Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Alan

Pages: [1] 2 3 4
1
Vous nous quittez déjà ? / Re : Exams, Sweet Exams.
« le: vendredi 20 janvier 2012, 01:56:04 »
Je reviens juste pour vous prévenir, j'ai fini mes exams, mais mon pc m'a laché au milieu de mes révisions, je devrais le récupérer d'ici une dizaine de jours si tout va bien. Désolé pour le retard dans mes RPs =/

2
Vous nous quittez déjà ? / Exams, Sweet Exams.
« le: mercredi 14 décembre 2011, 16:59:45 »
Comme vous avez pu le remarquer je ne suis plus trop présent depuis 2/3 semaines. Je pensais que j'aurais le temps de répondre au moins une fois à chacun de mes RPs avant de me lancer corps et âme dans mes révisions, mais j'aime pas écrire dans un laps de temps imparti, je gâche souvent le texte..

Je prie donc mes partenaires de bien vouloir excuser mon absence de réponse, je reviendrai vers mi janvier si tout se passe bien.

Encore une fois, désolé  :-\

3
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 04 décembre 2011, 01:31:17 »
01h31

ALSACE RULES ! ;D

4
Prélude / Re : Une nouvelle déesse !
« le: jeudi 01 décembre 2011, 14:27:30 »
Vive le Tartare ! \o/

Bienvenue à toi.

5
Prélude / Re : Une jolie biche vous salue (Valithée)
« le: lundi 28 novembre 2011, 17:31:42 »
Avec un peu de retard, bienvenue ! ;D

6
Les alentours de la ville / Re : Earth to... | Alan
« le: lundi 28 novembre 2011, 17:19:17 »
- Oui Alan ! Et ne me répondez pas ! Si vous n'allez pas à ce rendez-vous, nous serions dans le devoir de vous renvoyer sur le champ. Faîtes un effort que diable ! Vous ne pouvez pas éduquer ces morveux futurs grand esprits en étant tout le temps sous l'emprise de l'alcool ou de je ne sais quelle autre substance. On vous offre même votre journée, maintenant allez-y ! Et faites bonne impression, changez un peu votre.. tenue !


Dégouté. J'étais dégouté. Nan mais sérieusement ! Moi ? Un problème avec l'alcool ? C'est pas parce que l'éclairage à l'huile était d'usure la dernière fois que ce vieux schnok s'était amusé qu'il était obligé de faire subir sa monotonie à tout le monde. Une psychologue ? Et puis quoi d'autres ? Un hôpital psychiatrique ? Je suis pas un psycho, bon dieu de merde ! Laissez moi m'amuser ! Si seulement je n'avais pas réellement besoin de ce job, je lui aurais bien montré moi-même ce que j'en pensais de sa façon de penser. Et puis qu'est-ce qu'il pouvait bien avoir contre mon style vestimentaire ? On se sert pas tous dans la garde-robe de son grand-père..

Et pourtant, j'étais maintenant dans cette salle d'attente, sagement assis, vêtu d'un pantalon noir et d'une chemise bleue claire assorti d'une cravate toute aussi noire que mes chaussures. Qu'est-ce que j'étouffais dans ce déguisement ! Quel horreur ! La salle était vide et les revues toutes plus ennuyantes les unes que les autres. Qu'est-ce que j'aurais pas donné pour une bonne bouteille de vodka pour faire passer ce moment..

-Monsieur.. Alan ? Le Docteur Ellison va vous recevoir, veuillez me suivre !

Here we are…

7
Complexe d'études secondaires et supérieures / Re : De passage ( Alan )
« le: lundi 28 novembre 2011, 16:53:17 »
Elle devait sans doute se moquer de moi. J'aurais pu lui causer bien des soucis si j'en parlais à mes supérieurs, et pourtant, elle ne sembla même s'intéresser à ma présence. Mon regard se posa sur le félin qui s'étirait de toute sa longueur. Bon lui aussi il pourrait me causer quelques soucis.

A vrai dire la situation m'amusait plutôt. Il fallait être sacrement culottée –ou sûre de soi- pour se permettre d'ignorer ainsi quelqu'un qui la prenait en flagrant délit. C'est comme si quelque chose m'échappait. Pas ses courbes en tout cas. Il était vrai que je n'avais pu m'empêcher d'observer sa courbure lorsqu'elle s'affaira a étudier le contenu du coffret. 'Tain, on pouvait dire que son costume lui "collait à la peau". Littéralement parlant. Je secouai ma tête, tentant tant bien que mal de retrouver mes esprits. Le tigre ne cessait de m'observer d'un coin de l'œil, toujours bien installé sur l'estrade.

J'approchais très lentement, feintant une confiance en moi qui aurait bien vite disparu s'il ne s'était que mis à remuer la queue. Je m'assis sur le bureau, non loin d'elle, saisissant la flasque qu'elle venait de reposer pour la mener jusqu'à ma bouche, vidant le peu qu'il en restait. Pfouargh ! Du bourbon. J'aimais bien habituellement, mais servi à température ambiante, il perdait de suite de son charme. Une grimace s'installa sur mon visage pendant quelques instants, puis revint ensuite à son état initial, ma gorge toujours "en chaleur" après le passage de l'alcool.

Mes yeux se posèrent à nouveau sur la jeune voleuse, qui ne semblait toujours pas s'inquiéter de ma présence. Elle replaça la broche en or qu'elle venait de prendre sur son costume. Ce mouvement attira inexorablement mon regard sur son décolleté. Décidément.. Je tentais malgré moi de ne pas la détailler trop longtemps, toujours sur mes gardes, et saisi la boite à cigare, en sortant l'un d'eux.

- Pfff… Avoir les moyens de se payer de bons Havane pour ensuite en pré-couper la tête –avec un couteau de cuisine probablement, vu le résultat..- et ce bien avant de le fumer… Quel gâchis ! Je crois que vous avez du feu non ? dit-il tout en portant ledit cigare jusqu'à sa bouche.

8
~~ Premier thème ~~

Hein? Il est déjà l'heure d'aller bosser ? Visiblement non. Le mastodonte continuait de me secouer. Je sortais difficilement de mon état léthargique. Pour qui il se prenait lui ? Si je n'avais quatre grammes d'alcool dans chaque bras, je lui les aurais bien cassé les siens, de bras. Un deuxième vint l'aider. Je les entendais brailler, mais dans le chahut de cette boîte de nuit, aucun son intelligible ne parvint à mes oreilles. Tout était flou. Ma vision semblait peu à peu retrouver ses repères, mais mon esprit était toujours loin. Très loin. Depuis combien de temps étais-je en train de comater sur ce fauteuil ? Toute notion de temps avait disparu. Leur discussion qui ne dura pas plus de quelques secondes, me sembla durer des heures. Et les heures où je m'étais écroulé ne me paraissait pas plus que quelques secondes…

L'un deux saisi mon bras gauche. Le second s'occupa du droit. Et ensemble ils me soulevèrent –plutôt violemment d'ailleurs, je reviendrai plus ici- pour me diriger vers la sortie. Il me semblait que les gens s'écartaient devant moi. Tel Moïse qui sépara la Mer Rouge. Haha ! Craignez-moi ! Tous autant que vous êtes ! Qu'ils aillent tous au diable. Pourquoi me regardent-ils de cet air dédaigneux ?! Vous voulez que j'utilise mes capacités ? Vos sourires s'effaceront bien lorsque vous vous frapperez dessus sans comprendre pourquoi. Vous allez voir ! Juste un peu de concentrat… Waaaaa elle a de belles jambes elle ! Mais pourquoi elle en a quatre ? Ooooh la lumière verte ! Haha elle est vraiment trop… Mais ? Pourquoi ils m'emmènent dehors ? C'est quoi cette ruelle ? Vous allez vraiment me laisser ici comme une merde ? Nan mais revenez oh ! Me laissez pas ic…


Hein? Il est déjà l'heure d'aller bosser ? Visiblement non. J'étais allongé dans une ruelle. Je me redressai difficilement, non sans maintenir de mes mains ma tête qui semblait proche d'imploser. Dire que je voulais juste fêter mon augmentation.. Le mur supporta mon poids lorsque je m'écroulai à moitié sur lui une fois debout. Quelle cuite ! il est quelle heure ? J'arrive toujours pas à lire sur ma montre… Saloperie d'horloger suisse ! Bon sang, mais je suis encore complètement saoul ! Hé mais… Pourquoi mes jambes avancent toutes seules ? J'ai vraiment l'impression d'être prisonnier de mon propre corps. C'est terrible. Au bout de la ruelle, à droite, les videurs étaient toujours devant l'entrée de la discothèque. Allez, j'vais y aller, leur mettre une bonne raclée ! Et… Nan mais la droite c'est de l'autre coté ! Mais je vais où comme ça moi ?

Je m'extasiais devant toutes les lumières et formes qui se présentaient à moi. Peut-être n'aurais-je pas du mettre cette pilule, offerte par cette jeune femme –ou jeune homme ? Rhooo je sais plus- dans mon Xième shooter de vodka, après tout. Pourtant je semblais heureux. Je ne cessais de rigoler. Je ne semblais même pas surpris lorsque je me retrouvais à escalader le mur d'enceinte du lycée, m'écroulant à même le sol de l'autre coté avec un autre fou rire. Je séchais mes larmes, tentant de calmer cette euphorie. Lorsque les battants de la porte d'entrée s'écartèrent devant moi, et que je pénétrais à même le bâtiment, mes yeux s'écarquillèrent. Ma bouche s'ouvrit. L'ambiance était totalement différente de la journée. La musique faisait vibrer les murs. Il y avait peu de lumière, seules celles des sorties de secours et de quelques bougies éclairaient le grand hall. Des ombres couraient un peu partout, hurlant leur plaisir. Un tout nouveau jeu se déroulait devant moi. Une main me tendit une bouteille presque vide, que je bu à même le culot. Puis elle s'éclata contre le carrelage, comme tant d'autres. Je ne cessai de rire. Etait-ce bien ce lycée diurne si calme qui s'éveillait telle une bête enragée une fois le soleil couché ?

Je montais l'escalier menant aux étages supérieurs, enjambant deux jeunes femmes qui s'embrassaient amoureusement sur les marches, allongée l'une sur l'autre. Tiens, c'est pas une de mes élèves ? Je rigolais à nouveau, continuant mon périple, manquant de peu de me faire bousculer par plusieurs personnes qui descendirent en courant, se pourchassant avec des éclats de rire. Enfin, j'entrais dans le couloir du premier étage…

9
Les alentours de la ville / Re : Waking Up... {PV}
« le: mardi 22 novembre 2011, 23:37:26 »
Le tenant toujours par la main, nous nous insérions dans la foule en délire, les basses guidant les mouvements des autres danseurs. Une fois que nous étions à un endroit que j'estimais convenable, ni au centre de la piste, où l'on aurait étouffé sur le coup, ni sur les bords où l'on se sentait seuls, je me retournai vers Miya. Elle s'approcha de moi, me glissant à l'oreille afin que cela soit audible :

- Vous pourriez me demander de danser une lambada ou un tango, pas de problème... Mais ça ?! 

Nos visages s'écartèrent. Son regard me paraissait interrogateur. Non mais tu me vois danser comme.. ça? semblait-il vouloir me dire. Un petit sourire dut apparaître à la commissure de mes lèvres sans que je m'en rende compte. J'avais simplement envie de lui répondre Oui, pourquoi pas !? Mais aucun mot ne sortit dans l'immédiat. Je continuais à l'observer. Il est vrai qu'elle ne semblait pas vraiment dans son élément ici, et pourtant ce léger décalage lui rajoutait encore du charme, n'en déplaise à mes sens qui étaient déjà totalement conquis par sa simple présence.

A mon tour, je me rapprochais d'elle, me baissant pour atteindre son oreille gauche et lui répondre :

- Laisse-toi aller. Laisse ton corps te guider, lui saura...

J'étais persuadé qu'elle serait formidable. La plus formidable de la soirée. Et quand bien même elle ne serait pas en adéquation avec la musique, ses mouvements seraient toujours plus gracieux que ceux de la masse qui gesticulait un peu dans tous les sens, ne se gênant parfois pas pour bousculer leur voisin. Bon ça m'était aussi arrivé quand mon taux d'alcoolémie dépassait un certain stade, et que mon corps me contrôlait malgré moi. Mais tout de même ! S'il y a bien une chose que je déteste, c'est qu'on rentre dans mon espace vital sans que j'en donne la permission.
Il m'arrive parfois d'avoir peur de ce qui pourrait se passer si, ne supportant plus cette masse oppressante, mon pouvoir en venait à se manifester contre mon gré, et semait la zizanie. Qu'il est contradictoire d'être en partie misanthrope, et de respecter à ce point la vie humaine. Enfin respecter.. Oui, disons de manière générale en tout cas, car en y pensant bien il m'arrivait de temps à autres de négliger mes principes et de me laisser aller à mes plus bas instincts, comme cela avait été le cas plus tôt dans la soirée.

Alors que mon esprit vagabondait, je ne cessais de remuer au rythme de la musique qui n'était définitivement pas très variée ce soir, non sans observer la jeune chanteuse, qui peu à peu s'adaptait à ce rythme assez saccadé.

J'aurais voulu poser mes mains sur ses hanches ou ses épaules pour l’entraîner encore un peu plus, mais mon corps ne semblait pas vouloir sortir de sa transe musicale, bien trop absorbé dans l'évolution des mouvements de Miya dans l'espace. On aurait dit que ce n'était pas elle qui s'adaptait à la musique, mais que la musique s'était faite dompter par la jeune femme, concordant son tempo avec sa gestuelle. L'instant me parut une nouvelle fois magique. Rien ne semblait vivre à part elle. Je ne remarquais même pas les quelques connaissances qui m'adressaient des signes de la main non loin de nous.

Seule elle comptait ce soir..

10
Prélude / Re : Loona Catlossofitoshéana ( Validhéra ! )
« le: samedi 19 novembre 2011, 18:47:56 »
Bienvenue ! :)

11
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: samedi 19 novembre 2011, 14:14:44 »
On a Les Trois Brasseurs aussi. Un restaurant qui te fait un formule tartes flambées et bière maison à volonté, ça peut pas se trouver dans une mauvaise ville :D

14h15

12
Prélude / Re : Kaleesha Jen'Ari, la Sombre Dame des Sith (Valithée)
« le: vendredi 18 novembre 2011, 11:45:32 »
Bienvenue :)

13
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: jeudi 17 novembre 2011, 13:25:31 »
Ten peut plus de rester dans ta forêt ? :D

Bah quoi, si on a le droit aux langues étrangères..

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Chiant. Tout est toujours aussi chiant, la journée. Mon regard se perdait au travers de la fenêtre, de cette grande cour ensoleillée. Je m’imaginai tellement bien, là, dehors, sirotant ma bière, une clope à la main. Et pourtant me voilà emprisonné dans une salle de cours, avec une vingtaine d’élèves aussi intéressés par mes propos que moi par leur présence. Il n’y a vraiment pas de justice.

Durant mes cours, je parlais le moins possible, à part pour quelques explications nécessaires. Je notais tout au tableau. Comme ça ils n’avaient cas recopier, et moi ça m’évitait de tout répéter cinquante fois. Tout le monde y trouvait son compte ainsi.

En face de moi se trouvaient de nombreux termes barbares pour les jeunes étudiants : récessivité/dominance, allèle, autosome, ségrégation monogénique, complémentation intragénique et autres cycles haplodiplobiontiques. Pour peu, j’aurais même pu m’endormir moi-même devant ce que je venais d’écrire. La génétique, c’est pas toujours très pratique. Et même si je m’en contrefoutais de leurs avenirs, quelque part je trouvais un léger plaisir au fait de les éduquer.

Un objet cogna contre l’arrière de ma tête, et s’ensuivirent de nombreux rires dans la classe. Je me retournais et vit un avion en papier à même le sol. Ne pas écouter les cours, ou encore somnoler, ça ne me dérangeait en aucun point. Ca me semblait même être un passage obligatoire. Mais me faire chier pendant mes heures de cours, c’était tout autre chose. D’autant plus quand mon cerveau ne s’était pas totalement remis de la soirée de la veille, encore une fois. Je n’allais pas laisser passer ça. Oh non. Le fautif allait devoir encaisser pour que cela n’arrive plus jamais.

Mes yeux tournèrent sur l’ensemble de la classe, où une majorité d’élèves tentaient de camoufler un rire. Si seulement il n’était pas inscrit dans la charte qu’on n’avait pas le droit d’écraser leurs tronches contre les tables. Ah, ce que ça m’aurait fait du bien à ce moment. Puis mon regard tomba sur une jeune étudiante au fond de la salle, sa joue posée contre sa paume, feintant visiblement de regarder dehors. Les jeunes.. S’imaginait-elle vraiment que pareille ruse marcherait avec moi ? ‘Oh mais je n’ai rien fait monsieur, je regardais dehors !’ Tu parles. Mon regard se plante sur elle, elle aurait sûrement pu y lire toute ma haine sur le moment.. si elle me regardait. Son insolence continuait, sa tête toujours tournée vers la fenêtre. Je devais rêver..

- Virginie ! Ca t’amuse peut-être ? Crois pas que je sois le genre de prof qui accepte ce genre de choses ! Tu resteras à la fin du cours avec moi et on discutera de la punition la mieux adaptée pour toi ! Oh et puis merde, il reste que dix minutes, tout le monde dehors, maintenant !

Les rirent s’étaient éteins depuis un moment déjà, et les élèves ne se firent prier pour quitter la salle de cours, d’autant plus face à mon état d’énervement assez visible. Je fermais la porte à clé derrière eux, bien décidé à donner une bonne leçon à la jeune femme qui restait toujours assise à sa place. Je m’approchais d’elle, lentement, le regard lourd. Tout devint un jeu à partir de ce moment. Mon esprit se ferma, et commença à imaginer les différents atomes nécessaires à ma préparation. Six Carbones. Douze Hydrogènes. Et un Oxygène. Restaient maintenant à leur donner leur bonne conformité. D’abord la fonction carbonyle, cette double liaison qui reliait l’oxygène et un carbone, de façon à ce que le reste de la molécule soit un cétone, ce qui rend son pouvoir d’autant plus fort. Et voilà, le 4-méthylpentan-2-one était enfin prêt. Cette phéromone sexuelle des plus basiques me permettrait sans aucun doute à rendre l’étudiante beaucoup plus.. conciliante, ce qui devrait en soit lui servir de leçon lorsque je le rejetterais par la suite.

J’étais maintenant derrière sa chaise, mes mains posées sur le dossier de sa chaise, dans son dos. Je relâchais mon corps, afin d’ouvrir mes pores et de la ‘contaminer’ avec mes phéromones. Malheureusement, comme tout plan bien pensé, rien ne se passait comme cela aurait du être le cas. Pour une raison qui me dépassait, ou simplement à cause de mon incompétence, les molécules organiques se redirigèrent vers moi sans que je m’en rende compte. Lors de la respiration suivante, il était déjà trop tard. Mon esprit était embué, j’avais.. j’avais terriblement envie de ce corps offert devant moi.. C’était donc ainsi que se sentaient mes victimes habituelles ? Quelle terrible sensation que de sentir son corps agir à l’encontre de sa volonté. Volonté qui, au passage, vacillait de plus en plus. Mes mains se posèrent sur les épaules de Virginie, alors que mon visage s’approcha de sa nuque pour en humer outrageusement les effluves. Mes doigts commencèrent à masser la peau de la jeune étudiante. Tout mon corps semblait la réclamer, et je savais qu’il ferait tout pour l’obtenir, car tel était mon pouvoir. Voilà ce qu’il en coûtait de jouer avec un feu que l’on ne maitrisait pas assez bien..

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Prélude / Re : Les Tyranna, la chasse aux mâles est ouverte. - { Validées }
« le: dimanche 13 novembre 2011, 15:46:42 »
J'ai pas eu l'occasion de venir te voir encore, donc j'descends pas souvent dans les caves =)

Et pour répondre a Wiverna, faites attention, il est déjà arrivé qu'une souris morde le chat qui était supposé la chasser ;)

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