13
« le: lundi 18 octobre 2010, 17:16:19 »
La déesse ne fut pas surprise par le fait de découvrir les tétons de la belle rousse qui durcissaient sous ses coups de langues. Elle y allait doucement et elle devait avouait que la poitrine de la jeune femme était parfaite, bien qu'un peu moins grosse que la sienne, mais ce n'était pas grave car elle avait hâte de découvrir le bas de son corps. Elle la sentit frissonnait quand elle attaqua son cou de sa langue et de ses lèvres. Cela la faisait rire intérieurement car la jeune femme timide essayait peut être de cachait ses émotions, mais son corps ne pouvait la trahir la dessus.
Elle décella alors le corset de la jeune femme avant de le laissé tomber au sol. Elle embrassa alors le ventre de Marine descendant doucement vers son bas ventre. Puis elle remonta, avant de passer derrière elle. Parvati lui massa alors le cuir chevelu, avant de doucement descendre vers son cou et de remonter vers sa nuque. Devenu experte en la matière avec son mari, elle alternait sur cette zone sensible, des mouvements avec les mains pleines, la paume intérieure et exterieure de ces dernières, un massage du bout des doigts, et même des poignets ou des pouces. Elle savait que les femmes étaient plus sensibles au massage que les hommes et plus particulièrement au niveau de la nuque, jusqu'au épaules.
- Alors, comment trouves tout mon massage, n'hésites pas a me dire ou tu désires te faire masser, car je connais tous les endroits interessants qui procurent le plus de plaisir.
Elle lui chuchota un mot à l'oreille.
- Peut être même, pourrais je t'apprendre comment masser un homme pour le séduire, si cela t'interesses, bien sur, hi hi hi.
Elle gardait toujours ce petit sourire coquin, non pervers car dans ce sens, cela devenait une maladie, mais plus, pour attendrir et calmer la jeune femme.
- Je devine que c'est ta première fois avec une femme, c'est très diffèrent mais moins douloureux et plus jouissif. Et puis au moins, il n'y a pas le moindre risque de tomber enceinte...As tu déjà eu des enfants ?
Sur ces mots elle massa ses épaules de la même façon en insistant cependant moins sur ceux çi, avant de passer à ses bras, ses avants bras puis à l'intérieur de ceux çi. Elle arriva alors dans le dos de la jeune femme. sachant sur quels point sensibles appuyés, elle commença son massage avec ses peaume, avant d'enchainer avec le bout de ses doigts, insistant plus sur certains points sensibles que sur la surface. De temps en temps elle lui chuchotait quelques mots à l'oreilles, des conseils pour sa vie future avec ses amants ou amantes.
- Tu es très désirable, ma chère Marine, rien que le fait de te masser cela commençe déjà à m'exciter.
En effet la déesse commençait à avoir envie de se masturber et elle sentait de la cyprine lubrifiait de sa fente, mais elle préférait attendre un peu, au moins le temps que le jeune femme commençe a prendre confiance en elle, car elle sentait qu'elle n'avait pas beaucoup d'experience avec les hommes. Mais cela ne la contrariait pas, au contraire, se sentant toujours très proche du besoin des femmes dans la vie de tout les jours, de la vie à leurs morts, Parvati était en quelque sorte la protectrice des femmes.
C'est alors qu'aprés 10 bonnes minutes de massages, la déesse, considérant que les points vitaux de la jeune femme étaient suffisamment excité, continua de descendre vers le bas du dos. C'est alors qu'elle se retourna, chevauchant la jeune femme, la regardant avec toujours un sourire coquin. Elle l'embrassa tendrement, saisissant doucement son menton, avant de rouler sa langue avec celle de la jeune femme. Puis elle quitta ses lèvres avant de s'intéresser à sa jupe qu'elle détacha, avant de lancer cette dernière à terre. Voyant la belle culotte de dentelle de Marine, la déesse se rua sur son bas ventre, embrassant celui çi, laissant trainer sa langue sur son nombril, descendant sa langue et sa bouche vers le haut de sa culotte, puis vers son entrejambe. Elle saisit ensuite celle çi par les deux bouts, la descendant lentement et longuement sur les jambes de Marine, avant de la laisser tomber par terre.
- Hmmmm, tu es aussi belle en bas que en haut, ma chére. Je me tarde de goûter à ton fruit défendu...
Ce faisant la belle déesse au corps marbré, enfourcha la jeune professeur, l'embrassant de toute sa fougue, collant son corps nue au sien. sentant cette chaleur féminine la ressourcé, elle passa une main sur ses seins qui pointaient, avant de commencer à caresser son clitoris. La jeune femme pouvait sans doute d'ors et déjà sentir le liquide séminal qui s'échappait du sexe de la déesse et qui s'écoulait sur l'entrejambe de la jeune professeur. Peut être que cela la calmerait et même l'exciterait ?