Le Grand Jeu

Plan de Terra => Les contrées du Chaos => Discussion démarrée par: Draven Dairn le mardi 05 mars 2024, 19:22:39

Titre: Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Draven Dairn le mardi 05 mars 2024, 19:22:39
Je regardais la personne qui me faisait face. Était-il sérieux ? Il parlait vraiment de rembourser à dette ? Bon, d’un autre côté, il avait une larme qui lui chatouillait la glotte. Donc normal. Mais bon, il semblait si habile de sa langue jusque-là, pourquoi est-ce qu’il faisait la carpette maintenant ? La perspective de ne pas la perdre, sa lague, justement. Je souris l’air mauvais. Je le dominais de ma hauteur, lui était placé au sol, couteau sous la gorge, littéralement.

« Tu es sur ? »

 « Oui, oui, bien sûr ! Et j’ai un tout nouvel arrivage ! Servez-vous ! »

Il avait la trouille, il chougnait même…. Spectacle écœurant. Je pariais qu’il faisait le fier avant mon arrivé dans sa boutique… maintenant ce n’était plus le cas. Je m’écartais et je lui donnais un petit coup de pied.

« Allez, lève-toi et montre-moi ta marchandise. »

Péniblement, l’adipeux se leva, sa grosse bedaine le ralentissant dans sa tâche. Les marchands pansus étaient légion. Preuve que le commerce florissait pur eux. Et les marchands d’esclave, c’était une race à part qui prospérait en permanence tant qu’ils avaient du stock.
Devenu presque servile, sans doute que sa face démolie aidait à cela, il se dépêcha de se diriger vers un coin de sa boutique ou de petites cages étaient entreposées. Enfin, petites… on tenait debout dedans, mais c’était bien tout. Elles étaient réduites au maximum pour permettre d’en stocker davantage. Pour la plupart, c’étaient de pauvres hères, trop maigres, trop hagardes pour avoir le moindre intérêt. Même le joyau de sa collection, une elfe aux cheveux de feu, semblait bien pâlichonne. Et pas pâlichonne diaphane, pâlichonne malade.

« Non, rien ne me satisfait. Je vais devoir prendre ta vie. »

Ton détaché, comme si le tuer ne me dérangeait pas plus que ça. En fait, la seule chose pénible à cela, c’était que ça pouvait être salissant.

 « A...Attendez, j’ai une dernière pièce à vous proposer. Elle st arrivée ce matin. Elle a été prise hier dans un raid d’un village. Ce n’est qu’une pécore, mais elle est très jolie, vous allez voir… je ne vous l’ai pas proposée parce qu’elle n’a pas encore été dressée ni rien. Et puis, elle n’a rien de noble ou d’altier, ce n’est qu’une vulgaire paysanne… »

Je soupirai.

« Montre toujours. »

Il se précipita et le voir presque courir étaiut comique, je le reconnaissais. Ça m’amusait beaucoup. Il se dirigea vers une autre pièce, bouclée, et prit une lanterne et un fouet.  Il ouvrit la porte en retirant la barre et mit la lanterne à l’intérieur.

 « Toi là, sort, quelqu’un veut te voir. »

Il menaça du fouet et eut une réponse positive avant même qu’il n’ait besoin d’user de fouet. Une jolie jeune femme sortit. Elle avait une robe qui semblait avoir vécu et qui avait été largement déchirée. Sans doute n’avait-elle pas eu d’autres frusques depuis qu’elle avait été capturée.

 « Voilà ma plus fraiche arrivée… »

« Voyons voir cela… »

Je m’approchais et je venais saisir son menton, écarter les lèvres et voir les dents. Saines et blanches.

« Quel est ton nom ? »
Titre: Re : Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Marguerite Clairbois le mardi 05 mars 2024, 20:41:55

Quel destin tragique que celui de la petite roture. Passer une vie à trimer sous le joug d'un seigneur pour à peine avoir de quoi survivre au bout du compte et rester à la merci des monstres, des maladies ou dans le cas précis, des bandits et kidnappeurs de bas étages.

La douce Marguerite avait ainsi été capturée. Ce n'est pas la seule du lot mais en tout cas c'est la seule qui avait été suffisament jolie pour être gardée. Elle avait été rudoyée bien sûr, ses membres portent les stigmates d'une lutte desespérée et l'état de sa robe montre que des mains mal avisées avaient déjà voulu voir les rondeurs que le tissu dissimulait.

Et elle s'est retrouvée ainsi prisonnière, dans cet endroit inconnu qui sent la tristesse et qui semble si loin de chez elle. Elle a vite compris que personne ne la prendrait en pitié et que elle avait intérêt à se montrer docile en tout si elle voulait échapper au pire. C'est une leçon qu'elle a eu l'occasion d'apprendre à ses dépends, ses fesses se souvenant encore des cruels coups de lanière qui lui ont été assénés en paiement de son indocilité.

C'est ainsi une jeune femme vaincue qui s'avance quand on le lui demande. Visage bas, c'est à peine si elle ose jetter un coup d'oeil craintif vers les deux hommes avant de s'immobiliser devant eux. Elle a bien en vain tenté d'arranger au mieux de dissimuler son corps exposé avec les lambeaux de tissu restant. Les jupons déchirés et possiblement coupés à la dague laissent voir jusqu'à ses cuisses striées de marques rouges là le fouet a eu l'occasion de la mordre. Son corset dont une des bretelle a été totalement déchirée ne parvient plus à cacher une poitrine généreuse que la jeunesse rend insolemment ferme. On peut deviner à son allure les tourments que ceux qui l'ont capturée lui ont déjà infligé.

Docile, elle  laisse l'homme l'examiner, comme un animal sur le marché. Son regard brillant croise celui de l'homme à travers le rideau de ses cheveux châtains défaits. Son menton tremble d'une émotion contenue alors qu'elle répond d'une voix effrayée.

- Marguerite, m'ssire.

Elle écarquille alors les yeux alors et son regard se dirige aussitôt vers le fouet tenu par l'homme à côté d'eux. Effrayée, elle se hâte de se corriger.

- ... maître !

Peut-être que si elle avait été dans un état normal, elle aurait remarqué la tension à couper au couteau qui règne dans la pièce. Le marchand au ventre rebondit est aussi effrayé qu'elle si ce n'est davantage encore. Celui ci se passe nerveusement la langue sur les lèvres, visiblement nerveux. Il bégaye presque quand il affirme.

- Vous voyez ? Et elle commence déjà à obéir.

Ils étaient maintenant deux à rester suspendus aux lèvres de l'étranger aux cheveux de feu. Visiblement le sort de l'un comme de l'autre semblait suspendu à son unique bon vouloir ...

- Prenez la, elle est à vous ! Essayez la même sur place si ca vous chante !

Plaide t'il enfin, dans l'espoir d'amadouer ultimement son débiteur.
Titre: Re : Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Draven Dairn le mardi 05 mars 2024, 21:14:15
La terreur de la jeune femme, pardon, non, ; de la marchandise, était d’une sainte » évidence. Bien évidemment qu’elle était terrorisée ; elle venait d’être capturée, et elle avait à faire à un porc pouvant parler mais qui avait un fouet à la main et dont il savait se servir. Peut-être même avait-il déjà eu recours au fouet avec elle, pour ce que j’en savais. Donc il était normal qu’elle soit terrifiée. D’ailleurs, sa simple diction le montrait et sa reprise le montrait également ; elle avait vite réagi, mais clairement avec la peur du fouet.
La lanterne projetait sur son corps des lumières qui dansaient un peu mettait en avant quelques marbrures sur ses bras et même la marque des fers qui l’avaient tenue attachée pendant son transport ; enfin, des fers, je pariais sur une simple corde en chanvre.
Je claquais de la langue, un peu, en entendant son nom. Preuve de mon évidente désapprobation.

« Marguerite donc. C’est trop long. Nous verrons peut être ensemble pour en changer plus tard. »

Autant être honnête sur le sujet. Je lui fis un sourire plutôt doux, néanmoins.

« Je ne te ferai pas de mal tant que tu seras docile… »

Elle avait une tenue qui montrait qu’elle avait au mieux été palpée, au pire été déjà visitée mais je ne faisais pas de commentaire. Néanmoins je plissais le nez. Les conditions de voyage avaient dû être peu enviables.
Je ne regardais même pas grand du bide en répondant.

« Tais-toi et laisse-nous. »

Il sembla hésiter. Je lui décochais un regard mauvais, il lâcha la lampe qui s’éteignit et s’écrasant au sol et fila.

« Retire-moi ces oripeaux. Que je puisse voir de quel bois tu es faite. Et ne joues pas à la bête pudique. Ça n’a aucun intérêt. »

Je lui lâchais le menton et je lui donnais une petite tape sur la hanche pour l’encourager avant de m’éloigner d’un pas ou deux pour qu’elle puisse prendre ses aises. Mais cela ne n’empêcha pas de lui parler, ou plutôt en la mettant sur le grill avec des questions sur elle.

« Donc tu as été capturée dans un raid. Tu sais faire quoi ? »
Titre: Re : Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Marguerite Clairbois le mardi 05 mars 2024, 21:50:17
A la mention de changer de nom, Marguerite parait choquée mais aucun son ne sort de sa bouche. Ses yeux se remplissent de larmes alors que les instructions se suivent et la jeune paysanne finit par déglutir.

- J'serai docile ...

Et avec un temps de retard, elle ajoute.

- ... maître

L'homme qui lui donne des instructions chasse l'autre sans aucun ménagement. Il fila sans demander son reste et une bonne partie de la luminosité avec lui. Marguerite comprend sans peine que l'homme avec qui elle reste est LE donneur d'ordre ici. Le seigneur des lieux en quelque sorte.

Elle reconnait sans peine le regard qu'il porte sur elle. Beaucoup l'ont lorgnée ainsi au cours de sa vie ... elle sait exactement ce qu'il signifie. La tête basse, la mine contrite, elle écoute. Elle semble indécise quand il prononce le terme "oripeaux". Un terme évidemment inconnu pour l'inculte paysanne qu'elle est. Elle lève vers lui un regard incertain, hésitant pendant de longues secondes avant que la signification ne lui apparaisse avec le contexte.

Sans un mot, elle défait la bretelle restante de sa robe. La pesanteur fait le reste. Lentement, le tissu glisse sur sa peau jusqu'à tomber à ses pieds, dévoilant son corps joliment dessiné. L'instinct de la jeune fille lui hurle de croiser les bras, de tenter de se cacher. Mais elle sait que ce serait vain ... et ne ferait qu'impatienter l'homme. Alors elle se force à rester immobile, poings serrés, bras alignés le long de son corps. Le regard rivé au sol, elle répond.

-J'suis paysanne, m'ssire. J'élève les bêtes ... j'trime aux champs ... Et j'travaille aussi dans la taverne d'Olaf ... pour servir les clients  ...

Que dire d'autre ... ? C'est une fille de la campagne ordinaire. Banale si on excepte son bien joli minois. Elle n'est pas savante et ne sait même pas déchiffrer l'écriture ...
Titre: Re : Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Draven Dairn le mardi 05 mars 2024, 22:03:57
Et voilà les larmes. C’était une bonne chose. Mon sourire doux montait difficilement aux yeux, et l’imaginer en train de chouiner risquait fort de faire surgir un peu d’agacement. Là, tout de suite, je ne voulais pas qu’elle chouine. Je voulais qu’elle me montre ce qu’elle avait et qu’elle me dise un peu ce qu’elle valait. Enfin, vite fait quoi. Je ne m’attendais pas à grand-chose…
Elle sembla hésiter mais finit par se résigner et elle se retint même, je le vis à ses poings serrés, de se cacher. Je me contentais de faire un signe de tête positif. Qu’elle voit que j’avais compris que je luttais.

« Jouer les pudibondes ne servirait à rien. »

Enfin, nue, elle me répondit à nouveau. Elever des bêtes, servir à la taverne, trimer aux champs. Au moins, escomptais-je, savait-elle faire le ménage. Et donner de sa personne.
Je lui tournais un peu autour, pour l’examiner sous toutes les coutures.

« Tu es peut-être une bouseuse, mais il va falloir changer certaines choses. Notamment avec une hygiène impeccable. Tu as besoin d’un bain pour retirer l’odeur de cul terreux. Pour le reste… »

Je revenais devant elle et je venais soupeser sa poitrine, ferme et généreuse, comme n’importe quel mâle dignement constitué aimerait, mais sans l’excès qui le faisaient pendouiller. Bien. C’était une bonne chose. Je le faisais un peu sauter dans la main.

« Si tu as le moindre instant de recul tu seras frappée. »

Autant al prévenir avant que n’arrive. Je pressais le mamelon, puis je lâchais, faisais pareil avec l’autre. Puis je retournais derrière elle pour lui donner une petite claqur sur la croupe pour en tâter la fermeté. Ça allait.

« Ma foi, tu n’as pas l’air si mal pour le moment… tu es une paysanne donc je suppose que tu n’es pas vierge et que tu soulèves tes jupons pour une pièce de cuivre ? Au moins seras-tu bonne à ça et à lessiver les sols. Si tu es dégourdie tu devrais t’en sortir. »
Titre: Re : Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Marguerite Clairbois le mardi 05 mars 2024, 23:19:29
La pauvrette ne manifeste pas la moindre velléité de révolte lorsqu'elle se fait rabaisser par les paroles de l'homme. Sans doutes a t'elle passé sa vie entière à se faire traiter ainsi par "les grandes gens", qu'ils soient nobles ou bourgeois bien installés. Une seule chose la fait tiquer au point d'oser réagir d'une voix faible.

- J'me lave ... maître ...

Du moins en temps normal. Quand elle n'est pas violentée et trainée dans la poussière comme aujourd'hui. Bien sûr, elle ne sera jamais aussi propre et nette qu'une bourgeoise à la peau rose ... mais Marguerite va tout de même à la rivière quand le temps le permet et utilise un baquet d'eau chaude lors des saisons les moins clémentes !

La prisonnière frissonne et se force à ne pas ciller quand l'homme s'approche d'elle et la palpe comme si il tâtait une vulgaire marchandise. Les instructions qu'il lui donne sont limpides et Marguerite semble les prendre très au sérieux. Poings serrés, elle endure. A sa grande honte, elle ne peut empêcher ses tétons de durcir sous les doigts de l'homme ni réprimer la grimace douloureuse qui plisse ses lèvres à ce moment là.

Elle ne bouge pas plus quand il passe derrière elle et se met à l'examiner de dos. Elle sursaute quand il lui assène une claque sur la fesse et emet un bref glapissement avant de se mordre la lèvre et demeurrer de nouveau stoique.

Les questions que l'homme lui pose la font rosir mais elle ne peut nier les choses.

- Non maître

Dit elle pour confirmer qu'elle n'est pas vierge. Quant à l'affirmation qui consiste à dire qu'elle accepte de soulever ses jupons pour une pièce de cuivre, le rougissement qui lui monte au visage tient de réponse implicite.

- Je ne sais pas maître

Finit t'elle par souffler avant de laisser un silence s'installer. Coeur battant la chamade, son souffle cour fait soulever sa poitrine à rythme régulier. La jeune fille s'efforce à rester immobile, terrorisée à l'idée de déplaire à l'homme qui la domine. Mais il crève les yeux qu'elle se sent perdue et redoute au plus haut point ce qui va advenir d'elle à présent.

Titre: Re : Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Draven Dairn le mercredi 06 mars 2024, 08:58:16
« Possible, mais là, tu pues et tu n’es pas propre. Il va falloir que tu sois correctement lavée, avec un vrai savon et de l’eau chaude quitte à changer l’eau plusieurs fois si nécessaire. »

Je lui fis un sourire et je continuais un peu à la palper. Et du coup, elle semblait comprendre que protester serait la dernière chose à faire. Nue, ici, face à moi, elle ne ripostait ni ne se dérobait. C’était bonne chose. Je regardais la jeune femme avant de finalement lui tapoter la joue doucement. Son visage, lui, avait eu un coup de flotte sans doute tout à l’heure… enfin bon, au moins, nous étions bien partis.

« Bien, tu es assez bien faite, tu seras un bien agréable à avoir. »

Je lui fis un sourire avant de finalement lui caresser les cheveux doucement. Juste au cas où il faudrait les laver, elle venait des champs et du foin, je ne voulais ni poux ni puces chez moi. Donc je préférai prendre des précautions.
Elle répondit à mes questions sans trop broncher non plus, elle obéissait bien.

« Je te remercie pour ces éclaircissements. Donc tu n’es plus vierge et tu tapinais. Je prends note donc de ne pas attendre sur le sujet autre chose qu’une solide connaissance. »

Cette manière de dire les choses était une punition, d’une certaine manière. Son « je ne sais pas » ne m’avait pas davantage plu que cela.

« Allez, viens. Nous partons. »

Je retirais ma main de sa chevelure et je fouillais dans ma besace pour en sortir un tronçon de corde d’environ deux mètres. Je faisais un nœud de pendu et je lui passais celui-ci autour de la gorge. Ce serait sa laisse pour le moment. Je donnais une légère tension à la corde, sans vraiment tirer.

« Je vais nous trouver une auberge où tu pourras être correctement lavée. D’ailleurs tu as peut-être faim ? »
Titre: Re : Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Marguerite Clairbois le mercredi 06 mars 2024, 09:49:14
Les humiliations se succèdent. L'homme prend un malin plaisir à insister sur la saleté de son corps ... puis sur le fait qu'elle ne soit plus vraiment innocente. Elle frémit d'indignation quand il affirme qu'elle tapinait. Ce n'est pas que ce soit entièrement faux ... ni entièrement vrai d'ailleurs ! Comme souvent dans la vie, les choses sont compliquées. Elle mène une vie aussi indépendante que possible pour une serf, sans mari ni parent pour veiller sur elle. A chaque coups dur elle a du se débrouiller seule. Ce qui a pu la mener a ... bref.


L'inspection qu'elle subit semble satisfaire son nouveau propriétaire. Ni parasite, ni trace de défaut évident n'a pu être remarquée. En dehors des contusions dues à sa capture, la jeune femme parait étonnamment fraiche et pleine de santé. Un état de fait surprenant quand on connait les rudes conditions de vie dans les campagnes reculées.

Continuant de se comporter avec elle comme si elle était un animal, il lui passe rien de moins qu'une longe autour du cou. Marguerite se laisse faire mais écarquille les yeux quand il lui annonce qu'ils vont sortie ainsi.

- J'ne vais point sortir nue !

S'exclame t'elle, oubliant un court instant quelle est sa place avant que le regard sévère de l'homme ne le lui rappelle. Sa défiance se dégonfle aussitôt et elle se ratatine sur elle même alors qu'elle se hâte de se rattraper.

- Pardon maître je ... s'il vous plait, j'vous d'mande l'autorisation d'remettre ma robe.

Aussi triste et déchiré soit son vêtement, c'est sa toute dernière possession, sa toute dernière source possible de pudeur et de dignité. Bien plus que son ventre vide et la proposition de repas qu'elle n'a pas eu l'occasion d'accepter à cause de cette affaire, son estomac se noue à l'idée de perdre sa robe. L'abandonner ainsi dans la poussière serait un déchirement dont elle n'arriverait pas à se remettre ...

Titre: Re : Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Draven Dairn le mercredi 06 mars 2024, 20:00:58
Mise en laisse, ainsi humiliée mais ainsi à peu près à sa place, la jeune femme allait devoir me suivre et m’accompagner. Je ne voyais pas pourquoi nous nous serions attardés plus que cela. Je n’avais plus rien à faire ici. Tout simplement. Je lui fis un sourire avant de donner un léger coup sur la laisse pour la faire bouger, mais elle résista un peu, protestant sur sa nudité. Cela partait mal. Je regardais la jeune femme en fronçant les sourcils. Elle semblait avoir du mal à me montrer qu’elle serait docile.

« Non, c’est un lambeau, un chiffon, une loque. Tu auras mieux. »

Je revenais vers elle et je venais saisir son « collier » temporaire.

« Maintenant viens, ne me force pas à m’agacer. Ce serait très mauvais pour toi, Souillon. »

Oui, souillon, voilà comment je l’appelais faute de mieux, j’avais déjà oublié son prénom. Si seulement, elle en avait eu un court, elle aurait pu le garder… c’était quoi déjà ? J’avais un léger trou de mémoire que je ne faisais absolument rien pour combler. Aucune importance, mieux valait trouver un meilleur nom.

« Si tu veux garder ce truc, tu peux, mais ramasses le vite. »

Je commençais déjà tirer sur la corde pour l’entrainer à ma suite, sans vraiment lui laisser le temps de quoique ce soit. En même temps, je n’en voyais pas l’intérêt ; elle avait une forme de pudeur dont elle allait vite devoir apprendre à se passer. Sa dignité, elle allait aussi devoir la laisser derrière elle. Elle était esclave, catin, chienne, ou quoique je désire d’autre. C’était le nouveau sens de sa vie, à mes yeux.

« J’en conclue que tu n’as pas besoin de manger et que tu te passeras de repas ? »
Titre: Re : Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Marguerite Clairbois le mercredi 06 mars 2024, 23:23:22
Sans chercher à discuter davantage, la jeune femme ramasse le vêtement jeté au sol et se retrouve déjà tirée en avant par la laisse de chanvre. Honteuse, tête basse, elle avance en suivant son maître, les lambeaux de sa robe serrée piteusement contre elle.

Sèchement, le maître s'adresse a elle. Elle répond d'une voix faible.

- Si, maître. J'ai faim. Pardonnez moi maître.

La faim ... un sentiment hélas bien connu. Certains hivers de sa vie ont été difficiles pour elle. Elle sait qu'elle pourrait se passer de nourriture si il le fallait ... mais à quoi bon endurer ce supplice si il peut lui être épargné ... ? Quelqu'un de différent se serait peut-être également dit que ca aurait été un moyen d'accumuler des forces en prévision d'une évasion prochaine ... Mais l'idée n'effleure même pas la cervelle bien trop disciplinée de Marguerite. Elle est née Serf et sait qu'elle mourra probablement ainsi. La transition qu'elle est en train de vivre est effrayante mais dans le fond, elle ne fait que passer d'une servitude à une autre.

Ainsi le maître l'entraine donc jusqu'à l'extérieur du bâtiment. Toute bouleversée qu'elle est, elle ne prête même pas attention aux intéractions qu'il peut encore avoir avec le marchand gras avant qu'ils sortent. L'air de la rue lui fait reprendre conscience de sa triste condition et alors qu'elle marche docilement derrière lui, elle lève un regard vers les passants, avec l'espoir que quelqu'un ici s'émouvrait de son cas.

Mais c'est peine perdue. Au mieux est elle aussi invisible aux yeux des habitants de la ville que le serait un chien promené par son maître. Au pire attire t'elle le regard concupiscent de certains qui la lorgnent sans même se cacher.

- Jolie pouliche va même jusqu'à lancer d'un ton approbateur l'un des anonymes badaud quand Draven passe devant. Il avait lancé le compliment au maître sur le même ton que si il avait dit à quelqu'un "Joli chapeau que vous portez". 

Marguerite rougit malgré elle. Elle a l'habitude que les passants la regardent. Et que parfois même ils la sifflent ou l'interpellent. Mais elle est habillée quand cela arrive. Et en situation de pouvoir, d'une manière ou d'une autre, se défendre ou se mettre sous la protection de quelqu'un qui le ferait pour elle. Dans un geste futile, elle resserre son étreinte autour de sa robe, croisant un peu davantage les bras autour d'elle dans une bien vaine tentative de protéger sa pudeur.

Titre: Re : Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Draven Dairn le jeudi 07 mars 2024, 18:53:34
Au moins elle ne se rhabilla pas avec ses frusques lamentables. C’était une bonne chose. Elle semblait par contre un peu jouer à se dissimuler derrière dans la rue, et, partant avec ma belle acquisition, je me disais que je pourrais peut-être en faire quelque chose.

« Bien, allons, te laver ; te vêtir, te nourrir et t’essayer. »

Tout un programme, à n’en pas douter. Restait à voir comment elle se comporterait pour tout ça.
J’échangeais quelques mots avec gras-du-bide et quand il me vit partir avec la jeune femme, il dut s’estimer un peu soulagé. Même pas qu’un peu n fait… je lui fis un sourire – à ma nouvelle chose, hein – et je continuais à avancer dans la rue. Malgré ses lambeaux de tissu, elle était nue et devait sentir un peu le regard des autres, non ? C’était ce que j’espérais... je continuais à avancer d’un pas vif, la forçant à trotter derrière moi à un bon rythme sur les pavés froids.
J’adorai entendre les commentaires d’éventuels passants et je les en remerciais même quand ils osaient dire un mot sur le physique avantageux de l’esclave.

« Tu vois, ils te trouvent à leur gout, alors pas besoin de te cacher. »

Je ricanais un peu avant de finalement me stopper devant la porte d’un établissement que je connaissais bien. Il s’agissait de la rose d’hiver, une auberge haut de gamme où j’avais mes habitudes et où j’avais justement une chambre – pour ne pas dire une suite – ces derniers jours… je tirais un peu plus sur la corde et j’entrais dans les lieux faisant retentir une petite cloche d’argent à l’entrée. Une femme d’Age mur s’approcha.

« Monsieur Dairn, merci de votre confiance entre établissement. »

Elle je un œil passablement dégouté à la jeune femme en laisse.

« Je vous fait préparer un bain bien chaud et tout le nécessaire ? »

« Oui, je vous prie. Et un repas copieux s’il vous plait. Pour une personne et une esclave, s’il vous plait. »

Je sortis de ma bourse une pièce d’or que je déposais sur le comptoir.

« Bien sur… immédiatement même. »

« Je vous remercie. Allez viens. »

Je donnais une petite traction à la laisse et je montais par un joli escalier de bois ouvragé jusqu’à arriver devant une porte que je poussais. Voilà, mon chez moi pour encore deux ou trois jours. Très bien.
Il fallut moins de dix minutes pour qu’une jeune femme entre à son tour après avoir frappé pour se diriger vers la salle d’eau où elle se mit à remplir la baignoire de cuivre et, posant ses mains contre le métal, elle le fit chauffer. Les ESPer domestiques étaient quand même bien pratiques.

« Allez, au bain, Souillon ! »

Je lui retirai la corde.
Titre: Re : Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Marguerite Clairbois le jeudi 07 mars 2024, 20:27:09

Malgrès la détresse dans laquelle la situation plonge Marguerite, elle ne peut s'empêcher de se dire en son for intérieur "Bien sûr qu'y m'trouvent à leur goût. J'suis belle. Beaucoup d'hommes passent leur temps à m'reluquer et on sait bien c'qu'ils veulent tous". Ce n'est pas une nouveauté et c'est ainsi depuis bien longtemps, même à son village. La pensée que ces pervers auront à se contenter de regarder sans jamais avoir l'occasion de l'importuner en raison de la présence de son maître est une bien maigre source de satisfaction pour elle vu qu'elle finira par passer à la casserole sans qu'elle ait son mot à dire quoi qu'il arrive. Le maître a été très explicite là dessus et elle s'y prépare déjà psychologiquement ...

Le trajet dans la rue est court. Elle se fait plusieurs fois encore siffler et traiter de choses .... que quelqu'un de très optimiste pourrait qualifier de flatteuses. Ce sont bien les seules choses qu'elle récolte de la part des passants. Aucune marque de sympathie ni même de regards qui montreraient qu'on la considère comme autre chose qu'un animal domestique.

L'entrée dans l'auberge est l'occasion d'enfin entendre le nom de son maître. "Monsieur Dairn". L'employée lui témoigne une déférence servile alors qu'elle n'a pour elle qu'un regard de mépris ... Le genre de regard qu'elle a reçu tout au long de sa vie de la part des bourgeois bien installés. Marguerite reste à sa place au cours de cet échange. Silencieuse, en retrait, le regard bas. Elle ne veut pas donner à son maître davantage de raisons de se mécontenter. Peu envieuse de sentir de nouveau le chanvre se serrer autour de son cou, elle se hâte d'avancer par petits pas empressés quand l'homme intime l'ordre de marche. Au terme de l'ascencion très rapide d'un escalier bien plus beau que tous ce qu'elle a pu voir au cours de sa vie, elle pénètre dans les lieux à la suite de son maître. L'homme lâche la laisse. Il l'abandonne là, dans l'entrée, sans davantage d'explications. Elle ose lever un instant le regard vers lui mais visiblement il ne se préoccupe pas un seul instant d'elle. Il l'a laissée là, comme on abandonnerait un accessoire dont on a plus besoin, avec l'intention possible de s'en resservir plus tard ... ou pas. Selon son bon vouloir.

Sentant confusément qu'il s'agissait encore là dune mise à l'épreuve de sa docilité, la jeune femme attend donc, sa robe en lambeaux toujours serrée contre. Et commence une longue attente pour aller, alors que son côté son maître semble simplement se détendre et mener des occupations dont elle ne peut deviner la nature de là où elle est. Le seul mouvement qu'elle s'autorise est un pas de côté quand entre une femme de chambre. Une employée dont elle croise le regard un bref instant et dont l'expression semble indéchiffrable et distante. Elle passe devant Marguerite sans lui adresser un mot et se montre en revanche d'une amabilité servile envers son client. Sans qu'elle ne comprenne comment pareil prodige est possible, il ne faut pas une minute pour qu'elle annonce que le bain a été préparé et pour que le maître lui intime l'ordre de se laver.

- Oui maître !

Répond t'eller avec empressement. Pour une fois qu'un ordre lui est agréable, elle ne va pas se priver pour y obéir ! Marguerite rêve de se laver depuis le tout premier moment où les hommes qui l'ont capturé ont osé poser leurs vilaines pattes sur elle. C'est avec un soulagement palpable qu'elle se dirige vers la salle d'eau, trop heureuse de pouvoir disparaître provisoirement de la vue de l'homme. Elle découvre une fois entre un baquet remplie d'eau fumante, preuve que contrairement à ce qu'elle craignait, la température allait être agréable.  La vue de ce luxe providentiel est un baume substantiel appliqué sur son petit cœur perdu mais il faut qu'elle gère un autre problème avant : la robe !

Elle est persuadée que son maître voudra la jeter, quoi qu'il puisse en coûter aux yeux de la jeune femme. Et c'est quelque chose qu'elle n'est pas prête à admettre. Elle fait rapidement le tour de la salle d'eau du regard et avise un meuble qui ressemble fort à une armoire qui contient les draps de bains. Preuve qu'elle peut parfois être vive d'esprit, la jeune femme jette son habit par dessus le coffrage du meuble, au delà de la vue de quiconque. C'est un geste sans doutes futile mais cette toute petite bravade secrète compte beaucoup pour elle. L'interlude n'a pris que quelques secondes et elle se hâte alors de rentrer dans le baquet qui l'attend.

Le contact avec l'eau chaude est un ravissement, même si elle ravive la douleur sur les blessures superficielles qui couvrent ses membres. Marguerite frotte sans retenue et même avec une certaine frénésie sa peau marquée. Elle utilise pour se faire la brosse qui avait été laissée à sa disposition. Que l'homme finisse par entrer pour la reluquer ne lui importe pas. Elle connait de toutes façons ses intentions et doute qu'il soit bien différent d'un homme ordinaire de ce point de vue ... Il lui imposera sa volonté, au moins provisoirement. Mais il ne pourra pas lui retirer le moment d'apaisement qu'elle est en train de vivre. De grisâtre, poussiéreuse et même encroûtées de sang par endroit, sa peau devient rapidement rose et fraiche comme celle d'un bébé, sous l'action combinée de la chaleur et du décrassage vigoureux auquel elle s'adonne. Jambes, bras et entrejambe sont les toutes premières zones à être ainsi lavées. Ce sont les endroits où elle a le plus souffert, d'une manière ou d'une autre ... Elle ne ralentit la cadence qu'une fois ces choses faites ...

Il y a encore beaucoup à faire pour se redonner complètement allure humaine mais c'est ce qu'on peut appeler un bon début.
Titre: Re : Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Draven Dairn le mardi 12 mars 2024, 13:42:43
Enfin, elle mériterait, possiblement, de ne plus être appelée Souillon... je lui souris et je la regardais se diriger vers la salle de bain pour prendre le temps de se laver comme il fallait. Je n’étais pas du genre à apprécier trop les paysannes qui n’étaient pas propres. C’était pour cela que je ne m’étais même pas ennuyé à la tester sur place. Là, quand je la testerai, ce serait bien plus agréable comme ça. Je me désintéressais ‘elle et je réceptionnais même le repas pendant qu’elle était en train de se laver. Je mangeais pendant que c’était chaud et je déposais mes restes dans une écuelle, au sol. En espérant qu’elle ne serait pas pudibonde au point de refuser de diner de la sorte. Je ne la forcerai pas à cela .
Mais il restait normal qu’elle ne soit pas nourrie au même niveau que le maitre. N’est-ce pas ?
Par contre, il y avait des chances que ce soit froid, si jamais elle prenait trop de temps à se laver.
Mais je préférai qu’elle prenne le temps nécessaire. Y compris pour se laver aussi l’intérieur. Parce que vu son usage, cela allait s’avérer nécessaire… et je ne parlais même pas des cheveux… qui savait si elle n’avait pas de poux ou deu puces ? On pouvait s’interroger sur le sujet…

Je déposais un verre de vin coupé à l’eau à côté de l’écuelle, et, pour me simplifier la tâche, j’y versais un peu de cette poudre qu’utilisaient les marchands d’esclaves pour encourager les envies perverses des esclaves, les rendant plus facilement vendables. Voilà de quoi la rendre plus coopérative. Je ne comptais pas user de cela en permanence, mais si cela pouvait un peu aider. C’était une bonne chose.
Enfin, je finissais par réclamer pour elle une tunique ; le genre de tenue parfaitement indécente qui, par transparence, ne cacherait rien de son physique, mais qui la couvrirait un peu du vent et du froid à l’extérieur.
Restait plus qu’à la voir revenir de la salle de bain.

Quand enfin elle revint de la salle de bain, je lançais alors.

« Eh bien ! Ce n’est pas trop tôt ! Tu es propre comme un sou neuf au moins ? de partout ? A l’intérieur aussi ? » [/i]

J’attendais une réponse avant de lui indiquer le verre et l’écuelle posés à côté de mon fauteuil, par terre. Je m’installais confortabelement et je lui disais.

« Mange, c’est froid mais c’est de ta faute, il fallait être plus rapide dans ton bain. » [/i]
Titre: Re : Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Marguerite Clairbois le mardi 12 mars 2024, 15:03:20

Ce n'est que de longues minutes plus tard que Marguerite ressort de la salle de bain. La pause qu'elle s'est accordée pour se donner meilleure figure lui ont fait beaucoup de bien, elle doit se retenir de sourire pour ne pas paraître impertinente face à l'homme qui la possède désormais. Sa peau est rouge par endroit d'avoir frotté, cheveux propres, peignés et encore humides, la petite en est presque méconnaissable. Elle a hésité longuement à s'emmaillotter dans une des serviettes pour sortir, mais elle avait redouté que l'idée ne déplaise au maître ... elle s'en est donc abstenue et se présente ainsi devant lui dans le plus simple appareil, pieds nus sur le plancher et le regard bas.

- Oui maître, je suis lavée.

Répond t'elle docilement. Quant à précision qu'il demande sur "l'intérieur", elle pince les lèvres mais ne répond pas. Elle voit très bien où il veut en venir. Il va faire d'elle ce qu'il veut et elle ne pourra rien à y faire hormis accepter l'idée. Ce ne sera pas la première fois qu'elle se donne à un homme dont elle n'a pas vraiment envie de toutes manières ... et puis une manière positive de voir les choses est que ce sera probablement plus agréable que le marchand gras ...

Un repas l'attend et au moins pour ça elle peut se montrer reconnaissante. L'ombre d'un sourire effleure d'ailleurs ses lèvres.

- Merci maître.

Le remerciement parait sincère. Même si ce n'est pas l'idéal, c'est jusqu'à présent plus d'égards que ce qu'elle n'en a eu jusque maintenant. Que le repas ait été posé au sol est une humiliation qui lui rappelle sans l'ombre d'un doute quelle est sa place. Il ne vient même pas à l'idée de l'ex paysanne de protester. Elle s'approche et s'agenouille au sol aux côtés du fauteuil de l'homme sans rechigner, à portée de sa main comme si elle était un animal obéissant. Il tiendra qu'à sa volonté de fournir caresse ou bien punition à sa nouvelle acquisition.
 
Marguerite se retrouve nourrie, lavée et abritée dans un endroit chaud. Si on omet les intentions lubriques de l'homme à son égard on peut considérer qu'elle n'est pas si mal lotie au bout du compte. Le changement de propriétaire se traduit jusqu'à maintenant par des améliorations notables dans ses conditions de vie.

Elle mange en silence. Avec les doigts s'il ne lui a pas laissé de couverts à sa disposition. Elle puis elle finit par remarquer qu'un verre de vin est posé à côté de sa part. Elle jette un regard oblique à son maître, incertaine de savoir s'il s'agit d'une nouvelle mise à l'épreuve de son obéissance.  Elle le regarde, regarde le verre. Elle hésite longuement et puis renonce finalement à prendre la parole sans avoir été invitée à le faire, de peur d'enfreindre une règle inconnue. Elle n'ose donc pas pour l'heure à l'alcool ... Ce qu'elle trouve bien dommage car un peu de vin lui ferait sans doutes le plus grand bien pour affronter ce qui risque d'arriver par la suite ...

Titre: Re : Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Draven Dairn le mardi 12 mars 2024, 21:07:19
Elle avait compris le principal et elle essayait de se montrer à la hauteur. Je lui fis un sourire avant de finalement lui faire un sourire alors qu’elle approchait. Elle avait renoncé à faire preuve de pudeur, ne dissimulant ni son sexe bien rasé, ni ses seins généreux. Brave fille. Elle avait un minimum d’intelligence. C’était une très bonne chose. Je lui fis un sourire et je l’invitais à venir manger son repas froid. Elle avait de la chance, elle mangeait comme moi. La veinarde. Elle n’aurait pas toujours un avantage pareil. Elle aurait.

« Tu vois, tu es bien plus jolie, bien plus désirable, quand tu es toute propre… » [/i]

Je lui caressais les cheveux encore légèrement humides.

« C’est dans tes devoirs de le rester. Je n’aime pas les saletés et les imperfections. Surtout sur ce qui m’appartient. Alors fais en sorte que je n’ai pas à te demander de le faire. » [/i]

Je lui souris et je la laissais alors manger tranquillement, sans l’interrompre ni rien lui demander. Je la laissais savourer son repas, alors, en mangeant avec les doigts… elle aurait pu mettre la frimousse dedans quand même. C’eut été la moindre des choses mais je ne relevais pas, j’avais plus important à m’occuper en fait. Je la laissais déguster et je venais poser un genou à terre à côté d’elle, soupesant le sein ferme… bien plus doux comme ça. Je pressais doucement la pointe pour revoir sa tendance à pointer facilement, avant de donner une petite tape douce. Puis je venais caresses ses hanches, pleines, voluptueuse. Brave fifille, elle avait quand même une bonne conformation physique. Il fallait le reconnaitre.

Je continuais une exploration plus minutieuse de son corps, venant saisir ses fesses, les pétrir, les écarter, pour admirer la vue de son étoile brune et de sa fente, dont je venais saisir ses petites lèvres pour les écarter un peu, quitte à tirer un peu dessus pour cela et voir la vue qu’il y avait à l’intérieur.

« Ma fois, ça n’a pas l’air mal tout ça. Je crois que j’ai fait une bonne affaire ; » [/i]

Je donnais une petite claquer sur son fessier.

« Arrête de manger. » [/i]

Je la redressais par les cheveux si elle n’arrêtait pas de manger.

« Tu vas me sucer avant de finir ton plat, histoire d’ajouter un peu de crémeux à ton repas. Il n’est pas trop sec d’ailleurs ? Tu sais que tu peux boire si tu veux. » [/i]
Titre: Re : Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Marguerite Clairbois le mercredi 13 mars 2024, 00:25:03
Le maître la laisse manger. C'est toujours ca de pris pour la paysanne qui ne sait pas quand l'avenir lui permettra de prendre à nouveau un repas. Elle n'avait presque rien mangé depuis sa capture la veille et bien qu'elle soit habituée à endurer les privations, ce repas lui fait l'effet d'une véritable bénédiction. Elle mange avec appétit, même si elle doit le faire avec les doigts. Et le maître assis à ses côtés la regarde. Il ne peut pas s'empêcher de commenter tout en lui caressant les cheveux, comme si elle était un animal. Ce contact non désiré la fige pendant un bref instant avant qu'elle ne prenne sur elle pour  continuer son repas comme si de rien n'était. Elle craint les réactions de l'homme si il advenait qu'elle tente d'échapper à cette caresse qui est bien davantage une marque de domination qu'un geste d'affection.

Ainsi son maître lui parle. Il la félicite d'être propre, de s'être rendue plus désirable ainsi. Et il lui ordonne surtout de se maintenir propre d'elle même, sans avoir à le lui ordonner. L'instruction fait avoir un sourire doux amer aux lèvres de Marguerite qui répond un simple.

- Oui maître.

Elle n'aura aucune difficulté à respecter cet ordre. Avoir à se maintenir propre elle plutôt que nettoyer à longueur de temps une étable puante c'est définitivement une amélioration de son quotidien. Se taire et se faire belle, elle se sent définitivement de taille pour ça ... Elle doute cependant que son oeuvre ici s'arrête à ces deux choses ...

Marguerite se remet à manger, nez baissé obstinément baissé sur l'assiette devant elle pour éviter le regard de l'homme qui la dévisage. Ce manège dure de longues secondes avant que l'homme ne décide de s'intéresser à elle de beaucoup plus près. Elle tressaille au premier contact alors que les mains de l'homme recommencent à lui imposer des caresses. Ses seins, ses hanches, ses fesses ... Il la force à écarter les cuisses, à se pencher en avant pour pouvoir l'admirer sous tous les angles imaginables, même les plus gênants. La jeune fille en rougit mais n'ose rien dire malgré sa posture résolument figée, comme si l'idée même de respirer en étant si proche du maître lui faisait peur. L'inspection semble en tout cas satisfaire l'homme qui affirme au bout du compte avoir fait une bonne affaire.

Un sourire empreint d'une vague tristesse effleure les lèvres de Marguerite qui lève un instant le regard vers lui. Le compliment a des relents doux amers pour la pauvre fille qui se retrouve privée de sa liberté. Une liberté passée à gratter la terre et manquer de mourir de faim à chaque hiver, mais une liberté tout de même ... Marguerite hésite puis hasarde d'un ton timide, comme si elle craignait d'offenser l'homme par ses paroles.

- Ne m'avez vous point eu gratuit'ment, maître ... ?  Ca n'pouvait être qu'une bonne affaire ...

Peut-être pour sanctionner l'impertinence de ce propos, l'homme assène soudain une petite claque sur sa fesse. Un geste peu douloureux mais qui la fait glapir de surprise.

L'ordre fuse. Elle repose immédiatement ce qu'elle tenait en main et se hâte d'avaler la bouchée qu'elle avait en bouche. Elle regarde en direction du maître et croise son regard sévère à cet instant. Main levée, il était déjà prêt à sanctionner la jeune femme qui heureusement s'était immédiatement executée.

Les instructions ses poursuivent et ... immédiatement la jeune femme baisse les regard alors qu'il lui intime de le servir d'une manière bien plus crue et directe. Le maître a envie. Il exige un plaisir immédiat. Quelle autre alternative Marguerite pourrait elle avoir à part docilement répondre.

- Oui maître ...

Que se passerait il si elle disait non ? Elle se ferait rosser et de toutes manières prendre de force. Malgré toute sa réticence, elle ne peut qu'admettre que tout cela est bien inutile ... Il ironise. Prétend que sa semence agrémentera son repas. Une perspective qui fait grimacer la jeune femme. Non pas qu'offrir sa bouche aux messieurs lui déplaise d'habitude, mais la chose est présentée de manière si crue et avec si peu de douceur ...

Elle réagit également quand celui-ci annonce qu'elle aurait pu boire son verre de vin.

- Je ne savais pas que j'en avais le droit. Merci maître ...

Elle écarte écuelle et gobelet de vin puis change de position. Toujours à genoux, elle fait maintenant face à l'homme et lève vers lui un regard interrogateur alors que ses mains caressantes se portent machinalement vers les cuisses de celui ci et remonte avec douceur en direction de l'entrejambe de celui-ci.

- Est-c'que vous voulez vous rasseoir, maître ? Ou rester debout d'vant moi ... ?

Avec lenteur, elle approche ses lèvres du membre encore gainé de tissu et de cuir pour déposer un baiser dessus. Un message passé à son maître ainsi qu'une marque de soumission et d'acceptation de sa tâche à venir.
Titre: Re : Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Draven Dairn le mercredi 13 mars 2024, 08:31:18
La jeune femme ne ripostait pas, et elle ne se dérobait pas. C’était une bonne chose. Cela montrait qu’elle avait bien compris sa place, ici. Je regardais et guettais ses réactions. C’était une bonne chose qu’elle puisse se maitriser. Ou alors elle ne faisait pas d’efforts pour ça. Je ne m’inquiétais pas particulièrement de son envie de me faire plaisir. Parce que si ce n’était pas le cas maintenant, ça le deviendrait.
Sa remarque sur le principe de la bonne affaire me fit sourire et je lui donnais une petite tape sur les fesses, amusé par sa réaction.

« Je ne t’ai pas eue gratuitement. Tu es le prix pour solder une dette. Donc tu as une valeur monétaire réelle que j’ai estimé avant de t’embarquer.et je me rends compte que j’ai peut-être sous-estimé ta valeur. » [/i]

Je la laissais méditer ces propos. Notez que je n’avais pas l’intention de la laisser tranquille le temps qu’elle y pense, non, bien sûr. Je lui fis un sourire et je lui caressais les cheveux doucement. Elle avait de beaux cheveux, assez longs pour faire une jolie natte. J’avais toujours trouvé que les esclaves devaient porter des nattes. Une manière de les tenir, de les retenir., en outre le côté strict d’une natte venait montrer une maitrise de soi et d’emprise de son maître.

« Si je pose un gobelet par terre ce n’est pas pour que je me baisse pour le ramasser et boire. C’est ainsi que tu feras la différence. Tes repas seront posés sur le sol. Tes boissons aussi. En plus, c’est à côté de l’écuelle, donc il y a un peu de bon sens à avoir. Tu ne crois pas ? » [/i]

Je la laissais écarter son repas pour ne pas risquer de le renverser, et je la regardais se redresser un peu, prête à exécuter les ordres que je lui avais imposé. Mis je regardais ses mains venir se poser sur moi. Et je leur donnais une petite tape ferme sur celles-ci.
Je m’asseyais néanmoins.

« Tu manges avec les doigts, ne t’essuies pas les doigts sur mes vêtements. » [/i]

Assis, je me chargeais alors de délacer mes chausses et sortir mon sexe et les bourses qui lui étaient liées. Voilà, elle avait devant elle le lourd chibre partiellement raidi. Maintenant, c’était à elle de montrer ses talents. Je ne m’attendais pas à la fellation la meilleure de ma longue vie. Non. Je m’attendais à un travail e rustaude, un peu bâclé, un peu malhabile. Mais je lui laissais sa chance et au pire, je ferai en sorte qu’elle s’améliore, bon gré mal gré.
Titre: Re : Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Marguerite Clairbois le mercredi 13 mars 2024, 15:39:41
C'est vrai, même si elle avait léché discrètement ses doigts avant d'oser le toucher, il n'en reste pas moins vrai que ses mains ne sont pas à la mesure de pouvoir être posés sur les beaux vêtements du maître sans d'une manière ou d'une autre risquer de les souiller. Baissant le regard après l'admonestation, la jeune femme s'excuse piteusement.

- Pardon maître.

Qu'elle ne puisse pas utiliser ses mains est vraiment un contretemps regrettable. Ni caresses, ni va et viens experts sur la hampe qui lui est offerte. Comment dans ces conditions son maître pourra t'il jauger de sa valeur ... ? Car non, l'information ne lui avais pas échappée. Le maître la considère comme précieuse. Il avoue même avoir sous estimé sa valeur semble t'il. Elle ne peut s'empêcher, malgré toute la précarité et l'incertitude de sa situation, s'en réjouir. Peut-être que si elle a tant de valeur à ses yeux la traitera t'il bien et ne lui imposera pas de tâches plus ingrates que d'avoir à coucher avec lui pour le satisfaire et à rester belle et bien disposée à son égard en permanence. Une vie dénuée de liberté mais pas de confort qui ne parait pas pire qu'une autre à bien y regarder.

Voilà pourquoi, quand elle repose ses mains sur ses cuisses nues et qu'elle se penche en avant pour utiliser sa bouche de la manière attendue, Marguerite y met du sien. Cuisses écartées pour offrir à l'homme le spectacle de son corps jeune et bien dessiné, elle offre au sexe présenté des coups de langues habiles et bien placés, destinés à sortir le membre de la semi léthargie dans laquelle il se trouve encore. La posture qu'elle doit prendre pour parvenir à ce résultat presse inévitablement sa poitrine opulente contre les jambes de l'homme. Sans chercher à échapper ni à son regard ni à son toucher, elle laisse son maître profiter du contact avec ses rondeurs, osant même imprimer un mouvement de va et viens avec celles ci s'il semblait apprécier la manœuvre.

Même sans s'aider de ses mains, ses efforts suffisent à insuffler vigueur à la hampe masculine. Quelques coups de langues plus tard, elle lève les yeux vers l'homme et satisfaite de la lueur qu'elle y voit, ouvre la bouche pour accueillir en elle le sexe dressé. Lèvres pleines refermées sur la tige, elle lève et abaisse la tête en rythme, la lubrifiant de salive depuis le gland jusqu'à la base sans que jamais ses dents ne viennent gâcher sa si dévouée prestation.
 
Titre: Re : Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Draven Dairn le mercredi 13 mars 2024, 22:33:05
Au moins, elle était consciente de merder quand elle merdait. Et pas qu’un peu. Je lui fis un sourire avant de finalement lui caresser les cheveux, l’encourageant à faire ce qu’elle devait. Et ce qu’elle devait faire, c’était montrer que mon intuition était la bonne et qu’elle se révèlerait une suceuse plus que correcte. J’étais sur qu’elle en avait l’apanage et pour ça, je comptais sur elle pour ne pas ménager ses efforts.

« Tu vas faire de ton mieux, n’est-ce pas ? » [/i]

Je lui souris, continuant mes caresses alors qu’elle montrait le bout de sa langue pour commencer à lécher et finir d’éveiller la raideur de mon sexe. Fort- heureusement, ce n’était pas quelque chose qu’elle aurait du mal à faire. Elle me donnait envie. Des envies même… alors forcément, cela aidait. D’une certaine manière, il n’y avait pas de questions à se poser sur le sujet. Elle était belle, désirable, plantureuse, évidemment que j’avais envie d’elle. D’autant qu’elle était à moi.
D’un autre côté, ne l’eut-elle pas été, j’aurai sans doute eu encore plus envie d’elle et l’aurai-je forcé, sans passer par l’étape de la fellation ceci dit. Une circoncision surprise était quelque chose de si vite arrivé… même maintenant ceci dit, raison pour laquelle, je ne lâchais pas vraiment ses cheveux. Pour tirer dessus au moindre doute.

« Voilà, c’est bien ma belle… » [/i]

Elle jouait de sa langue tout du long, comme il fallait, et je la guidais par de petits compliments, venant même sentir ses seins contre mes genoux. Elle ne se privait pas pour faire baver. Cette belle paire de loches allait clairement être un excellent terrain de jeu. En plus, elle avait la poitrine sensible, comme beaucoup.

« Quand tu n’utilises pas tes mains, croise les dans le dos, ça te cambrera un peu plus. C’est ça ou alors te masturber. » [/i]

Je regardais la jeune femme, lui souriais, et je la regardais cesser de lécher pour gober, franchement, commençant d’amples vas et viens. Je la laissais maitresse de cette situation, savourant le contact de ses muqueuses buccales. J’avais hâte de sentir mon gland enfoncer sa gorge et heurter sa luette.

« Tu ne te débrouilles pas trop mal… » [/i]

Je venais appuyer derrière sa tête pour la forcer à prendre aussi loin que possible, guettant les hauts le cœur, pour relâcher.

« Tu aimes sucer, n’est-ce pas ? Tu aimes aussi le gout du foutre sur ta langue ? Tua s une bonne tête d’avaleuse… » [/i]
Titre: Re : Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Marguerite Clairbois le jeudi 14 mars 2024, 00:35:21
Marguerite s'était hâtée de hocher la tête à la question de l'homme, sans même prendre la peine de réfléchir.

- Bien sûr, maître !

La paysanne en a la ferme intention du moins ... du mieux possible sans utiliser ses mains. Une restriction frustrante mais elle n'a pas à discuter sur ce choix.

Alors que la jeune femme se met à l'oeuvre avec l'ardeur annoncée, elle reçoit de la part de son maître des caresses. Bien que le geste soit dominateur, le geste est surprenament doux et agréable pour elle.

Aiguillée à la fois par ce geste et par les commentaires appréciateurs qu'elle reçoit, Marguerite redouble d'ardeur. Elle pince ses lèvres avec davantage de force sur le membre afin de lui fournir une caresse plus délectable encore. Elle intensifie par la suite l'amplitude et la vitesse de ses mouvements. Par ce changement de rythme soudain, le stade de la douce entrée en matière était dépassée. On venait d'entrer dans le vif du sujet. Un rythme propre à faire se cabrer de plaisir un homme et pousser à la limite ceux dont l'endurance ne serait pas à la hauteur. Il allait falloir songer à faire ralentir la cadence, sous peine d'arriver à une conclusion rapide de l'affaire ...

Par chance, comme si elle même se rendait compte qu'humilier son maître en le guidant vers une fin prématurée n'était pas une bonne idée pour elle, Marguerite finit par ralentir et revenir à une prestation plus supportable. Obéissante, disciplinée, elle reçoit l'instruction de placer ses mains différemment. L'occasion pour elle de brièvement relever la tête et de demander d'un ton faussement ingénu, ses lèvres encore luisantes de salives ornées d'un beau sourire.

- Préférez vous les voir dans mon dos, maître ... ou bien ici ... ?

Des deux choix proposés, elle choisit le plus provocant. Dressée pendant un bref instant sur ses genoux, elle laisse une main caressante descendre le long de son ventre jusqu'à atteindre l'intimité désirée. Avec des gestes lents, destinés davantage au spectacle qu'à son propre plaisir, elle écarte les lèvres et fait aller et venir un doigt le long de sa fente quo cède le passage sans peine. Dans le même temps de son autre main, elle caresse les rondeurs de ses seins, amplifiant par ce geste le spectacle qu'elle offre à l'homme.

Elle ne fait durer l'interlude que le temps de la démonstration. Ne voulant pas se faire rabrouer d'avoir trop longtemps négligé son devoir, elle reprend le membre en bouche et poursuit son oeuvre avec application. Un travail méthodique qui lui attire de nouveaux compliments.

Désireux peut être de tester les limites de son acquisition, le maître finit par poser la main sur la nuque de Marguerite et la forcer à enfoncer son vit aussi loin en elle qu'elle y arriverait. Ce n'est pas un exercice facile, que celui de réprimer son instinct quand pareille intrusion s'opère. Un gargouillement vague est émis du fond de la gorge de la jeune fille alors qu'elle se fait violence pour réprimer le haut le cœur qui vient naturellement. Ses bons offices à l'Eglise lui reviennent en mémoire, quand le bon curé du village (un saint homme), donnait de lui même pour veiller à son éducation. Lui aussi appréciait beaucoup que sa houlette pastorale aille jusqu'au bout des choses, lors des génuflexions qu'il imposait aux plus dévouées de ses ouailles. Un enseignement qui s'avère aujourd'hui payant alors que la pression sur l'arrière de la tête de Marguerite se relâche et qu'elle peut reculer pour reprendre haleine, à bout de souffle et les larmes aux yeux.

- Oui maître j'adore ça.

Répond elle, le souffle court et le visage rougi alors que des filets de salive tracent de fins sillons le long de son menton et de son cou.

- J'aime aussi l'recevoir sur moi, maître. Finissez où bon vous plaira.

C'étaient de toutes manières exactement ses intentions quoi qu'il arrive, indépendamment de tout ce qu'elle aurait pu en dire.
Titre: Re : Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Draven Dairn le jeudi 14 mars 2024, 08:52:54
Elle avait intérêt à tout donner, et rien que pour ça, elle devait se bouger et montrer tout ce qu’elle pouvait. Je lui fis un sourire avant de finalement la regarder continuer et s’améliorer, faisant montre de ses ardeurs les plus poussées. C’était une nécessité, presque une question de survie. Je l’encourageais doucement, ma main sur son crâne, fermement. J’adorais la situation, le moment que nous passions. Elle comprenait ce que j’attendais d’elle et continuais à sucer, ralentissant parfois un peu le rythme, sans doute peu hâtive de me voir finir ce que j’avais commencé. Et pourtant…

Concernant ses mains, elle s’en amusa un peu, s’en joua, avant de choisir par elle-même, de laisser aller une main vers son bas ventre, se montrant plus proche du spectacle que de la véritable masturbation. Elle savait ce qu’elle faisait ; elle devait avoir une sacrée expérience de catin. Je regardais la jeune femme et je souriais avec douceur, gémissant doucement.

« Espèce de petite putain… » [/i]

Notez que le sourire presque doux que j’arborais laissait clairement entendre que je n’y voyais nulle insulte. Un état de fait, presque un compliment en fait, dans l’absolu… une chose était certaine, c’était que j’avais à faire à quelqu’un qui maitrisait son art. parce qu’il y avait un embryon de forme d’art. elle avait quelque chose qu’il suffirait de pousser. Je regardais la jeune femme se donner et je soupirai.

« Tu es douée… » [/i]

Elle avait les larmes aux yeux, le regard un peu rouge, le souffle haletant, la salive sur le menton. Je frissonnais et je la regardais avant de finalement venir écarter sa bouche de mon chibre pour en frotter le gland sur sa joue avec douceur. Je prenais le temps de l’admirer un peu.

« Tu vois ce que je viens de faire ? Je veux que tu refasses pareil toute seule, à répétition, jusqu’à ce que je jouisse. Et puisque tes mains semblent se complaire sur ta petite chatte, tu vas devoir te faire jouir avant que je ne jouisse. Mais interdiction de ralentir le rythme… tu t’en sens capable ? » [/i]

Je souris et je la giflais avec mon sexe sur les joues.

« Je te ferai savourer mon foutre alors. La meilleure des sauces pour adoucir le plat. Allez, exécute-toi. Et fais-moi jouir vite. Et jouis encore plus vite. N’envisage même pas de simuler. » [/i]

Je cessais mes gestes.

« Au travaille, vide-couilles. » [/i]
Titre: Re : Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Marguerite Clairbois le jeudi 14 mars 2024, 12:47:24
Les compliments et signes d'appréciation font naître un sourire empreint d'une certaine fierté sur le visage de Marguerite.

- Merci maître. Je suis "votre" petite putain.

Mais bientôt le sourire s'estompe de son visage en entendant les instructions de l'homme. Aussi plaisant soit-il de faire plaisir à un homme qui sait apprécier les efforts qu'elle fait, le fait qu'il lui demande de frôler l'asphyxie pour son bon plaisir ne provoque qu'un enthousiasme mitigé de sa part. Imaginer qu'elle puisse se concentrer sur son plaisir tout en ayant la gorge prise d'assaut lui parait bien difficile.

Mais elle n'a pas le choix. Elle répond donc.

- Je ferai comme vous commandez, maître ...

Du bout des doigts, elle essuie la salive qui coule le long de son menton et descend la main jusqu'à rejoindre sa fente qu'elle lubrifie ainsi. Elle se penche en avant de nouveau, reprend sa position pour happer de nouveau le membre dressé de son maître et reprendre l'oeuvre qu'elle avait entamée. Et alors qu'elle reprend ses va et viens, lèvres fermées autour du chibre, elle ferme les yeux. Aiguillée par l'impératif qu'elle a de provoquer son plaisir, la jeune femme invoque dans sa mémoire les images et les souvenirs les plus pervers dont elle est capable.

Elle se revoit agenouillée dans le presbytère, jeune fidèle fervente, en train de recevoir les enseignements de la part de l'homme de foi, le bon père Yves. Elle se revoit prise entre deux bardes après une représentation dans la taverne, utilisée avec rudesse par les deux hommes trop heureux de pouvoir profiter de la naïve admiration qu'elle ressentait pour eux. Elle se souvient des soldats orcs qui un jour ont visité leur village, de leurs membres énormes et de leur endurance phénoménale. Elle se souvient des mystérieux étrangers à qui elle a parfois fait les honneurs de la couche ainsi que de la bête dans les bois à qui elle s'est un jour offerte pour invoquer sa protection sur le village ... Toute une vie de débauche et de perversions cumulées qui provoquent en elle des frissons sur lesquels elle se laisse porter, alors qu'elle caresse avec une frénésie croissante le bouton de plaisir qui se cache au détour de son intimité. Elle tremble, gémit alors qu'elle se caresse, semble progresser sur la voie de son plaisir ... mais hélas la qualité son œuvre envers son maître s'en ressent.

Effrayée qu'elle est à l'idée de désobéir, la voilà qui néglige sa tâche et doit à plusieurs reprises être rappelée à l'ordre par l'homme. Elle suce, fait de son mieux, suffoque même parfois, essaye de se corriger quand elle se fait réprimander  ... mais il faut se rendre à l'évidence, la capacité de Marguerite à exceller en même temps dans les deux choses qu'on lui demande connait rapidement ses limites.
Titre: Re : Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Draven Dairn le jeudi 14 mars 2024, 21:11:21
« Cela reste à voir, je risque d’avoir envie de te louer à d’autres, auquel cas tu ne seras pas juste ma petite putain. Tu pourrais être celle de beaucoup… mais tu es mon esclave. Et ça, personne ne te l’enlèvera quand je l’aurai inscrit sur ton corps, dans ta chair… » [/i]

Je lui souris, je lui caressais les cheveux tendrement alors qu’elle se branlait, dans un exercice compliqué, je n’en doutais pas. Je balayais sa manière de dire les choses d’un revers de main et j’attendais de voir ce qu’elle allait bien pouvoir me proposer comme spectacle. J’étais persuadé qu’elle pourrait monter en compétence et pas qu’un peu. Le souci, c’était qu’elle semblait avoir beaucoup de mal à faire deux choses à la fois… puisqu’alors qu’elle se masturbait, elle me négligea un peu… voilà qui était trop loin de ce que j’attendais et méritait peut-être même un petit rappel à l’ordre douloureux. Je la rappelais à l’ordre d’une pression sur sa tignasse. La deuxième fois, je recommençais. La troisième je la repoussais rudement.

« Tu me déçois. Beaucoup. » [/i]

Je soupirais et je gardais ses cheveux dans ma main et je lui donnais même une petite claque.

« Il va falloir travailler. Travailler dur pour être à la hauteur. Je te pensais meilleure suceuse… » [/i]

Je fronçais un peu les sourcils et je la regardais.

« Alors, comment vas-tu gérer cet échec ? » [/i]

Du pied, je venais donner un petit coup de pied – pas fort, hein – contre son sexe humide.

« Il faudrait peut-être que je te fasse travailler dans un bordel pour que tu sois convenable ? Rassure-moi. ; au moins, tu sais te faire troncher comme il faut ou même ça tu ne sais pas faire correctement ? » [/i]

Je levais les yeux au ciel.

« Oublie tout ça. Je t’éduquerai plus tard. Finis-moi avec tes seins et dépêches toi. Si j’estime que tu mets trop de temps tu seras punie. » [/i]
Titre: Re : Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Marguerite Clairbois le samedi 16 mars 2024, 00:47:48
Les réprimandes pleuvent devant l'incapacité de la jeune fille à atteindre le niveau exigé par le maître. Elles la meurtrissent autant que ses menaces proférées et la giffle qu'il lui assène finalement. Larmes aux yeux, elle porte la main à sa joue sans songer un seul instant à se défendre ou à protester.

- Je suis désolée, maître

Plaide t'elle en vain, dans l'espoir d'amadouer le propriétaire mécontent. Le coup qu'elle reçoit sur l'entrejambe la fait glapir et sursauter. Rouge d'humiliation, elle répond quand celui ci la menace de l'offrir à d'autres hommes.

- Je ne veux servir que vous, maître !

Est-ce son plaidoyer qui semble sincère ? Est-ce que ce sont ses larmes ? Le maître finit par lui donner une chance de se rattraper en lui ordonnant d'utiliser sa poitrine pour le faire jouir. Une instruction à laquelle Marguerite se hâte d'obtempérer, presque avec reconnaissance. Elle se jette à genoux devant lui et utilise ses mains pour emprisonner le sexe de sa voluptueuse poitrine. Elle entame avec espoir des mouvement de va et viens, facilités par la salive qui continuait de maculer le membre dressé. Elle y met de l'énergie pour satisfaire l'homme, montant et descendant son buste en rythme grâce à des impulsions données sur ses genoux. Elle s'interrompt parfois, une seconde à peine afin de lubrifier d'une nouvelle dose de salive l'écrin chaleureux dans lequel se trouve le membre raidi.

Elle œuvre tant et tant, avec une frénésie née de la crainte de la punition. Pareil traitement serait considéré comme divin par beaucoup d'hommes, mais suffira t'il à satisfaire son maître si exigeant ... ? Parviendra t'elle à l'amener suffisamment près de l'orgasme pour au moins l'adoucir un peu ?
Titre: Re : Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Draven Dairn le mercredi 20 mars 2024, 21:37:13
Je levais un peu les yeux au ciel. Elle avait un petit côté incapable qui pouvait être pénible, peut-être… mais bon, je ne voyais pas de raison de me montrer plus indulgent avec elle que je ne l’aurai été avec quoi que ce soit d’autre… quant à me refuser ce que je souhaitais, c’était quand même particulièrement mal venu. Alors forcément qu’elle n’était pas particulièrement bien reçue.
Je lui saisissais le menton fermement et je la regardais dans les yeux.

« Tu feras ce qu’on te dira, pupuce… me suis-je bien fait comprendre ? » [/i]

Voilà qui était clair, et voilà que le reste allait de lui-même. Elle avait compris que ma contrariété ferait son malheur, alors elle se jeta à corps perdu dans cette branlette espagnole, jouant de ses seins sans la moindre retenue, pressant, salivant, jouant de ses mouvements de haut en bas, parfois même asynchrone dans une belle valse qui était bien plus maitrisée que l’on aurait pu croire… je venais doucement glisser mes doigts à ses cheveux humides, de nouveau, comme si le petit intermède pénible n’avait existé ni pour elle ni pour moi.

« Voilà, c’est déjà mieux. » [/i]

Je caressais ses cheveux et je soupirai, restant debout, la forçant à pas mal pousser sur les genoux pendant qu’elle s’activait à mon service.

« Brave fifille… » [/i]

Je lui donnais une petite tape douce avant de cola laisser continuer, jusqu’à finalement sentir que je ne tiendrai plus, alors, fermement, je l’écartais et je me finissais en me masturbant pour jouir en direction de son écuelle. Plusieurs longues giclées arrosèrent le reste de nourriture et certaines arrivèrent même à tomber à côté. Pas de bol.

« Ha ça fait du bien. Allers, finis ton repas ma belle. Je compte sur toi pour ne rien gaspiller. » [/i]

Je voulais voir comment elle gèrerait aussi ce qui était tombé à côté, du coup… je me rasseyais, toujours sexe à nu. Ce devait être un de ses horizons, une des raisons de son existence.

« Tu es plutôt efficace avec tes mamelles. » [/i]
Titre: Re : Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Marguerite Clairbois le jeudi 21 mars 2024, 18:33:08
Marguerite avait oeuvré avec diligence et sans oser protester. Elle avait docilement répété, de peur de s'attirer de nouveau les foudres de l'homme qui la posssède.

- J'ferai tout c'que vous m'direz, maître.

Elle avait donc branlé avec désespoir et énergie cette verge prise dans l'étau de ses chairs. Tant et tant que le moment attendu finit par arriver. Après quelques contractions annonciatrices, l'homme se détache d'elle soudain. Marguerite s'était attendue à ce qu'il choisisse de se soulager sur son corps ou dans sa bouche. Elle s'était apprêtée à ouvrir la bouche, serrer ses seins. Mais à son plus grand dépit, c'est vers le sol qu'il dirige son membre et qu'en quelques giclées, il se vide en direction de l'écuelle au sol. Elle peine à masquer la grimace de dépit qui plisse ses lèvres à ce moment là. Elle lève un regard incrédule vers son maître avant de baisser les yeux après avoir brièvement croisé le sien et écouté ses consignes.

- Oui maître ...

Souffle t'elle, comprenant ce qu'il lui demande implicitement. Celle qui était agenouillée s'approche ainsi à quatre pattes de l'écuelle avec une lenteur calculée. Pensant deviner les intentions de l'homme et son désir de profiter d'un spectacle, elle fait le tour de l'écuelle de manière à lui faire face. Il ne peut ainsi manquer la manière dont elle se penche en avant et vient recueillir du bout de la langue la semence dispersées. Le goût salé du fluide masculin ne la surprend pas, pas plus qu'elle ne la dégoute réellement ... Sa seule contrariété est qu'il ait jugé nécessaire de la rabaisser ainsi car, de son humble avis, ses seins auraient fait un bien meilleur écrin pour recevoir la blanche manne.

De plusieurs coups de langues, elle nettoie le bord de l'écuelle, ne manquant pas d'occasionnellement relever le regard vers lui, jaugeant d'un oeil incertain la réaction qu'il pourra avoir. Ce n'est qu'une fois le récipient de métal vaguement nettoyé du fluide blanchâtre qu'elle se penche ensuite sur le parquet et donne des coups de langues plus longs, plus appuyés. Mais l'exercice est plus difficile qu'on peut l'imaginer. La surface est plane, lisse. Il est difficile de laper correctement ce qu'il lui demande de nettoyer. Contrainte d'innover pour tenter de trouver des solutions, la jeune paysanne finit par coller ses lèvres sur le bois verni, elle finit par coller ses lèvres à même le bois vernis et à procéder par aspiration. Une technique plus efficace semble t'il car elle finit par s'immobiliser, agenouillée devant lui et la tête basse.

- J'ai terminé, maître

Dit elle d'une voix légèrement tremblante. Elle a le secret espoir que l'homme, à présent vidé et lassé de son jeu, ne se lasse de la tourmenter et la laisserait enfin un petit peu en paix. Le temps au moins qu'elle puisse prendre la mesure de la triste condition dans laquelle elle est tombée.
 
Titre: Re : Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Draven Dairn le vendredi 22 mars 2024, 08:43:44
Elle avait donné une bonne dose de son énergie pour finir le travail, et elle s’était montrée à peu près à la hauteur. Je lui fis un sourire entendu. Je regardais la jeune femme, l’air un peu pensif, alors qu’il lui fallait maintenant finir son repas. Elle ne touchait toujours pas à son vin. Libre à elle. Tant pis pour elle, même, d’une certaine manière. Je la laissais se pencher et je la regardais alors pousser le vice plus loin. Elle ne s’ennuya même pas à utiliser ses doigts, comme elle l’avait fait peu de temps auparavant pour manger. Non. Là, elle se penchait et elle se mettait à lécher le sperme avec application. Je n’aurai su dire si elle avait envie de cela. Ou si elle le faisait par petit gourmandise.

Et une fois l’écuelle bien nettoyée, elle s’intéressa au sol. Je savais ce qu’elle faisait. Elle essayait de laper au sol, mais elle ne pouvait pas bien faire ainsi. Et je ne le lui reprochais pas. Alors, je la regardais jouer de petites inspirations pour nettoyer les traces de semence qui ornaient le parquet bien net… le bruit était peu élégant, mais je préférai qu’elle se montre plus diligente que distinguée. Quoi de plus normal. Je regardais la jeune femme avec un air approbateur.

« C’est bien… je suis content de voir que tu sais te montrer appliquée pour cela aussi. »

Elle restait au sol, à quatre pattes, consciente sans doute que c’était sa plus précieuse chance d’avoir une vie confortable.

« Bien, bien… je suppose que tu peux aller te reposer, la journée a dû être éprouvante. Il va juste falloir que je fasse poser une paillasse. Tu ne vas pas dormir par terre. Ou même dans mon lit. Je te laisserai même dormir bien au chaud près de la cheminée, si tu veux. »

Je lui fis un air tendre avant de me pencher, lui caressant les cheveux avec douceur, avant de lui baiser le front avec tendresse. Je lui chuchotais alors avec cette même tendresse que j’avais manifesté dans ce baiser sur son front.

« Je vais bien m’occuper de toi, et tu seras heureuse, dans ta nouvelle condition, dans ton nouveau foyer. Tu ne manqueras de rien. Nourriture, chaleur, vêtements… tant que tu seras obéissante. »

Puis je me redressais, et, plus amusé qu’autre chose, je lui disais.

« Tu feras tout ce que je voudrais donc ? Et si je veux que tu fasses quelque chose dont tu n’as pas envie ? Comment est-ce que ça se passera ? »
Titre: Re : Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Marguerite Clairbois le dimanche 24 mars 2024, 17:47:35
C'est un soulagement qu'au moins le maître soit satisfait de sa toute dernière prestation, aussi humiliante soit elle. L'annonce pouvoir enfin prendre un peu de repos est accueilli avec un soulagement visible par la jeune esclave. Une paillasse par terre devant la cheminée, c'est aussi bien que ce qu'elle possède chez elle et elle ne va pas s'en plaindre.

- Merci maître.

Marguerite ne peut que s'en montrer reconnaissante. Même si beaucoup d'inconnues entourent encore les futures conditions de sa vie servitude, elle sait qu'elle sera au moins nourrie et logée. Les gestes de tendresse qu'Il marque à son encontre lui font relever le menton et ornent son visage d'un sourire incertain. L'affection qu'il semble lui manifester et la promesse d'une vie heureuse lui donnent un moment d'espoir, mais elles peinent à totalement faire oublier la cruauté et la volonté d'humiliation qu'il a affiché plus tôt. Elle comprend très bien que rien de ce qu'il promet ne lui sera jamais acquis et qu'elle devra en permanence redoubler d'effort pour le mériter à ses yeux.

- J'serai obéissante .. je l'ai toujours été.

Et c'est une malheureuse vérité. Elle le lui confirme quand il évoque la possibilité qu'il lui demande un jour quelque chose qui ne lui plairait pas. Elle hausse les épaules et réplique d'un ton incertain, apeurée à l'idée de paraître insolente.

- Pensez-vous qu'nos seigneurs nous d'mandaient toujours des choses que nous aimions faire, maître ... ?

Les corvées, les levées de ban, l'organisation de battues, la levée des taxes ... c'est le quotidien des serfs d'où elle vient. Sans parler des choses épouvantables qui arrivent quand une armée (quelle que soit l'obédience) passe dans la région. Elle garde le regard bas, dans une attitude soumise afin qu'il ne puisse s'imaginer qu'elle le défiait en tenant ces propos.

- J'ai bien plus peur des choses qu'vous m'demanderiez et que je ne pourrais pas faire, maître ...

Précisément comme ce qui lui a valu la cuisante giffle qui marque encore sa joue et son égo. Elle avait essayé de le contenter mais n'y était pas parvenu ...

- J'ne suis qu'une petite sotte d'la campagne ...

Titre: Re : Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Draven Dairn le mardi 02 avril 2024, 20:42:42
Elle avait une forme de sourire sur les lèvres, comme si un peu de douceur, une paillasse, de la chaleur, et une écuelle faisait son bonheur. Bien, bien. C’était une excellente chose. Je lui fis un sourire avant de lui caresser les cheveux doucement et je me contentais de cela alors qu’elle semblait montrer plus de bonne volonté que par le passé. C’était une bonne chose qu’elle soit assez docile. Non que lui meurtrir le corps de coups de fouet pour faire rentrer la notion d’obéissance dans le crane d’une esclave me dérange. Loin de là, ça pouvait même être excitant comme apprentissage à lui faire, mais je me doutais qu’avec elle, ce ne serait pas nécessaire.

« J’en suis sûr… de toute façon, si tu n’es pas obéissante, tu découvriras que je ne suis pas quelqu’un de très patient, ni prompt au pardon… »

Je lui tapotais la joue avec douceur.
Sa petite insolence quand elle mentionna les seigneurs et ce qu’ils pouvaient exiger d’elle avant. Je n’aimais pas ce petit ton et elle eut droit à un regard mauvais. Elle avait tout intérêt à changer de ton, sincèrement. Sinon, ça allait très mal se passer, en fait. Mais elle devait s’en douter, donc je doutais qu’elle recommence.

« Tu as raison d’avoir peur, parce que je ne supporte pas les bons à rien. Et ne pas savoir, ce n’est pas une raison de ne pas, au moins, essayer de toutes ses forces. Et que tu sois une petite sotte de la campagne n’est ni un frein, ni une excuse. Au contraire. Ça veut dire que tu dois accepter que, ne connaissant pas grand-chose, tu n’as aucune raison de refuser quoique ce soit. »

Je souris, et mon doigt vint doucement glisser sur ses jolies lèvres.

« Je vais te dresser comme il se doit. Tu vas souffrir mais tu vas apprendre. Je vais t’éduqur à chercher les plaisirs comme la douleur et d’en tirer parti, ma petite chérie… »
Titre: Re : Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Marguerite Clairbois le lundi 08 avril 2024, 16:41:56
Les mots et les gestes du maître produisent l'effet auquel on peut s'attendre sur la pauvre Marguerite. Yeux baissés, lèvres tremblantes, elle semble horrifiée par le destin qui lui est promis et ses yeux se mouillent de larmes. C'est donc ainsi que les choses se passeront maintenant pour elle ? Elle sera condamnée à souffrir malgré son obéissance ? Elle sera punie en dépit de tous ses bons efforts ... ? Le désarroi dans lequel cette annonce est visible, en dépit des efforts qu'elle fait pour rester immobile et soumise.

Elle répète d'une voix entrecoupée d'un sanglot.

- Je serai obéissante maître ... je ne souhaite pas souffrir.

Tente t'elle de plaider, épaules voutées et yeux embués de larmes. Il est inconvenable à ses yeux que l'homme souhaite la voir souffrir sans raison. Punir sans faute, même dans la petite campagne primitive où les nobles usent et abusent de leurs privilèges sur leur roture, ca ne ferait pas de sens.
Le souffle court, elle tremble et essaye de retenir les sanglots qui menacent de l'engloutir. Ses mains, menues et délicates malgré le dur labeur aux champs , se crispent bien involontairement sur ses cuisses nues ses ongles s'enfonçant dans sa peau dans un effort désespéré pour contrôler ses tourments intérieurs.
Titre: Re : Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Draven Dairn le vendredi 12 avril 2024, 08:17:07

La petite esclave ne comprenait sans doute pas pleinement ce que j’attendrai d’elle dans le futur, et rien que pour cela, je pouvais comprendre qu’elle ne soit pas à sourire, toutefois, les chialeries ne me donnaient pas envie de lui tapoter la tête gentiment. En fait, parfois, entendre sa possession chouiner pouvait être agréable, mais c’était lié à des considérations et des moments bien spécifiques, en fait… je regardais la jeune femme un peu en silence avant de finalement lui faire un petit air entendu/

« Bien, il n’y a que cette manière qui t’apportera une vie heureuse, crois-moi. »

Je lui fis un air un peu mauvais, alors que je la voyais essayer de ne pas se mettre à chialer. Je venais doucement lui caresser les cheveux d’une main douce avant de finalement lui dire, d’une voix douce, presque tendre.

« Bien, il est temps de te reposer un peu. Tu vas être très occupée plus tard et demain une longue route t’attend. »

*
*   *

Je n’avais pas menti, nous nous étions mis en route le lendemain. Moi à cheval et elle à pied, tenue en laisse, mais une laisse pratique, attachée non à sa jolie gorge mais à ses poignets, qui nous avait conduit loin de Nexus. Je me rendais chez moi, ce qui serait son « chez elle » si l’on pouvait dire. La demeure où elle serait affectée. Je ne comptais pas l’honorer de ma présence en permanence, mais c’était un es endroits que j’affectionnais parmi ceux que je possédais. Cela nous avait pris trois jours de trajet. Trois jours où elle avait été mise à rude épreuve, par le rythme, notamment. Une ou deux fois, j’avais même du la prendre en travers de ma selle, car elle n’en pouvait plus.  Les douleurs alors occasionnées par ma main sur ses fesses avait du bien lui faire comprendre que cela me déplaisait…
Enfin bref. Nous y étions arrivés.
Je descendais de cheval, mettant pied à terr vers elle. J’avais insisté pour qu’elle fasse le dernier kilomètre à pied.

« Bien, nous y voilà, c’est ta nouvelle maison. »

La maison avait plutôt l’air un petit manoir entouré de forêt.

« Tu devras l’entretenir, intérieur comme extérieur, en plus de devoir répondre à tous mes besoins, cela va sans dire. »

Je lui détachais les poignets et je la regardais. Bon, la tenue de marche ne serait plus nécessaire désormais. Elle l’abandonnerait, ainsi qu’elle avait réussi à abandonner sa pudeur, plus tôt.

« Tu visiteras toute seule, je n’ai pas que cela à faire, commence par me faire chauffer un bain, j’ai besoin de me délasser et de me décrasser du voyage. Tu me laveras. Ensuite, tu utiliseras la même eau pour te débarbouiller. »

J’ouvrais la porte de l’entrée des lieux. Il y avait un peu de poussière mais ça allait encore.

« Il y a un puits dehors et une cuve au-dessus d’un feu que tu vas devoir allumer pour faire chauffer l’eau. Au travail. »

Je lui donnais une bonne claque sur le cul et je la regardais s’activer. Je la surveillais, oui, car je ne lui faisais clairement pas encore confiance.
Titre: Re : Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Marguerite Clairbois le vendredi 19 avril 2024, 00:10:54
La nouvelle esclave avait frémi lorsque le maître lui avait caressé les cheveux. Elle avait essayé de retenir ses larmes de son mieux en dépit du désarroi qu'elle ressentait. La menace d'une nouvelle punition avait été suffisament dissuasive pour l'empêcher de laisser libre court à son chagrin. Elle s'était retenue tant qu'elle avait pu, emportant dans son sommeil le desespoir qui l'accablait.

L'aube apporté fort peu de réconfort à la jeune femme qui avait docilement suivi le mouvement imposé par son maître. Attachée par une longe à la selle de son cheval, elle suivit sans se plaindre ni rechigner, faisant de son mieux pour suivre l'allure insupportable. La campagnarde avait beau avoir été habituée à l'effort physique et se montrer d'une grande docilité, vouloir tenir le même rythme qu'un cheval relève tout simplement de l'impossible.
Elle s'effondra plusieurs fois d'épuisement, causant de nouvelles réprimandes et de nouvelles punitions de la part du cavalier.

Trois jours passèrent ainsi. Trois jours au cours desquels l'esclave ne songea à rien d'autre que avancer et s'effondrer ensuite de fatigue sitôt arrêtée. Le désespoir des premiers instants de captivité avait fini par laisser place à une morne résignation quant à sa situation. Marguerite ne comprend pas pourquoi elle avait été arrachée à sa vie paisible mais est d'une nature bien trop docile pour oser s'en offusquer ou tenter de se soutirer à cette situation. Habituée au servage depuis sa naissance, elle a tout simplement troqué un maître pour un autre. Et le moins qu'elle puisse dire, c'est qu'elle a BEAUCOUP perdu au change.

C'est à peine, alors qu'ils arrivent à destination, si elle lève le regard pour observer l'immense propriété qu'on lui promet être "sa nouvelle maison". La jeune femme, autrefois joyeuse, aguicheuse et badine n'est à la fin du voyage que l'ombre d'elle même. Pieds ensanglantés, visage devenu gris de poussière et considérablement amaigrie. Elle entends les consignes de son maître et ne se sent même plus en état de s'en indigner. Entretenir seule une telle propriété relève sans doutes de l'impossible. L'intérieur à lui seul nécessiterait plus qu'une seule servante pour être rutilant. Les extérieurs sont immenses et exigeraient l'intervention d'un forestier compétent. Une Marguerite au mieux de sa forme et de sa motivation n'y arriverait sans doutes pas. Alors que penser de la jeune femme amenée ici contre son gré et épuisée ?  Il est possible que la tentation de se jeter sur la première fourche venue grandisse en elle au point de devenir irrépressible. Une manière de quitter ce monde en beauté et de dire une bonne fois pour toutes merde à ce maître bien trop exigeant qui se verrait bien puni d'être privé d'une ressource précieuse ...

Pourtant, en dépit de son désarroi, elle trouve la force de répondre.

- Oui maître, je comprend.

Sitôt détachée, Marguerite baisse les yeux sur les traces cruelles que le chanvre a laisse sur sa chair. Frotter ses mains l'une contre l'autre l'aide à faire circuler de nouveau le sang dans ses extrémités endolories. Regard bas, elle suit le maître et hoche, donnant le sentiment de comprendre ses consignes. Elle se déshabille sans chercher à discuter et c'est une fois nue qu'elle part s'acquitter de ses tâches, recevant au passage une fessée qui la fait glapir un instant et beaucoup moins sursauter que ce à quoi on aurait pu s'attendre. Elle se presse davantage pour aller allumer le foyer ... mais à peine. Il faut croire que l'épuisement finit par émousser ses réactions. Rompue aux travaux ménagers, elle ne tarde pas à allumer un feu et à entamer des allers retours entre le puit de la cour et la fameuse cuve avec laquelle visiblement elle va devoir faire chauffer de l'eau. Préparer un bain chaud est malheureusement une entreprise longue et laborieuse dans ces conditions médiévales. L'asservie fait de son mieux, mais l'œuvre laisse amplement le temps au maître le temps de se poser. De la regarder faire s'il est du genre soupçonneux. Ou de s'occuper du cheval qu'il sera de toutes manières nécessaire de desseller et d'installer dans la dépendance qui lui est réservée.

Malgré les clopinements douloureux causés par les courbatures de la jeune femme et les quelques maladresse qui viennent créer quelques modestes éclaboussures dans la cour, le travail avance avec une régularité satisfaisante. La cuve se remplit, le feu gagne en intensité ... bientôt le bain sera prêt.
 
Titre: Re : Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Draven Dairn le jeudi 25 avril 2024, 08:06:21
Bon, maintenant que nous étions arrivés, je pouvais enfin me détendre. Enfin, c’était ce que j’vais prévu, mais il allait falloir que j’éduque la nouvelle esclave au nom de vachette. Elle en avait les pis, ceci dit. Je lui souris et je la regardais un peu. Elle était épuisée, je le voyais bien. Et elle avait réellement besoin de repos. Mais après mon confort. C’était une règle importante. Une règle simple qui devait guider sa vie : elle devait tenir pour faire passer mes besoins avant les siens. C’était une immense importance. Je lui fis un sourire entendu avant de finalement la regarder commencer à s’occuper de préparer le bain que j’avais exigé d’elle.
Elle s’était faite à sa condition, c’était évident, selon moi.

Je la laissais faire les trajets, avec son seau, après avoir allumé le feu, boitillant un peu, elle devait avoir les pieds dans un triste état sans doute. Il allait falloir que je m’occupe de ça. Le bain étant bien « vite » prêt, je me dévêtais et j’entrais dans la grande cuve, alors qu’elle y versait le dernier seau. Bien, bien, nous allions pouvoir en profiter. Je la regardais et je rajoutais alors, doucement mais fermement.

« Viens dans l’eau. Tu as aussi besoin de se décrasser. »

Je lui fis un air presque tendre, immergé jusqu’au milieu du buste. Elle pouvait venir dans l’eau à condition de s’installer un peu sur moi. Cela ne me dérangeait pas. Je lui tendais la main pour l’aider à rentrer dans le bain et je rajoutais, d’une voix douce.

« Tu sais, il est aussi de mon devoir de prendre soin de toi, je sais que le voyage a été éprouvant, alors je vais m’occuper de toi. Considère ça comme une récompense pour avoir tenu le coup de cette marche éprouvante. Elle était nécessaire, tu comprendras, je n’allais pas charger mon cheval trop souvent, et je n’allais pas t’en acheter un non plus. Je l’aurai payé plus cher que toi… »
Titre: Re : Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Marguerite Clairbois le lundi 06 mai 2024, 10:05:41
L'invitation, quoique prononcée avec douceur, ne reste pas moins un ordre aux oreilles de Marguerite. La jeune femme devine sans peine où le maître souhaite en venir au terme de ces ablutions, mais après une telle marche, n'importe quelle activité susceptible de lui faire oublier les désagréments du voyage fera l'affaire ... Elle signifie son accord d'un bref hochement de tête.

Déjà nue, elle accepte la main tendue par l'homme pour l'aider à le rejoindre sans risquer de glisser ou pire, de faire basculer le baquet en entier. On ne peut pas dire que son regard transpire la confiance au moment où la paume du maître se referme sur ses doigts mais il n'y a pas d'autres choix que d'obéir de toutes manières.

La place est limitée. Elle vient ainsi se positionner dos à lui, glissant sa silhouette menue entre ses jambes écartées et venant coller son bassin au sien. Une position qui lui permet de barbotter dans un peu d'eau chaude. Un luxe qui lui est offert depuis la deuxième fois depuis son changement de condition. Elle peut ainsi se laver, décrasser son corps de la poussière et de la sueur du voyage. Plus propre que ne peut l'imaginer un homme de la ville, la paysanne déteste au plus haut point rester dans la crasse causée par la terre qu'elle a l'habitude de gratter au quotidien. Un dicton moyenâgeux prétend que ce sont les gens sales qui se lavent ... 

Mais alors qu'elle se redonne figure humaine, après avoir aspergé sa frimousse et frotté ses jambes, elle se rend compte d'un problème. Elle tourne la tête, osant regarder avec timidité l'homme qui, évidemment ne pouvait rien manquer de ses gestes et en avait peut être même déjà profité pour ballader les mains sur sa possession.

- Vous n'auriez pas préféré que je vous lave, maître ... ?

Ca serait dans l'ordre des choses, maintenant qu'elle y pense, que ce soit la servante qui frotte le dos du maître et non l'inverse.
Titre: Re : Un paiement de dette [Pv]
Posté par: Draven Dairn le mardi 07 mai 2024, 21:03:40
Elle accepta sans broncher. Bien, c’était une bonne chose. Nue, elle passa par-dessus le rebord de la baignoire, aidée par ma main, pour finalement venir s’installer dos à moi dans l’eau, pour commencer un peu à se laver. Elle devait clairement se douter que tout ne se passerait pas simplement. Après tout, elle avait été utile les nuits précédentes, sans doute un peu bon gré mal gré. Mais je ne l’avais jamais surprise à faire montre de la moindre désobéissance. Elle me craignait suffisamment pour cela semblait-il. La crainte était une bonne option. Une manière sage de réagir devant mo, et un premier bon pas vers la reconstruction, donc.

Nue, elle barbotait légèrement et se lavait consciencieusement, mes mains, doucement, glissaient sur sa peau, nettoyant avec douceur et tendresse son dos, jusqu’à ce que, finalement, elle en vienne à tourner sa tête vers moi et me regarder, sans doute inquiète de la suite. Ah, c’était cela. Je lui souris et je lui caressais doucement les cheveux.

« Tes mains crasseuses n’auraient rien pu laver, ma belle… »
 
Il faudrait d’ailleurs qu’elle lave sa tignasse à l’occasion. Non qu’elle soit particulièrement plus sale que le reste, mais un peu de cheveux de soie, ça aiderait, n’est-ce pas ? Je lui fis un air doux avant de finalement remonter une main à son sein que je pressais doucement. Une bien belle possession bien propre, voilà ce qui était agréable, n’est-ce pas ? Je venais doucement taquiner la pointe du bout des doigts avant de finalement relâcher la pression et je lui disais.

« Maintenant, il est temps de me laver, ma toute belle. Mais pour cela je t’interdis de sortir ton bassin de l’eau. Et inutile de te dire que ce n’est ue le début de ce bain, n’est-ce pas ? »

Je lui caressais les cheveux doucement.

« Mets-toi au travail, et fais ça bien ou ke te fais me laver à la langue, ma belle, d’accord ? »