MUSIQUE D'AMBIANCE (http://www.youtube.com/watch?v=PR_u9rvFKzE&hd=1)
Nom : Kings.
Prénom : Ky-Mani, ce qui signifie dans les dialectes d'Afrique de l'Est "Voyageur Aventureux".
Surnom : Le Roi, le Lion, DJ KMK.
Âge : 28 ans.
Sexe : Masculin.
Race : Humain.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel Polygame. Ba ouais, Rastafari !
Physique :
Ky-Mani est un bel homme. Pas beau dans le sens beauté fatale, mais il a un petit quelque chose qui plaît aux femmes. Des lèvres sensuelles, couleur chocolat, affichent toujours un sourire des plus radieux, quels que soient les circonstances. Sa peau d'ébène, est légèrement plus clair que ses frères Rastafaris Jamaïquain, en raison de son métissage. Ses yeux, en amande, possèdent des iris verts des plus intenses qui soient. Parlons de la coupe capillaire. Étant un Rasta, ses dreadlocks sont extrêmement longues et impressionnantes. Quand ses cheveux sont détachés ou plus caché dans son bonnet, ils lui atteignent le bas du dos. Côté vestimentaire, sa tenue la plus sobre est un ancien tee-shirt aux manches longues, déchiré aux niveaux des épaules, avec un sarouel la plupart du temps vert, marron, ou bien encore noir. Bien entendu, il possède d'autres tenues, bien plus coloré, quelles soient aux couleurs de la divine Jamaïque, ou bien plus festifs, notamment lorsqu'il est sur scène. Ne portant aucun bijoux, les seules choses qu'il possède de valeur {du moins pour lui} sont ses lunettes de soleil, qui ne quitte jamais son nez et son immense bonnet aux couleurs rouge, vert et jaune. Un Lion est visible sur ce bonnet impressionnant, ce qui lui donna le surnom du « Lion » lors de ses concerts.
Ky-Mani est plutôt grand, dans les deux mètres environ, par contre, il n'est pas très gros, du moins pour quelqu'un de sa taille, puisqu'il ne pèse que quatre-vingts kilos. Certains diraient même qu'il souffre de malnutrition, mais pas du tout. Il est et a toujours été comme cela. De plus, son régime végétarien n'aide en rien sa prise de poids. Il possède peut être un corps svelte, mais nu, il est loin d'envier des hommes plus costauds. Le jeune Lion possède une tablette de chocolat que beaucoup de filles rêvent de croquer. Ce qui n'est pas la seule chose que les filles veulent croquer chez notre Rasta. Loin d'être vierge, son sexe est décrit par de nombreuses groupies comme « particulièrement appétissant ». Ce n'est pas non plus un sexe démesuré, mais un beau sexe tout de même.
Psychologie :
Ky-Mani est un rastafari. Cela devrait suffire à expliquer. Mais vu que chaque rasta a ses propres croyances, je me dois de vous l'expliquer. Le Jeune Lion est donc un adepte de la célèbre tirade « One Love ». Prônant l'amour sur Terre, le Rasta ne cherche qu'une seule chose : la Paix et la Tolérance entre les peuples. Étant un non violent convaincu, il est strictement végétarien, refusant de massacrer des animaux pour que son corps soit, je cite, « un cimetière ». La Guerre, le terrorisme, les massacres religieux, la brutalité policière, sont des choses qui lui portent particulièrement sur le coeur et qu'il n'hésite pas à dénoncer dans ses mixs, pour le plus grand déplaisir de son producteur. Vivant comme un électron libre, le jeune DJ ne respecte que ses propres règles. Étant non violent, les frasques avec la justice sont limités et les policiers le traitent avec un peu plus de respect et de gentillesse que les autres artistes underground. Depuis qu'il est devenu un artiste mondialement reconnu, certains pourraient croire qu'il vit comme un prince, mais ce n'est pas le cas. Toujours Roots dans l'Âme, il donne une très grande partie aux oeuvres caritatives, notamment pour la protection des orphelins, la lutte contre le Sida, ou encore le réchauffement climatique et la protection des animaux en voie d'extinction. Il garde un peu d'argent pour lui, pour éviter de voler sa nourriture ou encore payer les amendes répétées des forces de l'ordre pour possession de stupéfiants.
En parlant stupéfiant, Ky-Mani fume constamment de la marijuana de premier ordre, le genre d'herbe qui exploserait un gérant de coffee-shop abusant beaucoup trop de son stock. Il consomme également, surtout lorsqu'il est invité à mixer dans certains festivals Trances ou Dubsteps, du LSD, voir de la Keytamine, même s'il le dit lui-même, c'est surtout depuis son arrivée en Asie. La musique, bien plus qu'un travail ou même un loisir, est son mode de vie. Grâce à ses talents de DJ, il voyagea à travers le monde, visitant tous les endroits hauts en couleur sur Terre. Sa vie passée sur les routes des cinq continents lui permit de rencontrer toutes sortes de peuples, de coutumes, de modes de vies ...
Histoire :
Sur Terre, aux alentours d'un petit village près de Montego Bay, en octobre 1983.
La Jamaïque. Depuis que les jeunes occidentaux ont découverts l'un des artistes les plus influents du Monde, la Jamaïque et son mode de vie particulier devint un lieu très touristique, pour d'autres, un lieu de pèlerinage pour connaître ce qui bouleversa leur vie, l’île où le reggae, le dub, le ska, furent créer. Ce genre de musique donna une nouvelle inspiration pour le monde, celui de la Paix, de la Tolérance, du Partage. Un jeune Nippo-Américain dansait sur un des classiques de King Tubby (http://www.youtube.com/watch?v=PB28MKa7AiM&hd=1)lors d'une soirée, comme tous les soirs en Jamaïque. Plusieurs jeunes dansaient, qu'ils soient métis, blancs, noirs, asiatiques, indiens et j'en passe. Ce jeune Asiatique dansait à sa façon, sans doute influencer par la culture musicale des deux pays de ses parents, mais expliquons d'abord son histoire.
Il se nommait Jin Kings, il avait une trentaine d'année, né de deux parents de couleurs et de culture totalement différente. Son père était un ancien G.I. Américain, James Kings, ayant servi pendant l'époque de l'Occupation Japonaise par les forces Alliés. Il rencontra une jeune japonaise, de dix ans sa cadette, Amiko Teshinowara. Ils se rencontrèrent lors d'une des permissions de James et il sortit avec la jeune Asiatique. C'était en juillet 1951. La jeune femme aimait ce beau jeune occidental, qui, bien que soldat, était doux, gentil et plein d'attention auprès de ce qu'il aimait appeler « Sa jolie fleur de Lotus ». A force de s'aimer, la Japonaise tomba enceinte de « l'Ennemi Américain ». Elle ne se rendit compte de sa grossesse qu'en octobre. Lorsque ses parents découvrirent qu'Amiko était enceinte, ils décidèrent de la foutre à la porte, car elle apporta la honte sur la famille, d'autant plus qu'elle sortait avec un G.I. Américain. James aurait pût la laisser là, seule, avec son futur enfant, mais il n'en fît rien. Il décida de se marier avec elle, pour qu'elle et l'enfant qui allait naître puisse venir aux Etats-Unis. En 1952 commença le retrait des troupes militaires américaines. James, en raison de sa nouvelle petite famille, fût ramené au pays, suivi par Amiko et le petit Jin. Le retour au pays fût un choc pour James et sa nouvelle famille. Les parents de James fermèrent leur porte au nez du Soldat et de sa famille. Exclus par leurs deux communautés, ils élevèrent donc leur fils à deux.
Jin avait des parents aimants, mais le manque de repère ethnique le fît souffrir, aucun grands-parents comme les enfants de son âge, aucuns cousins, oncles, tantes ... Il ne connaissait pas vraiment sa culture, mise à part musical, les Japonais et Américains ayant des rancunes tenaces envers leurs deux peuples, qui s'estompèrent heureusement avec le temps. Mais pendant ce temps-là, Jin souffrait. Jusqu'au triomphe international de Bob Marley en 1976. Il venait d'avoir 24 ans. Il découvrit un mouvement qui parlait de réconciliation entre les peuples, d'amour entre noirs, blancs, asiatiques et latinos, que quoi qu'il arrive, nous tous, nous étions des frères. Ce fût pour lui comme une révélation. Il devint un fan inconditionnel de l'immense star du reggae et décida de partir s'installer dans le fief de son idole. Il devint un réparateur de matériel électronique de génie, ce qui lui permit de connaître de grands noms de la musique. La mort de Bob Marley fût une perte terrible pour lui et il assista à ses funérailles qui eût lieu à Kingston.
Voilà pour la petite aparté sur ce jeune Asiatique. Nous étions en octobre en 1983. C'était un samedi, la fête battait son plein. Jin était en plein milieu de la piste de danse quand une jeune femme, très belle, sensuelle et particulièrement attirante s'approcha de lui. Il s'agissait de ce qui, plus tard, sera la mère de son enfant. Une peau d'ébène aussi douce que la pèche, des yeux verts particulièrement expressifs, des courbes généreuses ... Cette jeune femme était Aynalem Kurisato. Elle était une jeune éthiopienne et ses parents étaient de la tribu des Agew, une communauté principalement juive, prédominante en Éthiopie. Ses parents étaient riches, il fallait l'avouer, pas autant qu'un européen dans les critères de richesses, mais assez pour que la jeune Aynalem aille à l'école et devienne une élève studieuse. Elle attira les regards de l'une des plus prestigieuses écoles des Etats-Unis, Yale, et obtint une bourse pour étudier dans cette université. Après avoir obtenu son diplôme en sociologie, elle voyagea à travers le monde pour étudier différentes tribus, éthnies, mode de vie et ceux un peu partout dans le monde. Elle étudia de plus près cet engouement pour ce mode de vie particulier qu'est le Rastafarisme. Mais peu à peu, elle s'appropria cette philosophie.
Elle dansait autour de ce jeune asiatique, qui l'intéressait particulièrement. Plutôt mignon, elle s'approcha de ce jeune homme et commença à danser autour de lui. Finalement, la danse aidant, ils se retrouvèrent collés côte à côte, les fesses de la jeune femme caressant la zone pubienne de Jin. Se tournant autour, se chauffant mutuellement, ils quittèrent la piste de danse et firent l'amour comme s'ils étaient les deux derniers de l'espèce. Ils avaient fait l'amour en pleine nature, dans les herbes hautes, avec pour seule couverture les étoiles au firmament. Cet ainsi que commença leur histoire d'amour ...
Toujours en Jamaïque, près de ce petit village aux alentours de Montego Bay, en juillet 1986.
Un enfant est né de leur amour inconditionnel l'un pour l'autre. Ky-Mani, ce qui signifie Voyageur Aventureux dans la langue maternelle de Aynalem. Mise à part les yeux légèrement bridés de son père, il ressemblait bien plus à sa mère, mise à part qu'il avait la peau légèrement plus pâle que sa mère. Mélange unique de plusieurs groupes ethniques, ses parents décidèrent de l'élever avec une règle d'or, le laisser libre de ses choix de vie et de pensée, car après tout, n'est pas cela le Rastafari ?
Très vite, ce jeune garçon appris à marcher, parler, danser. Il comprit rapidement qu'il était différent des autres enfants jamaïquains. Son père et sa mère étaient des gens respecter de la communauté Rasta et cela faisait maintenant quelques années qu'ils vivaient sur l'île. Ces parents n'étaient peut-être pas des Jamaïquains purs-souches, mais représentaient parfaitement l'amour fraternel entre les peuples que les Rastafari cherchaient à inculquer au reste du monde. Jouant avec les enfants aussi bien que les adultes, il devint, sans même réfléchir, un petit rasta en herbe. Bien entendu, ses parents ne voulurent pas qu'il fume, il était bien trop jeune et cela était normal, même pour des parents aussi tolérant. Il n'a jamais été à l'école, sa mère, son père et sa communauté lui apprirent leurs connaissances. A l'âge de 10 ans, il parlait parfaitement le créole jamaïquain, l'anglais (bien entendu, à l'américaine), le japonais et l'amharique, la langue officielle de l'Éthiopie. Voyant son père réparer les matériels électroniques musicaux, il s'essaya. Bien que bricoleur, il n'avait nullement le talent de son père, mais était heureux de travailler avec son père et Jin, lui, était fier de voir son fils lui donner un coup de main. Vers l'âge de 13 ans, la sexualité de Ky-Mani se réveilla et sa première fois fût avec une adolescente de 15 ans. Elle n'était plus vierge et l'initia aux jeux érotiques et joie du sexe. De jeune garçon, il devint un homme. Le sexe, bien qu'il ne le recherchait pas particulièrement, était dans son mode de vie. Élever comme un pur Rastafari, il aimait tout le monde, et coucher avec des femmes étaient pour lui la meilleure façon de leur montrer son Amour. Il essaya une seule fois une relation homosexuelle et cela ne lui plaisait pas. Loin de dire que son expérience était désastreuse, mais il préférait le contact féminin à masculin, tout simplement. Vers ses 15 ans, il répara avec son père une vieille platine et, pour la tester, essaya de lancer des morceaux et faire des mixs. Très vite, le virus de la musique s'empara de lui et il commença à mixer, scratcher, modifier les basses sur les vieux vinyles de son père. Il avait trouvé ce qui allait plus tard devenir sa raison de vivre. Son père, grand fan d'électronique et de musique, décida d'inviter un ami, qui n'était certes pas Rasta, au village pour lui montrer les qualités musicales de son fils. Cet homme était John Claridge, il vivait à Kingston et était producteur. Jin connaissait le producteur depuis longtemps, car la réputation de Jin en ce qui concerne le matériel électronique n'était plus à refaire dans toute la Jamaïque. Très vite, John décela le talent prometteur de l'apprenti DJ et avec l'accord de ses parents, décida d'emmener le jeune homme à Kingston pour vivre de sa passion naissante. Ky-Mani, bien que jeune, déclara simplement « Autant vivre sa vie et être heureux d'avoir échoué, que malheureux de n'avoir jamais tenté. ». Le producteur lui fit découvrir le monde musical, les studios d'enregistrements, les répétitions et bien qu'il trouvait cela un peu surfait, il suivit les ordres de l'ami de son père. Après tout, il était bien plus vieux que lui, donc plus sage. Très vite, les musiciens qui étaient sous le label de Claridge adoptèrent le jeune comme l'un des leurs et il appris, grâce à eux, leurs techniques, les samples, les compos et j'en passe. Travaillant sans relâche, il se fît découvrir dans une boite du coin, n'ayant pas vraiment de style particulier. Peu à peu, il acquit une certaine renommée, mais ce n'était pas vraiment la vie que souhaitait le jeune artiste. Il décida donc de suivre un groupe de jeunes européens Amstellodamois venus dans le club auquel il jouait et qui racontait l'incroyable culture de la ville. Il décida de rompre son contrat avec John, lui disant que sa place n'était plus ici. Il prit le premier avion pour Amsterdam, il avait tout juste 17 ans.
Amsterdam, « Red Light Distric » ou Quartier De Wallen, mars 2002.
Ky-Mani se baladait dans les rues du quartier rouge le plus célèbre des Pays-Bas, à la recherche d'un coffee-shop digne de ce nom. Cela faisait 2 mois qu'il était dans la ville de tous les Péchés. La vente de drogue comme la Marijuana, est légale dans cette ville, sous certaines conditions, bien entendu. Le Rasta voyait les prostituées dans les vitrines, lui lançant des regards aguicheurs, lui proposant de venir s'amuser avec elles, certaines proposant même de venir tester la marchandise « gratuitement » au jeune DJ. Depuis quelques temps, il vivait des raves illégales d'Amsterdam. C'était le milieu Underground, inconnu et trouble aussi bien pour les impôts que pour les maisons de disques plus traditionnel. La Hardcore, le Speedcore, la Nightcore, la Trance, le Hardstyle et j'en passe, est parfaitement représenter dans cette ville au Melting-Pot parfait. Ky-Mani avait testé tous les styles, mais avait une affinité particulière pour la Trance, tous types confondus, la Neo-Minimal ou bien encore la Dubstep. Même s'il est vrai que Ky-Mani n'aimait pas les étiquettes, de nombreuses personnes essayaient de le « catalogué ». Lui, il ne disait rien. Il se considérait comme un artiste Underground et si les gens, peu importe leurs styles musicaux préférez, dansaient sur sa musique, il était heureux. Il vivait dans un squat avec de nombreux artistes et hommes de la rue, qu'ils soient DJ comme lui, chamans, peintres, taggeurs et autres graffs. Un label indépendant, UK, pour « Underground Konnektion », proposait de le signer. Il hésitait. Ce n'étaient pas des producteurs comme John, mais il imaginait mal obéir à une tendance ou à un style pour plaire aux maisons de disques. Il attendait de les rencontrés en personne avant de refuser quoi que ce soit.
Amsterdam, squat ELF, plus tard dans la soirée, mars 2002.
La musique était forte, mais atténuer dans cette pièce. Les membres du label UK étaient trois. Chris « Ghost » Bouder, un Français, spécialiste de la Hardcore, Gabber et autres sons très apprécié dans les contrées nordiques. Ancien membre d'un Sound System, il arrêta son camion à Amsterdam et depuis plus de 4 ans, vit dans le squat ELF. Any « Sunshine » Noorbert est un Néerlandais, qui lui était un DJ vivant par et pour la Happy Hardcore, la Techno-Minimal et d'autres sons du même type. Enfin, la seule membre féminine du groupe, est Marcia « Smoothie » Narscimento, viens des forêts luxuriantes du Brésil et c'est lancé dans la Darktrance, la Psy-Trance et la Acid-House. Des styles très éclectiques qui n'ont néanmoins aucun points en commun, du moins pour les spécialistes du genre. Ce qui les réunissaient, c'était leurs désirs de libertés d'expressions, libertés de choix musicaux et surtout, aucune contrainte sur leurs modes de vies, ce qu'ils n'auraient nullement dans un label classique ou pire, une maison de disque traditionnelle. Ils s'étaient réunis tous les trois pour partager déjà une certaine notoriété et partager du matériel. Ensemble, ils ont participés au célèbre O.Z.O.R.A en Hongrie, le Tomorrowland en Belgique ou encore le Qlimax à Amsterdam. Leurs diversités et leurs amours de la musique électronique ont fait d'eux l'un des labels les plus intéressants du moment.
Ky-Mani, était donc avec ces trois extraterrestres musicaux et venait de trouver une beuh qui aurait de quoi faire décoller la moitié de la Jamaïque en orbite. Une hybride entre de la Sativa Népalienne, de la AK-48 et de la Apollo 13 Indica, un mélange qui rendrait même le fils caché de Bob Marley et de Snoop Dogg raide avec une seule latte de cette ganjah. Certains disent même qu'elle a été créée par les Américains pour contrer les Bolcheviques ... Bien que défoncé, le jeune Lion écoutait les membres du Label lui expliquer pourquoi ils voulaient « DJ KMK » dans leurs rangs. Déjà, pour monter en gamme. Il est vrai que le blaze du Rastafari se faisait de plus en plus connu et avoir un DJ d'un tel talent profiterait à tout Label un tant soit peu intelligent. Le Lion n'était pas contre, mais sous certaines conditions, qui était accepté rapidement par l'UK. Ce dernier exigeait qu'ils jouent tous ensemble, qu'ils partagent tout, la gloire comme la misère et surtout, si un des membres du Label disait « Non », qu'ils laissent tomber l'idée. Sans le savoir, Ky-Mani venait de parfaitement décrire la façon de faire de l'UK. Ils fêtèrent cela et rejoignirent la gigantesque rave qui se déroulait dans le squat et ce, toute l'année. Les quatre compères dansèrent jusqu'au bout de la nuit, Ky-Mani fini dans le lit de Marcia, c'était une sorte de bienvenue dans la famille ...
Lundi 30 décembre 2013, à 11h30 du matin, Seikusu, Kyoto au Japon.
Ky-Mani avait voyager partout dans le monde, et était devenu, grâce au label UK, l'un des DJ's Trance et Dubstep avec le plus de participation dans les plus gros festivals de musique électronique Underground. Sans relâche, il parcouru les plus grosses dates pendant plus de 11 ans, ce qui, dans le milieu Underground, est assez spectaculaire. Les Show d'UK étaient connus et reconnus pour être reconnu. D'artistes vivants dans les squats et faisant la manche pour survivre, ils étaient tous les quatre devenus des vedettes, de véritables icônes dans leurs styles de musique. Ils faisaient toujours partis du Label, mais maintenant, ils faisaient leurs tournées chacun de leurs côtés. Chaque année, néanmoins, ils rejoignent un festival au hasard, et c'est un événement à lui seul quand les quatre compères mixent ensemble. Celui qu'on appelait le Roi, en référence au Lion, qui est le Roi des Animaux, avait décider de trouver, pourquoi pas, des artistes à promouvoir ici, au Japon. Le DJ sentait qu'ici, il y avait des choses magnifiques à faire, notamment créer un festival ici, au Japon, et on lui avait dit que la meilleure ville Nippone pour faire ce genre de chose, c'était Seikusu, que c'était une sorte de mélange entre Bangkok, Goa et Amsterdam. Il se dit, pourquoi pas ?
Il prit le premier avion, et rejoignit la Capital du Vice Asiatique. Il s'acheta sur place un camion aménager, et décida de faire le tour des lieux branchés de la ville. Il devait d'abord se faire connaître dans cette ville, chose qui sera facile, quand il rencontrera la communauté « Trance ». Du moins, il l'espère …
Situation de départ :
Plusieurs expériences, même si il ne cherche pas à proprement l'acte sexuel. Bien entendu, si une femme se jette pour lui, il ne dira pas non.
Autres :
Possède un tracteur américain avec une caisse customisé aménager. En gros, un camion avec une remorque aménager en appartement. Aux couleurs Rasta, sur le côté, il y a de marquer dessus « DJ KMK ». A Seikusu, ce camion est garé dans le parc.
Pour ce protéger, juste au cas où, Ky-Mani possède également deux Dogues du Tibet, les chiens qui gardent les temples tibétains.
Bien qu'Hétérosexuel, il ne dirait pas non avec une Futanari, juste pour tester.