Bureau de la direction et infirmerie / Re : S'humilier ou se révolter. (Jack Taylor)
« le: mercredi 26 janvier 2022, 15:27:22 »“Putain oui.”
Ne peut-il s’empêcher de murmurer, lorsque Lilas crache sur son anus entrouvert. Il en veut davantage, remue légèrement les hanches pour mieux s’offrir, se plaisant bien plus qu’il ne l'aurait imaginé dans le rôle du chien de sa petite maîtresse. Néanmoins, la rigidité de la règle est moins agréable, et l’homme grimace lorsque le coin de l’objet écarte les parois de son anus… Mais Lilas finit par la retirer, avant de l’abandonner l’espace de quelques instants, pendant lesquels il s’efforce de retrouver son souffle. Lorsqu’elle manipule son sexe, il fonce de nouveau les sourcils sous le bandeau.” Ow..”, mais ne tarde pas à comprendre le traitement qui lui est réservé… Ah la sale petite pute. Il ne peut s’empêcher de frémir d’impatience, et soupire d’aise lorsque la vibration s’enclenche, se mordant la lèvre inférieure alors que sa verge stimulée tressaute.
"Mmmh…Merci Maîtresse”, murmure-il lorsqu’elle caresse négligemment son sexe.
De nouveau, il gémit lorsque les petites billes pénètrent son anus déjà dilaté, suivante de bave, ouvre légèrement la bouche, formant un o avec ses lèvres entrouvertes. Une, deux, trois… la petite chienne le remplit bien, n’hésitant pas à enfoncer profondément les boules en les poussant de la pulpe de son index, faisant tressaillir et gémir le pauvre professeur. Lorsqu’elle s’éloigne de nouveau pour le contourner, Jack croit savoir ce qu’elle s'apprête à faire lorsqu’il sent sa présence devant lui.
“Mnnnggg… Ahh !”
Surpris par l’intensité des vibrations dans son fion et sur sa grosse queue, Jack se cambre de nouveau, agrippant les rebord du bureau de ses grosses mains pour conserver son équilibre alors qu’il remue nerveusement le bassin vers le haut, le corps parcouru de brefs frissons. L’ourlet de la jupe de Lilas glisse sur son nez, mais alors qu’il s’attend à ce qu’une petite chatte détrempée s’écrase sur sa gueule, c’est un membre tiède et dur qui s’engouffre jusqu'au fond de sa gorge, le faisant hoqueter de surprise et de douleur. Une queue ?! “Mhhhh ?!”, grogne-il, surpris, presque choqué, de la salive s’échappant de ses lèvres violées pour dégouliner le long de son menton et de ses joues. S’astreignant à respirer par le nez Jack est bien trop stimulé pour se rebiffer, d’autant que la révélation, si elle le surprend, ne lui déplaît pas, bien au contraire. Bientôt sa gorge s’adapte à l'épaisseur du modeste pénis de Lilas - du moins en comparaison du sien- et arrondit ses lèvres pour le téter bruyamment et avec avidité, humant l’odeur délicate des couilles imberbes de Lilas, flattant la hampe gonflée de la jeune fille de la langue.
Loin de le vexer, les insultes de Lilas l’excitent, s'enhardissent. “Mhh hmm.” Renversée au-dessus de lui, son élève repose de tout son poids sur ses pectoraux, remuant son chibre entre ses lèvres avec une vigueur surprenante, le forçant à déglutir à chaque coup de butoir pour ne pas s’étouffer. Profitant de son trouble manifeste, l’homme remonte l’une de ses grosses mains vers son visage, afin de récupérer un peu de la salive qui suinte de la commissure de ses lèvres avec son majeur, qu’il glisse ensuite entre les fesses de Lilas. Cherchant son petit anus à l’aveugle, il y applique la pulpe de son gros doigt, avant de l’y faire pénétrer lentement, mais inexorablement en elle, le recourbant vers l’intérieur pour lui rendre la monnaie de sa pièce : frotter sournoisement la petite bosse de sa prostate qu’il trouve également plutôt facilement. En agissant de la sorte, il sait qu’il excède ses prérogatives, mais il prend ce risque en connaissance de cause. Au faîte du plaisir lui-même, son corps est agité de brusques soubresauts et sa grosse queue, inutile, rebondit sur ses abdominaux. Lorsque Lilas s'affaisse sur lui, il sent le souffle de ses jolies lèvres caresser son gland humide… “Mhhhh !” Tétant la queue de son amante avec une vigueur renouvelée, il s’étouffe avec passion sur son gland, fouille furieusement son l’anus de son majeur, auquel il adjoint bientôt son index, impatient de la sentir se soulager dans le fond de sa gorge, de s’abreuver de son foutre.