Le Grand Jeu
Plan de Terra => Ville-Etat de Nexus => Discussion démarrée par: Aloysia Weber le samedi 29 octobre 2011, 10:16:23
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(Suite de http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=7011.0 (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=7011.0))
Aloysia avait décidé d'abandonner sa liberté pour l'instant. Elle savait que même s'il arrivait à s'enfuir, elle ne saurait pas vivre seul dans cette grande ville qui fourmillait de gens plus malhonnête les uns que les autres. Elle était jeune, belle... En clair une proie facile et convoitée.
Aloysia suivait docilement sa nouvelle maitresse. Mais avant de partir la kitsune avait mis les point sur les i. Elle s'appelait Sofia Maédra et elle ne serait pas violente avec elle. C'était déjà ça... Aloysia avait répondu avec un petit sourire suite à la question de la jeune femme.
" Oui j'ai compris...maitresse."
Elle avait eue un petit peu de mal à prononcé le dernier mot car il était durs pour elle d'accepter que quelqu'un soit au-dessus d'elle. La suite fut rire la princesse. Non, elle n'avait jamais touché d'éponge et de balai... Dans son château, des femmes étaient payé pour ça et Aloysia n'était vraiment pas attirer pas les taches ménagères. Mais elle répondit tout de même.
" Je ferais de mon mieux... Enfin du moment que je ne fais pas ça toute la journée !"
C'est vrai, Aloysia ne de voyait pas nettoyé pendant toute une journée... Puis elles étaient partit... Elle étaient maintenant dans la ville et sa maitresse la guidait dans des rues plus étroites. Elle était vraiment curieuse de voir à quoi la demeure de cette femme ressemblait. Était-elle riche...grâce à son travail ? Avait-elle d'autres esclaves ? Toutes ces questions allait bientôt être résolue...
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Elle avait vraiment du cran, cette princesse, le fait de dire à Sofia qu’elle ne voudrait pas le faire toute la journée signifiait que malgré sa condition, elle se permettait de choisir ce qu’elle voulait faire ou non. Autant dire qu’avec un maitre normal, elle se serait prit une violente claque, et aurait fini sa nuit dans un cachot sale et répugnant. La kitsune elle, se contenta de sourire, elle était décidément bien pétillante cette jeune demoiselle, cela lui faisait plaisir. Enfin…
La kitsune gardait sa servante à l’œil durant tout le trajet, et il fallait le dire, les regards pervers destinés a sa protéger ne manquaient pas, mais il fallait croire que la présence de la kitsune empêchait ceux-ci d’aller plus loin. Oui, même si l’on ne la connait pas, elle dégage une espèce d’aura qui fait que les gens savent d’instinct qu’il ne fallait mieux ne pas s’approcher d’elle. Bien, la demeure ne devrait plus être loin. A la voila.
Elle fait donc entrer sa nouvelle esclave dans la demeure. Il s’agit d’une petite maison individuelle de Nexus, une petite maison assez simple, sans trop de fioriture, toutefois, elle est relativement propre, et agréable, la pièce de séjour est lumineuse, assez grande, et la décoration est assez sobre pour plaire à tout le monde. La kitsune sourit tranquillement avant de lui dire.
- Tu ne t’attendais pas à un château j’espère. Je peux déjà m’estimer heureuse d’être dans une maison avec toute les commodités de Terra… Bien que pour tout dire, je préfère largement la Terre, nous sommes bien en retard de ce coté là, crois moi. Enfin, donc je te présente ton nouveau chez toi.
Maintenant, il restait à voir la réaction de la jeune femme, même si la kitsune avait déjà, une petite idée de ce qu’elle allait lui faire faire. La première des choses, ce serait lui faire prendre un bon bain. Car cette petite demoiselle en avait bien besoin. Cela devait faire quelques jours déjà qu’elle n’avait pas put se laver, donc un bon décrassage ne serait pas du luxe.
-Je suppose que tu n’as pas du prendre de douche ou de bain depuis pas mal de temps. Je te propose donc de monter au premier, tu y trouvera de quoi faire ta toilette, moi, je t’attendrais ici.
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Aloysia rentra dans la demeure de la kitsune. La maison était en effet plus petite que le château où elle habitait mais elle était chaleureuse et paraissait confortable. Elle savait qu'elle vivrait ici pendant un moment mais cela ne lui déplaisait pas. Elle hocha la tête losrsue la jeune femme évoqua la Terre. Sa mère lui avait mainte fois parler de cette planète et il vrai qu'elle regrettait quelques fois de vivre sur Terra. Sa mère avait souhaité lui faire visiter sa planète d'origine mais elle n'en avait pas eue l'occasion... Car sa fille avait été enlevé. Aloysia ressassait ses pensés mais elle sourit aimablement à sa nouvelle maitresse.
" C'est très joli chez vous."
La kitsune lui proposa de prendre une douche et un grand sourire éclaira le visage de la jeune princesse. Elle n'avait qu'une envie aller se doucher ! Se sentir propre et présentable.
" Merci beaucoup. J'attendais ça depuis très longtemps et je ne supporte pas de ne pas me sentir propre. Par contre... Je n'ai pas de vêtement de rechange et la robe...n'est plus très propre..."
Aloysia espérait que sa maitresse ne lui demanderait pas de se promener nue comme un ver pour l'unique raison qu'elle était une esclave. Mais elle ne pouvait vraiment pas remettre sa robe était en très abimé en bas, car très longue...
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Le fait que la jeune femme soit heureuse de prendre une douche ne la surpris même pas, elle était vraiment un princesse, ce genre de comportement n’avait donc rien d’étonnant. Elle n’avait d’ailleurs sans doute pas d’autre préoccupation que son look lorsqu’elle était encore au pouvoir. Chose qui la changerait puisque désormais ce serait elle qui avec l’aide de sa maitresse s’occuperait du ménage, de la cuisine, et de tout le reste. Autant dire que son domaine de compétences allait rapidement s’agrandir.
Elle sourit doucement en écoutant les paroles de la jeune femme, décidément, elle n’aurait pas tenue trois minutes dans la rue, si elle ne l’avait pas suivit, remarquait, elle était assez intelligente pour le comprendre, et donc pour l’instant elle restait avec elle, même si Sofia avait des doutes sur son allégeance. Elle se contenta de lui répondre.
-Tu trouveras un dressing avec quelques uns de mes kimono à l’étage ainsi qu’un peu de lingerie, tu porteras cela en attendant que je trouve des vêtements à ta taille.
Quand elle parlait de lingerie, la kitsune voulait dire de la lingerie fine, le genre d’ensemble hors de prix et surtout porté pour les grandes occasions. Mais d’un autre coté, c’était la seule chose que portait la jeune femme. Elle se devait de toujours être présentable, tout simplement parce que son corps fait partit de son métier, oui, lorsqu’elle tue, elle fait en sorte que ceux qui iront rejoindre les enfers meurent en ayant un peu de plaisir… Ce n’est pas par charité, mais parce qu’elle savait qu’ainsi, elle ne risquait rien… Enfin, pour l’instant elle se baigne cette jolie demoiselle.
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Aloysia se précipita au premier étage et finit pat trouver la salle de bain après quelques recherche. Elle se déshabilla prestement pendant que la baignoire se remplissait. Elle s'assit dedans et ferma les yeux de contentement. Enfin un bon bain... Elle prit un savon et se savonna entièrement jusqu'à sa peau soit débarrasser de toutes traces des derniers jours. Elle fit ensuite un shampooing et démêla ses cheveux qui en avait bien besoin grâce à un peigne. Puis elle sortit de l'eau et s'essuya rapidement. Elle noua sa serviette au niveau de la poitrine et chercha de quoi s'épiler. Après s'être débarrasser de tous les poils qui avait eu le malheur d'apparaitre sur son corps.
Elle sortit ensuite rapidement de la salle de bain et courut presque jusqu'à la chambre de Sofia pour prendre une tenue dans son dressing. Elle ne voulait surtout pas qu'on la voit dans cette tenue indécente pour une princesse. Elle choisit une tunique bleu ciel et prit des sous-vêtement noir assez sexy. Lingerie qu'Aloysia n'aurait jamais porté en temps normal. Le tissus était de très bonne qualité et heureusement sa maitresse et elle était proportionné à peu près pareil. Elle retourna à pas de loups dans la salle de bain et enfila le tout.
Elle redescendit propre et fraiche, les cheveux soyeux. Elle se sentait beaucoup mieux. Elle retrouva la jeune femme et n'oublie pas ses bonnes manières.
" Merci beaucoup de m'avoir prêté votre salle de bain."
Elle sourit aimablement, appréciant vraiment la générosité de la kitsune. Elle ne savait pas combien de temps elle resterait avec cette femme mais cela lui faisait du bien de ne plus être sans arrêt sur ses gardes et de se demander de ce que serait fait demain.
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La kitsune pendant ce temps avait préparé deux tasses de thé. Elle dégustait la sienne lorsque la jeune femme était de retour, et elle était d’ailleurs bien mieux ainsi coiffé et habillé. Hum, a l’époque ou elle était encore une princesse, elle avait sans doute en faire tourner des têtes, mais de toute façon, même maintenant elle était bien mignonne cette petite esclave.
Sofia lui fit un signe de la tête, l’invitant à s’assoir. Elle voulait un peu discuter avec elle, histoire de lui apprendre ce qu’était la vie. Elle se contenta donc d’attendre que celle-ci lui obéisse, s’asseyant sur une des chaises qui trainaient par la.
-Contente de savoir que tu apprécies ce genre de commodité, tu sais que beaucoup de personne ici n’ont pas accès à cela. Enfin bref, oui tu es quand même plus présentable comme cela. Je suis sur que tu as dut en faire tourner des têtes n’est ce pas ? Oui, tu devais avoir un nombre de prétendant long comme le bras hein et peu être quelques prétendantes non ?
Elle avait un petit sourire, le but était d’enquiquiner un peu la jeune esclave, oui sa maitresse tentait de la déstabiliser un peu. Mais c’était vraiment histoire de casser les pieds. Après tout, elle avait quand même le droit de vie et de mort sur elle. Alors même si elle ne comptait absolument pas en arriver là, elle voulait quand même jouer un peu. Et puis cela lui permettrait d’en savoir un peu plus sur le passé de la jeune femme. Avec cela, elle pourrait savoir si elle était toujours aussi vierge qu’une feuille, et surtout si elle avait eut quelqu’un dans sa vie…
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Aloysia s'assit et prit la tasse qui lui était réservé. Elle but quelques gorgés tout en écoutant la kitsune lui parler. Elle sourit et ses joues rosisses, légèrement dû à l'évocation de ses potentiel prétendant. Alors qu'elle avalait une gorgé de thé, elle manqua de s'étouffer suite à la dernière phrase de la jeune femme. Elle toussa pendant quelques secondes avant de pouvoir retrouver une respiration normale. Elle avait dû mal entendre, ce n'était pas possible autrement. Elle ne pouvait pas envisager que des femmes étaient intéresser par...elle. Une relation entre deux femmes étaient contraire à la nature.
Elle avait le regard plonger dans sa tasse de thé, ne sachant que répondre. Elle n'avait jamais envisagé qu'une femme pouvait être amoureuse d'une autre. Elle avait toujours été attirer que par les hommes et la haute bourgeoisie fonctionnait selon des normes et des règles respecté et appliqué par tous. L'hétérosexualité était une de ces normes. Jamais elle n'avait entendu ce genre d'histoire. Aloysia releva la tête et plongea son regard dans les yeux couleur rubis de la femme qui l'avait sauvée.
" Il est vrai que j'ai eu beaucoup de chance de tomber sur vous et je ne pourrais jamais assez vous remercier. Je...j'ai eu beaucoup de demande en mariage mais...disons que je n'ai pas eu le choix du fiancé. Tout cela s'est compliqué quand j'ai rencontré son frère lors d'un bal. Nous nous sommes embrassé, rien de plus mais je ne savais pas qui il était. Mon fiancé, que je ne connaissais pas encore car je ne l'avais jamais vu, nous a surpris alors que son frère venait de me révéler son identité... J'avais donc compris que celui qui nous avait ensuite séparé était mon futur époux. Son air froid et hautain me donna des frissons. Je savais que je ne pourrais jamais aimé une personne qui m'avait ensuite traité de catin. Cela est ma seule expérience des hommes, qui n'est pas la meilleur. Quand aux...aux prétendantes...je ne comprend pas de quoi vous voulez parler..."
Aloysia avait reposer sa tasse les mains tremblantes, les joues rouges de gêne. Elle ne comprenait pas que sa maitresse lui parle de ce genre de relation... A moins qu'elle envisage de... Aloysia rougit un peu plus, si c'est possible, aux images qui s'imposait à elle. Elle ne savait pas non plus pourquoi elle lui avait raconté autant sur elle mais elle avait besoin de se livrer et cette jeune femme avait l'air de réellement s'intéresser à elle.
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La voir s’étouffer comme cela lorsqu’elle lui dit qu’elle avait sans doute eut des amantes lui tira un grand rire, ainsi elle était aussi naïve que cela ? Pourtant généralement la royauté avait tendance à transformer les princesses en de véritables petites perverses… Etrange, enfin, il était peut être temps de lui expliqué les réalités de la vie à cette pauvre enfant.
Elle s’avança tranquilement vers elle, balançant doucement des hanches pour se donner un air de femme fatale, ce qu’elle était d’ailleurs, dans le sens premier du terme. Et lui caressa doucement le visage.
- Tu sais gamine, il n’existe pas dans ce monde que des relations hétéro, le plaisir entre homme ou entre femme uniquement est d’ailleurs fréquent. Surtout chez les bourgeois, alors oui, officiellement ils sont mariés et donc Hétéro, mais je ne calcule plus le nombre de baron ou de baronne qui demande à leurs esclaves de s’occuper d’eux. Enfin bref, c’est une autre histoire. Mais concernant ta peine de cœur, cela ne m’étonne pas. La plus part des nobles sont comme cela. D’ailleurs, tu as eut de la chance d’être fiancé à un homme de ton âge. La majorité des rois sont vieux et sénile, mais cela ne les empêches pas de profiter de jeune et jolie vierge. Enfin, je vins de réaliser que je ne connais toujours pas ton nom ?
Elle était franche, c’était sans doute l’une des caractéristiques principales de la kitsune, quand elle avait quelque chose à dire, et qu’elle pouvait le faire, elle le faisait sans problème.
Elle se contenta de sourire avant de terminer par une petite réplique assassine.
-D’ailleurs, cela ne te ferrais pas de mal, je pense, de gouter à la douceur des caresses d’une femme, après tout, tu me semble un peu mal à l’aise sur ce domaine. Enfin, tu as eut au moins la chance de connaitre, le temps d’un soir, l’amour. Beaucoup d’entre nous ne connaitrons jamais l’amour, et pire, sont obligés de vendre leurs corps pour le plus souvent rien de plus qu’un peu de pain…
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Aloysia vit Sofia s'approcher d'elle d'une manière...sensuelle. Aloysia fut très surprise quand elle lui toucha le visage car elle n'était pas habitué à avoir autant de familiarité avec une personne qu'elle connaissait à peine. Aloysia était très tactile aussi mais pas avec les inconnus. Mais elle savait aussi que sa maitresse avait le droit de tout lui faire et Aloysia ne pourrait rien dire. La réponse de la jeune maitresse la surpris. Alors ainsi les bourgeois avait des aventures extra-conjugales... Aloysia n'avait pas été élevé ainsi. Elle devait être une parfaite épouse pour son maris...et donc fidèle. Aloysia répondit elle aussi franchement à sa nouvelle maitresse.
" Je suis la princesse Aloysia Weber. Il est vrai que j'ai eue de Lachance comparé à ma cousine qui avait deux ans de moins que moi. Nous étions très très proche et...
Aloysia n'allait pas plus loin, se rendant compte de quelques choses. Sa cousine et elle avait été très proche après le mariage de celle-ci...vraiment très proche... Aloysia la voyait comme une petite sœur mais maintenant que Sofia lui avait ouvert les yeux, sa cousine avait sans doute eue des sentiments pour elle. Plusieurs faits le prouvait mais Aloysia n'avait rien compris. Aloysia rougit et tritura ses mains quand sa maitresse lui dit qu'il faudrait qu'elle est une relation avec une autre femme... Elle était de moins en moins à l'aise en présence de la jeune femme qui avait sans doute des idées derrière la tête. La jeune princesse répondit tout de même même si ses joues la brulaient et qu'une douce chaleur s'était installé dans son bas ventre.
" Je suis au courant de ces femmes qui vendent leurs corps et il vrai que j'ai eue beaucoup de chance de naitre dans un château. Je dois vous paraitre vraiment détestable. Une petite princesse qui a une vie de château alors que d'autre trime au détriment de leur vie. Pour ce qui est de...enfin...gouter à...je ne crois pas que...que ce soit très...moral."
Aloysia ne savait plus où se mettre tellement elle était mal â l'aise. Elle baissa donc la tête pour que ses cheveux cache ses joues enflammées.
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La kitsune eut un léger sourire, à l’entendre, on dirait qu’elle s’attendait à être battue dans les secondes qui suivait. Ce n’était pourtant pas son genre, elle lui avait dit, alors pourquoi était sans cesse comme cela. C’était vraiment étrange, enfin, en attendant elle avait un jolie prénom cette petite princesse. Aloysia… Ce n’était pas commun, un prénom de princesse quoi.. Par contre son petit mélodrame sur les personnes détestables, cela, c’était quand même assez comique, non… Elle, elle était une personne détestable, elle prenait la vie des gens, se moquant des familles, des amis…
Alors bon son petit numéro, cela faisait bien rire la kitsune. Enfin, elle se contenta de la regarder prendre une teinte de tomate, avant de lui dire d’une fois un peu plus sérieuse.
-Arrête un peu ton mélodrame, si tu pense être une personne détestable pour cela, alors je n’ai qu’une seule chose à te dire, tu te plante ma grande. Et une autre chose, ne crois pas que je vais abuser de toi. C’est justement parce que je sais ce que c’est que de devoir donner son corps alors que tu ne le souhaite pas que je ne le ferrais pas. Tout ce que je veux que tu comprennes, c’est que tu as eut de la chance jusqu’à présent, alors remercie ta bonne étoile.
Car tout pouvait changer du jour au lendemain, le métier qu’exerçait la kitsune était dangereux, alors oui, elle savait qu’un jour, elle n’en reviendrait peut être pas. Alors oui, qu’elle prie sa bonne étoile, on ne savait jamais de quoi le lendemain était fait.
LA kistune s’assit quelques temps, avant de reprendre une gorgée de thé, se demandant comment une princesse pouvait ignorer ce genre de chose, Bha, elle aurait encore le temps d’apprendre cette gamine. Après tout, elle pourrait même lui donner un petit coup de pouce, tôt ou tard, mais une fois qu’elle serait prête.
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Aloysia allait répliquer dès la première phrase de la kitsune. Elle n'aimait pas qu'on la remette en place ainsi sans arrêt. Elle n'était pas habitué à cela. Elle ouvrit la bouche pour dire ce qu'elle pensait mais la refferma aussi sec. La jeune femme qu'elle avait en face d'elle savait ce qu'était de devoir donner son corps... Aloysia ne dit rien se contentait d'écouter la neko et d'hocher la tête. La jeune princesse se détendit perceptiblement lorsque sa maitresse lui dit qu'elle n'allait rien tentée. Elle reprit elle aussi une gorgée du thé et sourit timidement à sa maitresse. C'est vrai qu'elle avait de la chance d'être tomber sur cette femme qui ne lui souhaitait que du bien...enfin, pour l'instant en tout cas. Car elle changerais peut être d'avis par la suite en se rendant compte qu'Aloysia n'avait pas toujours un caractère facile... Mais pour l'intant, elle se sentait bien et de bonne humeur donc elle était remplis de bonne volonté.
- Le thé était très bon... Mais je ne sais pas pour vous mais moi j'ai faim. Je propose de préparer le dinner pour ce soir et vous pourrez...juger de ma qualité de cuisinière.
Aloysia avait vraiment envie d'essayer de préparer le diner...seule. Elle voulait essayer de faire enfin quelque chose, d'être utile... Quant à savoir si ce qu'elle compte préparer sera bon...
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Sofia se contentait de l’observer, appréciant le fait que la jeune femme sache rester à sa place, même si elle avait envie de répliquer. Elle était une petite princesse bien élevée mais au fond d’elle, la kitsune pouvait voir une bête sauvage endormie, et c’était sans doute pour cela qu’elle l’avait choisie. Parce que elle-même, elle était plus proche de la bête que de l’humain. Effectivement, elle avait de jolis habits, elle était toujours propre et bien parfumée mais au fond, elle obéissait à la loi du plus fort. Cette loi qui dit que seul les plus forts peuvent survivre. Enfin, c’était son avis. Et elle ne comptait pas sur d’autre force qu’elle-même. Elle était seule, elle l’avait toujours était. Et cette jeune demoiselle ne changerait sans doute pas le bilan de cette triste addition.
Le fait que la jeune demoiselle veuille se lancer dans la cuisine était sympathique de sa part, sa maitresse hocha donc la tête, se disant que cela ne pouvait pas être pire que ce que elle, elle cuisinait. Il fallait dire que sur cela, la jeune hybride n’avait jamais était douée dans ce domaine, mais lorsque on nait dans la rue, on ne fait pas trop la difficile. Elle se contenta donc de lui dire.
- Tant que tu ne recherche pas à m’empoisser je te laisse faire. Et ne trahit pas ma confiance, tu sais que si c’est le cas, et bien… Je te jure que l’enfer sera un terrain de jeu en comparaison.
Les métaphores de l’assassin ont le don de vous détendre n’est ce pas ? Mais d’un autre coté, elle devait être sur que la jeune Aloysia ne tente rien de dangereux contre elle. Après tout, c’était quand même une esclave, et le gout de la liberté peut faire bien des choses.
-Toutefois, tu trouveras un livre de recette dans l'étagère. Et je suis heureuse que tu te sois proposé pour ce genre de tache. Tu es volontaire et je l'apprécie.
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Aloysia rigola franchement. Elle n'avait pas peur de sa maitresse même si elle savait que celle-ci était un assassin. La princesse rassura aussitôt la jeune femme, un grand sourire sur les lèvres.
- Je ne me crois aucunement capable de faire du mal à quelqu'un à moins que celle-ci me veuille du mal. Et surtout si j'en avais vraiment l'intention, je ne l'aurait pas tenter dès le premier soir...
Aloysia fit un clin d'oeil à la kitsune. Elle ne l'empoisonnerait jamais, ni ne tenterais de lui faire du mal ou de la tuer. Aloysia s'en sentait de toute façon incapable et elle n'en avait pas envie. Son instinct lui disait que cette femme ne lui voulait que du bien et qu'elle serait peut être une personne important pour elle dans le futur. Elle avait aussi compris que la jeune femme portait une sorte de carapace, sans doute dû à ses anciennes souffrances. Aloysia se leva et avant d'aller à la cuisine, elle se retourna vers la jeune kitsune.
- Je ne tenterais jamais de vous faire du mal mais je ne crois pas que me laisser faire la cuisine ne soit moins dangereux.
Sur ces dernières paroles, la jeune princesse entra dans la cuisine, ne refermant pas la porte derrière elle. Elle prit le livre de recette et le feuilleta attentivement. Elle cherchait une recette simple, très simple pour commencer. Elle mit un tablier blanc pour éviter de salir le les vêtements prété par sa maitresses.
Elle chercha d'abord de la viande et fit cuir le rosbif à point pendant qu'elle préparait de la purée de pomme de terre qu'elle avait prélablement épluché. Au passage, elle s'était légèrement coupé le doigt mais heureusement rien de très grave. Elle laissa refroidir le rosbif pendant qu'elle cuisait à l'eau les patates. Elle décida de faire un gâteau au chocolat, dessert qu'elle adorait. Elle cherchait les ingrédient mais ne trouvait pas la farine. Aloysia ouvrait les placard mais ne trouvait rien. Puis le dernier placard du haut qu'elle ouvrit fut le bon. Mais la farine était en hauteur et Aloysia de hissa sur la pointe des pieds. Alors qu'elle pensait tenir le paquet, celui-ci lui échappa des mains et explosa par terre. Aloysia eut tout juste le temps de se protéger derrière un meuble. Quand elle sortit de sa cachette, la cuisine était maculé de farine. Aloysia de mordit la lèvre pour s'empêcher de rire. C'était nerveux mais elle avait du mal à s'en empêcher. Elle se dépêcha à prendre un chiffon et a essayer de réparer ses bêtises. Elle commença par le sol et se mit à quatre patte, après avoir enlevé le kimono pour ne pas le salir. Elle ne portait plus que les sous-vêtement de sa maitresse et le tablier. Elle pria pour que sa maitresse n'entre pas dans la cuisine et voit les dégâts qu'elle avait occasionné en si peu de temps. De plus elle était en petite tenue et cela n'arrangerait sans doute pas les choses.
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La maitresse la laissa donc faire, mais dans tout les cas cette jeune femme savait parler, enfin au moins, elle avait le bénéfice du doute. Elle était sans doute trop pure pour faire du mal à quelqu’un, elle le disait elle-même, mais malheureusement ce n’était pas aussi simple que cela, il suffisait d’un élément, d’un seul pour basculer à jamais dans ce qu’était entrain de vivre. C'est-à-dire devoir se battre chaque jour pour devoir survivre, elle l’enviait cette petite princesse, dire qu’elle avait toujours mangé à sa faim, qu’elle avait eut une famille qui était la pour s’occuper d’elle, c’était sans doute ce qui avait manqué le plus à la kitsune. De l’amour, mais maintenant son cœur était devenue plus dur qu’un bloc de glace. Personne n’avait réussit à briser celui-ci, et à faire fondre le cœur de la jeune femme. Enfin, si il y avait bien quelque chose, l’innocence de l’enfance, il n’y avait que cela. Peut être parce qu’elle-même ne pouvait pas en avoir ? Oui, cela devait être cela, ou bien parce qu’elle n’en avait pas eut d’enfance ? Il y avait sans doute plusieurs explications, mais cela ne changeait rien sur le fait que maintenant elle n’était que violence, envers les être extérieurs, car avec la jeune femme, elle serait sans doute différentes, elle ne se l’expliquait pas… Mais cette jeune femme avait le don d’apaiser le cœur souffrant de la kitsune. Peut être parce que à ses yeux elle était encore une enfant ?
Une enfant qui venait de faire sa première bêtise à en croire tout le bruit qui sortait de la cuisine…
Elle s’y dirigea donc, avant de la trouver en petite tenue, la cuisine totalement couverte de farine… Ce qui la fit éclater de rire. Et bien décidément, elle était assez drôle cette jeune gamine, mais vouloir réparer ses fautes de cette façon, elle en aurait pour plusieurs dizaines d’année. Il lui fallait donc de l’aide. L’aide d’une pro qui à l’habitude d’effacer ses traces, et le sang comparé à de la farine, ce n’était presque rien.
Il ne fallut que cinq minutes à la kitsune pour se débarrasser de cela. Il y avait cependant une chose qui embêtait la kitsune, il y avait une odeur bien connue dans l’air… Une odeur de sang… Son esclave s’était sans doute blessée… Elle soupira.
-Tu t’es blessée n’est ce pas ? Allez laisse moi voir cela.
Elle lui prend doucement la main avant de voir la blessure. Hum, rien de grave, mais il faudrait quand même qu’elle s’occupe de cela. Bon, enfin il fallait quand même que la kitsune fasse le repas, sinon et bien les deux femmes ne mangeraient sans doute rien.
Elle récupère donc doucement un couteau, et s’occupe de trancher les légumes histoires de proposer un accompagnement décent à la viande. Et c’est bien sur la maitrise du couteau qu’elle est la meilleure. Elle regarde doucement la jeune princesse avant de lui dire.
- Je pense que je te ne te laisserais pas jouer avec des couteaux. Mais bon, tu es mignonne comme cela…
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Aloysia nettoyait comme elle pouvait les traces de farines... Le problème était qu'il y en avait partout ! Elle entendit des bas approcher. Mince ! Elle n'aurait pas le temps de réparer les dégâts... Elle cherchait donc une excuse qui expliquerait sa maladresse. Mais il était trop tard. Elle vit la kitsune entrer dans la cuisine et Aloysia baissa immédiatement la tête comme une enfant qui aurait fait une terrible bêtise. Aloysia la releva surprise en entendant le rire de la jeune femme. Aloysia de détendit, ne cachant pas son sourire de soulagement. Mais elle devait quand même présenter ses excuses.
- Je suis vraiment désolé pour ces dégâts. J'ai voulu attraper la farine et pouf, plein de farine partout. En faite, j'ai cuisiner et repeins votre cuisine...sans le vouloir.
Aloysia rit et regarda sa maitresse l'aider à nettoyer. Elle était rapide et efficace. Elle devait être habitué a effacer les traces... Aloysia secoua la tête, s'empêchant de penser à quel genre de trace la jeune femme pouvait nettoyé et surtout dans quel circonstance.
Aloysia vit sa maitresse renifler. La princesse cacha sa main blessée derrière son dos mais elle savait que c'était inutile. Elle avait vécu pendant 16 ans avec des nekos et savait qu'ils avait un odorat très développé. Celui d'Aloysia était lui aussi plus développer que les humains mais restait moins puissant que les 100% neko. Sa maitresse lui prit doucement la main et regarda la blessure.
- Ce n'est vraiment rien... Je ne suis pas très doué avec les couteaux, c'est tout. C'est juste une riquiqui coupure. Je vous avez dit que me laissez cuisiner était dangereux, pas pour vous mais pour moi.
Aloysia rigolait et faisait la brave sauf que sa coupure était un peu profonde et lui faisait un peu mal dès qu'elle voulait de servir de son doigt. Elle n'était pas spécialement douillette, c'est juste que jamais elle ne s'était fait mal auparavant. La jeune femme prit mes commande et cuisinait des légumes. La remarque suivante mis un moment à se frayer un chemin dans sa tête.
- Mignonne...comme cela ? Merci mais...
Aloysia rougit violemment en se rappelant qu'elle ne portai qu'un tablier et les sous-vêtements prété par sa maitresse. Aloysia se mordit la lèvre inférieur et se dandinait, très géné pa la situation. Aloysia regardait le kimono posé un peu plus loin. Devait-elle le remettre ou pas ? Sa maitresse avait l'air d'apprécier sa "tenue"... Mais se moquait-elle de la situation ou était-elle sérieuse ? Oh et puis mince... Elle allait rester comme cela et voir la suite. Si sa maitresse lui demanderait de le remettre, elle s'exécuterais... Sinon...et bien, elle verrait. Aloysia resta habillé ainsi tout en observant sa maitresse cuisiner.
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Elle avait un petit sourire en coin, cette jeune demoiselle était vraiment un océan de fraicheur et même si elle n’était pas vraiment douée avec ses mains. Mais ce genre de blessure était normal lorsqu’on début, c’était tout à fait normale, mais il faudrait quand même qu’elle s’améliore légèrement avec les ustensiles, car elle ne pourrait pas faire tout le temps ce genre de tâche. Enfin, elle rigole doucement en voyant celle-ci réalisé qu’elle est en sous vêtement sous ce tablier.
Elle est certes gênée mais cela ne semble pas trop la déranger de la voir comme cela. Peut être qu’elle à conscience que sa maitresse est des plus habituée de voir ce genre de tenue.
La kitsune s’éclipse avant de revenir avec un spray antiseptique, et un petit pansement, elle soigne doucement la petite coupure de la demoiselle avant de lui dire tranquillement.
-Tu sais, j’ai l’habitude de voir des corps en sous vêtement, Homme comme Femme et croit moi, tu as un corps dont tu peux être fière. Ta poitrine est attrayante, tes hanches sont assez larges. Tes jambes magnifiques et une peau parfaite. Donc, oui, tu peux en être fière, et sache que de nombreuses femmes aimeraient avoir un tel physique. Oui, tu es belle. Et je ne dis pas cela à la légère.
Elle kitsune laissa doucement la jeune comprendre ce qu’elle lui a dit, avant de finir de préparer le repas, rigolant doucement en se disant que cette jeune femme si elle avait était dans la rue, n’aurait pas tenue deux minutes. Alors qu’elle avait du mal avec un simple sac de farine, elle, elle avait épluché les légumes, fait cuire la viande, préparer les sauces, et fait le désert avec le peu de poudre blanche qu’il restait encore dans le sac. Elle lui fit un grand sourire, avant de lui dire.
- Quand tu es née dans la rue, il te faut maitriser rapidement de nombreuses techniques, surtout si tu veux survivre. Mais tu apprendras toi aussi, j’ai confiance. Même si cela te prendra un peu de temps.
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Aloysia vit sa maitresse aller chercher de quoi la soigné et elle désinfecta puis lui mit un pansement. Sa maitresse avait des gestes précis quand elle cuisinait, elle était vraiment efficace. Elle rougit devant les compliments de la kitsune. Elle se demandait si elle n'aurait pas du remettre le kimono tout compte fait. Mais elle ne bougea pas car sa maitresse avait l'habitude de voir des personne en sous-vêtement. Aloysia se rendit compte que la jeune femme l'avait détailler des pied à la tête. Aloysia ne savait pas trop quoi dire de tous ces compliment sur son corps. Généralement on la complimentait sur son visage, ses cheveux, ses yeux mais jamais sur son corps.
- Merci beaucoup mais vous êtes très belle aussi maitresse.
La jeune princesse ne savait pas quoi faire pour aider la kistsune et elle préféra ne rien faire aussi. Une fois pas deux. Sa maitresse avait finit de préparer la viande, les sauces, les légumes et le désert. Sa maitresse se débrouillait vraiment bien. Aloysia aurait beaucoup de progrès à faire pour arriver à son niveau. La jeune femme le confirma d'ailleurs mais une requête germa dans l'esprit de la princesse. Elle ne savait pas si elle pouvait le demander. Puis sa maitresse lui dit qu'elle apprendra, elle aussi à survivre. C'était exactement cela qu'elle voulait demander. Elle voulait apprendre à de défendre toute seule. La seule arme de combat qu'elle savait manié était l'épée car elle avait des cour d'escrime avec ses cousins. Mais elle n'avait que les bases.
- Je serais vraiment heureuse d'apprendre à vos coté.
Aloysia aimait beaucoup apprendre, un trait de caractère qu'elle avait hérité de sa mère. La princesse attendait les directives de la neko près de celle-ci. Elle ne voulait rien faire sans son autorisation dans la cuisine.
-
La kitsune ne dit rien pour l’instant la princesse et elle était pratiquement à égalité, bien que la jeune princesse était à son avis, légèrement plus belle qu’elle, mais bientôt la princesse aurait la jeunesse dans son camps. Voila pourquoi elle avait préféré se taire à la suite des compliments de celle-ci. Oui, la vie qu’elle avait vécut, la ferait vieillir bien plus rapidement qu’une personne normale. Elle eut un petit soupire. Le fait qu’elle veuille apprendre était une bonne chose, mais pour cela il lui faudrait bien observer, hors pour l’instant, elle ressemblait plus à une statue qu’à autre chose. La kitsune lui dit donc.
- Bien, je t’aiderais, mais je te demande d’être attentive, et de ne jamais ménager tes efforts. Donne-toi toujours à 100%. Tant que tu ferras cela, je t’aiderais, je te formerais, et je te protégerais. Ne t’en fais pas pour cela.
Elle termina rapidement le repas, pour que celles-ci puissent manger. Elle eut un petit sourire avant de mettre la table rapidement, les deux assiettes sur un bras, les couverts et les verres dans les mains. Puis, lorsqu’elle eut fini, elle dit à la jeune femme.
- Tu vois, ce n’est pas très compliqué. Ce qu’il faut, c’est de l’équilibre, et de la précision. Le plus important c’est toujours être concentré, le jour ou tu arriveras à mettre toute ton attention sur un geste précis, alors tu pourras faire des choses quasiment impossibles pour les autres, en attendant je suppose que tu dois avoir faim non ? Alors vins manger avec moi, tu dois reprendre un peu des forces.
Elle avait un petit sourire, avant de se mettre à table, attendant la jeune femme. Lorsqu’elle fut enfin avec elle, la maitresse put enfin commencer son repas. Elle faisait en sorte que les deux demoiselles soit sur le pied d’égalité.
-
La jeune princesse était heureuse de tomber sur une jeune femme assez patiente pour la former. Elle s'en rendait maintenant compte. Sa vie de château lui manquait mais sa nouvelle vie ne serait sûrement pas des plus déplaisante.
- Ne vous inquiétez pas maitresse, j'apprend vite.
Elle enleva le tablier qu'elle portais toujours et mit rapidement le kimono. Elle se sentit tout de suite plus à l'aise. Elle vit sa maitresse prendre tous le nécessaire avec ses deux bras et mains et Aloysia se dit qu'il faudrait beaucoup de temps avant qu'elle n'arrive à faire tous ça en même temps sans provoqué une nouvelle catastrophe.
Comme pour répondre à la question de la kitsune, son ventre émit un gargouillement sonore.
- Oui j'ai vraiment très faim... Cela fait plus de 24h que je n'ai rien manger.
Aloysia dût se retenir de se jeter sur la nourriture et mangea avec beaucoup d'apétit. Elle mangeai avec sa maitresse, en tête à tête, ce qui la changeait de ces grand diners royaux. Elle appréciait beaucoup que la jeune femme mange avec elle et ne la traite pas comme une domestique qui serait obliger de manger dans la cuisine.
- C'est vraiment très bon... J'avais tellement faim...
-
La kitsune eut un petit sourire, dire qu’elle avait faim, alors qu’elle avait dut sans doute faire un jeune de moins de 24h, c’était assez court. Mais d’un autre coté, pour une princesse qui avait vécut toute sa vie dans le luxe et l’opulence, cela n’avait rien de très étonnant. Enfin, elle ne semblait pas trop traumatisé par sa nouvelle maitresse vu la rapidité avec laquelle elle engloutissait les plats. Cela fit d’ailleurs bien rire la kitsune qui lui dit.
-Ne te presse pas autant, ton repas ne s’envolera pas. Bien, je suis cependant contente que celui-ci te plaise, après tout, c’est assez banal, et on ne peut pas dire que je sois une cuisinière d’exception. Maintenant, j’aimerais si cela ne te dérange pas, que tu m’en dises un peu plus sur toi. Que je sache ce que tu aime, tes gouts et ceux que je te laisser faire et ce que tu ne veux absolument pas faire. Il y a aussi une chose que j’aimerais savoir. Puisque je ne t’ai pas pour le moment préparé de chambre pour l’instant, j’aimerais savoir si tu préfère dormir avec moi pour cette nuit, ou bien si tu veux dormir seul, sur le canapé. C’est à toi de voir, je ne t’impose rien.
Elle lui aurait bien proposé le lit, mais il ne fallait quand même pas exagérer, après tout, c’était elle la maitresse et elle se devait de conserver un peu d’autorité. Après tout, elle était quand même la maitresse des lieux, mais si cette jeune ex princesse était comme elle, il fallait savoir lui parler, se montrer douce, et surtout ne pas exiger quoi que ce soit. Il n’y aurait que comme cela qu’elle réussirait à lui faire faire ce qu’elle voudrait, mais surtout à créer une situation durable entre elles deux.
-
Aloysia s'arreta de manger suite à la remarque de Sofia, puis reprit à manger plus lentement. Elle sourit à la jeune femme et fut pensive quand elle lui demanda des précisions sur elle. On décidait toujours pour elle et elle n'avait aucune liberté.
- Je ne sais pas trop. Pour ce qui est des taches ménagère, je ferais mon possible mais vous avez vu mon niveau de cuisine, et bien vous avez un aperçu de mon niveau dans les autres taches. Ce que j'aime ne sera pas vraiment utile pour l'entretien de la maison mais j'aime beaucoup danser et aussi me battre à l'épée. C'est peut être bizarre pour une princesse comme moi mais plus jeune je m'amusais souvent à me battre contre mes cousins. Ce qui rendait verte de rage la gouvernante. Elle ne comprenait pas qu'une fille douce comme moi puissent aimé se battre avec les garçons. Disons que j'aimais cela aussi juste par esprit de contradiction et je n'était pas mauvaise non plus. Autrement...je pense que si je dois faire des taches ménagères toute la journée, cela va vite m'ennuyer.
Pour ce qui est de dormir, je préférais dormir avec vous... Je n'ai pas très envie de dormir seule...
Aloysia appréciait de pouvoir parler sans retenue et de pouvoir enfin dire ce qu'elle pensait sans se dire que quelqu'un allait encore lui tomber dessus. La princesse avait dit ce qu'il lui passait par la tête sans de soucier de ce que pourrait penser la kitsune. Elle aimait que l'on soit franc avec elle et donc elle s'efforçait de l'être aussi.
-
Elle eut un petit sourire, lorsque la jeune femme lui répondit que celle-ci n’avait absolument aucune compétence dans les taches ménagères, cela n’était pas grave, mais par contre qu’elle soit capable de se défendre seule, c’était une bonne chose. Effectivement même si Sofia aurait toujours un œil plus ou moins discret sur celle-ci, il valait mieux qu’elle sache un peu se débrouille. Car malheureusement elle ne pourrait pas toujours intervenir. Enfin, elle eut encore une petite surprise lorsque celle-ci lui dit qu’elle voulait dormir avec elle. Bien, si c’était son désir, la kitsune n’y voyait absolument aucun problème. Toutefois, la jeune princesse devrait sans doute faire attention à ne pas trop empiéter sur le territoire de la jeune demoiselle. Enfin, elle lui répondit donc.
- C’est une bonne chose que tu sache te battre, tu ne sais jamais sur qui tu peux tomber, alors je ne peux que t’encourager à continuer ton entrainement, et je te donnerais des cours pour le combat aux corps à corps, mais également sur les dagues, et pourquoi pas le fleuret. Même si ce n’est pas ma tasse de thé. Enfin, bon, j’espère que cela ne te dérange pas. De toute façon, cela ne m’empêchera pas de t’avoir à l’œil. N’oublie pas que chaque bêtise que tu ferras, ce sera à moi de réparer cela.
La kitsune termina son assiette avant d’aller la nettoyer elle-même, normalement la jeune princesse devrait être capable de nettoyer une assiette sans se tuer, et en n’en faisait qu’une seule, elle ne trouverait pas cela trop dur pour une première fois. Oui, l’hybride pensait à tout, faisant en sorte que cette ex princesse n’ait pas trop de mal à s’adapter pour sa nouvelle vie. Elle n’allait pas non plus trop lui en demander, pour l’instant, car elle faudrait quand même que cette jeune demoiselle ne pense pas que sa maitresse l’ai prise pour que celle-ci se fasse chouchouter, non, elle devrait quand même faire un minimum.
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La princesse sourit joyeusement à la jeune femme. Elle était heureuse que celle-ci lui donne des cour pour se défendre. Mais Aloysia baissa la tête lorsque sa maitresse lui parla de bêtise. La princesse s'appliquerait le plus possible pour en faire le moins de bêtise possible et inimaginable. Elle savait qu'elle n'était pas très adroite de ses mains. Mais c'était normal en sachant la vie qu'elle avait eu précédemment. Elle n'avait rien à faire, ni a s'occuper.parler était la chose qu'elle faisait à longueur de journée. Elle devait prendre des décision, résoudre des problèmes et parfois même éviter des guerres... Et donc ses mains n'avait pas beaucoup travaillé.
- Je serais heureuse d'apprendre à vis coté, maitresse. Et je ferais attention à ne pas faire de bêtise. Même si je ne peux rien vous garantir.
Aloysia vit la kitsune prendre son assiette pour aller la nettoyer. La princesse regarda la sienne comme si c'était elle qu'elle allait manger. Elle savait que les assiettes étaient fragiles et donc elle devrait faire attention. Aloysia la prit dans ses mains et de concentra dessus. Sa maitresse allait sans doute se moquer d'elle mais elle avait peur de la laisser tomber. Heureusement qu'elle n'en avait qu'une dans les mains... Elle regarda la jeune femme laver son assiette et reproduit les même geste. Elle allait plus doucement que sa maitresse mais elle y arriva sans faire de casse. En même temps, laver une assiette n'était pas très compliquer.
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La kitsune regardait faire la jeune femme, bon elle semblait se débrouiller assez bien, d’un autre coté, elle avait était relativement facile, mais pour quelqu’un qui n’avait jamais rien fait de ses mains, elle ne devait pas être trop exigeante. Elle se contenta de sourire, avant de terminer la vaisselle le temps que la jeune femme finisse de sécher son assiette.
Elle la regarda ensuite, tranquillement avant de lui dire.
-Bien, je pense que pour aujourd’hui cela sera suffisant, tu es propre et nourrie, donc je pense que tu peux aller te coucher maintenant et moi également. Je ne sais pas pour toi, mais personnellement je suis assez fatigué, il faut dire que la séance de sport avec tes amis les esclavagistes n’a pas était de tout repos, allez vins avec moi dans ma chambre, puisque tu veux dormir avec moi, je te donnerais une tenue ou tu seras plus à l’aise et puis, après nous dormirons toi et moi.
Il n’y avait aucun sous entendu possible, si la jeune princesse avait bien choisi de dormir dans le lit de la maitresse des lieux, ce n’était pas pour faire autre chose. Il était encore trop tôt pour cela. Bien trop tôt, et puis d’ailleurs ce n’était pas pour jouer avec elle qu’elle avait prit, mais bel et bien pour s’occuper de la maison et des tâches ménagères. Elle attendit donc que la jeune femme ait reposé l’assiette avant de continuer la discutions sur un sujet un peu plus léger. Elle réfléchit un petit moment.
- Et dit moi, à part la vie de château, tu connais autre chose ? Ou bien tu as jamais quitté ta forteresse ?
-
La princesse reposa l'assiette sur les autres, une fois celle-ci sèche et propre. Elle se tourna vers sa maitresse en baillant, la main devant la bouche bien sur. Quand celle-ci lui parla de dormir, Aloysia hoche vigoureusement la tête. Elle était vraiment pressée de dormir !
- Je crois que je vais m'en dormir comme une pierre ce soir. Normalement ça devrait aller parce que je suis très fatiguée mais j'ai tendance avoir un sommeil quelque peu agité. Je risque de bouger un petit peu.
Aloysia rebailla et se frotta les yeux. Les nerfs retombaient doucement et la fatogue se faisait de plus en plus sentir. Elle n'avait plus qu'une idée en tête aller se coucher. Elle se sentait molle et vider d'énergie, mais elle répondit tout de même à la jeune femme.
- Disons que en dehors du château, j'étais plus ou moins en danger ou alors il fallait que je soit accompagné par je ne sais combien d'homme prêt à tout pour me protéger. Mes parents en faisaient toujours un peu trop. Mais apparemment ils avait raison puisque je suis maintenant une vulgaire esclave. Enfin bon... Autrement j'ai connu le village autour du château et il mettait arrivé plus jeune de faire le mur avec le fils de ma gouvernante. Mais nous n'allons pas très loin. J'ai donc grandis dans un château sans réel contact avec le monde extérieur.
Aloysia s'était d'allieurs souvent sentit bridé et réclamait la liberté que les autres jeunes filles de son âge possédait. Mais elle était une personne importante sur qui la succession pesait sur les épaules. Elle n'avait jamais pu vraiment donné son avis. Elle était princesse et elle l'acceptait. Aujourd'hui, elle de rendait compte qu'elle avait eu beaucoup de chance de naitre dans une famille aimante et riche car ce n'était pas le cas de tout le monde.
-
La jeune femme ne semblait pas vraiment surprise par les dire de sa servante, le fait qu’elle fasse le mur était tout à fait normale, c’était d’ailleurs comme cela que les adolescents apprenaient à se débrouiller, mais d’un autre coté, c’était peut être assez irresponsable de laisser des enfants sans surveillance… Enfin, cela ne la concernait pas après tout, elle était stérile, alors les enfants, ce n’étaient pas vraiment son problème. Enfin, elle sourit doucement en voyant la jeune esclave tomber de sommeil, elle lui prit donc délicatement la main pour la conduire à la chambre ou celle-ci pourrait se changer et dormir. La kitsune lui laissa le temps de prendre ses marques avant de farfouiller dans son armoire une tenue qui irait à la jeune femme. Elle réfléchi quelques secondes, avant de tirer une nuisette pas trop transparente, quand à elle, elle prit ce qu’elle portait d’habitude pour le soir, c'est-à-dire une nuisette qui cachait le minimum. Mais elle n’arrivait pas à se priver de ce vêtement tellement confortable. Elle eut un petit sourire avant de lui dire.
-Ne t’en fais pas, je vais me changer dans une autre pièce, comme cela tu auras un peu d’intimité.
Elle la laissa donc tranquille pour l’instant, se changeant à la salle de bain. Cette nuisette la mettait en valeur, et elle le savait, toutefois elle se demandait comment la jeune princesse allait réagir, elle n’avait sans doute pas l’habitude de devoir dormir avec quelqu’un. Surtout une femme. Quoi que… Ce n’était peut être pas vrai, peut être avait elle eut une sœur ? Mais il était certain qu’elle n’avait pas encore eut d’amante. Elle lui laissa une dizaine de minute avant de revenir dans la chambre. Elle espérait juste que la jeune femme s’était finalement changé, car si elle n’avait pas fini, il était probable que celle-ci se trouve dans une situation gênante, pour elle dut moins, car la kitsune avait l’habitude de voir des corps a moitié nu.
-
Alors qu'Aloysia avait un énième bâillement, elle sentit la main douce de la kitsune lui prendre la main. Elle se laissa faire, appréciant même le contact et sourit à la jeune femme. La maitresse la conduisit jusqu'à une jolie chambre qui paraissait douillette et confortable. Le lit avait deux places, ce qui rassura Aloysia. Elle n'aurait pas à se serrer. De plus il paraissait très très confortable. Elle n'avait qu'une envie, se laisser tomber dessus et dormir. Mais elle se retint et regarda la jeune femme chercher dans l'armoire. La princesse regarda la nuisette que la maitresse lui tendait et la prit délicatement. Elle la mit devant elle et elle en eut la confirmation. C'était vraiment court ! Mais où était le bas ?
"Me-merci mais..."
Aloysia n'eut pas le temps de la questionner que la jeune femme était déjà partit pour la laisser de changer.
L'esclave fronça des sourcils. Ce n'était pas possible de dormir avec ça ! Elle retourna dans l'armoire pour voir si la jeune femme n'avait pas publié de lui donner l'autre partie du "pyjama". Mais elle ne trouva rien. Elle enleva le kimono et le posa sur un petit fauteuil dans le coin de la chambre puis elle enleva son soutien-gorge. Elle enfila la nuisette et constata que le tissus était léger et agréable. Par contre un nouveau dilemme s'offrent à elle. Elle n'avait pas l'habitude de garder une culotte pour dormir et elle avait envie de l'enlever. Mais il ne fallait pas que sa maitresse s'en aperçoive. Elle l'enleva rapidement en entendant des pas se rapprocher et la posa sur le fauteuil avec les autres vêtements. Sofia entra dans la chambre et ce qu'elle vit la fit violemment rougir. Elle portait une nuisette qui ne laissait pas beaucoup de place à l'imagination. Elle avait vraiment un corps sublime. Mais pourquoi avait-elle de telle pensée ?! La princesse n'avait qu'une envie: la dévorer des yeux. Aloysia baissa alors la tête et marcha jusqu'au lit en faisant attention à ce que sa nuisette ne remonte pas. Elle Se mit sous les draps en tenant le bas de sa nuisette. Elle remonta les draps jusqu'à son menton et se tenait droite d'un coté du lit.
-
Sofia regardait la jeune femme faire, elle était mignonne à la dévorer des yeux comme cela, elle savait se mettre en valeur bien sûr, et son corps était effectivement travaillé au maximum pour plaire à ses contrats, mais voir l’envie dans le regard de la jeune femme ne faisait jamais de mal, au contraire, elle aimait se sentir désirée même s’il ne s’agissait sans doute rien de plus qu’un petit trouble passager comme il y en avait tant. Elle sourit doucement avant de balancer des hanches légèrement, juste pour renforcer cette image de femme fatale, et se glisse avec douceur dans le lit. Elle sourit tranquillement avant de s’enfoncer sous les draps, regardant la jeune femme qui semblait à la fois gênée mais aussi mal à l’aise. Elle lui caressa doucement le visage avant de lui dire.
-Allons, détends toi, je ne vais te manger tu sais. Prend un peu plus de place, allonge-toi. Au fait, je n’ai pas put m’empêcher de voir que tu me regardais tout à l’heure. Que penses-tu de ta maitresse ? La trouve tu belle ?
Elle eut un petit sourire avant de caresser le visage de la jeune femme qui était entrain de rougir. Elle savait que cette phrase allait sans doute déstabiliser la jeune femme. Mais c’était une façon de la décoincer, ainsi elle serait plus naturelle et cela ne la gênerait sans doute plus.
-Moi, en attendant je te trouve très jolie. Tu es magnifique tu sais ? De très beaux yeux, des cheveux doux et soyeux. J’en serais presque jalouse ma jolie. Et tes fesses sont… Hum… Je les mangerais presque.
Elle attendait doucement la réaction de la jeune femme. La dernière phrase était bien sur une provocation, mais cela ne l’empêchait pas d’être franche, cette jeune princesse était vraiment jolie. Si elle se mettait en valeur avec des tenues adaptées alors elle ferait des ravages.
-
La princesse vit la kitsune approcher en balançant des hanches comme si elle avait compris ce qu'Aloysia pensait. Une fois sa maitresse sous les draps, elle sentit une main lui caresser le visage et la jeune esclave tourna la tête vers sa maitresse. Sa maitresse s'était rendu compte qu'elle était quelque peu gênée par la situation. Aloysia dit l'effort de se détendre et de prendre un peu plus de place dans le nid douillet de sa maitresse. Elle sentit ses joues rougirent. Oui...sa maitresse avait remarqué son regard. La jeune femme prit une grande inspiration pour se calmer et répondit d'une petite voix.
- Quand je vous ai vu rentrer dans cette tenue...je vous est trouvé vraiment très belle... Mais vous devez avoir l'habitude des compliments. Votre corps est très harmonieux et vos courbes sont...euh...enfin...très belle...
Aloysia avait remonté maintenant le draps presque jusqu'à son nez dans une vaine tentative de cacher son malaise. Mais apparemment la kitsune connotait l'achever et c'est ce qu'il de passa quand la princesse entendit la suite. Elle n'avait pas vraiment l'habitude de ce genre de compliment. Ses robes cachaient en grandes parties ses courbes et on se contentait d'éloge sur la beauté de son visage et de ses cheveux. Mais ces fesses... Non jamais... Elle osa tourner son regard vers la jeune femme et répondit timidement.
- Merci beaucoup... Mais vous êtes attiré plus par les femmes ou par les hommes ? Car je crois que je commence à comprendre qu'on puisse être attirer par les deux sexe...
Aloysia était curieuse de savoir la réponse à sa question. Elle comprenait que peut être sa maitresse et elle pourrait avoir une relation...charnelle. Mais elle savait que si cela devait se passer dans un futur plus ou moins proche, cela se ferait sans doute en douceur et surtout naturellement. L'esclave avait remarqué que la jeune femme allait doucement avec elle et faisait en sorte de ne pas la brusquer.
-
La kitsune avait un petit sourire, ainsi encore une fois, elle ne s’était pas trompée, la jeune femme avait sans doute de l’admiration pour elle, mais également autre chose ? Du désir ? Possible, mais elle n’était pas la seule. C’était en partie grâce à ce physique qu’elle était maintenant dans une situation confortable. Enfin, elle se contentait de regardait la jeune femme au teint écarlate, elle était tellement mignonne comme cela, avec ce petit air gêné.
Mais ce qu’elle dit ensuite étonna la jeune femme, ainsi elle voulait savoir si elle avait tendance à préférer les rapports avec les hommes ou les femmes ? Et bien cette jeune noble était bien moins prude que ce que pouvait penser la kitsune, mais ce n’était pas pour lui déplaire, au moins, elle était franche, claire et surtout elle n’avait pas peur de demander.
-Si tu veux tout savoir, j’ai appris à tout aimé, Les pratiques les plus extrêmes, aux choses les plus simples. C’est le prix qu’à ma vie, je tue mes amants et amantes durant l’acte, là ou ils sont le plus vulnérables. Je n’ai donc absolument pas de préférence, les hommes sont plus brutaux, les femmes plus tendres, mais les deux se complètent.
Elle eut un petit sourire avant de caresser le visage de la jeune femme et de lui dire.
-Pourquoi ? Tu serais tenté par une expérience avec moi ? Tu ne manque pas d’audace gamine… Mais, j’ai cela. TU sais ce que tu veux, et c’est une bonne chose. Cela viendra peut être ma jolie, mais pas encore. Pour l’instant c’est l’heure d’aller au lit. Bonne nuit.
Elle embrassa doucement la jeune femme avant d’éteindre la bougie qui servait à éclairer la pièce. Elle savait qu’il était peu probable que la jeune femme s’endorme tout de suite, elle aurait sans doute envie de lui dire une dernière chose, ou de continuer un peu la conversion.
-
Aloysia écouta avec attention la jeune femme mais elle frissonna en pensant que sa maitresse tuait ses amants durant l'acte. Tout compte fait, elle n'était plus si curieuse que ça, de savoir ce qu'était que de faire l'amour. Mais elle essaya de cacher son trouble passager et sourit en entendant la comparaison entre les amants et les amantes.
- Je préfèrais la douceur...surtout pour ma première fois.
Aloysia sourit à sa maitresse avant d'écouter la suite. Ses joues avaient prit une légère teinte rosé. Mais celle-ci reprirent une vive couleur écarlate en entendant la question de la kitsune.
- Du moment que je ne meurs pas...peut être.
Aloysia souhaita une bonne nuit à sa maitresse et se coucha. Mais beaucoup de question la taraudaient. Elle entendait la respiration de la jeune femme à coté d'elle, ce qui lui procurait un sentiment de protection. Elle avait dormis seule depuis sa plus tendre enfance et appréciait cette présence bienveillante. Au bout de quelques minutes, l'esclave rompit le silence.
- Vous avez déjà eue une esclave avant moi ?
-
Sofia restait doucement lovée dans les couvertures, elle avait toujours était quelqu’un qui aimait la chaleur, peut être parce qu’elle avait connue le froid de la rue. Enfin, en attendant lorsque la jeune princesse lui dit qu’elle ne serait sans doute pas contre de connaitre les bras d’une femme à condition que celle-ci ne lui ôte pas la vie. Ce ne serait pas son cas, tout simplement parce que même si elle avait tendance à tuer ses amants, elle ne le faisait que si elle avait une prime sur leurs têtes. Elle eut un petit sourire, avant de rapprocher la main de la cuise de la jeune femme, avant de la lui caresser, et de lui dire d’un ton sensuelle.
-Je ne tue que ceux qui ont un contrat sur leurs têtes. Donc, tu es tranquille… Et puis, je trouverais dommage de tuer une telle beauté, surtout que tu n’es pas très dangereuse
Elle retira sa main lors de cette dernière phrase, et se contenta de répondre à la jolie blonde.
-Non, je n’ai jamais eut de servante, même si j’ai déjà eut un apprenti qui vole maintenant de ses propres ailes. Tu es donc la première femme qui à l’honneur de me servir, et tu seras sans doute la seule. Après si en plus de mon esclave tu dois devenir mon amante, il faudra voir cela. Mais ce n’est pas pour tout de suite, je te l’ai dit, je pense que tu n’es pas encore prête.
Pour elle, la princesse n’était pas encore prête à se donner. Elle ne savait pas ce que cela voulait dire, et les conséquences que cela pourrait avoir sur sa vie future. Se donner pour celui que l’on aime était une chose auquel elle ne croyait pas. Mais se donner était une décision qui était lourde de conséquence, voila pourquoi, elle ne voulait pas.
Mais si elle lui prouvait que sa décision était murement réfléchie et qu’elle voulait vraiment lui donner cela, elle serait peut être capable de reconsidérer cette question.
-Et toi, tu ne compte pas rentrer chez toi ? Après tout, tu dois avoir de la famille non ?
-
Le souffle de la princesse s'accéléra légèrement en sentant la main de la jeune femme lui caresser la cuisse. Elle comprenait pourquoi elle était une aussi bonne tueuse. Elle savait de servir de ses atouts et charmer les gens. Puis la kitsune retira sa main et lui dit qu'elle n'était pas encore prête. La jeune princesse n'allait pas la contredire et se contenta de hocher la tête. Par contre, un grand sourire illumina son visage en apprenant qu'elle était la première et peut être dernière servante de sa maitresse. Aloysia n'était pourtant pas égoïste mais n'aimait pas trop partager les gens qu'elle appréciait. Sans doute dû au fait qu'elle était fille unique. Même si elle avait toujours considérer sa cousine comme sa sœur.
- Mais cela ne vous dérange pas d'être seule ?
La jeune esclave détestait la solitude et avait toujours besoin de se sentir entourer et aimer. A son âge, sa maitresse aurait dû avoir quelqu'un avec qui partager sa vie. Mais elle avait aussi comprit qu'exercer un métier comme le sien pouvait faire fuir les hommes et aussi les femmes. De plus la jeune femme se servait de son corps pour arriver à ses fins et cela ne plairait sans doute pas à la personne qui l'aimerait.
La question de la jeune femme la prit au dépourvus. Elle ne pensait plus vraiment qu'elle reverrait un jour sa famille et qu'elle retrouverait un jour une vie comme elle avait avant.
- Je n'y est pas réfléchis jusqu'ici. on ne me laissait pas vraiment le choix en même temps. On m'avait enlever alors ce l'état pas pour que je retourne dans la famille. C'est vrai que les parents et la cousine me manque mais mon retour engrènerait beaucoup de complication. Vous savez, beaucoup convoitait ma place...dont les parents de la cousine. Il souhaitait voir un jour leur fille s'asseoir sur le trône. Mais manque de bol, j'étais là. Ma cousine était heureuse de ne pas être à la place. Même si notre Royaume n'est pas le plus puissant, nos terres sont fertiles, l'économie se porte à merveille et tout doucement le nombre d'habitants augmente d'année en année. Dans quelques années, je ne serais pas surprise d'entendre que mon...enfin...le Royaume où j'ai grandit serait devenue un des plus puissants. Ma place était donc convoitée. Et puis...je n'ai pas envie d'y retourner pour être marier de force. Et ici, je serais plus libre que là-bas... Je pense que j'y retournerais mais plus tard...
Cela faisait vraiment du bien à la princesse de parler de son ancienne vie avec la jeune femme. Elle ressentait le besoin d'en parler et elle savait que la kitsune l'écouterait jusqu'au bout. Elle regrettais encore un peu son ancienne vie de princesse ne voulait pas se l'avouer. Elle voulait aller de l'avant.
-
La jeune kitsune eut un petit sourire, alors que celle-ci lui racontait sa vie, la jeune kitsune l’écoutait, c’était amusant de voir que la petite princesse refusait de rentrer chez elle. Effectivement son pays risquait d’être sacrément secoué si jamais elle choisissait cela. Il y aurait sans doute une guerre civile à cause de la succession. Hum, preuve que finalement cette jeune femme était très intelligente. Elle avait donc choisi de se faire oublier, laissant ainsi sa cousine reprendre sa place.
- Effectivement, en faisant cela tu évite la guerre civile et l’appauvrissement de ton pays. Mais ne pense pas que cela suffira à ce qu’il devienne une des plus puissantes nations. LA corruption, l’absence d’écoute, les profits personnels. Tout cela risque tôt ou tard de couter très cher, et ce sera le peuple qui une fois de plus payera l’addiction. Et je ne parle pas des guerres. Mais qui sait, ton pays aura peut être plus de chance que Nexus.
Sofia n’avait certes pas fait d’étude, mais elle avait dut pour survivre en savoir un minimum sur les gens qu’elle devait tuer, et donc elle avait appris sur le terrain, comment on pouvait gérer ce genre de chose. Mais cela personne ne le savait, elle préférait d’ailleurs que l’on ne le sache pas. Elle se contenter de sourire, alors que le noir la camouflée. Elle était dans son élément, la nuit, les ténèbres, tout cela lui permettait de se sentir bien. Mais elle réfléchissait à la façon de répondre à la jeune femme. La solitude, c’était qu’elle chose qui avec les années ne lui faisait plus grand-chose.
- La solitude est quelque chose que tu n’accepteras jamais, mais il faut que tu comprennes quelque chose, avec les années, j’ai appris à ne plus m’écouter. Lorsque l’on tue un homme de sang froid tu tombe soit dans la folie, soit ton cœur devint un bloc de glace.
Elle se contenta de cette phrase, elle espérait que jamais cette jeune femme n’aurait à tuer. C’était chose qui pouvait vous briser. D’ailleurs la jeune femme n’en était pas sortie indemne la première fois. Et puis au finale, cela ne lui faisait plus rien. Même sa vie, n’avait à ses yeux plus grande importance.
-Allez gamine, il est temps de dormir, demain la journée sera dur, si tu ne t’endors pas.
-
La princesse hocha automatiquement la tête en entendant l'avis de la jeune femme sur son royaume avant de s'arrêter et de se sentir un peu bête. Dans le noir, Sofia ne la verrait pas hocher de la tête. Sa maitresse partageait donc son avis et ce qui confirma à Aloysia qu'elle avait pris la bonne décision concernant son futur. Elle verrait au jour le jour pour l'instant et cela lui allait très bien.
La suite attrista grandement la princesse. Sa maitresse n'était pas folle ou elle cachait bien son jeu. Elle penchait donc vers la seconde hypothèse. Sofia avait dû se forger une carapace pour pouvoir survivre. La jeune esclave de promit d'y remédier.
- Moi, je serais incapable de tuer... A moins que ma vie ou celle d'une personne que j'aime m'y oblige.
Mais elle savait très bien que la kitsune n'avait pas eut la possibilité de choisir. Mais Aloysia de sentait incapable de faire du mal à un animal... Alors encore moins un être humain. Aloysia s'enroula bien dans les draps et de mit en position de chien de fusil, face à la jeune femme.
- Bonne nuit...maitresse.
Aloysia s'endormit rapidement. Mais durant la nuit, elle bougea plus ou moins et inconsciemment, elle rechercha vite la chaleur humaine que pouvait lui apporter la jeune femme. Elle se retrouva donc blottis contre elle. Sa nuisette était remonté dévoilant son intimité puisqu'elle ne portait pas de culotte. Mais cela, Aloysia ne s'en rendit même pas compte car elle dormait profondément contre sa maitresse...
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Sofia se contenta d’attendre que sa jeune esclave s’endorme. Elle sentait la jeune femme proche d’elle, vu le froid de la nuit, il était probable que la jeune femme ait besoin de chaleur, or ici la seule source de chaleur dans ce lit était le corps de la jeune femme. Voila pourquoi le fait que la jeune esclave soit totalement collée contre elle, cela ne l’étonnait absolument pas par contre, le fait que la jeune femme soit nue sous sa nuisette par contre, était plus étonnant. Ainsi, cette jeune gamine était peut être moins ingénue que ce la Kitsune le penser.
Mais d’un autre coté cela ne faisait que conforter l’idée de la jeune femme. Il y avait derrière cette image de petite ingénue une fille au caractère franc et confirmée.
Elle se contenta de sourire, avant d’entourer la jeune femme de ses queues, créant ainsi un véritable lit de fourrure pour la jeune femme, certes elle serait sans doute étonnait à son réveil de se trouver sous une couche de poil chaud, mais d’un autre coté, cela n’était pas désagréable, au contraire même, vu le sourire ravie de la jeune femme.
Ainsi, la kitsune s’endormi finalement au bout de quelques heures. Elle se réveilla relativement tôt, le soleil n’était pas encore levé. Tien, elle avait réussit à vu de nez à dormir plus de quatre heure de suite. Un exploit. Elle resta durant quelques temps à réfléchir sur sa nouvelle situation. Se lever au coté de quelqu’un lui faisait bizarre, surtout que pour une fois, elle n’aurait pas à le tuer. Enfin, normalement le jour se lèverait bientôt, et avec lui, sa petite protégée. Elle aurait d’ailleurs quelques mots à lui dire une fois que ce serait le cas.
Tien, voila qu’elle ouvre doucement les yeux, se rendant compte qu’elle est prise au piège dans une couverture chaude et duveteuse.
- Tu es enfin réveillé. Bien, reste dans mes queues encore quelques temps, tu y es en sécurité. Alors, tu as bien dormi, même si tu as dut avoir un peu froid cette nuit. En même temps, qu’elle idée de ne pas avoir mit en sous vêtement.
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La jeune princesse se sentait bien dans ce lit doux et chaud. Elle ouvrit doucement les yeux et réalisa qu'elle était collé à la jeune femme. Et elle vit qu'elle était entourée des queues de la jeune kitsune, ce qui lui avait tenu chaud toute la nuit. Elle porta sa main à ces queues et commença à les caresser appréciant leur douceur. Elle sourit à la jeune femme et s'apprétait à la remercier quand sa maitresse prit la parole.
Aloysia rougit vivement en entendant la fin de sa phrase et tira sur sa nuisette qui avait du remonté durant la nuit. Elle avait vraiment l'impression de passer son temps à rougir en présence de la belle jeune femme. Elle sourit, mal à l'aise.
- Je suis désolé... J'aurais sans doute dû mettre des sous-vêtement mais je préfère dormir sans. Je me sens plus...libre.
Aloysia gardait ses yeux baissés et continuait de caresser les jolies queue de la kitsune, essayant à nouveau d'atténuer la rougeur de ses joues. Elle soupira discrètement, elle avait le don de ne pas faire ce qu'il fallait. Elle espérait aussi surtout que sa maitresse n'avait pas vraiment vu son intimité mais ça elle n'osait pas lui demander.
- Vous avez bien dormis ? Je ne vous est pas trop embêter ?
La princesse préférait changer de sujet et éviter de penser que sa maitresse avait sans doute vu son bas-ventre. La prochaine fois, elle mettrais une culotte...
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Sofia continuait doucement à sourire alors que la jeune femme passé d’une couleur normale à un teint rougi. Elle devait par contre avouer que les caresses de la jeune femme sur ses queues ne la laissait pas de marbre, cette gamine et son innocence ne savait sans doute pas malgré son ascendance que les oreilles et la queue d’un hybride sont des zones érogènes à part entière.
Elle lui répondit donc doucement.
-Non, tu ne m’as pas embêté, mais comme tu avais froid, j’ai décidé de couvrir légèrement. Tu es une des rares personnes qui à eut la chance de toucher à mes queues et qui en sortira vivante. Tu te rends compte que tu es unique à bien des exceptions.
Elle avait dit cela, mais elle semblait penser à autre chose. Elle retira finalement ses queues, laissant la jeune femme dans le lit, sans une explication. Et lui dit finalement.
-Arrête de rougir pour si peu petite princesse, moi aussi cela m’arrive de ne pas porter de sous vêtement, le jour notamment.
Elle se contenta d’un simple clin d’œil, oui la kitsune aimait prendre des risques, mais d’un autre coté c’était la seule chose qui lui prouvait qu’elle était en vie, de toujours risquer sa peau. Elle se leva finalement laissant la jeune femme se réveiller tranquillement.
-N’ai pas honte de ce que tu es, qu’importe ce que le monde en pense. Et une dernière chose, je n’ai rien vu, mais j’ai sentie ta peau nue sur mon corps, voila comment je l’ai sus. Bien, maintenant va t’habiller ou prendre une douche si tu le veux.
La kitsune sortie elle, une brosse de son armoire, avant de commencer à brosser doucement sa peau. Avoir une queue de cette douceur demandé énormément d'entretient, presque une heure par jours de brossage. Alors oui, on pouvait dire que la kitsune prenait très soin d’elle, mais d’un autre coté, son corps était sa seule source de revenue. Elle enviait vraiment la jeune princesse qui elle, avait eut la chance d’être élevé dans l’amour, le luxe, et avec une famille…
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La princesse eut un petit sourire. Elle était bien contente d'être unique aux yeux de la jeune femme. Mais surtout, elle était rassurée de savoir que jamais la jeune femme ne lui ferait du mal. Alors qu'elle caressait les nombreuses queues chaude et douce de la kitsune, elle les enleva et Aloysia afficha une petite tête déçus. Elle aimait beaucoup les caresser et surtout elle avait bien chaud avec. Heureusement le soleil donnait dans la pièce et réchauffait celle-ci.
La déclaration de la jeune femme qui suivit la fit écarquiller les yeux. Jamais la princesse ne de serait promener sans sous vêtements ! Cela devait vraiment faire bizarre de sentir de l'air au niveau de... Enfin c'était peut être agréable qui sait. Mais elle sourit quand même au clin d'oeil à sa maitresse. Les paroles qui suivirent figea la princesse. C'était bien pire que si elle avait vu !!!! Elle avait sentit son...son sexe !!! Aloysia ne savait vraiment plus ou se mettre. Sa maitresse avait vraiment me don de la mettre mal à l'aise.
- Oh là là... Je suis vraiment confuse... Je... Je...
Aloysia ne termina pas et cacha son visage sous les draps. La jeune femme ne la jugeait pas et la prenait comme elle était, heureusement pour elle. Sa maitresse sortit de la chambre la laissant se préparer. La princesse se leva et alla prendre une bonne douche. Elle enroula ensuite, comme la veille, une serviette autour de sa poitrine. Léger problème... Elle ne savait pas ce qu'elle devait mettre. Dans son autre vie, elle ne remettait jamais ses vêtements de la veille mais ici, elle n'était plus une princesse. Le kimono que lui avait prêté Sofia était posé dans un coin de la pièce. Mais si elle devait sortir, elle préférait porter une longue robe... Il allait donc falloir qu'elle demande à sa maitresse si elle avait une robe à lui prêté.
Aloysia sortit donc en serviette de la chambre et s'aventura dans le couloir pour essayer de la trouver. Elle ne savait pas du tout où elle pouvait bien se trouver et surtout elle de baladait en serviette qui ne cachait vraiment pas grand chose. Elle finit donc par appeler car c'était le moyen le plus rapide de la trouver.
- Maitresse ? J'aurais voulu savoir si vous pouviez me prêté une robe ? A moins que vous ne préfériez que je remette votre kimono ?
Aloysia attendait que sa maitresse vienne. Sa serviette commençait à glisser et sans cesse elle était obliger de la remonter. De plus elle était vraiment courte et la princesse devait faire attention à pas trop la remonter justement.
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Sofia avait enfin fini l’entretient de ses appendices caudaux, et ce n’était vraiment pas une partie de plaisir, mais d’un autre coté, c’était dans ses formidables queues étaient une partie de son pouvoir de séduction, alors oui, elle faisait cet effort. Elle sursauta cependant lorsque la jeune femme cria pour l’appeler, son ouïe était particulièrement fine, il n’aurait pas était nécessaire de crier, mais la jeune femme eut alors une petite idée. Elle sourit doucement, avant de montrer à l’étage et de trouver la jeune femme simplement entourée d’une serviette de bain. Hum, elle avait décidément un corps bien attrayant. Oui, si cette jeune demoiselle se mettait un peu en valeur, alors elle aurait tous les mâles à ses pieds. Mais pour l’instant, elle était encore trop timide.
Elle s’approcha doucement, balançant des hanches, laissant ses queues danser doucement, il était temps pour la jeune princesse de devenir un peu moins prude. Elle étaiement maintenant assez proche, juste à quelques centimètres. Elle laissa doucement une de ses queues s’introduire sous la serviette et caressa doucement la jambe de la jeune femme. C’était drôle de la voir aussi gêné, enfin bon. La kitsune se retira finalement avant de lui dire.
-Arrête de devenir rouge à chaque fois que tu fais quelque chose. La pudeur est une bonne chose, c’est vrai, mais ce n’est pas la peine d’en faire trop. Nous allons passer plusieurs années ensembles. Bon, concernant ta requête, je vais voir ce que je peux faire pour toi. Je pense qu’il doit me rester une ou deux robe.
Elle se retourna doucement en direction de l’armoire, et tira une longue robe noir de cocktail, il s’agissait d’un dos nus, assez moulante, une tenue de soirée quoi. La kitsune eut un petit sourire, avant de pauser également un ensemble de couloir noir. Voila qui devrait convenir.
-J’espère que cela te conviendra princesse. Sache que cette robe coute assez chère, je te la donne donc. Mais, je te demanderais d’en prendre soin.
Elle attendait de voir la réaction de la jeune femme après ce cadeau. Qui sait, peut être qu’elle serait moins gênée.
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La princesse vit la jeune femme arriver d'une manière souple et féline. C'était elle ou la jeune femme essayait de l'allumer ? Sa maitresse s'arreta à quelques centimètres à peine de la princesse. La jeune femme retint sa respiration en sentant une des queue de la kitsune se faufila sous sa serviette caressant le haut de sa cuisse. Aloysia sentit son pouls s'accélérer subitement. Puis la douce queue de la jeune femme se retira et la princesse fut presque déçue... Mais déçu de quoi ?! La jeune femme ne savait plus vraiment où elle en était. Et puis le comportement de sa maitresse n'aidait pas vraiment.
- Je... Je rougie facilement... Et puis je n'ai pas l'habitude de...ça...
Le "ça", c'était tout les remarques, les gestes qui était destiné à la séduction, matière où elle était complètement novice. Elle suivit la kitsune jusqu'à l'armoire et elle la regarda chercher. La jeune femme sortit une robe noir, sans doute de soirée. Pas une robe à laquelle elle s'attendait. Elle était très belle mais très...sexy.
- Elle est vraiment très belle. Je ferais attention, promis ! Merci beaucoup !
Et sans réfléchir, elle posa un baiser sur la joue de sa maitresse avant d'empoigner la robe et les sous-vêtements et alla se changer.
Elle revint quelques minutes plus tard et se présenta devant sa maitresse avec la fameuse robe.
- Vous en pensez quoi ?
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La réponse de la jeune femme était assez drôle, ainsi elle rougissait facilement, étrange, pourtant elle semblait avoir plus de caractère que cela, s’était en partie pour cela que la jeune femme l’avait choisi, pour ce caractère indomptable et cette fierté. Mais elle s’était peut être trompée, après tout, cela n’était pas forcement le cas, elle était sans doute plus habituée au salon. Pourtant, la séduction était une des principales armes de la rose noir. C’était grâce à elle, qu’elle pouvait si facilement tuer. Au bien sur, elle était capable d’utiliser de la force, elle en avait l’entrainement pour, mais si elle pouvait tuer sans violence inutile, alors c’était mieux pour elle.
Elle savait que la jeune princesse apprécierait son cadeau, tout simplement parce que en tant que princesse, la jeune femme savait sans doute reconnaitre un produit de qualité. C’était le cas avec cette robe, elle était vraiment exceptionnelle, comme une seconde peau. Oui, cette robe lui avait permit de faire tourner bien des têtes. Maintenant c’était à elle de porter cette merveille. Espérons qu’elle en soit digne. Par contre le petit baiser sur sa joue la prit au dépourvue, elle ne s’attendait pas à une marque d’affection. Oui, ce n’était pas habituelle, mais elle ne devait rien laisser paraitre. Son rôle était d’être dur, impitoyable, elle ne pouvait donc pas se laisser déstabiliser par cela. Mais, c’était qu’elle était vraiment délicieuse comme cela. Oui, elle lui allait bien, extrêmement bien même, cela la mettait parfaitement en valeur. Elle se lécha doucement les lèvres, laissant signifier qu’oui, cette jeune femme était à son gout.
- Tu veux vraiment mon avis, elle te va bien. Et j’espère que tu la porteras avec autant de fierté qu’elle, elle te met en valeur.
Elle termina par un sourire, bien maintenant qu’elle était prête, il était peut être temps pour la kitsune de quitter sa nuisette pour un kimono un peu plus habillé. Elle s’absenta donc, ne disant rien d’autre, et passant finalement le vêtement sur son corps nu. Autant dire que si jamais la petite princesse s’en rendait compte, elle tournerait sans doute encore une fois à l’écarlate. Mais c’était aussi dans le risque que la kitsune aimait vivre. Bien, maintenant, il était temps de lui trouver des tenues, des bijoux, et d’autres choses indispensables. Car sa maitresse ne pourrait pas lui fournir tout cela. Lorsqu’elle fut de retour, elle eut un petit sourire, bien, il était maintenant temps de faire les courses.
- Je te propose d’aller acheter ce dont tu auras besoin le temps que tu sois ici, c'est-à-dire plusieurs choses telle que des vêtements, des produits de toilette… ce genre de chose quoi.
-
Aloysia appréciait vraiment que la jeune femme lui en fasse cadeau. Elle était vraiment magnifique ! Le tissu était en effet des plus agréable. Elle avait plutôt l'habitude de robes amples qui cachaient ses formes. Là, elle ressemblait plutôt à une femme qui avait l'habitude de faire tomber les hommes à ses pieds. Une tenue typique de sa maitresse. D'ailleurs elle était sortit après l'avoir complimenter. La princesse en avait rosit de plaisir. Mais elle avait remarqué le regard que posait la kitsune sur elle et Aloysia prit conscience qu'elle lui plaisait peut-être. Et cela lui faisait vraiment plaisir. Mais la princesse savait qu'elle avait tendance à s'emballer et il valait mieux qu'elle ne de fasse pas de fausses idées.
La princesse réfléchissait pendant l'absence de sa maitresse, s'en doute partit s'habiller. Elle n'était là que depuis quelques heures mais elle sentait que la nouvelle vie qui s'offrait devant elle n'allait peut être pas être des plus désagréable. Malgré son métier, elle avait l'air d'une jeune femme douce et attentionné, mais elle avait toujours cette espèce de carapace. La jeune princesse devait faire en sorte que sa vie devienne la plus agréable que possible et peut être réussira-t-elle à voir la personne qui se cache sous ce masque ?
Sa maitresse revint en lui annonçant qu'elles devaient aller acheter le nécessaire pour Aloysia. Un grand sourire naquit sur le visage de la jeune femme et elle prit immédiatement la main de sa maitresse dans la sienne, la serrant avec douceur. Elle était heureuse de sortir faire les magasins avec elle. Un détail la chiffonnait.
- Mais si je sors ainsi, je vais attirer les regards... Pas que cela me dérange vraiment puisque vous êtes là.
Aloysia souriait doucement à la jeune femme attendant de savoir ce qu'elle en pensait. La princesse était partagée. D'un sens, elle aimait qu'on l'admire et cette robe mettait en valeur ses courbes et d'un autre coté, elle était un peu intimidé de sortir ainsi.
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La kitsune eut un petit frison lorsque la jeune femme lui prit la main, elle n’en avait pas l’habitude, ce genre de trace d’affection n’était clairement pas pour elle. Au que non, mais la petite princesse n’était pas bien sauvage, c’était déjà cela, si elle continuait comme cela, elle pourrait sans doute devenir une femme très belle, et surtout sur d’elle. Oui, elle avait toute les prédispositions requises pour devenir un jour une femme fatale, la question étant qui cette belle créature choisirait elle, un prince, ou peut être un marquis ? Mais quelque soit son choix, la kitsune testerait d’abord le dit male, pour éviter que celle-ci ne tombe sur une mauvaise surprise, enfin pour l’instant il était temps de faire les courses, d’ailleurs la jeune femme eut dut mal à lui donner une réponse.
- Je pense, que cela te va bien. Donc, et bien, pourquoi se priver, donc sauf si cela te dérange tu peux sortir comme cela. Je te l’ai déjà dit, elle est à toi, et je te demande juste de faire attention à celle-ci. Après tu es libre de la porter quand et ou tu le veux.
La kitsune n’était pas un modèle, mais elle était une maitresse relativement sympathique, tant que l’on savait rester à sa place, que l’on ne joue pas les moralisateurs mais surtout il fallait être relativement jeune, ou à défaut le paraitre. Dès que ces trois conditions étaient réunies, alors la jeune sofia devenait supportable. Bon, elle avait promis des courses à la jeune femme, il était peut être temps d’y aller non ?
-Maintenant que tu es rassuré, on peut y aller ?
Elle lui fit une petite grimasse avant de sortir de la maison, attendant que la jeune femme se décide à la rejoindre, le magasin n’était pas loin et il ne leurs faudrait que cinq à dix minutes pour y être. La kitsune avait fait son choix pour le magasin, il s’agissait d’un espèce de four tout typiquement Nexusien, ce genre d’échoppe ou l’on trouve tout ce qui est inutile et bien plus encore. Mais elle était certaine de trouver ce dont elle avait besoin dans ce genre de boutique.
-
Sa maitresse était donc d'accord pour qu'elle la porte à l'extérieur. Aloysia sortirait alors ainsi. Mais le petit frisson de la jeune kitsune ne lui avait pas échapper lorsqu'elle lui avait pris la main. Aloysia l'avait fait tout naturellement sans réfléchir. Elle sourit, amusée. La kitsune faisait tout, en tout cas c'est ce que pensait Aloysia, pour la mettre dans une situation assez gênante et jouait le rôle d'une femme fatale. Mais elle ne devait certainement pas avoir l'habitude des gestes de tendresse. Aloysia allait y remédier en douceur.
- J'arrive !
Aloysia voulu courir rejoindre sa maitresse mais se rappela bien vite qu'elle ne pourrait pas faire de grandes enjambées avec ce genre de robe. Elle ralentit le rythme et marcha avec élégance jusque sa maitresse, comme elle m'avait si bien appris avec sa gouvernante. Elle ne reprit pas la main de la jeune femme, laissant sa main le long de son corps, effleurer légèrement celle de la belle jeune femme. Elles marchaient cote à cote dans les rues de Nexus. Elles rentrèrent dans un magasin où elles pourrait trouvées toutes les choses utiles à la nouvelle esclave de Sofia.
Aloysia prit immédiatement tout le nécessaire pour l'hygiène. Elle aimait être propre et tenait beaucoup à son apparence. Elle souhaitait aussi acheter des vêtements mais voulait voir ce que lui proposerait la jeune femme.
- Qu'est-ce que vous aimeriez me voir porter, maitresse ?
-
La kitsune était fière de sa jeune esclave, elle se déplaçait avec une grâce et une agilité naturelle déconcertante, cela se voyait, cette gamine avait du sang hybride dans les veines, même un peu, car elle n’avait pas ce pas lourd caractéristique des humains. Elle se contenta de sourire à la question que lui pausa la jeune femme, ce qu’elle voulait la voir porter ? Hum, c’était assez complexe, mais cela réservait quelques fou rire sans doute. Elle ne répondit pas directement à la question, se contentant de lui sourire et de lui dire.
- Ne bouge pas, je revins.
Elle s’absenta alors, laissant la jeune femme seule pour l’instant, ainsi elle avait quartier libre pour faire le tour de la boutique. La kitsune quand à elle, savait ce qu’elle recherchait et ou cela se trouvait, ainsi normalement, elle n’en aurait que pour quelques instants. Enfin, il fallait quand même être sur que cela aille à sa petite esclave, mais les essayages seraient sans doute assez drôle.
La maitresse était actuellement entrain de dévalisé le coté de la boutique dédié au vêtement sexy, elle avait prit de nombreuses robes, mais aussi des choses plus transparente telle des voiles, des rubans et tous un tas d’autre vêtement plus ou moins sexy. Elle fit également la même chose avec les sous vêtements, autant dire que la jeune femme aurait de quoi se vêtir, mais elle n’aurait peut être pas forcement chaud cette hiver.
La kitsune revint tranquillement avec ce qu’elle avait dans les mains, voulant voir la réaction de la jeune femme, elle allait sans doute se ruinée mais d’un autre coté, il fallait mettre le prix juste. Hors ici, le jeu en valait la chandelle.
-
La jeune femme partit alors chercher les vêtements qu'elle aimerait voir Aloysia porter. Elle alla donc dans chercher des pinces à cheveux et des serres tête. Et oui, pour elle son apparence était primordial et elle savait que ses beaux cheveux blond était un atout donc il valait mieux ne pas les négliger. Elle avait déjà pris tout ce qu'il fallait pour sa toilette.
Une fois qu'elle eut fait le tour du magasin, elle retourna là où sa maitresse l'avait laissé. Aloysia attendit un petit moment avant de voir sa maitresse revenir charger de vêtement. Pas forcément les vêtements auquel elle s'attendait. Elle regarda ceux-ci, les yeux légèrement écarquillés.
- Heu...tous ces vêtements sont pour moi ?
Elle espérait en secret qu'elle lui réponde que tout les vêtements et sous-vêtements très sexy ne lui était pas destiner. Elle savait pourtant qu'elle avait laisser carte blanche à sa maitresse et qu'elle allait forcément essayer de lui faire porter des tenues dont elle n'avait pas vraiment l'habitude. Aloysia prit dans ses mains une tenue faite de voile transparente et pensa tout de suite qu'elle ne cachait rien... Sauf que cette tenue, il faudrait qu'elle la porte.
Aloysia se tourna vers la kitsune, les joues légèrement rosies.
- Vous souhaitez que je les essaye ou nous verrons à la maison ?
Aussi étrange que cela puisse paraitre, Aloysia de surprit à penser qu'elle serait peut être belle dans ces tenues choisit par sa maitresse. Elle avait presque...hâte de les porter juste par curiosité.
-
La kitsune eut un léger soupire, bien sûr qu’ils étaient pour elle. Elle ne les avait pas achetés pour le plaisir, quoi que si en réalité ce fût pour le plaisir des yeux, mais cela était une autre histoire. Elle se contenta donc de lui répondre. Par contre, cette jeune princesse lui avait donné une idée, oui cela ne serait pas forcement une mauvaise idée de les essayer ici. Après tout, cela lui permettrait d’être sur que tout cela lui aille.
- Je ne les ai pas achetés pour moi, donc j’en déduis qu’ils sont pour toi. Aller vins
Elle lui prit la main, et la traina jusqu’à une des cabines d’essayages du magasin. Celles-ci étaient aménagées de tel façon à ce que les esclaves et leurs maitresses puissent y faire des essayages. Mais en réalité, tout le monde savait qu’il y avait souvent bien d’autre chose faite dans ces cabines enfin.
Elle Déposa donc les vêtements avant de dire à sa nouvelle esclave.
-A toi de voir si tu préfère que je reste avec toi le temps des essais ou si tu préfère que je sorte pour que tu sois seule. Mais je pense qu’il serait toutefois plus simple que je reste avec toi. Cela me permettra d’être sur que même les sous vêtements te font. Bien sur, cela veut dire aussi que je vais te voir nue… Cela ne te pose pas de problème, j’espère ? Mais je peux toujours attendre dehors si cela te gêne.
Elle attendit donc la réponse de sa petite esclave. Si jamais elle n’avait pas envie que sa maitresse vienne, elle n’en ferrait pas une maladie. Mais la kitsune se demandait si oui ou non cette petite esclave serait capable de mettre sa timidité de coté pour être observée par sa maitresse.
-
Ah tous ses vêtements plus sexy les uns que les autres étaient bien pour elle. Cela promettait ! Aloysia sourit mais elle avait les joues rosis rien qu'à s'imaginer dans certaines tenues...et pourtant cela l'excitait que sa maitresse puissent la voir ainsi ! Depuis quelques temps elle avait l'impression de ne pas tourner rond.
Elle suivit la jeune femme jusqu'à une cabine où elle pouvait aisément être à deux dans celle-ci. Là, la maitresse lui laissa le choix. Essayer toute seule ou en compagnie de sa maitresse. Elle était partagée. D'un coté sa pudeur lui enjoignait de faire sortir la kitsune mais d'un autre coté, elle désirait essayer en la compagnie de la jeune femme. Après tout, il fallait qu'elle relativise et qu'elle se dise que la jeune femme en avait vu d'autre nu e après tout elles étaient deux femmes et donc faites pareille.
- Vous pouvez rester, cela ne me dérange pas. Et comme cela je pourrais avoir votre avis et vos conseil.
Elle commença enlever la robe de soirée qu'elle portait et la posa dans un coin. Elle étai maintenant en sous-vêtement devant sa maitresse mais cela ne la gênait pas trop. Le plus délicat était maintenant à venir. Elle dégrafa son soutien-gorge et le posa sur la robe. Sofia pouvait maintenant admirer sa poitrine généreuse. Elle prit une petite inspiration et descendit sa culotte, tout doucement. Elle avait effectué cette dernière opération sans oser croisé le regard de la jeune femme. Heureusement qu'elle s'était épiler la veille. Elle regarda ensuite les vêtements que la jeune femme avait apporter mais ne savait pas quoi essayer en premier et puis il y avait certaine chose dont elle ne savait même pas comment mettre.
Elle se tourna vers sa maitresse, les joues rosis, et demanda avec un sourire légèrement gêné.
- Vous souhaitez que j'essaye quoi en premier ?
-
Tien donc, alors comme cela la petite princesse n’était finalement pas aussi ingénue que cela. Elle accepta que la jeune maitresse l’accompagne dans la cabine. Lui donnant comme excuse qu’ainsi elle pourrait lui donner son avis et l’aide si jamais elle en avait besoin. Au cela ne dérangeait absolument pas la maitresse. Loin de là. Elle pourrait en profiter pour vous si la timidité de la jeune femme était vraiment importante ou non. Si c’était le cas, elle ne pourrait même pas oté sa jupe. Enfin, pour l’instant, elle entra dans la cabine d’un pas assuré.
Elle prit lentement place. Alors que la jeune femme se déshabiller devant elle. Et elle le fit complètement. La kitsune aurait presque bavait, si elle n’avait pas un minimum de savoir vivre. Effectivement, cela la changeait de ce qu’elle avait l’habitude de voir. Cette petite princesse était particulièrement attirante. Elle ne pouvait pas lui enlever cela. D’ailleurs, il était probable que lorsqu’elle se déciderait à se mettre en valeur, elle ferait tourner bon nombre de tête. Enfin pour l’instant la jeune femme resta bloquer sur ce que l’on pourrait apeller un problème mineur. Par quoi pouvait-elle bien commencer ? Et bien pourquoi pas par…
- Et bien, personnellement, j’ai toujours eut une petite préférence pour les nuisettes. Confortables, légères, et surtout elles mettent en valeur. Alors pourquoi ne pas commencer par cela. Je te laisse choisir celle que tu veux essayer en premier. Après tout. Nous ne sommes pas pressées non ?
La kitsune se leva, doucement, frôlant au passage d’une de ses queues la jambe de la jeune femme avant d’aller rechercher les dits vêtements. Elle était curieuse de voir comment celle-ci allait réagir à cela. Enfin, en attendant elle s’assit doucement et lui dit d’un grand sourire.
-Tu sais, je te pensé plus prude. Preuve que finalement je me suis trompée. Mais je suis contente de savoir que tu t’épiles à ce genre d’endroit. Cela t’arrive souvent ou c’était un cas disons exceptionnel ? Enfin, si jamais tu as besoin de baume apaisant je peux t'en donner tu sais? Ce n'est pas compliqué à appliquer, c'est un peu comme si tu te faisais du bien. mais juste sur les parties rasée.
-
Aloysia sourit légèrement en sentant une des queues de la jeune femme s'attarder sur sa jambe alors qu'elle allait chercher les nuisettes. Elle avait vu le regard de sa maitresse se poser sur elle et avait pu voir que son corps lui plaisait. Il allait peut être falloir qu'elle le mette en avant tout compte fait, comme le suggérait Sofia. Elle prit une nuisette en dentelle noire, moulante et dos nu. Elle enila le string qui était assortit pendant que sa maitresse lui parlait d'épilation.
- J'ai l'habitude de m'épiler entièrement. On m'a appris à le faire dès l'arriver des poils pubiens. Cet apprentissage était nécessaire pour être parfaite pour mon futur mari. Mais je me doutes que cela ne l'aurait pas empêcher d'aller voir ailleurs. Et merci pour le baume.
Elle ne fit pas la remarque qu'elle ne s'était jamais fait de bien. Cela aurait été trop gênant pour la jeune princesse. Elle se contenta de regarder à quoi elle ressemblait dans la glace. Aloysia se plaisait ainsi même si elle n'avait pas l'habitude de porter ce genre de tenue pour dormir. Elle l'enleva ainsi que le string et prit une autre nuisette, elle aussi noir met avec de petit ruban rose. Elle la mit et auniveau de la poitrine le noeud maintenait presque fermer celle-ci. On pouvait quand même voir son ventre plat car les deux bout de la nuisette ne se rejoignait pas. Elle était faite de voile noir transparente et son string était lui aussi assortit qu'on pouvait voir sans problème étant donné que la nuisette était très courte. Aloysia amait beaucoup ce modèle et se tourna vers la jeune femme.
- Qu'en pensez vous ? J'aime beaucoup celle-ci.
Aloysia tournoya légèrement sur place, faisant voler les voiles de sa nuisette. Elle était prête à passer à la suite des essayages.
- Vous désirez que j'essaye quel tenue à présent ?
La princesse s'était complètement prise au jeu des essayages et montrait beaucoup moins de timidité à dévoiler son corps à sa maitresse.
-
La kitsune avait de plus en plus de mal à se contenir, voir la jeune princesse dans des tenues si… Si aguichantes, cela la rendait toute chose. Mais en attendant, elle pouvait remarquer que la jeune demi néko semblait être de plus en plus à l’aise, et cela, ne la rendait que plus désirable. Elle eut un petit sourire lorsqu’elle lui expliqua la raison du fait qu’elle était aussi imberbe qu’une jeune fille. Oui, ce ne serait pas cela qui lui ferrait garder un homme. Mais, cela était par contre appréciée par sa maitresse. Elle lui fit un grand sourire avant de dire.
-Hum, c’est vrai, il y a d’autre chose à faire pour garder un homme à ses pieds, mais en attendant, cela ne fait que te rendre plus désirable à mes yeux. Cette nuisette te va d’ailleurs particulièrement bien. Mais pour en revenir à ta tenue je pense que j’ai quelque chose pour toi.
La kitsune rechercha quelques instants avant de tendre un ensemble assez spécial, composé d’un corset et d’un porte-jarretelle, autant dire que dans cette tenue, la jeune femme serait une vraie bombe. Et si jamais elle avait des difficultés à les mettre, elle serait ravie de lui donner un coup de main. Par contre, elle ne promettait pas de ne pas faire de bavure, bon d’un autre coté, elle était sensée avoir le droit de vie et de mort sur elle, mais non, elle n’allait pas agir comme cela. Même si, d’un autre coté, la jeune femme lui faisait de plus en plus envie. Hum que faire, que faire.
-Tu sais Aloysia je te trouve de plus en plus désirable. Il se pourrait même que je succombe à mes instincts et que je te saute déçus. Alors, je ne suis pas sur que c’était une bonne idée ces essayages. J’espère donc que tu ne m’en voudras pas trop. Si je fais ceci.
Elle s’avança doucement de la jeune femme avant de la tirer contre elle et de lui caresser doucement le dos, il s’agissait juste de lui faire comprendre, que si elle voulait la dévorer, la morsure ne serait sans doute pas si désagréable. Enfin… Ce n’était que son point de vue.
-
Aloysia vit sa maitresse revenir avec une tenue très sexy et elle sourit. Il allait aussi falloir qu'elle essaye ceci car ce modèle avait vraiment l'air de plaire à la jeune femme. Pourquoi pas après tout ? Maintenant que Sofia l'avait vu nu, elle connaissait son corps, elle n'avait donc plus aucune raison de se cacher et d'être pudique en sa présence. Sa maitresse lui dit qu'elle était de plus en plus désirable, cela lui fit vraiment plaisir et un grand sourire illumina son visage. Elle était heureuse de plaire à la kitsune.
Mais sa maitresse avait l'air de dire qu'elle allait craquer. La princesse hausse un sourcil, de demandant ce qui allait se passer lorsque sa maitresse la prit contre elle. Aloysia rougit en sentant sa maitresse aussi proche et son cœur s'accéléra. Elle sentit une des mains de la jeune femme lui caresser le dos. Leurs visages n'étaient plus qu'à quelques centimètres. Aloysia descendit son regard sur les lèvres si attirante de la jeune femme. Elle allait elle aussi succomber aux charmes de la belle kitsune. Aloysia prit l'initiative et avança doucement ses lèvres pour gouter celle de la jeune femme. Elle n'était plus qu'à quelques millimètres quand...
- Les essayages se passent bien ? Avez vous besoin de mon...
Aloysia sursauta et se retourna. Un vendeur d'une vingtaine d'année avait passé sa tête sur le coté du rideau pour vérifier que tout de passait bien. Aloysia vit que le jeune homme détaillait désormais sa tenue et ses joues changèrent de couleur pendant qu'il balbutiait des excuse. Aloysia, le rouge aux joues, referma précipitamment le rideau. Elle se retourna vers sa maitresse et commença à mettre la tenue que lui abat proposer sa maitresse.
- Est-ce sur vous pouvez m'aider pour mettre cette tenue ?
Aloysia repensait sans arrêt à la scène que le vendeur avait dû découvrir. Elle lui en voulait d'avoir casser ce moment là. En plus, il l'avait vu en tenue extrêmement légère et cela avait vraiment gêner notre petite princesse.
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La kitsune ne dit rien, après tout, ce n’était pas bien grave que ce pauvre vendeur ait coupé ce qui s’annonçait être un bon moment. Ce n’ était que partie remise, et en plus, la kitsune avait eut confirmation que sa petite princesse n’était pas insensible à ses charmes, alors il était temps de sortir le grand jeu. En plus, la jeune princesse lui donnait un formidable prétexte pour qu’elle puisse faire ce qu’elle avait en tête. La maitresse se contenta de lui dire doucement.
-Ce sera avec plaisir, et ne soit pas trop déçus. Je pense que ce vendeur n’as fait que retardait l’inévitable.
Elle ôta doucement la nuisette de la jeune femme, caressant chaqu’une de ses courbes au passage. La kitsune ne le cachait plus, ce corps, elle le voulait, elle le désirait, et elle l’aurait sans doute tôt ou tard. Elle fit la même chose avec la barrière de tissu qui protégeait son intimité, le laissant descendre avec une lenteur inhumaine. Elle jouait à ce moment au jeu du chat et de la sourie. Excepté que cette fois si, la sourie était déjà tombé dans le piège du chat.
Elle mit doucement le corset à la jeune demoiselle, celui-ci faisant ressortir sa magnifique poitrine. Et commença doucement à lui mettre le porte-jarretelle. En même temps, elle caressait les cuisses de la demoiselle laissant celle-ci se rendre compte que depuis le début, la kitsune avait en tête ce qui était entrain de se produire. Elle eut un petit sourire à la fin de l’essayage. Elle avait raison, sa princesse était vraiment une bombe dans cette tenue. Et ce petit rouge aux joues lui allait comme un gant. Elle caressa doucement la joue de la demie humaine et lui dit doucement.
-Tu es encore plus mignonne lorsque tu es gênée. Petite proie.
Les deux derniers mots tenaient plus de la boutade qu’autre chose, mais cela prouvait aussi que l’humaine pouvait se faire manger à n’importe qu’elle moment.
-
Aloysia trouvai la situation de plus en plus gênante. Désormais, sa maitresse savait qu'elle était attirée par elle. Elle l'avait piégé dans des filets. Mais Aloysia ne s'était pas braient débattu pour en sortir. Elle avait même foncer dedans avec plaisir. Aloysia n'était déjà plus la petite princesse qu'elle était avant de la rencontrer. Elle devenait doucement mais sûrement une femme sous les yeux de la kitsune. Elle laissa la jeune femme lui enlever sa nuisette mais elle évitait son regard car elle était toujours un peu gênée de la scène précédente. Rien que de sentir les doigts fin de sa mairesse lui procura de délicieux frissons et la chair de poule en prime. Son corps réagissait tout seul et la demi-Néko découvrait tout ceci.
En sentant les mains de la jeune femme lui mettre les porte-jarretelles, elle sentit un peu d'excitation monter et son entre-jambe s'humidifia légèrement. Aloysia serra un peu plus des jambe pour ne pas que Sofia remarque les réactions qu'elle sucitait en elle. Une fois qu'elle portait la tenue complète, elle s'admira dans le miroir et cela lui fit vraiment drôle. Sa poitrine et ses jambes fines étaient mises en valeur dans cette tenue. Elle avait l'habitude de porter de longue robe qui cachait ses formes alors qu'ici...on ne voyait que cela.
La remarque de la jeune femme la fit sourire. Et oui, elle était la petite souris qui ne demandait qu'une chose: de faire manger par le chat. Mais cela, elle avait encore du mal à se l'avouer. Pour elle hier encore, ce n'était pas vraiement imaginable que deux femmes est une relation et là, elle avait clairement envie de découvrir de nouvelle sensation avec sa maitresse. Inconsciemment, elle cherchait même une raison pour décider sa maitresse de la dévorer tout crus. Aloysia tenait ses mains dans son dos, laissant sa maitresse profiter de la vue.
- M-merci, c'est agréable de faire du shopping avec vous... Je continue d'essayer d'autres tenues ou nous rentrons ?
Aloysia n'en avait pas marre, loin de là. Mais elle ne savait pas si elle devait continuer les essayages, quelle tenue mettre. Elle voulait que Sofia soit satisfaite d'elle et elle aimait sentir le regard remplis de désir de la jeune femme se poser sur son corps.
-
La kitsune se contentait de la regarder, admirant le spectacle que lui offrait le corps de la jeune femme dans cette tenue. Par contre, elle avait même cru voir une trace d’excitation sur le sexe de la jeune femme, non, elle devait sans doute faire erreur. Quoi que, si c’était le cas, cela voulait dire que la suite serait des plus intéressantes. Elle répondit cependant à la jeune princesse d’une voix douce mais ferme.
-Non, nous continuons encore les essayages. Je veux te faire essayer une dernière chose, mais après nous rentrerons à la maison.
Elle continua sa séance d’essayage sur sa poupée, puisque c ‘était ce qui correspondait le mieux à la situation de la jeune princesse à ce moment. Elle sortie une paire de gant de couleur noir qu’elle lui mit doucement, caressant au passage la peau de la jeune demoiselle à travers le tissus. Elle termina le tout par une longue robe noir, un peu comme celle qu’elle lui avait donnée hier. Celle-ci était elle aussi dos nue, mais également jambe nue. La princesse était maintenant une vrai femme, dut moins avec cette tenue. Il ne manquait qu’une dernière petite touche, un tout petit détail.
La jeune femme, plaça une mèche de cheveux devant l’œil gauche de la jeune femme. Voila, maintenant elle était devenue une femme du monde à la fois désirable et mystérieuse.
-Alors qu’est ce que tu en pense ? Le résultat est à ton gout. Il est au mien en tout cas.
Elle se contenta d’un petit sourire, elle avait eut ce qu’elle voulait, maintenant, elles pouvaient rentrer à la maison et pourquoi pas…
-C’est bon, je n’ai plus rien à te faire essayer. Je vais donc payer ce que j’ai pris et nous rentrerons à la maison. Nous pourrions même reprendre au moment ou le vendeur nous à interrompue. Qu’en pense tu ?
Le sous entendue était clair, il était possible que la transformation de la jeune créature se termine bientôt. Elle serait alors non plus une esclave mais une amante. Enfin, si elle l’acceptait car la kitsune ne forcerait pas la princesse à aller contre ses envies. Mais il y avait 90% de chance que cela arrive.
-
Aloysia hocha la tête après la réponse de sa maitresse mais se demanda ce qu'elle aurait à essayer. Elle la laissa mettre des gants noir qui lui rappela les gants qu'elle portait parfois dans les bals organisés par les nobles. Elle enfila ensuite une longue robe noire sans doute de soirée aussi. La robe était vraiment très sexy, peut être encore plus que celle que Sofia lui avait prêté. Cette dernière finalisa en arrangeant ses cheveux et la princesse s'admira dans la glace. Elle ne se reconnaissait pas et avait l'impression de voir une étrangère. Elle semblait vraiment être une femme fatale dans cette tenue et cela la changeait vraiment de ses habitudes vestimentaires. Ses formes étaient mise en valeur et ses jambes paraissaient plus interminables. Si ses parents l'avaient vu comme cela, ils en auraient fait une crise cardiaque. Surtout sa gouvernante. Mais tout cela était du passé et cette tenue plaisia tà sa maitresse.
- Disons que ça me change. Il va me falloir un peu de temps pour m'habituer... Mais j'aime bien.
Aloysia lui sourit avant de rougir après le sous entendu plus qu'évident que Sofia venait de faire. La jeune princesse essya de se callmer et sourit timidement. Elle ne savait pas trop quoi répondre à cela et était de nouveau mal à l'aise, à croire que sa maitresse aimait la mettre dans l'embarras. Ce qui était surement le cas.
- Pourquoi pas...
Aloysia baissa les yeux, incapable de regarder la kitsune en face. Elle avait articuler difficilement sa réponse, complètement destabilisée. Elle reprit doucement son aplomb et un petit sourire s'étira sur ses lèvres.
- Je reste comme ceci ou je remet votre robe ?
Aloysia savait qu'elle plaisait beaucoup à sa maitresse dans cette tenue et elle trouvait dommage de l'enlever pour retourner chez elles. Elle aimait aussi se sentir belle et désirable et elle pensait aussi un peu à la suite. Les sous-vêtements que portaient la jeune femme était sexy et s'il se passait quelque chose une fois rentrer, elle voulait être la plus belle possible pour la jolie kitsune.
-
La kitsune se disait qu’elle avait bien fait de choisir cette jolie créature. Elle était juste comme ce qu’elle voulait, elle était capable de s’adapter à n’importe qu’elle situation. Mais elle avait finalement fini par succomber au charme de la kitsune, d’un autre coté, en faisant cela, la rose noir savait que cette jolie créature ne tenterai rien contre elle. Et puis comme cela elle pourrait toujours s’amuser un peu avec elle. Elle se contenta d’un petit rictus avant de dire à la jolie demoiselle.
- Non, reste comme cela, Je te les lèverais moi-même lorsque nous serons à la maison. Maintenant, je vais payer nos achats. Ne bouge pas d’ici et attend moi.
La demoiselle s’éclipsa pour payer sa note. L’argent ici, n’avait ni odeur ni couleur. Surtout si comme la kitsune on payait cash. Autant dire que c’était une aubaine pour ce commerçant qui avait revendue pour un bon prix toutes ces choses. La kitsune avait mit au minimum deux semaines de salaire mais là, elle savait que sa future amante était désormais prête. Et cela, ca n’avait pas de prix. Elle retourna donc dans la cabine avant de lui dire.
-Nous rentrons.
Elle se dirigea donc vers sa demeure, surveillant du coin de l’œil que la jeune femme la suive bien. Elle resta muette le temps du voyage, tous les paquets en main. Lorsque passa la porte de leur demeure elle posa tout cela au sol et se contenta de dire à la jeune femme d’une voix autoritaire.
-attend moi dans la chambre, je dois faire deux trois petites choses avant de revenir.
Ce fut la seule explication qu’elle donna avant de se volatiliser comme cela, dans un des couloirs de sa demeure.
-
Elle resta donc sagement à attendre sa maitresse dans la cabine comme elle le lui avait demander. Aloysia attendait lançant quelques regard derrière le rideau cherchant à apercevoir la kitsune. Elle avait toujours peur de se retrouver seule et qu'il lui arrive à nouveau quelque chose. Heureusement sa maitresse revint rapidement chargé des paquets.
Elles sortirent du magasins et la princesse restait près de la kitsune. Elle pouvait voir les regards se poser sur elle, elle en avait l'habitude étant une princesse, même si ce n'était pas le même genre de regard. Elle n'avait pas perdu ses réflexes de princesse, la tête haute, une démarche assuré et gracieuse. Elle avait passé des années à s'exercer et cela ne s'oubliait pas. Tout était automatique et ses gestes étaient devenus naturels.
Une fois rentré, la jeune femme posa les affaires par terre et s'éclipsa après lui avoir demander d'aller l'attendre dans sa chambre. Aloysia obéit sans un mot et monta les marches qui conduisait au nid douillet de la kitsune. Elle ouvrit la porte et la referma derrière elle avec douceur. Les battements de son coeur s'accélerent en réalisant ce qui allait peut être se passer dans quelques minutes. Elle s'assit d'abord sur le lit puis se releva quasiment aussitôt, incapable de rester en place. Elle marchait dans la chambre, essayant de se calmer. Elle avait l'impression d'être une jeune femme veant de se marier qui attendait son maris pour leur nuit de noce. On lui avait expliquer comment cela devait se passer, il y a quelques années. Normalement s'était le mari qui attendait sa nouvelle épouse dans la chambre. L'esclave sortit de ses pensées alors que de très léger pas s'approchait de la porte. Elle avait hérité d'une ouïe plus fine que les humains à défaut d'avoir des attributs animalier. Son coeur ratta un battement alors que la poignée s'abaissait et que la porte s'ouvrait...
-
La kitsune profita de ce moment pour passer à la salle de bain. Après tout, si la princesse était sur son trente et un, ce n’était pas son cas à elle. Non, elle avait besoin d’une bonne douche et de vêtement à sa mesure. Elle fonça donc sous l’eau chaude, se lavant avec une de ses propres mixtures, elle aurait ainsi l’odeur de la rose, son odeur favorite. Bien, maintenant que cela était fait, il fallait maintenant choisir une tenue… Que prendre, que prendre…
Elle se contenta de s’entourait la poitrine et le corps d’un long ruban couleur argent avant de passer un kimono de cérémonie. Ce genre de kimono mettait ses formes en valeurs, n’en dévoilant pas trop cependant, son corps était parfaitement mi en valeur, comme ce qu’elle voulait. Bien, maintenant, il restait à coiffer sa chevelure. Elle se fit une longue natte, mettant d’ailleurs une rose dans sa chevelure. Voila maintenant elle était prête, elle se dirigea donc vers la demoiselle, souriant tranquillement.
Elle avança doucement dans les escaliers avant d’ouvrir la porte. Elle eut un petit sourire, avant de l’ouvrir en grand, avant de s’installer sur le lit en compagnie de la jeune créature. Elle eut un petit sourire.
-Alors, comment trouve tu ta maitresse ? Est elle comme celle que tu imaginais ?
Elle eut un petit sourire, avant d’embrasser langoureusement et sauvagement la jolie princesse. Voila, maintenant les dés étaient jetés et cette jolie créature serait désormais était toute à elle. Sa langue dansait avec celle de la jeune princesse. Elle savait que cela la rendrait sans doute des plus gênée, mais la kitsune s’en moquait. Elle dévorait les lèvres de la princesse, elle jouait avec cette langue, bref, elle était entrain de se rendre indispensable. Elle clôtura avec un petit sourire ce premier baiser.
-Alors, c’était comme tu l’imaginais ?
-
Sa maitresse ouvrit grand la porte et elle était sublime dans son kimono. Elle s'était apprêté juste pour Aloysia et cela faisait vraiment plaisir à la princesse. La kitsune la rejoignit sur le lit alors qu'Aloysia sentait déjà ses joues s'échauffer. Elle savait ce qui allait suivre et rien que l'imagine la faisait rougir.
- Vous êtes vraiment magnifique ! Je n'aurais pu rêver plus belle maitresse.
Aloysia sourit timidement avant que Sofia ne s'empare de ces lèvres. Leur baiser fut sauvage et langoureux et Aloysia goutait enfin aux lèvres de la kitsune. Leur langue avait entamé un ballet qui était des plus agréable pour la jeune femme. Sofia se sépara d'elle et Aloysia la laissa faire à regret. Elle aurait voulu continuer à l'embrasser jusqu'à l'ivresse mais sa maitresse lui demandait si c'était comme elle se l'imaginait.
- C'était encore mieux que dans mes rêves... Et vous sentez si bon...
Aloysia avait les joues légèrement rosé par leur baiser mais n'était plus autant gênée. Elle enfouit sa tête dans le cou de la jeune femme pour respirer l'odeur de la rose. Elle déposa un petit baiser sur sa peau parfaite avant de retirer sa tête. Aloysia plongea ses yeux dans ceux rubis de sa maitresse et son regard dérivait indubitablement vers les lèvres de sa maitresse. Elle souhaitait encore goûter ses lèvres vermeilles. Elle approcha avec douceur son visage et déposa un baiser long mais tendre. Ce fut elle qui interrompit le baiser et elle sourit à sa maitresse. Elle était vraiment attirée par Sofia et cela ne pouvait que se comprendre. Elle était belle, sûre d'elle et savait vous charmer d'un seul regard. Elle s'allongea sur le lit avec douceur à coté de la jeune femme et son sourire était clairement une invitation. Elle voulait passer à l'étape suivante...
-
Il était normalement que la kitsune soit sur son trente et un pour la jolie princesse, après tout, c’était sa première fois et c’était le genre de chose qu’il ne fallait pas prendre comme cela. Non, il fallait vraiment y aller avec douceur et tendresse, préparer l’ambiance et la faire doucement venir vers une atmosphère plus calme. Elle laissa doucement la jolie princesse s’étaler sur le lit. Elle fit de même, se rapprochant doucement de la jolie créature. Elle embrassa doucement la demoiselle sur la nuque avant de lui dire.
- Je suis contente que cela te plaise. Mais il fallait bien que je me fasse un peu belle pour une princesse t’elle que toi non ? Je pense toi et moi, nous allons passez un moment des plus… Intéressant.
Elle se lécha doucement les lèvres, maintenant, il était temps de montrer à cette jolie créature tout ses talents en tant que kitsune. Elle eut un petit sourire avant de se lever doucement se mettant à coté du lit. Elle commença doucement par ôter sa queue de cheval. Laissant sa chevelure descendre doucement dans son cou, voila. Maintenant elle était vraiment elle-même. Elle ôta avec délicatesse son kimono, laissant voir que ses sous vêtement ne se résumait qu’à une seule et unique chose, un long, un très long ruban argenté. Voila, maintenant elle était prête à entrer dans la bataille. Mais… Mais il y avait une petite chose qu’elle voulait savoir.
-Tu es sur que c’est ce que tu veux ? Après tout, c’est une décision à ne pas prendre à la léger ma belle. Tu n’as qu’une première, première fois. Tu dois le savoir n’est ce pas.
Elle se mit doucement sur le grand lit avant de lui sourire. Elle attendait le feu vert…
-
La princesse sourit en voyant la jeune femme détacher ses cheveux. Elle était encore plus belle au naturelle. Aloysia écarquilla les yeux en voyant les sous vêtement de sa maitresse. Ce n'était qu'un ruban qui entourant son corps, cachant ses parties intimes. Alors voilà à quoi servait les rubans qu'elle avait acheté au magasin... Aloysia les avaient remarqué et c'était posé la question de savoir à quoi cela pourrait bien servir à la kitsune. Elle avait maintenant la réponse. Elle se sentait de plus en plus excité du moment qui allait venir. Elle en avait de plus en plus envie.
La question fit légèrement rosirent les joues de la princesse. Elle Voulait lui donner sa première fois mais pour l'instant elle désirait garder une chose.
- Je veux le faire avec vous... Mais...mais je veux juste garder pour l'instant mon...mon hymen intact...
La jeune femme rougit. Elle voulait gouter au plaisir de la chair. Mais, peut être était ce dû à son éducation, elle préférait pour l'instant que ce soit un membre d'homme qui rompe son hymen et qu'elle perde toute virginité. Le reste de son corps appartenait à la jeune femme et elle en frémissait d'avance. Elle se colla contre Sofia et requerra un autre baiser. Elle était déjà accroc au lèvres de sa maitresse. Elles étaient si douce. La princesse sentait son désir monter doucement mais elle avait du mal à prendre les commandes et préférait que ce soit la kitsune qui s'occupe d'elle...
-
La kitsune hocha doucement la tête, il était normale que la jeune femme veuille conserver cela, après tout, il s’agissait du symbole même de sa pureté. Cela n’empêcherait cependant pas la jeune kitsune de l’initier doucement au plaisir de la chaire, après tout, il y avait de nombreuses manières de s’y prendre.
La kitsune caressa doucement le visage de sa jeune amante, avant de caresser de ses doigts fins les lèvres de celle-ci, elle continua doucement dans de lui dire.
-Ne t’en fais pas, je ne prendrais pas le symbole de ta pureté, tu seras ainsi libre de le donner au moment venue à celui ou celle que tu auras choisi. Mais cela ne nous empêchera pas de nous amuser un peu toute les deux.
Elle prit doucement le visage de la jeune demoiselle entre ses mains et embrassa doucement les lèvres de la jeune femme, sa langue cependant eut rapidement envie de rejoindre celle de la princesse et il s’en suivit un ballais au combien érotique. Les deux muscles se recherchaient, tentant de se rejoindre avant finalement de se séparer. Il s’agissait du jeu du chat et de la sourie, mais un jeu au combien plus excitant que ceux pratiquaient dans les cours de récréation.
Toutefois la kitsune avait conscience que les deux jeunes femmes n’étaient pas à égalité, en effet la jeune princesse était encore toute habillé alors qu’elle, elle n’était qu’en petite tenue. Mais elle devait avouer qu’elle trouvait dommage d’ôter la robe de la jeune femme alors que celle-ci lui allait si bien. Elle eut un petit sourire à cette réflexion puis, commença doucement à retirer le tissu qui cachait le corps de son amantes à ses yeux. Sa queue caressait doucement la jambe de la demoiselle, alors que ses mains allaient délibérément caresser les côtes de la princesse. Le but était de faire doucement montrer l’excitation, elle ne lui sautait donc pas dessus mais continuait doucement ses caresses à travers le tissus encore présent sur le corps de la jeune femme. Elle mit bien cinq minutes pour ôter la robe, tandis que ses queues, elles caressaient avec de plus en plus d’insistance les jambes de la jeune femme.
- Nous allons prendre tous notre temps ma belle. Toi et moi, nous passerons une nuit des plus agréable, je te le garantie. Maintenant soit gentille et enlève mon ruban tu veux ?
-
Aloysia sourit à la réponse de sa maitresse, soulagée que celle-ci respecte son choix et n'en demande pas les raisons. Car secrètement, elle espérait encore rencontrer son prince charmant. La princesse avait été éduquer sans le but de se marier et surtout donner des héritiers à la couronne. La kitsune représentait beaucoup pour la jeune femme mais son rêve de petite fille était toujours présent dans un coin de sa tête.
Le baiser qu'elles échangèrent eut le mérite de la faire quitter sa réflexion et elle se reconcentra sur le magnifique ballet qu'elles avaient entamé. Leur langues se séparaient pour mieux se retrouver ensuite. Leur échanges buccales s'intensifiaient avec le temps et Aloysia sentit l'excitation commencer à sérieusement grimper quand la jeune femme commença doucement à enlever sa robe. Au fur et mesure que le tissu dévoilait sa peau, la princesse désirait plus ardemment Sofia.
Une fois qu'elles étaient toutes les deux en sous-vêtements, la jeune maitresse lui demanda d'enlever son ruban. Les joues de la princesse s'échauffèrent et l'excitation monta en flèche. Elle allait voir la jeune femme nue... Elle entreprit avec douceur de défaire le nœud qui maintenait ce ruban autour du corps de son amante. Elle déroula le ruban avec lenteur, passant sa main sur la peau qui devenait au fur et à mesure visible. Elle dévoila d'abord sa poitrine et ensuite son intimité. Aloysia était complètement rouge et ne savait plus vraiment où poser son regard.
- Vous êtes magnifique.
Aloysia sourit mais ne savait pas trop quoi faire,attendant encore une fois que sa maitresse prenne les devants.
-
La kitsune se laissa faire, elle autorisait cette jeune femme à toucher son corps. Elle savait que la jeune femme avait besoin de temps pour pouvoir s’habituer au corps de son amante et a l’idée que sa première relation sexuelle serait une femme. Voila pourquoi elle lui laissait le temps. Le temps de découvrir ce qu’était le corps d’une autre femme, le temps de découvrir son corps. Elle pouvait voir dans le regard de la jeune femme de l’admiration. Cela lui faisait plaisir. Elle eut donc un petit sourire, se couchant sur le lit avant de ramper doucement vers la jeune femme, se plaçant à quelques centimètres d’elle. Elle la fixa droit dans les yeux. Avant de lui dire en se léchant ses lèvres.
- Tu n’es pas mal non plus. Le jour où tu auras confiance en toi, tu deviendras une vraie tombeuse. Mais pour l’instant.
Elle laissa sa phrase en suspend avant d’aller chercher les lèvres de son amantes, dévorant avec passion celle-ci. Elle repartie doucement dans un ballais de langue, se servant au passage de ses queues pour caresser les jambes de son amantes alors qu’elle libérait les deux délicieux monts de chaire emprisonnés dans le soutient gorge. Elle se débarrassa doucement de celui-ci, le posant sur une chaise trainant pas loin. Elle eut ensuite un petit sourire, avant de passer ses mains sur la poitrine de la jeune femme. Laissant doucement celle-ci prendre conscience de se que faisait sa main sur une zone érogène. Elle l’enleva ensuite caressant doucement le ventre de la jeune femme alors que sa queue continuait à passer doucement entre sur la jambe gauche de celle-ci. Elle eut un petit sourire, elle descendit doucement ses doigts, passant sur le nombril de la jeune femme qu’elle frôla, avant de s’arrêter sur la dernière pièce de tissue que portait encore la jeune princesse, il était temps d’être à égalité.
Elle éloigna subitement sa main, laissant la jeune femme comprendre que cela ne serait pas aussi facile. Au lieu de cela, elle se mit doucement à dévier, passant des lèvres au cou de la jeune femme, oui, elle mordillait doucement celle-ci, juste de quoi faire monter encore l’excitation dans le corps de la pauvre princesse et la rendre folle de désir.
-Alors belle princesse, comment trouve tu cette initiation, plaisante n’est ce pas ?
-
Aloysia sourit au compliment de sa maitresse. Elle n'avait pas la prétention d'un jour devenir aussi sensuel et sexy que la kitsune mais elle y travaillerais, rien que pour plaire à sa maitresse et qu'elle soit fière d'elle. La princesse répondit avec passion au nouveau baiser qu'elles échangeaient. La kitsune savait faire monter l'excitation de la jeune princesse, notamment grâce à ses queues qui sont d'une douceur incomparable sur ses cuisses. Les sentir aussi proche de son intimité, maintenant humide, faisait un peu plus monter le désir de l'esclave qui se décoinçait au fur et mesure.
La suite fut encore plus plaisante pour la jeune femme. Elle pût sentir la main de la kitsune caresser ses seins et les sensations que cela lui procuraient étaient vraiment délicieuse. Les joues d'Aloysia étaient légèrement rose d'excitation et de plaisir. Elle pût ensuite sentir la main de la jeune kitsune s'approcher de son intimité et crut tout d'abord que Sofia allait finir de la déshabiller mais elle s'arrêta et retira même sa main. Leur lèvres de séparèrent et elle pût sentir de petits mordillement au creux de son cou qui entretenait le désir qu'elle éprouvait pour sa maitresse.
- C'est incroyable... Mais ne vous arrêtez pas...
La kitsune pourrait entendre presque une supplication dans la voix de la princesse. Elle voulait continuer ce moment de douceur et de plaisir. Et maintenant qu'Aloysia était excitée, elle voulait aller au bout. Elle caressait pour l'instant le dos de sa maitresse avec douceur, ne sachant pas trop comment d'y prendre pour donner du plaisir comme le faisait si bien sa maitresse. Ses mains descendirent aux niveaux des cotes de la jeune femme et elle les caressa avec tendresse alors que ses lèvres cherchaient de nouveau celle de sa belle maitresse.
-
La kitsune avait un doux sourire, un sourire qui semblait dire que le calvaire de la jeune femme allait encore durer un petit moment avant qu’elle ne se décide à la délivrer de ce désir si ardent. Enfin, c’était ce qu’elle pensait car en réalité, la supplication de la jeune princesse changea rapidement ses projets, bon et bien ce n’était pas bien grave, elle aurait le temps de la faire languir une autre fois. Sofia laissa doucement ses mains redescendre sur le corps de son amante avant finalement de lui ôter le dernier rempart qui la protégeait de ses futurs assauts. Elle fit lentement glisser le vêtement, insistant pour que la jeune femme sente bien ses mains contre sa peau. Elle prenait son temps pour la déshabiller totalement, mais maintenant que cela était fait, les choses sérieuses pouvaient commencer. Elle eut un petit sourire avant de lui glisser à l’oreille entre deux mordillements.
- Maintenant, nous sommes sur un pied d’égalité ma jolie. [/color]
elle caressait doucement le ventre de la jeune femme désormais, remontant doucement sur sa poitrine. Le but était juste d’exciter encore un peu plus la jeune femme. De lui montrer qu’une femme fallait un homme dans le domaine du plaisir. Libre à elle ensuite de rechercher un jour, un preux chevalier ou une simple paysanne.
La kitsune embrassait les lèvres de la jeune demi néko, dévorant cette bouche qui lui plaisait temps. Elle se blottissait contre le corps de son esclave. Lui souriant doucement. Avant de descendre sa main sur son antre jambe. Frôlant doucement le pubis parfaitement galbe de la jolie princesse. Elle pouvait sentir d’ici que cette jolie créature ne tarderait pas à voir son liquide d’amour s’échapper de son antre pour son plus grand plaisir.
-Cela te plait ma belle.
Elle caressait maintenant avec finesse les grandes lèvres de la jeune femme, passant juste son doigt sur celle-ci, pour lui faire découvrir tous ce qu’elle avait loupé depuis ses dernières années. Si celle-ci n’avait jamais connu de plaisir, alors cette première fois sera inoubliable.
-
La maitresse enleva le morceau de tissu cachant son intimité et la lenteur de ce geste déclencha des frissons à la princesse. Elle était désormais complètement nue devant la jeune femme comme un peu plus tôt. Mais cette fois-ci, la suite des événements serait différente et très excitante. Aloysia sentait le corps nue et chaud de la kitsune contre le sien et ce contact ne la faisait que plus désirer Sofia. La main de la jeune femme s'égara sur son ventre et la princesse frissonna une nouvelle fois en sentant sa main si proche et pourtant si loin de son mont de vénus.
Finalement, les doigts de la jeune maitresse s'attardèrent sur son pubis et Aloysia ferma les yeux de plaisir, la respiration légèrement accélérée. Son corps répondait avec plaisir au caresses de la kitsune et toutes ces sensations physiques étaient nouvelles pour elle. Elle ne s'était jamais caressée et était donc complètement pure avant le début des caresses de sa maitresse.
- C'est si bon... Continuez maitresse, s'il vous plait...
Puis elle sentit un doigt de la jeune femme caresser ses grandes lèvres et un petit soupir de plaisir s'échappa de ses lèvres. Elle voulait plus de sensations... Mais la jeune femme s'en rendrait rapidement compte grâce à la cyprine qui s'écoulait de son sexe. Pendant ce temps, Aloysia caressait avec délicatesse le dos de son amante puis elle commença à s'occuper de la poitrine généreuse de sa maitresse, les malaxant avec douceur. Elle alla une nouvelle fois chercher les lèvres de son amante avec douceur, passion et tendresse... Elle s'attachait doucement mais sûrement à cette jeune femme qui ne la jugeait pas et qui lui faisait maintenant découvrir le plaisir charnel...
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La kitsune eut un petit sourire, elle laissa doucement la jeune princesse prendre possession de ses lèvres. Elle était surprise de voir que la jeune femme soit aussi réceptive à ses caresses, mais cela n’était pas pour lui déplaire au contraire. Elle voyait la jeune princesse respirer de plus en plus rapidement, ce qui voulait dire que l’excitation était plus en plus présente dans l’esprit de la jeune femme et cela pouvait se voir. Son sexe était maintenant légèrement humide. Ce n’était pas encore très visible, mais il suffisait que la jeune kitsune passe son doigt sur les lèvres de la jeune princesse pour récolter son jus d’amour. Elle porta doucement se dit doigt à sa bouche, se délectant de ce qu’elle était entrain de faire. La cyprine de la jeune princesse était relativement bonne mais le meilleur était la réaction qu’aurait doucement la jeune princesse à cette provocation.
Elle se lécha doucement les lèvres avant de dire à la jeune femme.
-Hum, en plus d’être belle, tu as bon gout. Mais ne t’en fais pas belle princesse, je ne vais pas te laisser comme cela ma jolie.
Elle eut un petit sourire, les caresses que la princesse infligeait à la jeune kitsune réveillait doucement ses envies de luxure. Elle caressait maintenant avec plus d’insistance les lèvres intimes de la jeune femme. Laissant doucement ses doigts entrer dans l’antre intime de la jeune femme. Prenant bien garde à ne pas briser le symbole de pureté de la jeune femme. Elle caressait doucement l’intérieur des lèvres de la jeune femme. Elle caressait doucement et avec tendresse la peau de la jeune femme. Elle tira finalement ses deux doigts avant d’aller caresser le petit bouton de plaisir de la jeune femme, ses doigts étaient suffisamment humide pour ne pas faire de mal à la jeune femme.
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Alors que la maitresse caressait ses lèvres intimes, Aloysia se laissaait littéralement happée par le plaisir que la jeune femme lui procurait grâce à ses doigts expérimentés. Elle fermait de temps à autres les yeux, appréciant les frottement excercé par la kitsune sur son sexe. Elle n'arrêtait pas ses caresses pour autant et continuait de s'attaquer à sa poitrine. Alors qu'elle continuait de malaxer un des seins de sa maitresse, elle prit le téton de l'autre entre deux doigts et commença à le titiller avec douceur. Elle n'était que débutante dans l'art du plaisir mais espérait pouvoir lui donner un peu de ce qu'elle recevait. Elle vit alors sa maitresse porter ses doigts à sa bouche, goutant à son jus de plaisir et ses yeux s'écarquillèrent un peu et elle rougit. Sa maitresse la rassura et lui dit qu'elle avait bon goût. Ce geste lui avait paru bizarre mais vraiment excitant.
- Merci, maitresse...
Mais déjà les doigts agiles de la jeune femme retournèrent s'occuper de son entrejambe et lorsqu'elle sentit les doigts caresser son antre, un long frisson lui parcoura l'échine et un gémissement se fit entendre. Elle sentait que sa maitresse faisait attention à ne pas briser son hymen et elle regretta presque de ne pas sentir les doigts de la jeune femme aller profondément en elle. Mais une autre zone attira l'attention de la jeune femme et elle lâcha quelques gémissements plus sonores que les précédents. Elle ne savait pas vraiment comment sa maitresse s'y prenait pour lui donner autant de plaisir. Les mains de la princesse continuait de s'activer sur le corps de la kitsune mais ses gestes étaient de plus en plus passionnés et elle pétrissait avec plus d'envie et de force la belle poitrine de la jeune femme.
Son corps étaient complètement à la merci de sa maitresse et elle aimait cela. Se faire dominer étaientdès plus excitant pour la jeune princesse qui avait eu l'habitude de commander et d'imposer ses choix aux sujet du Royaume.
Elle lâcha un des seins de la belle jeune femme et descendit une de ses mains au niveau de ses fesses pour les caresser. Elle embrassa alors langoureusement sa maitresse, caressant sa langue de la sienne et jouant avec elle. Un des doigt innocent de la jeune femme passa sur l'anus de de sa maitresse puis se mit à le caresser avec douceur. Elle était dans l'improvisation totale et n'avait aucune idée de ce qu'elle faisait. Cette main, au bout de quelques minutes, alla se balader sur le pubis de la jeune femme et elle caressa ensuite les lèvres intimes de la kitsune. Elle pouvait sentir de la mouille s'étalée sur ses doigts et elle fit comme sa maitresse précédemment et les porta à ses lèvres pour les lécher.
- Vous aussi avez...bon goût.
Aloysia sourit un peu gênée par le geste qu'elle avait reproduit sans réfléchir et sa main retouna s'occuper de l'intimité de sa maitresse.
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La jeune kitsune voyait doucement l’excitation monter dans le corps de sa jeune esclave, en effet celle-ci était de plus en plus mouillée, et ses gestes se faisaient de plus en plus emprunt de plaisir et d’envie. Elle était moins timide et commençait même à se laisser aller, en effet la jeune princesse caressait maintenant sa poitrine sans aucune retenue. Hum, comme c’était bon, oui, cette jeune créature était sacrément douée. Elle fut brutalement sortie de ses pensées par un doigt qui semblait s’être écarté de la route normale et frôlait maintenant son entrée secrète. Hum, c’était bon, elle avait année après année appris à aimer chaqu’une des caresses, et même ci cet endroit si n’était clairement pas ses préférées, elle aimait quand même cela.
La jeune princesse s’attaqua ensuite à son intimité, reproduisant ensuite le geste que la jeune renarde venait de faire. Le geste n’était certe pas encore très sur et elle rougissait doucement, mais elle était entrain de se décoincer de plus en plus. Elle l’embrassa langoureusement, retrouvant légèrement le gout de sa propre intimité dans se baiser. Puis lui dit doucement.
-Tu sais que tu as fait quelque chose de très mal. Touché à mon petit trou, cela ne se fait absolument pas. Je devrais même te faire décapiter. Mais je me contenterais de te punir comme il se doit. A partir de maintenant. Tu as interdiction de me toucher.
La jeune hybride récupéra doucement son ruban, attachant doucement les bras de la jeune femme à la tête du lit. Elle ne pouvait ainsi que subir les traitements que la maitresse allait lui infliger. Elle caressa doucement sa poitrine, griffant doucement les pointes totalement érigée de la jeune femme. Elle eut un petit sourire, la pauvre princesse ne pouvait rien faire, et le pire c’était qu’apparemment, elle semblait en redemander. La Kitsune s’arrêta cependant avant de lui dire doucement.
- On dirait que tu aime cela petite princesse. Je ne pensais pourtant pas que tu serais adapte de ce genre de chose. Mais c’est mieux comme cela. Il faut mieux que ton initiation se fasse dans le plaisir. Mais cela sera long. Il faut que tu comprennes ce qu’est une punition non ?
Elle reprit doucement ses caresses. Retournant doucement frôler les lèvres de la jeune princesse. Avant de prendre en main le petit bouton de plaisir de la jolie princesse. Celle-ci se tortille, tentant tant bien que mal de résister à ces caresses. Mais non, elle ne pourra pas. Elle ne pourra pas se soustraire à cela. Mais au fond, le voulait elle, non sans doute, non. Car le plaisir commençait maintenant à être de plus en plus présent. La jeune princesse aurait put avoir son orgasme maintenant. Mais non, la kitsune laissa durer le plaisir. Elle s’arrêtait à chaque fois, laissant quelques minutes à la jolie créature pour reprendre ses esprits avant de recommencer encore ses caresses. Bref, elle n’allait pas la laisser venir tous de suite. Mais cela viendrait, cela viendrait vite même.
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Aloysia plissa son front d’inquiétude en entendant les propos de sa maitresse. Elle ne l’avait pas fait exprès à la base mais avait insisté à cet endroit en imaginant que cette zone était elle aussi érogène… Elle faillit s’excuser mais s’arrêta net lorsqu’elle comprit à quoi serviraient les rubans. Elle se laissa faire, ne mettant pas vraiment de bonne volonté pour se soustraire aux bons soins de Sofia. Qu’elle le veuille ou non, cela l’excitait.
Son dos se cambra légèrement en sentant les griffes de la kitsune sur ses pointes durcis. Elle ne pouvait plus caresser sa maitresse et cela l’embêtait un peu de ne pas pouvoir lui donner du plaisir. Si on lui avait décris la scène alors qu’elle vivait encore dans son château, elle ne l’aurait pas cru et ne se serait pas laisser faire. Elle se serait débattu et aurait tout fait pour garder son honneur et sa fierté. Car être attaché démontrait que la kitsune pouvait absolument tout lui faire…et elle adorait cela.
- Punissez-moi, maitresse…
Elle sentit ensuite sa belle maitresse s’occuper une fois de plus à la zone si sensible de son intimité qui a le don de lui arracher des gémissements in-contrôler. La princesse tente vainement d’échapper aux doigts agiles de la jeune femme mais ses mouvements deviennent de moins en moins énergiques et tout doucement elle se laisse envahir par le plaisir qu’elle lui procure. Le plaisir se faisait de plus en plus présent et elle le sentait monté en elle puis redescendre. Sa maitresse contrôlait habilement son plaisir et ne la laissait pas atteindre la délivrance que l’orgasme lui donnerait. Son corps se couvrait de sueur et ses cheveux commençaient à coller dans son cou et sur son front. Elle gémissait désormais de plaisir sans retenu et son corps ondulait sous les sensations de plaisir qui l’envahissait.
- Encore…
Aloysia avait sans vraiment le vouloir utiliser le ton princier qu'elle employait lorsqu'elle donnait des ordres. Mais elle avait l’impression qu’elle allait devenir folle de plaisir mais pour rien au monde, elle ne souhaiterait que cela s’arrête. Chaque fois que sa maitresse s’arrêtait pour ne pas qu’elle jouisse, elle suppliait, chose qu’elle n’avait pas vraiment l’habitude, et bougeait ses hanches pour que la kitsune accède à sa demande mais rien y faisait. Elle ne sut combien de fois elle crut atteindre le point culminant… Aloysia ne désirait plus qu’une chose, jouir…
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Croire que la maitresse allait faire preuve de clémence envers la jeune princesse était une chose totalement folle, non, elle allait être comme d’habitude, sans pitié. La kitsune avait rarement recourt à la violence, elle haïssait cela, non ses punitions étaient bien plus fine, bien plus plaisante aussi à voir le visage de la jeune femme et sa demande d’être punit. Elle savait donc qu’elle était en faute et acceptait cela, la kitsune eut un petit sourire, voyant que finalement la jeune princesse ne semblait pas se plaindre de sa position.
La jeune kitsune l’observait, elle pouvait voir que la résistance dont faisait preuve la jeune femme diminué lentement mais surement. La kitsune l’aurait surement laissé atteindre le septième ciel, si elle n’avait pas fait une petite idiotie, en effet le ton de la voix de la jeune princesse était trop directe pour une punition. Sofia n’avait donc pas apprécié cela, et prolongerait encore sa punition et y rajouterais un petit supplice. Elle se retira de l’antre de la jeune femme, la regardant de haut, avant de soulever doucement ses jambes d’une main, sans violence et déposa sur ce fessier si ferme une petite tape, juste de quoi réchauffer la peau de la jeune femme et lui faire comprendre qui était la maitresse ici. Elle lui fit un petit sourire et lui dit doucement.
-Cela c’est pour avoir cru que tu pouvais me dire ce que je devais faire. C’est une punition que tu subit pas un amusement. Mais il me semble que tu aime ce genre de situation ?
Elle avait un petit sourire, le plaisir que prenait la jeune princesse n’était absolument pas discret et les traces de ce plaisir se rependaient doucement sur les draps. La jeune princesse aurait sans doute besoin d’une bonne douche, mais elle était mignonne comme cela. Très mignonne même, ce qui permit à la jeune princesse esclave de voir sa peine s’alléger, elle n’allait pas toucher le septième encore, mais d’ici une ou deux minutes, certes, cela serait une éternité sans doute pour la jeune princesse attachée.
Elle reprit enfin ses caresses, sa bouche descendant du nombril de la jeune femme jusqu’à son rubis. Voila, l’heure était venue pour la jeune princesse de connaitre ce que la jeune princesse n’avait encore jamais connue.
Elle jouait doucement avec ce petit bouton de chaire, le caressant de sa langue experte, frottant celle-ci contre le petit organe. Elle pouvait sentir le corps de la jeune femme frémir à chaqu’une de ses caresses, jusqu’à ce que celui-ci se tend, preuve du grand final. La petite princesse venait de connaitre sa première jouissance. La kitsune ne la détacha pas encore, mais vient doucement contre elle, caressant le visage de la jeune princesse le temps que celle-ci reprenne doucement pied. Peut être qu’elle en voudrait plus, mais ce n’était pour l’instant pas au programme, la kitsune voulait savoir ce que sa nouvelle servante avait pensé de cette expérience.
-Alors, est ce que tu as retenue de cette punition petite princesse, est ce que tu l’estime juste, ou bien dois je trouver une nouvelle manière de te punir.
Elle lui fit un petit clin d’œil et embrassa doucement la petite princesse, la punition était fini, alors elle pouvait embrasser la demoiselle. Celle-ci devait avoir compris.
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Aloysia poussa un gémissement frustré alors que la kitsune se retirait de son intimité. Elle la regardait les yeux suppliant de continuer, et ne comprit pas tout de suite ce qu’il se passait. Sa maitresse lui souleva les jambes et lui donna une tape sur les fesses. La princesse ne comprit pas tout de suite le pourquoi de ce geste mais s’ensuivit ensuite l’explication de sa maitresse. Elle arqua un de ses jolis sourcils blond. On n’avait jamais oser porter la main sur elle avant et elle comprit enfin l’étendue du pouvoir que Sofia possédait sur elle. Jusqu’ici, ceci lui paraissait assez fictif et comme un jeux de rôle. Si ceci s’était passé alors qu’elle était dans son royaume, le roi aurait fait couper la tête de celui-qui avait oser porter la main sur sa fille. Et Aloysia n’avait pas du tout aimé ce geste et ne put s’empêcher de fusiller du regard la kitsune. Son corps lui ne s’était pas soucié de cela et avait réagit tout autrement. Elle en mouillait plus abondamment.
Finalement la belle jeune femme repartit à l’attaque de son corps et elle reprit ses caresses linguale là où elle s’était arrêtée. Aloysia tirait sur ses liens alors que son corps tremblait d’excitation et de plaisir. Ses hanches ondulait sous les caresses de la langue de la jeune femme. Elle sentit une nouvelle fois le plaisir monter en elle et elle poussait des gémissements de plus en plus audible et emprunt de plaisir. Finalement tout son corps se tendit alors que ses yeux se fermèrent sous le puissant orgasme longtemps refoulé. Puis ce plaisir redescendit, la laissant haletante.
Elle ne répondit pas tout de suite à la question de sa maitresse mais répondit d’abord au baiser qu’elle lui donnait puis c’est avec un petit sourie malicieux qu’elle prit la parole.
- Une punition ? Alors vous avez de drôle de punition car je n’en ai jamais eu d’aussi agréable…
Elle disait vrai. Lorsqu’elle était punie, généralement sa gouvernante l’obligeait à lire un livre entier sur les théorie politique et devait en faire un résumer d’une bonne dizaine de page. Et ça, c’était une vrai torture pour Aloysia qui préférait aller dehors rejoindre ses cousins. Alors là, elle ne voyait aucun côté désagréable , elle n’avait ressentit que du plaisir. Un peu de frustration, certes, mais ceci était vite balayé par l’orgasme qu’elle avait eue ensuite.
- Vous pouvez me détacher maintenant ?
Aloysia était de plus en plus à l’aise avec sa maitresse et sa timidité laissait place à son caractère plus affirmer. Elle ne pouvait pas changer du tout au tout non plus. Elle était habituer à mener tout le monde à la baguette et tout le monde lui obéissait aux doigts et à l’œil. Par moment son caractère une peu autoritaire ressortait… Trop peut-être ?
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La kitsune avait vu le regard noir que lui avait jeter la jeune princesse, mais il fallait qu’elle comprenne une chose, elle ne pouvait plus avoir le même comportement qu’avant. Elle devrait prendre le temps de lui expliquer mais la jeune princesse le comprendrait sans doute petit à petit. Elle eut un petit sourire, en voyant que celle-ci lui demandait si elle pouvait être détachée. Ce n’était pas à elle de décidait cela. Elle lui caressa doucement le bout du nez, et passa une de ses queues sur la cuisse de la jeune femme, lui disant doucement.
- Ce n’est pas à toi jeune femme de décidé si tu peux être détaché ou non, mais… Hum, je me sens d’humeur généreuse, on va donc dire que tu seras libre dans quelques instants. Pour l’instant… écoute moi bien attentivement.
Le regard de la jeune kitsune n’était plus vraiment le même, il était dur, froid. Un peu comme quand la jeune kitsune passait en mode assassin. Autant dire que la jeune femme pouvait faire peur. Pourtant, elle conservait une forme de beauté, une beauté froide et dangereuse. Elle caressa sa main d’un geste relativement rassurant. Et lui dit doucement.
- Petite princesse, fait attention, tu dois toujours te rappeler une chose. N’oublie pas qui je suis, et n’oublie pas que même si je ne suis pas quelqu’un de méchant, tu ne dois pas oublier que je reste une prédatrice. Tu es jolie, intelligente, et une bonne amante mais n’oublie jamais que ceux qui m’ont donné des ordres ont toujours mal fini.
La kitsune eut un petit sourire, déposa un petit baiser sur les lèvres de la jeune créature, avant de la détacher finalement. Ce simple avertissement n’avait pas pour but de traumatiser la princesse, juste de la mettre en garde. Elle s’en serait voulu si la jeune femme venait à se mettre dans une situation peu enviable à cause du caractère de sa maitresse. Elle eut un petit sourire, avant de détaché lentement la jeune femme tant que ses longues queues continuaient à caresser ce ventre si désirable.
-Je suis contente que cette expérience t’ait plut petite princesse, car il est possible que nous recommençons de temps en temps. Si tu le veux.
Elle passa doucement une de longues queues de fourrure sous le nez de la jeune femme avant de faire quelques pas en balançant doucement des hanches.
-Si tu veux prendre une douche, viens, me rejoindre…
Elle avait un petit sourire. Peut être que la jeune femme avait envie de continuer ses découvertes, ou juste de se rafraichir un peu. Le reste dépendrait d’elle. En attendant, elle, elle laissa doucement coulait l’eau, chaude dans une petite baignoire toute juste assez grande pour deux jeunes personnes. Ce n’était pas très grand, mais qu’importe.
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La réprimande de la kitsune fit sourire la princesse. Elle aurait en effet beaucoup de mal à cacher son petit côté autoritaire qui pouvait ressortir quelques fois. Aloysia avait été conditionnée ainsi. Elle avait aussi beaucoup de fierté mais en la prenant par la douceur, on pouvait presque tout en faire. Elle ne réagit pas lorsque Sofia lui donna un petit baiser car elle était un peu vexée de se faire ainsi remettre à sa place. Car plus elle connaissait la kitsune, plus elle prenait son aise. Ce qui n'avait pas vraiment plus à cette dernière. Aloysia frotta ses poignets après avoir été détachée, elle avait tiré sur la corde et ceux-ci étaient légèrement échauffés.
La princesse laissait la douce queue de sa maîtresse caresser, ne répondant pas pour l'instant à la remarque de sa maîtresse. Elle la vit se lever et se diriger dans la salle de bain puis elle lui proposa de la rejoindre. Aloysia avait en effet besoin de prendre un bon bain aprés leur activité. Elle se leva donc et alla rejoindre sa maîtresse qui se trouvait déjà dans la baignoire. Sans attendre, Aloysia s'immergea dans l'eau et s'assit en face de la kitsune. Elle était toujours un peu vexée mais elle se détendait grâce à l'eau chaude. Elle ne regardait pas la jeune femme en face, boudant presque comme une enfant. Finalement, elle brisa le silence qui s'était instaurée entre elle deux.
- Je représente quoi pour vous ? Et surtout qu'attendez vous de moi ?
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La kitsune la regarda tranquillement, apparemment la princesse n’aimait pas se faire dominer comme cela. Pourtant, sa position l’obligerait tôt ou tard à apprendre qu’elle ne pouvait plus jouer à la dominante, il lui faudrait sans doute du temps. Mais cela viendrait, de toute façon la jeune princesse n’avait pas vraiment le choix. Il lui faudrait faire des efforts.
La kitsune réfléchi quelques instants avant de répondre à la question de la demoiselle. Elle n’y avait pas réfléchi, sans doute comme une maitresse envers sa servante ? Pourquoi ? Qu’attendait-elle ? Que la kitsune tombe amoureuse ? Elle n’avait pas de cœur, et cela tout le monde le savait. Son cœur se résumé à un bloc de glace plus froid encore que le zéro absolue. Comme tout bon assassin. Il ne fallait rien attendre d’autre d’elle. Elle avait toujours était parfaitement claire sur cela.
Ce qu’elle attendait d’elle. Et bien, tout simplement ce qu’une servante normale devait faire. S’occuper de la maison, s’occuper d’elle, et rien de plus. Des tâches à la porté de la première venue en somme. Elle lui répondit donc, tranquillement, d’une voix calme et posée.
-Qu’est ce que tu représentes ? Hum… Je dirais une servante. C’est tout, après j’avoue avoir aimée le moment que nous avons passée toutes les deux. Mais c’est tout. Je n’ai pas besoin d’amie. Je n’ai besoin de personne. J’ai toujours été seule, et je le resterais toujours, Point final. Maintenant qu’est ce que j’attends de toi. La, c’est une bonne question… Je dirais ce que l’on peut attendre d’une servante, c'est-à-dire un peu de ménage de temps en temps, un peu de cuisine. Des choses banales finalement. Pourquoi ? Tu trouve cela étrange que je te demande cela ? Ou bien tu t’attendais à autre chose de ma part ?
Elle la regardait tranquillement, s’enfonça avec plaisir dans l’eau chaude. Elle en avait besoin. Oui, cela la déranger de n’avoir pas tué la jeune femme. Voila peut être pourquoi elle était plus dure que d’habitude. Elle n’avait jamais eut besoin de construire une relation durable, et c’était peut être cela qui la faisait réagir comme cela. Elle avait peur. Peur de ne pas pouvoir se contrôler. C’était bête à dire, mais la kitsune commençait à s’en rendre compte.
-
La princesse se cala en face de sa maîtresse, les yeux dans le vague. Aloysia ne savait pas ce qu’elle attendait de la réponse de Sofia mais elle ne fut en aucun cas surprise par celle que la kitsune lui délivra. Alors comme cela, elle ne voulait qu’une servante… Pleins de questions subsistait dans l’esprit de la jeune femme mais elle ne savait pas par quoi commencer. Par contre, les questions de la kitsune restèrent sans réponse car la princesse s’immergea complètement dans l’eau avant de ressortir la tête. Ses long cheveux blond était maintenant plaqué sur sa tête et ses yeux étaient braqué sur ceux de sa maîtresse. Elle prit finalement la parole mais sans prendre la peine de répondre aux précédentes questions de la kitsune. Encore un moyen de montrer sa rébellion.
- Vous mentez.
Deux mots. Une vérité. Pour Aloysia, personne ne pouvait s’endurcir au point de ne pas apprécier la compagnie de quelqu’un, de ne pas avoir besoin de se reposer sur un ami, ou de ne pas être capable de ressentir de sentiment. Mais la jeune princesse ne précisa pas sa pensée, elle était persuadé que sa maîtresse comprendrait le sens de ces deux mots. La jeune femme avait peut être vécu toute sa vie dans un véritable cocon, elle savait que l’être humain ne pouvais pas vivre seul.
Elle ré-analysa les paroles de la kitsune et quelque chose la frappa. Aloysia avait l’impression de se prendre un mur. Son visage se ferma et elle se leva, ne supportant pas de rester plus longtemps en compagnie de la kitsune. Elle sortit du bain et pris une serviette qu’elle enroula négligemment autour de sa poitrine. Aloysia planta son regard dans celui de sa maîtresse.
- Je viens de réaliser que j’es été bien sotte. Je viens seulement de comprendre que j’ai donné ma première fois à une personne qui ne me considère que comme sa servante.
Aloysia se dirigea vers la porte l’ouvrit et jeta un dernier regard par-dessus son épaule.
- J’ai besoin de me calmer.
Puis elle referma violemment la porte et se retrouva dans le couloir. Elle ne savait pas où aller pour être tranquille. Elle alla alors au fond du couloirs où se trouvait un petit escalier et elle le monta quatre à quatre sans faire trop de bruit car elle ne voulait pas que la kitsune devine où elle se cache.
Elle ouvrit la prote qui se trouvait au sommet de l’escalier et déboucha sur ce qui devait être une sorte de grenier. Elle ne fit même pas attention aux objet entreposé mais donna un coup de pie puéril dans un carton. De la poussière s’éleva et Aloysia toussa. Elle n’arrivait plus à accepter de passer du statut princesse à simple servante. Elle avait été bien gentille et docile depuis le début mais c’était plus qu’elle ne pouvait en supporter. Elle alla s’asseoir dans un coin de la pièce, replia ses jambes et posa sa tête sur ses genoux.
Des larmes coulaient sur ses joues. Elle ne voulait pas que la kitsune viennent et la voit dans cet état là. Sa fierté en prendrait un coup et Aloysia risquerait de s’énerver, ce qui ne lui était jamais arriver, enfin si une fois. Elle avait fais peur à ses amis devant ce changement d’attitude, elle était devenue froide et presque violente. Mais elle avait eu ses raisons. Aloysia connaissait maintenant mieux sa maîtresse et savait qu’elle ne pourrait jamais rien attendre d’elle. Il allait falloir qu’elle l’accepte et fasse avec.
Les nerfs redescendait doucement et sa respiration se calmait mais elle ne se sentait pas prête à redescendre et se retrouver en face de la kitsune. Elle se rappela des conseils de son père pour qu’elle devienne une grande reine. Elle devait savoir cacher ses émotions, comme au poker disait sa mère. Jeu humain que sa mère avait tenté de lui expliquer. Elle retrouva le sourire en voyant le visage de ceux qu’elle aimait et se leva. Elle se dirigea vers la porte, prit une grande inspiration puis l’ouvrit. Alosyia arborait désormais un visage neutre qui ne trahissait aucune émotion. Mais ses yeux la trahissait et étaient légèrement rougis. Elle descendit les marches sans un bruit, ne sachant pas où se trouvait la kitsune car elle n’avait aucune idée du temps qu’elle avait passée seule dans le grenier. Elle h ésitait, la princesse ne savait pas où aller. Elle regarda sa tenue et s’aperçut qu’elle était encore en serviette, il allait falloir de toute évidence qu’elle aille dans la chambre se trouver une tenue plus décente. Elle prit alors une démarche assurée et elle ouvrit la porte qui donnait sur la chambre de la kitsune sans prendre la peine de frapper.
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La kitsune se contenta d’un petit soupire en voyant la réaction de la jeune femme, elle avait sans doute était trop loin, mais d’un autre coté, cette gamine devait comprendre que non, cela n’était pas un jeu, qu’elle n’était pas la pour être sa bonne copine. Elle la laissa donc partir, sachant que dans son état, elle ne pourrait sans doute rien lui dire.
La kitsune en profita pour aller dans son coin à elle. L’endroit ou elle stocker ses armes. Elle prit longtemps pour aiguiser parfaitement chaqu’un de ses couteaux. Ils lui ressemblaient, finalement, aussi tranchant et dangereux. Enfin, elle avait maintenant fini avec cela, retourna dans le salon pour réfléchir aux paroles de la jeune femme. Mentir, elle non… Non, elle ne n’avait plus aucun remord, plus aucune pitié… Toutes formes d’attachements étaient impossibles, car représentant une menace. Un moyen de pression possible sur elle. Alors pourquoi… Pourquoi, avait elle eut un pincement au cœur en voyant les larmes de cette fille ? Hum… Elle se leva, prit son couteau, et le lança directement dans la panière à fruit ou celui-ci stoppa sa course dans une pomme rouge. Ce geste était inutile, mais cela lui évita de lancer cette arme autre part.
Elle reprit donc sa place sur son lit, s’asseyant tranquillement. Finalement la jeune princesse se décida enfin à la rejoindre. La kitsune ne dit rien, se contentant d’observer son visage. Elle avait pleuré, pourtant elle l’essayait de le cacher. Mais il était impossible pour la kitsune de louper ce détail. C’était son rôle, toujours vigilante, toujours sur ses gardes. Elle devait être capable de déceler la moindre faiblesse et pouvoir s’en servir. Pourtant, cela ne serait pas le cas cette fois si.
Elle se contenta de dire tranquillement à la jeune femme.
-Viens t’assoir. J’ai quelque chose d’important à te dire.
Le ton de sa voix était certes dur, mais il n’y avait aucune animosité, aucune colère. Non, la kitsune était bien au dessus de cela. Elle se contenta juste de regarder la jeune princesse droit dans les yeux. Ne lui laissant finalement pas le choix. Elle devait lui parler et elle ne le ferrait que lorsqu’elle serait assise.
- Bien, tu peux me haïr, me détester de t’avoir prit ta première fois, a vrai dire je le mérite bien et cela me rendrait la vie plus facile. Mais comprends une chose. Honnêtement je t’aime bien. La preuve en est que tu es toujours en vie alors que nous avons fais l’amour ensemble. Tu es la seule à être encore en vie, car c’est la ou je suis faible. T’apprécier, ce serait te mettre en danger, tu serais la cible de tous ceux qui me veulent du mal, et il y a de quoi faire. De plus, je ne suis pas fait pour aimer. La mort est sur mes mains et si je ne suis pas folle aujourd’hui, c’est parce que je ne ressens pas la peine, la douleur et tous le reste… Ma vie est ce qu’elle est et il est bien mieux pour tout le monde que je reste seule. Maintenant, part si tu veux, je te trouverais un endroit tranquille ou tu trouveras un prince charmant mais c’est tout ce que je peux faire…
La kitsune était claire, elle ne pouvait plus aimer… Que se soit juste par amitié ou plus et puis qui voudrait-elle ? Qui voudrait d’un monstre dont le métier est de tuer les autres hommes ?
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La kitsune l’attendait patiemment assise sur son lit et elle la dévisagea quand elle entra dans la pièce. A l’évidence, elle ne paraissait pas avoir été ennuyé par le comportement de son esclave et Aloysia savait alors qu’elle ne serait pas punis pour ce qu’elle avait fais ou dis. Sa Maîtresse lui demanda de venir s’asseoir même si cela sonnait plus comme un ordre. Aloysia s’avança d’un pas léger, le regard braquer sur celui de Sofia. Ses yeux bleu laissait deviner la colère sourde que la princesse tentait de réprimer. Elle s’assit silencieusement à environ 1 mètre de la jeune femme et attendit que sa Maîtresse prennent la parole.
- Bien, tu peux me haïr, me détester de t’avoir prit ta première fois, a vrai dire je le mérite bien et cela me rendrait la vie plus facile. Mais comprends une chose. Honnêtement je t’aime bien. La preuve en est que tu es toujours en vie alors que nous avons fais l’amour ensemble. Tu es la seule à être encore en vie, car c’est la ou je suis faible. T’apprécier, ce serait te mettre en danger, tu serais la cible de tous ceux qui me veulent du mal, et il y a de quoi faire. De plus, je ne suis pas fait pour aimer. La mort est sur mes mains et si je ne suis pas folle aujourd’hui, c’est parce que je ne ressens pas la peine, la douleur et tous le reste… Ma vie est ce qu’elle est et il est bien mieux pour tout le monde que je reste seule. Maintenant, part si tu veux, je te trouverais un endroit tranquille ou tu trouveras un prince charmant mais c’est tout ce que je peux faire…
Aloysia avait les lèvres pincés, attentive au moindres mots de la jeune femme. Alors comme ça, Sofia l’appréciait. Pour la princesse, ce n’était pas suffisant mais elle préférait le garder pour elle. Aloysia avait trouvé depuis longtemps la solution à leur problème et Sofia l’avait justement souligné. Elle prit une inspiration et parla d’une voix dénué de toutes émotions.
- J’ai la solution à notre problème. J’y ai réfléchis et je pense que c’est ce qui a de mieux à faire. Vous ne voulez pas vous encombrer avec des sentiments, moi non plus.
Aloysia fit une pause, réfléchissant au comment annoncer sa solution qui serait sans aucun doute radical.
- Je ne partirais pas. Mais traitez moi réellement comme une esclave. C’est la seule façon pour nous deux de nous en sortir et de peut être trouver un équilibre. Si vous ne voulez pas que je vous considère autrement que comme ma Maîtresse, il faut alors que vous adoptiez un autre comportement. Si ne vous êtes pas assez ferme, je n’aurais de cesse de remettre votre autorité en jeux et je tenterais forcément de prendre le dessus. Ce que vous ne voulez surement pas, je suppose.
Aloysia savait qu’elle tendait le bâton pour se faire battre mais c’est ce qu’elle attendait. Elle ne voulait plus penser aux sentiments qui l’habitaient concernant sa Maîtresse. Maintenant c’était à Sofia de se décider. Mais elle avait peur que cette dernière refuse, depuis le début elle la traitait avec tendresse et elle la voyait mal changer de comportement. Mais on peut toujours avoir des surprises…
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La kitsune fut intriguée lorsque l’ancienne princesse lui expliqua qu’elle avait la solution à leurs problèmes. Cependant sa réponse ne tira qu’un seul et unique sourire à la maitresse des lieux. Elle savait que cette jeune femme était sérieuse, mais la solution qu’elle proposait était tout simplement une folie. Demander à ce qu’on la traite vraiment comme une esclave. Il fallait être fou pour dire cela, ou alors la jeune femme avait sans doute reçut un mauvais coup sur la tête.
Elle s’approcha, juste d’un pas avant de répondre à cette jeune femme.
-Tu te rends compte de ce que tu me demande j’espère ? Tu veux vraiment être traitée comme une esclave… Hum, je ne crois pas que tu comprennes ce que cela veut dire. Tu seras un objet, tu sais ce que cela veut dire ? Honnêtement je ne le pense pas, sinon tu ne me dirais pas cela. Mais si tu veux vraiment être traitée comme cela, alors ce ne sera pas par moi.
Contrairement à cette jeune princesse, Sofia elle savait ce que cela voulait dire être traité en objet. Cela faisait déjà des années et des années qu’elles étaient obligées de satisfaire des dizaines de clients avec des pratiques au combien dégradantes. Alors non, elle ne traiterait personne en objet. Elle eut cependant un petit sourire en réfléchissant aux paroles de la jeune femme…
Hum… Non, elle devait se faire des idées. Encore que, la manière la plus simple de savoir à coup sur était encore de lui demander. Après tout, qui sait, elle aurait peut être des surprises.
- Tu penses pouvoir prendre le dessus sur moi ? J’attends de voir cela princesse… J’attends de voir cela. De toute manière, comment pourrais-tu me voir ? Après tout, je ne suis qu’une simple hybride. Je ne suis pas un homme. Mais… Mais peut être que c’est cela qui te plait ? Après tout, tu as peut être le Bégin pour moi ? Ce qui expliquerait pourquoi tu veux que je sois sévère avec toi. Ou alors tu aimes cela te faire traité comme un objet ?
Sofia se contenta d’ un petit sourire, de la réaction de la jeune femme dépendrait la suite des événements, cependant elle ne se faisait pas d’illusion. Il était probable, sur même que cette jeune princesse soit tombé sous son charme. Et honnêtement, cela serait sans doute réciproque pour la Kitsune d’ici quelques temps. Car malgré son caractère, cette jeune princesse était une perle rare. Enfin, d’après elle.
-J’ai vu juste hein ? Tu aimerais que je sois autres choses que ta maitresse. Et à vrai dire, c’est peut être possible.
En effet la kitsune avait elle aussi réfléchi à la manière de se sortir de cette histoire. Cependant il faudrait sans doute que la jeune demi néko y mette un peu du sien, mais c’était sans doute la meilleur solution que Sofia pouvait lui proposer.
-Il existe une autre solution. Cependant, cela demandera des efforts de notre part à toutes les deux. Plutôt que d’être réellement mon esclave. Nous pourrions faire semblant que tu le sois. Après tout, tant que nous sommes toutes les deux, cela n’est pas très important. Tu pourrais donc être une amie ici. Mais dehors être une esclave. C’est la seule alternative que je peux te proposer. Alors à toi de voir. Tu as quelques minutes pour y réfléchir et me dire ce que tu en penses. Rejoins-moi au salon quand tu auras fait ton choix.
La kitsune la laissa tranquille, elle sortie lui frôlant doucement les jambes avec ses longues queues. Après tout, elle restait tout de même Sofia. La Kitsune s’installa sur le canapé, attendant que la jeune princesse se décide à la rejoindre. Sofia l’avait prévenue, elle ne la traiterait pas comme une esclave. Donc, elle avait deux choix. Soit, elle acceptait le compromis de la renarde… Soit elle trouverait un autre endroit.