Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre > Refectoire

Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]

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Leona:
Pauline avait été utilisé sans retenue devant mes yeux attentif mais comme je lui avait si bien dit, les premiers clients n'étaient que le menu fretin. Arrivant d'un pas décidé, le surveillant de l'école arriva avec son chien... enfin... j'avais toujours pensé qu'il n'en avait qu'un à la base mais en réalité c'était 3 de ces clébards qui étaient fermement tenus en laisse dans sa main. A vu d'oeuil même si je ne m'y connaissais pas très bien en race canine, il s'agissait de deux dauberman et d'un boxer bien en forme. Bon, je me disais qu'au départ ça dérapait peut-être un peu et que ce n'était pas ce qui était prévu mais la somme était vraiment TRES alléchante... Alors je retirais simplement le bandeau des yeux de Pauline pour lui faire découvrir quels seraient ses nouveaux compagnons de jeu. Et dire qu'i me payait une telle somme pour finalement ne rien faire lui même et juste observer Pauline au milieu des 3 chiens.

Ils ont intérêt à être bien dressés, ou tu passe par la fenêtre.

Un simple petit rire mesquin émane de l'homme qui lâche d'abord un seul des chiens, dans un ordre d'attaque sur Pauline. Le boxer se jette alors sur elle et grogne en montrant toute ses dents comme un avertissement auquel il fallait mieux prêter attention. Jusque là rien de bien surnaturel... mais c'était sous estimé les viles vices d'un gros porc pareil, qui avait été jusqu'à dresser son chien à " violer " une femme. Répugnant... quel homme pouvait avoir l'idée d'un tel dressage... Il ne lui fallait qu'un appel et quelque geste pour que le chien n'étale ses bourses sur le visage de la brune comme pour réclamer une gâterie.

Rah non putain ! pas par là... il va vraiment falloir reprendre le dressage du début !

L'homme intervient finalement pour obliger Pauline à se mettre à quatre pattes, plaçant ensuite le chien de manière à ce qu'il soit bien entre ses fesses.. là ou il faut.

Voila c'est par là qu'ont commence !!

Poussant des cris de chien en chaleur entre quelques aboiement, l'être canin s'y donne à coeur joie et y va comme s'il s'agissait d'une femelle de son espèce... jusqu'à y déverser très vite sa semence... ce genre d'animaux ne tenaient pas très vite... de vrais petits lapin.

Tout aurait pu s'arrêter là mais non, l'homme arrosa Pauline d'une odeur très malodorante, qui étaient en réalité des phéromones animales pour exciter ses chiens, qui une fois l'odeur parvenus à leurs museau essayaient déjà de soustraire la laisse à leur maitres. Il ne fallait qu'un instant avant que les 3 canidés ne se jettent sur elle en grognant et en la léchant, tout en se frottant à elle comme s'il s'agissait d'une vraie femelle chienne...

Aller soulage mes compagnons ! Et vide les bien je veux qu'ils soient en forme ! J'ai payé le prix fort alors tu ne t'arrêtes pas tant qu'ils réclament encore !

Ca allait donc être à elle de les purger de toutes les manières possibles, prise au milieu de cette meute comme un morceau de viande jeté aux loups.

Pauline Catalino:
Leona retira le bandeau des yeux de Pauline et cette dernière fut dégoûtée de voir trois chiens fermement tenu en laisse par le surveillant. Il n’allait quand même pas exiger qu’elle fasse l’amour avec des clébards ? Si elle n’avait pas été droguée par de nombreux cachets, Line aurait sûrement crié et serait partie en courant. Cependant les quatre cachets récemment avalé dictaient sa conduite. Le pervers lâcha un premier chien qui la plaqua sur le sol en grognant. Il était trop tard pour se défiler, car la bête lui faisait clairement savoir que si elle se débattait elle se ferait certainement mordre. Le clébard frotta ses bourses et son horrible pénis puant contre le visage de la jeune fille qui ferma les yeux et arrêta de respirer. Le pervers ne semblait pas satisfait de ce que faisait son chien. Il l’avait dressé pour violer des femmes ? Etait-ce possible ? Certainement avec un maître aussi dégueulasse…
Il attrapa la laisse qui était accrochée autour du cou de la jeune fille et tira dessus pour la mettre à quatre pattes, puis il indiqua à son molosse de se mettre derrière elle. Pauline ne voulait pas se faire baiser par un chien mais quand elle sentit sa verge se frotter entre ses fesses, elle ne put s’empêcher de vouloir qu’il la prenne. Line gémit fortement alors que le chien venait d’enfoncer son pénis dans l’anus de l’esclave. Cette bête dégueulasse devait apprécier les trous étroits. Il ne fallut que quelques secondes avant qu’il l’éjacule dans son cul. Pauline ne ressemblait plus du tout à une jeune lycéenne. Du foutre de chien remplissait son anus et elle savait qu’elle en aurait certainement bientôt plein la bouche et le vagin. Son vagin était encore recouvert de semence et elle avait apprécié de se faire enculer par un animal. Leur maître aspergea l’esclave avec des phéromones animales et très vite les trois chiens lui sautèrent dessus, la plaquant sur le dos. N’était-elle plus que bonne à ça ? Se faire baiser par des molosses ? Ils la léchèrent tout partout puis l’un deux s’assit sur le visage de la prostituée et remua sa queue et ses bourses contre les lèvres et le nez de Pauline. Malgré son état d’excitation, la jeune fille refusait de lécher ou de sucer cette chose qui avait une odeur écœurante. Pendant que le chien continuait de se frotter contre le visage de l’esclave, un second se plaça entre ses jambes et lui pénétra d’un coup le vagin. Line cria mais sa voix fut rapidement étouffée par la bite du premier chien qui se glissa entre ses lèvres. Les deux clébards baisèrent sa bouche et son vagin brutalement et Pauline était obligée de s’avouer qu’elle aimait ça. Elle voulait tellement se faire baiser. De toute façon elle était devait obéir aux ordres, alors autant qu’elle y prenne du plaisir. Elle mouillait déjà énormément et commença à sucer amoureusement la bite du chien. Les phéromones avaient dû rendre les bêtes complètement folles de désir car les deux venaient d’éjaculer en elle. La prostituée avala le sperme du chien et savourait la chaleur de la semence de l’autre chien qui remplissait son intimité.
Même s’ils avaient jouit, ils ne s’arrêtaient pas pour autant de la violer. Le troisième chien repoussa celui entre ses jambes pour pénétrer son vagin à son tour tandis que Pauline continuait de sucer la bite qui pilonnait sa bouche. Les animaux baisèrent cette chienne en manque pendant près d’une demi-heure avant d’être satisfait. Quand ils la laissèrent, Pauline était toujours couchée sur le dos, la bouche grande ouverte à reprendre son souffle alors que son vagin débordait de semence animale et qu’elle en avait avalé tout autant. La jeune soumise espérait seulement que ce porc de surveillant en avait fini avec elle et qu’il n’avait pas d’autres idées tordues en tête. Quand Pauline tourna les yeux vers sa maîtresse elle vit que ses yeux brillaient en tenant de nombreux billets. Elle savait qu’elle laisserait les clients faire tout ce qu’ils voudraient de sa chienne, tant qu’ils allongeraient les billets.

Leona:
La horde composée de trois chiens féroces y allaient de bon coeurs et recouvraient non seulement l'intérieur mais aussi l'extérieur du corps de Pauline, qui fut très vite gratifiée tours à tours de plusieurs jets maculant sa peau... et ses pauvres orifices profondément souillés. La scène était presque répugnante à voir pour n'importe quel esprit assez sain, ce que ne possédait visiblement pas le surveillant qui admirait la scène main au pantalon. Ma main à moi était quant à elle pourvue de billets que je recomptais. Ca faisait déjà un jolie paquet...

Bon les chiens se sont bien assez amusés non ? Maintenant il est temps de laisser son tours aux autres. Et inutile de revenir la prochaine fois.

En réalité même si je ne le montrais que peu, je n'aimais pas vraiment que cette homme touche Pauline, pour son bien être physique et mental. La pauvre était encore tremblante d'excitation alors que de la semence coulait hors des lèvres buccales et vaginales... En temps normaux la petite brune aurait surement pleurer de peur et de dégout... mais pas sous la drogue.

On dirait que je tombe bien pour nettoyer tout ça, je n'ai pas osé en profiter la dernière fois mais puisque c'est contre de l'argent tu n'utiliseras pas ce fait pour faire encore chanter, n'est-ce pas Leona ?

Il s'agissait de l'infirmière scolaire, cette même jeune demoiselle très sexy d'une vingtaines d'années qui lui avait affirmé la dernière fois ne pas s'intéresser aux adolescente dans son genre. Elle était pourtant bien là, dans sa sublime tenue d'infirmière pour remettre Pauline sur ses deux jambes. Qu'elle n'aille pourtant pas croire qu'elle était un havre de bienveillance, l'infirmière dans l'intimité bien que restant en toute circonstance calme et adorable, n'était pas un havre de paix dans ses petits jeux sexuels, et faisaient passer les pires tortures possibles pour de soit disant actes de sympathie fondamentales pour soigner ses élèves, ou les garder en forme. Alors quand elle parlait de nettoyer, c'était en direction des toilettes que Pauline se rendait avec l'infirmière, qui musela le visage de la brune contre le robinet, bouche suçant le tuyau d'arrivé d'eau.

C'est pour ton bien Pauline, il faut nettoyer toute cette semence de chien pleine de bactéries nocives... Dit l'infirmière en affichant un regard malsain et excitée envers Pauline, une main dans sa culotte déjà mouillé, l'autre caressant le robinet d'eau.

Pauline devait comprendre avec effroi ce qui allait se passer et ne put que le confirmer lorsque le robinet tourna pour laisser couler un long filet d'eau froide qui ne s'interrompait jamais. Elle fut bien contrainte d'avaler l'eau qui déferlait dans sa bouche par grandes gorgées, en continue. Forcée d'avaler pour ne pas boire la tasse devant l'infirmière qui se doigtait furieusement, elle eu le droit à une petite pause après un litre d'eau ingurgité de force.

Pourquoi ce regard ma mignonne petite biche ? tu n'as bu qu'un tier du traitement.

Ce n'était même pas la moitié pour la pauvre Pauline qui se retrouvait de nouveau gavée d'eau comme une oie, jusqu'à en éprouver d'énormes difficultés à avaler chaque gorgées. Au bout du deuxième litre, les difficultés à avaler se faisaient sentir, et de longues bosses déferlaient avec un rythme moins soutenue dans un gorge, dans des sons de déglutissement semblant implorer la pitié. Chaque bouffée d'eau était un vraie supplice maintenant elle n'arrivait tout simplement plus à avaler assez vite. L'infirmière s'en fichait pas mal et allait même jusqu'à laisser Pauline convulser légèrement en gémissant d'urgence. L'eau était obligée de s'échapper en grande partie par le bord des lèvres... je dut interrompre moi même ce jeu dangereux avant sa fin.

Mais.. Leona.. le traitement n'est pas fini... il lui reste encore un litre à ... Bon ok j'ai compris... je vais faire autrement...

Elle coupait enfin le robinet alors que le ventre de Pauline était remplis d'eau et avait gonflé comme celui d'une femme à enceinte de quelques mois. Mais l'infirmière appréciant peu de ne pas avoir terminer son petit jeu la fit basculer sur le ventre dans un sons raisonnant, comme si un ballon plein d'eau avait brutalement percuter le sol. Pour finir de la remplir, elle enfila un tuyau qu'elle glissa loin dans son anus après en avoir sucer le bout pour le lubrifier. Et ainsi continuer à la remplir d'eau ainsi, par l'autre côté.

Entre ce qu'elle avait bu et l'eau qui remplissait son ventre par l'anus, c'était pas moins de presque 4 litres qui gigotaient dans son ventre pleins, soit 1 litre à peine sous la limite que pouvait supporter un être humain.

Et maintenant un peu d'exercice pour ton bien, pour garder la forme !

Un sourie bienveillant se dessinait encore alors que je me disais que c'était bien plus malsain que mes méthodes. Moi au moins, j'affichais clairement mon désir d'être sadique quand je l'étais... je ne faisais pas semblant d'être douce. Comment on pouvait croire une seule seconde à son rôle quand on se retrouvait comme Pauline remplis de 4 litre d'eau, le ventre gros et à demi écrasé sous le sol avec un gros bouchon en liège dans le derrière, pour être sure que rien en sorte... Ou du moins, que rien ne ressorte par ailleurs que par sa vessie qui serait bientôt en feu.

L'infirmière l'avait bien compris puisqu'elle pressa sur son gros ventre avec son pieds avant de lui attacher une laisse et de commencer une petite balade à quatre pattes dans le grand établissement.

Pauline Catalino:
Malgré l’humiliation que cela aurait pu être, Pauline avait adoré se faire baiser par ces trois chiens. Elle était recouverte de sperme et en avait aussi qui coulait de chacun de ses orifices. Elle n’était plus qu’une chose qu’on s’amusait à fourrer et à remplir. Line n’avait rien contre ça acceptait volontiers son sort. Après tout se faire baiser toute la nuit n’avait rien de si désagréable, même si les bites des trois chiens avaient une odeur horrible et un goût qui en temps normal l’aurait certainement faite vomir. Leona chassa le surveillant et ses trois chiens tandis que l’infirmière arrivait en souriant. Cette salope avait donné des heures de colle à Pauline, et maintenant elle voulait s’amuser avec elle ? Si elle n’avait pas peur de mettre en colère sa maîtresse, la lycéenne aurait certainement giflé cette femme. Elle voulait nettoyer la jeune fille, et cette dernière crût stupidement qu’elle allait prendre un bain. L’infirmière emmena Pauline à quatre pattes jusqu’aux toilettes et l’obligea à mettre un robinet d’eau en bouche. Il n’y avait pas besoin d’être très intelligente pour savoir ce qui allait suivre et l’esclave se prépara à ce qui allait suivre. L’infirmière ouvrit le robinet avec un débit soutenu d’eau glacé qui remplit la bouche de la soumise en quelques secondes. Elle avala de grandes gorgées d’eau et fit du mieux qu’elle pût pour ne pas se noyer. Ses mains se crispaient sur le lavabo et elle tenta vainement de retirer sa bouche du robinet. L’infirmière la bloquait et se caressait en la regardant se noyer à moitié. Quand enfin elle coupa l’eau, la jeune fille en recracha une belle quantité avant de tousser et de respirer avec difficulté.

– Pi…. Pitié… Stop… articula Line avec difficulté. Je peux plus… avaler…

La femme ouvrit à nouveau le robinet et la torture recommença. Pauline avalait de son mieux tandis que son ventre se gonflait lentement. Après une vingtaine de seconde de l’eau commença à ressortir par sa bouche et par ses narines alors que son ventre était lourd et que sa gorge était en feu. L’infirmière coupa l’eau sur ordre de Leona mais n’était pas contente du tout. Elle décida de terminer le « traitement » en enfonçant profondément un tuyau dans l’anus de l’esclave et recommença à la remplir d’eau. Pauline frissonna en sentant l’eau glacée remonter le long de ses intestins et de son ventre. Elle se sentait de plus en plus lourde et baissa les yeux et regarda avec stupeur son abdomen prendre une forme ronde et gonflée.
L’infirmière enfonça un bouchon dans son anus et pressa le ventre de la prostituée avec son pied. C’était extrêmement douloureux et Pauline commença à gémir. Elle reprit la laisse et commença à promener la petite chienne dans l’établissement. La jeune fille se demanda pour combien de temps la femme avait payé car faire le tour de l’établissement allait prendre du temps. Finalement l’infirmière conduisit Pauline dans le petit espace vert qui se situait dans la cours du lycée. Marcher à quatre pattes aussi longtemps avait rendu ses genoux douloureux et lui avait surtout donné envie de faire pipi.

– Il faut que j’aille aux toilettes et rapidement, gémit Pauline en tentant de se retenir.
– Oh mais tu y es petite chienne, déclara l’infirmière en souriant.

Pauline ferma les yeux et commença à uriner comme une chienne que l’on promenait dans un parc. La jeune fille urina un long moment et vit qu’une énorme flaque se formait entre ses jambes. C’était tellement bon de pouvoir se soulager après avoir été forcé d’avaler autant d’eau. Pauline ne s’arrêtait pas de pisser alors que de l’urine recouvrait ses cuisses et elle se promit intérieurement qu’elle n’avalerait plus le moindre liquide de force. Même si elle était excitée à l’extrême, elle ne voulait plus subir ce genre de torture.

Leona:
Le ventre bien remplis devait être à première vue douloureux mais parfait aux yeux de l'infirmière qui en profitait pour une petite balade longue en galère. Le ventre ballotait au rythme des pas de la chienne, docilisée au point de ne marcher plus qu'à quatre pattes dans les couloirs, et même jusque dans la cours ou elle est forcée d'y vider sa vessie. La pauvre Pauline urinait contre un arbre comme un vulgaire toutou, déversant son liquide chaud dans un soupir de soulagement qui dégonflait un peu son ventre. Le liquide se répendait au sol et l'infirmière d'un coups de pieds aux fesses envoya son visage valsé dans la flaque, et son ventre s'écraser sur le sol dans un sons ressemblant à celui d'un ballon plein d'eau, s'écrasant sur le sol avec élasticité. La pression avait été si forte que le bouchon en liège fut expulsé et que de l'eau sortit par son anus.

Oui c'est bien, il faut tout faire sortir maintenant que tu es bien nettoyée !

Toujours du même pied l'infirmière sadique retourne son corps comme une crêpe et vient presser son pied contre le gros ventre, faisant pression pour faire sortir l'eau de la manière la plus humiliante, par l'anus et par la vessie. Tout se répendait sur le sol en une belle flaque et la belle brune fut vidée d'un bon litre au moins, soit à peine le tier. Il fallait au moins conserver un peu de flotte en elle pour le chemin du retour, le cas contraire n'aurait pas été amusant ! D'ailleurs, ses tétons furent pincés par de lourdes pinces métallique, faisant pendre sa poitrine douloureusement vers le bas grâces aux petits poids au bout des pinces, de 50 grammes de chaque côtés. De quoi alourdir encore son corps vers le bas pendant qu'elle marchait, et faire frotter son ventre sur le parquet.

Mais tu n'es pas encore une vraie chienne, je t'ai encore entendu parler tout à l'heure... les chiens, ça doit aboyer tu sais ?

De retour au point de départ, l'infirmière avait encore un peu de temps devant elle pour préparer sa soumise. Elle décidait donc de sortir quelques affaires de son sac et offrit un plug anale à son cul encore bien écarté. Le plug était un anneau en métal plutôt froid, qui maintenait son cul férocement ouvert. Pour améliorer sa condition de chienne il y avait même une petite queue de canidé sur le bout, qui la fit vite ressembler à un petit cocker. Sa bouche et son vagin eurent aussi le droit au même traitement, maintenues bien ouvert par des anneaux en métal, sans la queue cette fois bien sure. Pour couronner le tout, ce fut une cagoule en latex qui fut placée sur le visage de Pauline, dont la chevelure qui avait été soigneusement coiffée en queue de cheval ressortait par un petit trou destiné à cela à l'arrière du crane. C'était la seule ouverture de cette cagoule en latex qui recouvrait même ses yeux et son nez. Ne laissant que l'ouverture au niveau de la bouche pour respirer et être en proie à tout ce qu'ont voudrait y mettre.

Elle était transformée en une petite chienne qui ne pouvait se mouvoir mais plus voir ce qu'il se passait autours d'elle, les pinces métalliques pendantes toujours et le ventre bien remplie. Le tours suivant était un groupe d'élève masculin qui ne devrait pas tarder.

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