avant de croiser les bras. Bon, maintenant il n'avait plus qu'à retrouver le chemin vers la sortie pour partir. D'autres contrats étaient peut-être disponibles, histoire qu'il profite de son temps pour réaliser un autre boulot. Sa bourse était malheureusement trop vide, et mis-à-part quelques repas chauds et nuits dans une auberge, notre protagoniste ne pouvait pas réellement s'offrir beaucoup d’extra.

La main sur la garde, il regarda ainsi autour de lui, avant de se préparer à partir.

13
Terra. Le soleil, comme à son habitude, frappait les pauvres âmes vivant en ces lieux de ses puissants rayons, réchauffant bien plus le corps que le cœur. Cet ennemi, à la fois destructeur et insaisissable, le mercenaire le connaissait très bien. Habitué de ses attaques, l'homme se contentait simplement d'encaisser, continuant sa route. Porté par le vent comme une feuille quittant son arbre, le protagoniste de ces quelques lignes profitait de quelques jours de calme pour se diriger vers Nexus, une ville grande, où les contrats ne manqueraient pas. La bourse de l'homme était relativement vide, de quoi se payer quelques nuits dans une auberge un peu sale et quelques repas chauds, rien de plus. Cette vie de nomade avait ses avantages, le voyage, l'inconnu, l'anonymat, mais malheureusement dès qu'on en venait aux besoins primaires de l'être humain, on voyait directement les bonus offerts par une vie de sédentaire. Était-ce, pour autant, une raison pour quitter cette vie et commencer une carrière de bureaucrate ? Ah ! La réponse était évidente. Même si une assiette pleine d'un plat de marque était une chose agréable à l’œil, dégainer sa lame et l'abattre sur un soldat effrayé par la brutalité de son adversaire, ça n'avait pas de prix.

Et, bordel, cela faisait bien trop longtemps que l'épée du mercenaire n'avait pas coupé des têtes.

Bref. Il marchait ainsi, seul, n'appréciant pas s'embêter de compagnons de voyage, observant la route devant lui. Enfin "route", c'était un terme peut-être trop évolué pour désigner une simple forêt. L'endroit lui permettait au moins de se cacher du soleil un minimum, protégé par les feuillages touffus des habitants de l'endroit. Malgré tout, l'homme allait devoir marcher encore quelque temps s'il désirait rejoindre la fameuse ville qui lui servirait de foyer pendant quelques jours.

Mais quelque chose... n'allait pas. Un espèce d'instinct, qui alertait souvent le mercenaire lorsqu'une bataille se préparait à éclater. Enfin, là encore, de la même manière que le terme de route pour la forêt, le terme bataille n'était pas forcément approprié. Disons que ce sixième sens permettait à l'homme de sentir lorsqu'un combat, quel que soit son origine ou son éventuelle conclusion, allait éclater non loin d'ici. Sans réellement qu'il le remarque, un rictus de satisfaction se dessine sur ses lèvres alors que sa main serre la garde de sa lame, presque prêt à dégainer l'arme pour fendre l'air. Ohhhh, oui. Ooooooooooh oui !

Alors qu'il continuait néanmoins sa marche, des bruits commencèrent à s'élever à travers les buissons, les arbres. À l'oreille, on pouvait comprendre des bouts de phrases, de mots. Une discussion ? S'arrêtant net, tendant l'oreille, Sanzô commença à vérifier d'où venait le bruit, pour mieux l'analyser. Petit à petit, les bruits augmentèrent de volume, de nouveaux apparaissant. Des pas, lourds, signes que les personnes présentes devaient porter des armures. Même s'il n'arrivait toujours pas à mettre le doigt sur le sujet de la discussion, les voix qu'il entendait de mieux en mieux étaient masculines. Ok, armures et voix d'hommes, soit de nouveaux mercenaires ou alors des soldats. Mais pourquoi son instinct s'était-il réveillé ? Quelle en était la raison ?

C'est à ce moment qu'il entendit l'un d'eux ordonner à son compère de "la" rattraper.

Oh. Le rictus de l'homme, toujours présent, s'agrandit. Voilà donc que des hommes armés désiraient profiter d'une jeune femme perdue au milieu de la forêt. Resserrant la poigne de sa lame, comme pour s'assurer que cette dernière était toujours attachée à sa ceinture, il accéléra le pas. Les bruits devenaient de plus en plus audible. Il accélère encore. Il comprend les mots, les sens, les phrases. Il court, avale chaque mètre à l'aide de grandes enjambées...

Et il saute.

Sortant d'un buisson, telle une bête sauvage, Sanzô prit la place sur la scène. Alors qu'il était encore en l'air, ses yeux balayèrent la petite zone rapidement. Trois hommes. Une masse, une épée, une arbalète. Puis, son regard se pose sur la silhouette qui fuit, sans réellement plus s'attarder sur elle. Après tout, son sauvetage n'était qu'une raison qui lui permettrait d'éteindre la vie de ces pauvres âmes qui allaient surement regretter de s'être attaqué à plus petit qu'eux. Dégainant sa lame, dans le bruit caractéristique de l'acier glissant dans le fourreau, le mercenaire s'élança vers l'homme le plus proche de lui, celui à la masse. Avant que ce dernier ne comprenne ce qu'il lui arrive, Sanzô abattit son sabre et son jugement, tranchant net la tête de son adversaire. Le sang gicle, coule, et le crâne désormais inanimé du pauvre malheureux tombe lourdement sur le sol avant de rouler quelques mètres plus loin, le cadavre sanguinolent tombant sur ses genoux pour ensuite s'écraser dans l'herbe.

D'un mouvement, le protagoniste retire le sang en trop présent sur sa lame avant de regarder les deux restants, les yeux pétillants d'envie de combattre. Celui à l'épée semble plutôt déconcerté, étonné et effrayé par la perte de son amie et se lance bêtement à l'assaut de la bête. Tenant son épée à deux mains, il lève son arme. Grossière erreur. Sanzô lui donne alors un simple coup de garde directement au visage, avant qu'il ne puisse tenter quoi que ce soit, l'hébétant légèrement en le faisant reculer. L’arbalétrier, de son côté, lance un hurlement plutôt ridicule en décochant un carreau en direction de Sanzô qui l'esquive d'un pas sur le côté, avant de décapiter l'ennemi encore entrain de se remettre du coup. Néanmoins, cette exécution, il la réalise en regardant le dernier survivant, effrayé, qui ne peut qu'observer son second compère... perdre la tête.

Sous le coup de la peur, ce dernier prit alors ses jambes à son cou, fuyant une mort certaine face au protagoniste. Ce dernier grommela, crachant simplement au sol en pointant sa lame ensanglantée vers sa direction.

« Espèce de lâche ! Laisse moi prendre ta tête, putain ! »

En le voyant disparaître finalement à travers les arbres, le mercenaire décide d'accepter la fuite et lève les yeux au ciel. Mollement, il secoue sa lame pour en enlever une partie du sang avant d'attraper l'habit d'un cadavre pour y frotter son épée, retirant le maximum de ce fluide corrosif sur le long terme. Soucieux de son matériel, il pousse un léger soupir de satisfaction une fois la tâche terminée pour ensuite rengainer son arme, dans ce bruit presque jouissif aux yeux de l'homme. C'est à ce moment qu'il se rappelle que ces enfoirés cherchaient à "s'occuper" du cas d'une donzelle.

« Hey, toujours là ? »

Il se tourne alors et observe ainsi la pauvre cible, qu'il regarde de bas en haut... Avant d'hausser un sourcil. Putain, c'est quoi cet accoutrement ? Il avait l'habitude de voir des gens porter de vieux habits usés, des pauvres n'ayant pas les moyens de se payer des habits décents, mais là tout de même. Il baille légèrement et s'approche alors de l'inconnu, détaillant un peu plus son physique de ses yeux couleur ambre. Attends, attends, attends. Y a une couille dans le potage. C'était vraiment une femme ? Il prend alors un air pensif, la main sous son menton et commence à mieux analyser la jeune femme... Ou le jeune homme. Ses traits sont fins, sa carrure ne semble pas être réellement masculine mais on peut néanmoins remarquer une poitrine inexistante et d'autres légers détails. Au premier coup d’œil, il serait plutôt logique et naturel de penser que ce charmant petit bout de personne était une femme, mais Sanzô n'arrivait pas vraiment à se décider.

Mais l'autre chose difficile à savoir était du coup l'origine de cette pauvre victime. D'où venait-elle ? Tekhos, comme proposé par les brigands ? Non, c'était généralement bien plus technologique, en tout cas des quelques souvenirs qu'il s'était fait durant les longues années de vagabondage. Mais bon, au fond, il s'en foutait particulièrement. Reposant sa main sur sa garde, il penche la tête sur le côté pour finalement parler de nouveau.

« J't'avoue que j'sais pas si t'es une bonne femme ou bien d'où tu viens, mais une chose est sûre, habillé comme ça tu f'ras pas long feu. Surtout si tu te diriges vers Nexus. » comme pour appuyer ses propos, il pointe du doigt les différentes affaires portées par Okio « Tout ça, c'un appel au viol pour des tarés comme eux, j'espère que t'en es conscient..e. »

Il pousse un profond soupir et réfléchit doucement... Avant d'avoir une petite idée. Il rigole doucement, un sourire se dessinant sur ses lèvres, signe qu'une plutôt belle idée semblait naître dans son esprit.

« ... Sauf si quelqu'un reste avec toi le temps que tu t'trouves de meilleurs habits. Et ça tombe bien, t'as devant toi Sanzô, mercenaire. J'comptais me rendre à Nexus, si t'as un peu d'or sur toi, j'peux tout-à-fait sécuriser ton voyage. »

Oui, autant en profiter. Et puis de toute manière, la jeune personne pouvait déjà se rendre compte de l'efficacité mortelle du protagoniste. Après tout, les cadavres privés de tête étaient toujours derrière eux, au sol, laissant leurs fluides vitaux s'échapper et teinter l'herbe verte d'un rouge sanglant. Oui, pour le coup, notre ami n'avait toujours pas capté qu'Okio venait d'une toute autre dimension, une autre planète totalement différente. C'est pour cela qu'il agissait simplement avec elle, comme si ce n'était qu'un habitant de plus qui pourrait très certainement lui offrir un peu d'argent pour une protection agréable et sûre.

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Prélude / Re : Nilraen - objets magiques sur commande !
« le: samedi 01 avril 2017, 17:42:30 »
Welcome o/

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Le coin du chalant / Into the battlefield
« le: samedi 01 avril 2017, 02:29:41 »
Howdy!

Voilà mon petit topic de demande de RP. o/

Pour résumer le personnage, Sanzô est un mercenaire vivant sur Terra (mais avec possibilité de finir sur terre s'il le faut). C'est un grand combattant, accumulant des années d'expériences. C'est une véritable tête brûlée, violent, brutal et qui ne pense qu'à faire s'entrechoquer les lames. Il n'est pas conscient du danger et part du principe qu'une victoire peut toujours être arrachée.

Au niveau des personnages recherchés, de tout. A noter que le personnage est bisexuel, et de toute manière je suis ouvert autant au social qu'aux rp plus... chauds on va dire. ~ A votre convenance ! Je suis quelqu'un de très ouvert aux propositions, si mon personnage vous intéresse.

» Idées de scénarios
• Vous engagez des mercenaires pour une campagne et voilà que le grand gaillard arrive, tabassant allègrement les autres participants pour tenter d'avoir une place. A vous de voir comment vous allez réagir face à un tel trouble fête.
• La guerre fait rage, et vous êtes face à Sanzô. Tout peut se passer, en plein milieu d'une bataille !
• Vous arrivez dans une taverne où Sanzô fout la merde. Parce qu'on s'est foutu de sa gueule, ou quelque chose du genre. De toute manière, tout est une excuse à se battre avec ce singe.
• Voilà que Sanzô tombe sur un portail qui mène sur terre. Curieux, il décide de le prendre... et tombe ainsi sur ce nouveau monde qu'il ne connaît pas, dans son armure, l'arme au poing. Et vous n'êtes pas loin, vous, spectateur de sa première expérience avec le... "monde moderne".
• Autre ?

Voilà voilà, c'est quelques idées que j'ai là tout de suite. Je suis néanmoins pas du tout fermé aux propositions, ma boite à MP est ouverte !

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