Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Astrid Grace

Pages: [1]
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Centre-ville de Seikusu / Faites de beaux rêves - PV Asmodeus -
« le: mardi 05 avril 2022, 23:05:33 »
« Allez Astrid, s’il te plait! » C’est au moins la 8ème fois qu’elle me demande. Emily a prévue une soirée pyjama chez elle - oui comme au collège - sauf qu’aujourd’hui, on a des seins pour remplir nos pyjamas et on peut boire de l'alcool. Emily est une amie de longue date. Elle vient de l’aristocratie anglaise comme moi. En me voyant épanouie au Japon, elle a décidé de venir me rejoindre pour voir comment était la liberté loin de Papa et Maman. Ca lui a plu. Beaucoup plu. Ca fait maintenant 6 ans qu’elle habite à Seikusu et qu'elle occupe un poste haut placé dans l’entreprise de ses parents qui gère l’import - export de marchandise du Japon vers l’Angleterre. Plutôt pratique. Mais c’est aussi devenue une grande fêtarde. Elle connait tous les différents bars de la ville et n’hésite pas à fréquenter les clubs les moins respectables de Seikusu. Bien que ma deuxième personnalité soit assez dévergondée, je ne supporte que très peu les boites de nuits. Les gens ivres, collants et puants l’alcool pas cher, la transpiration omniprésente, la musique electro désagréable aux oreilles, très peu pour moi. J’ai toujours refusé de participer aux soirées d’Emily pour cette raison. Mais là, ce soir, alors qu’elle commence à me parler de batailles d’oreillers les fesses à l’air et de cocktails à base d’alcool aromatisées, je ne peux m’empêcher de sourire. Je finis par céder quand elle me promets de ne pas m’obliger à sortir en boite avec mon pyjama en seule tenue.

Quelques heures plus tard, je comprends que l’objectif de sortir en boite ne pourra pas, quoi qu’il arrive, être réalisable dans ces conditions. Je sirote mon 5ème mojito à la fraise, comme une adolescente qui découvre l’alcool en riant devant les conneries des amies d’Emily. Toutes sont venus en pyjama plus courts les uns que les autres, le but du jeu étant d’être le moins habillé possible apparement. Certaines ont même opté pour des accessoires tout droit sorti dans années 90, à base de chouchous colorés et de barrettes à paillettes. Je dois l’avouer, je passe une excellente soirée, cela fait des années que je n’ai pas autant ri. Après quelques shooters de saké, l’une des amies d’Emily semble avoir une illumination. Fumi est le stéréotype de la petite japonaise, brune, petite, plutôt plate, pas de hanches. Avec un uniforme d’école et une sucette, elle ferait bander tous les pervers d’Internet. Mais sa personnalité clash complètement avec son physique. C’est d’ailleurs surement elle qui gagne le concours du pyjama le plus sexy, avec sa minuscule brassière en dentelle et son tanga noir assorti. Elle se dresse debout sur une table et demande l’attention de toutes les filles présentes. « Et si… On invoquait un dieu du sexe? Ca manque de testostérone ce soir non? » Toutes se mettent à rire, moi y comprit en la regardant tracer un pentagramme en sel sur le sol et allumer des bougies d’anniversaire planté dans des cupcakes. « Oh a toi, grand démon! Viens nous rejoindre autour de cette table avec… » Et elle manque de trébucher sur une bougie allumée. « Avec toutes ces jolies femmes et leur verre beaucoup trop surdosé. » Fumi continue son discours en titubant autour de l’étoile pendant que je me relève pour aller me resservir un verre. Je ne tiens pas à l’alcool, je le sais et pourtant ce soir, je me sens pousser des ailes. « Oh vous les dieux de la luxure et des plaisirs ! Lucifer, Vénus, Aphrodite, Priapte, Zeus, Asmodeus, Eos, Lilith ou Freyja ! » Comment est ce qu’elle connait autant de noms de dieux et de démons? Je n’en ai aucune idée mais la liste a l’air très longue et sans queue ni tête. Quelqu’un murmure que Fumi est étudiante en mythologie, ricanant dans son verre. Ca doit être pour ça. Et la voilà en train de réciter une espèce d’incantation pseudo magique en dansant autour du pentagramme. Tout le monde autour de la table rit au éclat, autant ivre de l’ambiance idiote et enfantine de la soirée que de l’alcool présent dans nos verres.

A la fin de sa formule magique, les flammes de bougies se mettent à trembler, frémissant sous un vent inexistant. Emily, à mes cotés, finit par froncer les sourcils. « Fumi, arrête. Ca commence à me faire peur. » Puis les bougies s’éteignent, jetant un froid dans la soirée. Fumi éclate de rire au milieu de la pièce avant de s’avancer vers l’ordinateur pour baisser la musique. « Oh ça va, c’était une blague ! Ca n’a rien fait ! C’est un coup de vent. C’est pas comme si un démon allait débarquer ici.» Et comme dans toutes boums qui se respectent, Fumi lance une chanson de Beyoncé, faisant oublier à tout le monde ce moment dans la soirée. Même moi, je n’y ai pas vraiment porté attention et ai continué de boire et de danser toute la nuit, arborant mon plus bel ensemble de satin. La soirée avait fini par être une réussite, tout le monde se couchant à plus de 6h du matin, toutes entassées les unes sur les autres dans le salon d’Emily comme des enfants. Il ne manquait plus que de jolis rêves pour compléter nos nuits.

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Salles de cours et bibliothèque / Littérature & Orgasmes - PV Souta-
« le: mardi 01 mars 2022, 12:20:06 »
Deux semaines s’étaient écoulés depuis notre dernière rencontre. Des textos avaient été échangés, des rendez vous avaient été pris ,mais à aucun moments, nous avions réussi à nous voir. Cette rencontre aussi excitante qu’étrange avait pourtant si bien fonctionné que Souta comme moi voulions recommencer l’expérience. Nos emplois du temps étaient un peu trop complets pour pouvoir se voir, ça n’était pas l’envie qui manquait mais la fatigue prenait souvent le dessus. Et personnellement, j’avais envie d’être en forme. Une petite baise en missionnaire sur le canapé ne m’aurait absolument pas satisfaite. Souta semblait du même avis. On avait besoin d’être en forme. Des souvenirs de notre matinée ensemble me revenaient régulièrement, me donnant le sourire pendant mes cours ou m’excitant légèrement en mangeant avec mes collègues. Je n’apprécie pas forcement l’attente mais celle ci était plutôt plaisante, j’anticipais déjà les prochains orgasmes, rêvant des folies que Souta pourrait faire sur mon corps. Notre penchant pour l’exhibitionnisme était plutôt clair, même si très risqué.

Quelques temps plus tard, un jeudi après midi classique, je me retrouve à la bibliothèque de l’université de Kyoto. Ma matinée sur les ravages de l’éthylisme chronique chez les patients insuffisants rénaux n’a pas été très productif. Mon concentration ne fonctionne pas aujourd’hui, j’essaye de comprendre le sujet mais rien ne marche. Je suis installée depuis 9h sur une petite chaise de bureau en plein milieu de l’université, avec mon café froid, mais rien y fait, ça ne rentre pas. C’est un dossier à rendre d’ici quelques semaines, j’ai encore un peu de temps pour travailler dessus mais j’aurais voulu finir tôt pour être tranquille, comme la bonne petite fille modèle que je suis. Certains de mes collègues n’ont même pas commencé à mettre le nez dedans. Le carnet en face de moi est rempli de notes incompréhensibles, quand je me relis, je n’y comprends rien. J’ai passé toute la matinée à étudier pour ne rien avoir à ce stade. C’est frustrant. D’humeur presque boudeuse, je m’adosse contre le dossier de ma chaise et croise les bras sur ma poitrine, scrutant mon bout de papier. Cette après midi était censé être plus productive… Je vais rentré bredouille. Mes mains moites essayent de lisser ma jupe sur mes genoux, vieux réflexe de stress causé par le port de l’uniforme dans les écoles anglaises, je cherche à desserrer le noeud de ma cravate, que je n’ai pas, ça me fait rire et me rappelle toute mon enfance dans les grandes écoles catholiques. Mon esprit divague. Vexée par mon manque de concentration, je décide d’aller prendre un nouveau café.

Mon téléphone vibre dans la poche de ma jupe en chemin vers la machine à café. Souta. « Je suis dispo aujourd’hui. Tu fais quelque chose? » Ma frustration grandit. Le seul jour où j’aurais pu l’inviter à . Un soupir d’exaspération m’échappe au milieu de la bibliothèque silencieuse, quelques regards se retournent vers moi, désapprobateur. Je souris nerveusement et m’excuse de la main avant de me déconcentrer sur mon téléphone. « J’aurais préféré te dire oui, mais je suis coincée à la bibliothèque pour aujourd’hui. Ce weekend peut être? » A la machine a café, tout le monde m’emmerde. Ils sont 25 000 devant à discuter d’un film que je n’ai pas eu le temps de voir, ils prennent de la place et je ne peux pas accéder. Je fusille du regard tous mes voisins qui me laissent passer avec frayeur. La machine finit par me donner le liquide noir tant désiré et je retourne m’assoir devant mon livre incompréhensible.

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Centre-ville de Seikusu / Rien à foutre ici. - PV Ryo - Terminé
« le: dimanche 30 janvier 2022, 23:43:41 »
Trois semaines. C’est le temps que mon corps a mit à récupérer des indécences de Ryo. Trois semaines de col roulés et manches longues. Jamais mon corps n’avait été aussi maltraité après une baise. Les brûlures sur mes poignets venaient tout juste de disparaitre mais la peau restait toujours sensible. Ca faisait aussi 3 semaines que je n’avais couché avec personne. Les coups de butoirs de cet idiot m’avaient un peu refroidi à voir d’autres personnes. S’ils voyaient les marques et en voulaient tout autant? Ou pire, s’ils voyaient les marques, essayaient d’en faire autant mais n’y arrivaient pas? Jamais je ne l’aurais avoué à haute voix, mais il avait réussi à sacrement jouer avec mon cerveau. Cette aura de soumission et de violence m’avait plu, beaucoup trop plu. Je n’arrivais pas à me sortir de la tête que j’avais eu l’un des meilleurs orgasmes de ma vie ce soir là. Evidemment, il restait un connard égocentrique, mais l’idée même de le recroiser m’excitait un petit peu. Il m’avait dit de venir le trouver a son travail mais mon courage et mon désir ne m’avaient pas encore poussé à aller le voir là bas. Peut être bientôt.

Mon boulot aidait à trouver une distraction satisfaisante. L’hôpital était un sacré bordel. Depuis trois semaines d’ailleurs. Tout le monde semblait débordé de travail, moi la première. Ce matin est la première journée depuis longtemps où tout le monde a l’air de se tenir à carreaux. Les patients n’ont pas décidé de mourir, les soignants sont à l’heure au travail, même la cafetière a décidé de fonctionner. Tout se déroule correctement. Surement trop correctement. Ca sent la connerie à plein nez. Il va surement se passer un truc. Un car de touristes chinois qui fonce dans un mur ou un train qui déraille, je ne serais même pas surprise.

Mon collègue Genji est passé me chercher ce matin. La façon dont il regarde mes jambes nues ou reluque mon décolleté n’est pas très discrète, j’ai vite compris que le jeune homme était intéressé, sans jamais osé m’aborder. Genji est mignon, grand et fort, il pourrait être mon genre… S’il n’était pas si passif. Il est plus âgé que moi donc a plus d’expérience mais il ne prends jamais de décisions. Et quand il essaye d’en prendre une, il bafouille et regarde ses pieds. La soumission lui irait très bien. Parfois, je l’imagine attaché à un lit, suppliant pour qu’on le baise. Depuis quelques temps, il traine souvent dans mon service, m’apportant un café, me proposant de me ramener chez moi. C’est adorable. Certains soirs, je m’en veux presque d’en profiter autant alors que je sais très bien qu’il ne se passera rien entre nous, mais je ne peux pas m’empêcher de le laisser faire. En passant par les vestiaires, je fais un geste de la main à Genji, qui part se changer dans son service, et va pour me changer dans une tenue plus confortable, les pyjamas de l’hôpital. Ces horribles tenues bleues sont aussi connus pour être dans un tissu des plus agréable. J’enfile le tee shirt et le pantalon avec plaisir, laissant ma petite robe noire et mes bottines dans mon casier. Pour éviter qu’ils me gênent, je remonte aussi mes cheveux dans une haute queue de cheval, quelques mèches trop courtes s’échappant sur les cotés. Ma blouse blanche de médecin sur le dos, je finis de ramasser mes affaires et me dirige vers le service.

Mes collègues m’attendent en plein milieu du couloir et discutent avec les soignants présents. Tous ont l’air surpris du calme ambiant. Personne n’a vu ça depuis des jours, tout le monde s’attends à un orage. Mon café, pris au passage, me brûle légèrement les lèvres, leur conversation ne m’interesse absolument pas. Un gentil couple de personne âgé vient nous trouver pour nous demander où se trouve les urgences. Souriante, je leur montre la porte d’entrée, leur indiquant à droite de celle ci. « Vous prenez à droite là bas, puis encore à gauche. Il y a un très long couloir et c’est tout au bout du couloir sur votre droite. » Ils ont l’air tout aussi pommés l’un que l’autre et me regardent avec des grands yeux suppliants. Prise d’une bouffée d’empathie, je propose de les accompagner jusque là bas. « C’est un vrai labyrinthe par ici, je ne voudrais pas que vous vous perdiez. » Arrivée devant la porte des urgences, le couple me sourit et me remercie chaleureusement. Contente de ma bonne action, je reviens sur mes pas pour retourner d’ou je viens, mais une grande carrure au loin attire mon attention. Une veste en cuir, des cheveux ébouriffés, de larges épaules. J’ai l’impression de reconnaitre Ryo, mais ça doit être mon imagination. Il n’a rien à foutre ici. Est ce que mon cerveau serait en train de me jouer des tours, m’incitant à retourner voir ce gars? Est ce que j’ai vraiment envie de me refaire baiser par un mec qui m’a utilisé comme un objet pendant toute la nuit? La réponse est plutôt évidente, mais je n’arrive pas à me l’avouer. Perdue dans mes pensées, je ne vois pas les patients se dissiper et me retrouve vite seule au milieu du couloir, en plein dans son champs de vision. Merde. Mes mains se fourrent dans les poches de ma blouse et je quitte la pièce en baissant la tête, espérant presque qu’il ne m’ai pas vu. D’un pas précipité, je reprends le chemin de mon service, presque stressée par ma découverte. Putain, et si c’était vraiment lui? Qu’est ce qu’il foutait là…

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Le quartier de la Toussaint / Un petit punch et puis s'en va - PV Ryo-
« le: jeudi 16 décembre 2021, 02:11:08 »
Un pot de fin d’année pour remercier le secteur publique? Sérieusement? Donc en plus de nous payer comme des chiens, ils nous obligent à venir à leur pot à la con pour qu’on sourit et qu’on soit mignon sur les photos. C’est mon chef qui nous a obligé à venir. Il a réunit toute l’équipe médicale et a fait son speech sur comment montrer à l’administration qu’on est reconnaissant de leur effort. Intérieurement, ça m’énerve. Extérieurement, on est quand obligée d'y aller si on veux faire bonne impression devant le chef de service donc je suis en train de voir avec mes collègues, quelle voiture on va prendre pour y aller. En plus, c’est dans le quartier malfamé de la ville. Par chance, Teresa est d’accord pour qu’on prenne la tienne. Je vais pouvoir boire pour oublier, c'est la seule bonne nouvelle de la soirée. Je pense qu’ils s’attendent tous à ce que je montre mon plus beau visage médiatique, celui que j’ai présenté partout en Angleterre, mais ce soir, je n’ai aucune envie de faire des efforts.

Et évidemment, c’est du mousseux qui pique. Super, vraiment. Très bonne soirée en perspective. Je réussis à trouver un peu de réconfort en discutant avec mes collègues, celles ci sont en train de scanner la salle pour trouver quelqu’un de baisable ce soir. L’une d’entre elle me regarde en riant. « T’inquiètes pas Astrid, on va aussi te chercher un prince charmant. » Chaton, si tu savais. J’aime me faire attacher avec des cordes et me faire prendre dans tous les sens alors que ta position favorite c’est l’amazone et tu penses être « originale ». Je lui souris gracieusement, replaçant une mèche de cheveux derrière mon oreille avec un air timide. Elles matent une bande de pompiers un peu plus loin, effectivement, ils ont l’air d’être plutôt bien montés, pas dégueulasses à regarder mais c’est clairement le genre de mecs qui se regardent baiser et bandent pendant 3 secondes. Non merci.

« Astrid? Vous pouvez venir s’il vous plait? » Pourquoi le chef de service me demande? Qu’est ce qu’il me veut, qu’est ce que j’ai fais? «  Il nous faut un jeune médecin pour aller parler au maire, pour recevoir ses compliments avec le sourire et prendre une jolie photo. J’ai pensé à vous comme vous êtes habituées à être sous les projecteurs. » D’accord, donc personne d’autre n’a voulu y aller et c’est tombé sur moi. Je m’enfile un premier verre de punch pour passer l’information. Il n’est même pas bon évidement. «  Et je serais toute seule avec lui? » , «  Non non, ils ont demandé à des policiers et des pompiers de venir aussi, mais vous allez être la jolie attention du groupe. » Comme d’habitude, sois jolie et tais toi. C’est ce que je sais faire de mieux en même temps. Le chef de service me conduit à un journaliste qui me sourit en me regardant de haut en bas. Je vois dans son regard le bilan: joli minois pour la photo, décolleté plongeant, cul rebondi. Je prends un deuxième verre de punch pour compenser, le gout ne passe toujours pas. Peut être qu’un troisième aidera. Bientôt je me retrouve entre 2 gars gigantesques, l’un d’entre eux a l’air d’être un pompier débile qui reluque mon décolleté depuis 5 minutes et l’autre a l’air d’être un flic ripoux. Je me sens minuscule et cette situation est presque effrayante. Un troisième verre de punch y passe. Je commence à avoir un petit flou devant les yeux, rien de bien méchant. Le gout est beaucoup mieux bizarrement. Je ne suis pas ivre, mais je sens une chaleur montée tranquillement dans mon corps, une chaleur plaisante. Le journaliste nous fait monter quelques marches pour rejoindre le maire, je monte la première, balançant mon cul devant les yeux des deux autres derrière. Dans le fond, je crois que j'espère que ça les a excité un peu, juste pour ma satisfaction personnelle.

5
Le Seikusu Palace et cinéma / Elegante Perversion - PV Atsushi -
« le: mardi 14 décembre 2021, 23:13:58 »
Les soirées mondaines n'avaient jamais été ses soirées préférées. Toujours en grandes pompes, des tapis rouges usés, du mauvais champagne et des gens coincés qui se critiquent les uns les autres. Il fallait y participer pour se montrer certes, mais elles n'étaient jamais vraiment fun. La plupart du temps, on passait son temps à reluquer son voisin parce que son costume était le même que la dernière fois et on mangeait du foie gras médiocre sur du pain d'épices de mauvaise qualité. Déjà vu beaucoup trop de fois. C'est pourquoi la soirée n'excitait absolument pas Astrid. Elle avait une tonne de boulot en retard et elle n'avait qu'une soirée de libre cette semaine mais son père lui avait demandé. Son père qui lui paye l'apparement, qui lui loue une voiture, qui l'aide les mois ou elle n'arrive pas à gérer... Son père quoi. Elle se sentait redevable. Il en demandait beaucoup moins maintenant qu'elle était loin donc elle lui devait bien ça. La soirée de ce soir était consacré à une quelconque association pour sauver la planète, un sujet très intéressant mais qui n'intéressait vraiment personne ce soir. Le but était de se réunir, pas de sauver quoi que ça soit.

Astrid avait quand même prit le temps de se préparer. C'était son petit plaisir de la semaine. Elle avait sorti le grand jeu, c'était plutôt pour elle même que pour les autres. Elle qui passait son temps dans le sang et le vomi, elle avait décidé de se sentir féminine ce soir. Elle s'était acheté une robe pour l'occasion, longue, bleu nuit, ras le cou devant, décolleté plongeant dans le dos. C'était très classe, potentiellement un peu trop sexy par rapport à ce qu'elle portait en Angleterre, mais son père ne pourrait pas voir son dos sur les photos du gala. Elle se sentait bien, elle se sentait femme. Une coiffure un peu élaborée, un coup de mascara et le tour était joué.

Arrivée à l'évènement, toute la belle population de Kyoto était là. Astrid sortit de la voiture avec son plus beau sourire aux lèvres, cachant évidement tout le mépris qu'elle en pensait. Tout le monde vint la voir pour la complimenter sur sa robe, sur la réussite de son père, sur sa réussite à Kyoto. Ils étaient contents d'avoir de la nouveauté, une nouvelle proie avec qui bavarder de sujets inintéressants. La politesse d'Astrid faisait qu'elle souriait et qu'elle acquiesçait à tous, mais intérieurement, elle savait que passer la porte d'entrée du Palace, elle aurait oublié toutes ses informations inutiles. " Si vous voulez bien m'excusez." Une seconde de répit, elle avait besoin d'une petite seconde de repos. Elle se dirigea vers les petits fours sachant très bien que quelqu'un finirait par lui adresser la parole mais au moins, elle aurait à manger. Décision stratégique. Elle réussit à en manger 4 avant qu'un énième sous fifre de son père vienne l'aborder. Celui ci était Geoffrey Adams, de je ne sais quel société anglo-japonaise. Il connaissait très bien son père et l'avait vu une semaine auparavant. Passionnant. Puis un flash de bleu capta le regard d'Astrid. Des cheveux bleus? Etrange dans ce genre de soirée. Un homme, grand, jeune, très bien habillé lui aussi. Elle le reluqua de haut en bas avant de poser la question à Geoffrey. " Et qui est cette personne Geoffrey? Je crois que je ne l'ai jamais croisé." Geoffrey fronça les sourcils et regarda en direction du garçon. " Evitez de vous approcher de lui Astrid. Il n'est pas de très bonnes fréquentations." Et en plus, Geoffrey lui disait quoi faire et qui fréquenter, de mieux en mieux. Astrid lui souria, en imaginant comment il pourrait s'étouffer avec un bout de pain d'épices.

6
Le coin du chalant / La voie de la sagesse - Astrid Grace
« le: mardi 14 décembre 2021, 01:06:00 »
Astrid est un personnage plein de contradiction. Elle adore le sexe, surtout quand c’est hard mais elle vient d’une famille aristocrate qui pense que les bébés doivent se faire exclusivement en missionnaire dans un lit à baldaquin. Son premier abord vous montrera une fille propre sur elle, sage, pure… Crevez un peu et vous trouverez la perversion sous un océan de joues rouges et timidités.

Je souhaiterais plutôt des RPs avec des personnages masculins, autour de l’âge d’Astrid (27 ans) et pour du hentaï soft comme hard. Le gore est à éviter.

Trames:

1ère: Pris

Astrid assiste a une soirée mondaine pour faire plaisir à son père. Elle arrive sur ses talons hauts, charmante, élégante et très bien habillée. Mais la soirée ne se passe pas vraiment comme prévu, l’un des invités lui plait beaucoup et ça semble réciproque. La commence un jeu de séduction qui va mal tourné.

2ème:

Astrid se retrouve à l’université pour donner un cours de prévention des maladies sexuellement transmissibles. Elle a des traces sur les poignets, des traces d’attaches. A la fin du cours, un étudiant/ un prof vient lui faire la remarque et elle se retrouve toute déstabilisée.

3ème: Pris

Aux Urgences, Astrid doit examiner une plaie à un endroit… Mal placé. Rouge de honte, elle voit le patient en bégayant et en étant extrêmement maladroite, ce qui fait rire tout le monde, notamment le patient.

4ème:

Soirée mouvementée avec ses collèges, Astrid finit en boite. Robe courte, cheveux ébouriffés, de l’alcool dans le sang et les paillettes dans les yeux, elle danse comme si personne ne la regardait. Et pourtant dans un coin…

5ème: Pris

Astrid croise une vieille connaissance dans la rue. Sauf qu’elle a voulu jouer et s’est mit un oeuf vibrant avant de partir. Sa concentration sera mise à dures épreuves.


Evidemment, je suis dispo par mp pour toutes autres idées !

7
Identité : Astrid Grace
Âge : 27 ans
Sexe : Feminin
Race : Humaine
Sexualité : Hétérosexuelle

Physique :

Astrid n'est pas la personne qui vous ferait vous retourner dans la rue. Petite, discrète, des cheveux châtains assez anonyme. Elle aime se confondre dans la masse pour qu'on la laisse tranquille. Elle est considérée comme un petit gabarit. Elle n'est pas grosse, mais elle n'est pas mince non plus. Ses intenses heures de revisions à grignoter des croissants et à boire du café n'aident pas à perdre les quelques kilos qu'elle a en trop. Ses fesses sont plutôt rebondies, son ventre pas forcement des plus fermes, ses seins bien en chair mais elle aime se dire que ça la rends plus généreuse, plus abordable. Dans la vie de tous les jours, ses vêtements sont de grandes marques, mais très simples et amples. On ne peut pas voir sa jolie taille définie ou la galbe de ses seins sous ses tee shirts. Elle aime les gros cardigans de grand mères qui vous tiennent chaud pendant tout l'hiver. Vous la trouverez par contre toujours en talons. Pas des talons de strip-teaseuses, encore moins des Louboutins, mais un bon 5cm à chaque fois. Cela la grandit, de pas grand chose, mais elle se sent tout de suite plus confiante en étant un chouia plus grande.

Elle n'a jamais aimé ses cheveux châtains, trop classiques, trop strictes, bine que ceux ci conviennent bien à sa personnalité. Elle aurait aimé avoir des cheveux très noirs pour se donner un air de femme fatale, ou blonde platines pour avoir l'air d'une surfeuse, mais jamais elle n'oserait changer de couleurs, elle aurait peur de faire une bêtise et de se retrouver avec les cheveux verts. Elle n'aime pas non plus avoir les cheveux trop longs, ils finissent toujours en carré court pour éviter d'avoir à les attacher en permanence. Ses traits sont fins et innocents. Elle a toujours fait plus jeune que son âge même si les petites pattes sur les cotés de ses yeux commencent à la trahir. Ses grands yeux dorés sont cachés par de gros verres à lunettes, peu pratique au quotidien, mais qui lui donne un air de bibliothécaire. Mais quand elle se décide à vous les montrer, on peut voir dans son regard qu'elle n'est pas si innocente que ça.


Caractère :

Dans la vie de tous les jours, Astrid est facile. Elle vous dira bonjour dans la rue avec un grand sourire, elle vous dira toujours merci, et elle n'oubliera pas de s'incliner devant les personnes plus âgés. Elle sera toujours parfaite. Astrid sera aussi toujours là pour vous. Que vous aillez besoin d'aider pour vos devoirs ou besoin d'aide pour un déménagement, elle sera là. Elle a apprit à être serviable, elle a apprit à être là pour les autres. C'est une bonne copine, une bonne confidente, une oreille attentive, mais elle ne vous dira jamais rien en retour. Elle reste discrète, elle préfère garder ses secrets.
Mais cet air innocent qu'elle aime tant cache beaucoup de choses. En apparence, Astrid est douce, attentionnée, discrète et chaste. Vous ne la verrez jamais faire des blagues douteuses ou discuter de ses collègues dans leur dos. Elle fait petite fille sage, comme son papa l'aurait voulu. Tout son monde tourne autour de l'apparence qu'elle doit donner. Astrid doit être un modèle pour la société, pour rendre son père fier. Mais sous toute cette mascarade, Astrid a découvert un coté un peu plus sombre de sa personnalité. Son amour pour le sexe. Alors certes, elle a commencé tard. Ses premières relations n'ont commencé qu'à 18 ans, mais elle a continué fort. Les relations simples ne lui suffisaient pas. Il lui fallait plus. Elle a trouvé son équilibre dans sa sexualité, parfaite en apparence, déviante en secret. Ses relations doivent être dominantes, presque violentes. Aujourd'hui, elle a besoin de sexe, en permanence. Elle a besoin de se sentir désirée, d'aguicher, de frôler les limites du respectable. Tant qu'elle ne peut pas être vu, tant qu'elle n'est pas en public, c'est une perverse qui aime se faire prendre. Fort.

Histoire :

Je ne peux pas dire que j'ai été malheureuse. Est ce que j'ai été seule? Oui. Mais malheureuse, jamais. Je suis née dans l'aristocratie anglaise, d'un père anglais et d'une mère japonaise. Mon père avait totalement le contrôle sur ma mère donc j'ai vécu une bonne partie de ma vie en Angleterre, entouré de majordomes et de femmes de chambre. Mon père travaillait trop et ma mère buvait beaucoup, je ne les voyais presque pas. Au lieu de ça, je passais mon temps avec mes nourrices et mes domestiques. Ce sont eux qui m'ont élevés. Ce sont eux qui m'ont appris mes premiers mots, vu faire mes premiers pas et qui m'ont aider à grandir pour devenir une petite fille exemplaire. Une vraie petite poupée aux yeux de tous. Mes parents étaient fiers, celle qui ne bougeait pas quand on lui disait de rester là, celle qui souriait toujours en public, celle qui ne tachait jamais ses robes, qui mangeait toujours proprement. Une petite fille modèle. Discrète, calme, parfaite. Ils n'ont jamais voulu de deuxième enfant. Comment un deuxième enfant pourrait se mesurer à tel perfection? J'ai passé mon enfance dans les plus grandes écoles anglaises avec les meilleurs professeurs. Rien n'était assez beau pour mon père qui dépensa des fortunes pour montrer sa fille parfaite. J'étais studieuse, attentionnée, délicate et prude. Quel beau modèle.

Quand est venue le choix de mes études supérieurs, je me suis rapidement tournée vers la médecine, ce qui a ravit mon père. Une médecin dans la famille, quelle classe pour son statut. Il m'a toujours soutenu dans cette direction, m'encourageant à postuler dans toutes les écoles du pays. Ce que j'ai fais. A l'exception d'une. L'université de Seikusu, Kyoto. Dans laquelle je fus accepté très rapidement. Ca, ça n'a pas plu à mon père. Le contrôle qu'il avait sur ma vie lui convenait, il savait de qui j'étais entourée, il connaissait toutes mes relations, il savait ou j'étais en permanence et c'était le principal pour lui. Mais une université à l'autre bout du monde, c'était plus difficile. C'est pour cette raison que j'ai dis oui. Oui à une vie loin de mon père, loin de son contrôle, loin de la routine, loin de la facilité. Là bas, je pourrais découvrir qui j'étais vraiment et pas rester la petite fille bien mignonne de son papa. La liberté m'ouvrait les bras. Il y a eu beaucoup de débats, beaucoup de cris à cause de cette décision. Mon père refusa d'abord de payer pour que j'aille étudier aussi loin. Trop de complications, trop de papiers, trop de contrariétés. Mais j'ai fini par le convaincre en lui proposant d'y aller seule, sans son aide financière, sans qu'il puisse surveiller mes moindres mouvements. La fille de Monsieur Grace qui vadrouille en toute liberté à l'autre bout du monde, c'était impossible pour lui, il accepta donc de tout payer, les études, l'appartement, la voiture. Tout pour que sa chère et tendre petite fille ait tout le confort et la surveillance appropriée pour son titre. Et ainsi, j'ai obtenue ma liberté.

Mon arrivée à Seikusu a été étrange pour moi. Beaucoup de nouveauté, beaucoup trop d'un coup. La séparation du manoir familiale, l'absence de majordomes et nannies dans ma vie, la pression sociale et académique levée. J'avais 18 ans mais je n'avais jamais vécue. Alors j'ai commencé à rencontrer des gens, à avoir des amies, à faire la fête. Pour la première fois de ma vie, personne n'était derrière pour épaule pour regarder mes moindres faits et gestes. Mes premières amies riaient de mon manque d'expérience dans tout. L'alcool était inconnu pour moi sauf dans le verre de ma mère, mes premières gorgées de bières les ont fait mourir de rire. La saké aussi, puis tous les autres alcools forts. Nous avons tous testés. La petite fille parfaite n'avait plus à être parfaite et elle se lâchait. Avec l'alcool, il y a eu les garçons évidement. Elles m'ont regardé draguer ou essayer de flirter avec des garçons ivres dans des bars, commencer à les toucher, à les apprivoiser. Je goutais tout doucement à la liberté et aux joies du corps des autres. Mon premier baiser fut une catastrophe, alors ma première fois, n'en parlons même pas. C'est après que ça a dérapé. L'exploration a continué. De coucheries classiques avec des hommes classiques, c'est passé à plus haut, plus loin, plus fort. Les coucheries n'étaient plus classiques, les hommes non plus. C'est devenu plus violent, plus dark. J'ai découvert que le jeu maître-esclave me plaisait énormément, que me soumettre à quelqu'un d'autre était presque une seconde nature pour moi. Les cordes, les jouets, tout est devenu attractif et même excitant. Quel pull doit on porté alors qu'on a été attaché à un lit pendant 4 heures et que ça a laissé des marques sur mes poignets? Comment cacher les traces de fouet dans mon dos en plein été? Comment garder l'apparence d'une petite fille modèle alors que je deviens une vraie petite perverse?

Mes quelques années à Seikusu m'ont aidé à me libérer. Aujourd'hui, mes études de médecine me prennent beaucoup de temps et d'investissements, mais j'essaye toujours de trouver du temps pour mes activités extra- scolaires. L'important c'est ça, trouver un bon équilibre.

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