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« le: samedi 19 septembre 2009, 21:51:24 »
En effet, je n'avais pas la moindre idée de son crime ni de sa condition de pretresse de la créatrice de mon paradis. Sinon, croyez moi, je me serais montré encore plus respectueux envers elle, enfin, si j'étais bien sur au courant de la réelle existance des dieux de Jadis, de la vie qui a été crée ici par l'amour... Bref, de tout ce qu'une pretresse d'Aphrodite peut savoir. Je n'étais en rien concerné par ce monde car je n'en était pas originaire, je croyais pas en cette déesse poussiereuse dans le monde Terrestre, mais je croyais dans les histoires de marins, de pirates et autre que l'on me lisait, je croyais dans le fait que la mer était notre mere a tous et qu'elle nous chérissais autant qu'elle nous détestais, favorisant ceux qui la respectent et brisant les autres.
Je ne pensais pas a mal en voulant couvrir le dos de ma nouvelle amie, parce qu'elle me parlait comme tel et me parraissait aussi digne de confiance, du moins en apparence. Mais je me posais cette question: pourquoi se confesser ainsi? J'étais un inconnu et je n'avais rien a voir avec sa vie, elle pouvait tout a fait m'ignorer. Cependant, ses paroles me firent un drole d'effet, elle se comportait étrangement, je ne connaissais pas pire grief que le meurtre ou la lacheté. Et croyez moi, j'en connaissais un rayon sur la barbarie, j'avais aussi bien des histoires sur les serpent de mers, les dragons marins, les krakens, les iles loingtaine, les caps difficiles.... Mais je n'en parlerais pas, du moins pas tant que personne ne me le demandera. Les terriens sont tous trop concentré sur leur petite personne pour voir le monde, en mer, si on ne se soucie pas du bien etre de ses employer on a le meme sort que moi, peu enviable je sais, mais au moins il me respectaient et me craignaient assez pour me rébarquer et non me lancer dans la gueule d'un monstre marin en organisant une sauvage mutinerie.
En effet, les mercenaires sont des troupes complexes a comprendre dans leur logique, mais si ils ne sont payé qu'une fois débarqué, il n'y a pas de probleme. Mais ce que je craignais c'était d'armée une flotte de mousse, je pourrais avoir tout l'or du monde, ils ne feraient pas un mois en mer avant de devenir fou, ou de déclancher une mutinerie qui détruirait a coup sur l'équipage. J'étais donc coincé ici un moment. Mais bon, j'étais toujours le roi des mers jaunes, l'empereur de l'ile du Croissant et le chasseur d'esclavagiste blanc. Ma simple presence sur une ile était synonyme de jour de paye pour moi, toutes les iles occupé par mes pirates me donnaient 80% de leur butin alors que je demandais que 50, comme quoi, la reconnaissance des esclaves libre vaut vraiment le coup! Mais revenons a nos moutons.
Il n'y a que ca que je qualifie d'intolérable, une insulte a mon navire de la part d'un membre de l'équipage par contre, c'est une sanction pas enviable, il n'est pas fouetté, mais il doit faire le double de quart, avec le minimum syndical en habit et quelque soit le temps. Se moquer d'un navire c'est se moquer de sa famille, ca mérite punition, mais pas le fouet, on ne peut retenir la langue d'un ivrogne, par contre on peut marquer sa mémoire. Donc, vous n'auriez pas encouru pire que 60 coup de fouet sur mon batiment. Et je ne suis pas homme a frapper une femme, sauf si elle porte le premier sang
Je ne mentais pas, a quoi ca servirait de toute maniere puisque je ne la connaissais meme pas. Je la laissais digerer ce que je lui avais dit, j'avais énnoncé son "crime", bien que, si on en suit les justifications de la belle nymphe, elle n'a craché sur aucun temple et a fait ce que sa maitresse attendait d'elle: engranger du pouvoir divin. Donc si on regarde bien, elle a fait de la pub, pour ma part je récompense la bonne propagande, comme quoi, elle aurait pas été aussi mal sous ma baniere!
Bref, je me levais pour aller a la marque avant de creuser de ma botte et de faire sortir une chaine. Ha la voila! Je tirais dessus et une lourd trape se leva en arriere pour laisser s'échapper une odeur d'humidité et une humidité pronnoncé. Je fis signe a la jeune femme d'approcher avant d'entrer dans la grotte humide et a l'air lourd. Je grattais une allumette pour faire flamber une des torches pour avencer dans n boyaux sombre avant de ressortir aussi vite et de lancer une lourde caisse de métal a l'exterieur, elle cliqueta des bouteilles. Je fis tomber un peu de poussiere de la manche de ma chemise avant de refermer la trape et de la couvrir de sable.
Voila de quoi faire cicatriser ces blessures rapidement et faire de jolis contrastes dans le dos, ca vaudra pas votre tatouage, mais au moins vous souffrirez plus de votre dos. Et puis on pourra prendre une bonne cuite avec tout ca, ca vous permetra d'oublier votre sale journée et mo la trahison de ces couards...
Sans autre préhembule, j'arrachais un bouchon et commencais a vider une bouteille en tendant une autre a mon invitée. La plave était mon royaume aussi, j'étais le bon roi qui dispensait sa plus grande richesse pour une jeune courtisane, meme si de jeune elle n'en a que l'apparence et de courtisane que la similitude que je lui prete