Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Elemiah

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Les terres sauvages / L'Apogée des Sens-Chapitre I
« le: vendredi 16 octobre 2015, 02:35:41 »



Les nuits se ressemblaient toutes. Il y avait encore des brouillards que même le temps ne pouvait dissiper. Des ombres tellement denses que même la lumière d’une comète ne pouvait gommer. C’était un néant si brulant que seuls les démons pouvaient se retrouver. C’était dans cette nuit étrange, celle des éternelles nuits qui se morfondent. Alors vient se déchirer le rideau, telle une évidence venant prôner la clémence. Elle apparut, brisant la foule. Brisant les cris. Dans cette nuit subite, un village de quelques habitants s’endort. Un village faiblement éclairé par la lueur d’une lune sans visage. Aussi ronde que le soleil le jour, aussi pâle qu’une colombe immaculée. Nous ne sommes que des poussières d’étoiles. Le village était au creux d’une vallée lugubre, entouré de part et d’autre par une forêt immense et éternelle. C’était cette nuit que les Dieux ont choisit pour frapper à la porte d’une minuscule auberge encore allumée. Une auberge où règnent la luxure et le vice. Ce petit bordel miteux, où viennent s’échouer les brigands et autres mercenaires en tout genre. C’était le carnaval tout les jours. La bâtisse n’avait rien de reluisant, une barrique en bois creusée par le temps et la pluie, quelque planche pendaient. Sur la devanture on pouvait à peine lire l’écriteau rouillé ‘Le Rose en Osmose’. Un nom qui n’allait ni avec l’extérieur sombre et vieillit, ni avec l’intérieur encore pire que son homologue.

Lorsqu’on pénétrait dans l’enceinte on ne savait pas lequel de nos sens étaient agressés en premier. L’odeur, de sueur, d’alcool, de vomit et de foutre séché. L’ouïe, d’entendre les braillards gueuler à la mort, les filles simuler leur plaisirs, le gérant hurlant des ordres, ou encore le pianiste jouant de fausses notes sur un piano désaccordé, pendant qu’une greluche pensait savoir chanter sur le comptoir. Ou bien la vue. C’était du grand spectacle. De la moquette marron trouée sur le sol et couverte de taches, personne n’est allé chercher ce qu’était ces tâches. La peinture, autrefois rouge carmin, sur les murs s’effritée de tout coté laissant apparaitre le bois salis de la bicoque. Partout sur le sol défraichis on pouvait trouver de gros coussins, aussi douteux sur l’hygiène. Des tables positionnaient un peu partout dans la pièce tel un damier en cour de partie et si la pudeur était un problème, il n’y avait que deux chambres au prix exorbitant. C’est pourquoi les prostituées et autres créatures étranges se donnaient à cœur joie partout dans l’auberge, sur les table, le bar, le comptoir, les tabourets, le sol, il y en avait de partout et pour tout les gouts. Le bar se trouvait au fond de la salle. Immense bar avec des bouteilles de toutes les couleurs. En venant ici, les malfrats étaient certains de trouver leur bonheur ici.

L’animation était de mise ce soir, la salle c’était scindée en deux groupes. A droite les enculeurs et à gauche les fourreurs de chattes. Le principe était simple, c’était à celui qui faisait crier le plus les putes du bordel. Autant dire que le bruit était assourdissant. Alors comme sortit de nulle part, sortit une femme, plus belle que les autres. Elle déboula de derrière le bar avec une démarche féline. Comme si elle voulait s’envoler. Elle était vêtue d’une simple robe noire. Moulante. Qui laissait ressortir ses petits seins, avec des tétons toujours dressés.  Elle n’avait pas peur de marcher pied nu, elle était simplement, elle. Son tablier avait perdu de son éclat mais son visage était lumineux. En la voyant entré dans la pièce certains clients arrêtèrent pour regarder la jeune femme. Elle n’était pas la plus belle des femmes, mais ce qu’elle dégageait ne portait aucun nom tellement c’était fort. De l’animalité ? Oui mais plus que ça. De la bestialité ? Ses cheveux châtain ondulés lui arrivés au creux de son dos. Son visage aussi doux qu’une rose qui éclot. Son regard ambre était plus profond que les océans. Son aura aurait pu envouter un démon. Sa bouche pulpeuse et rosée à souhait. Une femme qui donne cette impression de soulever des montagnes sans peine.

-Elemiah !

Le cri réussit à briser le vacarme de la taverne, alors que la demoiselle tourna les yeux vers son patron. Un gros lourdaud sans tact et sans aucune classe. Il était immonde avec ses employés et n’hésitez pas à baiser ses putes quand ça lui chanté. Heureusement pour elle Elemiah n’était que serveuse, même si à plusieurs reprises il lui avait fait des avances.

-Faut aller jeter les poubelles. Bouge-toi le cul !

Elemiah poussa un petit soupir en attrapant deux verres au passage. Elle se tourna pour retourner en cuisine lorsqu’un client lui attrapa la fesse avec fermeté. Elle s’arrêta net en lui lançant un regard noir. L’homme lâcha sa prise sans demander son reste. Elle entra alors dans la cuisine fumante, et puante par la même occasion. L’odeur du calamar dans le menu de ce soir lui monta à la tête, elle tenta de retenir sa respiration, se dirigea vers les deux sacs poubelles les entraina dehors pour les mettre dans des conteneurs aussi peu ragoutant que l’odeur de la cuisine. Elle s’adossa alors une minute contre le mur pour reprendre son souffle.

*Boulot de merde. Destin de merde. Tu fous quoi là ? Bordel t’es qu’une merde. Tu veux finir ta vie ici ?*

La voix rauque sonna dans son esprit elle regarda alors la bâtisse. Non, elle ne voulait pas de cette vie. Mais que faire d’autre ? Elemiah recula d’un pas toujours dans ses pensées. Elle leva alors les yeux au ciel pour observer les étoiles qui étaient maintenant cachées par d’épais nuages. Ses paupières se fermèrent. Alors une détonation. Les nuages grondaient. Un éclair illumina son visage. La pluie commença à tomber doucement sur sa peau. Les gouttes, se firent de plus en plus nombreuses. Elle écarta les bras pour sentir la fraicheur de l’eau. A cet instant elle se sentait vivante…

Sans s’y préparer tout en reculant, elle trébucha sur… Un pied ? Elle se retrouva alors dans une petite flaque d’eau. Les fesses dans la terre, ses bras tenant encore son buste droit elle regarda alors qui lui avait fait ce croche-patte. Apparurent de la pénombre cinq homme plus celui qui l’avait fait tomber. Elemiah fronça les sourcils, elle l’avait reconnu. Le type qui lui avait touché le derrière juste avant qu’elle sorte.

-Alors ma jolie, on sort seule ?

Elemiah tenta alors de se relever mais l’homme l’en empêcha en posant sa main sur son épaule. Le loup se mit à gronder au fond d’elle. Il fallait qu’elle se…

-Allez, tenez-la. Je vais la baiser comme elle le mérite.

Les cinq hommes la plaquèrent au sol pour être surs qu’elle ne bouge pas. Elemiah ne pouvait à présent plus se transformer sans un minimum d’espace. Mais avec son corps si fin et le peu de muscles qui la caractérisé elle se contenta de gémir avec des son bestiaux sortants du plus profond de son ventre. Elle n’appellerait pas à l’aide, elle avait trop de fierté pour ça. Elle tenta alors de lui envoyer un coup de pied mais l’homme avait déjà le dessus et cracha sur ses doigts pour glisser sa main entre ses jambes.

-Mais c’est que Madame ne porte pas de culotte ?

Il enchaina avec un rire puant et enfonça trois doigts dans la fente de la belle qui bomba le torse, l’homme qui lui tenait la tête lui mit la main sur la bouche pour ne pas l’entendre crier. Alors que l’homme la doigté de plus en plus fort, ses ongles putrides vinrent arracher quelque morceau de la chair de son vagin, lui créant de petites coupures en la faisant légèrement saigner tant il était brusque. Un autre en profita pour lui arracher son haut pour découvrir ses seins. Il ne la ménagea pas et commença à mordre avec force l’un de ses deux tétons. Elemiah sursautait en se débattant comme elle le pouvait. L’homme baissa alors son chandail la bite bien en main.

-Je vais tellement te défoncer que tu pourras plus t’assoir, chienne ! 




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Personnages prédéfinis / La Famille Sinistro
« le: jeudi 15 octobre 2015, 20:19:59 »

L'arbre de la Famille

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Les membres de la Famille (Jouable)

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

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Prélude / Re : Elemiah-Double jeu [Valisuccubisée]
« le: jeudi 15 octobre 2015, 02:30:34 »
Ouah *embrasse Tessia* Merci pour cet accueil plus que chaleureux ^^

Et merci pour la validation *l'embrasse de nouveau* au plaisir de te rencontrer in'rp

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Prélude / Re : Elemiah-Double jeu [Tessia]
« le: mardi 13 octobre 2015, 16:51:00 »
Merci à tous pour votre accueil  :)

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Prélude / Elemiah-Double jeu [Valisuccubisée]
« le: mardi 13 octobre 2015, 08:26:15 »

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