Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Trop de signes, trop de mots. [Pv: Franz Nielsen]

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Franz Nielsen

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Re : Trop de signes, trop de mots. [Pv: Franz Nielsen]

Réponse 15 mercredi 07 juillet 2010, 12:07:51

Je regarde la langue d’Adelheid passer sur la glace, et je ne sais pas si c’est la chaleur ou bien ce qu'elle est entrain de faire, qui me aussi chaud. Je peux apercevoir de temps à autre son piercing, venir laisser une trace un peu plus profonde sur la boule de vanille. Et ce qui rend cela d’autant plus excitant, est le fait qu’elle mange sa glace en toute innocence. Apparemment elle vient de remarquer que quelque chose n’allait pas et elle me le demande.

Oh c’est rien… J’ai juste un peu chaud…

Elle est vraiment superbe, je nous imagine déjà ensemble, qu’on se marrie, qu’on achète notre maison, qu’on fonde notre famille, ce sera magnifique ! Pour une fois toutes les autres n’ont plus d’importance, j’ai trouvé la femme dont je rêvais.
Alors que je mange moi aussi ma glace, un peu de ce sorbet vanille/fraise, vient se perdre au coin de mes lèvres et un peu sur ma joue gauche, ne l’ayant pas vue, je suis surpris d’entendre un petit rire de Frig alors qu’elle me regarde.

Qu’est ce que j’ai ?

Elle se met à rire de plus belle, et j’incline un peu la tête, en me demandant si elle n’est pas devenu folle.

Adelheid Friedrich

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Re : Trop de signes, trop de mots. [Pv: Franz Nielsen]

Réponse 16 vendredi 09 juillet 2010, 01:35:18

   Bien évidemment, Frig ne pouvait savoir ce qui se passait dans les pensées de Franz, et à tout moment elle pouvait le blesser sans s'en rendre vraiment compte. C'était ça, le plus dangereux. Ils se considéraient comme amis, donc la jeune femme n'hésitera pas à parler de sujets un peu plus intimes, qui pourraient devenir bien vite des sujets qui fâchent, si l'on veut faire dans l'euphémisme...

   Adelheid se retourna vers son compère avant de laisser échapper un rire tout à fait innocent d'entre ses lèvres. Il ne semblait pas vraiment comprendre ce qui se passait.


- Rien, voyons!

   Plaisanta-t-elle avant d'essuyer la glace de son index et porter son doigt à sa bouche. Toujours toute sourire, Frig se retourna de nouveau vers le jeune homme.

- Tu vois, ça n'était rien.

   Le vent continuait de caresser leur peau de son souffle rafraichissant par cette magnifique journée d'été. Le vacarme de la ville paraissait bien loin de cette scène, laissant leurs oreilles en paix. Le cadre était tout à fait utopique, si l'on peut dire. Tout allait bien, tout était calme. La norvégienne réfléchit quelques instants à une question qui pourrait leur apprendre à se connaître un peu plus l'un l'autre.

- Quand tu auras fini tes examens... que comptes-tu faire...?

   Demanda la jeune femme toujours aussi innocemment. Puis c'était son droit de demander son genre de détail, ils n'avaient pas réviser pour rien.
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Franz Nielsen

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Re : Trop de signes, trop de mots. [Pv: Franz Nielsen]

Réponse 17 vendredi 09 juillet 2010, 09:34:06

Le rouge me monte légèrement aux joues en voyant Adelheid passer son index sur ma joue, pour essuyer la glace que j’y avais malencontreusement égaré, puis elle ramène son doigt dans sa bouche. Elle sourit en me disant que c’était rien, et quel sourire, il me fait chavirer.
Ensuite elle me demande ce que je compte faire après mes examens. Question difficile, je n’étais jamais resté assez longtemps sous une forme pour penser à un quelconque avenir. Mais quand j’étais enfant j’avais des rêves également, et depuis que Frig est avec moi, peut être qu’ils ne le seront plus, et que je pourrais les réaliser.

Eh bien… J’ai toujours voulu être avocat, donc j’espère intégrer une école de droit.


Je souris légèrement, en finissant ma glace, puis je retourne la question à la jeune femme.

Et toi ?

Je sais très bien qu’elle m’a dit qu’elle devait repartir en Norvège, mais je suis certains que bientôt elle m’aimera tellement qu’elle ne pourra plus partir ! Après avoir écouté sa réponse, j’enchaîne avec une autre question pour en savoir un peu plus sur ma future femme.

Dis-moi, tu pratiques un sport ?

Adelheid Friedrich

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Re : Trop de signes, trop de mots. [Pv: Franz Nielsen]

Réponse 18 jeudi 15 juillet 2010, 21:42:07

   C'est toujours une colle pour les étudiants de savoir ce que l'on veut faire plus tard. La plupart se contentent de rejoindre une fac qui correspond à leurs aptitudes en négligeant les diverses opportunités qui s'offraient à eux. De plus, une bonne partie des étudiants allaient s'octroyer une petite année sympathique, à tout les coups. Quel gâchis... Pour réussir dans la vie, il faut un minimum d'ambition et de projets, bien qu'il existe toujours des exceptions à tout. Du moins, c'était ce que pensait Frig qui même avec un un brin de bon sens n'était pas capable de suivre les principes qu'elle se fixait.

- Je ne sais pas vraiment... J'espère juste que mes parents me laisseront retourner en Norvège en début d'année scolaire si possible, sinon j'y retournerais quand ils n'auront plus aucun droit sur moi... Je pense continuer mes études afin de parfaire ma maîtrise du vieux norrois pour faire... je ne sais pas trop... Travailler dans un musée, ou alors travailler comme traductrice de textes anciens, ça reste à voir, du moment que ça reste dans le domaine nordique... Au pire, j'irais au conservatoire de musique d'Oslo, qui sait, un jour je deviendrais peut-être une artiste reconnue !

   Adelheid ria de bon cœur. C'était une possibilité qu'elle avait déjà envisagé il y a quelques temps, mais elle savait très bien que cela ne la mènerait guère loin. Après tout, il n'est pas interdit de rêver.

   De suite, Franz vint lui parler de ses habitudes sportives. En toute scandinave qui se respecte, bien sûr qu'elle faisait du sport, et pas qu'un peu. Le sport était une activité qui, quand pratiquée en groupe, faisait ressortir un trait de caractère inexistant en temps normal chez la norvégienne : la compétitivité, voir la violence. Malgré sa taille et son poids peu imposant, elle restait néanmoins un adversaire redoutable dans la plupart des sports collectifs. Mais bon, il faut la voire pour y croire...


- Je cours beaucoup, tous les matins et les soirs, si j'ai le temps. C'est un peu devenu comme une drogue, puis ça détend... Sinon je fait de la danse classique, depuis mes six ans.

   Comme les apparences le laissaient supposer, Adelheid était une personne qui entretenait son corps. Or c'est surtout pour se défouler de ses émotions qu'elle recourrait à ce genre d'activité.

- Puis-je te renvoyer la question ?

   Demanda-t-elle, étirant une nouvelle fois ses lèvres en son plus beau sourire.
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Franz Nielsen

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Re : Trop de signes, trop de mots. [Pv: Franz Nielsen]

Réponse 19 samedi 17 juillet 2010, 12:10:17

Apparemment, Adelheid voit son avenir en Norvège, mais elle va vite se rendre compte qu’elle ne peut pas me quitter, et restera ici avec moi ! On formera un superbe couple.
Même si ça se voit rien qu’à la regarder, elle me dit qu’elle fait beaucoup de sport, qu’elle courre beaucoup et fait de la danse, ce qui peut expliquer la fermeté de ses courbes. Elle me renvois la question, je souris légèrement, même si ces derniers mois mon sport principal à été le sexe.

Je fais beaucoup de natation, j’essaye d’en faire tous les deux jours, et sinon j’essaye de courir au moins une fois par semaine.


Je plonge une nouvelle fois mon regard dans le sien, alors que nous nous redressons du banc pour reprendre notre promenade.

Si tu veux… On pourra faire du sport ensemble si ça te tente ?

Tous les moments passés en plus avec elle, seront les bienvenus, jusqu’à ce qu’elle se rende compte qu’elle est tombée amoureuse de moi, et que nous sommes fait pour vivre ensemble.

Adelheid Friedrich

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Re : Trop de signes, trop de mots. [Pv: Franz Nielsen]

Réponse 20 samedi 17 juillet 2010, 18:58:49

   Lorsque Franz commença à se redresser, Adelheid compris qu'ils étaient sur le point de se lever pour continuer leur route ainsi elle fit de même. Il lui proposa si à l'avenir ils pourraient faire du sport ensemble, toujours sans sous-entendus bien sûr.

- Oui, pourquoi pas ! Ça pourrait être sympa...

   Répondit-elle le sourire aux lèvres. Ils continuèrent leur marche dans ce parc qui paraissait si loin de l'urbaine pollution. Frig repensa à ce que son ami lui avait raconté, sur ses habitudes sportives, et c'est à ce moment qu'elle ne put s'empêcher de jeter un coup d'œil à son compagnon pour essayer de deviner comment se présentaient ses abdominaux sous sa chemise. La jeune femme secoua la tête tout en s'empourprant. Elle ne devait pas penser à ça, c'était totalement déplacé...

- Dis moi... Tu as une copine ? Enfin... Je demande ça... C'est juste pour savoir !

   Ça lui est sortit tout seul de la bouche. Après tout, elle avait bien le droit de savoir... Mais s'il s'imaginait des choses après ? Adelheid était en conflit intérieur. Rougissant de honte, elle avait peur de cette simple question qu'elle venait de lui poser. Ce n'est qu'une question... comme une autre. Tout à fait. Puis généralement on appréhende beaucoup trop pour rien. Elle se réconfortait en vain... Après tout, un bel homme comme lui ne pouvait qu'être en couple avec une magnifique femme, sinon ça serait une grande perte pour la gente masculine...
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Franz Nielsen

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Re : Trop de signes, trop de mots. [Pv: Franz Nielsen]

Réponse 21 samedi 17 juillet 2010, 19:56:57

Je souris alors qu’elle accepte ma proposition de faire du sport avec elle, c’est maintenant certains qu’elle veut elle aussi passer plus de temps avec moi, et qu’elle est intéressée par moi ! Je vois bien comment elle me regarde, elle fixe mes abdos et mes muscles qui se dessinent à travers ma chemise, nul doute qu’elle est attirée par moi.

Pour confirmer tout cela, elle me demande avec le rouge aux joues, si j’ai une copine, ce qui veut dire qu’elle voudrait le devenir ! Je lui souris, et fais non de la tête.


Nan je n’ai pas de petite amie… Et toi ?


Je lui renvoie sa question, même si je connais déjà la réponse ! Comment pourrait-elle avoir un petit copain, alors qu’elle se comporte depuis le début comme si elle voulait être ma petite amie ! Ma main se rapproche déjà un peu de la sienne, j’attends sa réponse pour lui saisir, et ainsi lui montrer clairement que je ressens la même chose pour elle, et que je veux qu’on soit plus que des amis.

Adelheid Friedrich

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Re : Trop de signes, trop de mots. [Pv: Franz Nielsen]

Réponse 22 samedi 17 juillet 2010, 20:31:45

   Contrairement à ce qu'elle pensait, Franz n'avait pas de petite amie, ce qui l'étonna. Comme elle s'en doutait, il lui posa la même question. Frig se passa une main dans les cheveux tout en énonçant sa réponse.

- Eh bien... Oui, j'ai un petit ami...

   Étrangement elle se sentait désolée pour son camarade, c'est pourquoi elle rougit de plus belle lorsqu'elle jeta un coup d'œil à la main de Franz qui se rapprochait dangereusement de la sienne. Était-ce volontaire ou non ? Maintenant la norvégienne se faisait des films dans sa tête. Son cœur battait fort. C'était stupide, elle le savait, mais elle s'inquiétait de sa réaction. Il est généralement difficile de savoir si une personne nous désire ou non, dans la vie de tous les jours. Il est aussi difficile de savoir si quand on se fait un ami, est-ce que lui nous voyait dès le départ comme amie ou comme cible. Les manières de son camarade étaient elles préméditées ? Voulait-il qu'elle tombe éperdument amoureuse de lui ? Peut-être. Et c'était peut-être pour ça qu'il se montrait anormalement gentil avec elle... Mais Frig se consolait en s'efforçant de se dire qu'il n'y a point besoin de sentiments amoureux pour être aimable avec une personne.

   Adelheid lui souriait. D'un sourire innocent et sans grande signification. Elle ne savait juste pas quoi ajouter, sans avoir l'air malpolie. Malgré tout elle appréhendait mais elle le cachait habilement.
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Franz Nielsen

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Re : Trop de signes, trop de mots. [Pv: Franz Nielsen]

Réponse 23 dimanche 18 juillet 2010, 01:54:52

Je faillis exploser en entendant ces mots, mon regard se fige, mais j’arrive tout juste à me contrôler. Elle s’est fichue de moi depuis le début ?!!! Moi qui pensais avoir trouvé un être humain, qui mérite enfin qu’on s’intéresse à lui. Mais enfait, elle est comme tous les autres ! Comme ceux qui m’ont humilié toute ma jeunesse ! Comment ai-je pus penser une seule seconde arrêter mes activités, parce que je pensais avoir trouvé le sens du mot amour avec cette femme ? Ce n’était qu’illusion comme d’habitude ! Mais elle va payer, je vais lui faire payer tout ça !

Je prends une longue inspiration pour me contrôler, si je veux que ma vengeance soit totale il faut que je prenne le temps de la planifier. Je la regarde et essaye tant bien que mal d’étirer un sourire sur mes lèvres.

Oh… D’accord. C’est bien, tu dois être heureuse.

Pff… Et ça ne t’empêche pas d’allumer le premier homme venu et de te laisser prendre par ton frère dans une cabine d’essayage ! Je fulmine intérieurement, ma haine pour les humains que je croyais éteinte, vient de se rallumer de plus belle.

Oh… J’ai oublié que j’avais un rendez vous ! Je dois filer ! On se voit plus tard !

Je sors en vitesse du parc, et je rejoins mon appartement, pour trouver la meilleure des façons pour faire payer à cette garce. Et la nuit me porte conseil, vu qu’au petit matin, j’ai mon plan bien en tête. Je vais trouver son petit ami, et je vais l’attirer jusqu'à mon appartement en me faisant passer pour une de ses connaissances.  Une fois à l’intérieur, je n’aurais plus qu’à l’assommer, puis je le ligoterais à une chaise, sur laquelle je placerai un dispositif d’électrocution. Ensuite, j’enverrais un sms depuis son portable à Adelheid, pour lui demander de venir à cette adresse. Et quand elle sera là… J’aurais une télécommande à la main, qui sera lié au dispositif d’électrocution. Donc soit elle fera tout ce que je lui demanderai, soit son petit copain en payera le prix.

____________________________________________________________________

Le soir venu, tout est en place. Plutôt dans la journée j’ai suivit Frig sous une autre apparence et elle m’a mené malgré elle jusqu’à son petit ami. Ils ont l’air très heureux, et je cru sortir de mes gongs quand je l’ai vue l’embrasser. Je n’ai pas eut de problème pour l’attirer à mon appartement en me faisant pour une de ses proches, et une fois à l’intérieur je l’ai assommé, et je l’ai ligoté à une chaise. Et il se trouve que l’un de mes fidèles clients est un électricien chevronné et à pu me modifier une chaise pour qu’elle puisse envoyer des décharge de courant à celui qui s’assit dessus. Qui plus est, il ‘a confectionné une petite télécommande, qui me permet d’envoyer des décharges de plus ou moins grande énergie, et je l'ai accroché à mon poignet droit. Bref, ma vengeance va pouvoir avoir lieu.
Nous sommes installé dans le salon, moi je suis assit sur le canapé, et le petit ami de Frig est à quelques mètres de moi, et à une vue globale sur l’ensemble du salon. D’ailleurs l’homme en question semble revenir à lui.

Petit ami : Hmm… Mais qu’est ce que je fais ici ?... Et qui êtes vous ?!

Je pose mon attention sur lui avec un sourire sadique.

Franz : Moi ? Je suis juste un bon ami de ta petite copine… Et je vais bien m’amuser avec elle.

Petit ami : Quoi ?! Vous n’avez pas intérêt à lui faire de mal ! Si vous touchez à un seul de ses cheveux je !

Franz : Tu quoi ? Ta petite Adelheid va me supplier de la prendre sous tes yeux dans même pas quelques minutes…

Petit ami : Que… Quoi ?! Salop ! Qu’est ce que vous manigancez !?

Il n’a rien le temps d’ajouter, que le bruit de la porte se fait entendre. Adelheid arrive dans le salon, avec un sourire innocent, qui se brise à la vue de son petit ami ligoté.

Petit ami : Frig nan ! Vas-t’en vite ! C’est ARGHHH !!!

Je viens d’appuyer sur le bouton, pour lui envoyer juste une petite décharge électrique, mais qui est déjà très douloureuse pour le corps humain. Je fixe Adelheid avec un regard sadique, qui ne dois pas comprendre ce qui se passe, comment la personne si gentille qu’elle avait connu pouvait faire une telle chose, et surtout, pourquoi ?

Franz : Ecoutes moi bien Adelheid… Ca ce n’était qu’une petite décharge. Si tu ne fais pas tout ce que je te dis. Ton petit ami mourra. C’est bien compris.

Mon regard, le ton que j’emploi, et surtout la démonstration que je viens de lui faire, ne peuvent que prouver à Frig qu’elle n’a pas le droit à l’erreur.

Franz : Maintenant viens au milieu du salon, et déshabilles toi lentement pour moi.

Ma vengeance était en marche.

Adelheid Friedrich

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Re : Trop de signes, trop de mots. [Pv: Franz Nielsen]

Réponse 24 dimanche 18 juillet 2010, 21:15:54

   Ce sourire était forcé, Frig s'en doutait. Hélas, elle n'y pouvait pas grand chose, cela fait partie de la vie. Franz s'en alla, comme elle le supposa. Reviendrait-il la voir pour une quelconque occasion ? Peut-être, peut-être pas... Reste à voir. Ainsi elle rentra chez elle et passa une soirée paisible comme toutes les autres, entre un peu d'alcool et d'opium.

   La journée suivante, une journée libre, passa elle aussi, toute aussi accompagnée que la précédente mais pas de la même manière. Après cette journée toute à fait banale et paisible, les deux amoureux se quittèrent sans s'attendre à ce qui allait se produire cette même soirée.

   Adelheid était rentrée chez elle, un peu fatiguée de son après-midi pourtant paisible. Elle sortit une bouteille d'absinthe du meuble en bois de son salon puis une bouteille d'eau du réfrigérateur. Elle pratiqua le même rituel que chaque soir : une fois qu'elle eut versée une petite quantité du spiritueux à couleur verte, elle prenait le flacon de sa teinture d'opium pour en laisser couler quelques gouttes sur le morceau de sucre posé sur la cuillère tenant en équilibre sur le verre jaugé. Frig versa l'eau très délicatement avant de finir par faire fondre le sucre imbibé de sa drogue favorite dans le verre de cet alcool à l'anis. Délicatement elle but ce verre, puis un second et enfin un dernier. L'effet de l'opium l'avait légèrement assommée, mais toujours en toute gentillesse, façon de parler. Elle s'alluma une cigarette, histoire de ne pas faire les choses à moitié. Allongée sur son canapé, la norvégienne voguait dans ses pensées, jusqu'à ce qu'un bourdonnement atteint ses oreilles. Le portable qui se trouvait sur la table basse venait juste de vibrer annonçant la réception d'un message. La jeune femme l'attrapa d'une main engourdie, sa cigarette dans la main gauche puis y jeta un coup d'œil. Tiens donc ! Elle se leva, laissant son portable sur la table, pour sortir de chez elle et se diriger vers l'appartement de Franz.

   La jeune femme portait une jupe semblable à celle d'un tailleur, légèrement plus courte, ainsi qu'une chemise cintrée à manche courte. En dessous de cette chemise on pouvait voir la former d'un corset court lui arrivant au dessus du nombril et comprimant sa poitrine de manière à la faire ressortir d'une certaine manière. Avec tout ça, une paire de bas accompagnait le tout, retenu par les porte-jarretelle de son shorty. Le froid du soir ne lui faisait pas peur, et seul le bruit des talons de ses bottines résonnaient dans les rues sombres. Frig remonta ses lunettes de son index puis se dirigea vers l'appartement en question. Une fois devant le bâtiment elle jeta le mégot à terre puis l'écrasa afin d'éteindre la flamme. Cela la réjouissait, finalement son nouvel ami n'était pas si rancunier que ça. C'était à ça que pensait la norvégienne en montant les escaliers. Elle arriva devant la porte de l'appartement de Franz puis elle fit comme indiquer dans le message, elle entra sans frapper.

   Dans sa tête, elle perçut ça comme une mauvaise blague. Mais la réalité la frappas de plein fouet à une vitesse impressionnante. Adelheid regarda les deux hommes dans la pièce, l'un à un. Les cris de souffrance de son bien-aimé lui déchirait le cœur, mais ce qui la chagrina le plus était de voir que c'était Franz qui était aux commandes de ces viles manigances. Elle avait peur. Vraiment peur. Ce n'était point un cauchemar, non non, c'était bien la vie réelle qui était sous ses yeux. Tremblante, elle avança de quelques petits pas, avant que son ancien ami lui demande ô combien gentiment de se déshabiller devant lui. À cet instant, elle hésita. Frig ne voulait pas faire souffrir quiconque à cause d'elle. La situation ne laissait pas beaucoup de choix de solutions. Quelqu'un devrait se sacrifier ce soir, ce soir qui finira mal, très mal. Si elle obéissait à Franz, certes elle allait flâter son égo en se soumettant à ses ordres, mais elle perdrait l'amour d'une personne chère. Cependant, si elle n'obéissait pas, il souffrirait à en mourir. À ses yeux, c'était pire. Elle jeta un coup d'œil tantôt à l'ingénieux mécanisme et tantôt à son ravisseur. Ses moments de réflexions lui parurent interminable, mais elle céda sous le poids de cette tension abominablement lourde... Lentement, elle s'approcha de Franz.


- Je suis désolée...

   Prononça-t-elle tout bas sans jeter un regard à cette personne assise sur cette chaise. Maintenant, Adelheid allait faire quelque chose qu'elle n'appréciait pas vraiment faire : mettre son honneur de côté. Dès maintenant, elle n'agirait que pour que la situation se règle dans le « meilleur » des cas, malgré le prix qu'elle devra en payer. C'était honteux. Franz est un monstre. CQFD. Et le pire, c'est que c'était de sa faute à elle... Ô stupide et naïve jeune fille que tu es !

   Frig s'exécuta. Dans un premier temps elle enleva ses bottines quelle jeta dans un coin de la pièce d'un geste rageur du pied. Ses mains tremblantes se dirigèrent vers les boutons de son chemisier qu'elle défit un à un avec une atroce lenteur involontaire. Plus les boutons s'en allaient un par un, plus on pouvait avoir une vue des plus directes sur son décolleté, puis sur son corset noir contrastant avec son abominable pâleur et mettant en valeur sa poitrine de manière assez provocante. Elle aussi était un monstre, ce soir. Céder à la luxure pour accéder à l'amour. N'est-ce pas un peu contradictoire ?

   Sa chemise tomba au sol. Ensuite, elle s'attaqua à sa jupe en passant ses pouces à l'intérieur de celle-ci pour pouvoir la faire glisser le long de ses jambes dans un léger bruissement de tissu. Adelheid rougit de honte lorsqu'elle imaginait le regard de Franz s'attardant ses jambes magnifiquement proportionnées ainsi que sur ses sous-vêtements pour le moins aguichant. En temps normal cela ne l'aurait pas gêné mais les circonstances changeaient tout. Maintenant en sous-vêtement, elle se sentait presque à nue devant ce monstre qu'elle pensait aimer comme ami et réciproquement.

   La norvégienne redressa ses lunettes d'un coup de son index droit avant de croiser les bras, le regard rivé sur le sol.


- Alors, content ?

   Demanda-t-elle d'une même voix tremblante. Bien sûr, elle se doutait que cela ne satisferait pas Franz, mais autant retardé comme on peut ce mauvais moment qui n'allait pas tarder à arriver.
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Franz Nielsen

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Re : Trop de signes, trop de mots. [Pv: Franz Nielsen]

Réponse 25 dimanche 18 juillet 2010, 23:37:30

Depuis la dernière fois à la cabine d’essayage, je ne pense plus qu’à ça… Revoir ces formes généreuses se dévoiler. Et c’est encore plus excitant en ce moment, parce que son petit ami la voit directement lui être infidèle. Peut être qu’elle lui sauvera la vie, mais elle perdra son amour.

Mon membre gonfle d’envie au fur et à mesure que les vêtements d’Adelheid quittent son corps. Ses bottines d’abord, puis les boutons de son chemisier s’effacent un à un, pour mieux dévoiler la naissance de ses seins. Sa chemise tombe au sol, et sa jupe la rejoint peu après, me laissant le loisir d’apprécier la courbe de ses jambes. J’ai hâte d’y poser mes mains, mais il faut faire durer le plaisir pour mieux l’apprécier.

Elle est maintenant en sous vêtements devant moi, et elle me demande si je suis content. Oh que oui je le suis, mais je ne suis loin d’être satisfait de cela. Par contre son petit ami, semble désespéré, la femme qu’il aime est entrain de se dévoiler à un autre homme, devant ses propres yeux.

Petit ami : Frig non ! Ne fais pas ça je t’en supplie ! Je ne veux pas voir ça ! Vas-t’en ! Je t’aime ! ARHHHG

Je viens d’envoyer une nouvelle décharge à cet homme, pour que les choses soient bien en place. Si Adelheid refusent de m’obéir, il brulera sous les décharges électriques au bout de quelques secondes.

Franz : Oh mais Adelheid n’a pas envie de partir… Elle a très envie de retirer ses sous vêtements, avec un beau sourire… Pas vrai ?

Je la regarde avec un sourire sadique, et à la moindre expression de dégout, ou un simple geste de recul, j’enverrais une nouvelle décharge à son petit ami. D’ailleurs je repose mon attention sur ce dernier, parce que pour que ma vengeance soit totale, il faut qu’il ne loupe rien de ce qui va se passer. Il ne verra jamais plus Adelheid de la même façon.

Et toi gardes les yeux bien ouvert, parce qu’en plus d’une décharge c’est Adelheid qui en payera le prix.

J’étire à nouveaux mes lèvres, et repose mon regard sur la superbe plastique de la Norvégienne.

Approches toi, que je vois ça de plus près…

Adelheid Friedrich

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Re : Trop de signes, trop de mots. [Pv: Franz Nielsen]

Réponse 26 lundi 19 juillet 2010, 00:34:42

   Qu'est-ce qui est le plus égoïste ? Laisser en vie une personne chère pour la faire souffrir, ou bien l'épargner de cette souffrance en la tuant ? Finalement, quand on y pense, la seconde option est la plus agréable. Mais quand on est jeune, elle est inutile, et il y a encore tellement de choses à voir. Frig se consolait en vain, regrattant chacun de ses gestes. Comme elle voulait lui faire comprendre qu'elle obéissait à Franz contre son gré... Hélas, ça lui était impossible sur le moment mais après tout ça il sera trop tard. Adelheid faisait fi des plaintes de son compagnon. Cela ne ferait qu'aggraver les choses, elle le savait bien. En plus de mettre son honneur de côté, elle fit de même avec ses sentiments. En temps normal, elle ne l'aurait pas fait, mais le mélange de l'alcool et des alcaloïdes opiacés lui fessait agir autrement. Elle n'avait pas vraiment le choix non plus, de toute façon. Juste devenir un monstre, seulement pour une nuit...

   Après les propos déplacés de Franz, la norvégienne se sentit obligée de hocher la tête positivement, les yeux toujours rivés sur le sol. Et lorsqu'il mentionna le fait de la punir à chaque écart de conduite de son petit ami, elle fut prise d'un frisson. Elle payait déjà le prix en s'adonnant à son « ami » et en reniant son amour pour le « sauver » d'une certaine manière, non pas qu'elle était égoïste, mais Adelheid trouvait que cela faisait déjà beaucoup.

   La norvégienne s'approcha de ravisseur d'un pas lent, pas du tout sûre d'elle. Sa démarche restait cependant gracile et délicate malgré la tension qui régnait dans l'air. Lentement ses doigts vinrent dégrafer les agrafes de son corset pour libérer sa poitrine contrainte sous ces baleines de fer. Le sous-vêtement tomba au sol pour rejoindre le même sort que les autres vêtements. Maintenant, les bas. Frig appréhendait vraiment ce moment, mais elle n'eut pas d'autre choix. Elle posa d'abord son pied droit sur le bord du canapé puis retira son premier bas de manière lente et soignée. Elle reproduit le même geste avec son autre bas toujours sans accordé un regard aux deux hommes de la pièce. La jeune femme se déplaça pour se mettre face à Franz et c'est avec dégoût, dégoût qu'elle cacha derrière un petit sourire forcé, elle laissa glisser son shorty le long de ses jambes d'albâtre. Là elle était vraiment à nue, vulnérable autant physiquement que mentalement. Attendant les nouveaux ordres de son ravisseur, elle croisa les bras. Derrière les verres de ses lunettes ses yeux d'obsidienne de laissait rien transmettre, mais si on regarde de plus près on pouvait voir qu'ils étaient humides. Son corps était à l'identique de ce qui s'était passé dans la cabine d'essayage, sauf un petit détail. Entretemps la jeune femme s'était faite tatouée deux ouïes de violons dans le bas du dos, épousant parfaitement sa taille et ses hanches. Ce n'était qu'un détail, mais Adelheid ne voulait pas que Franz s'en rende compte. Certes ce n'était que pour un but esthétique, cela ne regardait qu'elle.


- V-voilà...

   Annonça-t-elle d'une petite voix timide, le regard sur ses pieds et ses lèvres parfaitement dessinées s'étirant en un mince sourire qui restait cependant hypocrite.
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Re : Trop de signes, trop de mots. [Pv: Franz Nielsen]

Réponse 27 mercredi 28 juillet 2010, 17:03:58

Je mords ma lèvre inférieure pour retenir l’envie que fait naitre chez moi Adelheid, les dernières barrières de tissu quittent son corps, dévoilant sa généreuse poitrine, puis son intimité, au grand désespoir de son petit ami. Elle croise les bras, ce qui fait bomber ses seins, ne les mettant que plus en valeur, puis elle me lance un sourire forcé.

Petit ami : Frig ! Nan ! Ne lui montre pas ! Il n’y a que moi qui puisse te voir ainsi !

Des larmes commençaient à couler le long des joues de cet homme, pfff… Au moins il aura apprit que l’amour n’existe pas ! Je me lève, et commence à marcher autour de la Norvégienne, mon regard impudique et pervers prenant le temps de s’arrêter sur la moindre parcelle de son corps.

Franz : Ah parce que tu penses qu’elle t’aime ?! Mais regardes là, ce qu’elle veut c’est prendre son pied ! Et apparemment tu es loin d’être à la hauteur au lit, c’est un manque je vais combler d’ici peu…

Je suis maintenant derrière Adelheid, et je viens plaquer mon torse contre son dos, puis je pose ma main droite au dessus de ses fesses, sur le tatouage que je viens de découvrir, et qu’elle n’avait pas il y a quelques semaines. Je lèche le lobe de son oreille, et en profite pour murmurer :

Très joli…

Mes mains prennent possession de ses hanches, et descendent sur ses petites fesses, que j’agrippe, et que je commence à malaxer.

Petit ami : Non laissez là !  Frig je t’en supplie ne le laisse pas faire !

Je souris au désespoir de son petit ami, puis tourne un instant la tête vers lui, pour le provoquer d’avantage, et continuer de briser son cœur.

Franz : Elle a vraiment un cul d’enfer…

Je remonte lentement mes mains le long de son corps, pour mieux apprécier sa peau laiteuse, puis je les passe sur son ventre plat, pour le remonter jusqu’à son buste. Je viens soupeser ses seins dans les paumes de mes mains, avant de refermer mes doigts dessus et commencer à les caresser. Je frotte mon bassin contre ses fesses, lui faisant sentir la dureté de la barre qui se trouve à l’intérieur de mon pantalon, ainsi qu’une idée de sa taille. Je redescends doucement ma main droite, jusqu’à son sexe, que je me contente d’effleurer pour le moment, alors que les doigts de mon autre main commencent à jouer avec ses tétons, et que ma langue passe sur son cou.
Après quelques minutes de ce traitement, je pose enfin mes doigts contre sa vulve, et commence à la caresser avec de légers vas et viens, faisant par moment entrer le bout de mes doigts dans son vagin. Je veux qu’elle soit humide, parce que j’ai une petite surprise pour elle quand elle le sera…

Adelheid Friedrich

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Re : Trop de signes, trop de mots. [Pv: Franz Nielsen]

Réponse 28 mercredi 28 juillet 2010, 22:39:35

   C'était vraiment pas de chance. Second rapport forcé du mois. Chouette.

   Ce contact visuel révulsait Adelheid. Certes cela ne la dérangeait pas lorsque l'on se rince l'œil sur ses jambes dans la rue, mais ici, à nue devant cette personne immonde, c'était totalement différent. Le pire était qu'il prenait plaisir à la voir en état de faiblesse... Franz se leva, inspecta la scandinave sous toutes ses coutures. Elle ne profita pour secouer légèrement la tête, faisant tomber quelques mèches de ses cheveux blonds sur son visage pour dissimuler ses traits qui reprenaient une expression angoissée. Étant derrière elle, il ne pouvait voir son visage, du moins pour le moment. Frig tremblait. De peur, de panique, de tristesse. Tout était foutu. Même si elle n'aimait pas penser ce genre de chose, elle devait l'avouer. Tout était vraiment foutu.

   Comme si la simple vue de son corps dénudé ne lui suffisait pas, le polymorphe commença à la toucher (l'attoucher ?). L'étroitesse de cette position lui rappela ce qui s'était passé dans la cabine d'essayage avec son « frère », bien malheureusement. Elle ne s'attendait pas à ce que les choses prennent une tournure similaire à ce petit incident dont elle se souviendrait à jamais dans les moindres détails. D'abord, il s'en prendrait à ses hanches avant de commencer à jouer avec ses fesses, as espected. Le viol en devenait presque une scène standardisée... Ça doit être ennuyeux si tous les violeurs agissent de la sorte. Adelheid respirait doucement. Elle se jurait de ne plus produire le moindre son lorsque cela n'était pas nécessaire. Ses yeux étaient humides. Maintenant qu'ils étaient hors de vue de Franz, elle ne put retenir quelques larmes qui perlèrent sur ses joues empourprées de honte, qu'elle tentait en vain de dissimuler sous ses cheveux. Embarrassée, elle ne bougea point, ne résistant à aucun geste du jeune homme. Le désespoir la forçait à ne plus écouter ni l'un ni l'autre, c'était vraiment trop dur à supporter.

   Maintenant il commença à s'attaquer à sa poitrine. Ce contact chaud lui donna un frisson qui sensibilisa tous les muscles de son corps. La jeune femme leva légèrement la tête ainsi que le regard afin de ne pas voir Franz s'amuser avec tant de perversion avec son corps. La proximité de leur bassin fit comprendre à la norvégienne l'excitation qu'elle procurait à cet immonde personnage... Cela lui donna presque envie de vomir, et encore, ce n'était que le début. Sous le doigté diaboliquement habile de Franz, ses tétons ne pouvaient que se dresser. Trahie par son propre corps, mais où va le monde ? Adelheid déglutit avec difficulté lorsqu'une de ses mains descendait vers son entrejambe. Par réflexe elle était sur le point de serrer les jambes pour lui compliquer l'accès bien que cela soit inutile, mais si elle résistait, ça terminerait mal. Docilement, la belle ne rechigna pas lorsque le polymorphe commença à caresser ses chairs de doux allés et venus. Quand un de ses doigts commença à s'insinuer en elle, Frig se crispa, signe négatif en soi. Mais le pire, ce fut quand Franz s'attaque à son cou. C'est la zone la plus sensible chez la norvégienne, de loin. Au contact de sa langue sur sa gorge, elle se pinça les lèvres, étouffant une longue et chaude expiration. Elle tenta de faire le vide dans sa tête, malgré les sensations que son ravisseur lui provoquait. Roulant légèrement des épaules, la jeune femme aux cheveux blonds voulait faire arrêter ça de manière subtile pour éviter toutes représailles. Mais comme dit plus haut, tout était foutu.

   Et voilà que son corps la trahissait à nouveau, comme il y a quelques semaines de cela, comme il y a quelques minutes. Plus le polymorphe la stimulait, surtout au niveau du cou, plus les mouvements de sa main droite se trouvaient facilités par la cyprine qui commençait à s'écouler d'elle. Tant bien que mal elle se réchauffait, en particulier son bas-ventre qui commençait à devenir bouillant. Il était impossible à Adelheid de nier ce qui se passait en ce moment même. Les yeux levés au plafond, sa vision était légèrement altérée par ses larmes qui ne voulaient plus couler sur son visage. Sa bouche restait sempiternellement close, enfermant ses plaintes, ses insultes, ses excuses et ses gémissements. Quant à sa respiration elle se faisait de plus en plus saccadée et plus forte, parlant pour elle de ce qu'elle ressentait à cet instant. Pour l'instant la situation n'était « qu'humiliante » car Frig savait que ce qui l'attendait était bien pire. Qu'avait-elle fait pour mériter ça ? Elle n'avait rien fait de mal, jamais... Pourquoi faillait-il qu'elle soit à nouveau le bouc émissaire d'un pervers notoire ? Si elle le pouvait, la scandinave se débattrait, hurlerait de tous ses poumons. Elle aurait tout fait pour arrêter cette vicieuse mascarade.
{ T h è m e } - { F i c h e }

Mens vinteren er stille hvit og mens våren er golden sollys
Den gamle vandreren går mens høsten er blodig rød, evig og evig




Franz Nielsen

Créature

Re : Trop de signes, trop de mots. [Pv: Franz Nielsen]

Réponse 29 vendredi 30 juillet 2010, 00:36:00

Quel bonheur de sentir ce superbe corps réagir sous mes attouchements, alors que la personne qui le contrôle est en total opposition avec ce qui est entrain de se passer. Sous mes doigts, ses tétons se dressent de désir, et de son sexe s’écoule de la cyprine. Du coup, j’accentue mes caresses, deux de mes doigts allant et venant plus profondément dans son vagin, pour y caresser ses parois internes. Mes lèvres continuent de parcourir son cou, accompagné de ma langue qui danse sur cette peau douce et laiteuse.
Après quelques minutes sous ces caresses plus intenses, je m’écarte et je regarde à nouveau le petit ami de Frig. Je porte mes doigts enduits de cyprine à ma bouche, et je les lèche devant lui.

Franz : Eh bien je crois qu’Adelheid adore ça… C’est une vraie petite coquine.

Petit ami : Frig… Nan… Tu aimes ce qu’il te fait ? Je pensais que tu m’aimais !

Je ricane, et je viens déposer une claque sur la fesse droite de la Norvégienne, qui du blanc pâle, se teint de rouge.

Franz : J’ai un petit cadeau pour toi…

Je sors de ma poche un god d’une bonne t’aille, accompagné de sa petit télécommande, permettant d’inculquer 3 vitesse de mouvement à ce sextoy. Adelheid étant dos à moi, elle ne peut pas voir le « cadeau » que je m’apprête à lui faire. Je pose l’extrémité de se jouet sur sa vulve humide, et je l’y frotte, avant de le faire rentrer entièrement en elle.

Je t’interdis de le retirer…

J’appui sur la télécommande, et le god commence à bouger à la vitesse minimum, stimulant toutes ses parois a un rythme régulier. Je repasse devant la Norvégienne, et prend son visage entre mes mains pour lui voler un baiser. Puis je m’écarte, et retourne m’asseoir sur le fauteuil, reposant mon regard pervers sur elle.

Allez… Approches et montres à ton petit ami comme tu as faim de ce que j’ai là-dessous.

Je termine ma phrase en lui indiquant la bosse visible sur mon pantalon, si elle prend trop son temps, ou qu’elle fait un mouvement de recul, je suis prêt à envoyer une décharge à son cher et tendre…

Petit ami : Frig nan ! Ne fais pas ça !

Y a-t-il plus cruelle torture psychologique, que d’être forcé de regarder sa petite amie avoir un rapport sexuel avec un autre, si ce n’est d’être celle qui est obligé de le faire sans rechigner pour sauver la personne qu’on aime.


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