Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre > Complexe d'études secondaires et supérieures

[Terminé] Une façon radicale de se découvrir (Pv. Tani Rei)

(1/10) > >>

Nyoras Club:
(PoV : Mio, l’une des nombreuses filles de Yor !)

« C’est bon pour aujourd’hui, vous pouvez rentrer chez vous. Mio, c’est à ton tour de ranger le matériel. »

Le coach siffle un coup dans son sifflet et marque ainsi la fin de l’entraînement de volleyball.
Je soupire, exténuée. Si je m’étais souvenue que c’était aujourd’hui que je devais m’occuper du rangement, j’aurais clairement moins fait d’effort ! Ça risque de me prendre un certain temps pour ranger tout ça…

Pendant que les autres prennent leurs douches et rentrent chez eux, je fais le tour de la salle pour récupérer les ballons. Pourquoi on en utilise autant ? Vraiment… je me console en me disant qu’au moins, personne ne m’attend à la maison. Mes parents adoptifs ne s’occupent plus vraiment de ce que je fais depuis quelques années, trop accaparés par les autres gamins qu’ils ont adoptés. Et il parait que du haut de mes dix sept ans, je suis bien assez grande pour m’occuper de moi et tout le tralala.

Je balance le dernier ballon dans le bac et le pousse dans le local de rangement. Le plus facile est fait ! Maintenant, les poteaux…

Alors que je détache le filet, tout un flot de questions me traversent l’esprit. Ca m’arrive souvent ces derniers temps, mais je suppose que c’est normal.
Je me demande qui sont mes vrais parents, ceux qui ont décidés de m’abandonner.
Et je me demande aussi comment je serais si ça n’avait pas été le cas. Est-ce que j’aurais eu la même éducation ? Je n’en suis pas sûre… peut-être que je serais comme ces filles qui couchent à droite à gauche ?

Je fais la moue en y pensant, bien consciente que l’éducation un peu stricte que j’ai reçue m’a clairement détournée de cette voie. Bon, le coup de rester vierge jusqu’au mariage c’est quand même un peu trop… mais j’ai pas l’intention de m’offrir à n’importe qui ! On ne rigole pas avec ça comme dirait Mère.
Et pourtant, je dois bien avouer que parfois ça me travaille tout ça… j’essaie de me renseigner discrètement, histoire de ne pas être à la ramasse le jour où je tomberais sur la bonne personne, mais par petite session pour ne pas me sentir bizarre ensuite... mais je suppose que c'est normal ?

Et avec tout ça… plus qu’un poteau à ranger !
Vu qu’il n’y a plus personne, j’utilise mon t shirt pour essuyer la sueur sur mon front et le replace avant d’aller m’en occuper. Allez, dans quelques minutes je serais sous la douche… et au moins, aucune fille ne viendra me faire de réflexion sur mes fesses vu qu’elles sont déjà toutes parties.
C’est donc en toute confiance que j’entre une dernière fois dans la salle de stockage et file vers le fond pour déposer cet ultime poteau…

Tani Rei:
Tani sortait des cours et il passait à côté du cours de gym. C’était d’ailleurs la dernière heure de cette journée. De ce fait, ils finissaient parfois un peu plus tard que les autres comme le professeur pouvait se permettre de finir en retard. Tani avait l’habitude de venir ce jour la pour observer … Car il y avait une fille avec un subtile parfum et surtout … de ces fesses ! Elle était mignonne et attirante. De quoi titiller la curiosité de Tani.

Quand il se permit d’entrer, cachant son sac à l’une des entrées. Il observait silencieusement tout en se cachant. Il y avait quelqu’un qui rangeait … sa silhouette semblait être celle d’une demoiselle. Mais ce qui lui mit la puce à l’oreille, c’était ce parfum ! Il le reconnaissait. Rapidement, il se senti à l’étroit dans son pantalon … Surtout lorsqu’il s’approchait de manière discrete et sans un bruit, tel le prédateur animal qu’il est, et qu’il pouvait l’observer dans cette tenue qui la mettait en valeur. Le simple fait de la voir faire deux pas dans cette tenue le rendait fou … Il se rinçait l’œil de sa cachette, se faufilant alors dans la salle de stockage quand elle était occupée à ranger quelques affaires. Il se cachait alors derrière un tas de tapis avant de pouvoir observer des cordes à sauter … Cela lui donnait de mauvaises idées. Il s’empara d’une d’entre elle, toujours de manière silencieuse et furtive avant de la voir venir avec ce qui semblait être le dernier poteau.

Il n’avait donc plus le choix ! S’il voulait agir c’était maintenant ou … la douche ?! Mais il n’avait aucune envie d’attendre. Il mit la corde sur une de ses épaules. Alors qu’elle était proche de sa destination finale avec ce poteau, il se faufilait derrière elle pour l’attraper par surprise, une main sur sa bouche pour qu’elle ne puisse pas crier tout en lui tirant la tête vers l’arrière, la calant sur son épaule et ne lui laissant pas le choix que de regarder en l’air. L’autre main, il sortit ses griffes et pointa celles-ci contre le dos de la jeune femme. Il voulait user de son manque de vision pour faire naitre la peur en elle et lui faire imager un couteau, bien entendu. Tani lui murmurait alors dans la seconde à l’oreille…

-Chhhhht … Tiens toi tranquille … sinon tu risques de te planter ce qu’il y a dans ton dos … Et ne cries pas, même si personne ne t’entendra à cette heure … Joint tes poignets maintenant et ne bouge plus …

Il lui laissait faire avant de doucement retirer sa main de sa bouche pour attraper la corde à sauter. D’une main, il passait la corde autour de ses poignets en gardant une certaine pression de ses griffes dans son dos. Ses poignets enroulés et le nœud fait, il passait sa deuxième main joindre la première en rangeant ses griffes et il lui démontrait par la même occasion qu’il n’y avait eu aucune arme depuis le début. Il sert bien fort le nœud puis, il passait malgré tout sa main sur son ventre pour lui coller le dos contre son torse et de sentir ses fesses contre son bassin, dont sa verge était bien droite et pouvant se faire sentir…

-Je crois que ton joli petit nom c’est Mio … N’est-ce pas ?

Il sourit avant de guider ses mains liées vers le poteau. La corde étant longue, il enroulait alors le reste autour du poteau avant d’en faire un nouveau nœud. Cela lui permettrait de s’agripper au poteau et de pouvoir monter et descendre ses mains le long de celui-ci. Maintenant qu’elle ne pouvait plus s’échapper grâce au poids du poteau, il se détachait un peu d’elle pour venir en face d’elle et montrer son visage.

-Toi et moi on va jouer à un petit jeu … Si tu devines, tu es libre ! Attention … Tu n’as qu’une seule réponse possible. Bien sûr, je vais te donner des indices, sinon ce ne serait pas équitable. Voici donc. Qu’est-ce que je veux de toi ?

Il savait pertinemment qu’elle allait répondre faux ! Il s’approche alors d’elle pour lui donner les indices. Il lui attrapait les fesses pour l’attirer contre le poteau qui venait s’installer entre ses deux beaux seins ainsi que son ventre ses contre entre jambe. Elle devait poser ses mains la ou elle serait le plus agréable. Il massait alors ses superbes fesses, les caressant comme si on nettoyait un melon ou une pastèque, les découvrant tout en plongeant son regard dans le sien … Soudainement, il les agrippait toutes les deux, la soulevant légèrement du sol et en la faisant remonter contre le poteau … Ses doigts qui s’enracinaient dans ses fesses frôlaient son intimité. Cela avait aussi pour but d’exciter la jeune fille, sa poitrine masser contre le poteau à ses moindre gestes … Il se mit alors à se lécher les lèvres …

-Mio … Mio … Miiiiooo … Alors tu as la réponse magique ?

Nyoras Club:
Voilà ! Le dernier poteau est enfin posé ! Je ne suis pas contente d’avoir terminé, je vais pouvoir…

« Hmmmmf ??? »

Quelqu’un m’attrape ! Encore une mauvaise blague des filles ? Ca m’étonnerait même pas, mais… merde, c’est quoi ça dans mon dos ? Et c’est qui lui ?? Je me débats durant une demi-seconde, avant de comprendre que ce qui me touche la peau est surement un couteau. Oh merde… qu’est-ce que je peux faire… ? Il a de la poigne en plus, j’arrive à peine à bouger ! Est-ce que je dois obéir ? C’est ça ou… non, je préfère ne pas y penser ! Tremblante, je joins mes poignets comme il me l’a demandé. Il me fera pas de mal si j’obéis hein… ?

« … »

Il enlève sa main de ma bouche et accroche vite mes mains ensemble, mais j’ai trop peur pour tenter quoique ce soit. Il est entre moi et la sortie, et… tout le monde est parti. Je le sais, il le sait. Je suis toute seule avec lui. Je ne sais pas ce qu’il veut, mais si je lui donne il me laissera tranquille non… ? Et… quoi, c’était pas un couteau ? C’est une blague ? Je lui jette un regard d’incompréhension, les yeux embués. Mais qu’est-ce qu’il me veut lui ? Sa main vient se poser sur mon ventre, ce qui me fait avoir un mouvement de recul… ça n’aide en rien : il me colle contre lui, et je sens encore quelque chose. Il a un truc dans son pantalon ? Une arme peut-être ? Et… il connaît mon prénom ?

« Q-quoi… ? Comment… »

En réalité ça importe peu. Il doit juste être élève ici aussi, ou connaître quelqu’un qui… enfin on s’en fout ! Ca ne me dit pas ce qu’il veut, et pourquoi il me cible moi. Car si il connait mon prénom, c’est qu’il en a après moi non ? Qu’est-ce que j’ai bien pu lui faire ? Et pourquoi… pourquoi il m’accroche au poteau ?!

« H-hey qu’est-ce que… »

J’essaie de tirer la corde, mais ça ne bouge quasiment pas ! C’est quoi son délire ! Je commence à m’énerver, même si j’ai aussi peur.

« C-ça suffit maintenant, c’est pas drôle… ! »

Et là, il m’annonce vouloir jouer à un petit jeu. Qu’est-ce qu’il veut de moi ? Qu’est-ce que j’en sais moi ? Je ne lis pas dans les pensées des détraqués comme lui ! De l’argent ? J’en ai pas, et mes parents très peu aussi… et d’un coup je comprends. Je me fige en sentant ses mains agripper mes fesses et me coller au poteau, avant de le sentir jouer avec. C’est la première fois que quelqu’un me touche comme ça et… non, c’est hors de question que ça se passe comme ça… j’essaie de me débattre, mais entre lui, le poteau et la corde je me retrouve presque à dandiner des fesses. Ca va ps aider ça Mio… !

« N-non ! »

Le voilà en train de me soulever ! Je suis pas lourde mais quand même ! Et ses doigts… j’écarquille les yeux en les sentant se rapprocher de mon intimité, pas du tout à l’aise. Je secoue vivement la tête, des larmes commençant même à couler sur mes joues. C’est trop ! Mon corps ne réagit pas comme je le veux, c’est…

« S-stop ! Arrêtez, c’est pas drôle… c’est une blague c’est ça… ? »

Ça doit forcément être ça. Je suis sûre que les filles doivent être en train de regarder discrètement, prêtes à sortir de nulle part en me pointant du doigt pour se moquer….

Tani Rei:
-Q-quoi… ? Comment…

Voici la première réaction lorsqu’elle ne senti plus de couteau et qu’elle pouvait enfin réagir à ce qui lui arrivait sans risque de se faire blesser … Si mignonne. Comment ? Il n’y avait aucune explication à donner. Il la stalkait depuis un petit moment. Il avait fait d’elle sa cible, une cible appétissante à ses yeux. Comprendrait-elle ? Pour le moment, son innocence semblait être du côté de Tani.

-H-hey qu’est-ce que…

Elle tente de se débattre une fois accrocher au poteau. C’est trop tard ma grande …

-C-ça suffit maintenant, c’est pas drôle… !

-J’ai l’air de rigoler ?

Tani lui avait proposé le petit jeu, lui laissant soi-disant une chance de pouvoir repartir d’ici sans se faire sauvagement pénétrer. Lorsqu’il commençait à lui toucher les fesses et profiter de cette partie tant convoiter par le garçon, elle se dandinait pratiquement … et il avait le plaisir de pouvoir sentir ses fesses se bomber, se durcir sous l’effort avant de parfaitement bien les empoigner. Une bosse était maintenant visible. La voir se débattre était un délice … Et elle se mettait à produire quelques larmes … Cela n’allait pas l’attendrir, au contraire.

-N-non !

-Siiii siii

-S-stop ! Arrêtez, c’est pas drôle… c’est une blague c’est ça… ?

Il soupire alors devant elle avant de laisser une de ses mains aller bien volontairement entre ses cuisses afin de lui offrir une caresse intime très appuyer sur sa fente, laissant ses doigts lui laisser le plaisir d’écarter ses lèvres et de passer, puis de presser, l’un d’eux sur l’entrée de sa fente malgré les divers tissus qui couvraient encore ce petit jardin secret…Avant de lui lâcher les fesses et de venir derrière elle sans dire un mot. Il commençait à se déshabiller hors de sa vue, lui laissant simplement deviner ce qu’il faisait par les bruits des vêtements qui tombaient par terre, la braguette qui s’ouvrait et le bruit de la ceinture pour être entièrement nu derrière elle … Avant de venir se coller à elle, son sexe partiellement dressé venant se glisser entre la fente de ses fesses visible dans sa tenue de sport. Il lui laissa le plaisir de sentir la chaleur de son sexe, laissant quelques va et vient bien lent se faire, sa verge glissant de son long contre son anus, prenant une forme encore plus volumineuse entre ses fesses. Il empoignait alors sa poitrine tout en lui collant le dos contre son torse pour qu’elle se cambre et qu’il puisse encore mieux en profiter…

-Pour te répondre, ce n’est pas une blague … Mais tu as perdu la chance de t’en tirer avec mon jeu. J’attend ça depuis si longtemps … Enfin … Enfin je vais pouvoir profiter de toi sans que personne ne vienne nous emmerder …

Il lachait alors sa poitrine qu’il avait bien massée, glissant ses mains le long de son corps pour attraper le bas de sa tenue de sport et la lui glisser vers le bas … Il embarquait la culotte avec ce geste également. Son sexe sautait un peu lorsqu’il passait l’élastique pour se replacer entre ses fesses, lui laissant cette fois le plaisir de profiter de la chaleur de son sexe dans intermédiaire … Il laissait alors les tissus glisser d’eux même au bout d’un moment jusqu’au sol.

Il reculait ensuite lentement son bassin, sa verge glissait entre ses fesses, son gland finit par se retrouver contre son anus. Il donnait deux à trois légers coups de bassin pour qu’elle sente la pression de son gland contre son anus, comme pour la pénétrer avant de le laisser glisser plus bras … pointant ensuite contre son intimité. Il avança son bassin, laissant son gland embrasser l’entrée de son intimité avant de glisser sur son clitoris. Toute sa verge offrir une chaude caresse à son clitoris avant d’empoigner son membre pour le relever contre la peau de Mio. Celui-ci se dressait alors jusqu’au nombril de la jeune femme … Bien plus long que celui d’un être humain …

-Mio … Tu l’imagines en toi ? En train de monter et de descendre ? Tes fesses se faire écraser par mon bassin ? De plus en plus vite … Ca frotte … c’est si chaud … Prisonnière de mes mains qui imprime leur présence sur ton corps …

Il lui murmura ceci à l’oreille avant de la lui mordiller pour glisser son autre main sur son intimité et la lui caresser de manière bien plus énergétique pour qu’elle soit simplement prête à le recevoir. Son doigt manquait à chaque passage sur ses lèvres de la pénétrer. Mais c’était fait exprès. Il voulait d’un côté la faire languir, qu’elle se pose simplement la question de … pourquoi il n’en donne pas plus … C’est alors qu’il s’attardait sur son clitoris pour tenter de la faire jouir afin qu’elle inonde son vagin de cyprine, qu’elle soit prête à le sentir l’envahir pour de bon. Il laissait sa foudre parcourir sa main sur son bouton de chaire, que cette foudre remonte son système nerveux et la stimule bien assez, longuement. Rien pour faire mal, c’était calculé pour qu’elle ne ressente que du plaisir. Mais c’était la surprise soudaine qu’il lui offrait pour la préparer.

-Tu as aimé ? … Hmmm ? …Si tu mens, je recommence une nouvelle fois …

Nyoras Club:
Ce… tout ça n’est pas une blague… je finis par le comprendre lorsqu’il se montre bien plus pressant, et que sa main vient caresser plus fortement mon entrejambe. Il… il veut me… me violer ?! Mais… qui ferait ça… pourquoi… ?

« N-non, pitié ! »

Je tente une nouvelle fois de me débattre, en vain. Il m’a attachée. Je suis perdue et ne sais pas quoi faire… et pire encore, une partie de moi est excitée. Pourquoi je réagis comme ça ?! Il n’y a rien qui va dans cette situation ! J’essaie de reprendre mes esprits et de me calmer alors qu’il va derrière moi pour faire je ne sais quoi. J’ai le souffle court, à la fois à cause de la peur et de cette drôle de sensation que je ressens. C’est la même que celle que j’ai quand je fais des recherches, en plus intense… attend, c’est quoi ce bruit ?

J’essaie de tourner la tête pour le voir, en vain. C’était une fermeture éclair non ? Est-ce qu’il… ah ! C’est quoi ça ? Pourquoi il le fait bouger ? C’est son… son sexe… ? Alors que je me pose la question, ses mains viennent agripper ma modeste poitrine et me tirer à lui. Merde, ça grossit ! J’avais pas l’impression que c’était censé être aussi… volumineux…

« M-mais pourquoi… pourquoi comme ça… pourquoi moi… »

J’entends ses mots, sans comprendre. J’ai envie de pleurer, mais je suis comme figée. Des larmes coulent sans sanglots, et j’essaie de ne plus bouger. Peut-être qu’il se sentira moins excité comme ça ? C’est ce que j’espère, mais le voilà en train de me déshabiller. Mon visage devient rouge vif tant je suis gênée ! Un garçon voit mes… mes fesses et ma… c’est un cauchemar ! Et pourquoi c’est aussi chaud et dur… ? Je cherche un moyen de m’en tirer, mais je commence à douter de moi. Je suis censée faire quoi ? L’amadouer peut-être ? Lui faire pitié ?

« S’il vous plait… je… je suis vierge, faites pas ça… »

C’est qu’il est passé de mes fesses à mon intimité, frottant le bout de son pénis contre. Il touche même mon clitoris, me provoquant un frisson dans tout le corps… je sens même quelque chose couler sur mes cuisses. Je comprends vite de quoi il s’agit, je l’ai lu… mon corps, à l’inverse de moi, se prépare pour la suite. Et lorsqu’il vient glisser cette chose énorme sur ma peau, j’écarquille les yeux. C’est beaucoup plus gros que sur les images ! Comment une telle chose est censée pouvoir entrer en moi ?!

« N-non, c’est trop… ça va jamais rentrer… »

Je commence à perdre espoir, d’autant qu’il commence à nouveau à me toucher. Cette fois-ci, il y va plus fort et vient jouer avec l’entrée de mon vagin sans jamais vraiment y entrer. Je ne comprends pas pourquoi, mais je n’irais pas m’en plaindre… même si mon corps semble réclamer plus… mais pas moi ! Je me mords même les lèvres lorsqu’il joue avec mon clitoris, essayant de résister à la chaleur et la pression qui m’envahit. Puis il se passe quelque chose. Je ressens quelque chose me traverser et m’aider à me relâcher, et mes efforts sont anéantis : tout ce que j’essaye de contenir se libère, et me voilà en train d’avoir un orgasme.

« A-Aaaaah ! »

J’essaie d’étouffer le cri comme je peux, mais rien n’y fait : le sol et mes cuisses sont témoins de ce qu’il vient de se passer, tout comme les éclaboussures qu’il y a devant moi. Je l’entends à nouveau parler, me demandant si j’ai aimé ça… j’essaie d’avoir l’air énervée, mais je suis surtout exténuée et brûlante.

« B-bien sûr que non ! Personne n’aimerait ça ! »

Je tente de resserrer mes cuisses pour appuyer mon propos, mais j’ai les jambes tremblantes et manque de glisser sur le sol.

Navigation

[0] Index des messages

[#] Page suivante

Utiliser la version classique