Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Klaus

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Les bas fonds / Re : Doux câlins pour un grand et gros héros [Klaus]
« le: lundi 18 janvier 2021, 21:51:26 »
De ce qu'il entendait, les gardes n'étaient pas beaucoup pour l'instant, mais comme toute mauvaise chose, il savait qu'ils seraient bientôt plus nombreux. Et le son de la corne qu'ils utilisèrent lui confirma bien cela, ne s'arrêtant pas de courir, prenant soin de bien tenir la petite personne aux oreilles pointues qu'il tenait sur l'épaule.

Dans le pire des cas, si cela devenait trop mouvementé pour elle, son dos, recouvert d’écaille bien plus épaisse que le reste du corps, en possédait même certaine formant comme des pics, pouvant facilement servir pour se maintenant à lui.

Le bruit du tintement de métal que produisait les gardes étaient assez facile à entendre, quelque soit la direction et Klaus avait bien appris à les reconnaître de tous les bruits que le petit peuple pouvaient faire. Il tournait dans certaines ruelles, faisait demi-tour à certains moments, faisait exprès de détruire certaines étale sur son passage pour brouiller les pistes.

Mais il n'avait pas l'air de lâcher l'affaire, continuant à en entendre non loin de lui. Il lui fallait continuer, il lui fallait trouver un endroit ou se cacher, que ce soit lui ou elle, et il savait le petit peuple endurant. Malheureusement, lui l'était en temps normal, mais la vie parmi eux était un défi pour lui, leu nourriture étant rarement assez conséquente pour lui surtout derrière leur cage en fer et la fatigue commençait à le gagner. Mais c'est alors qu'il fut surpris d'une sensation étrange, une sensation de force toute-puissante, d'un souffle puissance et cela devenait plus facile pour lui de courir, de se mouvoir et de respirer. Que ce passait-il ? Sobek ou Ankhti l'avaient-ils béni ? Approuvaient-ils sa fuite ou protégeaient-ils la petite personne qu'il portait ?

Il n'en savait rien, mais il était maintenant bien plus frais, reprenant une course effreiner, le corps dans une position plus fuselé et plus près du sol pour jouer de son poids et de son centre de graviter, ainsi que pour etre moins freiné par l'air.

C'est alors qu'il sentit une odeur qu'il avait déja rencontré, une odeur de monture, de plusieurs montures, tres forte. Une hutte à monture ! Il trouva l'idée de s'y cacher des plus pratique, car pour lui, il y aurait plus de place que dans une hutte de pierre de petite personne et il serait aussi un peu plus au chaud.

Il s'arrêta donc rapidement la où l'odeur le conduisit, prenant un tonneau qui trainait dans le coin de sa main libre, puis le jeta de toutes ces forces au loin dans une ruelle, produisant un grand son de bois explosant, cherchant de nouveau à brouiller les pistes.

Il s'introduit ensuite sans perdre de temps dans l'écurie, entendre dans une drole de piece rempli de paille, puis s'y accroupit le plus bas possible pour se dissimuler, gardant un regard attentif dehors. Mais il se souvint qu'il n'était pas seul et, dans un geste lent et délicat, vint posé sa main libre sur la petite personne sur son épaule, s'aidant de ses deux mains pour la reposer au sol avant de regarder de nouveau vers l'extérieur. Cette course-poursuite l'avait grandement amusé, son cœur battant à toute allure et, il se sentait même tres étrange, il se sentait très excité par cette situation, mais n'y réfléchissait pas plus que ça, préférant savourer le moment et faire attention au garde.


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Prélude / Re : Claudie Berry, la Mignonne Canidée
« le: dimanche 17 janvier 2021, 23:23:45 »
Bienvenue à toi et ravi de te revoir.

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Place publique / Re : Quel type d'esclave met-on en cage ? [PV Klaus]
« le: dimanche 17 janvier 2021, 19:10:02 »
Se retenir de réduit en charpie cette bande de petit peuple pathétique et sans honneur était un grand défi pour lui, le moindre son sortant de la bouche perfide de son adversaire, même incompris, lui donnait envie de la faire disparaître avec ses gardes.

Mais il y avait plus important que cela en jeu, la vie de la petite prêtresse, alors, quand il la vit passer près de lui, même à l'apogée de sa colère, il la regarda de haut en bas pour savoir si elle n'était pas bléssé, mais n'eut pas beaucoup de temps pour cela. Il comprit assez facilement, sans avoir à sentir leur cure-dent et autre venant chatouiller son dos, qu'il devait les suivre, un roulement lourd et bruyant, et des sifflements se faisant entendre tout le long de leur trajet.

Cela devait être une épreuve donnée par le grand Sobek, savoir frapper au bon moment, avec le risque de perdre une prêtresse s'il ne le faisait pas. Il se retrouva à apposer par la suite dans un grand bâtiment de pierres épaisse, la température descendant à l'intérieur et les lieux le forçant à se baisser et à se courber, se retrouvant ensuite de nouveau dans une cage.

La cracheuse de magie traîtresse de son peuple revenait le voir, tentant de l'impressionner, de montrer qui était le dominant dans la pièce, mais pour Klaus, se ne serait jamais elle et surtout pas dans l'état où elle était. Malgré la chaleur dégagée par sa magie sur les barreaux de sa cellule, il sentait le sang qui coulait, et surtout son état réel.

Le saurien la fixait du regard, ne bougeant pas d'un pouce, la colère toujours entièrement présente en lui, puis laissant un rire en infrason sortir de lui avant de se forcer à rire comme le petit peuple pour se moquer d'elle, un rire très rauque et très lourd.

Puis il l'entendit parler à la petite prêtresse, se demandant ce qu'elle lui voulait encore. Mais, quelques secondes après, il put la voir repartir, les laissant maintenant presque seul, quelques gardes restant là au cas où. Il entendit ensuite Alecto prononcer son nom et la regarda immédiatement, son regard s'adoucissant petit à petit, venant s'asseoir sur ses genoux près de la grille qui les séparait.

Le sang avait quelque peu coagulé sur le bord de sa gueule, et des marques noir se trouvait sur le bord de sa gueule, mais Klaus n'en avait rien a faire, la douleur était gérable pour lui. Il regarda de bas en haut la petite prêtresse, puis se mit à la sentir, cherchant à savoir si tout allait bien pour elle. Toujours beaucoup de peur, mais, pour le reste, elle avait l'air bien, ce qui le soulagea un peu.

Il avait cru comprendre qu'elle lui demandait s'il allait bien, et s'il ne se trompait pas, il voulait lui répondre, cela pourrait peut être faire en sorte que ses larmes arrêtent de couler.

" Ik .... ik ...."

Il ne trouvait pas le mot pour dire bien et soupira un instant avant de pointer son doigt sur son torse un de ses index, puis, vint frapper de ses deux poings ses pectoraux, laissant un son de tambour énorme résonner dans les geoles, souhaitant lui faire comprendre dans ce geste qu'il était en forme. Mais il voulait savoir lui aussi comment elle allait et, réfléchit un instant à comment cela se disait chez eux.

" Alecto ... est ce que ... ça va ? "

Il n'était pas du tout sure de ses mots et cela s'entendait bien.

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Place publique / Re : Quel type d'esclave met-on en cage ? [PV Klaus]
« le: dimanche 17 janvier 2021, 13:11:02 »
Klaus avait senti le métal craquer sous sa machoire, s'applatissant dans sa gueule continuant d'appuyer pour entendre le son des os qui craque, mais dut relacher sa prise lorsqu'elle vint lui bruler la gueule, reculant de quelque pas en ouvrant et refermant la bouche avant de la braquer à nouveau du regard. Il était en bien meilleure capacité qu'elle et pouvait aisément l'achever ne serait-ce qu'en lui marchant dessus.

Un peu de sang coulait de la gueule du Saurien sous sa blessure brûlante, mais il s'en fichait, cela faisait parti du combat, cela faisait parti de la guerre, cela faisait parti de la vie.

Mais alors qu'il souhaitait en finir avec elle, se voyant déjà lui arracher la tête pour un futur collier relatant ses emplois d'avoir vaincu une guerrière cracheuse de magie à son peuple, il l'entendit prononcer un mot qu'il comprenait, le mot ami. De quoi parlait-elle se demanda t-il une fraction de seconde avant de pencher sa tête sur le côté, regardant directement si Alecto allait bien. Et malheureusement, ce qui devait arriver arriva, la voyant tenue par des gardes, une arme sous la gorge.

Les poings du Saurien étaient puissamment refermés faisant se contracter tout les muscles de ses bras, la colère à son paroxysme s'échappant de lui sous chaque respiration lourde et profonde, d'une part à cause de la petite prêtresse qui l'avait suivi et de l'autre du comportement sans honneur du petit peuple. Plus il les côtoyait, plus il avait envie de partir de là, il étaient mauvais, sans honneur, faible et sentaient mauvais.

Son regard de nouveau posé sur son adversaire, il laissait un bruit rauque se faire entendre de tout son corps, traduisant sa hargne et sa haine d'elle. S'il le pouvait, il lui arracherait les bras d'un coup sec avant de violemment refermer ses mains sur son buste pour la broyer. Mais malheureusement, elle avait son point faible entre les mains des gardes. Il devait protéger la petite prêtresse, même si cela devait lui coûter sa vie, et même pire, si cela devait lui coûter sa liberté.

" Yakjatoli tol. Ik grak To, ko Sobek, Ko Ankhti, Ko Alecto, Ik grak to." *

dit-il avec haine, son regard flambant de colère, avant de, non sans difficulté, mais pour sauver la petite prêtresse, poser un genoux à terre défiant toujours du regarde cette petite cracheuse de magie pathétique.

* " Peuple de traitre. Je te tuerais, pour Sobek, pour Ankhti, pour Alecto, je te tuerais."

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Prélude / Re : Angélique Allister
« le: dimanche 17 janvier 2021, 12:20:04 »
Bienvenue à toi petite personne autant sur ce forum que dans le monde du rp forum en général.

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Prélude / Re : La belle plante vous salue.
« le: samedi 16 janvier 2021, 22:22:38 »
Bienvenue à toi plante qui parle.

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Place publique / Re : Quel type d'esclave met-on en cage ? [PV Klaus]
« le: samedi 16 janvier 2021, 18:10:50 »
Klaus avait réussit son coup, la cracheuse de magie et sa monture succombant à sa tactique, il tenta alors de continuer à fuir, profitant qu'elle ne puisse plus bouger.

Mais bien mal lui prit de la croire sans moyen de le gêner, lorsqu'il vu une gerbe de feu jaillir vers lui tandis qu'il tentait de partir, le faisant reculer en frottant le bout de sa gueule à cause de la chaleur violente que cela avait fait. Le saurien put voir que les peaux fragiles en avait profité pour l'entourer de chaque côté de la ruelle.

La tete et le corps de Klaus se baissa, se gonflant de sa musculature, se préparant au combat maintenant inévitable tandis que son regard s’enflammait autant que celui de son ennemie le plus dangereux du lot.

Lorsque elle commença à faire apparaître des flammes dans ses mains, il recula d'un pas, mais, entendant les cliquètements de métal derrière lui, s’arrêta. Elle se mit à enflammer les planches qui lui avait servit de projectile, qui, maintenant se trouvait au sol, illuminant et faisant luir leurs armures dans cette ruelle étroite. Son regard était braqué dans le sien, tous les deux se jaugeait, se jugeait et tout ce que Klaus y voyait était une personne dangereuse et qu'il ne voyait qu'une seule solution, la tuer.

Mais dans toute cette tension, cette violence, Klaus entendit un crie, une voix connue, une voix qui n'aurait pas du être là. Relevant la tête en l'air pour avoir un angle de vue derrière lui, il pouvait voir, une cinquante de pas derrière les miliciens qui le tenaient de reculer, la petite prêtresse. Baissant la tête pour la garder en direction de sa cible, il n'était pas heureux de la voir, ou plutôt il était énervé de la voir ici. Il ne les avait pas éloigné pour qu'elle se jette dans leur piège et malheureusement, il ne pouvait se retourner dans cette ruelle pour foncer, défoncer les gardes qui le séparait d'elle pour la protéger. Il n'avait qu'un choix et n'y réfléchit pas une seconde de trop.

Ses mains se jeterent sur les planches enflammé qui se trouvait au sol, se disant que, quitte à se bruler, ce serait en se liberant d'eux, puis, d'un geste vif, poussa l'une d'elle en arriere, et l'autre en avant projetant des gerbe de feu et de bois incandéscant sur les gardes et leur cheffe. Sans attendre qu'ils les atteignent, il se jeta ensuite tout droit sur elle, ne réfléchissant pas à la douleur ou au blessure et aux coups qu'il allait recevoir, relevant la tête bien haute en l'air pour l'ouvrir en la protégeant avant de venir pour chercher à attraper la cracheuse de magie avec et la broyer sous la violence de ses mâchoires qui se refermerait sur elle. Elle était leur chef et si elle mourrait, il y avait des chances qu'ils se mettent à fuir et lui permettre de faire de même.

S'il ne pouvait survivre à cela, au moins, il aurait protéger la petite prêtresse jusqu'au bout et au moins, il se serait battu avec honneur, rendant sûrement le grand Sobek fier de lui.

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Place publique / Re : Quel type d'esclave met-on en cage ? [PV Klaus]
« le: vendredi 15 janvier 2021, 22:50:24 »
Cet endroit restait et restera toujours pareil pour lui, un dédale, une épreuve. Tous les endroits, toutes les ruelles se ressemblaient pour lui, petite, grande, large, étroite, cela revenait au même, il avait du mal à s'y repérer, se fiant seulement à son odorat et son ouïe pour éviter les peaux fragiles.

Malheureusement, il fut trahi par lui même, ou peut être guidé par son destin, car il se mit à passer dans des ruelles de plus en plus ridicule, frôlant les murs, détruisant des étales et renversant des auvent sur son passage rapide, mais puissant.

Il les entendaient, ils se rapprochaient, gagnaient du terrain sur lui. Ils avaient l'avantage ici, il ne pouvait se mouvoir complètement ou correctement pour se défendre contrairement à leur petite taille qui les aidait ici.

Mais là, une nouvelle personne apparu devant le regard de Klaus. Une petite personne, sur le dos d'un animal. Elle était toute habillée de métal, et son odeur fit grogner le saurien. Il l'avait senti, la magie qui émanait d'elle bien avant qu'elle ne fasse crépiter ses mains de ses pouvoirs. Il ne pouvait pas reculer, il ne pouvait pas s'arrêter et il ferait tout pour qu'elle n'y arrive pas.

Regardant sur ses côtés, il put voir des planches qui couvrait des encadrements de pierre puis fixa sa cible, là, il vint frapper de toutes ses forces ces planches, laissant un son de verre se faire entendre au même moment, puis attrapant les grandes planches, leva les bras vers le haut pour se dégager et dans un grand mouvement circulaire, les lança en direction de son adversaire.

Il visait pour blesser, certes, mais aussi pour la distraire, la gêner et lui laisser assez de temps pour la percuter elle et sa monture de toute sa force et sa rage. C'est donc à peine cela lancé dans sa direction qu'il fonça vers elle, gueule fermée et baissé, bras en croix devant lui, prêt à donner une grande impulsion dévastatrice au contact de sa présumer cible, une grande inspiration pour se gonfler de courage et un regard qui en disait long sur sa détermination et sa rage de vaincre.


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Ville-Etat de Nexus / Re : Tu veux jouer avec moi petit croco ? Nyahhhhh ! [PV]
« le: vendredi 15 janvier 2021, 19:17:40 »
Il soupira lorsqu'il comprit qu'elle n'avait pas l'air de le comprendre pour un mot, la voyant stresser tandis que toutes les autres personnes avaient l'air de lui crier dessus.

Mais l'un d'eux fit une grosse erreur lorsqu'il se mit à tirer les oreilles et à faire du mal à la lapine. Klaus se mit à grogner, forçant sur ses avant-bras pour faire gonfler ses muscles, tandis qu'une grincement se faisait entendre de ses chaînes sous sa force.

" Kada Okosota o Ik Grak To." *

Son regard et son ton montrait très bien ce qu'il souhaitait faire contre cette personne qui faisait du mal à Anouk. Sa tribut s'était toujours très bien entendu avec le peuple des grandes oreilles et donc il était intolérable pour eux de voir quiconque leur faire du mal et attendait juste qu'il fasse un geste de trop pour broyer son crâne entre ses mâchoires.

Mais l'attention de tout le monde fut tourner vers celle derriere le bureau lorsqu'elle frappa sur celui-ci, puis, il put voir tout les gardes sortir de la pièce.

Le calme était revenu petit à petit, le saurien ayant braqué du regard le garde jusqu'à ce qu'il ne soit plus dans la pièce et invisible de son regard, puis, il entendit son nom de prisonnier, se retournant pour regarder la petite lapine. Il pouvait la voir se mettre à faire quelque chose sur des planches fine et blanche, puis, comprit qu'elle peignait ou plutôt dessinait. Penchant la tête de biais, il pouvait la voir le dessiner, puis dessine une autre personne aux formes étrange, mais avec de grandes oreilles et devina que ça devait être elle. Elle souhaitait donc communiquer avec des images, soit, ce dit Klaus, il aurait au moins des réponses.

Elle lui confirma ce qu'il pensait lorsqu'elle se mit à lui parler comme à un kroxigor d'un an, mais il se retint de la juger.Il hocha de la tête pour montrer qu'il avait compris, puis attendit la suite, la voyant dessiner quelque chose à nouveau. Une nouvelle personne, qui, après indication, représentait celle qui était resté et celle qui avait l'air de donner les ordres.

Elle avait placé le dessin de cette personne au-dessus en insistant bien et, il se demanda un instant pourquoi. Étais-ce pour indiquer bien comme il faut de qui elle parlait, la positionnant par rapport à eux ? Mais le nom qu'elle donna lui fit comprendre que non, que c'était plutôt pour lui dire que c'était elle la chef.

Il leva son regard vers elle, braqué droit dans ses yeux. Il y avait un peu de peur, masqué par du courage et quelque chose qui ne lui plaisait pas, avançant de quelques pas vers elle alors, prenant de grandes inspiration pour la sentir, les bruits presque masqués par les chaînes tintant contre elle même et le sol.

Elle sentait le chef, mais son odeur ne lui donnait pas confiance en elle pour être sa cheffe et dit demi tout pour regarder à nouveau Anouk.

Là, elle se mit à lui montrer qu'eux deux étaient au même niveau et qu'elle aussi appréciait les kroxigor de ce qu'il en comprenait. Klaus claque de la mâchoire à cet instant, content d'entendre et d'avoir trouvé une amie dans ce monde mauvais et violent.

" Ik Eto copain Ke Anouk. " **

Il se pencha ensuite, comme il le pouvait, essayant de s'accroupir, mais se retrouvant vite gêné par ses chaînes. Puis, lorsqu'il réussît à arriver vers les dessins, il se pointa du doigt, puis ensuite pointa du doigt le dessin de la duchesse avant de hocher négativement de la tête, puis de dire en regardant Anouk

" Hesha maitresse vo Klaus." ***

* "Blesse grandes oreilles et je te tue."

** " Je suis copain avec Anouk ."

*** " Pas maitresse de Klaus."

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Le temple Shinto / Re : Aux prières d'une nuit enneigée { Pv ~ Klaus }
« le: jeudi 14 janvier 2021, 22:25:15 »
Klaus observa attentivement la petite personne dans l'obscurité de la nuit et les reflets de la lumière du feux et des bougies, son regard ne la lâchait pas, se demandant ce qu'elle était, où ils se trouvaient et quelle quête allait elle lui donner de la part de la grande Déesse. Retrouver sa tribu ? Reformer la tribu ? Punir ceux qui avaient tué et asservis son peuple ?

Tant de questions, mais pour le moment, aucune réponse et, petit à petit, il commençait à douter de l'endroit où il se trouvait. Il n'avait pas besoin de la sentir pour voir que ses déplacements, son regard et sa respiration transpirait la peur et, une prêtresse d'Ankhti, quel que soit son peuple, saurait reconnaître accepterait n'importe lequel de ses enfants sans en avoir peur si celui-ci à le cœur libre.

Klaus se savait avec le cœur libre, il louait la Déesse mère tous les jours qu'elle lui accordait de vivre, suivait ses préceptes et était toujours à l'écoute des message qu'elle pouvait lui faire parvenir par la nature.

Mais, malgré la peur qu'elle lui affichait, il pouvait voir qu'elle avançait tout de même vers lui. Cela, Klaus le respectait. Il était facile d'avoir peur et de succomber à son appel, mais, avancer malgré tout, cela s'appelait du courage, et il n'y avait pas chose plus respecté par les Kroxigor qu'une personne affrontant ses peurs.

Elle était maintenant là, quelques centimètres séparant seulement la frêle petite prêtresse, ses tissus aussi fin que de la mue de cracheur de venin et Klaus et sa peau écailleuse, luisante, et réfléchissant la faible lumière des lieux.

Il profita de cette proximité pour venir de nouveau la sentir, plus précisément cette fois-ci. Son souffle puissant, inspira un grand coup une première fois, puis souffla lentement, repoussant légèrement la chevelure de la petite personne. La peur, toujours, mais aussi l'encens, le parfum, et d'autres odeurs qui lui était inconnue. Ses odeurs lui rappelait la Shaman du village, la plus sage des personne de toute la tribu, voir de toutes les tribus qu'ils connaissaient. Cela lui apporta une certaine mélancolie, repensant à elle, se demandant si elle allait bien, où elle se trouvait, si elle avait trouvé des frères et sœurs de la tribu.

Mais ses pensées s'arrêtèrent un instant, revenant à ce monde étrange et beaucoup trop froid à son goût en la sentant poser sa main sur son épaule. Elle était petite, douce et très chaude pour lui et il la sentait, tenter doucement de le pousser vers le haut. La regardant droit dans les yeux, il put voir qu'elle tentait de le faire se redresser en la voyant se mouvoir de façon étrange et, optempera sans rechigner, si c'était ce qu'elle voulait.

De cette position, maintenant bien droit, tel un moin boudhiste, cela faisait bien bien ressortir sa carrure et les reliefs de son corps. il se rapprocha par la suite un peu plus du feu à nouveau, ressentant un courant d'air glaciale passant à cette instant, courant d'air qui lui rappelait que sous ses airs de Hutte de Shaman, il se trouvait sur des terres inhospitaliere pour lui.

Après cela, la petite prêtresse vint placer sa main sur son buste, disant ensuite son nom, ainsi que d'autre mot qu'il ne comprenait pas. Cela ne fut pas ce qu'il s'attendait d'entendre, lui qui aurait aimer comprendre et parler la même langue qu'elle. Il répété donc le même geste qu'elle, avant de répondre

" KromKota vo SharLeko."

Puis, il se rappela que le petit peuple ne comprenait jamais son nom, soupirant un peu, puis reprenant le même geste pour lui donner le nom que les peaux fragiles lui avait donné.

" Klaus."

Sa tête se mit ensuite à la balayer un peu, lentement pour qu'elle voit bien son mouvement

" To Eto Ankhti Ank ? Lok eto Ik ? " *

Il associa biensur quelque geste et mouvement pour accompagner sa phrase, pointant de son doigts son interlocutrice lorsqu'il parlait d'elle, puis la piece et la nuit qui se laissait voir par les quelques failles du temple.

* " Tu es pretresse d'Ankhti ? Ou suis-je."

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Klaus les écoutaient, essayant de comprendre tout ce qu'ils disaient, mais n'arrivait à rien et, ne pouvait pas non plus parler, sa gueule fermement harnaché pour éviter toute ouverture de sa part qui, comme ils le savaient bien, pouvaient leur coûter cher.

Celui qui avait voulu lui faire du mal avait été éjecté de la pièce, le regard du saurien le suivant, respirant à plein poumon pour se souvenir autant de son visage que de son odeur. Il n'était pas bon de se faire un ennemi avec un Kroxigor, mâle ou femelle et ils avaient très souvent la dent dure, très dure.

Tout ce monde faisait beaucoup trop de bruit dans cette pièce, que ce soit avec leur métal sur eux, le bruit des chaînes et leurs paroles incompréhensibles pour lui, mais, voyant au ton de celle assise derrière une table, qu'elle donnait des ordres.

Son regard passait ensuite autour de ceux qui se tenaient et qui le tenaient, les regardant un par un, les jaugeant, puis, faisant un plan dans sa tête de qui serait le premier à recevoir sa colère s'ils tentaient quoi que ce soit et qu'il arrivait à se libérer.

Mais, tandis qu'il finissait de les juger, il put voir que la petite personne aux longues oreilles s'avança vers lui. À cette distance, ses naseaux étaient bien visibles tandis qu'il bougeait légèrement sous ses respirations, inspirant lourdement et expirant de la même façon, captant les odeurs de la pièce et de la petite personne qui s'avançait vers lui.

La peur, cette pièce empestait la peur, elle aussi d'ailleurs, mais il y avait plein d'odeur différente sur elle aussi, des odeurs inconnues, étrange et désagréable. Klaus la voyait lever ses bras vers lui, en direction de sa gueule, comme pour essayer d'attraper quelque chose et il ne pouvait qu'accepter qu'elle libère ses mâchoires, descendant la tête pour la laisser faire. Le lourd métal cerclé entouré de cuir tomba alors sur le sol de la pièce, faisant sursauter les gardes se tenant autour.

Le Saurien se releva de toute sa taille possible dans cette pièce, s'imposant de sa masse sur ses esclavagistes. Sa gueule s'ouvrit ensuite en grand, la relevant un peu en agitant sa tête de gauche à droite, se dégourdissant les muscles de sa mâchoire trop longtemps captive.

Puis, son regard se baissa de nouveau sur celle qui lui avait enlevé cela. Anouk était donc bien son nom se dit-il, pourquoi était elle avec des personnes aussi mauvaises ?

" Tanka Anouk,vo Okosotatol . Yiko to Eto Ke Hoshtoli ? Yiko Lossato Kada Ik ? Yiko Ikotol lossato Groka ? " *

Sa voix était lourde,  grave, vibrante et posée, faisant trembler les tympans des personnes trop proche de lui sous chacun de ses mots, il était même assez facile d'entendre la colère dans sa voix.

* " Merci Anouk, du peuple des grandes oreilles. Pourquoi tu es avec mauvaises personnes ? Pourquoi veulent-ils me blesser ? Pourquoi veulent-ils mourir ? "

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Place publique / Re : Quel type d'esclave met-on en cage ? [PV Klaus]
« le: jeudi 14 janvier 2021, 18:17:58 »
Klaus n'en revenait pas du comportement des deux petites personnes ou surtout, celle dont il n'avait pas confiance. Mais qu'était cette contrée d'incapable, de fou ?

Elles s'étaient énervé contre la petite prêtresse et contre lui et si Alecto n'était pas en bonne entente avec elle, Klaus lui aurait sûrement réglé son compte.

Tout ce que cela amenait à l'esprit du Saurien c'est que ce monde n'était décidément pas fait pour lui, rempli de traître, d'incapable, d'hôte misérable, qui ne sont pas capable de soutenir son invité, de la protéger ou de punir toute atteinte à leur amie. Chez les Kroxigors, c'est un devoir sacré, quitte à donner sa vie pour aider ou protéger ses amis ou sa tribu.

Klaus grognait, dans la rue, les poings fermé, serré, faisant tressaillir les muscles déjà bien visible de ses bras. Quel peuple, mais quel peuple se disait-il, cela ne l'étonnait plus qu'ils soient si nombreux, à ne pas punir les vauriens et ceux qui bafoue et regles impunément, et cela lui donnait aussi la raison de pourquoi ils étaient tous aussi fragile.

Sa queue battait, fouettait l'air derrière lui sous l’énervement, jetant ensuite un coup d’œil et trouva Alecto, un peu plus loin dans une ruelle. Se rapprochant d'elle, il put la voir régurgiter son repas, faisant tressaillir la gueule du Saurien sous cette odeur forte.

Malheureusement se dit-il, la petite prêtresse aussi avait l'air fragile, ce qui ne lui plaisait pas vraiment, mais cette fois, dans le sens où il s’inquiétait pour elle. Elle n'avait pas l'air bien du tout et Il commença donc à s'en rapprocher.

Il se dit qu'il pouvait bien la porter jusqu'à sa hutte, prêt à la soulever, quand, dans une rue adjacente, il entendit le bruit des gardes repasser. Klaus se mit à réfléchir, elle était faible, sans défense réelle et lui beaucoup trop visible dans ce monde de petit, il n'y avait donc qu'un seul moyen pour lui de la protéger des gardes.

Avant de se lancer, il plaça une main sur sa mâchoire supérieure, puis, d'un coup sec, s'arrache une dent, un craquement se faisant entendre à cet instant, quelque peu camoufler par le bruit du métal tintant sur les pavés de la ville. Ensuite, il déposa cela sur le sol, près d'elle. C'était un signe d'amicalité et un présent très apprécié chez les Kroxi et tout peuple qui les côtoyé. Sa pointe et ses angles, aiguisés comme un rasoir, en faisaient une très bonne arme pour se défendre pour les petites personnes, ou faisaient de très beaux bijoux pour montrer son appartenance à un groupe.

Sur ce geste, il se retourna rapidement avant qu'il ne soit trop tard et, jailli dans la ruelle ou se trouvait les gardes. Il n'était pas encore dans la ligne de vue de celle où se trouvait la petite prêtresse et donc elle était pour le moment sauve. La, il avait hésité à foncer dans les portes des faux-amis d'Alecto pour leur rendre la monnaie de leur pièce, mais, préféra prendre le chemin principal fonçant à quatre pattes, poursuivi par la garde qui hurlait et jouait de la cornes pour attirer les autres patrouilles vers eux.

Il s'en fichait, d’être rattrapé, blessé, capturé et enchaîné à nouveau, tant qu'Alecto n'avait rien.

58
Place publique / Re : Quel type d'esclave met-on en cage ? [PV Klaus]
« le: mardi 12 janvier 2021, 21:22:34 »
Klaus laissa un grognement sortir d'entre ses mâchoires lorsqu'il entendit le mot sorcière de sa bouche. Il se méfiait déjà d'elle, mais si en plus elle prononçait des mots qu'ils n'aimaient pas, cela n'arrangeait pas les choses. Le silence qui se posait sur cette pièce était aussi imposant que lui, faisant les cent pas en gardant un œil sur celle qui le surveillait.

Les minutes étaient plus longues que des heures dans cet endroit, quand, un bruit de grincement se fit entendre, attirant toute l'attention de Klaus, se relevant de toute sa taille. La regardant, il avait l'impression que quelque chose clochait. Sa position n'inspirait pas une bonne émotion au Saurien et il n'eut trop le temps d'y réfléchir, car il put voir le têtard ressortir du même endroit, faisant se rabaisser en taille Klaus, un regard mauvais lancé sur lui. Par réflexe, il se mit à le sentir, devinant à nouveau de la peur, mais, au moment où il se faisait pousser par la petite personne à la queue de chat, il en sentit une autre, celle de la reproduction.

Il avait osé ? Il n'avait pas compris la première fois ? Elle ne l'avait donc pas puni ?

C'en était trop pour lui et Klaus ouvrit sa gueule en grand laissant un souffle lourd en sortir avant qu'il ne hurle en fonçant sur ce vaurien. Sa queue d'écaille manqua de peu de frapper Alecto sur son passage, tandis qu'il ne regardait pas ce qu'il y avait autour, ne voyant que le têtard qui avait parjuré.

Il le saisit sans ménagement, le soulevant d'une main dans les airs en l'ayant attrapé par la gorge, le voyant s'étouffer dans sa poigne, tandis que la mâchoire de Klaus s'ouvrait en grand et que le sifflement de sa colère se faisait bien plus entendre.

" Yakjtoli ! Yakjtoli Iko toli ! Hoshtoli, Hosh dekra ! Ik Yakjkada to ! " *

La, sa main droite libre vint s'abattre sur l'entre-jambe de l'avorton, le compressant avec force avant d'arracher tout ce qui pouvait tenir dans sa main. Un grand crie de douleur s'échappa de la gorge du têtard lorsque celui-ci se vit retirer sa fierté à tout jamais. S'il s'était contenté d'avoir fait un seul affront, cela ne serait pas arrivé, s'il ne s'était pas pavané de la sorte de sortir indemne d'un deuxième affront, cela ne serait pas arrivé, mais là, c'était trop tard pour lui, la sentence était levé.

Klaus le laissa tomber comme l'on peut laisser tomber un déchet, tandis que son autre main laissait tomber ce qui restait de ses braies et de ce qui s'y trouvait dedans.

" Ankhti ! Sobek ! Shekta to, to Yakjtoli !" **

Dit-il d'une voix toujours énervé, mais désormais amplis de haine, de dégoût et sa phrase sonnant comme une malédiction posé à son encontre.

* " Traitre ! Traitre petite personne ! Mauvaise personne, mauvais mâle ! Je te punie !"

** " Ankhti ! Sobek ! Contre toi, toi le traitre."

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Les bas fonds / Re : Doux câlins pour un grand et gros héros [Klaus]
« le: lundi 11 janvier 2021, 21:27:21 »
Mmmmmh, Klaus pouvait voir que la petite personne était complètement terrorisé à sa vue et, se demanda un instant s'il avait bien agis ou s'il avait mal comprit ce qu'il se passait. Il était prêt à repartir, trouvant que c'était une mauvaise idée de rester ici, sur place, pendant trop longtemps, surtout que ces peaux fragiles qu'il venait de faire fuir allaient sûrement alerter les frères plus armé.

Klaus la regardait faire de drôle de geste, rampant à moitie vers un étrange bout de métal avec ce qu'ils appellent des roues, mais vraiment petite et fine.

Le coeur du kroxigor battait toujours sous l'adrénaline que lui avait procuré ce petit échange et lui faisait en redemander, mais son fort intérieur lui disait bien que ce n'était pas une bonne idée. Il quitta du regard la petite personne apeurée, se mettant à sentir l'air pour essayer de savoir quelle future direction prendre, mais aussi si des effluves familière, telle que celle caracteristique des gardes allait vers lui. Pour le moment, il ne sentait rien, mais il savait très bien que cela ne voulait rien dire, surtout si le vent ne portait pas l'odeur dans la bonne direction, surtout de ce labyrinthe de hutte de pierre.

Mais sa concentration fut perturbée lorsqu'il sentit quelque chose toucher son avant-bras, jetant son regard vers cela, il fut surpris que la petite personne terrifiée se mette à poser ses mains sur lui, si petite comparé à ses bras aussi large qu'elle toute entière, même plus. Il sentit comme des picotements, mais ce n'était pas désagréable, en tout cas, pas totalement et, lorqu'elle arrêta de le toucher, il regarda son avant-bras, léchant de nouveau celui-ci et put voir que, le sang partait maintenant.

Il s'était donc fait mal en les frappant ? Étrange, se dit-il, peut être avait-il du métal ou des bout pointu sur eux, mais ce n'était pas bien grave à ses yeux, cela ne changeait pas qu'ils avaient perdu.

Il claque de la mâchoire en l'observant, son regard dans le sien, puis reprit la parole.

" Tanko Ikotoli."
*
Mais il n'eut bien le temps de dire plus, sa tête se tournant rapidement lorsque le bruit caractéristique du métal des solerets des gardes se fit entendre. Il arrivait à toute vitesse, ou en tout cas à la leur et il fallait donc pour Klaus qu'il parte. Sans prévenir, il se remit donc à courir, un pas lourd et bruyant le suivant. Mais, bien vite, après quelques pas, il se rappela d'une chose. La petite personne apeurait, elle avait quelque chose de spécial, ah oui, il se rappela, elle avait des oreilles pointu et touffues.

Il avait bien compris que des lors que l'on n'est pas une peau fragile tout lisse, ce n'était pas une bonne chose d'etre par ici et surtout de tomber sur des gardes. Il se dit aussi que ce serait dommage pour elle qu'elle ne perde sa liberté tout comme lui.

Il s'arrêta donc net, faisant demi-tour en jouant de sa queue pour garder l'équilibre dans une tel manœuvre pour un gabarit de sa taille et fonça droit sur elle. Sans crier gare, il l'attrapa, la saisissant de ses deux immenses mains, puis la plaça sur son épaule avant de faire demi-tour.

Ce fut malheureusement le temps suffisant pour qu'il puisse voir et surtout être vu par les gardes de la ville, qui se mirent à crier après lui et qui avait bien repéré l'appartenance de la personne sur ses épaules. Il lui fallait maintenant s'enfuir, réussir à les semer, mais aussi se cacher le temps qu'ils les oublient.

* " Merci petite personne."

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Place publique / Re : Quel type d'esclave met-on en cage ? [PV Klaus]
« le: dimanche 10 janvier 2021, 21:59:56 »
Apparemment, il n'était pas le seul à s’être brûlé, voyant la petite prêtresse faire de même, mais il fut surtout ravi de la voir dire des mots de la langue d'écaille, la langue de Klaus.

Il hocha la tête avec fierté en l'entendant apprendre sa langue.

" Chaud !"

Dit-il en retour, apprenant donc comment les petites personnes parlait à son tour, pointant du doigt la marmite en disant cela pour être sure de ne pas s’être trompé et d'avoir une validation de leur part. Lorsqu'il put voir la petite personne apporter une écuelle dos, il la regarda, puis d'un mouvement de tête, la remercia avant de venir y boire, plongeant le bout de son museau un peu et se servant de sa langue pour ramener ce breuvage jusqu'au fond de sa gorge. Puis, après quelques lampées, vint plonger l'une de ses larges mains dedans, ne pouvant y mettre les deux avant de laisser tomber l'eau sur le haut de sa tête, la laissant ruisseler sur son corps, un soupire de soulagement se faisant entendre tandis que ses yeux se fermaient. Il répéta cela plusieurs fois, jusqu'à entendre la petite prêtresse parler à nouveau sa langue.

Elle associait constamment un mot après un autre et, il en déduit donc que c'était l'équivalent de ses mots dans sa langue et tenta de les prononcer lui aussi

" Agrak : hanger, Tanka : nerci, Karhat : Chaud, Ank ...."


Il ne prononça pas le dernier, car, ce qu'il avait déjà entendu en voyant des gens, cela ne correspondait pas à cela.

" Ank Hesha het resse." *

C'était bien difficile de boire correctement dans un bol lorsque l'on ne possède pas de lèvre, mais prononcer certaines sans lèvres était impossible pour lui et malheureusement, beaucoup de ses mots en contenaient.

Il vit aussi la toute petite personne lui porter un petit verre, se demandant si c'était à nouveau de l'eau alors qu'il en avait toujours dans son écuelle, mais l'odeur qui en ressortait n'était pas pareille. Elle ressemblait à celle des potions de la Shaman et se dit que c'était peut etre un rituel chez eux.

Il baissa donc respectueusement la tete en prenant le petit verre en main, ressemblant à un dès à coudre en comparaison à sa taille, puis, fermant les yeux, un leger chant gutural se fit entendre de sa part, avant de venir boire d'un coup sec la boisson, puis de repeter le chant et de donner à nouveau le verre avec le meme respect.

Après cela, la petite prêtresse le regarda, faisant un geste qui indiquait sa personne, puis elle prononça son nom. Il le savait déjà, mais, comme pour le confirmer hocha positivement la tête, la désignant de son index avant de dire.

" Klak. To A lek to." **

Il se demandait si chez eux les noms avaient une signification, mais au moment de faire le même geste pour lui et lui dire son nom, l'autre petite personne de toute à l'heure revint, toujours sur la défensive, ce qui raviva cette sensation chez lui aussi, se relevant de sa position pour être plus en alerte. De nouveau, Alecto le regarda, sa mine maintenant bien plus basse, sa bouche moins étirée et ne montrant plus les dents. Quelques choses dans sa position trahissaient qu'elle n'avait pas l'air bien et cela fit se questionner le Kroxigor.

Mais il l'entendit lui dire de rester là et, se souvint de ses mots. Qu'allait-elle faire ? Allait-elle la bas toute seul ? Mais il y avait l'autre têtard là bas non ? Allait-elle le punir elle-même ? Beaucoup trop de questions qui se lisait sur lui, se relevant en essayant de l'apercevoir au loin se balançant de gauche à droite en essayant de trouver un angle pour la surveiller, mais n'y arrivant pas.

* "Pretresse n'est pas maitresse."

** " Oui, toi Alecto."

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