Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Rafiki

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Rafiki

Pages: 1 [2] 3 4 ... 8
16
Royaume Terranide / Re : A Upendi ( Pv Rafiki)
« le: vendredi 10 mai 2019, 17:24:00 »
Shad a beau être une magnifique Terranide, elle n'est pas comme les autres. Intrépide, solitaire, qui manipule la magie, qui peut devenir dragonne, et surtout, qui ne se laisse pas faire. Je ne connais que peu de Terranides qui peuvent se targuer de s'être rebellé face à des esclavagistes, et de parcourir le monde malgré le danger. En plus d'être mage, c'est certain. Je ne dis pas que ma gazelle n'a jamais été attrapée par ces crétins qui se croient au dessus de tout le monde, et pense que les personnes comme Shad ne sont bonnes qu'à faire les mauvaises tâches et à être engrossées. J'imagine qu'elle a dû tomber sur des mercenaires, qu'elle a dû faire confiance et que finalement, elle a rencontré des chaînes autour de ses poignets, ses chevilles et peut-être même son cou. Mais quand je la regarde, de mes émeraudes, elle est courageuse. Elle sourit, elle continue de voyager toute seule et on dirait que les expériences de la vie ne lui ont pas enlevées sa joie.

Elle n'a rien de commun avec toutes les créatures que j'ai pu voir sur Terra. Après tout, elle connait le Roi Lion. Si ça, ce n'est pas extraordinaire, je veux bien me réincarner en babouin ! Ah mais, c'est d'jà le cas ! Héhé, mais...Cela veut dire qu'elle a pu posé les pieds sur Terre. C'est quelque chose qui m'intrigue beaucoup, mais je n'ai pas envie de passer pour le lourdingue curieux qui veut tout savoir sur tout. Elle doit garder des secrets et je ne vais pas lui tripatouiller les narines pour lui tirer les vers du nez. Non, non, non. Comment ça, j'suis pas crédible ? Je vous emmerde, bien profond en plus ! J'peux être un mec...NORMAL, j'vous jure ! Dire que vous en doutez...Tss.

Revenons à nos moutons. Pour lui faire plaisir, je lui demande le souvenir qu'elle souhaite revivre. BON ! Il est vrai que j'aimerais bien que l'on se refasse notre petite partie de jambes en l'air, mais...Le faire autrement ça serait tout aussi délicieux. Et rien que d'y penser, j'en ai de la bave qui coule sur le coin de mes lèvres. Un bref coup de langue et hop, disparition de ce petit incident. Et ma gazelle a raison : ça ne sera jamais aussi parfait que la première que nous nous sommes vus. Nous étions deux strangers in the night et c'était magnifique. Les conditions ne sont pas rassemblées à l'heure actuelle, mais cela pourrait être pimenté aussi. Qui sait ? Peut-être qu'à la longue, elle sera réceptive à mes avances de lion.

Un sourire fend mes épaisses lèvres d'ébène. C'est rare que les gens souhaitent de revivre des choses aussi simples lorsque je leur offre ce genre d'occasions. Et je trouve ça drôlement mignon. Je ris brièvement, venant passer ma main sur son crâne, entre ses deux oreilles de louve.

- Tout va bien. J'vais pas t'bouffer parce que tu n'veux pas d'moi pour l'instant. Et puis...

Dans un geste doux, mon index et mon pouce viennent relever son menton pour qu'elle me fixe, plutôt que de regarder une flaque ! Toujours souriant, je lui sors ma plus belle voix rauque.

- Tes désirs sont des ordres, princesse.

Il n'en faut pas plus pour que les fantômes s'effacent de notre vision, s'éclipsant d'un coup de vent, emportant avec eux cette ambiance festive et leurs instruments, pour finalement nous laisser comme un petit couple en recherche d'intimité. Nous restons dehors, il fait nuit, c'est parfait. Aucune pluie, aucun orage ne viendra nous ennuyer. De plusieurs claquements de doigts, je prépare une sorte de lit de draps et de coussins à même le sol, un peu comme dans l'ancien Arabie. Je fais apparaître un énorme drap blanc, tendu aux quatre épingles, et qui semble voler au dessus du sol, sans attache. D'une révérence gracieuse vers ma compagne de soirée, je l'invite à s'installer agréablement.

- Que la gazelle prenne ses aises. Souhaiterait-elle des boissons et autres victuailles ? Je peux lui donner tout ce qu'elle désire, même des choses provenant de la Terre.

Un autre rictus étire mes lèvres. Elle peut me demander du Coca-Cola, que je lui en donnerais. Des pop-corns ? Sucrés, salés ? Possible aussi. Du bacon, un hamburger ? Des fruits à foison ? Tout est possible, tout est réalisable. Et je lui réserve d'autres surprises, pendant le film. M'affalant dans les coussins, je cale mon dos correctement, les bras derrière la tête. En attendant que ma douce me réponde, je lance les crédits de promotion d'autres films sur le drap. D'un autre claquement de doigts, je fais apparaître une sorte de télécommande dans les mains de Shad. Elle aura le loisir de lancer le film quand elle le souhaitera.

- Tout t'attend pour revivre ce moment.

D'où le son vient-il ? Comment le film est-il projeté ? Ha ah ! C'est un secret, messieurs, dames.

17
Royaume Terranide / Re : A Upendi ( Pv Rafiki)
« le: lundi 08 avril 2019, 19:36:37 »
Tss ? Quoi « Tss » ? Hé, c'est toi qui m'a mis la puce à l'oreille pour qu'on baise comme on l'a déjà fait ! Je n'y suis pour rien, ma gazelle ! Je ne fais que me retenir depuis qu'on s'est retrouvés, dans cette grotte. J'avoue que...Cela doit être notre rendez-vous, cet endroit. Une grotte de glace, histoire qu'on se les pèle BIEN, et qu'on fasse l'amour à en crever pour se réchauffer ! Mais là, c'est pas possible. Ma tendre compagne de soirée souhaite me faire attendre, alors je le ferais. Tout doux, Raf' ! Tout doux...

Elle voulait poser des questions, elle l'a fait. C'est à mon tour maintenant, et je me suis toujours demandé pourquoi un si joli minois voyageait tout seul. Pourtant, c'est une Terranide superbe, sauvage et douce à la fois, intrépide, qui a de puissants pouvoirs, et qui en plus, peut devenir dragonne ! C'est le jackpot là, je ne vois pas la chose autrement. Ah ! J'oubliais le principal : c'est une BOMBE au lit ! Voilà le tableau pour décrire Shad. Alors pourquoi elle si solitaire ?

Mais j'ai mes réponses désormais. Elle n'a jamais eu la petite étincelle, celle qui enclenche le feu de l'amour et de la passion, brasier dévorant qui peut nous faire aimer la vie, comme la détester parfois. Ce même feu qui a dévoré mon corps autrefois, mais pas mon âme. Je me pince les lèvres pour ne pas penser à ce petit barbecue où j'ai été les bons ribs à faire griller. Ferme ta gueule, Raf' ! C'était il y a des siècles, cette histoire !

- Je suis un homme qui sait se tenir, m'enfin!

Pas tout le temps, maiiiiis...Pour Shad, je le saurais. Ou j'irais la titiller pour qu'elle craque. Maiiis...

- Mais il est vrai que de voyager toute seule, ça t'apprend à te débrouiller, et tu peux tomber sur plus fort que toi. Comme moi, en fait!

Je m'écarte un peu. Je montre mes muscles.

- J'ai des pouvoirs cosmiques phénoménaux ! Mais j'suis pas enfermé dans une bouteille, moi. Enfin, après, j'irais pas les utiliser contre toi, sauf si tu m'y obliges...

Shad est mon amie, mais je ne suis pas fou. Je connais les êtres qui peuplent la Terre et Terra. J'en ai traversé des siècles, à les observer, les manipuler aussi. Je ne suis pas tout blanc, et je ne suis pas tout noir non plus. Noir...Vous avez compris la blague ? ...Bon. Cependant, je sais que même si une personne est bien intentionnée, elle peut révéler un tout autre visage dans des situations extrêmes, notamment qui peuvent amener vers la mort. Mais, passons.

Je prends place sur un des gros rondins qui sont posés là pour servir d'assises, prenant le verre d'eau que ma belle gazelle me tend. Je la remercie d'un sourire Colgate et je bois une gorgée. C'est vrai que se déchaîner sur ce genre de sons donne soif. Et puis, je la vois faire, foutre la flotte au sol. J'arque un sourcil. J'comprends rien ! Qu'est-ce que tu fous, Shad ? Ma foi, je la laisse faire, et v'là qu'une flaque, une bonne grosse flaque apparaît devant moi. J'y fous un orteil, amusé. Ma compagne de soirée m'entoure les épaules de son bras, puis se penche sur la flaque...Elle me sort ça, vraiment ? Je n'peux pas m'empêcher de sourire, et de rire un peu.

- Tu ne connaîtrais pas le film du Roi Lion, toi, par hasard ? Mais genre, par cœur?

Quoi ? Elle doit connaître la Terre, hé ! Vu comment elle voyage et tout. Mais oui, elle a raison. Y'a bien les reflets de mes fantômes dans cette flaque, ces esprits que je fais vivre grâce à mes souvenirs, et à mes pouvoirs. Un soupir s'extirpe de mes lèvres gonflées, mais je garde le sourire.

- Si tu devais revivre un souvenir, ce serait quoi, ma belle ? Ah ! Et si tu me dis notre première rencontre, j'te saute dessus.

Mise en garde, elle a intérêt à faire gaffe à ce qu'elle dit. J'attends tout de même une réponse de sa part. Pour détendre l'atmosphère, je me défais d'elle, et je me remets à danser, tout en sautant dans la flaque d'eau, nous éclaboussant tous les deux au passage. Je suis rieur. Je me sens léger.

18
Royaume Terranide / Re : A Upendi ( Pv Rafiki)
« le: lundi 04 mars 2019, 16:53:08 »
Upendi était un lieu si animé autrefois. Mais cela remonte à bien des siècles, et je n'fais réellement vivre mes souvenirs qu'à travers cet endroit, où beaucoup de fantômes du passé résident ici, selon ma volonté. Ces ombres colorées ondulent et tapent du pied en rythme devant moi et ma compagne de soirée, en la personne de Shad. La poussière rougeâtre se soulève à chaque pas comme si elle était possédée par ma magie à son tour, alors que pour une fois, j'y suis pour rien ! Le son des percussions résonne dans le sol et jusque dans mon cœur, où s'y mêle une certaine mélancolie et une joie immense. P'tain...

Je reporte mes orbes d'émeraudes sur mon amie, curieux de connaître sa réaction. Ses oreilles s'agitent tellement que c'en est mignon. Bordel, Shad, t'es à croquer. J'suis pas cannibale, mais j'te bouff'rai bien toute crue ! Héhéhé ! Je hausse mes sourcils sombres quand dans un mouvement un peu sauvage, elle me prend les mains et me tire à elle, pour que nous puissions nous éclater avec les esprits, profitant de cette fête qui bat son plein. C'est vrai qu'il serait triste de pas en profiter mais, clairement...JE SUIS ROUILLÉ, PUTAIN ! Les grosses caisses battent le rythme, suivis des chants et cris de mes fantômes. Rouillé, vous dis-je ! C'est pas grave, au fur et à mesure de mes bonds, je retrouve mes talents de danse guerrière. Il ne manquerait plus que je sois affublé de mes plus beaux bracelets de perles, ou de mes colliers de crocs de lions et de crocodiles, et le Raf' d'antan referait surface ! Mon regard revient sur Shad, alors que mon corps ondule, sautille comme une gazelle en train de fuir. J'lui sors mon big smile, lui dévoilant mes dents de nacre. Elle s'en sort bien la bougresse ! J'peux pas m'empêcher de zieuter vers sa poitrine, qui se secoue en d'agréables petits bonds. Grrr ! RETENEZ-MOI !

La musique se calme enfin, les musiciens passant sur des xylophones d'ivoire. J'observe la louve, exténuée, et j'peux pas m'empêcher de me marrer un peu, même si j'suis également admiratif. Je fais un « O » de la bouche, faussement outré par la remarque qu'elle me lance, en plus de la pichenette sur mon gros pif. J'éclate d'un rire franc, de ma voix grave et roulante. Plus douce, elle s'approche de moi pour se coller, et j'suis pris d'un soudain frisson. Un putain de bon frisson. Ce sourire ne quitte plus mes lèvres sombres et charnues. J'arque un sourcil, perplexe, quant à l'excuse de Shad et...ses pensées friponnes ! Joueur comme je suis, j'ondule sensuellement contre elle, posant une de mes grandes paluches dans sa chute de reins. Beh quoi ? On s'refait pas !

- T'as pas à t'en faire, ma belle, vraiment. Tu viens de me redonner le sourire rien qu'en te déchaînant à l'instant. Et puis, regarde, je l'ai encore, ce sourire.

Mon autre main chemine le long de son bras pour chatouiller son épaule, ainsi que son cou, simplement. Elle termine sa course dans sa longue chevelure, que je m'amuse à peigner de mes doigts.

- Même si l'idée de...Hein ! ...est loin de me déplaire, ma gazelle !

J'en aurais presque une gaule. Presque, pardi ! Mais je suis plutôt calme pour l'instant, malgré cette chaleur qui point le bout de son nez en moi et chatouille mon bas-ventre. Et puis, elle se montre douce également, la tête collée contre mon épaule. Je baisse légèrement le visage pour de mes imposantes narines, je vienne renifler l'odeur de sa chevelure, mes doigts pianotant et massant sa chute de reins.

- Tu veux également un interrogatoire ? Mmh...Et bien...Pourquoi une jeune et belle gazelle comme toi est toujours seule quand je la croise ?

Tiens, c'est vrai ça ! T'as aucun prétendant ou quoi ? J'ose pas l'croire. C'est pas possible. Avec un corps comme ça, surtout qui ne veut plus quitter le mien dans cette paisible étreinte, comment peut-on être encore seule ?

19
Royaume Terranide / Re : A Upendi ( Pv Rafiki)
« le: jeudi 06 décembre 2018, 14:18:04 »
Shad, tu m’as manqué, tu sais ? T’es belle, et naturelle, et ça me plaît grave. Au moins, pas d’artifice avec toi. T’es plutôt volontaire, et je ne t’ai jamais vu effrayée de quoi que ce soit. Hé ! À en parler ainsi, on pourrait presque croire que je fais l’éloge de la femme parfaite ! En fait, peut-être que tu l’es vraiment. T’es toute douce, avec tes oreilles et ta queue de louve ! Agrouh ! Tu peux devenir un dragon, grand comme pas possible ! Plus grosse que ma qu…Okay, j’me tais. Jt’ai jamais vu rechigner aussi. Ah, et le plus important : t’es super douée au plumard, même siiiii…On l’a fait dans un jacuzzi made by me. Alala, c’était génial et ce souvenir m’hante encore. J’crois même que j’ai envie de me palucher là, tout d’suite ! Mais, c’est pas le bon moment pour ça. Pour une fois, on est en mode sérieux, peut-être même un peu trop sérieux. Ca fait bizarre de montrer l’autre facette du Rafiki farceur.

Un soupir s’extirpe de mes lèvres d’ébène alors que je la fixe, perdue entre la joie d’être ici et la mélancolie que je lui inspire. Hé…Je ne pensais pas revenir ici en y amenant une amie aussi sexy que ça, dans ce coin reculé de mon imaginaire. Ami…Voilà bien un mot que je n’ai pas vraiment prononcé, ni considéré depuis bien des années. La plupart des personnes que je considère comme mes amis, sont mortes aujourd’hui. Les femmes que j’ai ravi de ma présence masculine ne sont pas touuuuutes des amies, et concrètement, des hommes, j’en ai farci aussi, mais de là à dire que ce sont mes potes, non…Alors, j’agite mes épaules légèrement, pris d’un frisson qui me ramène sur Terre. Enfin…Plutôt dans mon village.

- Allumer…le feu ! Allumeeeeeer…le feu ! Et voir grandir…la flamme de vos yeuuuux-euuuuh !

Hop, je tousse un peu, et c’est ni vu, ni connu…Ni entendu. Shad, oublie, maintenant ! Quoique non, c’est pour détendre un peu l’atmosphère, car ouais, j’te vois pas vraiment à l’aise, même siiiii…La bouffe, ça aide un peu. Je souris grandement en la voyant entamer le plat et de voir que ouais, ça pique quand même, même si c’est du mafé. Elle descend la cruche d’eau un peu vite d’ailleurs, alors à mon tour de claquer des doigts et de faire en sorte que ce soit une cruche qui ne se vide jamais complètement. Magie, en veux-tu, en voilàààà ! J’suis quand même content que ça lui plaise. Ça ravit son estomac et le mien. Prenant grande bouchée par grande bouchée, je continue de la fixer comme si c’était la Joconde, en bien plus bonne, faut bien se le dire !

Éclairés par les ondulations dansantes des flammes du bûcher, je la laisse finir son repas et me poser ses mille et une questions, si elle le souhaite. J’agite un peu les oreilles, comme si j’étais un buffle, et mon sourire s’élargit enfin pour lui répondre sincèrement.

- Je peux être tout et rien à la fois. C’est ça qui est magique ! Mon apparence de base est celle sous laquelle tu m’as rencontré, l’autre fois. Mais j’suis heureux d’savoir qu’tu m’trouves toujours aussi sexy qu’avant !

Héhéhé…Un petit coup de coude dans le bras de ma charmante compagnie, accompagné d’un sourire à la Colgate, et le tour est joué. J’suis du genre taquin, je sais. Il s’efface un instant, pour montrer que je suis plus sérieux quant à ce qui va suivre. Mes yeux fouillent les alentours tout en même temps que je lui réponds.

- Nous sommes à Upendi. C’est…Une réplique de mon village d’autrefois, avant que je ne devienne ce que je suis aujourd’hui, et que tous soient sous terre. Mais il n’est pas aussi mort ou vide que tu ne le crois.

À mes paroles, des percussions se font entendre de loin. Devant nous, sortant des cases du village, sortent des silhouettes à l’allure colorée, mais on peut voir concrètement qu’il ne s’agit là que de fantômes. Les spectres s’agglutinent devant nous, avant de se répartir sur les troncs tout autour qui servent d’assises. Les musiciens continuent de jouer, tandis que d’autres se mettent à danser en ronde près du feu. C’est rythmé, endiablé…C’est beau. Et ça m’rend putain de nostalgique. Une boule se sert dans ma gorge, mais je reste souriant face à ma gazelle.

- C’était ainsi auparavant.

Malgré la tristesse qui m’envahit, mes épaules remuent légèrement et je me laisse porter par le flow, tout en fixant les spectres de mon passé.

20
Royaume Terranide / Re : A Upendi ( Pv Rafiki)
« le: lundi 15 octobre 2018, 19:39:48 »
Je l’ai entendu, sa petite invitation. Ou alors, ce n’est qu’une farce, qu’elle essaie de me faire perdre la tête un peu plus ? SHAD ! C’est pas bien de jouer avec moi ! Je suis Rafiki, le grand Rafiki ! Faut pas se moquer de moi comme ça ! Sinon…Mais, à dire vrai, je n’avais pas envie de blaguer juste là. Elle m’a demandée si je pouvais l’emmener chez moi. S’il-te-plaît, princesse, je t’accorde ce vœu mais…Essaie de ne pas tout briser. Je…Merde. J’fais trop dans le sentimental là, ça va pas. Ce n’est pas moi ! Pourtant, j’me permets de la faire venir ici, dans mon petit coin paumé, loin dans mes souvenirs, loin dans mes songes. Elle ne doit pas bien comprendre où elle est, mais ce n’est pas grave.

C’est comme dans mes souvenirs. Le village est resté tel qu’il était, du jour où je suis né, jusqu’à ce que je devienne ce que je suis. Jusqu’à ce que ceux qui étaient mes amis disparaissent et laissent les générations suivantes prendre le relais. Argh…J’ai un pincement au cœur. C’est un peu pour ça pour que je ne viens ici que rarement. Il y a une certaine époque qui me manque, mais cela remonte à tellement loin maintenant, que j’ai l’impression que ce n’est plus qu’un rêve, que tout cela n’a jamais existé. Je me perds un instant dans la contemplation de mon village, de ses maisons de terre rougie et ses toits secs. Je prends une profonde inspiration et je repose mes mirettes émeraudes sur ma douce invitée.

Elle a faim, j’le sais ! Je l’ai entendu son p’tit estomac grogné, là ! Comme un petit lionceau qui réclame le lait de sa mère. Je ricane un peu mais elle me stoppe en plein air.

- Un plat d’ici ? Que…Ah merde, attends…Faut que je réfléchisse !

Ça me bloque en plein élan ! Qu’est-ce que je vais bien pouvoir lui sortir là ? Allez, Raf’, c’est pas bien compliqué ! Ca doit être comme les hommes. Sors un bon truc et si tu ravis son estomac, t’as gagné ! Faut pas trop qu’ce soit épicé, j’sais pas si ma douce gazelle aime ça, ou bien même, le supporte. J’dois avoir l’air con, avec la main droite qui me gratte la barbiche, le nez levé au ciel, le regard voyageant ici et là, cherchant graaaaaande inspiration dans le crépuscule. Oh, hé, vaut mieux être sûr des choses, hein.

- T’aimes c’qui est épicé ? ‘Fin…Tu supportes ?

D’un geste d’une main, je l’invite à aller s’asseoir devant la grande case du milieu du village. Non seulement, elle dépasse toutes les autres, mais en plus, devant elle se dessine la grande place. C’était un lieu de rassemblement avant. On y trouve des troncs de bois, attachés comme un tipi avec, en son centre, des montagnes d’herbes sèches. Tout autour, en cercle, d’autres troncs. Eux sont couchés, servant de bancs pour…Rien du tout. Juste nous deux. Je lui montre qu’elle peut s’y installer. Qu’elle se mette à l’aise. Enfin…Dans un sourire en coin, et en toussant un peu, d’une voix bien différente, j’lui demande.

- Ah que…Allume-nous le feu, chérie.

Haaaa, paix à ton âme, mon beau Johnny ! T’vas manquer à la Terre ! Je chantonne du coup. Ah bah, c’est que ce genre de musiques, ça vous reste dans la tête ! Et une fois que vous l’avez, vous ne pouvez QUE chanter, même si vous n’aimez pas ! Alors, ME JUGEZ PAS, OKAY ? Hé, vous avez oublié que j’étais un génie, hein ? J’ai pas besoin de cuisiner, moi ! À peine j’ai posé mon petit cul sur un rondin de bois, que je claque des doigts et que je fais apparaître du mafé dans de grandes assiettes creuses en terre cuite, comme avant, et des couverts en bois, sauf les couteaux. Je fais apparaître, en moins de temps qu’il ne faut le dire, deux cruches d’eau à nos pieds. Au loin, le crépuscule tombe petit à petit. Shad, si tu veux voir quelque chose, faut qu’il y ait du feu.

21
Royaume Terranide / Re : A Upendi ( Pv Rafiki)
« le: vendredi 14 septembre 2018, 16:38:26 »
Je crois que je lui ai fait un peu peur avec mon attaque câline. Elle n’a pas bougé de suite, et je l’ai bien senti. Ce n’est pas grave. Je te câline quand même, ma Shad ! C’est de ta faute ! Tu es si douce et moelleuse. Et bordel à queues, ça me rappelle tellement notre partie de jambes en l’air de la dernière fois. Foutre dieux…NE PAS Y PENSER, RAFIKI ! Stop ! Il faut que j’arrête ! Sinon, je vais avoir une gauuuule monstrueuse et elle va penser que je ne suis content de la voir que POUR BAISER ! Certes, j’aimerais bien, mais quand même. Tout doux, Popole. Calme, c’est juste…Shad.

Elle semble se calmer ensuite, ou se reprendre, je ne sais pas, m’entourant de ses petits bras. Là, c’est cool ! C’est tout tendre, et je dois avouer que pour une fois, j’aime jouer les marshmallows. Mais elle repart, s’éloignant de moi pour regarder dehors. Reviens, Shad ! C’était CLAIREMENT trop court ! …Pas comme ma bite. Héhé. Bref.

Il me semble qu’elle énonce différentes choses, là, actuellement, mais j’ai putain de mal à me concentrer. Elle vagabonde dans la grotte, ici et là, les mains dans le dos, ce qui m’OBLIGE, oui oui OBLIGE, à regarder sa chute de reins…Où se balance aussi sa queue, de gauche à droite, comme un pendule. Je me laisse hypnotiser comme un bleu, et quand elle me demande quelque chose, je réponds intelligemment :

- Hein ?

Je claque ma langue contre mon palet, avant de reprendre un peu conscience de ce qu’elle me demandait. Et voici le retour des yeux de merlan frit !

- D’où je viens ? Comment ça ? Tu veux dire…Chez moi ?

C’était…putain d’inattendu ça. Bordel de merde. Elle m’a coupé en plein vol alors que j’admirais ses formes de déesse à queue. C’était bien la première femme en des siècles d’existence qui me demandait à ce que je l’emmène dans ma case. OH PUTAIN PUTAIN PUTAIN ! C’est le…rêve complet. Je dois avoir ma bouche ouverte en grand à en faire passer un hippopotame dedans, tellement je suis surpris par sa question. J’essaie de revenir à la réalité, mais en fait j’y étais déjà. Je m’ébroue, comme un cheval. La fixant d’un regard profond, je lui réponds, le plus sérieusement du monde. Si ! J’vous jure !

- Si tu n’as pas peur du voyage pour l’atteindre, avec plaisir, ma gazelle.

Ma voix est étrangement douce. Oh putain, elle vient de me faire tellement plaisir que j’en ai le cœur fondant, comme dans ces pâtisseries avec le cœur chocolat qui dégouline ! En vérité, pour y aller, ce n’était pas la mer à boire, aglou aglou. Non. Il suffisait que je la prenne contre moi, et pouf ! En un rien de temps, elle pouvait être chez moi.

- En fait, il suffirait que tu le souhaites, et que tu te tiennes à moi, pour y être en moins de temps que tu le penses. Ca fera juste des guillis à ton bidou affamé.

J’émets un sourire en entendant son ventre grogner, et j’étais prêt à lui répondre quand elle m’a coupée la chique sous le pied ! La pétasse ! Putain…Je suis pris d’un fou rire, faussement offusqué, tout en me tenant le paquet des deux mains.

- Hé ! T’as pourtant goûté et ce sont les meilleurs fruits que tu ne trouveras jamais !

Moi, vantard ? À peine. Je lui tends ma main pour l’instant dans une fausse valse pour nous emmener chez moi. Je lui demande de fermer les yeux. Le voyage ne dura qu’une petite dizaine de secondes. Elle a peut-être eu des fourmillements dans les jambes, et se sentir engourdie, mais tout va bien. Je lui dépose un baiser sur la joue, une invitation à ouvrir les yeux.

- Bienvenue à Upendi.

Ce chez-moi est partout et nulle part à la fois. Il ressemble à là où j’ai vécu autrefois, quand j’étais encore qu’un être de chair, et mortel. Il fait penser à une vaste savane, non loin de grandes montagnes. Un village prône là, de vieilles cases à la rwandaise de l’ancien temps. L’un d’entre elles, celle du centre du village, est bien plus grande que les autres. Celle-là, c’est la mienne. L’air est chaud, mais doux à la fois. Le soleil déploie une lumière chaude de fin de journée, arrosant le ciel de sa lumière orangée.

Je la laisse découvrir, vagabonder si bon lui semble. Cela fait un moment que je ne suis pas revenu ici. Cela me rend…nostalgique. D’un ton doux, je me penche à son oreille, bras dans mon dos.

- Que voudrais-tu manger, princesse ?

Ce n’est pas toutes les gazelles que je ramène ici…Aucune, en fait. Shad, dis-moi que tu aimes, car tu es la première à voir tout ceci.

22
Royaume Terranide / Re : A Upendi ( Pv Rafiki)
« le: samedi 23 juin 2018, 23:24:27 »
Oh putain. C’est tout ce qui se passait dans ma tête à ce moment-là. Ce dragon, il devait bien faire dans les dix mètres de hauteur, ou presque. Puis, il est imposant l’bestiau ! Super beau, certes, mais imposant ? À mon salut, il est surpris et décide de rapprocher son énorme tête de moi…OH PUTAIN, il va m’bouffer ! J’le sens ! Mais ce n’est pas pour autant que je bouge d’un poil. J’suis un bonhomme, un vrai ! S’il essaie de me croquer, j’me fais microscopique et j’passe au travers de sa grande gueule qui doit puer l’cadavre ! Hinhin, j’ai tout prévu ! Ou pas…

- « Raf’ ? »

Je ne rêve pas. C’est bien mon nom, surnom même, que j’ai entendu. J’dois regarder l’énorme écailleux avec des yeux de merlan frit en cet instant, mais il y a de quoi, par tous les seins ! Ce dragon me connaît bien, on dirait, et a, en plus, une voix féminine. Une dragonne donc…

- Euh, ouais ?

Qu’est-ce que je pourrais répondre de plus à ce qu’elle vient de dire ? J’me sens terriblement con, sérieux ! J’essaie de me rappeler, de fouiller dans mes souvenirs les plus lointains, et j’me souviens pas d’une dragonne en particulier, ni qui lui ressemble pardi…Qu’elle ne fut pas ma surprise de voir disparaître cette énorme masse draconique, pour devenir…

- SHAD !

Je la détaille de haut en bas, de gauche à droite, des nichons aux cuisses. Ah putain, elle est toujours aussi bonne. Bandante à souhait ! Miam ! J’suis tellement heureux de la revoir ! Ca fait un bail, vraiment. Alors oui, elle a…un peu changé, mais vraiment, je suis CON-TENT ! Elle me parle du sauna que j’av…Et attendez, c’était un jacuzzi ! Même qu’elle avait pensé que j’pétais dedans…J’suis pas délicat comme homme, mais j’suis pas un porc ! Je suis pas Pumba. J’hésite à aller vers elle avant qu’elle ne termine de me parler. Elle a l’air un peu mal à l’aise, non ? Ou pressée de partir, plutôt…Est-elle vraiment ravie de me voir ? Après, c’est vrai que l’endroit n’est pas très propice à discutailler tranquillement. On se les pèle. Avec mon short et mon t-shirt, j’vais pas durer longtemps.

- D’abord, câlin de retrouvailles !

Hé, j’suis pas une lopette ! Juste que j’suis en manque, VRAIMENT en manque de tendresse et, surtout, de contact. Je m’approche d’elle d’un pas décidé, et englobe son corps humanoïde de mes bras musclés de grand black. Haaaa, cette sensation ! Elle est si douce et si moelleuse. L’étreinte est marquée mais tendre à la fois.

- Ca m’avait manqué ! Bon, tu veux qu’on aille où avec cette tempête de neige ?

Ce n’était qu’une simple question, et tout en même temps, je la gardais contre moi. J’étais clairement en manque d’attention, de câlins, de jeux, et aussi je commençais à être en manque de chaleur. J’veux bien qu’elle soit devenue balèze, mais elle veut aller où par ce temps ?

23
Royaume Terranide / Re : A Upendi ( Pv Rafiki)
« le: vendredi 22 juin 2018, 18:15:31 »
- Kof ! Kof ! Kof !

Un nuage de poussière s’élève ici et là. Un véritable brouillard. Putain, mais t’as vu toute la merde qui s’était accumulée sur moi pendant tout ce temps ? Salope de narratrice ! T’as osé me foutre au placard pendant quatre ans. QUATRE ANS ! Tellement longtemps qu’avec cette poussière, j’suis devenu blanc ! Que dis-je ? Je suis gris. Oh wait, j’suis le nouveau Michael Jackson. Avec les affaires de pédophilie en moins. Un peu de musique, maestro, pour mon retour ! Bon…Quatre putains d’années quand même, à rester dans le noir, insert a private joke, héhé, sans bouffer, sans manger, sans dormir…Sans niquer ! Putain, tu fais chier, toi là qui écrit. J’ai les balloches pires que des boules de démolition, et y’a pas Miley Cyrus dessus hein ! Et ça fait mal, par Toutatis ! J’ose pas bouger, j’sens que ça va péter si j’bouge d’un pouce ! C’est pas humain de m’avoir laissé comme ça, sérieusement ! J’agite les bras que j’tiens en équilibre dessus, bordel de merde. J’ai la dalle ! J’ai soif ! J’veux d’la lumière ! J’veux baiseeeeeeeeeer ! M’vider les couilles ! Et puis…

Oh putain ! Mais…Je me touche le visage et me tripote le crâne pour être sûr, mais…T’as changé ma gueule d’amour ! Je vais voir si elle a changé autre chose, ma créatrice, allant même toucher ma queue et mon cul, ainsi que mes pecs. C’est bon, tout est en ordre, ouf ! Mais quand même…Bordel, y’a de la masse là-haut. J’ai des dreads, ma gueule ! Jusqu’aux omoplates, c’est sexy ! Et j’ai une moustache, avec un léger début de barbouze, deux fois plus sexyyyy ! Tu sais, je t’aime hein, créatrice de mon cœur. J’vais pouvoir choper comme ça, encore plus ! …Comment ça, ça sonne faux-cul ? Bien sûr que j’suis sincère ! J’le suis toujours ! Taisez-vous les petites voix, là ! Je n’ai pas pris de bide, à ce que je tâtonne, et j’ai toujours mon p’tit cul d’ébène tout musclé. Agitons, agitons, et même les thons me tomberont dans les bras ! …Ouais, enfin, si je pouvais éviter les bien bien vilaines, ou même vilains, ça serait bien. J’veux surtout de la femelle, quand même.

En parlant de femelle, il faudrait peut-être que je me remette en chasse ! Euh, en selle je veux dire !  Je ne suis pas un prédateur, c’est faux ! Pour une fois, on va éviter la forme de babouin pour une première approche, bien que cela ait bien fonctionné avec Lili, mais cette histoire remonte à tellement longtemps, et je ne vais pas me mettre des lunettes et m’asseoir dans le fauteuil pour vous en conter l’histoire ! J’suis devenu tellement beau gosse là, faut que j’en profite. Bon, la question maintenant c’est : d’où que j’vais ? La Terre ? Terra ? Des humaines, de ce qu’il y a de plus simple, ou des femmes de toutes formes et races différentes ? Quoique, sur Terre aussi, on en trouve de ce genre de bestioles là : vampires, succubes, terranides exilées…Tiens, ça me rappelle la petite Shad. Je me souviens qu’elle m’avait chantée du Disney avant qu’on commence à bai…J’me demande bien ce qu’elle devient.

Oh…J’me sens barbouillé. Hé ! Créatrice ! C’est toi qui fait que ? Non ? Ah…C’est quoi ce tourbillon que j’sens dans le bidon ? Et nan, j’ai pas la tourista ! Bande de gros dégueulasses là ! Tss…Et puis, soudain… J’ai à peine cligné des paupières que me voilà dans une grotte gelée ! AH PUTAIN CA CAILLE ! J’suis qu’en short et en t-shirt ! J’vais pas aller loin comme ça ! Et puis…

- OH PUTAIN DE BORDEL DE MARDE !

Oui, j’ai pris l’accent québécois à la fin. Ne me demandez surtout pas pourquoi. C’est quoi de cette créature ? J’le crois pas, un dragon ! Un putain de dragon devant moi, qui…Faisait sa toilette ? J’s’rais devenu tout blanc si j’avais vraiment peur de me faire croquer. Mais j’crois qu’avec le cri de surprise que je viens de pousser, et que ma capacité de camouflage à zéro en cet instant, j’suis repéré…Alors, tentons le tout pour le tout. Un petit salut de la main et…

- Luau !

J’me facepalm mentalement. Quel idiot.

24
C’est géant. Être en elle, lui écarter les chairs intimes de mon manioc tendu, m’enfoncer encore et encore dans cet antre humide dont les bruits obscènes semblent être une douce mélodie, tout ceci me fait partir en vrille. J’ai beau la prendre puissamment, sans faillir, j’en tremble de partout. Mon aine est parcourue de frissons et rougit de claquer contre l’intimité de Shad. Cela faisait un moment que je n’avais pas touché une femme ainsi. Je pourrais me payer une pute dans un des quartiers de Nexus par exemple, mais ce n’est pas du tout mon genre. Je préfère quand une belle dame succombe à mon charme de black en rut. C’est divin avec Shad. Son côté terranide louve est envoûtant, et rend nos ébats si, mmh…Sauvages. J’adore.

On a beau être à moitié dans le bain chaud et que l’eau aide pas mal dans notre partie de jambes en l’air, j’arrive à sentir, grâce à mon membre dur comme un roc, qu’elle mouille, et ce, pas qu’un peu. La coquine…Putain, ça me plaît grave ! L’entendre gémir et même couiner, ça me rend fou. Qu’elle agite son bassin, ondulant telle une danseuse sur mon vit, ne me fait qu’augmenter la cadence de mes coups de reins. Et ça claque. Ca claque terriblement fort. Je sens mes chairs, ma peau, rougir et chauffer, et je suis certain qu’il en est de même pour ma princesse.

J’accélère mes coups de bassin, mes hanches venant claquer avec force contre son entrejambe. Je ne fais que répondre à ses attentes, à ses envies. Bon, d’accord. Aux miennes aussi. Mais de savoir que c’est ce qu’elle souhaite, que je la prenne de toutes mes forces d’homme, ça me fait sourire et…Ca gonfle mon ego aussi ! Hu hu hu. Un frisson me parcoure l’échine, secouant mon corps doucement. La coquine descend le long de mon dos du bout de ses doigts. Grr…Et arrive à mes fesses, qu’elle presse, caresse, malaxe tendrement. Mmh…Tu les kiffes, hein ? J’ai un bon boule, hein ? Oh oui, continue de le prendre en mains, il est tout moelleux, n’est-ce pas ?

Rawr. Ses cuisses se resserrent contre mon bassin. Je le sens. Elle ne veut pas que je la quitte. Ce que t’es bonne, ma gazelle…Shad revient se saisir de mes lèvres, et avec fougue, je réponds à son baiser, venant fouiller sa bouche, chaude et humide, de ma langue. Un baiser fiévreux qui ne dure que quelques malheureuses secondes, avant qu’elle ne s’arrache de mes lèvres d’ébène. La belle se cambre et put…PUTAIN ! J’en gémis plus fortement. Et elle s’agite, s’agite sur mon pieu de chair. La louve cale son visage dans mon cou, ma peau noire parcourue de frissons à cause de sa respiration brûlante. Je sens qu’elle flanche, alors j’accélère encore mes coups de reins pour la limer, encore et encore jusqu’à...

- Mmh !

Son soupir en dit long sur le plaisir qu’elle prend juste à l’instant. Elle se tend, se crispe sur moi, fond littéralement entre mes bras. J’en tremble. Ses chairs intimes se resserrent sur mon manioc tendu, comme coincé dans un étau voluptueux. Je sens mon jus au bout de ma queue. J’en halète. C’est divin. Je continue un peu mes coups de butoir, coinçant ma tête dans son cou, tout en fermant les yeux. Boum ! Boum ! Boum !

- Haaaaaaaan…

Je te lâche un râle puissant, fort, tout contre la peau nacrée de la louve. Oui, je l’étouffe un peu, mais tant pis. Shad peut totalement en profiter, ma bouche proche de son oreille. Allez, soyons crus ! Je la remplis comme un dingue de mon foutre, de ma crème blanche, profondément ancrée en elle. Round one terminé ! Tout tremblant, je viens me défaire de son étreinte, mes mains se posant sur ses cuisses pour qu’elle lâche mes hanches. Je la dépose dans l’eau, avec tendresse, pour finalement m’installer à côté d’elle. Je me glisse dans l’eau. J’en pousse un soupir d’aise. Putain, ça fait du bien. J’en ferme mes orbes émeraudes pour me prélasser, près de Shad. Un sourire fin et satisfait orne mon visage de beau gosse. Si la belle en veut davantage et immédiatement, qu’elle vienne se servir un peu. J’en serais ravie. L’eau est toujours chaude et les bulles du bain viennent relaxer mes muscles, mis à l’épreuve pendant l’acte. Idéal pour me détendre un peu. Bien que…Mon manioc noir est encore bien droit comme un pic, pointant le bout du mât hors de l’eau.

25
C’est qu’elle mord, la belle louve ! Ce n’était plus un suçon, mais bien une marque de dents qu’elle va me laisser sur la peau de mon cou. Je sens même qu’elle en aspire le peu de sang qui en coule. Coquine, la petite Shad. Sa langue râpe un peu ma peau, ce qui me fait frissonner assez fortement. Raaah…Ses petits couinements, ses francs gémissements ne sont que douce mélodie à mes oreilles. Cela prouve que je m’y prends bien, et peut-être plus que bien. HEIN QUE JE SUIS DOUÉ ?!

Je la soulève alors pour changer de position et de prendre les ébats en main. À moi de prendre les rênes. Je la plaque contre la paroi du bain et c’est froid, à voir son corps secoué par un frisson, toujours entre mes mains. Toujours planté en elle. Je recommence les vas et vient dans son antre à plaisir trop serrée. Mais je joue avec elle. J’y entre fortement, profondément, à lui en arracher des râles chauds d’envie. J’y ressors très, mais alors, très lentement, pour ressentir cette cannelure que j’écarte de mon chibre imposant. Pfiou…C’est bon.

Shad se penche un peu plus, se cambre même, m’offrant alors son intimité sous un angle légèrement différent. Mon manioc, tendu à l’extrême, ressent davantage de plaisir à racler ses chairs intimes. Bon dieu, j’adore. Je surkiffe même. C’est géant. Cela m’arrache des gémissements, lourds et profonds. Ca me brûle lentement la gorge.

La belle louve tremble entre mes bras. Mmh…C’était l’effet escompté ! Mouhahaha ! J’assure ! Shad revient vers moi, alors que je continue mon petit jeu, y allant lentement en elle. Sa poitrine humide se colle alors à mon torse glabre. Rrr…Elle vient cueillir mes lèvres ébène, de la pulpe rosée des siennes, faufilant sa langue dans ma bouche pour valser contre la mienne dans un ballet sauvage et fiévreux.

Mais c’est que la demoiselle en demande davantage. Une gourmande, en plus de faire la sauvage ? Ca me plaît bien. Ca me plaît tellement en fait, que je m’en mordille la lèvre inférieure en relâchant sa bouche. Je soupire chaudement contre son visage. Si elle en veut plus, je vais lui en donner. Mais pas de suite. Je veux la frustrer encore un peu, histoire qu’elle réclame plus, toujours plus. Qu’elle réclame que je la défonce véritablement contre ce mur de glace, dans ce bain bouillant. Bouillant ? Ah non, ça c’est moi. Caliente, si ! Je continue mon petit jeu, m’enfonçant furieusement en elle, jouant sur la profondeur de ses chairs, avant de me retirer aussi lentement que possible. Je me frustre aussi dans l’histoire, faut pas croire ! Mais ça peut se lire clairement sur mon visage que je prends plaisir à lui faire tout ça. Je ne me défais pas de ce sourire pervers.

Suis-je sadique de la faire ainsi patienter ? La magnifique louve n’en peut déjà plus. Il suffit de voir comment elle s’agite sur mon mandrin, ondulant du bassin comme si elle faisait une danse du ventre telle une orientale. Raaah…Elle m’arrache des gémissements, la vilaine ! Je me rapproche de son cou, pour le lui mordiller avec envie, comme si elle était en train d’essayer de faire sortir la bête qui est en moi. C’est ça que tu cherches Shad ? C’est ça que tu veux ? Je remonte à son oreille pour lui suçoter le lobe quelques secondes, avant de lui susurrer doucement…

- Bien. Je vais te…Mmh ! Te donner ce que tu…Veux !

À ce mot, je m’enfonce profondément en elle, en remuant du bassin pour combler ses chairs de mon chibre. Puis je me recule, plus rapidement qu’avant. Et je recommence. Dedans, dehors. Dedans. Dehors. De plus en plus vite. De plus en plus fort. MY GOSH, C’EST PUTAIN DE DIVIN ! It’s Paradise, my friend ! J’halète de plus en plus contre sa bouche, qui est à quelques centimètres de la mienne. J’en soupire mon plaisir, les yeux mi-clos, mes orbes émeraudes plongées dans les siennes d’azur. On peut y lire de la fougue, de la sauvagerie. Oui, parce que là, c’est de la baise sauvage. Mon bassin claque tellement fort contre son intimité et son petit cul. J’en remue tellement l’eau qu’elle s’évanouit en vagues en dehors du bain. L’eau nous asperge et ralentit peut-être mes mouvements. Merde. J’accélère encore plus, sentant mon bas-ventre trembler, vibrer de plus en plus. Mes mains pressent ses hanches, puis ses fesses sur lesquelles elles atterrissent. Je les empoigne assez fortement, pris par ma fougue. J’en perds la raison. Shad me rend fou et ça doit bien lui plaire, non ?

- Mmh…Han putain ! Shad…Dis-moi que t’aimes…Dis-le…

Dis-le-moi, ma gazelle. Je veux que tu cries mon nom. Que tu en redemandes. Je veux te voir gémir, râler ton plaisir. Je veux te voir crispée sur mon pieu de chair. Je veux te voir jouir.

26
[ HRP : J’avais bien compris qu’elle ne chantait pas. xD Mais comme elle prononçait le début des paroles, Rafiki y a cru un court instant ! ]


Faut que j’me rattrape. Faut que j’me rattrape. Faut que j’me rattrape ! Putain ! Qui est le gogole qui a éjaculé dans cette merveilleuse petite bouche alors que Shad n’avait quasiment rien fait ? Ben c’est Bibi. J’aurais bien voulu profiter de sa bouche encore. Après tout, mon manioc est encore bien tendu. Le glisser entre ses lèvres, le sentir coulisser dans sa bouche, taper dans sa gorge et…Haaaa…J’en frissonne d’envie. Mais non ! Je me retiens ! C’est la méga honte quand même. Alors, il faut que je lui fasse oublier tout ça. La pauvre. Elle avait été surprise de recevoir toute ma crème. Il suffisait de voir son regard. Bah oui, et bien, excuse-moi Shad, mais d’un, tu t’y prends bien pour frustrer et faire languir un mec, de deux, tu es foutrement douée de ta bouche, et de trois, Popole n’a pas eu de visite buccale, ni autre chose d’ailleurs, depuis une éternité. Voilààà. C’est dit ! Ou plutôt, c’est penser fortement.

C’est pour lui faire oublier tout ça que je me suis assis dans l’eau, le dos contre la paroi. J’allais bouder ? Bien évidemment que non ! Je ne vais pas bouder parce que ma gazelle m’a fait venir, surtout pas ! Mais je compte bien me faire pardonner. C’est pour cela que je lui attrape le poignet, l’agrippe doucement mais fermement, et attire la jeune femme vers moi. Mieux ! Je la fais asseoir sur moi, alors que je sens Popole au garde-à-vous se frotter quelques secondes contre son intimité. Roooh, bordel. J’en frissonne déjà. Elle a l’air d’approuver la chose, venant encercler mon bassin de ses magnifiques jambes. Je ne dois pas m’arrêter ! Et la belle semble ne pas vouloir que je stoppe toutes mes attentions. La louve, la tigresse même, presse mon visage sur ses seins. Sa poitrine, chaude et battante, son cœur qui s’emballe. Ses petites pointes de chair ? Je les croque, roule entre mes dents blanches, les fais dresser encore plus, rougir aussi, alors que je sens Shad gémir tout près de mes oreilles, pour bien faire. Le bout humide de ma langue vient caresser le contour de ses mamelons, avant de gober un peu plus de chair. C’est tendre. J’en mangerai réellement, si je pouvais. Et si j’étais cannibale. Dieu que je ne m’en lasse pas…

Mon bassin ? Il ondulait que très lentement. Trop pris par l’envie, la coordination n’est pas mon fort. Mais j’arrive à sentir mon membre coulisser sur la fente humide de Shad, mon gland frottant avec insistance sur ce petit bout de chair tendu. Et elle gémit encore un peu plus fort. Punaise. Je n’en peux plus. Shad, délivres-moi de cette torture. Elle entend mon appel. En même temps, je n’ai pas été très discret. Ce petit couinement est sorti d’entre mes lèvres alors que mon gland tapait contre l’entrée de sa grotte intime. La vile prédatrice fond sur moi et me ronge le membre petit à petit de ses chairs intimes. Putain…

- Haaa…Tu es…Si serrée !

Ou c’est moi qui aie un manioc trop gros pour elle. Mais bordel ! Je sens la moindre aspérité de la cannelure de son antre. C’est foutrement bon. Et j’en tremble ! Shad ne reste pas longtemps enfoncée profondément sur mon chibre. La fougueuse entame une danse, des vas et vient lents, sûrement pour s’habituer à la grosseur de mon manioc. Et purée, c’est le Paradis. Je ne peux pas le décrire autrement. C’est bon, putain, c’est bon ! J’en jette ma tête en arrière un court instant, sous le plaisir grandissant. Je suis prêt ma belle ! Je peux tenir longtemps maintenant ! Je te le garantis. Je vais te faire crier, hurler de plaisir, te faire perdre la tête comme tu as réussi tout à l’heure.

Je relève alors les yeux et ma douce vient emprisonner mes lèvres des siennes dans un baiser chaud et passionné. Purée…Je vais défaillir. Ouais, on dirait une vierge. Je m’en tape ! Mes grandes paluches glissent dans son dos pour lui caresser doucement la peau, et aussi pour la serrer davantage contre moi. Je sens ses tétons durcis frotter avec insistance sur mon torse à chaque pénétration. Oh, bien évidemment, je l’aide aussi lors des vas et vient. Enfin, l’eau aide beaucoup aussi. Je lui offre mon cou quand elle décide d’y mordre la chair et de…What ? Elle aspire ! Elle me fait un suçon, la coquine ! Uh uh. Oui, Shad, je t’appartiens tout entier. Du moins, pour ce moment.

- Shad…

Je l’entends soupirer chaudement contre mon oreille, murmurant même mon prénom…Grr ! Je ne tiens plus ! D’une poigne virile, je lui agrippe les hanches fermement et j’accélère mes coups de bassin. Puissants. Forts. Raaah, putain de…J’halète rapidement. C’est divin, y’a pas à chier ! Sur mon front, il n’y a pas que des perles d’eau qui gouttent, mais de la sueur aussi, qui collent quelques mèches de cheveux sur ma peau d’ébène. C’est délirant le pied que je prends. Des coups rapides et vigoureux, de plus en plus vite. Dans le cahot de cette étreinte, j’essaie de lui gober tant bien que mal ses seins et d’en suçoter le bout.

- Mmh !

Pris dans mon élan, je me relève, toujours en elle. Brusquement mais sans mal, enfin, j’espère, je la colle dos contre une paroi du bain improvisé, et la prends à même ce petit mur. C’est moi qui mène la danse. À elle de bien s’agripper. Mes mains soutiennent ses fesses, que je m’empresse de peloter sans gêne. Je m’enfonce en elle dans un coup sec et fort, avant de me retirer très lentement. Et je rentre de nouveau en elle, fort, puissant. Tous mes muscles se tendent pour lui faire du bien, et m’en procurer également. Mes yeux se ferment à moitié, pris par tant de plaisir. Pfiou…Ce que c’est bon d’être en toi, Shad…

27
Comme j’ai hâte de pouvoir tout goûter de toi, Shad. Sincèrement, elle est chaude, brûlante même, même si le bain aide à tout ça. Sa peau est une douce crème que je savoure du bout des lèvres, que ma langue titille parfois, que mes dents blanches mordillent volontiers. Shad, ma douce sucrerie. Je ne la savoure pas encore complètement mais je pense que tout vient à point à qui sait attendre, non ? Alors je serais patient. Même si vous savez que non, je n’ai qu’une envie, c’est de lui sauter dessus. Mon visage entre ses monts de chair…Un véritable coussin du feu de dieu, sérieux ! BEST PLACE EVER ! Si j’étais un félin, j’en ronronnerai ! Hé, quoique, je peux le faire ! Mais gardons des cartes en mains, on les jouera après. La suite ne sera que meilleure.

Mince. La belle me fait sortir de mon paradis boobesque. Est-ce qu’elle va chantonner Ce Rêve Bleu ? J’aime bien Disney, ma gazelle, mais est-ce vraiment le moment pour ça ? Je veux dire que, voilà hein, on est partis pour s’envoyer en l’air, ouais, mais ce n’est pas pour autant que je vais te chanter du Peter Pan ! Je la laisse faire malgré tout. Shad m’extirpe de ses magnifiques et douillets seins. Ses doigts graciles dessinent le contour de mon visage de black, y traçant chaque recoin avec hésitation au départ, puis arrivent jusqu’à mes lèvres, d’ébène elles aussi. Brr…J’en frissonne. Charmeuse, la petite gazelle. J’adore ça ! Mais elle ne s’arrête pas là. Elle vient y goûter, à ma bouche. C’est fin et léger, c’est vrai. Mais ce n’est pas assez. Mais grand bien me fasse, elle revient à la charge ! Mmh…Plus chaud et passionné cette fois-ci. C’en est que meilleur. Et puis, j’y mets un peu du mien, mais pas trop. Je veux voir jusqu’où elle peut aller et…

- Haaa…

MERDE ! C’était quoi ce gémissement digne d’une pucelle ? La vile ! Elle me tire les tétons. Hé, mais c’est vachement sensible hein ! COQUINE ! J’en souris à pleines dents, du coup. Ca m’amuse autant que ça m’excite. Et c’est à mon tour de servir de proie. À mon tour de subir les caresses de la louve. Vas, Shad, je te laisse faire. Je m’offre tout entier à toi. Mon cou, tu le veux aussi ? Pas de souci ! Je penche alors légèrement ma tête sur le côté, pour qu’elle puisse se repaître de mes chairs, tendres et chaudes. Elle ne s’en prive nullement, cette prédatrice. Ma peau ? Elle la lèche. Elle l’aspire entre ses douces lèvres. Elle la mordille. Brr…Un nouveau frisson me parcoure l’échine, secouant brièvement mon corps, lui aussi harassé par Shad. Ses mains humides défilent le long de ma musculature, y dessinant chaque trait avec précision. Beh quoi ? Je suis un étalon noir taillé au laser, ouais ! I’m perfect !

- Sh…

MAIS DOUBLE MERDE, PUTAIN ! Cette femme-louve me fait perdre tous mes moyens ! Je n’arrive déjà plus à prononcer son prénom correctement alors qu’elle vient à peine de descendre de mon bas-ventre pour effleurer…EFFLEURER mon manioc tendu à l’extrême. Rien que ça m’arrache un terrible tremblement. Mon corps se crispe, je serre les fesses un instant, avant de me relaxer un peu. Je gémis. Je n’ai pas honte. Je gémis déjà sous quelques caresses sur mon anaconda noir. Et puis je vous emmerde ! La petite gazelle me fait foutrement du bien, appuyant déjà ses mouvements sur mon membre, le prenant mieux en main. Tu le sens, Shad ? Chaud, extrêmement dur, palpitant même ? Et bien il est pour toi. Il est comme ça à cause de toi ! Mes yeux se ferment rapidement, me laissant guider par les sensations qu’elle me prodigue. Et…PUTAIN J’ADORE ! T’arrêtes suuuurtout pas !

- Mmh…

Ses lèvres descendent de mon cou pour s’occuper de mes tétons. Raaah…Shad ! Descends encore, please ! Et c’est à croire qu’elle m’a entendu le penser méga giga fort, vu qu’elle est en train de faire ce que je viens de dire ! Elle descend, descend, file sur mon ventre et quand je sens son souffle chaud passer sous mon nombril, je ne peux que rouvrir mes yeux. Mes orbes vertes se posent sur ma louve, la fixant d’un regard plein d’envie, brûlant de ce sentiment qui me ronge le ventre. Un sourire niais s’étire sur ma bouche. Ouais, je n’ai qu’une envie : qu’elle me prenne en bouche et me suce la banane comme s’il ne restait que ça à déguster sur cette fichue et putain de terre glacée !

Mais la prédatrice décide de me faire languir. La garce ! Ce n’est pas méchant mais là…Je suis frustré ! Son…Son coup de langue sur mon gland gonflé était parfait, mais il ne fallait pas s’arrêter en si bon chemin. Mon regard émeraude qui la fixe doit clairement le dire, non ? SHAD, CONTINUE, S’Il-TE-PLAÎT ! Je suis tout à toi. Fais ce que tu veux, mais ne t’arrêtes pas. Ouf…Purée. Elle reprend la chose en main, et en bouche. D’autres coups de langue se déposent sur mon manioc puissance 20 000, et je me crispe de nouveau. Son visage si proche de mon black mamba m’excite au plus haut point. En plus, elle est adroite de ses mains. Elle me caresse les noix de coco, qui souffrent tellement d’être si gonflées de désir. Puis, ses lèvres sur mon gland, qu’elle se met à suçoter. Je referme les yeux, mes doigts filent dans sa chevelure humide. Je me crispe. C’est…Foutrement…Bon !

- HAAAAaaaaaan…

…Black-out neuronal. Non. Non. Je…JE VIENS DE ME VIDER DANS SA BOUCHE ! Mais elle n’a quasi rien faiiiiit ! J’ai l’air de quoi, moi, maintenant ? D’un putain de puceau qui vient d’avoir son premier début de fellation et qui n’en peut déjà plus. Bravo, Raf’ ! J’admire, j’applaudis ! Maiiiiis…Elle m’a tellement fait bander depuis le début que je n’ai pas su tenir. J’ouvre les yeux et lâche sa chevelure, sur laquelle ma main s’était crispée sans le vouloir. Heureusement que je suis black. Si j’étais blanc, je serais déjà rouge de honte. Je le suis, mais ça se voit moins.

- Euuuuh…Je…Excuse-moi.

PARDOOOOOOOOON ! Je ne suis qu’un pauvre naze. Un éjaculateur précoce ! Et bordel, même si elle n’a pas fait grand-chose, je suis encore dur et vigoureux et…Fatigué un peu aussi. Mon corps en tremble encore. Mon cœur voudrait sortir de ma poitrine tellement il bat rapidement et fortement. Serrant les dents, dégoûté par ma propre réaction, je m’éloigne un peu d’elle. Légèrement. Et je viens m’asseoir dans l’eau, cachant encore ma trique sous les bulles du jacuzzi improvisé. On pourrait croire que je boude, mais non. Assis, d’un geste du bras, j’agrippe le poignet de la femme-louve, et en tirant un peu dessus, je l’attire vers moi. Mieux ! Je la fais asseoir sur moi, mon mandrin encore fièrement tendu tapant sur son bas-ventre. Ma tête dans tout ça ? Et bien, dans ses nichons, que je viens lécher à nouveau. C’est ma façon de me faire pardonner. Et si elle veut plus, il lui suffira d’un seul pas pour ça. Ou un mouvement des hanches...

28
Je ne pense pas que Shad me dira non pour la suite. Je l’ai senti, ce petit coup de langue quand j’ai passé mon doigt sur ses lèvres rougies par le sang. Je l’ai senti qu’elle y mettait du sien dans le baiser, ses lèvres venant se presser davantage contre les miennes. Je l’ai senti, ses doigts fins et graciles dans mon dos dessiner des tracés imaginaires, flirtant sur ma peau d’ébène. Je l’ai senti ce cou se basculer pour accueillir avec envie mes baisers contre sa chair tendre. Nom de…Ma gazelle, te voir céder petit à petit me fait défaillir. Mais je n’aurais pas l’air con si je balançais la sauce juste maintenant. Puis, ça fait très fair-play, et crado également, tiens. Pff, Shad, tu me rends dingue.

Et puis, je m’en fous ! Je continue ! Mes lèvres ébène grignotent sans cesse son cou qu’elle m’offre. Rawr ! Parfois, mes dents blanches viennent en gratter la peau. Je me sens prédateur, fou prédateur qui veut se régaler de la pauvre gazelle qu’il tient entre ses griffes et dans sa gueule. Mmrr…Si tu me laisses faire, jeune louve, je vais faire qu’une bouchée de toi ! Ma main sur sa hanche et l’autre dans son dos la pressent encore et toujours un peu plus contre moi. Purée, cette paire de nichons sur mon torse, toute écrasée…Voilà ! J’en bande encore plus, et ça m’fait mal, sérieux ! De trop ! Ma langue vient taquiner sa peau humide et chaude. Je me sens frustré. Je la prendrais bien là, directement, sans chichi, mais…Non. J’ai décidé que je prendrais mon temps et que je ne la brusquerais pas.

Mais purée ! C’est un gémissement que je viens d’entendre sortir de sa bouche ? Oui…OUAIS, PUTAIN OUAIS ! J’suis sur la bonne voie ! Popole, tu vas être servi, mon pote ! Mes lèvres attaquent encore plus son cou à nu, où elle m’y presse de sa main. Shad, tu en veux encore, n’est-ce pas ? Ton corps, tes doigts qui filent partout sur moi, tu réclames davantage, c’est ça ? Laisse-moi te servir, ma belle. Tendrement, je la décolle de moi, quittant à regret son cou, je dois bien l’avouer. Je parsème sa peau de baisers encore, ici et là, pour descendre sur ses clavicules, que je dessine finement. Puis, je descends encore et encore, jusqu’à rencontrer la hauteur de ses monts de chair. Bon dieu. Je n’y tiens plus. Je file tel un affamé vers ses pointes, d’abord la gauche, que je me mets à suçoter, téter même comme un bambin. Je le fais rouler entre mes dents, sans mal, et je tire légèrement dessus. C’est doux. C’est chaud. C’est foutrement bon. Je réserve le même sort à son proche voisin, avant de le relâcher pour croiser mon regard émeraude avec les saphirs de la louve.

- Shad…

Quoi ? C’est dit trop chaudement ? MAIS J’AI CHAUD, PUTAIN DE BORDEL DE M**** ! Yé soui aussi caliente qu’oune mexicain qui a bouffé oune piment ! J’ai tellement envie que je reviens engouffrer mon visage de black dans sa poitrine toute blanche, mais parfaite pour accueillir ma tête. C’est le Paradis. Je suis aux anges. Et je m’emporte tellement que mes deux grandes paluches glissent lentement de la hanche de la louve, et de son dos, pour filer vers sa chute de reins. Je lui griffe légèrement la peau, juste un peu. Ou un peu trop…ATTAQUE, RAF’ ! Subitement, je viens agripper ses bonnes fesses fermement. Putain, ça aussi, c’est doux, chaud, moelleux ! PARFAIT, BORDEL ! Impatient, parce que je le suis, je les lui presse, les masse pour en capter la moindre courbe et l’ancrer dans mon esprit.

- Put…

Ouais, c’est bon. J’me lâche un peu, m’voyez ? Je n’ai pas le droit de gémir, peut-être ? Bah merde. De toute façon, je ne peux pas me retenir. Shad, c’est de la bombe, voilà. Sauf que là, c’est moi qui vais péter. NAN, pas dans l’eau, bande de gros dégueux ! J’parlais de mes noix de coco…J’aimerais bien que ma petite gazelle s’occupe de moi. Mais lui demander n’est pas vraiment mon genre. Elle viendra quand elle aura envie…Enfin, si elle a envie de mon manioc, bien évidemment.

29
Le cadre est idyllique. L’ambiance l’est tout autant. Sentir cette louve tout contre moi, sa main tendue sur mon torse, sa langue se régalant de ma peau d’ébène…Tout. Shad fait tout pour que je craque. Sincèrement, l’envie furieuse de me jeter sur elle et de me repaître de son corps ne s’est pas envolée. Bien au contraire. Et puis, la belle demoiselle ne fait rien pour la calmer, cette envie. J’ai beau la prévenir, sur ce qu’elle est en train de faire, la jeune femme ne s’arrête pas. Ah ? Ca ne me déplaît pas, vraiment pas du tout, mais…Se rend-elle compte de l’effet réel de ses caresses ? J’en doute. Quoique…Shad s’arrête un instant, à peine quelques secondes, comme si mes paroles avaient enfin atteint ses oreilles de louve. Mais non. C’est bien loin de suffire. Là voilà qui continue. Bordel. Je vais craquer. Et heureusement que j’suis à poil et que Popole est dans l’eau, parce qu’il aurait déchiré mon caleçon tel que Hulk qui déchire ses fringues en grossissant, et qu’au moins, dans le bassin d’eau chaude, avec toutes ces bubulles, et bien, la gazelle ne remarque pas trop la trique que je me paie.

Continue comme ça, Shad, et je te saute dessus. Je te préviens ! Bon, je ne l’ai pas dit clairement à haute voix mais…Je crois bien l’avoir tellement fort que la belle s’arrête vraiment de me lécher le cou. Ses ronronnements s’évanouissent aussi. Merde, sa poitrine vibrante quoi, tout contre mon bras, c’était si bon ! Raah, Raf’ ! Pourquoi tu l’as mise en garde, hein ? POURQUOI ? Tu ne pouvais pas profiter un instant, nan ? Naaaan ! Faut que tu foutes tout en l’air, mal baisé ! La belle me fixe de ses grands yeux bleus. Je sens que je vais défaillir. On dirait qu’elle va me sauter dessus, mais finalement, je me suis trompée. Ses yeux filent sur le décor de glace plusieurs fois, avant de revenir sur ma peau d’ébène et sur mon torse. La louve se ravise et…Mais merde ! J’ai fait quoi ? La voilà que Shad s’éloigne de moi, la tête baissée, entre les épaules, et les oreilles aplaties. Elle me fait penser à un chien battu…Mais je ne l’ai pas touchééééée ! Uh ? What ? Je plisse un instant mes yeux émeraudes pour vérifier ce que je viens de voir, et non, elle a tellement mordu sa lèvre qu’elle saigne. Mais putain ! J’aimerais comprendre !

Tu…Tu crois avoir fait une connerie, Shad, c’est ça ? Bon, même si je profite de la vue sur son corps sorti à moitié de l’eau et que j’ai l’envie furieuse de me la faire -poésiiiiie-, son visage semble se décomposer un peu. J’ai réussi à la mettre mal à l’aise. Suffit de voir comment elle se tient le bras, ce qu’elle dit, et comment sa queue de louve bat l’air nerveusement. J’suis qu’un crétin. J’aurais du me taire, sérieusement. On n’en serait pas là. Ma gazelle reprend place dans l’eau, faisant disparaître son corps de déesse, se collant alors à la paroi. Mais elle ne cesse de me fixer. Que…Ses prunelles azurées m’appellent. J’en suis certain. Elle a honte, ou elle est gênée. Mais elle a envie, tout comme moi, j’ai envie d’elle. Ca me flatte, putain. J’en ai le feu qui se pointe sur mes joues. Merci à ma peau foncée, on n’y voit pas grande différence. Allez, Rafiki, lance-toi !

Je ne me lève pas. Tout doucement, je plonge un peu plus, avançant comme à quatre pattes, en sa direction. Je ne me prends pas pour un prédateur. La preuve, j’y vais avec un sourire tendre et amusé sur le visage. Arrivé face à elle, je me relève lentement. Mon doigt lui remonte son menton pour qu’elle me fixe. Je fais claquer ma langue plusieurs fois contre mon palet, tout en secouant la tête.

- Tut-tut-tut.

Avec le même doigt, je passe délicatement sur sa lèvre blessée, essuyant au maximum le sang qui y coule encore en petite quantité.

- Ne te fais pas mal pour si peu, d’accord ?

PUTAIN RAFIKI ! Vas-y ! C’est le moment, gros ! Lance-toi !

- Je vais guérir ça…

Et doucement...EMBRASSE-LA, bro' ! Putain de voix Disney ! Je disais donc...Et doucement, je viens plaquer mes lèvres d’ébène sur les siennes en sang. Rooh, putain, le beau gosse qui se la joue romantique et tout ! J’assure, Arthur ! C’est doux, c’est chaud. Et SURTOUT, ça faisait super méga longtemps que je n’avais pas embrassé une femme, ne serait-ce que poser mes lèvres sur d’autres féminines comme maintenant. C’est bon, putain. Bon, est-ce que je lui roule un patin maintenant ou quoi ? Ca va peut-être un peu trop vite pour elle ? Mmh. Je vais attendre un peu. Je stoppe le baiser, la fixant, plongeant mes yeux verts dans les siens bleu océan. Un sourire sincère et doux étire mes lèvres. Je ne dis rien. Je reste mutin.

Moi, sans gêne, je prends mes aises et viens poser mes mains sur la hanche de la belle et dans son dos. D’un geste, je la colle contre moi, mes doigts caressant sa peau à ces endroits. Sans être brusque, je bascule ma tête sur le côté et pars à l’assaut de son cou. Je me mets à le picorer avec envie, y déposant moult baisers. Je remonte très lentement sa peau jusqu’à atteindre son oreille gauche. Allez, je la préviens tout de même, même si c’est avec un air taquin que je vais lui murmurer tout cela.

- Si tu ne veux pas, si tu n’aimes pas, arrête-moi, Shad…

Et je redescends pour lui frôler la peau du cou de la pulpe de mes lèvres épaisses. Qu’elle me repousse tiens ! Si la gazelle me fait ça, j’irai me branler un peu plus loin pour soulager Popole, parce que là, ça va péter ! Il crie AU SECOURS depuis tout à l’heure, et je commence à avoir mal. J’ai les noix de coco pleines, bordel. C’te supplice !

30
Prélude / Re : Ky-Mani Kings, Rastafari
« le: mercredi 01 janvier 2014, 13:21:15 »
Wesh ! Bro' !
T'as de la bonne ? Fais péter !

J'me laisse pousser les cheveux et tu viens m'faire des dreads ? :3

Bienvenue ! *tape dans son dos*

Pages: 1 [2] 3 4 ... 8