Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Marguerite Clairbois

Pages: [1] 2 3 ... 10
1
Le coin du chalant / Re : Une fille de la campagne
« le: lundi 06 mai 2024, 14:50:50 »
Hello @Ryo Reynolds !

Je suis infiniment désolée pour le temps que j'ai mis à te répondre.

Je croule un peu sous les RPs en ce moment.

Je te propose qu'on en discute en privé si tu veux ... ? J'espère que tu as su trouver des partenaires d'écriture depuis ce temps !

2
Dire que la jeune femme n'est plus maîtresse d'elle même est un euphémisme. Son corps gracile aux courbes délicates est totalement à la merci des deux artistes qui jouissent d'elle comme bon leur semble. L'un lui pilonne vigoureusement le cul, la tenant avec fermeté et autorité par les hanches. Pendant que l'autre, plus attentif à ses désirs, coulisse en elle avec rythme tout en maintenant sa main autour de sa gorge. La soumission totale à leurs désirs et le traitement qu'ils lui infligent la submergent de vagues de plaisirs qu'elle vocalise sans retenue ni honte. C'est à peine si elle songe en cet instant aux dizaines de fans ou d'autres employés qui, peut-être, pourraient passer dans le couloir à ce moment et entendre ses cris de plaisir.

Des cris évocateurs à la lubricité assumée, parfois articulés tels que "oh oui continuez, ne vous arrêtez pas, pitié !" ou "Encore, par les dieux, oui, oh, encore !"

Après les premiers instants de douleurs ( bien compréhensibles au vu de l'engin qui l'assaille ) sa rondelle délicate avait fini par s'habituer à recevoir le membre massif de Han. L'homme, en dépit de ses mensurations et de sa force certaine, avait bien fait les choses. Bien préparée, traitée avec suffisamment de douceur et de lubrifiant, l'expérience était rapidement devenue l'une des plus intense et plaisante qu'elle n'ait jamais connue. Son corps, assailli de toutes parts finit par être agité de spasmes alors qu'elle jouissait une toute première fois, sans parvenir à dire lequel des deux hommes avait réussi à la mettre dans cet état. Encore assommée par le premier orgasme qui l'avait consumée, Marguerite était bien incapable d'opposer la moindre résistance au changement de position que le duo proposa. C'est ainsi que son corps brûlant et couvert de sueur se retrouve allongé sur celui de Yôkai et que celui-ci s'introduisit sans la moindre résistance dans son arrière déjà accommodé à la queue de son ami. Il ne fallut que quelques secondes de plus pour que Han se positionne entre ses cuisses, emoigne ses chevilles délicates et les lèvent bien haut, se ménageant l'espace pour s'engager en elle.

- Ooooooh ! Putain oui ...

Elle se mord les lèvres alors qu'il s'enfonce en elle, l'emplissant comme rarement elle l'avait été. La sensation combinée de ce membre massif et de la verge de Yokaï dans son cul la fait rapidement décoller. Une de ses mains vient presser fortement son sein rond et généreux alors que Han, une fois encore, commence à donner le tempo de leurs ébats alors que son autre main trouve le chemin de son clitoris qu'elle commence à caresser.
Leur partie de jambe en l'air ne fait que commencer visiblement et elle entend tirer le meilleur de ce moment/

3
Les contrées du Chaos / Re : Un paiement de dette [Pv]
« le: lundi 06 mai 2024, 10:05:41 »
L'invitation, quoique prononcée avec douceur, ne reste pas moins un ordre aux oreilles de Marguerite. La jeune femme devine sans peine où le maître souhaite en venir au terme de ces ablutions, mais après une telle marche, n'importe quelle activité susceptible de lui faire oublier les désagréments du voyage fera l'affaire ... Elle signifie son accord d'un bref hochement de tête.

Déjà nue, elle accepte la main tendue par l'homme pour l'aider à le rejoindre sans risquer de glisser ou pire, de faire basculer le baquet en entier. On ne peut pas dire que son regard transpire la confiance au moment où la paume du maître se referme sur ses doigts mais il n'y a pas d'autres choix que d'obéir de toutes manières.

La place est limitée. Elle vient ainsi se positionner dos à lui, glissant sa silhouette menue entre ses jambes écartées et venant coller son bassin au sien. Une position qui lui permet de barbotter dans un peu d'eau chaude. Un luxe qui lui est offert depuis la deuxième fois depuis son changement de condition. Elle peut ainsi se laver, décrasser son corps de la poussière et de la sueur du voyage. Plus propre que ne peut l'imaginer un homme de la ville, la paysanne déteste au plus haut point rester dans la crasse causée par la terre qu'elle a l'habitude de gratter au quotidien. Un dicton moyenâgeux prétend que ce sont les gens sales qui se lavent ... 

Mais alors qu'elle se redonne figure humaine, après avoir aspergé sa frimousse et frotté ses jambes, elle se rend compte d'un problème. Elle tourne la tête, osant regarder avec timidité l'homme qui, évidemment ne pouvait rien manquer de ses gestes et en avait peut être même déjà profité pour ballader les mains sur sa possession.

- Vous n'auriez pas préféré que je vous lave, maître ... ?

Ca serait dans l'ordre des choses, maintenant qu'elle y pense, que ce soit la servante qui frotte le dos du maître et non l'inverse.

4
Il est aisé de s'approcher de cette fête et d'y participer, sans attirer ni l'attention ni le reproche de quiconque. Les inconnus sont nombreux, un de plus ou un de moins, ca ne fait pas grande différence. Tant que son accoutrement et ses manières ne dénottent pas trop, qui donc irait le remarquer ... ?

Il y a pourtant, un tout petit impair que le visiteur d'un autre monde commet. Une bévue qu'une jeune femme avenante, aux belles couleurs et au sourire charmant lui fait remarquer avec une bonne humeur résolue.

- Il n'faut pas boire de l'eau ! C'est connu pour rendre malade !

Marguerite avait remarqué l'inconnu.e boire dans ce pichet qui était là on ne savait trop pour quoi faire. Peut-être pour y acceuillir un bouquet de fleur si ca tombe. En ces temps moyen-âgeux, eau est synonime de maladie. On préfère boire des boissons, même très diluées, afin de s'affranchir de tout risque. Et puis aujourd'hui est un jour de fête, raison de moins pour bouder son plaisir.

- Vous en voulez ... ?

Partageuse, la jeune femme tend le godet dans lequel elle avait elle même trempé les lèvres il y a quelques instants à peine. Un godet que de toutes manières elle n'aura aucun mal à faire reremplir. C'est à ce moment, alors qu'elle regarde l'expression de l'étranger qu'elle se rend compte que l'allure de la personne en face d'elle est étrange. Est-ce un jeune homme, efféminé et imberbe ... ? Une jeune femme qui, c'est fort étrange, aurait décidé de ne pas porter de robe mais la tenue d'un de ses frères plutôt ... ? La voilà confuse un instant. Peut-être que l'alcool qu'elle a commencé à boire ne l'aide pas non plus à avoir les idées claires.

- J'm'appelle Marguerite


Tente t'elle de dire en espérant que l'autre se présente à son tour et qu'à sa voix ou à son prénom elle puisse determiner à qui elle à affaire.

- J'viens du village au delà d'Montsacré.

Deux informations nécessaires et suffisantes pour se présenter quand on vit dans une campagne si reculée. Tout le monde est un peu du coin, même si on ne se déplace et qu'on ne se croise que lors d'évènements exceptionnels.

- Et vous ... ?

Elle s'est arrêtée quelques instants pour se sustenter et boire un peu, Marguerite. Mais dans son dos, déjà les danses reprennent. Farandoles, gigues et autres danses de groupes où il est aisé d'y trouver place reprennent et la belle paysanne se retourne, regardant une foule de jeunes gens en pleine sarabande en train de passer dans son dos. Elle se retourne pour les regarder et quand elle se revient vers l'inconnue, elle lui adresse un sourire navré. Elle qui est une éternelle bavarde a pour une fois quelque chose de bien plus urgent et important à faire. Ca la démange de se joindre à leurs pas et ca se voit ! Mais pas au point de se montrer impolie.

- Vous êtes v'nu pour danser ? Moi oui ! J'vais y retourner d'ailleurs ...



5

Essoufflée après cette folle chevauchée, Marguerite se laisse aller avec délectation contre la pierre fraiche et moussue sous elle.  Elle qui avait souhaité montrer sa reconnaissance à sa sauveteuse s'en tire au bout du compte avec la partie de jambe en l'air la plus réussie depuis longtemps. Qui avait cru qu'il lui faudrait une femme certes un peu spéciale pour lui apporter ce plaisir là ... ? Cheveux défaits et visage en sueur, elle se tourne à moitié pour regarder par dessus son épaule et river son regard à celui de son amante. Impudique dans sa nudité offerte, elle ne se soucie pas davantage des trainées blanches qui tracent des sillons luisants sur l'intérieur de ses cuisses.

- Wow c'était ... quelqu'chose !

Finit elle par dire après revoir repris un semblant de souffle. Son regard descend naturellement vers le membre si étrange à voir sur un corps féminin. Les sensations avaient été les mêmes qu'avec celui d'un homme. Elles avaient même été décuplées par l'excitation causée par cette situation honteusement hors norme ainsi que, elle l'ignore cependant, possiblement l'effet des fluides de la créature.

En tout cas, si l'inconnue avait craint que Marguerite regrette son geste une fois le plaisir consommé, elle peut se rassurer. La paysanne ne semble pas plus farouche maintenant qu'à sa sortie du Mimique et couve le corps de sa sauveuse de la même admiration béate que lors de la découverte de ce braquemart innattendu.

- Est-ce que ... lui aussi doit s'reposer, comme celui d'un homme ... ?

Demande t'elle alors qu'elle se redresse et retrouve une position assise sur la roche moussue. Sans fausse timidité, elle vient doucement caresser le membre qui a si bien fait son oeuvre. Encore maculée et luisante de ses fluides, la verge devrait en toute logique finir par ramollir et rendre les armes.
Ca n'empêche pas Marguerite de se pencher en avant et de délicatement venir receuillir du bout de la langue les vestiges de leur union. A la fois par envie, car le goût laissé par leurs ébats lui plait. Mais également par gratitude, une fois encore pour remercier l'inconnue qui une fois encore s'est bien occupée d'elle.

Et puis qui sait, peut être que quelques minutes de ce traitement pourraient réussir à raviver son ardeur ... ?

6

La vue de son amant sur pieds et souriant suffit à faire fleurir un sourire sur le visage de la belle qui se hâte de le rejoindre, par petites foulées empressées. Elle glisse sa main dans celle de l'homme et vient se blottir contre lui.

- Non, personne m'a fait d'mal ...


Elle lève vers lui un regard brillant, chargé d'émotions contenues et sourit quand il affirme avoir pensé à elle cette nuit. Elle hoche, confirmant pour le panier.

- Oui ... j'ai imaginé que ... ca t'ferais plaisir. M'ssieur le baillis a bien voulu ...

Il n'y a pas grand chose en vérité, dans ce petit panier. Des pommes, un petit peu de pain. Même pas une galette au beurre ni un petit pichet de cidre. Seulement une outre d'eau. Un panier garni à la mesure de ses moyens. Et de la confiance qu'elle avait dans le baillis de ne pas confisquer des aliments ou des boissons qui auraient paru trop précieuses à ses yeux. 

- J'me suis fait du souçis pour toi ...

Et on peut en comprendre sans peine les raisons. Elle lève sa main vers sa joue et la caresse avec douceur. Confiante en son toucher davantage qu'en ses yeux dans cette pénombre, elle tâtonne avec inquiétude l'endroit où il avait été touché la veille.

- J'avais cru que ... t'avais été blessé ...

7
Place publique / Re : Bouc émissaire
« le: mercredi 01 mai 2024, 22:31:01 »
Hélas, point de cris ne viennent. Seulement de discrets soupirs d'aise. L'instant n'est pas désagréable mais il se confronte à l'épuisement croissant de la jeune femme que l'impatience finit par gagner.

- Que vous êtes pénible ...

Parvient à articuler la belle entre deux soupirs provoqués par les va et viens répétés de l'homme en elle. Dire que les choses ne se passent pas exactement comme Marguerite l'espère est un euphémisme. Elle avait imaginé que son amant, réputé puceau, n'aurait pas duré bien longtemps à ce jeu là. En quelques coups de bassins l'affaire aurait du être réglée et elle aurait pu se rendormir, profiter du peu d'heures de sommeil qui lui restent avant d'affronter une journée de marché le lendemain.

Mais non ... Non seulement les choses trainent en longueur. Mais l'homme joue en plus les rétifs et fait mine de se débattre. De guerre lasse, Marguerite finit par rouvrir les cuisses, cessant de le forcer dans des mouvements qui de toutes façons ne mènent pas à grand chose. (Elle aurait pourtant pu, en temps normal, se réjouir de disposer d'un amant si performant et infatigable ... hélas elle arrive elle même aux limites de sa propre résistance.

- Et puis zut ... faites comme bon vous semble ...

Accablée par une journée de labeur dont l'énergumène n'imagine même pas la teneur, elle renonce. Elle reste là, gisante, cuisses et bras écartés.
Qu'il choisisse de continuer à la besogner ou pas ca ne lui importe plus dans l'état où elle est.

- Pitié, laissez moi juste dormir à la fin ...


Qu'il s'échappe, ce sera tant mieux. Elle se tournera de côté, avide de rejoindre les bras de Morphée qui l'appellent tant. Et s'il continue ... et bien ... au moins elle n'aura plus à user ses forces en vain à batailler contre lui. Ce sera probablement la seule chose normale que ce loustic là fera ...

8
Les contrées du Chaos / Fête du printemps (Camille & Marguerite)
« le: vendredi 19 avril 2024, 16:52:20 »
Les fêtes du printemps sont des occasions toutes particulières dans la vie sociale de la région. Cette année, c'est Ferté Clisson qui organise les festivités auxquelles toutes les communautés des environs sont invitées. Marguerite, comme d'autres jeunes femmes de son village, s'est entassée dans un chariot et a fait tout ce chemin pour avoir le bonheur d'être de la fête ce soir !

Sourire radieux, cheveux tressés de fleurs sauvages et de beaux rubans sortis, la jeune bergère s'est pomponnée pour l'occasion ! Sa robe de lin, bien que simple, est agrémentée de broderies délicates et de rubans chatoyants, faisant ressortir la douceur de ses traits et l'éclat de ses yeux. Elle a également, comme le reste de ses amies, un tout petit peu délacé le haut de son corsage. Histoire d'attirer un petit peu l'oeil, vous voyez. C'est un peu polisson mais après tout, elles n'ont aucun parent pour venir les réprimander aujourd'hui !

Les festivités avaient commencé après le repas du midi, par des célébrations religieuses. Des hommages rendus aux diverses divinités ... comme il y'en a des tas et que les habitants du coin ne sont pas bien sûrs de savoirs lesquels sont les plus influents, les locaux ont choisir d'arroser large et de dédier des offrandes à tous. Tant pis si ca déplait un peu aux dieux qui aiment bien se prétendre uniques ... Mais ce n'étaient pas pour les affaires spirituelles que des jeunes gens comme Marguerite avaient fait le déplacement. C'est avant tout pour le fameux bal du printemps que la jeunesse s'est déplacée. Musique, danses, boissons, banquet. Les soirées d'excès sont tellement rares dans ces campagnes pauvres que l'évènement en devient immanquable ! Les réjouissances dureront tant qu'il restera des gens debout !

Et c'est ainsi que tous se retrouvent au soir, sur la place du village. Un grand espace avait été dégagé devant une estrade improvisée, faite de culs de charrettes alignés et calés pour être solidement maintenus. Des dizaines de tables s'alignent presque en cercle autour de cette espace pour acceuillir le banquet et débordent dans les quelques rues avoisinantes. Debout sur un tonneau pour être bien en vue de tous, le bourgmestre local avait fait un discours, heureusement court, qui avait annoncé le début des festivités. Il fut salué par des vivats et par l'explosion soudain de musique et des danses.

La patience avait fini par payer pour les braves habitants. Les tonneaux sont mis en perce. Les danses commencent. Marguerite, au milieu de cette foule, vibre au rythme de cette fête endiablée. Bras-dessus, bras-dessous avec des inconnus, elle se laisse entrainer dans les farandoles. Elle danse avec l'un, avec l'autre. Elle boit les verres qu'on lui tend, goûte avec parcimonie aux délicieux plats qu'on lui propose. C'est l'occasion pour elle de faire la rencontre de jeunes gens, certains se montrant parfois fort entreprenants !  Elle n'est pas farouche la Marguerite. En d'autres circonstances et en d'autres lieux, elle aurait pu se laisser tenter par la bagatelle avec ces inconnus. Mais présentement, elle est bien décidée à profiter de la soirée jusqu'au bout ! A moins qu'elle ne soit pas encore tombée sur la personne qui provoquera en elle le coup de coeur suffisant pour lui faire passer l'envie de danser ...

9
Les contrées du Chaos / Re : Un paiement de dette [Pv]
« le: vendredi 19 avril 2024, 00:10:54 »
La nouvelle esclave avait frémi lorsque le maître lui avait caressé les cheveux. Elle avait essayé de retenir ses larmes de son mieux en dépit du désarroi qu'elle ressentait. La menace d'une nouvelle punition avait été suffisament dissuasive pour l'empêcher de laisser libre court à son chagrin. Elle s'était retenue tant qu'elle avait pu, emportant dans son sommeil le desespoir qui l'accablait.

L'aube apporté fort peu de réconfort à la jeune femme qui avait docilement suivi le mouvement imposé par son maître. Attachée par une longe à la selle de son cheval, elle suivit sans se plaindre ni rechigner, faisant de son mieux pour suivre l'allure insupportable. La campagnarde avait beau avoir été habituée à l'effort physique et se montrer d'une grande docilité, vouloir tenir le même rythme qu'un cheval relève tout simplement de l'impossible.
Elle s'effondra plusieurs fois d'épuisement, causant de nouvelles réprimandes et de nouvelles punitions de la part du cavalier.

Trois jours passèrent ainsi. Trois jours au cours desquels l'esclave ne songea à rien d'autre que avancer et s'effondrer ensuite de fatigue sitôt arrêtée. Le désespoir des premiers instants de captivité avait fini par laisser place à une morne résignation quant à sa situation. Marguerite ne comprend pas pourquoi elle avait été arrachée à sa vie paisible mais est d'une nature bien trop docile pour oser s'en offusquer ou tenter de se soutirer à cette situation. Habituée au servage depuis sa naissance, elle a tout simplement troqué un maître pour un autre. Et le moins qu'elle puisse dire, c'est qu'elle a BEAUCOUP perdu au change.

C'est à peine, alors qu'ils arrivent à destination, si elle lève le regard pour observer l'immense propriété qu'on lui promet être "sa nouvelle maison". La jeune femme, autrefois joyeuse, aguicheuse et badine n'est à la fin du voyage que l'ombre d'elle même. Pieds ensanglantés, visage devenu gris de poussière et considérablement amaigrie. Elle entends les consignes de son maître et ne se sent même plus en état de s'en indigner. Entretenir seule une telle propriété relève sans doutes de l'impossible. L'intérieur à lui seul nécessiterait plus qu'une seule servante pour être rutilant. Les extérieurs sont immenses et exigeraient l'intervention d'un forestier compétent. Une Marguerite au mieux de sa forme et de sa motivation n'y arriverait sans doutes pas. Alors que penser de la jeune femme amenée ici contre son gré et épuisée ?  Il est possible que la tentation de se jeter sur la première fourche venue grandisse en elle au point de devenir irrépressible. Une manière de quitter ce monde en beauté et de dire une bonne fois pour toutes merde à ce maître bien trop exigeant qui se verrait bien puni d'être privé d'une ressource précieuse ...

Pourtant, en dépit de son désarroi, elle trouve la force de répondre.

- Oui maître, je comprend.

Sitôt détachée, Marguerite baisse les yeux sur les traces cruelles que le chanvre a laisse sur sa chair. Frotter ses mains l'une contre l'autre l'aide à faire circuler de nouveau le sang dans ses extrémités endolories. Regard bas, elle suit le maître et hoche, donnant le sentiment de comprendre ses consignes. Elle se déshabille sans chercher à discuter et c'est une fois nue qu'elle part s'acquitter de ses tâches, recevant au passage une fessée qui la fait glapir un instant et beaucoup moins sursauter que ce à quoi on aurait pu s'attendre. Elle se presse davantage pour aller allumer le foyer ... mais à peine. Il faut croire que l'épuisement finit par émousser ses réactions. Rompue aux travaux ménagers, elle ne tarde pas à allumer un feu et à entamer des allers retours entre le puit de la cour et la fameuse cuve avec laquelle visiblement elle va devoir faire chauffer de l'eau. Préparer un bain chaud est malheureusement une entreprise longue et laborieuse dans ces conditions médiévales. L'asservie fait de son mieux, mais l'œuvre laisse amplement le temps au maître le temps de se poser. De la regarder faire s'il est du genre soupçonneux. Ou de s'occuper du cheval qu'il sera de toutes manières nécessaire de desseller et d'installer dans la dépendance qui lui est réservée.

Malgré les clopinements douloureux causés par les courbatures de la jeune femme et les quelques maladresse qui viennent créer quelques modestes éclaboussures dans la cour, le travail avance avec une régularité satisfaisante. La cuve se remplit, le feu gagne en intensité ... bientôt le bain sera prêt.
 

10
Les contrées du Chaos / Re : Le crime ne paye pas ! [Fang & Marguerite]
« le: dimanche 14 avril 2024, 11:00:37 »

Marguerite avait gloussé  à la proposition de la femme. Un kidnapping, une vie de débauche ! La paysanne ne prend pas la proposition au sérieux mais se plait au moins à imaginer l'idée.

- Vous n'oseriez pas !

S'était elle exclamée avec un rire charmant, persuadée que l'inconnue plaisantait et que la chose qu'elle proposait tenait de l'impossible. Car c'est ainsi qu'est faite la vie à ses yeux, articulée autour du labeur et des traditions. Les galipettes, quoique plaisantes, ne sont que les petites récompenses qui égayent une vie faite d'efforts. Les dieux l'ont voulu et c'est ainsi. Mais ce constat n'empêche pas la jeune femme pleine de vie de savoir profiter des belles choses qui se présentent à elle.  Comme cette partie de jambe en l'air unique et merveilleuse avec une inconnue aux attributs tout à fait particuliers.

Chaude et aguicheuse, Marguerite avait agité un instant les fesses avant que le membre de la femme ne se plante en elle. Elle avait poussé un cri de joie avant d'accompagner les mouvements de va et viens et réclamé que sa partenaire y aille encore plus fort. Un souhait que son amante se hâte de satisfaire. L'intensité du changement de rythme fait crier de plaisir la jeune femme.

- Aaaah aaaah ! Oh Ouui ! Han encore !

Leur baise se transforme vite en partie de rodéo. Le corps de la frêle paysanne qu'on pourrait croire malmené par l'œuvre de l'aventurière réagit à chaque coups de boutoir qui lui est assené par un nouveau cri. Non pas des expressions de douleur, mais bel et bien de plaisir. Assaillie tant par les coups de reins que par les sensations qu'elle ressent, Marguerite finit par ne plus réussir à tenir sur ses avants bras. Elle s'affaisse en avant, ses seins venant s'écraser contre la pierre moussue alors que sa croupe, fermement maintenue par sa partenaire, continue d'être prise par des assauts vigoureux. Pilonnée sans pitié ni retenue, la jolie bergère vocalise sans honte ni retenue le plaisir qu'elle ressent.

- Je .. oh oui ! ...

Le claquement rythmé de son pubis sur ses fesses rend la jeune femme comme folle. Joue posée contre la pierre froide, baisée avec une brutalité hors norme, stimulée par une situation hors norme et possiblement aidée par la bave aux vertus étranges, elle sent monter en elle une jouissance ravageuse.

- Oui ! Ca va ... Oh !

Bientôt, son corps est agité de soubresauts et se convulse alors qu'une humidité soudaine s'échappe de ses cuisses, inondant de fluides féminins leurs corps mêlés. Perdant la maîtrise de ses gestes pendant la poignée de secondes que durent sa jouissance, il est heureux que Fang se soit tenue derrière elle pour pouvoir la maintenir et l'empêcher de s'effondrer alors qu'elle parait pendant quelques instants partie faire un petit tour dans les étoiles.

11
Place publique / Re : Bouc émissaire
« le: dimanche 14 avril 2024, 10:03:59 »
La panique d'Eugene lors des tous premiers instants de tendresse aurait pu paraître comique. En d'autres circonstances Marguerite aurait sans doutes pu en rire. Elle aurait gardé ce moment de détresse en mémoire, prête à le répéter aux autres amies du lavoir sous la forme d'une histoire telle que  "Vous n'savez pas ce qui m'est arrivé une fois, l'jour où j'ai déniaisé un homme ... ? Il a cru à un maléfice et m'a traité d'sorcière d'voir son gourdin tout raidi ... !". Pour sûr ca aurait provoqué des éclats.

Rien que pour garder cette histoire en souvenir, l'épisode de batifolage peu mémorable aurait valu le coups. Sauf que sur le moment, la jeune femme à moitié endormie ne songe pas un instant à voir les choses sous cet angle. Elle est lasse, elle souhaite que les choses se fassent et se terminent vite. Elle caresse le cou et les épaules de l'homme, répétant d'une voix douce mais ensommeillée.

- Tout va bien. Laissez vous donc faire ...

Pas tout à fait faite de bois, l'entrée de l'homme en elle provoque tout de même quelques soupirs par la force des choses. Les va et viens la font faiblement gémir et remuer sous lui, provoquant en elle la montée d'une humidité acceuillante. Elle s'agrippe à lui, l'incitant à poursuivre le mouvement en elle.

- Allez y ... laissez les choses venir.

Souffle t'elle à son oreille. Que les choses finissent et qu'elle puisse enfin sombrer dans le repos qu'elle mérite tant ... Il n'est pas dit d'ailleurs qu'à ce train là, si le jeune homme est un lambin, qu'il s'apercoive que son hotesse avait fini par s'endormir avant la fin de son oeuvre.

12

Son amant s'est installé à son aise et Marguerite se trouve ainsi libre de le couvrir de ses attentions. Sourires échangés, regards furtifs, elle voit que les gestes qu'elle prodigue au maître des lieux sont appréciés à une valeur qui dépasse la simple galanterie.  Ses lèvres souples forment un écrin autour du membre dressé de l'homme. Elles impriment un mouvement de va et viens expert. Chaque frisson, chaque soupir qu'elle arrache au gérant de l'hôtel sont autant de raisons pour elle de se réjouir et de se sentir flattée. 

Le plaisir ressenti par l'homme est évidemment communicatif. Déjà échauffée par les tendres préliminaires qu'ils ont partagés, la jeune femme ne peut rester de marbre alors que sous ses doigts et sous sa langue la masculinité raidie de Daraen réagit et palpite. Sans prendre la peine de s'en cacher, la main de la jeune femme descend le long de son vendre jusqu'à trouver le chemin de sa chaude intimité. Idéalement placée, dos à un miroir, le maître d'hôtel ne peut manquer le spectacle de ses doigts fins plongeant avec volupté entre ses cuisses écartés et s'y affairant avec une énergie qui va en s'accroissant. Très vite, les gémissements de la paysanne s'échappent de ses lèvres pourtant fort occupées et se joignent aux soupirs d'aise de l'homme au centre des attentions.  Son plaisir monte, s'intensifie. Joues rouges, souffle devenant erratique. Marguerite s'arrête avant de basculer vers l'orgasme solitaire ou pire, de perdre le contrôle du traitement qu'elle offre à son amant au point de le pousser lui également jusqu'au point de non retour.

Une main gracieusement posée sur la hampe désormais ruisselante de salive, elle se redresse à quattre pattes et se penche sur son amant, sa voix tremblant presque sous l'effet de l'excitation qu'elle ressent.

- J'ai envie d'vous, Daraen. En moi.

Elle se mord la lèvre. Se sentant incapable de résister à l'envie irrépressibles qui l'anime, elle ondule et presse son corps contre celui du maître d'hôtel, pressant sa poitrine ample et souple contre le torse de l'homme, effleurant de ses mains baladeuses ce corps à la fois si beau et si exotique.

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Les contrées du Chaos / Re : Un paiement de dette [Pv]
« le: lundi 08 avril 2024, 16:41:56 »
Les mots et les gestes du maître produisent l'effet auquel on peut s'attendre sur la pauvre Marguerite. Yeux baissés, lèvres tremblantes, elle semble horrifiée par le destin qui lui est promis et ses yeux se mouillent de larmes. C'est donc ainsi que les choses se passeront maintenant pour elle ? Elle sera condamnée à souffrir malgré son obéissance ? Elle sera punie en dépit de tous ses bons efforts ... ? Le désarroi dans lequel cette annonce est visible, en dépit des efforts qu'elle fait pour rester immobile et soumise.

Elle répète d'une voix entrecoupée d'un sanglot.

- Je serai obéissante maître ... je ne souhaite pas souffrir.

Tente t'elle de plaider, épaules voutées et yeux embués de larmes. Il est inconvenable à ses yeux que l'homme souhaite la voir souffrir sans raison. Punir sans faute, même dans la petite campagne primitive où les nobles usent et abusent de leurs privilèges sur leur roture, ca ne ferait pas de sens.
Le souffle court, elle tremble et essaye de retenir les sanglots qui menacent de l'engloutir. Ses mains, menues et délicates malgré le dur labeur aux champs , se crispent bien involontairement sur ses cuisses nues ses ongles s'enfonçant dans sa peau dans un effort désespéré pour contrôler ses tourments intérieurs.


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Marguerite regarde Grayle s'éloigner, une expression indescriptible sur le visage. Il emporte avec lui une part de chaleur qui avait commencé à s'allumer dans le coeur de la petite paysanne depuis sa rencontre avec ce brave aventurier. Elle se sent vide et amère alors qu'autour d'elle villageois et villageoises à présent bien réveillés se pressent et chuchotent entre eux en lui lançant des regards furtifs. La pauvrette se retrouve vite assaillie de questions parfois indiscrètes par ses "amies" et par des dames faussement bienveillantes, plus intéressées par l'idée d'apprendre les rumeurs que de veiller sur le bien être émotionnel de l'orpheline. Pourquoi et comment Marguerite avait-elle été mêlée à cette histoire ? Qui était vraiment cet homme mystérieux ? Et pourquoi diable l'aurait t'elle invité dans son logis si ce n'était pour faire "on sait bien quoi" ? A toutes ces questions, Marguerite se montre évasive et s'en tient à la version annoncée par le chevalier. Sa galanterie l'a poussé à mentir pour préserver son honneur mis à mal et elle ne peut que se sentir reconnaissante pour ce geste ...

Inévitablement, les villageois finissent par tous retourner se coucher. Marguerite se retrouve seule dans a petite masure en désordre. Les événements de la journée tournoient dans son esprit. Entre incompréhension, joie et inquiétude, c'est bien ce dernier sentiment qui domine. Grayle a été injustement détenu après l'avoir, une fois encore, défendue. Elle prie ardemment pour qu'il ne prenne pas à l'idée du baillis de changer son verdict et elle espère que son amant ne dépérira pas, ainsi enfermé. Elle ne peut s'empêcher de sentir un pincement au coeur en repensant à son sourire charmeur et à ses yeux étincelants.  Le sommeil est bien difficile à trouver pour la jeunette tourmentée. Le matin arrive et après avoir pris soin du pensionnaire immaculé de sa grange, Marguerite ose apparaître en public, un petit panier en osier tenu à deux mains devant elle. Elle affronte les regards qui se tournent vers elle en rougissant mais avance d'un pas décidé en direction du baillis. L'homme de loi a des poches sous les yeux et fait le planton devant la bien fameuse porte de la crypte. Il se balance sur sa chaise, une lourde clef en fer suspendue à un clou au dessus de son épaule.

- Tiens donc, Marguerite.


Il ne semble pas particulièrement surpris. Pas plus qu'il ne semble douter de ce qu'il va entendre quand il demande à la jeunette.

- Qu'est-ce donc qui t'amène ?

- Bonjour m'sieur le baillis.

Dit la jeune femme, intimidée et un peu honteuse.

- J'aim'rais lui parler.

- Allons bon.

L'homme reste impassible mais ne parait pas davantage étonné.

- J'dois lui parler d'son cheval.

Tente t'elle d'inventer.

- Il l'a laissé dans ma grange ... j'dois en prendre soin.

Continue t'elle de justifier. L'homme en face d'elle hoche un peu, l'air assez peu convaincu.

- Je vois. Et le panier ... ?

- Des ... pommes. Et du pain.

Dit elle en soulevant le torchon qui recouvre le tout. Elle tente de plaider.
 
- Je me dis que ... Ca vous fera ça de moins à le nourrir ...

C'est un argument que personne ne peut nier. Le village nourrit un homme qui pour l'instant ne fait pas grand chose de ses bras pourtant valides ... Même un bol de mauvais gruau matinal est un repas qui risquera de manquer un jour si l'hiver se montre mauvais.

Le baillis hausse les épaules et soupire. Il avait jeté un rapide coup d'oeil au contenu du panier et ne prend même pas la peine de vraiment fouiller. Marguerite est une brave fille, elle est connue dans le village. Ce n'est pas une délinquante et elle n'est pas assez folle pour tenter des folies pour les beaux yeux d'un étranger.

- Mouais ... Fais comme t'veux. T'peux rentrer.

Il fait signe du pouce pour désigner la porte derrière son épaule. La jeune femme hésite, et regarde sans comprendre la clef puis la porte.

- Mais heuh ... c'est pas fermé ... ?


- Quoi ... ? Tu crois que ton zigoto va essayer de se barrer ... ?

- Non heuh ... non bien sûr ...

Murmure t'elle, confuse. Elle s'avance donc vers la porte qui n'est que très vaguement surveillée et pas verouillée.  Mais alors qu'elle passe devant le baillis, il saisit avec vivacité le bras de Marguerite et l'oblige à se tourner vers lui. Avec un paternalisme teinté d'autorité, il la tance alors.

- T'es une brave fille Marguerite, mais t'as trop bon coeur. Tu fais trop confiance à ces étrangers là. Ils racontent des fadaises aux filles seules et un peu naïves et ils s'en repartent une fois qu'ils ont eu ce qu'ils veulent.

Confuse, Marguerite ne sait visiblement pas trop quoi dire, elle baisse le regard.

- Mais ... il m'a aidée contre ces bandits.

- Ca j'en doute pas ...

Dit le baillis d'un ton étrange, plissant légèrement les yeux. Quelques secondes de silence s'écoulent avant que lentement il relâche la pression sur le bras de la jeune femme qui file en direction de la porte. Même sans être verrouillée la porte est lourde. Ses gonds anciens et mal huilés. Marguerite doit poser son panier et s'aider de ses deux mains pour l'entrebâiller et pouvoir se faufiler. Sans surprise, l'endroit est sombre, confiné mais ne ressemble pas vraiment à un cachot. Les villageois l'ont aménagé sommairement avec une paillasse. Il est fait un peu frais mais certainement pas humide et des couvertures ont été fournies à "l'invité". Sitôt entrée, Marguerite descend les quelques marches. Les yeux encore éblouis par la lumière extérieure, elle ne parvient pas encore à distinguer dans la pénombre et elle appelle.

- Messire Grayle ... ? Vous êtes là ? Vous allez bien ?

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Les contrées du Chaos / Re : Le crime ne paye pas ! [Fang & Marguerite]
« le: jeudi 04 avril 2024, 14:26:35 »

La sexualité dans son village est elle un tabou pour Marguerite  ... ? La question fait un instant lever les yeux de la fausse-innocente qui semble réfléchir pendant quelques secondes.

- Beeeeeen ... j'sais pas. J'suis sûre que toutes les filles aiment s'faire culbuter mais qu'il faut l'cacher quand même. Parce que ca fait mauvais genre, vous voyez ?


Pour sûr, Marguerite en connait des autres femmes qui ne ratent jamais une occasion de tromper leur mari ou de laisser les étrangers leur trousser le jupon. Mais ca se dit pas ! Question de correction sans doutes ... ? Et puis il parait que c'est un péché aux yeux des bons dieux, raison pour laquelle les jeunes femmes du village vont faire la queue à confesse pour s'agenouiller devant le prêtre et supplier qu'il accorde le pardon. Etrangement les hommes aussi sont prêts à saisir toutes les occasions possibles pour se faire du bien. Mais eux on les montre moins du doigt, évidemment.

Voilà pourquoi, elle parait pleinement satisfaite de bouger jusqu'à un endroit plus discret ! Son enthousiasme est visible alors qu'elle se positionne et offre sa croupe à l'étrangère, de la même façon qu'elle s'offrirait à n'importe quel homme. La promesse que sa sauveuse lui offre un moment mémorable la fait avoir un rire joyeux.

- Il l'est d'jà mémorable ! Jamais j'avais vu une femme avec une bite. Et la votre est magnifique !

Elle jette un regard par dessus son épaule, observant l'aventurière se positionner derrière elle avec un air impatient. Elle se mord la lèvre alors que le membre féminin entameun délicieux va et viens le long du sillon de ses fesses. Le compliment qu'elle lui fait lui arrache un nouveau sourire.

- Dans d'autres circonstances ... ? Si vous aviez pas de bite vous voulez dire ?

L'idée la fait rire un peu alors qu'elle agite ses fesses et accompagne pendant quelques secondes le mouvement imprimé par son amante.

- Jamais j'aurais cru qu'une femme puisse m'plaire ... 

Les mouvements de la femme derrière elle s'arrêtent. Marguerite frémit d'anticipation, se cambre davantage et sent soudain fang entrer en elle. La sensation, divine, lui arrache un cri de joie et de plaisir.

- ... mais vous, vous avez juste c'qui faut !

Conclut t'elle avant de reculer son bassin et de s'empaler davantage encore sur le membre planté en elle. Sans surprises, l'intimité ruisselante de Marguerite est chaude et accueillante. Elle s'accommode sans peine au sexe qui la pénètre, s'écartant sur son passage pour former autour de lui un cocon de chair chaude avide de le faire jouir. Enthousiaste, la paysanne entame un mouvement vif d'avant en arrière qui accompagne ceux de Fang. Chaque à coup est l'occasion pour elle se gémir, de se cambrer et de soupirer.   

- Oh oui. C'est bon ! Allez y plus fort s'il vous plait !


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