Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Astiel Monspart

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Les terres sauvages / Re : La caravane à Sylvandel (Pv)
« le: jeudi 27 septembre 2018, 10:09:49 »
J’arrivais au niveau de ce qui semblait être l’accueil. La créature, qui m'accueillis, était une engeance démoniaque, une succube. Je ne pus empêcher un rictus sur mon visage. J’étais un partisan de la lumière. Ces créatures mi homme mi animal ou les créatures du mal était pour moi des erreurs de la nature, des injures pour la création du monde. Pourtant, je me trouvais là, à succomber à des vices tout aussi peu honorable. Ce qui me tira un petit rire étouffé. Qu’est ce que la morale, qu’au final des limites créer par la société. Attention, je ne dis pas que certaines limites n’était pas bonne. Mais quand une minorité se permettait de créer ces limites morales pour mieux contrôler les autres, là le mal était présent. Bref !

“ Bien le bonjour. Créature ? Ou Dame ? Comment dois-je vous appeler ?.. Bâtard du démon peut être ? ”

Je n’avais pas pu m’empêcher cette petite attaque orale contre la succube. De toute façon, j’avais sûrement assez pour acheter son consentement. Je soupirais et fit signe que ce n’était que boutade. Mes gardes posaient le coffre rempli d’or sur la table. Je l’ouvris légèrement, pour que seulement la succube puissent voir ce qu’il y avait à l’intérieur. Le coffre était plein à craquer. Quelques pièces tombaient même sur la table au moment où je l’ouvris.

“ Offrait moi ce qui y a de mieux dans cette caravane. Je veux le meilleur. Et vous serez riche. ”

Je refermais le coffre d’un coup sec après ma phrase et fit comprendre que si je n’étais pas satisfait, la moitié de cet or pourrait très bien repartir avec moi.

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One Shot / Re : Portes Célestes [PV]
« le: jeudi 27 septembre 2018, 09:50:45 »
Lorsqu’on avait discuté un peu plus tôt dans la maison. Elle m’avait parlé de l’Ephémère. Je ne savais pas qui c’était. Il faudra que je lui demande. J’avais entendu parler en effet de lui, mais je n’avais pas eu beaucoup d’information de mes espions. Elle m’avait aussi assurer que je serais en sécurité, mais je doutais de ça encore. J’avais bien pris l’ascendant en la capturant. Eden était pour les Masars, ce que j’étais pour les Stariens. Elle pourrait très bien me tendre un piège et retourner vers son peuple. Elle m’avait affirmer que mon message sera exécuté. C’était possible mais le message sera passé. C’était l’essentiel. Enfin, je le pensais. J’avais envie d’arrêter cette guerre. J’étais pas revenu pour me battre à nouveau sans arrêt pour un empereur que je n’appréciais guère. Mon destin était autre. Elle avait aussi essayer de nouer un dialogue avec moi. J’appréciais le geste et je lui répondis. Elle me proposa de chasser. En effet, si on voulait rester ici, il allait falloir remplir les stocks.

“ On ira chasser au crépuscule. Les animaux commenceront à sortir. Ca sera plus simple. Je connais la montagne comme ma poche. Il y a de nombreux danger. Tu devras m’obéir. Ca sera pas trop dur pour toi ? ”

Je soupirais en effet, à mon avis elle ne connaissait pas les montagnes enneigés d’Estasia et ça pouvait être danger pour une personne ignorante : créatures en tout genre, crevasse, zone glissante et j’en passe. Soudain elle avait commencé à observer la maison et me demanda curieusement à quoi servait cet endroit. C’était vrai.. ce n’était pas qu’une simple maisonnette perdu en pleine montagne. J’avais grandi ici, seul et il m’avait fallu battre mes ombres.

“ C’est ici que je suis devenu un Berserker. C’est une maison qui appartient à ma famille depuis longtemps. Dans mon peuple, et plus précisément dans ma Maison.. enfin tribu si tu veux selon vos coutumes, les plus braves ont l’honneur de devenir des valeureux guerrier. Il en existe très peu. C’est un honneur que la nature nous accordent. Au final ça ressemble un peu à vos traditions.”

Je montrai mon dos révélant une marque de naissance ressemblant vaguement à une patte d’ours.

“ Dès la naissance, je fus destiné à devenir un berserker. Mon père m’a donc amené à mes dix ans dans cette maison avec un simple morceau de pain et un couteau. ” Je soupira, relâchant mon haut cachant le dos. “ Je n’avais pas droit de revenir à la maison avant de dompter un ours. Chaque soir, l’Alchimiste des Montagnes venait me rendre visite pour me faire boire des mixtures dont il est le seul gardien. C’est un homme qui ressemble à vos chamans. Je te conseille de ne pas rôder vers chez lui en haut de la montagne. Les potions ont transformé mon corps, me rendant plus fort, plus résistant. Mais pour cela, j’ai dû subir le martyr. Mourir pour renaître. ”

Je n’avais pas pu m’empêcher de sourire quand elle avait dit qu’elle pourrait élever des louveteaux ici. Finalement elle s’était peut être fait un raison sur sa situation. C’était une bonne chose. Puis après on avait fini dehors. Je secouai la tête revenant un peu à la réalité des choses. Je tendis la main sur son visage pour essuyer une larme sur sa joue. Elle souriait baissant légèrement les yeux. Avec le recul des événements, je ne pouvais pas ignorer la beauté de cette femme. Je m’étais assis en tailleur sur le sol et j'affichai un regard surpris la voyant se mettre à quatre patte les mains sur mes genoux. Elle vient ensuite glisser ses mains froides dans mon dos. Je sentais des perles de glace fondu coulait sur ma peau. J’avais pris l’habitude de ce froid dans ces montagnes, mais je ne pus m’empêcher d’avoir un petit frisson. Les idées se bousculaient dans ma tête et j’avouais ne pas être insensible au charme qu’elle me faisait. Je ne comprenais pas alors que la veille, elle ne voulait absolument pas le faire. Elle enroulait ses jambes par dessus les mienne en ignorant la neige qui tombait doucement sur nous. Ma main glissait doucement sur le tissu qui couvrait ses jambes pour remonter vers le bassin. Son ventre commençait à effleurer le mien. Son regard était plongé dans le mien alors qu’elle se mordait les lèvres. Je rêvais ? Ou est-ce qu’elle avait fini par succomber à mon charme ? Bizarrement j’en doutais fortement ! Mais j’étais persuadé ne pas rêver. C’était son.. passage au croc noir qui l’avait transformé ce point ? Si c’était le cas, j’avais presque une fierté à ce qui arriver. Ma deuxième main glissa dans son dos se creusant pour coller sa poitrine contre mon torse. Mon souffle était calme et long. Je profitais de chaque instant. Ce ne serait pas raisonnable.. ? Pourtant elle posa ses lèvres sur les miennes pour m’embrasser. Je m’allongeais dans la neige lui laissant le contrôle qu’elle avait besoin de ressentir. Je ne sais pas si elle était pleinement consciente de la situation ou si c’était un autre facteur qui l’a rendait comme ça. Mais le fait de lui donner la sensation de dominer la situation était une bonne idée. Ma main froide et légèrement humide avec la neige qui avait fondu dessus, glissait sous sa chemise avant de venir caresser du pouce la courbe sous son sein. Alors que ma deuxième main glissa dans son pantalon en passant pour le ventre pour venir caresser le contour du sexe de la jeune femme.

“ On ne peut pas savoir avant de l’avoir testé… ”

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Ville-Etat de Nexus / Re : Traque & Soumission [PV]
« le: dimanche 16 septembre 2018, 21:39:04 »
J'attrapais la pinte qui se tenait devant moi et tournais mon regard vers la jeune femme. Elle s'était installée sur une table au fond d'une table. Il faut dire qu'elle ne passait pas inaperçue avec ses cheveux roses, son maquillage noir, les différents piercings qu'elle portait, ses tatouages bien mit en évidences. Et surtout son style vestimentaire très provocateur ! Où elle laissait bien voir sa poitrine, ses cuisses, son ventre…. Je remontais à l'aide d'un doigt mes lunettes et retournais dans l'ombre de ma place. Je sortis une petite pipe longue en bois sculpté. Une petite bourse en cuir se trouvait sur la table. Je sortis une petite plante verte foncée séchée. Je la broyais dans ma main avant de mettre la poudre dans le fourneau. Puis prononçant quelque mot dans une langue mystérieuse, j'allumais cette dernière. En crapotant un peu, un nuage de fumée sortis de ma bouche.

Je m'appelais Cynegar. J'étais un esclavagiste peut ordinaire à vrai dire. Contrairement à mes confrères je ne travaillais pas sur la quantité, en faisant fleurir une compagnie de vente d'esclave. Je n'écumais pas les différents marchés aux "puces". Non, je vendais que des articles de luxe ou précieux. Des fois, il fallait que je dresse un peu l'animal avant de le vendre. Mais tous mes clients payaient une quantité folle pour s'attribuer un de mes chargements. Bref, tout ça pour dire que n'avais rien d'un homme ordinaire malgré ce que mon apparence faisait paraitre.

La vie ne m'avait pas laissé en difficulté. J'avais grandi dans une famille de noble. Même si je n'avais pas été en bonne entente avec mes parents lorsqu'il vivait encore, j'avais eu accès à toutes les ressources possibles. J'avais étudié dans les plus grandes écoles, tant la magie, que l'alchimie que toutes les sciences occultes possible. Rapidement, j'étais parti du foyer familial. Je travaillais en tant que chasseur de prime et résolvais des contrats à gauche et à droite. Mes vices me poussèrent à devenir esclavagiste "de luxe".

J'avais entendu parler d'un homme ou d'une femme qui tuait les esclavagistes par ici. Enfin, je pensais fortement que c'était cette femme à la table. Ma conclusion n'était pas sûr, mais elle provenait d'une grande réflexion. Je doutais déjà fortement que ce soit un homme. Il y avait de nombreux discours de pseudos témoins. Le plus souvent c'était des fuyardes qui avaient été rattrapé. Leurs discours ne pouvaient donc pas être pris en compte de manière sérieuse. Malheureusement c'était la grande majorité des témoignages. La grande partie témoignait d'un homme. Donc j'étais parti sur le principe que c'était donc une femme ou autre qu'un homme. Il est facile de mentir sur la sexualité d'une personne. Même si une personne est androgyne quand on la rencontre ce qui a dû arrivé entre les témoins et le ou la suspect, on peut définir son sexe. Et quand on donne une fausse piste aux forces de l'ordre, on ment en général à l'opposé du profil recherché. J'avais donc fini par monter le profil progressivement de ma cible ainsi.

Puis forcément, c'est bien beau tout ça, mais je n'avais pas eu encore de piste. J'écumais donc les tavernes, car c'est dans les tavernes qu'on n'a la plupart des commérages et information sur les gens avec des professions comme celle-ci. Et après quelque pinte, les gens ont la langue déliée. J'avais facile travailler un mois entier à rechercher cette personne, mais j'étais arrivé à mes fins. Elle se tenait maintenant dans la même pièce que moi. Il restait plus qu'à remonter la ligne doucement pour sortir le poisson de l'eau. Ce n'était pas chose simple. Elle avait réalisé à tuer un homme alors qu'il était entouré de gardes. Je ne devais pas prendre à la légère la menace qu'elle était.

Alors que j'étais dans mes rêves, mes pensées, un groupe d'hommes s'approchèrent de la jeune femme. C'était soit des violeurs, des brigands de grands chemins, ou des esclavagistes. Dans tout les cas si c'était ma proie qu'ils attaquèrent, ça n'allait pas le faire. Je sortais doucement mon fusil à poudre l'armant. Le groupe commençaient à discuter de manière grasse avec la jeune femme. Mes gestes étaient tranquille. Je m'étais la poudre dans le canon avant de mettre la petite bille. Régulant mon souffre, je tendis le canon de mon fusil vers le groupe et puis j'appuyais sur la gâchette. Un bruit assourdissant remplit la pièce. La balle effleura un des hommes et vient faire un petit impact dans le mur à côté de lui.

- " On ne touche pas à la dame. "

Ensuite, je m'enfonçais dans mon siège. J'attendais de voir comment la proie qu'était cette femme allait réagir à cette invitation.

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Les terres sauvages / Re : La caravane à Sylvandel (Pv)
« le: lundi 03 septembre 2018, 20:49:28 »
La Caravane, la célèbre caravane des filles de joies étaient de passage dans mes terres. J'avais eu pour écho qu'elle s'était installé devant ma ville sur la prairie de Sylvandel. En tant que bon noble, je devais vérifier la qualité des filles chez qui mes hommes allaient visiter dans les jours à venir. J'avais donc pris mon cheval à l'écurie et sortie de la ville avec une petite escorte bien entendu. Sur mon cheval, un coffre en bois avec des dorures, siégeait sur le côté droit.

Très rapidement, je fini par arriver au niveau du cercle formé par les caravanes. La nuit tombait déjà et les longues torches plantés dans le sol commençaient à éclairer les toiles de couleurs écarlates. De la musique vient caresser mes oreilles au fur et à mesure que j’avançais vers elle. Il y avait presque un aspect magique à tout ceci, je me faisais envoûter. Et la suite, n’allait pas me laisser sur la faim. J’arrivais enfin au niveau de l’ouverture du cercle. Il y avait des filles de joies en cage, qui attiraient les jeunes hommes et femmes. L’ambiance était enivrante. Je posais pied au sol. J’enfonçais ma main droit dans mon gant à l’aide de mon autre main. J’avais la tête haute regardant les péquenauds salivant devant les cages. Je demandais à un garde de détacher le coffret et de me suivre pendant que les autres surveillaient les chevaux.

Je ne portais pas d’arme. D’ailleurs le garde qui portait le coffre n’avait pas d’arme aussi. Ce n’était pas un problème car les armes n’étaient pas autorisé dans l’enceinte des caravanes et même les mercenaires ou brigand respecter ça.   

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Le coin du chalant / Re : La caravane des filles de joies!
« le: lundi 03 septembre 2018, 10:56:45 »
Pas de soucis tkkt je répondrais cette aprem apres mon taf

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Le coin du chalant / Re : La caravane des filles de joies!
« le: lundi 03 septembre 2018, 10:03:58 »
Je te laisse débute ;)

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Le coin du chalant / Re : La caravane des filles de joies!
« le: lundi 03 septembre 2018, 09:47:14 »
Les deux me vont donc à toi de choisir !

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Le coin du chalant / Re : La caravane des filles de joies!
« le: dimanche 02 septembre 2018, 16:37:51 »
La une ou quatre. La quatre une variante ? Entraînement des filles de la caravane ?

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Le coin du chalant / Re : La caravane des filles de joies!
« le: samedi 01 septembre 2018, 10:20:30 »
Tu as des idées de scénario. J'ai pas une liste de personnage à te proposer..

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Le coin du chalant / Re : (Im)pureté d'une nonne
« le: vendredi 31 août 2018, 19:03:23 »
Bonjour, ma chère nonne.

Je peux te proposer des scénario. J'en ai pas une précise et j'aime discuter avec la personne avant de pouvoir dire ce que je compte faire. J'ai joué dans la plupart des univers possible : fantastique au futuriste. Avec en général des personnages ayant de gros gros travers "moralement discutable."

Voilà voilà

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Le coin du chalant / Re : Errances d'une prostipute
« le: vendredi 31 août 2018, 18:44:19 »
Dépose le petit livre que je lisais et regarde la nouvelle venue. Me redresse dans mon fauteuil et soupire profondément. C'est vrai que je n'avais rien à faire ces derniers temps moi même.

Volontier. Qu'est ce qui vous ferez plaisir ma gente demoiselle ?

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Le coin du chalant / Re : La caravane des filles de joies!
« le: vendredi 31 août 2018, 18:40:49 »
Salut c'est encore d'actualité ?

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One Shot / Re : Portes Célestes [PV]
« le: mardi 05 juin 2018, 23:48:06 »
J’avais mis le coffre de bas dans le fond de la chambre. Eden y alla et j’espérais la voir coopérer. En effet, nous avions décidé que c’était mieux de continuer à jouer la comédie. Surtout que venant d’une famille d’ingénieur, je savais pertinemment, qu’un des oiseaux espions impériales serait surement dans le parage pour nous observer. Par moment, je haïssais cette technologie qui faisait la force de mon peuple. En y repensant, les Masars n’était pas dans l’erreur total non plus... la nature est une force indomptable qui est bien supérieur à l’homme. Ce peuple ne fait que se plier face à un adversaire bien plus puissant que lui… et simplement pour cela en tant que Starien, en tant que Berserker, je ne pouvais le concevoir.

J’étais au centre de la cabane dans la pièce principale en train de poser les buchettes que j’étais allé chercher dans l’âtre. Ce dernier était assez sommaire, creusé directement dans le sol et cerclé par de grosses pierres massives. Les flammes commençaient à prendre progressivement répandant la chaleur dans la pièce. Je songeais à l’avenir observant les flammes qui semblait danser au rythme de mes pensées. Les événements prochains étaient plus qu’incertain depuis mon voyage en Iddrassil et chez les Elfains. Mes pensées dérivaient entre le message présent dans l’orbe, les annonces terrifiantes que les Elfains m’avaient fait mais aussi la menace terrifiante que je sentais plané sur le Monde Jumeau. Tout ceci me dépassait grandement. J’avais la sensation d’être un grain de sable parmi tant d’autre. Et même si cette sensation n’était que vérité, je ne l’aimais pas particulièrement.

L’Empereur et les conseillers avaient choisi une tenue d’origine Masar. Une simple chemise blanche qui ne cachait pas grand-chose de la superbe anatomie de la jeune femme. Je l’entendis dans mon dos descendre l’échelle et je la vis dans cette tenue en me retournant pour la regarder. Elle baissait les yeux surement de honte ou de gêne. Ce que je pouvais concevoir amplement vu la situation et sa culture bien différente de la nôtre. Ces joues rougissaient et je me surpris de faire de même légèrement en détournant le regard. Je ne répondis pas à la réplique qui suivit… Il n’y avait rien à dire à vrai dire à part que c’était complétement vrai. C’était en effet une plaisanterie de mauvais goût. Elle s’assit à mes côtés et tendit les mains vers les flammes. Je l’observais dans le coin de l’œil sans vraiment oser croiser son regard. C’était complétement ridicule. De quoi je pouvais bien avoir peur ! J’avais déjà vu des choses bien plus terrifiante. A moins que ce n’était pas de la peur que je ressentais, mais plus de la gêne et une certaine forme de respect, admirations pour le stratège et la guerrière qu’elle était.

Je lui tendis un petit bol avec quelques tranches de viandes séchés et des rations de luxe que j’avais pris avant de partir. Elle refusait, j’essayais d’insister mais rien n’y faisait. Quand je replongeai mon regard dans les braises, assis au bord du feu, elle me mit pied au mur avec une question réellement à double tranchante. Elle n’avait pas tous les éléments pour comprendre ce qui lui était arrivé dans le donjon du croc noir et elle n’était pas prête à les connaître. Elle ne savait pas d’ailleurs au regard qu’elle me m’était dans une situation plutôt gênante. Je frottais les braises avec une petite tige d’une façon un peu nerveuse. J’évitais grandement le regard éteint d’Eden. De nombreuses tentatives de lui expliquer se percutent dans mon esprit. Je sortis une tentative de détourner la question :

« Je suis désolé de ne pas être intervenu plus tôt au croc noir. Je n’étais pas souvent au Croc Noir... et même si j’ai du contrôle sur mes hommes, certaines personnes passent outre mon champ d’action. »

Bien sûr tout ceci n’était pas faux, au contraire. Si j’avais pu commencer plus tôt les séances, je l’aurais surement fait ou au contraire si j’avais su l’effet que ça allait avoir sur moi, j’aurais mis un terme aux séances plus tôt. En parlant des personnes qui passent outre mon champ d’action c’était aussi vrai. Bref… en agissant ainsi, je gardais des zones d’ombres que je ne voulais pas révéler à la lumière du jour. J’espérais que cette question n’allait pas éveiller des soupçons plus dérangeant en elle.

Un silence s’installa légèrement avant qu’elle le coupe à nouveau en proposant une idée. Elle proposait d’aller à Santania pour rencontrer Skull et avertir son peuple. Malheureusement, on avait trop de retard sur l’armée Starienne pour prévenir le peuple d’Eden. J’avais quand même envoyé un messager. J’avais quelques indics au sein de la communautés Masars qui pouvait avertir les siens. Je comprenais l’importance pour elle d’y aller. Mais je ne pouvais pas me permettre de ma position d’y aller comme ça sans garanti de retour possible. J’avais confiance en elle, mais pas aux autres Masars.

« Ecoute... j’ai averti ton peuple grâce à mes contacts. Mais, je suis chef de l’armée Starienne… je ne peux me permettre d’aller à votre capitale, en plein cœur de votre communauté. On risque de me capturer et de me tuer au mieux. C’est beaucoup trop dangereux sans garanti valable de retour ! je comprends cependant ton besoin d’y aller. »

Elle ne réagissait pas et semblait se murer en elle-même. Pendant une heure nous restions assis auprès du feu. Elle se frottait légèrement comme pour se réchauffer. Je ne la regardais pas trop. La gêne était présente et ça compliqué encore plus la situation. Finalement, elle se leva la première pour monter dans la chambre surement se glisser sous les draps. Je restais assis encore une bonne heure avant de me lever et aller vers la cave de la maison. En descendant les escaliers j’attrapais la hache pour tailler du bois. Je l’abatis sur le haut d’un tonneau de bière. Puis je soulevai le tonneau et bu directement dedans. Bien sûr une quantité non négligeable coulait le long de mon visage pour glisser dans la barbe avant de tomber au sol. Je bus ainsi à grande gorgée pendant un temps que je ne saurais vous dire. Quand j’en eu assez, je reposai le tonneau. Je marchais avec un peu de difficulté. En même temps après avoir vidé un demi tonneau vous m’étonnez ! Je sortais dehors, faisant tomber mes braies et déversant le résultat de la bière que j’avais ingurgité. Reniflant brutalement je remontais mes braies et traversa la pièce après avoir fermer la porte.

Je montais l’échelle avec un pas lourd. J’enlevais mes vêtements imbibés d’alcool, quasiment autant que moi. Je puais littéralement le malt fermenté. Je me glisse dans les draps, ce n’était pas parce que j’avais bu, que mes sens était complétement annihilé. J’avais bien aperçu cet amas d’engrenage appuyé sur la fenêtre. Je dus prendre un peu sur moi, et après un petit bruit s’approchant plus d’un grognement qu’autre chose, je me redressai sur la couche, me plaçant au-dessus d’elle. J’enfonçais mon nez dans son cou humant son odeur. Je ne contrôlais pas tout à vrai dire. Mes pupilles s’était élargit avec l’alcool et je donnais l’impression d’être ailleurs. Je l’attrapais par les hanches pour l’allongé et l’aligné à moi avant de me rapprocher. Je lui écartais les jambes et commença à remonter sa robe transparente pour frotter mon membre contre elle. Rapidement, je fini par lâcher le liquide tiède entre ses cuisses. Les perles de couleur rubis coulaient le long de sa peau, passant entres ses lèvres pour imiter l’acte charnel signe qu’elle n’était plus une pucelle. Je repris les mouvements de hanches, et elle se chargea de me caresser. Je ne posais pas la main à part pour lui garder les jambes écarter. Ce n’était pas agréable pour elle comme pour moi, j’imagine. Mais je devais agir ainsi pour faire fuir l’animal de métal. Je finis par éjaculer sur elle de long fil blanc et gluant. Quand je fis fini, je repoussai les jambes d’Eden tournant mon regard vers l’observateur. Je n’avais pas d’émotion sur mon visage, j’étais juste blasé par ses intrigues politiques. Le volatile s’envola sans demander son reste. Eden cria réalisant ce qui venait de se passer. Je n’avais pas l’envie et l’humeur de débattre avec elle. Je lui ordonnai de se taire et lui expliqua que toute façon il n’avait pas pu voir. Ce qui était une demi vérité encore une fois.

Je me rallongeais et je l’entendais pleurer à mes côtés. Je ne pus que m’excuser. Je lui retirai sa robe ensuite comprenant le symbole que ça avait pour elle. Son corps se fermait à moi et je comprenais. Ce soir de toute façon, j’avais trop d’alcool dans le sens pour lui offrir l’attention qu’elle avait besoin. Je la couvris de la peau de bête et me glissa en dehors des draps pour dormir par-dessus. Je ne comptais pas profiter de la situation. La nuit passa donc assez difficilement. Je n’arrivais pas bien à dormir au début avant de sombrer complétement dans l’obscurité.

Le matin arriva, je me levai difficilement avant elle. Ma tête raisonnait comme si on venait de sortir les tambours de guerre. Je m’installais sur la table de la salle à manger avec… une pinte. Rien de mieux pour combattre l’alcool que l’alcool ! Parole de Berserker ! J’étais encore complétement apte à engager une discussion avec ma future femme qui se réveillerait surement pleine de colère et de question ! J'avais réfléchis à cette histoire d'aller voir Skull. J'avais légèrement entendu parler de lui, il était un peu le guide des Oracles. C'était peut être une solution et si mon messager avait fait son travail, ils devaient surement avoir évacuer étant un peu le centre de leur culture. J'attendis Eden avant de lui demander :

« Si des gens de ton peuple se sont caché à l'arrivé de l'armée, où est ce qu'il serait allé ? Et peut-tu m'assurer que je serais en sécurité et que tu reviendras avec moi si on y vas ? »

J'avais mes propres hypothèses sur la réponse. Il était grand possible qu'une partie des Masars se soit enfuit avec leur guide spirituel à l'Académie des Oracles. Cette dernière en flanc de montagne pouvait abriter de nombreuses personnes dans les galeries courant dans les monts. De plus, les Oracles indépendant au Masars, n'avaient techniquement aucune obligation de suivre le peuple dans ses décisions politiques. Et l'Empereur ne pourrait pas s'attaquer de front à eux, sans réveiller la hache de guerre. Et si jamais, il osait le faire : l'académie était un lieu amplis de magie où de nombreux esprits rodaient à l'intérieur d'animaux mythiques pour protéger ce sanctuaire. Ca serait donc un lieu de retraite idéal pour les Masars décidant de ne pas pactiser avec les Stariens. Mais c'était surtout la maison de Skull et des autres Oracles.

Le matin passa, je décuvais légèrement restant assis sur une chaise à aiguiser ma lame de hache. C'était un réflexe que j'avais adopté depuis très jeune. Mon père me demandait de m'occuper de sa lame chaque matin ainsi que de la mienne. Il m'avait expliquer l'importance de l'entretenir. Je jetais des coups d'oeil à l'échelle qui montait vers la chambre. Personne n'y descendait, elle dormait encore surement. Les événements avaient été difficile pour elle en même temps. Je ne pouvais pas lui en vouloir de se reposer. Au contraire, ça me laissait un peu de tranquillité et de solitude. Midi arriva et je m'installa à table avec une grande miche de pain, un peu durcit avec le temps mais encore agréable en bouche. En temps que soldat, ils nous arrivait de ne pas manger beaucoup ou d'avoir une soupe de cailloux comme on aime dire dans le milieu. Alors que je mangeais, elle décida enfin à descendre, attrapa un croûton et commença à manger un petit peu. Je la regardais faire sans dire un mot et me leva pour attraper un pichet d'eau, je lui servis un peu d'eau et à moi aussi avant de boire tranquillement. Alors que la journée avançait, Eden sorti observait la neige. Elle ne parlait pas beaucoup lâchant quelque mot de temps en temps. A vrai dire je ne parlais pas plus à ce moment là. Je m'appuyais contre le bord de la porte l'observant. l'Ile Sauvage d'Ormetige était une terre chaude et humide. Elles n'avaient donc surement jamais vu ce qu'était de la neige. Même dans les montagnes de l'Académie, la neige n'était pas présente. Ou alors dans les lieux inaccessibles. Soudainement, elle m'envoya une boule de neige alors que j'étais dans mes pensées. J'essuyais d'un revers de la main avant de commencer à rouler une grosse boule que je dus attraper à deux mains. Et sous son regard interrogatif, je la souleva et lui lança dessus. 

29
One Shot / Re : Les flaneurs d'ombre
« le: dimanche 27 mai 2018, 18:38:55 »
Je soupira à son tour. Les relations que j'avais avec Red était plus qu'houleuse. On avait tout les deux, un grand potentiel et une possibilité de devenir Hérault à notre tour. Bref, tout ceci n'aidait en rien notre relationnel surtout connaissant les besoins et envie de meurtre de la lame. Elle me rejeta bien entendu avec autant de tact qu'un rapace des montagnes. Je sortis d'une bourse à ma ceinture une petite fiole de sang. C'était du sang frai provenant d'une créature assez rare : le Bullduug, un sorte de chien avec la bouche sur le ventre.. Oui oui sur le ventre. Ces chiens était utilisé dans les arènes clandestines. L'animal relativement rare en élevage de par sa rage assez violente en faisait des créatures prisés dans les combats.

Mais je savais que son sang était particulièrement prisé par la Lame. Je ne comprendrais jamais ce besoin et cet envie de sang. Et je ne savais pas ce que le sang de Bullduug avait bien de plus qu'un autre sang. Bref encore une fois, tout ca était compliqué. Je lui lança la fiole. Elle l'attrapa bien sûr, sans détourner la tête.

" C'est pour toi bien entendu, si tu acceptes de venir malgré les principes des flaneurs, tu auras droit de tuer quelques innocents. Tant que ça reste discret bien entendu ! J'ai bien sur l'autorisation de t'empêcher de nuire à l'organisation si besoin est. "

Je m'adossais au mur et regarder l'élève de Red.

" Bien entendu, tu peux refuser et continuer à te mordre les lèvres comme un loup en cage. Tu sais très bien que même toi, tu ne pourras pas quitter l'organisation si c'était possible tu serais parti depuis longtemps avec la haine que tu as contre nous et contre le Hérault qui t'a enfermé. Que choisis tu ? "

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One Shot / Re : La Fête de Mariage des Henderson [PV]
« le: mardi 17 avril 2018, 15:49:32 »
Au contact de ma paume dans son dos, Billy creusa son dos en frémissant. En arrivant dans le cou, je pouvais sentir l'envie de l'hermaphrodite. J'avais un peu d'expérience dans le domaine de la domination. Par contre malgré mon caractère "coulant" avec ma femme, je n'avais jamais eu envie d'être le soumis. L'étudiant, je pourrais presque dire le total contraire de lui juste en regardant ses petits yeux brillant d'envie. Mes doigts caressait de manière indépendante son cou comme de fin tentacule. Je soupirais, un soupir de plaisir. La situation promettait et j'avais envie de voir ce qui allait arriver. Susan dévoila nôtre petite règle dans notre couple à notre invité. Il était vrai qu'on partage tout ce qu'on a, même nos compagnons de jeu. Elle rajouta qu'elle voulait qu'on s'embrasse. C'était pas vraiment un ordre mais plus un désir. Je le sentais comme ça... .

Je passa donc ma main dans les cheveux blond du jeune travelo. Et je ramenais la tête du jeune étudiant vers moi pour l'embrasser. Nos lèvres se mêlèrent et la langue suivirent. Ses lèvres avaient vraiment bon goût. Je le maintenais vers moi d'une main sûr puis je fini de l'embrasser avant de dire : " Si vous vous léchiez pendant que Billy me branle. "
   


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