Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Émilia Phillips

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31
Se faire tirer dans les couloirs était franchement douloureux quand ce n,est pas par le bras qu'on se fait tirer mais par les cheveux. Pour éviter d'en rajouter à sa souffrance, Émilia suivit la demoiselle en gémissant de douleur, faisant comme si elle ne comprenait pas ce qui arrivait. Il n'était pas rare qu'elle se fasse agresser après une crise de colère, mais de là à la trainer de force dans les couloirs d'un poste de police, on pourrait presque croire qu'elle allait se faire torturer par la policière. Elle se sentit alors poussée dans les toilettes pour femmes, tombant sur le sol. L'agente ficha les autres femmes à la porte et la condamna avec les serrures. Elle tenta de la menacer, mais elle avait terriblement chaud, ca se voyait à l'œil nu qu'elle était vraiment allumée. La jeune femme fut presque étonnée de la taille de la belle poitrine de sa probable prochaine partenaire.

Il n'en fallut guère plus que le sexe et les mamelons pointant de la demoiselle pour faire réagir la belle professeur. Fascinée et excitée par le désir ardent et perceptible de la jeune femme, elle s'approcha d'elle en faisant rouler sensuellement ses hanches, retirant à son tour sa veste et son débardeur, souriant avec un désir. Sans même qu'elle les eut léchées, ses lèvres s'humidifièrent, devenant miroitantes sur son rouge à lèvres. Tout comme sa victime, elle avait beaucoup de mal à se contenir. Tout doucement, elle saisit dans sa main le sein droit de la demoiselle, bécotant l'autre avec tendresse. Oh, cette poitrine était souple et très invitante aux massage. Elle glissa alors tout doucement une main sur le beau fessier de l'agente et le pétrit également. Tout doucement, elle détacha son propre soutien-gorge, dévoilant une poitrine sublime et magnifique. Le visage de la professeur, rougissant, lui donnait un air de vierge en chaleur, de la manière dont elle avait reculé contre le mur.

(Désolé, très court encore ><)

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Dix ans... en prison. Juste cela, ce n'était pas l'idéal du futur que s'était fait la jeune femme, mais le fait qu'elle ne pourra plus jamais pratiquer sa profession, le travail qu'elle adorait par-dessus tout. Elle n'en revenait pas. Elle n'entendait plus rien, ses oreilles bloquaient tout bruit extérieur, ses jambes défaillir et elle tomba à genoux sur le sol. Sa queue échappa alors à sa petite culotte. C'était sa nature de chercher le sexe là où elle pourrait en trouver. Elle n'arrivait même plus à bouger tellement elle était sous le choc. Elle tremblait de partout, cherchant un moyen de se sortir du piège tendu. Cette femme était très dure et Émilia était intelligente, elle ne s'en sortirait pas aussi facilement qu'avec Melanie. Elle se ressaisit cependant, malgré qu'elle ne retenait plus ses larmes. Elle maudissait son père, en ce moment fatidique où elle jouait le reste de sa vie. Si elle ne pouvait plus être enseignante, elle n'avait plus aucun autre but. Elle agrippa les photos sur la table, s'étant redressée, et dévisagea ses traîtres sur les images. Ses poings se refermèrent. Elle qui avait été si agréable avec eux, on sait maintenant tout ce qu'ils sont prêts à faire pour un peu d'argent.

- "N'y a-t-il rien que je puisses faire pour me sortir d'un tel mauvais pas...?" Se demanda-t-elle à voix haute, contenant à peine le flux de larmes qui s'échappait de ses yeux.

Elle ne voulait pas perdre son travail, et elle se promettait de ne plus jamais faire confiance aux jeunes. Neuf fois. Tout ça parce qu'ils ont vendue la mèche aux flics. Elle savait qu'elle allait payer, cette fois, par leur faute. Mais la colère de la semi-succube laissa échapper de puissantes odeurs à effet d'aphrodisiaques dans toute la pièce. Après tout, les succubes étaient des créatures représentant le vice, la luxure et le désir de hommes, tous leurs fantasmes satanisés par l'Église. Émilia arrivait à peine à cacher ses ailes à la belle demoiselle tellement elle était en rage. Puis, ses sens l'avertirent de la présence d'une entité démoniaque... venant de la jeune femme. Un large sourire étira les lèvres de la professeur qui se tourna alors vers cette femme aux seins plus volumineux que les siens. Une possédée? Ou une maudite, peut-être. Peu lui importait. Elle offrit une superbe vue sur son décolleté alors qu'elle se penchait sur son oreille.

- "Ne serait-il pas gênant pour vous que je dévoiles votre secret à vos collègues en marchant?" Dit-elle en trouvant la manifestation physique de la main gauche.

(Désolé, c'est plutôt court. J'ai honte T_T)

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Les alentours de la ville / C'est pas moi, madame l'agente! (PV: Mme Hayley Stevens)
« le: mercredi 16 décembre 2009, 02:15:40 »
-Mais je vous dit que je n'ai rien fait du tout! Protesta la jeune enseignante, les larmes aux yeux.

Voilà où se trouvait le professeur Phillips; enfermée dans un poste de police, dans une salle d'interrogatoire sans la fenêtre à vitre fumée que l'on voit dans les mauvais films américains. Apparemment, un de ses élèves avait été rapporté le fait d'avoir couché avec la belle demoiselle ou s'en est vanté auprès de certains hommes qui, n'ayant pas eu cette chance, se sont révoltés et ont porté plainte contre elle en mettant sur le planché les chefs d'accusation de relations sexuelles avec des mineurs (bien que mature sexuellement parlant) et attentats à la pudeur. Si cela n'était pas un crime, la professeur aurait mit sur le tapis que si c'était ses élèves qui lui sautaient dessus, pourquoi elle devrait s'empêcher de s'accorder du bon temps et surtout pourquoi devrait-elle payer pour des jeunes en manque de sexe qui n'arrivaient pas à se contrôler lorsqu'ils voyaient un corps de rêve? Bon, il était vrai qu'elle avait peut-être exagéré en se tapant la plupart de ses élèves de classe et n'avait pas vraiment misé sur la discrétion de ceux-ci, mais bon, maintenant, elle était vraiment dans la merde et elle tenait vraiment à s'en sortir... surtout qu'elle voulait aller au petit coin au plus vite et qu'elle ne se retiendra pas très longtemps.

Son interrogateur ou plutôt son interrogatrice était une belle jeune femme qui avait à peu près son âge, aux cheveux courts de la même couleur que les miens avec une corps aux formes aussi avantageuses que les miennes. En d'autres circonstances, je me dis que je l'aurais peut-être même draguée. Après tout, elle était vraiment superbe, mais les policières étaient vraiment désagréables en interrogatoire. Elle l'avait déjà questionnée sur la présence de ses fluides sur la verge d'un jeune homme et dans leur bouche, elle s'est défendue en disant qu'elle dormait parfois au travail et que n'importe qui pouvait lui soutirer un échantillon pendant son sommeil pour s'en enduire et la faire culpabiliser. Après tout, les cas de plaintes pour harcèlement et relations sexuelles prof-élèves n'étaient pas rares, même très fréquentes. En fait, c'était la neuvième fois qu'Émilia passait au poste de police et elle connaissait presque tout le monde par leur petit nom. La dernière policière à l'avoir interrogée l'avait même ramenée chez elle pour une belle petite nuit.

Elle releva alors la tête vers la femme, essuyant ses propres larmes avec ses paumes de mains. Elle était probablement une des meilleurs actrices de Seikusu et réussissait souvent à se tirer de cette sorte de chose. La seule manière de la faire abandonner ses mensonges parfaits, c'était probablement en la faisant hurler de plaisir, mais ca, personne ne le saura jamais (sauf vous, précieux lecteurs).

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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 15 décembre 2009, 21:27:08 »
*S'est emmitouflée dans trois couvertures queen size et a dormi dans la position fœtus, la nuit passée*

Faisait froid X)

Je voulais signaler que (désolée pour les rplayeurs et rplayeuses qui jouaient avec moi) je laisses tomber mes anciens rp. Je n'ai pas le coeur à les reprendre et je n'ai pas envie de décevoir mes partenaires avec des reps minables.

15h27

35
Le coin du chalant / Re : "911 j'ecoute?"
« le: mardi 15 décembre 2009, 13:33:22 »
Je m'en occuperai bientôt  :D

Ce soir ><

36
Le coin du chalant / Re : "911 j'ecoute?"
« le: mardi 15 décembre 2009, 13:30:32 »
Un interrogatoire concernant des cours particulièrement bizarres avec des élèves pourrait être intéressant, qui sait ^^

Ou alors, Madame fait une présentation en cours et reste après celui-ci pour "discuter" avec l'enseignante.

Ou encore, autre chose =D

*veut le collier de madame *w* *

37
Le coin du chalant / Re : Partie à trois ou plus?
« le: vendredi 13 novembre 2009, 01:04:26 »
Je m'excuse à tous mes partenaires pour mon temps de rep, mais je suis plutôt fatiguée et en panne d'inspiration. Une dispute familiale, ca ruine rapidement l'inspiration...

38
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 08 novembre 2009, 18:54:50 »
NAON! ><

12h55

39
Il semblait bien que mon devoir les avait laissé bouche bée, ce qui fit naître un sourire sur mes lèvres maquillées d'un rouge. J'examinai alors "Vénus" qui avait rempli déjà cinq pages, ce qui me laissa un moment perplexe. Quand je l'ai vue les froissée, j'ai cru qu'elle avait gribouillé sur les feuilles, alors, je posai mon regard sur mon élève le plus incompétent question biologie. Son air déconfit fit naître un sourire davantage amusé. Il était vraiment craquant avec cet air empli d'incompréhension. Pour ce qui est du petit dernier, son air indifférent m'attira l'envie de lui mettre une autre colle, mais particulière, cette fois, pour qu'il prenne le goût de se mettre au travail.

Je ne m'étais pas du tout attendue à ce que le jeune homme aux cheveux noirs se lève pour venir se placer à coté de moi, déposant le travail devant moi. Il était presque sur moi, je sentais son torse légèrement appuyé sur mon épaule et son souffle sur mon oreille me fit frissonner. Le problème, quand on est aussi en rut que moi, c'est qu'un rien nous excite. Volontairement ou non, je serrai les cuisses l'une contre l'autre, comme craignant que l'humidité qui s'y formait depuis le matin pouvait être repéré par ce jeune homme au regard perçant. Prenant une légère inspiration qui pouvait trahir mon manque de sexe, je me penchai sur le travail de l'inconnu. Avec des yeux rayons-X, il remarquerait certainement les effets que l'excitation avait sur ma poitrine, dont les extrémités devenaient toutes dures. Essayant de voiler tout ça, je me mis à lui expliquer son devoir, surtout sur le corps humain pour commencer. Mon esprit, lui, vagabondait sur le corps de mon étudiant, se posant des questions déplacées, imaginant des trucs qui torturaient mes hormones. Lorsque j'eus fini, je le regardai avec une pointe d'envie et de désir.

-Tu as compris?

40
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: jeudi 05 novembre 2009, 01:23:25 »
*Fait une bise à Milith*

Fais de beaux rêves remplis de devoirs :)

19h23

41
La journée était plutôt rude pour mon moral, aujourd'hui. Je ne savais pas pourquoi j'avais toujours cette affreuse impression de vide. Je détestais parfois être autant en manque, ça m'énervait parce que c'était incontrôlable, j'avais envie de sexe, c'était assez dur pour moi. Je m'assieds alors sur ma chaise, épuisée, laissant mes élèves à leur travail. Je massai mes tempes du bout de mes index, essayant de conserver mon calme. La journée avait été plutôt calme et, dans un élan de perversité, j'avais invité trois élèves à me rejoindre. L'arrivée d'une jeune inconnue m'a d'ailleurs surprise, puisque le jeune être que j'avais envoyé chercher n'avait que rarement commit une erreur. Il y avait aussi ce jeune Ezakiel qui venait d'arriver. J'étais pas mal surprise de voir qu'il était toujours aussi discret malgré que j'aie passé un long moment à discuter avec lui. Entendant toquer à la porte, je savais qu'il était là.

-Entre, Ezakiel.

J'attendais aussi le jeune homme que j'avais récemment aperçut une fois de temps en temps dans ma classe, mais à chaque fois que je voulais m'enquérir de son nom, quelque chose d'autre attirait mon attention et je continuais mon cours comme si de rien était. Je regardai dehors et je le vis. Ni une ni deux, je le fais entrer puis je les forçai à s'asseoir sur trois bureaux devant moi, l'air fâchée. Je les dévisageai tous les trois puis je parlai, les mains sur mes hanches parfaites.

-Bon, maintenant, écoutez moi bien. Depuis trois semaines, aucun de vous ne m'a remis ses devoirs. Aujourd'hui, vous en payez le prix. -Je sortis des documents et les donna à chacun- Vous allez me remplir cela ^^

Tout à coup, je venais de retrouver ma bonne humeur. Au moins, je n'allais pas être seule pour cette soirée. Je tournai la tête vers mon tableau puis je marchai vers mon bureau, faisant doucement rouler mes hanches pour attirer les jeunes mâles dans mes filets, et peut-être la jeune fille, si elle était attirée par les femmes. Je m'assis alors sur mon poste de travail puis je les regardai, croisant mes longues jambes. Ezakiel et l'autre jeune homme étaient plutôt séduisant et "Vénus", mignonne à croquer.

42
Prélude / Re : Le débarquement du "Graveleux"
« le: mercredi 04 novembre 2009, 02:40:04 »
Bienvenue, cher monsieur :)

43
Le coin du chalant / Re : Partie à trois ou plus?
« le: mardi 03 novembre 2009, 20:56:58 »
Si les volontaires ont abandonnés, j'aimerais qu'on m'avertisse ><

44
Le quartier de la Toussaint / Re : Dans le parking...[Privé]
« le: mardi 03 novembre 2009, 17:25:12 »
Et voilà qu'il recommençait. Définitivement, il était vraiment en colère. Il m'avait prise par la tête puis s'était enfoncé dans ma bouche si profondément que je pouvais plus respirer, mais l'air n'était pas un problème pour moi. Ce qui le fut, cependant, c'est le moment où il vida son sperme dans ma gorge, ce liquide duquel je ne m'étais jamais plainte me leva le coeur alors que je m'arrachais à sa prise pour vomir mon dégoût. Le sol était couvert d'un mélange de céréales que j'avais pu manger ce matin et des fluides séminaux de cette brute sans cervelle. Une femme normale aurait eu la gorge assez élargie pour contenir un verre d'eau au grand complet sans avaler. Je toussai violemment pour chasser les résidus de mes voies respiratoires puis j'essuyai mes larmes de souffrance. Pourquoi cet homme ne se satisfaisait pas et qu'il ne partait pas par la suite? Vraiment, il m'énervait au plus haut point. Et ma seconde question était "pourquoi cette idiote d'Aya était-elle toujours là!?" alors que je m'efforçais de lui faire une porte de sortie? Est-ce qu'elle avait envie de prendre ma place, où quoi?

Je regardai cet homme, ce Don, qui me violait. Avec un soupir de désespoir, je léchai le sexe humide avant de me redresser, me coller à lui, comprimant mes seins contre son torse. Je me mis à l'embrasser dans le cou tout en me frottant contre lui, son sexe entre mes cuisses sur lequel je frottai le mien. Ma queue se mit à se frotter contre ses bourses pour lui accorder davantage de plaisir. Je me demandais vraiment comment j'allais pouvoir m'en sortir. Je ne voulais pas devenir l'esclave de qui que ce soit, moi, je voulais continuer d'enseigner à mes élèves comme à mon habitude et oublier toute cette histoire. Mes mains remontèrent le torse de cet inconnu qui se prenait pour mon maître pour aller s'arrêter sur sa puissante mâchoire, glissant ensuite dans son cou pour l'enlacer alors que je l'embrassai avec "envie" sur les lèvres, l'attirant contre un des piliers de pierre contre lequel je me blottis, prête à subir d'autres châtiments jusqu'à ce que cette abrutie d'Aya se décide enfin de bouger et de foutre le camp avant que ce monstre ne l'attrappe et lui fasse subir la même chose qu'à moi. Je me dressai sur la pointe des pieds, me hissant sur lui avec mes jambes pour lui murmurer à l'oreille les mots que tous les hommes adorent entendre.

-Oh, mon maître, prenez-moi, je vous en prie...

S'il croyait vraiment que j'allais devenir sa chose, il se foutait un doigt dans l'oeil. Dès que Endô fout le camp, je me jurai de défoncer le cul de l'esclavagiste avec ma queue. Il n'allait pas y échapper, je le détestais et le maudissais.

45
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: lundi 02 novembre 2009, 01:25:22 »
*Promet d'affreuses douleurs à Don s'il ne se dépêche pas de faire sa rep*

19h25

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