Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Le rouge et ses déclinaisons (Arès)

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Ares

Dieu

Re : Le rouge et ses déclinaisons (Arès)

Réponse 15 dimanche 15 août 2010, 23:01:31

Ainsi donc commença l'instruction d'Alana, pretresse d'Aphrodite, l'amante d'Arés sur l'Olympe. Il n'avait jamais prit aucun éléve, ni méme accordé la moindre lesson a personne, tant son savoir en matiére de guerre etait un trésor unique qu'il préféré se garder pour lui seul. Alors pourquoi un tel changement, pourquoi accorder cela a une simple pretresse et non pas à un dieu ou une déesse, une Héroïne ou un Héro... Achille, Hercule n'avaient reçu que des présents, des épées, des armures, mais jamais d'entrainements, ni méme d'expliquations... Non, Arés avait decidé sur un coup de téte de prendre sous son aile la pretresse de la déesse de l'amour, de lui apprendre méthodiquement cet art subtil qu'était la guerre... Certes pour les néophytes, la guerre etait barbare, sans reflexions, ni méme d'intelligence... Et pourtant, les plus grands stratéges etaient des penseurs nées... Ramses II, Alexandre le Grand, Napoléon... Tous avaient fait de grande choses niveau technologie, en voulant faire avancer leur armement... Des guerres nées de grandes idées.

Mais la jeune Pretresse ne manquait pas d'atouts non plus... Un corps de réve, des lévres sensuelles et douces, des mains agiles et qui savaient éxactement quoi faire pour reveiller une libido endormie... Il la suivit alors sans broncher dans son repére... Il ne dit rien dans un premier temps... Il aurait put la chatier pour ce qu'elle venait de lui montrer. Certains dieux interdisaient a leurs pretresses de posseder des lieux d'isolement, pour ainsi eviter la création d'un esprit trop solitaire... Lui méme l'avait imposé a ses Soeurs de Batailles, resultant ainsi d'une organisation parfaite pour le groupe de combattante qu'elles etaient. Mais cela le fit simplement sourire, de voir combien aphrodite laisser libre court a ses prétresses quelques folies... Il inspecta les lieu d'un simple regard. Le tout etait véritablement l'ouvre d'une adoratrice d'Aphrodite, sans conteste... Allant méme jusqu'a la couleur représentant le mieux ce sentiment de faiblesse...

Mais trés rapidement, la pretresse prit les choses en mains... La toge du Dieu finit au sol, et les caresses, mélangés aux baiser le long de son cou, furent immédiatement recompensé par la réaction de la virilité d'Arés... Il emit un sourire, caressant ses cheveux à mesure qu'elle progresser le long de sa peau, oui, decidement, les pretresses d'Aphrodite avaient un talent incontestable. Il soupira méme, se laissant aller a fermer les yeux a son tour, se laissant totalement faire par Alana, qui avait bien comprit la demande... Mais il finit par aller s'installer sur l'un des fauteuils de la piéce, prenant la main de la jeune femme avec lui pour étre bien sure qu'elle l'accompagne, et qu'elle ne cesse pas ses bienfaits a son egards... Il allait apprecier son petit jeu, qu'elle soit soumise ou dominante... Ce soir, aujourd'hui, le Dieu de la guerre etait enclin aux compromis...

Mais une question le troublait malgrés tout... Pourquoi avait elle prit le risque de l'emmener jusqu'ici? Elle savait pourtant qui il etait... Un Dieu Certes, mais pas le plus bienveillant qui soit... Peut étre prenait elle de plus en plus confiance, peu étre avait elle en téte qu'Arés n'allait pas la punir, ou la vendre à sa maitresse de longue date... Esquissant un sourire de plus, il affirma qu'elle avait raison de réfléchir ainsi... Oui, Alana etait spéciale, sans nulle doute qu'elle serait traité de maniére particuliére auprés de lui, sa favorite, son éléve... Mais il en oublia le reste, tandis que les caresses reprenaient de plus belle...




[Désolé Jolie Alana, c'est trés trés court, mais pas facile de se replonger dés le premier post dans notre RP. Ca va revenir lors dés prochain =) ]
«L’art de la guerre, c’est de soumettre l’ennemi sans combat.»

Ares 's Théme


Alana

Invité

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Re : Le rouge et ses déclinaisons (Arès)

Réponse 16 mercredi 18 août 2010, 11:30:03

Arès n'était pas Aphrodite et Aphrodite n'était pas Arès. Pas au sens littéral du mot. De ce fait, leurs prêtresses n'avaient pas la même psychologie, pas les mêmes restrictions, pas les mêmes devoirs et on attendait pas d'elles les mêmes choses, hors mis un dévouement et une fidélité sans failles à leur divinité respective. Avoir un esprit de corps dans une bataille, c'est essentiel. Pour pouvoir anticiper ce que font les autres, et calculer ses mouvements de telle sorte à ne pas les entraver et à ce que les autres anticipent également ce que vous faîtes. Pour parvenir à ce niveau de compréhension, il faut de l'intimité. Il faut que les prêtresses se connaissent par coeur les unes les autres, plus encore que des soeurs. Comme des jumelles presque. Des prêtresses de l'amour, un tel esprit n'était pas nécessaire. Pire, il pourrait être catastrophique. La jalousie, l'envie pourrait les frapper.

Il fallait que les prêtresses gardent une certaine liberté, des préférences, pour qu'elles ne se sentent pas identiques les unes aux autres. Aussi certaines préféraient partager les plaisirs avec des montres terranides, d'autres avec des femmes, d'autres avec des hommes... Chacune était libre de s'adonner à son art, car bien faire l'amour est un art, avec le partenaire de son choix. Là où elles se retrouvaient, c'était pour les cérémonies, dans les termes ou pour les offices dédiés à leur Divine. Alors elles partageaient leur amour pour la magnifique déesse blonde et finalement, leur communion se retrouvait dans cet amour inconditionnel qu'elle portait à Aphrodite et à celui qu'elles se portaient, tout aussi inconditionnel, les unes aux autres. Et aimer quelqu'un, c'est ne point le juger. Elles vivaient ensemble, tout le temps, mais elles pouvaient parfaitement comprendre que lorsqu'un amour naît, unique celui-ci, on tient à le garder pour soit. La jalousie, meurtrière et écrasante, est une partie intégrante de l'amour. Pourtant, Alana ne l'a jamais éprouvée. Certaines de ses soeurs protègent leur amour en catimini dans des lieux personnels comme celui de la rouquine, elle le sait, ça n'est pas un secret, et chacune des prêtresses respectera suffisamment sa soeur pour ne pas la forcer à parler ou pour ne pas forcer son intimité. Mais le lieu d'Alana servait d'une part au recueillement, et ensuite aux partage des plaisirs bien qu'elle n'avait jamais emmené personne dans cet endroit auparavant. Elle l'avait construit en se disant que peut-être, un jour l'un  des terranides qu'elle aurait choisi pour faire l'amour n'apprécierait pas l'intimité des alcôves du temple... Hélas, quand ils arrivaient à se retenir jusque là, c'était déjà exceptionnel!

Alors pourquoi attirer Arès dans cet endroit? Pensait-il réellement qu'elle craigne une dénonciation à sa déesse? Non, bien sûr que non. Aphrodite était omnisciente. Elle savait tout. Alors, si un tel endroit lui avait paru déplacé, il y a longtemps que sa prêtresse aurait été châtiée. La vérité au "pourquoi" de la présence d'Arès était beaucoup plus personnelle, beaucoup plus simple. En réalité, il allait lui enseigner l'art de se battre avec des Saïs, il le lui avait promis... Il allait donc lui montrer une partie de lui, une partie qu'il ne montrait à personne lui avait-il dit... Inconsciemment, Alana lui avait demandé la permission de toucher et de s'approprier une partie de son âme... C'était un Dieu, il ne faut pas l'oublier! Alana ne pouvait prendre un tel présent sans en rendre un, dans la mesure de ses moyens, d'égale valeur. Elle n'était que prêtresse, elle n'avait pas de beau vêtement, de beaux bijoux... Rien de valeur à donner au Dieu. Alors elle avait eu l'idée de l'emmener dans cet endroit privé, une partie d'elle comme la guerre est une partie de lui, et de l'y laisser la toucher. Elle ne voyait pas de meilleure façon. Elle avait fait ce qui lui semblait être juste, et si elle devait être punie pour cela, alors elle le serait. La rouquine avait sa conscience et son dévouement pour elle, advienne que pourra. Pour l'heure, elle était toute entière au Dieu et aux baisers et caresses qu'elle lui prodiguait.

Elle se savait un certain talent pour éveiller les hommes... Mais de là à voir un Dieu aussi réceptif alors qu'elle entamait tout juste les préliminaires, en faisant aller et venir la peau douce de ses lèvres sur sa peau, c'était impressionnant. Et agréable de se sentir désirée pour un si petit geste. Sa main se retrouvant captive de celle d'Arès, Alana se vit dans l'obligation de le suivre où il le désirait, mais quand bien même il n'aurait pas pris ses doigts, elle l'aurait suivit, envieuse de rester à son contact.
Les yeux à l'iris violacé de la jeune femme suivirent le Dieu lorsqu'il prit place dans l'un de ses fauteuils, mais elle-même resta debout. Il était nu devant elle, elle y avait veillé, aussi elle ne pouvait rester couverte, ç'aurait été mal élevé. Alors, sa tête s'inclina sur le côté et un sourire fendit ses lèvres. Délicatement, ses doigts s'échappèrent de la délicieuse prison que constituait la main d'Arès et allèrent se glisser dans son dos, au niveau des armatures de métal qui retenaient sa robe de prêtresse. Un petit cliquement fut audible, signe manifeste que la toge était ouverte. Signe encore plus manifeste, le tissus qui s'affaissa légèrement sur les côtés et bientôt, les bras d'Alana se croisèrent sur sa poitrine et ses doigts caressèrent ses épaules, pour en faire glisser le tissus des bretelles de sa robe et la faire glisser le long de son corps, lentement. D'abord, ses épaules et sa gorge furent livrées à elles-mêmes. Ensuite, ce fut le galbe rond et généreux, opulent, de ses seins qui fut donné en pâture aux yeux du Dieu. Puis vint sa taille fine, son ventre plat dont la peau était si tendre, si veloutée, et si ferme à la fois, ornée d'un nombril que la coquetterie lui avait fait percer d'une pierre, rouge évidemment, à la manière des humaines. Après la taille vinrent les hanches. Larges, sensuelles, féminines... De la volupté à l'état pur. Son intimité suivit, ainsi que ses cuisses, fines et musclées, toutes en longueur, et enfin le reste de ses longues jambes et de son anatomie. A son tour, Alana était mise à nue devant Arès, Dieu de la Guerre et homme à femmes.

L'un de ses pieds se dégagea du monceau de tissu tombé au sol, suivit de près par l'autre pied, et, tandis que la longue chevelure légère de la rouquine tombait allègrement le long de ses épaules et venait s'immiscer entre les yeux du Dieu et les auréoles de ses seins, la prêtresse vint s'agenouiller aux pieds d'Arès, entre ses cuisses. Sa position assise ne pouvait signifier qu'une seule chose. Durant le temps qu'avait duré son effeuillage, la jeune femme n'avait pas quitté le visage du Dieu des yeux. Maintenant, elle le devait plus ou moins.
D'abord, elle prit l'un des coussins du fauteuil et le glissa sous ses genoux. Le bois laissait des marques et devenait très vite inconfortable du fait de sa dureté. Ensuite, elle put passer aux choses sérieuse et s'occuper de cette verge qui... Lui tendait les bras.

Alors, Alana s'en empara. Elle l'effleura d'abord, du bout des doigts, de haut en bas, ainsi que les bourses et son extrémité, comme elle l'avait fait dans le temple, pour lui donner un peu de vigueur. Ensuite, elle laissa ses mains se glisser le long des hanches du Dieu et y elles y prirent appuis, alors que son visage s'approchait de la hampe divine. Comme elle l'avait fait avec ses doigts, elle l'effleura une nouvelle fois, mais de ses lèvres. Comme elle l'avait fait dans son cou, elle laissa la pulpe charnue de sa bouche décrire de petites caresses, ainsi que son souffle, cela dans le but d'exacerber le sens du toucher de l'Olympien. Ce n'est qu'une fois que la verge fut réellement tendue qu'elle passa au niveau suivant.

Après ses lèvres, sa langue se mêla à la partie. La première à en faire les frais fut l'extrémité du chibre d'Arès, qui se vit sollicité comme jamais. En effet, la prêtresse ne se contenait pas et ne semblait pas avoir envie de le faire, aussi le gland du Dieu se retrouva-t-il prisonnier de la bouche de la rouquine tandis que sa langue lui faisait subir mille outrages. Insidieuse, elle explorait de son bout la fente délicate qu'elle percevait. Elle en dessinait les contours, suçotait cet endroit si sensible, mis à nu par la main de la prêtresse qui s'était glissée hors de son socle sans crier gare pour enserrer de sa poigne la stribe turgescente du Dieu et attirer avec elle la fine couche de peau qui protégeait le bout de la hampe divine.

Alors, les mouvements de bouche et de main se virent synchronisés. Lorsque la main filait vers la base de la hampe, la bouche suivait. Et lorsque la bouche remontait, la main suivait. Parfois rapide, parfois plus lente mais plus profonde, Alana variait les rythmes pour décupler le plaisir du Dieu. Et puis il s'avéra bientôt que la main de la jeune femme fut de trop. Alors la rouquine la congédia et l'envoya retourner se poser sur la hanche du Dieu, symétriquement à l'autre. Alors la prêtresse pu montrer au Dieu l'étendue de ses capacités en la matière. Sans peur, sans honte, sans douleur ni appréhension, elle fit glisser sa bouche et sa langue sur toute la longueur de la verge olympienne, jusqu'à ce que le bout vienne buter aux fond de sa gorge et que les lèvres de la prêtresse se retrouvent en contact avec la peau du bas ventre du Dieu. Sa gorge était étroite, elle enserrait dans un étau de chair chaud et humide le sexe d'Arès dans son intégralité, même si ça lui coupait le souffle. Alors elle se retira, pour réoxygéner ses poumons, et invita une nouvelle fois le Dieu à posséder sa gorge. Elle s'aidait de ses mains, attirant les hanches divines à elle, pour être certaine de tout engloutir. Le Dieu désirait qu'elle le conduise à la jouissance, elle n'économiserait donc pas ses efforts.

Mais pour faire tout cela, nul besoin de se déshabiller. Or, Alana était pragmatique, elle ne faisait jamais rien sans raison. Alors pourquoi s'était-elle dénudée? Pour la suite, naturellement.


[Je t'en prie :)]

Ares

Dieu

Re : Le rouge et ses déclinaisons (Arès)

Réponse 17 dimanche 22 août 2010, 15:41:40

Ainsi installé, le Dieu avait tout loisir de contempler la jeune et douce Alana. Cette mystérieuse Pretresse de l'amour, qui maniait a la perfection les armes habituellement reservé au prétresses guerriéres... C'est ainsi qu'avait commencait leurs rencontres... Quelques mouvements, une danse dans le Feu d'une soirée d'Orgie Olympienne, qui avait attisé le regard et le desir de la connaitre d'autant plus. Il est vrai que trops rarement des étres autre que des dieux avaient la capacités a titiller la conscience d'Arès, et pour une fois, il redécouvrait le plaisir du jeu de la séduction. Et elle savait s'y prendre. Au départ, tout etait simple pour lui, une pretresse comme une autre finalement. Elle finira dans sa couche, il la prendrait, comme a sa grande convenance, son plaisir personnel et voila tout. Seulement... Il y avait des choses en ce bas monde et dans les autres, qui ne pouvaient étre controlé, méme par le Dieu de la Guerre. Alana jouait merveilleusement bien son role, elle le jouait méme trop bien, si bien que le Dieu ne pouvait s'empecher de poursuivre en ce sens. Habituellement, il l'aurait deja aggripé, deshabillé, violé méme selon son humeur. Mais au lieu de cela, il profitait de ce spectacle qu'elle lui offrait, sans en manquer une miette, patientant de voir ce qu'elle voulait bien lui montrer.

Et c'est la que cela devenait d'autant plus troublant. La pretresse commencait à se défeuiller, pour lui, face a lui. Il n'etait plus Dieu, il etait homme qui ne pouvait resister au plaisir de l'oeil a contempler une sublime créature qui se donnait en spectacle pour son plus grand bonheur. Il etait Dieu, il est vrai qu'il restait difficile de l'éxcité, et surtout de le combler. Sortie des déesses, de ses prétresses avec beaucoup d'effort, et de trés trés rares Mortelles, Arès n'etait pas du genre a ceder au plaisir, hormis quant lui méme le prenait, de grés ou de force. Ses pretresses etaient soumises, les mortelles également... L'unique femme a avoir réussi a soumettre le Dieu de la guerre fut la Déesse de l'amour elle méme... Aphrodite, sa maitresse en Olympe etait depuis ces temps benni, devenue bien plus puissante que quiconque... Il sourit, alors que le spectacle face a lui commencait.

Les yeux glaces du Seigneur de Guerre decryptés tout les signes de la jeune femme... Ses mains glissaient le long de son corps, faisant tomber du tissus a mesure... Il decouvrit enfin sa peau de nacre, ses epaules finement dessinées, ses seins rond et bien fournis, son petit ventre plat, ses hanches, et finalement, son pubis. Un sourire approbateur se dessina sur les lévres du Dieu, qui laissa son imagination creer des tas d'image dans sa téte... Mais trés vite, la suite du programme laissérent place a une vrai action, et non plus a des songes devenu bien inutile. Sa hampe etait l'attention de toutes les actions de la pretresse spécialiste des plaisirs, et Arès ne pouvait qu'affirmer... Il soupira, alors qu'il sentait cette bouche brulante s'occuper ainsi de lui... Il sentait les mains caressantes, la bouche devoreuse, les mouvement masturbant... Il leva les yeux au ciel, remerciant silencieusement Aphrodite d'avoir enseigné a cette pretresse tout son savoir. Il posa alors ses mains sur la chevelure de Feu d'Alana, la laissant pour l'instant guider ses propres mouvements, sentant sa verge se perdre au plus profond de sa bouche. Son gland frappait allégrement le fond de sa gorge...

Il laissa echapper alors un légers soupir, montrant sa pleine satisfaction a ce que lui faisait la pretresse. Tantot elle accelera, tantot elle ralentissait... De plus en plus loin entre ses lévres. De plus en plus vite dans sa bouche. Il ressera ses doigts sur sa chevelure, prenant de plus en plus plaisir de sentir son sexe se faire engloutir de cette façon. Les mains de la jeune femme etaient a présent posé de part et d'autre de ses hanches, ne laissant que sa bouche controler le tout... Mais ces derniéres ne restaient pas en reste, elle donnait la cadence, donnant l'impulsion au bassin du Dieu pour qu'il s'empalle plus loin encore en elle... Ainsi donc, elle allait jouer le jeu a fond... Il sourit, pervers, tandis que sa prise sur ses cheveux se resséré avec force. Le Dieu comptait bien prendre son temps avec ce Fantasme sur patte... Alana représentait ce qu'il voulait a l'instant présent... Le plaisir prenait place dans l'esprit du dieu, et sans attendre, il donna lui méme les coups de bassin, tout en serrant ses cheveux, comme il le ferait en elle.

Les Dieux avaient la capacité incroyable de durer dans les ebats... Une jouissance etait pour eux qu'un commencement, qu'un debut de commencement méme... Il accelera alors a nouveau... Il avait envie d'elle, et son membre le lui prouvait. Il sentait la premiére jouissance arriver alors trés vite.
Il ne se retient pas, et sa semance partit sans crier garre dans la gorge profonde d'Alana, dans sa bouche, sur ses lévres, Arès prenant son Chibre, pour ne pas oublier de laisser un peu de luquide de plaisir sur les seins sublime de la pretresse, tout cela dans un soupir de plaisir intense...
Il la regarda alors avec fiévre... Elle avait une capacité incroyable a lui donner envie, a lui offrir des plaisirs qu'aucune autre femme de son rang n'avait été capable de faire en si peu de temps... Il passa un doigt sur le liquide de sa propre jouissance qui s'ecoulait sur la poitrine d'Alana, le récupérant, et le glissant dans la bouche de cette incroyable Femme... Son sourire ne lachait plus son visage... Et pour ne pas attendre d'avantage, il se promis de lui faire connaitre a son tour, milles délices, méme si rivaliser avec Aphrodite serait... Difficile.

Il se leva alors, toujours face a elle, et fit appel a sa magie divine... Claquant des doigts, il envoya la jeune femme sur un autre fauteuil, des tiges de métals venant enlacer ses poignets, la laissant totalement prisonniére à ses envies. Il approcha alors, comme un felin face a sa proie... Enfin prés d'elle, il s'agenouilla doucement, deux nouvelles tiges prenant les chevilles de la demoiselle, ecartants ses cuisses par la méme occasion...


"Tu as le privilége unique de me voir a genoux face a toi..."

Il plongea alors entre ses cuisses... Sa bouche se posa a quelques centimétres du jardins des plaisirs de la pretresse... Il souffla d'abord dessus, pour faire comme elle, creer une sensibilité... Mais trés vite, ses lévres embrassérent les deux fleurs d'Alana, a de multilples endroits, avant que sa langue ne se joigne a ce jeu pervers... Elle plongea, trouvant le clitoris chaud, brulant de fiévre... Il sourit intérieurement, venant le titiller, le faire touner, le pincer entre ses lévres, le sucoter. Ses mains ne restérent pas sans agir... Elles se préssérent de rejoindre les seins de la pretresse, les massants avec fougue, jouant avec ses tetons, de la méme maniére qu'il jouait avec son clitoris... Mais sa langue se voulait plus vicieuse encore... Plongeant en elle complétement, comme son membre le ferait. Il attaqua alors des vas et viens de son appendice buccale, ses mains resserant la poitrine d'Alana, la mouille de la jeune femme s'ecoulant le long de la commissure de ses lévres. Le jeu dura longtemps, mais il ne s'arreta pas la. La langue vicieuse descendit quelque peu, pour jouer egalement avec l'anus de la jeune femme... Durant tout ce petit jeu, il ne cessa de la regarder...
«L’art de la guerre, c’est de soumettre l’ennemi sans combat.»

Ares 's Théme


Alana

Invité

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Re : Le rouge et ses déclinaisons (Arès)

Réponse 18 mercredi 25 août 2010, 13:15:56

Arès soupirait, il ne gémissait pas, il soupirait. C'était un goût de trop peu pour la prêtresse des plaisirs qui habituellement devait se retenir de sourire en entendant à quel point elle pouvait faire du bien aux hommes avec sa bouche. Mais Arès n'était pas un homme. C'était un Dieu. Elle se doutait que pour entendre sa voix monter au diapason, elle devrait être capable de beaucoup mieux... Ca, c'était pour son plaisir personnel. Les hommes aimaient entendre les femmes crier parce que ça les excitait, Alana aimait entendre ses partenaires crier parce ce que ces cris étaient l'exact reflet de son habileté à servir sa Déesse. Il était donc très important pour elle d'être douée... Il fallait cependant qu'elle réalise, au cas où ça viendrait à lui échapper, qu'Arès avait eu des milliers d'amantes, sans doute possible plus douées qu'elle ne l'était, sans parler d'Aphrodite elle-même! Alors comment pouvait-elle ne serait-ce qu'imaginer rivaliser avec elles toutes? Elle n'en avait pas les moyens. Tout ce qu'elle pouvait faire, c'était tenter de remplir sa part du contrat et satisfaire le Dieu autant qu'elle le pouvait.

Alors elle ne retenait pas ses efforts, ni ne se ménageait pour atteindre cet objectif. Quand le Dieu resserra son emprise sur ses cheveux, ce qui allait suivre ne laissait aucun doute. Alors elle ferma les yeux et tenta de se détendre un maximum. Il allait aller plus vite qu'elle n'aurait pu jamais le faire dans cette position inconfortable et dans sa gorge, il faudrait qu'elle prenne gare à respirer au bon moment si elle ne voulait pas s'étouffer... Et ce qui devait arriver arriva. Arès prit les choses en main, la prêtresse se montrant docile et même
active dans cet acte érotique où ses possibilités étaient limitées... Elle continuait à attirer les reins du Dieu jusqu'à elle, se surprenant à fantasmer, à imaginer à quel point ça serait bon de l'avoir entre ses propres reins...

Une boule de chaleur, qui s'était éteinte depuis qu'ils avaient quitté le temple du Dieu de la guerre, se forma dans son bas ventre. Ses joues rosirent et gagnèrent quelques degrés. Elle en avait envie... Terriblement envie... Mais pour l'heure, les plaisirs étaient au Dieu. Dieu qui se laissa enivrer et vint finalement au fond de sa gorge, comme elle s'y attendait. Loin d'être répugnée, la prêtresse avala une bonne partie de ma semence divine, considérant cela comme un honneur, bien qu'elle se rendit vite compte qu'il y en avait beaucoup trop pour qu'elle puisse tout avaler. Alors, malgré elle, quelques sillons lui échappèrent, remontant dans sa bouche, l'emplissant et filtrant aux commissures de ses lèvres comme le feraient de petits ruisseaux d'eau, les quelques gouttes résultantes, tombant sur sa poitrine. C'était chaud... C'était agréable. Alana aurait aimé lui faire plaisir avec sa poitrine sur laquelle il s'était tant appliqué dans le temple, mais puisqu'Arès en avait décidé autrement, elle se soumettrait. Et puis... Peut-être n'aurait-il rien contre de nouveaux ébats après ceux-ci?

Le regard fiévreux que lui lança le Dieu Guerrier trouva écho dans les joues rosies de la prêtresse, qui reprenait silencieusement son souffle après le rythme qu'elle s'était elle-même imposée, à elle et à sa gorge, la bouche entre-ouverte et le regard au moins aussi brûlant que lui. Ses fantasmes ne l'avaient pas quittée, bien qu'elle ne se serait jamais résolue à lui faire part de sa demande. Malgré tout, Arès pu aisément s'en rendre compte aux frissons qu'il fit naître chez elle de part le simple contact de son doigt sur sa poitrine. Lorsque celui-ci se présenta à sa bouche, ses lèvres s'en emparèrent avec douceur, sa langue venant recueillir sa semence avec délicatesse, et c'est en lui faisant ressentir son regret de le voir l'abandonner qu'elle lui rendit son doigt.

Elle le vit ensuite se lever et dû lever les yeux pour ne pas perdre son visage de vue. Voulait-il déjà de seconds ébats? Pourquoi pas, elle ne se sentait pas fatiguée. Aussi les doigts de la prêtresse effleurèrent sa taille, mais elle n'eut pas le temps de faire plus. Soumise au pouvoir Divin, c'est avec une surprise modérée qu'elle se retrouva assise sur l'un de ses fauteuils, mais plus que ça, elle se retrouvait prisonnière. Pourquoi? Etait-ce un test? Allait-elle être punie? Pourquoi serait-elle punie? Avait-elle fait quelque chose de mal? Elle espérait que non... Bien qu'Arès soit connu pour être belliqueux et lunatique, elle venait de lui apporter du plaisir non? Etait-ce cela qui lui était reproché? Aussi nombreuses ses interrogations soient-elles, Alana ne tenta pas de se débattre. Elle se contenta de jauger ses liens, avant de tourner à nouveau les yeux vers le Dieu. Et alors, elle comprit.

Son regard enflammé, sa façon de s'approcher d'elle... Il ne comptait pas la punir! Les yeux d'Alana s'embrasèrent d'envie. Son corps la trahit, maudit soit-il, par les gestes de ses jambes et de son bassin, qu'elle croisait l'une sur l'autre pour les jambes et remuait à peine pour le bassin, cherchant à se créer des points de pression entre ses cuisses. Sans ses mains, la tâche était ardue. Les joues de plus en plus roses, elle l'observa se mettre à genoux devant elle et en éprouva un certain malaise. Elle voulait lui saisir le bras et l'inviter à se relever, la place d'un Dieu n'était pas d'être à genoux... Alors de sa jambe croisée, elle voulu tout de même tenter de le faire se relever en glissant délicatement le bout de son pied sous son menton pour le faire se relever.


"Seigneur je vous en prie..."

Son regard était suppliant, elle ne supporterait pas de voir un Dieu lui étant soumis. Mais ça n'était pas à elle de décider, aussi à peine avait-elle eu le temps de faire ceci qu'une tige de métal s'enroula autour de sa cheville et l'attira vers le fauteuil. Il en fut de même pour sa deuxième jambe et ses cuisses se virent écartées, livrant son intimité en pâture à la vue du Dieu. Il sembla ne pas se contenter de la vue...

"Seigneur, Non!"

Une protestation dans un murmure essoufflé, qui trahissait son envie autant que son refus de le voir faire ça. Un frisson lui remonta le long de l'échine lorsqu'elle sentit son souffle sur son intimité. Elle sentit sa peau chauffer en divers endroit, mais surtout ses joues, et ça ne fit qu'empirer lorsque ce furent ses lèvres qu'elle sentit. Attachée, elle ne pouvait rien faire pour empêcher le Seigneur Arès de faire cela. Aussi, puisqu'il en avait décidé ainsi, elle se laissa aller à ses bons soins. Elle s'aperçut que ses poings étaient serrés, ainsi que ses dents, et si elle pu relâcher les unes, entr'ouvrant la bouche, les autres restèrent clos. Quand la langue du Dieu se joignit à l'effort, elle ne pu retenir un soupir de plaisir. Loin à présent de penser à nouveau à lui fermer l'accès à son intimité, elle cherchait au contraire à le lui faciliter en écartant les cuisses plus largement encore. Elle sentit comme sa peau s'embraser lorsqu'Arès se saisit de sa poitrine. Les extrémités de ses seins étaient déjà tendues depuis un long moment, et il parvint encore une fois à lui arracher un soupir.

Néanmoins, la réaction la plus notable d'Alana fut lorsque le Dieu se servit de sa langue comme d'un membre. Là, la prêtresse eut l'impression de devenir folle de désir. Oubliant qui se trouvait entre ses cuisses, elle ferma les yeux et rejeta la tête en arrière, laissant son bassin décrire quelques légers mouvements afin d'aider cette langue à la prendre, bien que les sensations aient un goût de trop peu. Elles la rendaient folle sans la combler, elles la frustraient.


"Oh Seigneur!"

Cri témoin de sa frustration. Lorsque la douce torture s'arrêta pour son intimité et se porta d'avantage vers une autre de ses entrées, la prêtresse rouvrit les yeux et cessa de gesticuler. Elle baissa simplement les yeux vers Arès, le suppliant du regard de la combler et de ne pas la laisser dans cet état d'intense excitation. Par ce regard, elle lui exprimait le même désir que lui avait exprimé dans le temple. Peu importe sa façon de s'y prendre, tout ce qu'elle désirait était qu'il l'emmène dans les étoiles.

Ares

Dieu

Re : Le rouge et ses déclinaisons (Arès)

Réponse 19 mercredi 08 septembre 2010, 21:31:47

Leurs Iris se croisaient, s'entremélaient, pour former un quatuor des plus desirables, prenant un malin plaisir méme a pétiller a l'unisson. Le Dieu ne pouvait lacher prise dans ce qu'il avait entreprit, sa langue se laisser aller a une route sans itinéraire, seul les soupirs de la jeune femme le guidait dans sa recherche de l'endroit idéal, l'endroit exact qui ferait enfin monter la pretresse au plus prés des etoiles de l'extase et du plaisir. Certes, Alana etait une pretresse d'Aphrodite, elle etait pour lui un défis important, surtout pour son ego de guerrier endurcit. Mais avant de penser a son propre sentiment de male dominant, il voulait avant tout avoir le plaisir presque unique, de faire jouir entre ses mains, une pretresse de l'amour. Elles étaient réputées comme etant difficile a combler, logique en méme temps quant vous passer sous l'enseignement de la déesse des plaisirs elle méme...

Aphrodite avait été une amante incroyable, capable de toutes les folies, qui auraient braqués de peur les autres femmes d'Olympie. Avec elle, il avait apprit la douceur, la tendresse, loin pourtant de ses habitudes. Il avait également apprit a prendre en considération le plaisirs de ses partenaires. Voilà bien un étrange concept pour celui qui prend, sans donner en retour.

Le visage de la pretresse en etait rouge, sulfureuse et attentive aux faits et gestes du Dieu, qui pour sa part poursuivait sur sa route iréelle, presque sournoise le long de son intimité, trouvant sans plus aucun probléme son clitoris qui avait enflé sous les coups de langue, qu'Arés prenait un malin plaisir a alterner, tantôt petits et rapides, tantôt plus langoureux et lent. Ce clitoris qui avait un pouvoir incroyable, etait devenue son saint Graal... L'aspirant, le mordillant, il voulait en connaitre toutes les facettes, tout les secrets. Voila ce qui relancé l'interet de la curiosité du Dieu... Un mystére à lever, un plaisir a exploiter. Rien qu'a cette pensée, le Dieu Guerrier en sourit, tout contre l'intimité de sa pretresse. Lentement, il changea la donne... Sa langue, jusqu'alors joueuse et titillante, se transforma en membre, s'insinuant lentement dans l'intimité de la jeune femme. Quel plaisir que de la voir surprise, un peu aux anges, un peu frustrée...

Alors il s'y enfonça un peu plus, sans langue se sentant immédiatement aspirée par cette entitée humide au possible. Il goutta sa mouille, s'en delectant, receuillant méme ce precieux liquide, tout en regardant encore et toujours le visage prenant peu a peu un peu plus d'aise de la jeune femme au service d'Aphrodite. Il commenca des allés retours lent et profond, les mains d'Alana aidant a ce mouvement régulier, plus il allait vite, et plus le liquide de plaisir s'ecoulait lentement de l'intimité chérie par les coups de langue du Dieu. Un plaisir immense en sentant ce brulant révélateur, Arés n'en cessa pourtant pas ses mouvements, cherchant a tirer quelques gémissements, de ses supplices... Alors qu'il descendait vers l'autre orifice de la pretresse, cette derniére posa sur lui un regard qui voulait dire bien des choses... Cet endroit la etait interdit, ou encore inexploré, peut étre qu'elle n'apprécié pas... Qu'importe, il y reviendrait, il etait dieu ici, et son plaisir valait bien quelques sacrifice moraux...

Mais pour l'instant, son envie a lui aussi avait evolué... Il la desiré tellement en cet instant. Le pic etait de nouveau a son paroxysme. Doucement, Arés se redressa, pour la contempler de toute se grandeur... Avec un claquement de doigts, il dessera les liens qui la tenaient prisonniére de ses propres envies. Un mince sourire, et il approche lentement son visage de celui de la pretresse.


"il est temps, Pretresse d'Aphrodite... Il est temps, car je te veux, ici et maintenant..."

Sans attendre plus en avant, il la saisit par les poignets, pour la plaquer avec fougue contre l'une des parois de la piéce aménagé par les soins de la jeune femme. Il la tourna sans plus de cérémonie, son membre deja attentif, ses pulsions a nouveau au sommum... Arés reprit ses droits, et tandis que les seins de la demoiselle etaient plaqués contre le mur, le guerrier se placa derriére elle, son membre glissant le long de sa cuisse. Il colla ses lévres sur son oreille, la mordillant au passage...

"Sent tu mon desir...?"

Il glissa ses mains vers ses hanches, les aggripants alors, et dans un coup de reins, son membre decrouvrit la totalité de son intimité, chaude et accueillante. Il y reste un moment, voulant savourer cet instant de "délivrance" avant de commencer des vas et viens longs et profonds, cherchant toujours a aller plus loin en elle, comme pour mieux la decouvrir. Il commence alors a accélérer, a mesure que son sexe s'habitue a ce nouvel environnement, ses mains ne restant pas sans rien faire, l'une d'entre elle se posant sur l'un de ses seins, qu'il masse, pince, griffe, l'autre restant sur sa hanche, pour mieux completer les mouvements de brusques pénétrations qu'il impose desormais à Alana. Les coups sont violents, les caresses plus douces, contraste saisissant de l'évolution du seigneur de guerre par rapport aux plaisirs... Mais il ne s'arréte pas la, resortant doucement son chibre, il tourne a nouveau Alana, pour s'y plaquer contre elle, ses lévres prenant possession de celles de la pretresse, dans un long baiser sulfureux, qui aurait fait rougir ses propres servantes.

Ainsi plaqué, il reprit son membre en main, pour a nouveau la pénétrer, levant une des cuisses de la jeune femme, l'enroulant autour de sa hanche, la tenant à bout de bras, tandis que ses hanches donnent les mouvements d'aller et venue au plus profond de l'intimité d'Alana. Le souffle court, le dieu soupir a chaque entrée, ses yeux toujours plongés sur le visage de son amante, tant il la trouve sublime en plein ebats...
«L’art de la guerre, c’est de soumettre l’ennemi sans combat.»

Ares 's Théme



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