Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Jack Taylor

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Si par orgueil, Jack aurait aimé pouvoir feindre l’indifférence, Lilas est bien trop habile pour lui en laisser l’occasion. Il soupire longuement lorsque la jeune femme fouille son trou sale, grogne lorsque la paume tiède de la blondinette épouse ses grosses bourses pleines. Lorsque la pulpe de son index s’écrase contre sa prostate, Jack se cambre en gémissant, faisant tressauter son gros sexe sur son ventre. “Mhhghh…” À la seconde pression puis à la troisième, il se cambre carrément, les yeux écarquillés sous son bandeau de fortune. Lorsque les doigts glissent en dehors de son trou dilaté, il laisse échapper un petit grognement de dépit, sursaute au petit coup de règle qui vient meurtrir sa chair.

“Putain oui.”

Ne peut-il s’empêcher de murmurer, lorsque Lilas crache sur son anus entrouvert. Il en veut davantage, remue légèrement les hanches pour mieux s’offrir, se plaisant bien plus qu’il ne l'aurait imaginé dans le rôle du chien de sa petite maîtresse. Néanmoins, la rigidité de la règle est moins agréable, et l’homme grimace lorsque le coin de l’objet écarte les parois de son anus… Mais Lilas finit par la retirer, avant de l’abandonner l’espace de quelques instants, pendant lesquels il s’efforce de retrouver son souffle. Lorsqu’elle manipule son sexe, il fonce de nouveau les sourcils sous le bandeau.” Ow..”, mais ne tarde pas à comprendre le traitement qui lui est réservé… Ah la sale petite pute. Il ne peut s’empêcher de frémir d’impatience, et soupire d’aise lorsque la vibration s’enclenche, se mordant la lèvre inférieure alors que sa verge stimulée tressaute.

"Mmmh…Merci Maîtresse”, murmure-il lorsqu’elle caresse négligemment son sexe.

De nouveau, il gémit lorsque les petites billes pénètrent son anus déjà dilaté, suivante de bave, ouvre légèrement la bouche, formant un o avec ses lèvres entrouvertes. Une, deux, trois… la petite chienne le remplit bien, n’hésitant pas à enfoncer profondément les boules en les poussant de la pulpe de son index, faisant tressaillir et gémir le pauvre professeur. Lorsqu’elle s’éloigne de nouveau pour le contourner, Jack croit savoir ce qu’elle s'apprête à faire lorsqu’il sent sa présence devant lui.

“Mnnnggg… Ahh !”

Surpris par l’intensité des vibrations dans son fion et sur sa grosse queue, Jack se cambre de nouveau, agrippant les rebord du bureau de ses grosses mains pour conserver son équilibre alors qu’il remue nerveusement le bassin vers le haut, le corps parcouru de brefs frissons. L’ourlet de la jupe de Lilas glisse sur son nez, mais alors qu’il s’attend à ce qu’une petite chatte détrempée s’écrase sur sa gueule, c’est un membre tiède et dur qui s’engouffre jusqu'au fond de sa gorge, le faisant hoqueter de surprise et de douleur. Une queue ?! “Mhhhh ?!”, grogne-il, surpris, presque choqué, de la salive s’échappant de ses lèvres violées pour dégouliner le long de son menton et de ses joues. S’astreignant à respirer par le nez Jack est bien trop stimulé pour se rebiffer, d’autant que la révélation, si elle le surprend, ne lui déplaît pas, bien au contraire. Bientôt sa gorge s’adapte à l'épaisseur du modeste pénis de Lilas - du moins en comparaison du sien- et  arrondit ses lèvres pour le téter bruyamment et avec avidité, humant l’odeur délicate des couilles imberbes de Lilas, flattant la hampe gonflée de la jeune fille de la langue.

Loin de le vexer, les insultes de Lilas l’excitent, s'enhardissent. “Mhh hmm.” Renversée au-dessus de lui, son élève repose de tout son poids sur ses pectoraux, remuant son chibre entre ses lèvres avec une vigueur surprenante, le forçant à déglutir à chaque coup de butoir pour ne pas s’étouffer. Profitant de son trouble manifeste, l’homme remonte l’une de ses grosses mains vers son visage, afin de récupérer un peu de la salive qui suinte de la commissure de ses lèvres avec son majeur, qu’il glisse ensuite entre les fesses de Lilas. Cherchant son petit anus à l’aveugle, il y applique la pulpe de son gros doigt, avant de l’y faire pénétrer lentement, mais inexorablement en elle, le recourbant vers l’intérieur pour lui rendre la monnaie de sa pièce : frotter sournoisement la petite bosse de sa prostate qu’il trouve également plutôt facilement. En agissant de la sorte, il sait qu’il excède ses prérogatives, mais il prend ce risque en connaissance de cause. Au faîte du plaisir lui-même, son corps est agité de brusques soubresauts et sa grosse queue, inutile, rebondit sur ses abdominaux. Lorsque Lilas s'affaisse sur lui, il sent le souffle de ses jolies lèvres caresser son gland humide… “Mhhhh !” Tétant la queue de son amante avec une vigueur renouvelée, il s’étouffe avec passion sur son gland, fouille furieusement son l’anus de son majeur, auquel il adjoint bientôt son index, impatient de la sentir se soulager dans le fond de sa gorge, de s’abreuver de son foutre.

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One Shot / Re : Franchir la frontière du bon sens (jack+ava)
« le: mercredi 26 janvier 2022, 12:12:04 »
Lorsque sa jumelle se redresse, le premier réflexe d’Erik est de repousser sa chaise vers l’arrière, comme pour lui échapper. Il a toujours été le plus raisonnable des deux, c’est donc à lui de mettre un terme à cette situation. “Tu…” La jeune femme s’installe en amazone sur ses genoux, et Erik, les yeux écarquillés, retient sa respiration. Son front heurte celui de sa sœur, il sent le souffle tiède de sa respiration contre ses lèvres entrouvertes, le velouté de ses fesses épouser le renflement de son gros chibre, s’y frotter lascivement.

“Attends. On peut pas. Faire ça.”

Mais Erin le dévore. Féline, ses lèvres papillonnent sur sa peau. Erik ne sait que faire de ses mains, il soupire d’aise, remue son bassin. Il se trouve empoté, maladroit. Finalement sa paume droite se place entre les omoplates de sa sœur, les doigts de sa main gauche se posent sur sa taille. Sa peau est ferme, chaude. Ce n’est pas la première fois qu’il touche sa sœur. Il leur arrive encore parfois de se chamailler un peu pour rire. Ce corps gracile, il le connaît bien, mais il le redécouvre. Il se penche, dépose un baiser dans le creux de son épaule, un autre dans son cou.

“Putain putain.”

Il balbutie, alors que les doigts fuselés de sa sœur se battent avec la fermeture éclair de son jean. Incapable de se contrôler, c’est à son tour de remuer fiévreusement le bassin, pour mieux sentir la caresse de la pulpe de ses doigts. Enfin, elle abaisse son boxer pour libérer un épais veineux, surmonté d’un gland violacé, obscène, qu’elle empoigne. Erik se cambre, et un long gémissement guttural s’échappe de ses lèvres entrouvertes. Elle sait y faire, serre bien juste au dessous du gland lorsqu’elle commence à le branler. Un peu de foutre visqueux s’échappe de son méat, s’insinue entre les doigts serrés de la jeune femme.

“Non. Arrête pas.”
Le ton est plus affirmé.

Un tic agite sa lèvre inférieure alors qu’un relent de jalousie lui pince le cœur. Il peut faire mieux que ce naze, il en est persuadé. “Que James reste là où il est”, achève-il, amer. La prise de ses doigts se raffermit sur ses hanches et il la presse contre lui avec force. Erik est loin d’être un colosse, mais fidèle à la maxime de Juvénal - mens sano in corpore sano - il s’entretient régulièrement. “Ooh..” le cœur battant,  la bouche entrouverte, il la regarde se redresser, se hisser sur ses cuisses. Impatient, Erik grogne, se contorsionne. Sa grosse queue glisse sous le tissu de sa culotte, glisse contre les lèvres bavuves du sexe de sa soeur. Sa main libre quitte le dos de la jeune femme pour se glisser sous le T-shirt, et se refermer sur l’un de ses petits seins. Contre la peau de sa paume, il sent le mamelon érigé d’Erin, sur lequel il applique bientôt la pulpe de ses doigts.

Plutôt que de lui répondre - il en est bien incapable - c’est au tour d’Erik de se redresser, puis d’écraser ses lèvres entrouvertes contre la bouche de sa sœur. Le baiser est brusque, maladroit, mais passionné. Erik respire fort, sa langue caresse celle de sa jumelle. De la salive dégouline sur son menton, mais il en a plus rien à foutre. Ses entraves enflammées par le désir, il grogne d’impatience. Il a envie de la remplir, de la souiller.

“Vas-y. Met-la. J’ai envie.” Besoin, même.

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One Shot / Re : Franchir la frontière du bon sens (jack+ava)
« le: mardi 25 janvier 2022, 19:03:06 »
“Non merci.”

Le nez plongé dans l’épais recueil relié de jurisprudence de la Cour suprême, Erik n’a pas réellement prêté attention à la question de sa sœur. L’arrêt qu’il étudie l’intrigue, le raisonnement des juges lui échappe. il fait la moue, remonte sa paire de lunettes sur son nez. Sans ses verres épais, Erik est presque beau gosse, mais il ne voit pas grand-chose. La décision est éminemment politique, ce qui explique la faiblesse du syllogisme employé, constate-il en tournant la page jaunie par le temps. La sonnerie de la porte d’entrée le fait sursauter et il étouffe un juron. La foutue manie de James de laisser son doigt appuyé sur la sonnerie pendant exactement quatre secondes, chaque fois qu’il se pointe à l’appart. Erik ne se lève pas pour le saluer. Il n’en a pas envie, et les deux étudiants ne s’apprécient guère. Réviser avec James. Le jeune homme esquisse un sourire, avant de prendre quelques notes sur son ordinateur portable. Le DM qu’il prépare pour le lendemain matin est quasiment achevé et il escompte bien écraser la concurrence, une fois encore.

Mais sa concentration est mise à l’épreuve par les petits gémissements de sa sœur, qui finissent par retentir dans tout l’appartement, par le claquement de la tête de lit qui cogne contre le mur de la chambre. Elle abuse. Il a un tic nerveux, grogne de dépit. Toujours cette irrépressible jalousie. Son sexe gonfle lentement alors qu’il imagine James aller et venir entre les jambes fuselées de sa sœur. Agacé, il écrase son chibre de la main droite, à travers l’épais tissu de son jean, le caresse nerveusement de la paume de sa main… Mais s’interrompt lorsque sa sœur cesse de gémir. Deux minutes, sérieusement ? Il lève les yeux au ciel, parvient à retrouver sa concentration l’espace d’une quinzaine de minutes.

“Mh ? Ah, du café. Non j’ai oublié”,
rétorque-il d’une voix un peu lointaine, avant de faire pivoter son siège pour se retourner vers son intrue préférée.

A sa moue courroucé, il devine que sa partie de jambe en l’air n’a pas été satisfaisante. “T’as qu’à mieux les choisir.” Il hausse les épaules, toujours un peu fâché contre elle. Il a du mal à comprendre pourquoi elle lui impose ses ébats, sachant à quel point elle…Non, évidemment. Elle ne sait pas à quel point elle l’excite et elle ne doit jamais le savoir. Il se rembrunit, s’efforce de ne pas laisser trop longtemps traîner son regard sur le corps gracile de sa jumelle.

“Ta pote. Laquelle ? La rousse avec le sac vert, les bottines marrons et le verni un peu écaillé ? Ouais, je l’aimais pas trop...”

Il rougit légèrement. Il ment, et Erin le connaît bien trop pour ne pas s’en apercevoir. La fille lui a plu et la conversation avait bien commencé, jusqu’à ce qu’Erik ressente le besoin de lui expliciter les détails de la bataille de Fort Donelson. Nul, il est vraiment nul. Il n'a jamais rien compris aux nanas, ni à leurs centres d’intérêt. Alors il se réfugie dans le porno depuis des années et ressasse des fantasmes inavouables.

“Bah ouais, évidemment, je ne vois plus que cette solution, t’es la seule meuf à être capable de me supporter plus de vingt minutes”. Petite pause. Il observe l’air singulier de sa sœur, poursuit. “Enfin, la plupart du temps.” L'atmosphère est étrange, lourde, et Erik n’est pas à l’aise avec les images mentales qui s’imposent à son esprit. Embrasser Erin. Enfouir son visage entre ses cuisses diaphanes. Écraser sa queue contre sa vulve poisseuse. Il esquisse un sourire gêné.

“Tu plaisantes, hein ?”

Comme lui, Erin a une sexualité envahissante, exacerbée. Lorsqu’elle n’a pas eu sa dose, il lui d’être excessivement provocante, de le charrier sur sa vie sexuelle, sur la quantité de mouchoirs dégueulasses dans la poubelle de sa chambre ou sur l'état des boxers qu'il balance dans le sèche-linge. Mais cette fois-ci, c’est différent et Erik a l’impression d’être au bord d’un précipice. Est-ce qu’elle n’aurait pas découvert les photos d’elle en sous-vêtements qui traînent sur son téléphone ? Rien de vraiment problématique, mais…

“Hé, pourquoi pas. T’es pas si mal.” Il déglutit. Se cacher derrière un humour douteux semble être sa seule porte de sortie. Ses yeux se plantent dans ceux de sa soeur mais cette fois, il est incapable de retourner le regard. “Erin.” Commence-il, sans savoir comment terminer sa phrase.

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Souriant mais attentif, Jack observe les réactions de Gwen. Cette meuf est une putain de bombe - atomique, et à retardement. Pour Toshio et lui, la contraindre physiquement à servir de sac à foutre pour leur grosses queues ne serait pas très difficile, mais Jack est plus pervers que ça. Il veut que Gwen participe pleinement à sa propre déchéance, à sa transformation en chienne lubrique. Il grimace lorsque les doigts de la blondinette écrasent son sexe gonflé, mais ne proteste pas. La grimpette lui a donné une sacrée force dans les doigts. Lorsqu’elle s’échappe, il n’essaye pas de la retenir, à la différence de Toshio, qui ne parvient pas à agripper son poignet. La canette s’écrase sur le mur derrière eux, avant de retomber sur le matelas. Toshio, médusé, garde le silence pendant de longues secondes, sursaute lorsque la porte claque.

“Heu. Elle fout quoi ? Elle est bizarre, ta copine.” Toshio, mi-amusé, mi-frustré, se tourne vers son mentor qui hausse les épaules, secoue la tête. “T’as vraiment le chic pour dénicher des nanas un peu barges, hein ?”

Le chibre du jeune homme palpite contre ses abdominaux. Jack hausse un sourcil. Il se demande si Gwen serait capable d'enfourner son chibre ET celle de Toshio en même temps... Vu l’épaisseur, peu probable que ça rentre… À tenter.

“Mais heu… Après ce que tu lui as mis, elle risque pas d’appeler les flics ou quoi ?”

Toshio a remarqué les ecchymoses sur le visage de la jeune femme. Il est un peu inquiet, mais il a appris à faire confiance à son aîné, qui le rassure d’une moue  appuyée.

“Non t’inquiète. Elle a besoin d’être matée et elle aime ça, c’est tout. Avant que je la baise, elle a voulu se bastonner. Elle n'est pas mauvaise d’ailleurs, ça t'étonnerait. Enfin au final je l’ai séchée gentiment et c’est tout ce qu’elle attendait pour se faire baiser, en fait.”

Quand Gwen revient, Toshio ne peut retenir un sourire un peu gêné, alors que Jack se marre carrément. Elle est bonne, mais bordel, elle s’est maquillée comme une pute premier prix. Le pire c’est que ça la rend encore plus excitante. Elle a essayé de se faire belle pour se faire démonter. Toshio se mord la lèvre inférieure. Il commence à comprendre ce que Jack lui trouve, à cette poupée à gros seins. La pute avance à quatre pattes sur le lit, bien cambrée. Son cul est rebondi, mais ferme, les muscles de son dos sont saillants. Ouais, elle aime la bite, constate-il, en la voyant allumer Jack, qui frissonne d’aise, lorsque sa langue glisse sur sa peau.

“T’es bonne, espèce de tarée”, murmure Taylor, avant de grimacer lorsqu’elle pince la peau de ses couilles entre ses dents.

Toshio lui, surpris par la vivacité de la blondinette, tend ses lèvres vers un téton épais et érigé, qu’il pince. Le jeune homme respire fort, son cœur bat la chamade. Ses mains se referment sur les hanches de la jeune femme mais…”Hé ?” Putain, elle a de la force ! Il jette un regard stupéfait à Jack, qui sourit d’un air énigmatique, avant d’ouvrir tranquillement un tiroir de la table de chevet. “Putain, dégage !” Elle a mordu fort, un peu trop pour que ce soit agréable, et d’un plat de sa main, il pousse fermement sur son plexus, mais une grosse gifle le sonne. Il voit venir la seconde, et bloque son bras de l’intérieur. “Ferme. Ta. Gueule.” murmure-il entre ses dents, clairement touché dans son orgueil. C’est à son tour de la gifler, fermement. Ses doigts se referment sur sa gorge et il approche son visage du sien, fulminant, mais indécis, un peu surpris de son propre geste.

“Traite-là comme une sale chienne, tu peux te lâcher.”

La voix posée de Jack, qui tranquillement, se place derrière la blondinette. L’homme claque sèchement son cul une fois, deux fois, rougissant sa peau de pèche. “Putain, tu t’es même pas bien lavée, tu dégoulines encore un peu, t’es vraiment pas propre, Gwen !” Il se marre, l’ordure, écarte ses fesses d’une main ferme, pour cracher sur son anus. Il entend Toshio faire de même, sur la gueule de leur pute. Dans sa main libre, un plug de taille moyenne, avec lequel il titille l’anus entrouvert de Gwen, pendant d’interminables secondes, avant de l’y enfoncer lentement. Comme il s’y attendait, ce n’est pas la première fois de la blondinette, et, lubrifié par sa salive, le sextoy s’enfonce relativement facilement.

Toshio lui, échange un nouveau baiser passionné avec Gwen, fourrant sa langue entre ses lèvres entrouvertes. L’étau sur sa gorge ne s’est pas desserré. “Branle-moi, Gwen”, grogne-il, de sa jolie voix mélodieuse. Sa main libre s’est frayée un chemin entre les cuisses de la jeune femme pour la masturber de nouveau. Son index et son majeur coulissent dans sa chatte poisseuse de cyprine et de foutre. Derrière Gwen, Jack s’est redressé pour coller son corps musculeux contre le dos de la jeune femme, ondulant de bassin pour frotter sa grosse queue contre ses fesses. De sa grosse main, il tire Gwen par les cheveux, pour la forcer à le regarder.

“T’as déjà sucé deux aussi grosses queues en même temps, Gwen ? Non ? Il n'est jamais trop tard pour apprendre.”

Clin d'œil à Toshio, qui la repousse brutalement en arrière, alors que Jack s’écarte, pour que Gwen retombe sur le dos, interdite. A genoux sur le lit, les deux hommes s’approchent d’elle, empoignant leurs queues turgescentes, qu’il présentent devant son visage, Jack s’amusant même à frotter son gland souillé sur ses lèvres pour souiller son maquillage.

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One Shot / Re : Retrouvailles [Astrid]
« le: lundi 24 janvier 2022, 14:47:05 »
Je jubile. C’est vraiment une sale chienne, putain. Je la sens se trémousser sur ma jambe, le renflement de sa vulve épouse l’os de mon tibias. J’ai plus rien à faire, Astrid se branle toute seule comme une grande en s’étouffant sur ma grosse queue. Je pensais que la perspective de me bouffer le cul la dégouterait, mais sidéré, je constate que sans l’ombre d’une hésitation, la brunette badigeonne ma corolle de bave du bout de sa petite langue rose. Astrid sait y faire et elle est vorace. Quand je la sens forcer, puis introduire sa langue dans mon cul avec sa gueule d’ange couverte de bave et de foutre, je manque de cracher la purée. Sa salive coule dans la raie de mes fesses, et je frissonne d’aise. De sa petite main, elle n’a jamais cessé de me branler consciencieusement.

“Serre bien fort, juste en dessous du gland, sale pute. Voi-là. Et tu… Hmm, bordel.”

Son regard de petite chienne lubrique, quand elle glisse son doigt fuselé entre ses lèvres souillées me rend dingue. Bientôt, la pulpe de son doigt caresse la corolle boursouflée de mon anus entrouvert, avant de s’y introduire sournoisement.“Hmm-mhh.” M’efforçant de garder contenance, ma respiration s’accélère néanmoins, alors que mes sphincters se contractent autour de son doigt. “Doucement, je t’ai dit, sale pute. Je suis pas hom… Haa…” Non, ça ne va pas. Ça ne se passe pas comme prévu. Ma main ouverte s’écrase à plat, sur le cuir mat du siège. L’index s’enfonce plus loin, me fouille, puis trouve le renflement de ma prostate gonflée. Je hoquète de surprise, et me raidis : un bref jet de foutre tiède asperge la gorge d’Astrid. Les dents serrées, j’agrippe mon sexe à la base pour retarder légèrement l’orgasme.

Cette sale pute m’observe, le regard trouble, la mine réjouie. Je la tiens au bout de ma grosse verge, mais en réalité à cet instant, c’est elle qui a le contrôle. “Fouille-moi bien, salope”, je murmure, du bout des lèvres, en m’efforçant de ne pas prononcer l’ordre sur le ton d’une supplique. Pour lui rappeler sa place, j'agrippe sa nuque, pour enfoncer ma queue plus profondément en elle. Je sens mon gland taper contre sa glotte, glisser dans l'œsophage. Astrid se crispe, manque de s'étouffer, sa salive inonde mes couilles mais je m’en moque. J’enroule ses cheveux autour de mes gros doigts et je commence à baiser sa petite bouche de catin. Lentement d’abord, pour la laisser s’habituer un peu, puis plus fermement. “Là, là… Regarde-moi.” Je veux la voir paniquer, puis s’abandonner, se soumettre. J’ai lâché la télécommande, mais l'œuf vibrant fonctionne toujours, coincé dans sa petite chatte détrempée.

Mais son initiative me surprend. “Non. Tu…” La pulpe de son majeur s’écrase contre ma corolle, et la petite connasse force le passage, en le glissant contre son index, écartelant mon anus. J’ai honte d’aimer autant ça, mais c’est bon. Je grogne, me laisse aller contre le dossier du siège, le cœur battant, les yeux écarquillés. J’ai lâché sa nuque, mais mon bassin remue toujours vigoureusement de bas en haut. Ses doigts me remplissent, me fouillent et c’est à mon tour de perdre les pédales. “Putaaaain !” L’orgasme survient brutalement. Un long frisson remonte le long de ma colonne vertébrale et mon corps musculeux s’arque vers l’avant, bloquant ma grosse bite tout au fond de la gorge explosée d’Astrid. “Ah meeerde…T’es si bonne !” Je gicle de puissants jets de foutre pendant d’interminables secondes. La pute s’étouffe, le sperme dégorge de ses lèvres, mais elle continue de me traire, alors que mon anus se crispe nerveusement contre ses doigts fuselés. Je retire enfin mon chibre de ses lèvres, pour asperger sa jolie frimousse des derniers jets de ma semence.

"Ça te plaît, chienne ?”
Je sais que c’est le cas.

Le souffle court, le regard trouble, je referme les doigts de ma main droite sur sa gorge offerte. Le cou est gracile, sa peau est douce. Ma queue s’est amollie, et c’est de sa faute. Je la gifle sèchement, comme tout à l’heure avant de me pencher pour… L’embrasser. Ma bouche s’écrase sur ses lèvres souillées de foutre, ma langue glisse contre la sienne. C’est dégueulasse, visqueux et salé, mais j’aime ça. Je tire ses cheveux vers l’arrière, pour lui cracher une nouvelle fois au visage, avant de la relâcher brusquement. Je passe ma langue sur mes lèvres sales.

“A quatre pattes sur la banquette.” Je lui tend mon avant-bras pour l’aider à se redresser. “Non. Dos à moi.” Quand elle s’exécute, je relève sa robe sur ses hanches, pour dévoiler son petit cul laiteux. Ma voix n’est plus qu’un souffle et j’ai besoin de récupérer, mais ça ne m’empêche pas de claquer ses fesses à plusieurs reprises pour en rougir la peau. Amusé, je constate dans le rétroviseur intérieur que le chauffeur observe avec intérêt le petit cul de l’européenne. “Tiens tu sais quoi ? Tourne-toi un peu. Montre tes petits trous à Toshio !” D’une main ferme, je descend la culotte d’Astrid sur ses genoux, écartant ses fesses pour dévoiler la corolle brune de son anus et la vulve ruisselante de mon invitée au regard appréciateur de mon chauffeur.
“Branle-toi.”

Le ton est ferme, sans réplique. La baiser comme la dernière des putes ne me suffit pas. Je veux qu’elle participe activement à sa propre déchéance.

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One Shot / Re : Retrouvailles [Astrid]
« le: mardi 04 janvier 2022, 20:30:58 »
Sitôt Astrid à l’intérieur du véhicule, celui-ci démarre. La berline roule à une allure soutenue, mais le chauffeur connaît bien son métier, et la tenue de route du véhicule est impeccable. Hideo ne recrute que les meilleurs et cet homme aux traits un peu ingrats mais aux larges épaules est un ancien champion de formule 1 des années 90.

“Ah ça, ça te plait hein. J’imagine que tu t’y attendais pas trop. J’espère que tu regrettes un peu plus. Allez, sors-la, t’en crève d’envie, ça se voit.”

Cette fois-ci, le ton d’Hideo est plus léger, clairement amusé. La bouille d’Astrid quand elle a découvert son chibre était hilarante. Impatient, il grogne lorsqu’elle libère enfin sa grosse queue, soupire d’aise lorsqu’il sent son souffle tiède lui caresser les couilles. Ses yeux glissent sur les jolies lèvres bombées de son ancienne petite amie, qu’il n’a fait qu’embrasser, pendant des mois, pendant qu’elle suçait d’autres chibres que le sien. Sacrée bouche à pipe. La garce crache dans sa main et il frissonne. Putain, elle est sale et elle sait ce qu’elle fait, ça l’excite. “Hmm.” Il augmente légèrement la vibration de l'œuf qui se trouve encore en elle. “Pu-tain.” La petite bouche tiède d’Astrid. Il en a rêvé des nuits entières, à l’époque, en se masturbant frénétiquement. L’homme écarte les jambes, pour laisser davantage de place à son amante sur le sol, à sa place de chienne. Ses quenottes s’enfoncent dans sa hampe, et Hideo gémit, retire sa veste avec précipitation ; il a chaud.

“Attends. Putain. C’que t’es bonne, merde.”

Il ne voulait pas la complimenter, mais c’est sorti tout seul. A genoux devant lui, ses cheveux châtains soigneusement attachés, Astrid est superbe et il a une vue imprenable sur sa poitrine. Presque à regret, il la repousse doucement, juste le temps de se débarrasser de ses pompes, de son futal et de son boxer.

“Là, là, vient sucer la grosse queue, Astrid.” La pauvre petite bataille s'étouffe. La grosse main d’Hideo se referme impitoyablement sur sa nuque, et il appuie, la forçant à le prendre davantage au fond de sa gorge, sourd à ses éventuelles protestations, indifférent à la bave qui dégouline le long de son sexe, qui dégueulasse le cuir impeccable de sa caisse. “Regarde comme tu salopes tout”, murmure-il amusé, en appuyant encore davantage, jusqu’à ce que son petit nez frôle ses abdominaux… Avant de la relâcher brusquement pour la laisser reprendre ses esprits. Puis, de nouveau, sa main sur sa nuque. Il écrase la jolie petite gueule diaphane d’Astrid sur ses grosses couilles dégoulinantes de bave, puis plus bas, entre ses fesses.

“Bouffe moi le cul, c’est tout ce que tu mérites, sale pute”, grogne-il, en nage, en remuant le bassin. ”Fouille-mieux que ça ! “ De nouveau, lorsqu’elle s’est exécutée, il la relâche, se redresse sur le siège, pour lui cracher au visage, la gifler sèchement. Le geste est parfaitement contrôlé, il ne vise pas à être particulièrement douloureux, mais simplement à l’humilier. “Ma queue maintenant. Branle. Active, si tu veux que je te démonte” Son tibias s’est glissé entre les cuisses serrées de la jeune femme et d’un geste lent, il caresse négligemment son sexe à travers le tissu de son pantalon. Il pourrait cracher là toute de suite, sur sa gueule de pute, mais il a encore envie de faire durer un peu le plaisir. “Mets-moi un doigt. Doucement, ou je te claque,  encore, connasse.” Il frotte vulgairement son gros sexe veineux sur la jolie petite gueule de la jeune femme, étalant le foutre qui suinte de son méat sur ses jolies lèvres entrouvertes. Avant de les forcer de nouveau, faisant glisser son chibre sur sa petite langue, écartelant les muscles de sa gorge de son gourdin. Aussi confortable qu’une petite chatte trempée. “Ah, putain de merde…” Ca dégouline encore de bave visqueuses. sur ses couilles, dans le sillon de ses fesses, jusque sur son anus.

Il sent que ça monte. Pas d’inquiétude de sa part, il est suffisamment excité pour savoir qu’il pourra remettre le couvert deux ou trois fois si nécessaire. Imperturbable, le chauffeur n'a pas quitté la route des yeux.

37
Jack baille à son tour, affalé contre son propre oreiller. Il hausse un sourcil en la voyant s’examiner. Il y est peut-être allé un peu fort… “Mhh.” Il grimace. Ses épaules le lancent. Il se redresse, pour ne pas saloper davantage les draps. Ouais, c’est de bonne guerre, elle l’a bien ravagé aussi. Il s'assoit sur le lit, avant de se redresser et de quitter la pièce dans son plus simple appareil en ouvrant l’application de livraison de repas à domicile qu’il utilise le plus régulièrement. “Ok, ok Done. La pizzeria est à côté, ça arrive dans dix minutes”, marmonne-il, avant de se diriger vers la cuisine pour de quoi satisfaire son exigeante petite invitée.

“Je vois que mon vin n’a pas été apprécié à sa juste valeur” relève-il, avant de lui balancer la canette de bière et la poche de glace. “Mon cœur est brisé.”

Lui aussi il a soif, mais d’un bon café italien. Retour à la cuisine. Lorsque son téléphone vibre de nouveau, il sourit, savoure son café, adossé au plan de travail. La sonnette finit par retentir, il attrape une serviette qu’il passe autour de ses reins avant d’ouvrir au livreur, qu'il gratifie d’un généreux pourboire. Toutefois, il ne referme la porte qu’après avoir laissé rentrer un jeune homme d’une vingtaine d'années qu’il accueille avec une accolade. L’index posé sur ses lèvres, il lui désigne la chambre du fond d’un signe du menton. l’autre acquiesce avec un air entendu, et retire discrètement ses chaussures, pendant que Jack rejoint Gwen pour lui déposer - plus soigneusement cette fois - son carton à pizza sur le lit.

“Je reviens, parle pas la bouche pleine”, précise-il, avant de s’échapper de nouveau.

L’intérêt de la blondinette pour sa chambre ne lui a pas échappé, mais il est sans crainte : qu’elle fouille. Il n’y a rien à sa portée qui soit de nature à trahir la nature de ses activités occultes. Dans le couloir, Toshio - c’est son prénom - a terminé de se déchausser et il a retiré sa veste. Le jeune homme est plus petit et plus mince que Jack, mais n’en reste pas moins athlétique. Plutôt beau garçon, un peu androgyne et excessivement tatoué, il partage avec l’agent Taylor un air effronté et une certaine nonchalance. Il y a néanmoins davantage de douceur dans son regard et un style vestimentaire plus… Discutable, du moins aux yeux de Jack. Une chemise blanche largement ouverte sur un torse tatoué, un jean bleu clair et des rangers. De nombreuses bagues ornent des doigts plus fins que ceux de son complice. Toshio est un ancien élève de Jack, qui travaille pour le Naicho, service de renseignement japonais. Au courant des activités de son ancien professeur, il partage avec lui des informations, et quelques plans cul. En dépit de son jeune âge, le garnement dispose d’une expérience plutôt notable.

“On.. Heu, j’arrive”, balance Jack à Gwen, en haussant la voix. Puis, plus bas, à Toshio. “Elle va sûrement faire sa mijaurée, mais t’en fais pas, je la connais. Dans cinq minutes elle te pompe en couinant.” Toshio, hoche la tête, se dirige tranquillement vers la salle de bain. Quant à Jack le “Bébé” lui fait hausser un sourcil amusé. Un peu rapide ? C’est débile, mais vaguement mignon, il le prend bien. De nouveau, il retourne dans la chambre, sa boîte à pizza brûlante posée sur sa paume. Il l’a déjà bien entamée. Tranquillement, il retire la serviette, pour dévoiler de nouveau sa grosse queue gonflée. La perspective de ce qui va suivre a reboosté sa libido hors-norme. Il s’installe à côté de Gwen, adossé à l’oreiller, l’embrasse chastement le front, puis sur les lèvres. Il s’empare de son poignet pour déposer la petite main de la jeune femme sur son chibre brûlant.

“J’espère que t’as repris des forces, tu vas en avoir besoin.”

Le ton est volontairement évasif, distant et un petit sourire narquois danse sur ses lèvres entrouvertes, avant qu’il n’engouffre une nouvelle part de pizza. Si Gwen est attentive, elle peut entendre de léger bruits de pas qui se rapprochent de la chambre à coucher.

“Heu, salut.”

La chemise complètement ouverte sur son torse tatoué, Toshio s’avance sur le seuil de la porte, légèrement intimidé lorsqu’il aperçoit le corps voluptueux et souillé de Gwen - qu’elle s’empresse peut-être de couvrir. C’est pas la première fois qu’il se tape une meuf avec Jack, mais celle-ci, c’est carrément de la dynamite, il se rappelle pas avoir déjà vu des nibards pareils. Lorsque l’agent Taylor lui adresse un clin d'œil, il s’approche du lit, et retire sa chemise pour dévoiler son corps encré et athlétique. La grosse bosse qui déforme son jean ne laisse guère de doute : le japonais est lui aussi, très bien membré.

“Je m’appelle Toshio. Jack est un ancien prof à moi et heu. On bosse aussi ensemble des fois. Jack, t’es sûr que ?”

“Ouais t’inquiète, désape-toi, elle a envie de bouffer de la queue. Pas vrai Gwen ?”

Le ton est ferme ; de toute évidence, il a décidé pour elle. La classique de Jack. Le japonais abaisse lentement son pantalon, puis son boxer, dévoilant un épais chibre brun, à peine moins impressionnant que celui de l’américain, mais au prépuce non-circoncis. Avec un sourire un peu crispé, il s’installe de l’autre côté de Gwen. Bordel, ça pue le sexe ici. Sa main se pose sur la cuisse de la blondinette, alors que Jack, pour couper court à toute éventuellement protestation, glisse sa main entre ses cuisses pour caresser distraitement son clitoris de la pulpe de ses gros doigts. La respiration lourde, Toshio lui, se penche vers la jeune femme, et relève son menton du bout de ses doigts avant d’écraser ses lèvres contre les siennes et d’échanger un long baiser avec elle. Sang, foutre. C’est pas très propre, mais Toshio n’est pas une chochotte. 

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Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Grimpe ... moi? [Pv. Jack]
« le: vendredi 24 décembre 2021, 13:27:56 »
Il baise sèchement, brutalement, presque méthodiquement sa petite chienne, les dents serrées, le nez fourré dans ses cheveux en désordre. Putain, l’odeur de sa sueur lui chatouille la narines. “Haaaa…” Il n’a besoin que d’une main pour maintenir ses poignets contre son dos. De l’autre, il écrase sa gueule dans l’oreiller quand elle braille un peu trop fort : il a des voisins, quand même ! A deux reprises, il sent ses chair se contracter autour sa queue et le corps diaphane de la jeune femme se crisper, frémir tout entier sous les assauts du sien.

“C’est bien sale chienne, jouis. Jouis pour moi", parvient-il à articuler d’une voix sourde, tout contre le pavillon de son oreille.

Les coups de butoir pleuvent, éclatent les chairs maltraitées de son amante, mais soudainement, alors qu’il recule une énième fois son bassin, son chibre glisse en dehors de son fourreau béant, suivant de foutre et de cyprine. Déséquilibré, il glisse légèrement sur le côté. “Merde…” Gwen en profite pour se tortiller sous lui, et échapper à la poigne de sa main. Il se sent un peu bête, sort quelques instants de sa sa torpeur.

“Qu’est-ce que tu fous ? Viens là, putain.”

En nage, hébété, la queue a l’air, Jack a l’air con. Il tend le bras pour essayer de s’emparer du poignet de Gwen, mais elle se dérobe, roule sur le dos. Ah. Il se jette sur elle, alors qu’elle se redresse légèrement, et leurs fronts s’entrechoquent brutalement mais lui comme elle, n’en a rien à foutre. A l’aveugle, il dirige sa grosse queue entre ses cuisses, l’enfourne toute entière en elle en grognant comme un animal en rut. Il n’a pas eu sa dose, lui. Ses couilles claquent de nouveau contre son sexe détrempé. C’est au tour de leurs dents de se heurter, alors qu’il glisse sa langue entre les lèvres gourmandes et entrouvertes de la jolie petite blonde. Salé. Il fronce les sourcils. Gwen saigne un peu. Il ne sait pas d'où et il s’en branle. Il ricane quand elle lui crache à la gueule, lui colle une gifle du revers de la main, s’effondre sur elle. agitant frénétiquement le bassin comme pour la clouer au lit. Ses ongles meurtrissent sa chair, ses cuisses se referment sur son bassin. C’est sale, brutal et obscène, comme il aime. Les râles de Jack se font plus gutturaux : il approche de l’orgasme.

“Putain, j’vais…”

Mais la petite blonde ne le laisse plus parler. Avide de ses lèvres, elle aspire, suçote sa langue. Les doigts de Jack se resserrent sur la gorge offerte de la jeune femme, il serre. “HMMM….” Son corps musculeux se crispe et il jouit brusquement en ahanant, giclant un foutre tiède et épais au fond de ses entrailles martyrisées pendant de longues secondes. Les yeux écarquillés, ses lèvres scellées à celles de Gwen, il remue encore l’espace d’une trentaine de secondes dans son propre foutre, avant de s’effondrer sur elle en soupirant d’aise.

“Putain, qu’est-ce que t’es bonne, toi."

Murmure-il, en roulant lentement sur le côté après quelques instants, pour passer sur le dos, indifférent au foutre qui suinte de la vulve malmenée de son amante sur ses draps hors de prix. Sa grosse main se pose sur le ventre plat de la jeune femme dont il apprécie la fermeté, le temps de reprendre ses esprits. Après quelques minutes, il se redresse, le temps de tendre le bras pour attraper son jean et en extirper son téléphone portable et répondre rapidement à quelques messages en observant Gwen du coin de l'œil. Elle a l’air d’avoir pris cher… Mais il sait qu’elle peut encaisser pire.

“T’as faim ? tu veux commander un truc avant qu’on recommence ?” Il baille. Le ton est badin, presque nonchalant. 

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One Shot / Re : Retrouvailles [Astrid]
« le: jeudi 23 décembre 2021, 16:35:17 »
Pour Hideo, l’objectif n’est pas de comprendre Astrid, mais bien de l’humilier.

Cette sale petite pute est irrécupérable et il n’a pas l’intention d’essayer. En revanche, il compte bien profiter de sa faiblesse. C’est mon tour. La tenir ainsi en son pouvoir a quelque chose de galvanisant et sa soumission progressive le ravit. Le souffle court, rapide, il guette la moindre de ses réactions, les doigts crispés sur la télécommande avec laquelle il la torture. Le visage crispé, déformé par le plaisir, la jeune femme ondule du bassin, remue ses petites fesses sur l’osier du siège, s’attirant quelques regards dubitatifs, voire soupçonneux. Amusé, Hideo hausse un sourcil lorsque, dans un sursaut d’orgueil, sa proie repousse brusquement son pied. D’une voix posée, basse, mais sans chuchoter, il lui répond d’un ton badin.

“Non. Je prévois de te défoncer. Et tu vas aimer ça.”

Au fond de lui, Hideo ne peut s’empêcher de se le demander : S’il avait été aussi viril qu’aujourd’hui à l’époque, comment les choses se seraient-elles passées ? Est-ce que s’il l’avait déglinguée méthodiquement plusieurs fois par jour avec sa grosse queue, elle l’aurait trompé ? Probablement. Elle est comme ça. C’est dans sa nature, d’être une sale chienne. Lorsqu’il la voit partir, son sourire s’élargit, alors que de sa main libre il empoigne l’autre côté de la table rectangulaire pour éviter qu’Astrid ne renverse leurs consommations. “Jouis, connasse.”, lui murmure-il du bout des lèvres, sans diminuer la vibration du sex-toy. Le regard fixe, maladif, il ne la quitte pas des yeux. Lorsqu’il obtient le résultat attendu, il a un rire bref, mesquin. Reposant ses lunettes de soleil sur son nez, il coince plusieurs billets sous le cendrier en plastique et se redresse tranquillement. A quelques mètres, son Audi bleue aux vitres teintées s’arrête en face du café.

“Bouge-toi.” Constatant que la jeune femme tarde à lui obéir, il hausse un sourcil, avant de feindre la surprise. “Ahh, oui, j’oubliais. Du pouce, il diminue la vibration de l'œuf vibrant à 4, et tourne les talons sans même la regarder. Tranquillement, il s’approche de la voiture, ouvre la portière passager côté trottoir et s’y engouffre, en attendant qu’elle le rejoigne. La caisse est luxueuse, mais discrète, de même que son intérieur cuir marron des plus confortables. Lorsqu’il s’installe, son chauffeur lui adresse un discret signe de tête dans le rétroviseur intérieur. Toshio est un vieux bonhomme plutôt laid et ventripotent d’une cinquantaine d'années, mais plutôt sympathique et d’une discrétion à toute épreuve, et pour cause : Hideo le paye bien, et pas seulement en yens.

"Où allons-nous Monsieur ?”

“On attend que cette petite traînée daigne bouger son petit cul trempé. Ensuite, tu nous emmèneras au Penthouse.” Il fronce les sourcils, pensif. “Peut-être même que tu pourras rester un peu, d’ailleurs.”

Lorsqu’Astrid monte à bord, Hideo se contente de lui désigner du menton la grosse bosse qui déforme le tissu de son jean. Pour un japonais, sa queue est énorme, veineuse et épaisse, probablement autant que le délicat petit poignet de la jeune anglaise. Probablement davantage que le gros sexe qui lui martyrisait l’anus, ce jour-là.

“Suce, sale chienne.”

Le ton est sec, presque agacé, putain ce qu’elle peut l'agacer, avec son petit air courroucé !


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One Shot / Re : Retrouvailles [Astrid]
« le: lundi 20 décembre 2021, 15:50:49 »
Le premier refus le fait ricaner et il se contente de poser son téléphone sur la table, avant de tapoter sa paume du doigt pour ne pas avoir à se répéter avant de remercier le serveur d’un signe de tête lorsque ce dernier lui apporte un expresso fumant dans lequel qu’il s’empresse de porter à ses lèvres entrouvertes. Il fait un peu frisquet et le liquide brûlant le réchauffe. Par dessus la tasse en porcelaine, Hideo scrute l’ancienne femme de sa vie, avec un mélange de curiosiité malsaine et d’impatience. Et… Bingo. Son sourire s’élargit, alors qu’il repose sa tasse sur sa soucoupe.

“Merci Astrid.”

Honnêtement, le jeune homme est surpris d’être parvenu aussi facilement à ses fins, mais il s’efforce de n’en rien laisser paraître. Sourcils froncés, il observe la télécommande. Un bouton on/off, une molette avec une intensité graduelle et un mode “aléatoire”. Simple, efficace. Sans hésiter, de la pulpe de son pouce, il fait rouler la molette vers la droite, augmentant ainsi l’intensité des vibrations, puis la diminue au bout de quelques secondes, attentif à la moindre de ses réactions.

“Des bêtises, quelle idée !” Sa voix s’étrangle dans sa gorge. “Bien sûr. C’est pas ta faute hein ? C’est moi qui me suis pointé au mauvais endroit, au mauvais moment mh ?” De nouveau, il augmente l’intensité, à 4 sur 7. Rien à foutre de ses excuses. Après l’incident, il avait décidé de l’effacer purement et simplement de sa vie. Blacklister son numéro, ignorer ses coups de sonnettes, couper tous liens avec leurs amis en commun, il n’avait pas fait les choses à moitié. Tout ça pour que le destin la remette sur son chemin presque dix ans plus tard.

“Je ne pourrais jamais te pardonner, Astrid.” Ces mots sont les plus sincères qu’il prononce depuis le début de leur conversation. Son regard paraît lointain, l’espace d’un court instant, avant de se braquer de nouveau, dur et froid, sur sa victime.  “T’as joui ? Ce jour-là. Après m’avoir vu partir en courant.” 5 sur 7. Les dents serrées, il ne la quitte pas des yeux. Il veut… Non, il a besoin de savoir. A quel point Astrid est une traînée, pour justifier ce qu’il prévoit de lui faire. "RÉPOND." Il a haussé le ton, agacé par son manque de réaction. Brusquement, il monte la vibration de 5 à 7, se penche au-dessus de la table.

“Et essaye de pas trop dégueulasser le siège, sale pute”, lui glisse-il sournoisement, avant de se renfoncer dans le dossier de sa chaise.

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Le quartier de la Toussaint / Re : Retrouvailles [Cata]
« le: lundi 20 décembre 2021, 15:10:01 »
Un grognement de dépit s’échappe des lèvres entrouvertes de l’agent Taylor lorsqu’il sent son gros chibre glisser hors du petit anus chaud et douillet de la veuve noire. Son sexe visqueux s’écrase mollement contre le tissu de sa chemise, la souillant de foutre. Le cœur battant, il l’observe se glisser dans son dos, soupire d’aise lorsque le déclic caractéristique du mécanisme de ses menottes retentit de le silence de la pièce. Grimaçant, les muscles raides, il ramène ses bras vers l’avant, laisse glisser les menottes sur le sol. Enfin, la brunette libère ses jambes, et Jack, soulagé, renverse sa tête vers l’arrière, les yeux mi-clos, l’espace de quelques secondes, avant de se redresser lentement, toisant la veuve noir d’un air singulier, sa grosse queue bien raide, pointant, accusatrice, vers sa tortionnaire. De ses doigts tremblants, encore ankylosés, il défait un à un les boutons de sa chemise, avant de l’ôter, se débarrassant dans le même temps de ses pompes et de son futal à coup de pieds. Enfin, parfaitement nu, sculptural sous les néons aveuglants de la petite pièce, il lui sourit.

“Ma tendre épouse.”

Le ton est plus froid que leurs échanges enfiévrés de ces dernières minutes. Le désir brûle toujours dans ses yeux vairons, mais Jack se force un court instant à considérer ses options. Prendre Catalina en otage et se tirer ? Faisable. D’un pas lent, il s’approche de la veuve accroupie, sur ses talons, et s’applique à défaire soigneusement le chignon sophistiqué de la jeune femme pour enrouler la tresse de jais autour de son poignet. “Tu m’as manqué de respect aujourd’hui.” Une rage sourde monte en lui, lorsqu’il se rend compte qu’il n’est pas prêt à jouer avec la vie de la jolie brunette pour négocier sa libération. Il se penche vers l’avant, tire brutalement les cheveux de son amante vers l’arrière, avant de cracher sur ses lèvres entrouvertes avec délice.

“Tu mérites que je te punisse, sale pute.”

Le tendre jeu de rôle auquel il s’adonne semble avoir trouvé ses limites. L’envie de la souiller, de la marquer devient dévorante, obsédante. Une grimace déforme légèrement ses traits lorsqu’il s’empare de son chibre tendu, s’astreignant à ralentir le rythme effréné de sa respiration. Au bout de quelques longues secondes, le membre s’amollit légèrement, et un mauvais sourire s’épanouit sur son visage meurtri.

“Putain, ça fait deux heures que j’en avais envie.”

Brusquement, l’urine gicle de son méat, éclaboussant la jolie petite gueule de son amante, avant qu’il ne redirige momentanément le jet dru vers la robe de Catalina, le liquide chaud et sale plaquant le délicat tissu contre sa peau, moulant ses petits tétons érigés à la perfection.

“Relève ta robe, chienne je vais te laver.”

marmonne-il avec empressement, avec l’idée d'uriner directement sur sa petite chatte détrempée. Lorsqu’il sent le jet faiblir, Jack se cambre, et d’un geste du poignet, oriente son gland vers le visage de Catalina, qu’il défie d’un regard dur, brûlant. Souiller, rabaisser la si digne Catalina Taylor est enivrant.

“Regarde c’que… Tu me fais faire, putain…”

Le flot de pisse salope son maquillage, glisse entre ses lèvres entrouvertes. Enfin, en ahanant, il glisse son chibre souillée dans la petite bouche de la brunette, raffermissant sa prise sur sa natte, terminant de vider sa vessie directement dans la gorge de sa chienne. “Pu-tain”, murmure-il, presque surpris par son propre geste. Un bref rire nerveux le secoue, alors qu’il imagine les membres de l’organisation ébahis, derrière la vitre sans teint. Entre les lèvres de sa chère et tendre, sa grosse queue enfle de nouveau, jusqu’à redevenir aussi rigide que précédemment.

“Nettoie. Nettoie bien, si tu veux que je t’encule fort, ma chérie.”

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Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Grimpe ... moi? [Pv. Jack]
« le: vendredi 17 décembre 2021, 20:16:23 »
Il a décidé de ne pas lui faire de cadeau. Elle l’a, vraiment gonflé ; la leçon est méritée. Il n'a pas la cruauté de jouer avec elle, mais il la cueille, tranquillement. Elle frappe, fort, il contre, sèchement, Elle essaye de le travailler au corps; bonne idée : son centre de gravité à elle, est plus bas, et elle peut compenser son manque d’allonge en rentrant dans sa garde. Mais lestement, il se dérobe, creuse de nouveau la distance. Le coude fuse, à quelques centimètres de son menton. Audacieux, mais elle s’expose trop, ne voit pas venir son genou, qu’il lève brusquement, pour l’empêcher d’avance davantage. La blondinette se le bouffe juste en dessous du plexus, recule avant de s’affaisser le souffle coupé. Il ne se précipite pas pour l’aider, ne se moque pas non plus d’elle. Il fait la moue, sur la défensive. Il a pas envie de la cogner encore, elle a eu sa dose, là. Elle pisse un peu le sang, et il s’étonne de trouver ça carrément sexy.

“Hé.”

Elle se relève finalement en titubant, mais alors qu’il s’approche pour la soutenir, le regard qu’elle lui lance l’arrête. Bon, elle va me faire quoi là, gerber sur le tapis et se tirer ? Mais non. Elle retire son sweat qu’elle balance sur le parquet. Rien dessous, juste une brassière. Il hausse un sourcil, lui emboîte le pas lorsqu’elle s’éloigne à la recherche de… Quoi au juste, la salle de bain ? Elle ouvre une porte, probablement au hasard. Bingo, c’est l’une de ses deux chambres à coucher. C’est au tour de la brassière de glisser au sol, sur la moquette.

“Ben voyons.” Jack s’est approché, il colle son torse contre ses épaules. “T’es une putain d’emmerdeuse Gwen. Tu me les brises, vraiment.” Pour autant, ses grosses mains se sont posées sur sa taille. Contre ses reins, elle peut sentir le renflement de son épais chibre érigé. A l’aveugle - il a l’habitude - il faut sauter le bouton du jean de la blonde, glisses ses doigts dans la ceinture du futal pour l’abaisser à mi-cuisses, embarquant la culotte avec. “T’as un gros cul quand même, putain.” Il se marre, glisse ses doigts dans ses cheveux pour la tirer en arrière, la forcer à le regarder. “ Alors comme ça, tu veux que je te baise, maintenant ?” Il se penche, écrase sa bouche contre les lèvres entrouvertes de sa pute, y fourre sa langue. Le goût métallique du sang.  Sa main s’insinue entre ses cuisses, ses doigts se replient sur une chatte tiède, moite. Evidemment. Son majeur glisse le long de sa fente.

“Putain de merde, t’es trempée Gwen.”

Il suçote la lèvre blessée de la jeune femme, glisse majeur et annulaire dans son sexe baveux, fouille. De l’autre main, il soupèse l’un de ses gros seins, agace l’extrémité du téton de la pulpe de ses gros doigts. Son bassin remue contre ses reins, il grogne. Sa main quitte la poitrine laiteuse de la jeune femme pour libérer son énorme chibre veineux, dont les couilles s’écrasent contre le cul bien ferme de la grimpeuse. Un peu de foutre suinte de son gland pour souiller sa peau de pêche. Son futal et son boxer tombent sur ses chevilles, il s’en débarrasse d’un coup de pied, puis la pousse en avant, sur le lit, la tête la première. Pendant qu’elle se tortille pour dégager à son tour son jean et sa culotte, Jack lui, déboutonne sa chemise, les doigts tremblant, les yeux rivés sur ce cul qui se dandine sous son nez. Lorsqu’il la rejoint, c’est pour claquer sèchement ses fesses, à plusieurs reprises.

“A genoux. Cambre-toi, sale chienne. , voilà !”

Le ton de sa voix est plus rauque, impérieux. Il se penche, écarte davantage ses cuisses d’un geste brusque du poignet, écarte ses fesses pour cracher sur son sexe offert, avant de tapoter sa vulve détrempée du plat de sa main. “Je vais te défoncer, putain.” Il se redresse, empoigne sa grosse queue, juste au dessous du gland, frémit. Sournoisement, il écrase son gland sur le sexe offert, le promène dans les replis de sa fente… Avant de pousser brusquement pour enfouir un bon tiers de sa grosse bite en elle en grognant. Gwen a beau en crever d’envie, la queue de Jack n’en reste pas moins énorme, et la jolie petite pute, serrée. L’une de ses grosses mains se pose sur la nuque de la blondinette, pour écraser sa jolie petite gueule contre l’oreiller. L’autre s’arrime à ses hanches, fermement.

Fébrile, il manque de gicler en elle instantanément, tant les parois de sa petite chatte pressent sur son chibre, mais, les dents serrées, il parvient à se reprendre, et à enfouir lentement son vit au fond de son ventre. Lorsque ses couilles s’écrasent contre sa fente, il remue lentement le bassin, s’appliquant à bien la dilater, à bien l’ouvrir. “Qu’est-ce que t’es bonne, merde”, grogne-il, avant de s’affaler sur elle de tout son poids, enfouissant son nez dans ses cheveux. Elle pue la sueur, mais ça l’excite encore plus. Jack, en nage, prend une grande inspiration, recule son bassin, puis se refonce brusquement en elle jusqu’à la garde. De nouveau, ses doigts s'enroulent nerveusement dans ses cheveux, qu’il tire vers l’arrière, la forçant à cambrer encore davantage son corps diaphane.

“C’est ça dont t’as be-soin, Gwen…” Ahane-il. Son bassin s’enhardit, ses couilles claquent contre la chatte de sa pute. “Qu’on te… Défonce.” Les muscles crispés, Jack a perdu le sens de la mesure. Il lime, déforme sans pitié la pauvre petite chatte de Gwen, avec l’idée de la démolir, de la remplir de foutre, pour marquer définitivement son territoire.

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One Shot / Re : Retrouvailles [Astrid]
« le: vendredi 17 décembre 2021, 20:08:27 »
Difficile de détourner son regard du visage de la jeune femme qu’il a tant aimé et qu’à présent, il hait. La courbe de ce nez délicat, qu’il caressait parfois, ces lèvres entrouvertes, ce regard doux, ces lèvres de suceuse.

“Ouais, ouais, merci pour ça, sujet suivant”

Il ricane, amer. Inutile de lui cacher la raison de sa métamorphose, elle est parfaitement évidente. La sale petite pute évite son regard. Il fronce les sourcils, avance le menton, défiant. Est-ce qu’une traînée comme elle est capable de ressentir de la honte ? Putain, il a envie de lui cracher à la gueule. Il retire sa main avec humeur, affectant un air dégouté, se morigénant intérieurement d’avoir eu envie de la lui laisser.

“Tu me touches pas, je sais pas où ont traîné tes mains.”

De jolies petites mains, au demeurant. Fines, diaphanes, aux doigts fuselés, manucurés.

Soudainement, il la voit frémir, hoqueter. Quelque chose de sale passe dans ses jolis yeux marron. Comme ce soir-là. Il percute immédiatement, les muscles de sa mâchoire se serrent. “Putain, mais t’es vraiment la pire des traînées hein ?” Hideo renifle, allonge l’une de ses jambes pour la glisser entre les mollets d’Astrid, les lui écarter sèchement. Il bande; son gros chibre veineux pulse contre le tissu élastique de son boxer. Une queue énorme, au gland violacé, dont Astrid ne sait rien. Il sort son téléphone portable de la poche intérieur de son blazer, tapote rapidement un premier texto, pour annuler son RDV de la journée, un second pour indiquer à son chauffeur de revenir le chercher dans une dizaine de minutes. Entre les jambes d’Astrid, son pied remonte, s’arrête à mi-cuisses. L’air furieux, il la scrute, la jauge. Il pose sa main sur la table entre eux deux, paume vers le haut, faisant tinter ses bagues en argent contre le verre de la table.

“La télécommande, Astrid.”

Le ton est ferme, agressif. De ses beaux yeux de jais, il la défie encore. Il le sait, Astrid est lâche, face aux tentations de la chair. Une révélation le frappe, le laisse presque perplexe. Il a passé les dix dernières années de sa vie à devenir l’homme qu’il a surpris en train de détruire l’anus de sa petite amie à même le sol. L’expression qu’il a vu sur sa jolie petite gueule ce jour-là, il a toujours rêvé d’en être à l’origine. Il a un rire bref, glisse son autre main dans ses cheveux coupés en brosse. Quelles étaient les chances pour qu’il retombe sur cette connasse en plein Kyoto ?

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One Shot / Retrouvailles [Astrid]
« le: jeudi 16 décembre 2021, 22:07:04 »
Hideo Suzuki claque la porte de la berline noire aux vitres teintées, adresse un signe de tête au chauffeur, dans le rétroviseur et s’éloigne d’un pas lent, chaloupé. De taille moyenne, l’héritier s’est sculpté un corps musculeux, mis en valeur par un élégant costume trois-pièces ajusté anthracite. Légèrement ébloui par le soleil de ce début après-midi, il plisse les yeux, avant de sortir une paire de Tom Ford qu’il place sur son nez. Aujourd’hui, Hideo a un rendez-vous important avec un promoteur immobilier, mais il a prévu de le faire poireauter un peu. Il regarde sa montre. Pourquoi pas un café ? Soit. La rue est animée, mais les terrasses sont dégarnies ; la plupart des gens sont encore coincés au bureau, à cette heure-ci. Pas moi. Il avise un café, qui fait l’angle. Un peu cheap. Il s’éloigne de quelques pas. Mh ?

Quelque chose le perturbe, si bien qu’il se retourne, observe de nouveau la terrasse. Une silhouette lui semble familière. Tu délires mon pote, tu délires complètement. Son cœur s’emballe, pourtant.

Ces cheveux bruns, cet air pensif, cette manière de croiser les jambes… Astrid, c’est Astrid.

Tétanisé, la bouche légèrement entrouverte, le puissant Hideo Suzuki, négociateur hors-pair, play-boy à ses heures perdues se décompose. Il a chaud, il se sent fébrile. Rien à foutre de cette sale pute. Faux. Il déglutit avec difficulté. Il a l’impression d’être de nouveau dans le corps rachitique de ce timide étudiant en art qu’il était, il y a presque dix ans, incapable de prendre une putain de décision. Astrid, ce putain de fantôme qui le poursuit depuis tant d’années. Il a un mauvais sourire, soupire avant de prendre une décision.

“Je peux m’asseoir ?”

Hideo n’attend pas la réponse de l’intéressée. Il tire la chaise à lui, s’installe confortablement en face de la jeune femme, les yeux rivés sur son visage circonspect. Putain, elle a quasiment pas changé elle. Toujours ce putain d’air angélique, presque tendre - alors que c’est une putain de chienne. Son visage se crispe, un peu de bile lui remonte dans le gosier.

“Tu me remets ?”

Il retire ses lunettes de soleil, les balance sur le verre de la table. Son regard est dur, acéré. Astrid fucking Grace, la sale garce qui lui a volé son cœur pour le réduire en miette, neuf ans plus tôt. Ils étaient jeunes, alors, insouciants - du moins en ce qui le concernait. Une rencontre à la bibliothèque, quelques rendez-vous, des baisers timides dans le cou. Il l’avait aimée comme jamais il ne l’avait cru possible. Pas de sexe ; Hideo voulait faire les choses bien, dans l’ordre. Lui, l'unique héritier d’une richissime famille de notables, elle, brillante étudiante en médecine, promise à un avenir tout tracé.

“Dis-moi Astrid, est-ce que t’es toujours une sale petite pute ?

Il prononce ces mots en anglais, avec un accent parfait, un sourire glacial. Ses mains tremblent légèrement et il les pose sur ses cuisses. Il bouillonne. De rage.

Comme ce mardi de mai, où, pour lui faire la surprise, il avait séché les cours, acheté un bouquet de fleurs, et s’était pointé chez elle. Il avait sonné une fois, puis deux. Sourcils froncés, il avait tourné la poignée de sa porte - non verrouillée - et s’était introduit à l’intérieur, sourire aux lèvres. Astrid aimait écouter de la musique lorsqu’elle travaillait, elle n’avait probablement pas entendu la sonnerie de la porte d’entrée.

Sauf qu’Astrid n’était pas en train de travailler. Astrid était prostrée sur le parquet de sa piaule, le cul en l’air, les seins écrasés sur le sol et les poignets soigneusement attachés ensemble derrière son dos. La chienne chouinait tout son soûl, pendant qu’un gaijin musculeux pilonnait brutalement son arrière train de son chibre épais. Interdit, Hideo avait tour à tour regardé le visage de sa petite amie, déformée par l’arrivée imminente d’un orgasme, l’air goguenard de l’intru qui l'enculait méthodiquement, le mélange poisseux de fluides mélangées qui souillait le sol. Le bruit mouillé, obscène des bourses de l’homme qui claquaientt contre la vulve gonflée de de son premier amour résonnait, et résonne encore aujourd’hui dans sa boîte crânienne.

Ce jour-là, il avait envie de lui faire mal, de la tuer, et de tuer le gaijin. Mais à l’inverse, il avait tourné les talons, incapable d’affronter le regard d’Astrid et s’était enfui en courant, comme une sombre merde.

Pas aujourd’hui.

Il voit la jolie petite gueule d’Astrid se déformer sous l’effet de la surprise, hoche silencieusement la tête. Après s’être vautré dans la prostitution et le sexe facile, combien de petites idiotes Hideo a-il dévoyé, souillé, humilié ? Une bonne quinzaine. Il ne se souvient même plus de leurs visages, il n'en a jamais vraiment eu grand chose à foutre. C’est Astrid, qu’il voulait punir. Et aujourd’hui, c’est Astrid, qui se tient devant lui, vulnérable. Et c’est cette fille presque banale, qu’il a eu peur d’affronter ?

“Un café allongé s’il vous plaît”, lance-il au serveur, sans même le regarder.

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Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : Grimpe ... moi? [Pv. Jack]
« le: dimanche 12 décembre 2021, 23:21:38 »
A la remarque sur le vin, Jack sourit. En réalité, il n’y connait pas grand chose, lui non plus. Il est capable, comme la plupart des gens, d’identifier un vin dégueulasse, mais pour ce qui est des bons… Il met sur le même plan une bouteille à 25 dollars et un nectar à 390, comme celui qu’il déguste actuellement. L’important dans le vin, c’est l’étiquette.

Après son odieuse tirade, il trempe ses lèvres dans son verre et… Esquive d’un mouvement de l’épaule le verre de Gwen, qui vole en éclat contre la lampe qui se trouve derrière lui. Putain, le caractère de cette meuf. Il s’attendait à une réaction explosive de sa part, mais là… Il réceptionne la petite boule de nerfs sur les genoux, encaisse la gifle sans chercher à se protéger - il l’a probablement cherché et… Ça l'excite, de la voir comme ça. Le baiser est brusque, vorace, il n’a pas le temps de le lui rendre, ses lèvres s'éloignent déjà. La peau de sa joue le brûle. Elle a frappé fort, la salope.

“Ouais…” Rétorque-il. Rien à foutre, littéralement. Les yeux brillant de colère contenue et d’excitation, il la défie de recommencer. Entre ses jambes, sa queue enfle déjà contre la cuisse de la jeune femme, qui se dérobe. “Mhh…” Putain, une chemise à 200 dollars. Pas sûr qu’elle soit récupérable. Il y tient à ses fringues, lui. Il se redresse lestement, alors qu’elle creuse la distance, retrousse soigneusement ses manches, dévoilant des avant-bras musculeux. “Ok, mais va pas falloir venir chialer derrière, petite conne.” Sa 

Ouais ouais, il l’a vraiment mauvaise, Jack. Il observe sa posture, la ligne de ses épaules. Il sait qu’il est clairement au-dessus d’elle, ça fait pas un pli, mais il la prend pas pour une débutante non plus. A la manière dont elle se tient, dont elle pivote, il sent qu’elle en est pas à sa première bagarre, la petite furie. Une vraie gamine des rues Elle a raison, ça lui change de ses mijaurées qui se jettent à quatre pattes pour le sucer en minaudant. Il lève les mains pour se mettre en garde, mais pas trop haut : elle est trop petite pour le toucher au visage.

“Allez, bouge mieux que ça, sale chienne.”

Il avance vers elle d’un pas. Le plat de son pied nu s’écrase sur sa cuisse lorsqu’elle se rue sur lui, la coupant dans son élan. Même si elle avait une meilleure technique, il aurait encore l’avantage de l’allonge. Son avant bras droit gicle vers l’avant, en crochet, main ouverte - l’idée n’étant pas non plus de la démolir. Gwen bloque, mais la différence de poids la déséquilibre. De l’autre main, Jack l’a saisie par le col. Il encaisse sans broncher le genou qui trouve ses abdominaux gainés. Il approche son visage du sien, lui crache à la gueule. “P’tite conne.” Il la projette brusquement dans le canapé, sur lequel elle s’écrase lourdement. Un goût salé dans sa bouche. Il fronce les sourcils, se passe la langue sur sa lèvre fendue. Elle l’a frappé quand ? Probablement du coude, avant qu’il la balance à travers la pièce. Il a un mauvais sourire. Elle est bonne, la petite. Elle ne fait carrément pas le poids, mais elle se démerde. Il se demande si pour ça aussi, elle pourrait pas lui être utile, à l'avenir. Toujours en garde, les poings serrés, il l’attend.

“T’en veux encore, ou on passe à la partie où tu me bouffes le cul tout de suite ?”

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