Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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One Shot / Re : Un mâle pour un bien (PV)
« Dernier message par Souta et Janus le Aujourd'hui à 09:11:18 »
Mes doigts sont rapidement remplacés par ma bite dans la chatte de la blondinette qui est clairement avec moi dans un but spécifique. La première insertion ne se fait pas sans difficulté et elle est à deux doigts de me briser un tympan sur le moment.

- Juste le temps de t'y habituer.

Et la chose ne devrait pas nous demander une éternité vu la vitesse à laquelle cette nympho est venue s'empaler sur ma queue malgré sa taille. Des nanas toutes fines comme elle j'en ai ai déjà tronché un certain nombre et généralement elles changent vite d'avis.
Les rares à vouloir poursuivre l'expérience par contre, nous en font profiter tous les deux pendant un bon moment. Reste à espérer que ce sera son cas à elle aussi.

D'habitude je conserve cette position pour des situations spéciales ou après avoir sauté la même nana plusieurs fois. Mais force est de constater que celle que j'ai au bout de ma bite n'est pas comme les autres. Je pousse bien fort une fois, deux fois... puis je marque une pose en me retirant presque entièrement pour venir saisir ses jambes et la soulever comme une plume.
Mes mains se trouvent dans le creux de ses genoux pour la maintenir en l'air avec le dos contre la porte. Avoir une queue aussi imposante ne m'aide pas vraiment car il me faut bien quelques secondes pour le replacer où il faut en la tenant dans les airs.

- Oooh putain !

Un coup sec vient lui écarter ses parois humides et brûlantes. Mon gland cogne bien fort tout au fond alors que je suis encore loin de la lui avoir mise toute entière.
La fatigue et la lassitude que j'avais senti en arrivant se sont évaporées comme par magie alors que je commence à augmenter la vitesse de mes coups de rein crescendo. L'excitation à pris le dessus et je baisse la tête pour lui baver dans le coup avant de lui embrasser sa peau bouillante dans la foulée.

Au fil des secondes la porte se met à faire de plus en plus de bruit. Comme si quelqu'un venait taper dedans pour se plaindre de nuisances sonores. Il faut dire que j'y vais franco vu comment elle m'a chauffé. Son petit corps remue dans tous les sens à chaque coup de bite qui vient la planter littéralement. Me sentir aussi puissant m'enivre et me donne envie d'y aller encore plus fort en la baisant comme une vulgaire pute.

- Ta petite chatte va me rendre fou.

Son petit trou est si étroit que je vais avoir du mal à me retenir trop longtemps avant de cracher. Ca n'arrivera pas dans la seconde à venir, mais bon. Et puis merde, j'ai aucune raison de me retenir vu que je peux continuer de bander et éjaculer encore quelques fois avant de m'écrouler.

- J'espère que t'es pas attendue ailleurs.

Parce que là t'as un peu réveillé la bête et il va te falloir un moment avant de la calmer.
2
Dictature d'Ashnard / Re : Moribonde [PV: Ser Auguste]
« Dernier message par Shion le Aujourd'hui à 06:36:48 »
Le chant du combat.

Laurelian n'avait jamais oublié cet orchestre ; les armes qui s'entrechoquent, le son des impacts, les gémissements et les suppliques, rythmés par les ondes de souffrance et d'agonie qui lui parvenaient. Serenos l'avait chanté pour elle, plusieurs fois, à chaque fois détruisant une vie pour elle, une vie qui aurait pu s'épanouir sur des décennies, mais qui avait été sacrifié sur l'autel de sa survie.

Elle détestait la violence. Elle l'abhorrait. Elle aurait voulu que chaque arme, chaque forgeron qui y ait prêté sa main, chaque guerrier les maniant n'aient simplement jamais existé. Et pourtant, les armes n'étaient qu'une réponse à la violence de la vie elle-même ; l'homme n'aurait pas eu besoin d'arme s'il n'avait pas eu de prédateur. Même dans la nature, les proies apprenaient à se défendre, certains en développant des défenses, d'autres du camouflage, certains développant même des poisons à même leur propre corps pour dissuader un prédateur.

Heureusement, le chant s'interrompit rapidement. Qui que soient ces personnes, ils n'avaient pas l'intention de faire durer cette rencontre plus longtemps qu'absolument nécessaire. Serenos, pour sa part, avait toujours pris trop grand plaisir, du moins du point de vue de Laurelian, à infliger des souffrances incalculables à ses ennemis, parfois ne leur faisant même pas la grâce d'y mettre fin rapidement pour mieux les torturer plus tard.

Un homme apparût. Dans son état de fatigue extrême, Ser Auguste était baigné d'une lumière. Une douce lumière bleutée qui l'enlaçait. Elle voyait une forme dans cette lumière, les traits indistincts d'une femme qui lui souriait. Elle ne reconnaissait pas cette femme. Elle n'était même pas sûre de ce qu'elle voyait.

Les bras de l'homme la soulevèrent. Il lui dit quelque chose, mais elle ne l'entendit qu'à peine. La lumière l'enveloppa, comme elle l'enveloppait, et l'espace d'un moment, elle aurait tout donné pour qu'il la garde contre lui, qu'il ne l'arrache pas au sentiment de profond soulagement qu'elle lui prodiguait, mais elle n'eut pas la force de prononcer un mot, transférée à une autre paire de bras, et elle sombra dans l'inconscience.

***

Lorsqu'elle revint à elle, la nuit commençait à s'abaisser, et elle remarqua qu'elle était assise sur la banquette d'une diligence. À son côté, la captive qui avait survécu, et qui s'accrochait toujours à la vie, dévorait avec appétit féroce des pêches et des noix mise à sa disposition. Des sacs remplis de vivres étaient posés à même le sol, et les autres se remplissaient la panse.

Voyant qu'elle avait ouvert les yeux, la première lui tendit une coupe remplie d'eau. Elle tenta de lever une main pour l'accepter, mais malgré ses efforts, ses bras refusèrent, obstinément, de faire un mouvement. Incapable d'accepter, mais terriblement assoifée, et incertaine que la jeune femme parlât sa langue, elle se contenta de s'humecter les lèvres avec la langue, lui envoyant une brève supplique du regard.

L'étrangère sembla comprendre son signal, puisqu'elle approcha la coupe et la posa contre ses lèvres avant de verser le contenu, doucement, dans sa bouche. Laurelian déglutit difficilement, l'eau tiède lui faisant un effet d'un éclair brulant dans sa gorge, un sentiment qui fut rapidement remplacé par un profond bien-être alors que sa trachée reprenait de l'humidité. Après avoir bu la coupe, une deuxième lui fut offerte, et elle l'accepta. Après avoir bu, sa nouvelle amie —car comment appeler d'autre une personne qui, sans rien demander, vous nourrissait— lui offrit des fruits, mais réalisant qu'elle était trop faible pour mâcher, elle en prit une bouchée, la mastiqua puis, sans la moindre façon, lui versa la nourriture prémâchée dans la bouche.

L'expérience n'était pas plaisante, mais elle avait dû tolérer bien pire, et bien moins bien intentionné, de la part de bien des hommes, et au moins, elle put avaler la nourriture. Une fois plus ou moins repus, elle émit un léger grognement de gratitude, puis ferma les yeux.

Elle n'ouvrit les yeux que bien plus tard, lorsqu'enfin, la diligence cessa d'avancer. Parce qu'elle ne supportait pas son immobilité, elle se concentra sur son corps et chercha à remuer les doigts. Comme Aldericht le lui avait appris, elle imagina une grande lumière naître dans son cœur, puis la fit monter jusqu'à sa tête, puis de sa tête, l'envoya jusqu'à sa main, et à ses doigts, répétant l'exercice mental, sans se presser, comme de la méditation. Bientôt, elle sentit un petit picotement dans le bout de ses doigts, et un sourire naquis sur ses lèvres lorsqu'elle les vit s'agiter à sa commande.

Lentement, elle se releva, et poussa la porte qui la mènerait dehors, pour y voir une grande étendue de sable. Elle ne savait pas où elle était, mais elle vit que ses compagnons d'infortunes étaient maintenant assis autour d'un petit feu. L'air était frais, mais sec, et la pleine lune illuminait maintenant les grandes dunes. Elle était toujours en Ashnard.
3
Le palais d'ivoire / Re : La Crise Nexusienne [PV: Serenos]
« Dernier message par Serenos I Aeslingr le Aujourd'hui à 04:48:56 »
"Un allié?"

Malgré lui, le Roi sentit un rire lui échapper, puis, incapable de se retenir, explosa d'hilarité à la suggestion. Un allié? Nexus n'avait jamais eu besoin d'un allié. Pendant des années, tout ce qu'il avait vu d'une "alliance" entre Nexus et les autres royaumes libres était plus ou moins une domination d'influence par la Cité-État. L'idée que Nexus, ou plutôt que la Grande Duchesse, soit devant lui à lui demander une alliance lui semblait absolument ridicule.

Puis le rire prit fin, aussi subitement qu'il lui était venu, et il reprit son souffle en posant une main sur son abdomen.

"Je n'ai rien à faire de Nexus."

Il contourna lentement la table et s'approcha d'Eleanor, puis se pencha sur elle, arrivant à la hauteur de son visage, tout en continuant de la surplomber.

"Je suis venu parce que vous m'avez demandé de l'aide."

Il l'observa un moment. Elle était beaucoup plus jeune qu'il s'y attendait. Dans sa lettre, et dans son langage, il s'était attendu à croiser une femme d'âge mur. En fait, maintenant qu'il l'avait sous les yeux, il se rendit compte que, malgré tous ses échanges avec la précédente souveraine, il n'avait jamais vraiment pris le temps d'en apprendre plus sur sa famille ou ses relations d'importance.

Il se recula, puis tourna les talons lors qu'il s'éloignait d'elle, les mains dans le dos, de nouveau, faisant lentement les cents pas dans la pièce.

"Je ferai ce qui s'impose. Si vous avez une relique suffisamment puissante, je n'aurai pas besoin de mes chasseurs. Mais, Eleanor, vous devez savoir que je ne fais jamais rien sans juste compensation. Votre parente, malgré nos différences, a su acquérir ma coopération via mes sentiments et émotions."

S'immobilisant derrière le canapé en face de la duchesse, il la regarda de nouveau, et se rendit compte que ses paroles pouvaient être interprété d'une façon peu galante, et se corrigea rapidement, mais sans empressement.

"Notre relation sera différente, tout comme notre échange. Sauf votre respect, j'ai largement soupé de votre contrée et de vos nobles, je ne souhaite pas m'y retrouver de nouveau mêlé. Ceci-dit, si je fais cette chose pour vous —Toujours dans l'idée où je serais capable de réaliser cette tâche, bien entendu—, je m'attends à ce que notre coopération soit officielle, mais seulement de vous à moi. Meisa ne sera pas —et de mon vivant ne sera jamais— l'allié de Nexus, et ce peu importe le mépris que je nourris envers Ashnard. Nous collaborerons, et nous aiderons votre pays à se remettre sur ses pieds. Mais c'est une alliance entre Serenos et Eleanor, pas le Royaume de Meisa et le Nexus, est-ce clair?"
4
Dictature d'Ashnard / Re : Moribonde [PV: Ser Auguste]
« Dernier message par Ser Auguste le Aujourd'hui à 03:40:56 »
Auguste n'aimait pas Ashnard, et il aimait encore moins s'y retrouver. Non seulement le pays était la source des plus grandes souffrances que les peuples frontaliers subissaient, mais il en était également la victime.

Il y avait un certain mérite dans une nation où la loi du plus fort subsistait encore et toujours. Avec assez de force et de pouvoir, même un simple villageois pouvait, un jour, devenir un grand général, ou même mettre fin aux pires injustices. La loi était permissive à ce point; le meurtre n'y était même pas nécessairement interdit ou criminalisé; si un citoyen se retrouvait au bout d'une lame, ou empalé au sommet d'une colline, c'est qu'il n'était pas assez fort pour survivre. En un sens, ce système était équitable; tant que vous étiez né avec un corps ou un esprit capable de surpasser celui des autres, et de vous garder en vie par la même occasion.

Auguste ne partageait pas cette croyance, cependant. Les faibles méritaient autant une chance de vivre heureux que les forts, et si ceux avec les moyens étaient libres de faire ce qu'ils voulaient en toute impunité, il n'y avait simplement aucune limite aux atrocités qu'ils pouvaient commettre.

La chasse aux esclavagistes, ou du moins c'est ainsi qu'il appelait ce type de mission, était un type d'opération où le Chevalier Saint frappait au coeur de la cruauté Ashnardienne, et son approvisionnement. Terlia, un royaume reconnu pour ses tractations avec les différentes contrées, était normalement un royaume appartenant à la coopération des royaumes libres, normalement sous protection Nexusienne. Cependant, malgré cette alliance, il persistait en ce royaume des pratiques peu reluisantes, notamment dans leurs arrangements avec une nation pourtant déclarée ennemie de cette coopération. Il avait ouïe dire que l'un de ces marchands allant à l'encontre des conventions établies par cette alliance venait de revenir d'un autre continent.

Sous des conditions idéales, s'il était du côté de Nexus, Auguste n'aurait pas hésité un seul instant à se lancer à la poursuite de ce marchand avec le support de son Ordre, mais en Ashnard, un déplacement de troupes, même si le nombre était trop bas pour justifier une riposte, pouvait engendrer des réactions disproportionnées. Pour cette raison, il n'avait pris avec lui que quatre membres de son ordre; Maxime, Jules et Aurèle, trois Chevaliers de son Ordre.

Les règles de la chasse étaient simples; agissez vite, agissez bien et agissez sans être vu. Et bon sang, si cette route n'avait pas été aussi occupée pendant les trois premiers jours de leur traque, ils auraient pu protéger ces pauvres gens. Via l'Aspect de Compassion, Auguste ne put même pas ignorer le désespoir des victimes; leur douleur, il la ressentait, à chaque moment, à chaque instant. Chaque mort lui perçait le coeur, aussi douloureusement que le fer d'une lance. Et pourtant, aux travers de cette souffrance, il voyait une étincelle anormale; une des esclaves à en devenir qui semblait presque... indifférente serait un grand mot, mais... distante? Presque à l'image d'une épave au gré d'une tourmente; elle vivait cette captivité, cette soif, cette inanition, mais pourtant, elle ne semblait pas y porter attention, comme si elle savait que cela ne durerait pas.

Le quatrième jour se présenta enfin leur opportunité; plus de voyageurs, plus de gardes, rien. Voilà près d'une heure qu'ils n'avaient rien vu, de près ou de loin. C'était l'heure de frapper.

Maxime fut la première à charger, et elle se détacha du groupe pour foncer droit vers la diligence en tête. Bondissant de sa selle, elle planta sa lance dans le crâne de sa première victime; le chauffeur. Sans briser son élan, elle passa de l'autre côté du banc du chauffeur et frappa à l'intérieur de la diligence, à l'aveugle. Sa lance trouva une victime, mais elle ne fit que l'égratigner, la forçant à frapper de nouveau, cette fois visant le tronc de l'homme, perçant ses muscles dorsaux ainsi qu'un poumon, sans l'ombre d'un doute. L'autre passager parvint à s'extirper du véhicule, mais elle se jeta au sol et, avec l'élan de la chute, usa de cette force pour se pousser sous la diligence, glissant sur son armure de métal, pour atteindre l'autre côté et se redressa aussi vite, bondissant comme une panthère sur sa proie pour lui perforer le crâne de part en part de sa lance.

Jules et Aurèle, pour leur part, cernaient le champ de bataille, provoquant la garde et les harcelant de leurs flèches, s'assurant ainsi qu'ils ne pourraient pas faire le chemin vers leur monture et prendre la fuite. Ce fut cependant Auguste qui frappa au coeur du groupe, mettant même le pied à terre pour affronter les gardes survivants. Il n'avait pas besoin de chercher des témoins; aucun ne pourrait échapper aux flèches des jumeaux et à la lance de Maxime. Il devait simplement se concentrer sur les gardes qui entouraient la cage.

Un à un, il pourfendit ses ennemis. Certes, ils étaient armés, mais leurs armes étaient de mauvaise qualité, et leur talent était encore moins impressionnant. Il dût admettre que quelques-uns avaient quelques compétences, notamment ceux qui se rendirent compte que Lamentation ne serait pas arrêtée par leurs parades, même les plus compétentes, et donc qui cherchaient à esquiver la lame et trouver un angle d'attaque. Cependant, ceux qui réussirent à lui porter un coup ne parvinrent pas à passer outre son armure; leurs armes étaient de facture trop faible.

Une fois ses ennemis devenus cadavres, il s'approcha de la cage que les gardes avaient pris la peine de laisser ouverte pour lui, et il s'approcha des prisonniers.

Ils étaient tous faibles, incapable de bouger ou de résister. Sauf une. Celle aux cheveux blancs. Celle qu'il avait ressenti comme inerte au centre de la tourmente.

Il la souleva délicatement.

"Je suis Auguste, et je ne vous ferai aucun mal," l'assura-t-il avec un sourire. "Je vais vous confier à Ser Aurèle, mademoiselle. Nous allons vous sortir d'ici."

Faisant volte-face, il tendit la première victime à Aurèle, qui la prit dans ses bras avant de la transporter vers la diligence. Il se tourna ensuite vers les autres victimes, et fit de même, chargeant les deux jeunes hommes survivant dans les bras de Jules, puis confiant l'enfant à Maxime, avant de tirer la dernière survivante de la cage, celle-ci opposant une maigre résistance. Une main se leva et frappa fermement contre son casque, le lui arrachant dans l'élan, et il la regarda calmement.

"Je ne vous ferai aucun mal," répéta-t-il. "La Divine m'en soit témoin."

Cette promesse, sur le nom de la Divine, sembla mettre fin aux protestations de la femme, et il la porta à son tour vers la diligence, dans laquelle il la posa, non sans lâcher un regard vers la femme aux cheveux blancs, mais il ne jugea pas que c'était le bon moment pour lui poser des questions.

Aurèle revint rapidement pour informer le Chevalier Saint que le chariot en queue de file était chargé de vivres, assurément de quoi nourrir leurs protégés et eux-même. Avec ses hommes, il s'empressa de suivre le premier et de pirater le chariot de ses ressources pour en charger le plus possible dans la diligence, pour que les survivants puissent s'en nourrir pendant le trajet.

Maxime grimpa sur le banc de chauffeur de la diligence, alors qu'Aurèle prenait en charge le chariot de vivre. Auguste et Jules remontèrent en selle. Les montures de leur compagnons flanquèrent les leur, et après un dernier coup d'oeil, le Chevalier Saint donna l'ordre de partir, et ils s'engagèrent vers les terres désertiques d'Ashnard; direction Nexus.
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Le Seikusu Palace et cinéma / Re : L'Intrigante Divinité ~ Regalis
« Dernier message par Sareeth le Aujourd'hui à 01:41:53 »
« Ce n’est pas dans mes plans. Je ne me soumets pas au premier venu. » Ce sont des paroles bidons. Le dieu n’a pas posé une seule main sur mon corps sulfureux qui brûle déjà d’un désir destructeur. Je me sens tombée entre les griffes de ma proie, prête à me mettre à genoux pour obtenir la caresse tant désirée. Il suffirait si peu…

« Vous vous moquez car vous n’estimez pas encore votre chance d’être tombée sur moi. » Je ne suis pas vexée par ses paroles, je réponds sur le ton provocateur.  « Vous confondez la retenue avec la maîtrise. Je prends mon temps pour laisser l’envie s’installer et accroître. Je vous laisse le temps de découvrir à quel point mon corps est brûlant et mon esprit embrasé par notre simple rencontre. Mais… Si j’avais d’entrée de jeu, osez-vous demander de me prendre bestialement, auriez-vous accepté ? »

La curiosité demeure un vilain défaut. Maintenant que le dieu a émis cette hypothèse, j’ai besoin d’une réponse et de savoir. Mon esprit retors imagine déjà cette situation torride où nos corps enlacés communiquent à la place de nos bouches, où nous n’avons pas eu besoin d’épiloguer pour se donner l’un à l’autre. Ses images obscènes envahissent mon esprit. Elles y chassent toute forme de raison pour n’espérer qu’une seule chose. Mon corps se tend sous cette impérieuse envie de succomber avec le dieu à des plaisirs décadents. Mais il reste à convaincre à céder à ses pulsions primaires.

Je commence à manquer d’idées pour l’y faire céder. C’est lui qui finit par me le donner : l’évidence qui était sous mon nez depuis le début. L’habituel procédé des démons, que j’ai éhonteusement abandonné pour des procédés plus expéditifs. Je me relève et m’assied à califourchon sur ses cuisses. Je suis désormais dos au film, masquant sa propre vue. Seuls les sons et dialogues lui permettent de continuer à suivre. « S’il y a bien une chose sur laquelle je ne doute aucunement, c’est la qualité d’un dieu. Je n’avais juste pas songé à cette possibilité… » En parlant, je sentis l’aventure débutée par sa main. Mon corps entier se crispe, sous cette simple caresse, prête à me faire perdre bon sens.

« Dites-le moi. » Le dieu entre dans le jeu. Je ne le pensais pas si douée pour me troubler. Je suis toute affolée par ses simples paroles qui mettent mes convictions sans dessus dessous. « Faisons un pacte. Nous ne pourrons nous trahir et nous devrons contenter les désirs de l'autre à chaque fois qu’il le réclame. Avez-vous une autre clause à ajouter ? » Au-delà de sa divinité, il m’a prouvé de bien des manières qu’il est un partenaire à préserver. Ma proposition ne peut s’arrêter quune seule fois rapide dans ce cinéma…
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Dictature d'Ashnard / Moribonde [PV: Ser Auguste]
« Dernier message par Shion le Aujourd'hui à 01:08:18 »
Fuir de Meisa n'était pas particulièrement difficile. Ce n'est pas comme si Serenos l'avait attachée sur place, ou s'il était particulièrement inquiet d'être capable ou non de la retrouver. Ce n'était même pas la première fois qu'elle le faisait; quand bien même elle disparaîtrait pendant des mois, elle doutait que le Roi ne se préoccupe de son sort plus qu'il ne le faisait déjà. De toute façon, il n'y avait pas d'échappatoire, que ce soit pour lui ou pour elle; leur destin était de se rencontrer, encore et encore, jusqu'au jour ultime. Entretemps, elle pouvait bien faire ce qu'elle voulait.

Ce n'est pas pour autant que Laurelian ne cherchait pas à trouver un échappatoire. Elle n'avait pas complètement abandonné l'idée de vivre. L'idée de survivre. Si son destin était de mourir, de souffrir, elle ne comptait pas l'accepter les bras croisés en attendant sa fin.

Donc, elle fuyait.

Elle avait pris le premier bateau pour le continent qu'elle avait trouvé.

Seulement, le navire marchand concerné ne faisait pas affaire qu'avec Meisa. Certes, il flottait sous une bannière du royaume de Terlia, mais Terlia avait également des accords commerciaux avec Ashnard, mais comme elle n'avait jamais porté attention à la politique entre les royaumes, chose qu'elle regrettait absolument dans sa situation actuelle, son ignorance l'avait menée sur le territoire impérial.

Pourquoi regrettait-elle sa situation ?

Eh bien, parce que peu après avoir mis le pied sur le territoire d'Ashnard, les commerçants l'ayant si poliment acceptée sur leur embarcation étaient soudainement, si un brin prévisiblement, devenus ses geôliers. À peine avaient-ils traversé les eaux territoriales de l'Empire qu'elle avait été agressée par trois solides gaillards dans son alcôve personnelle, saucissonnée sans préavis et enfermée avec le reste de la marchandise.

Maintenant, elle était en transit, enfermée dans une cage en fer avec d'autres jeunes femmes et même de jeunes hommes. Des enfants figuraient parmi les victimes.

Il y avait toujours des enfants. Les esclavagistes connaissaient leurs clients. Il n'y avait aucun doute que si ces victimes se rendaient jusqu'au marché aux esclaves, il serait exceptionnel qu'ils soient achetés dans le but de se voir prodiguer une famille. Non, si ce n'était pas des rituels de magie noire, un sort beaucoup plus cruel et sordide les attendait. Les Ashnardiens ne semblaient pas connaître de fond quand il s'agissait de perversion et de cruauté.

Franchement, elle serait beaucoup plus inquiète si ce n'était pas un procédé qu'elle avait déjà connu à l'époque. Elle avait déjà été faite esclave. Elle avait déjà passé entre les mains des pires ordures du monde connu. Ce n'est pas tant qu'elle était indifférente à son sort, voire qu'elle était intérieurement angoissée à l'idée de croiser un autre monstre du genre, mais simplement le fait de vivre, et que ce soit le résultat de ses propres décisions… il y avait une certaine chaleur. Un certain réconfort. Qu'elle avait encore une chance de survivre.

Mais les esclaves n'avaient pas une grande chance de voir le marché de toute façon. Ces marchands ne semblaient pas vraiment avoir à cœur leur survie, considérant l'absence de nourriture et d'eau. Les plus faibles ne virent même pas la fin de la première journée. Certains avaient même, dans leur désespoir, commencé à manger les cadavres crus de ces premiers morts avant la fin même de la deuxième journée. La troisième journée, certains semblaient même avoir fait un pacte de tirer le minimum de réconfort possible, et s'adonnaient aux actes charnels, malgré la présence d'innocents.

Au milieu de la quatrième journée, aux alentours de midi, la princesse emprisonnée fut surprise de sentir la cage s'arrêter.

Elle était trop faible pour vraiment s'y intéresser. Elle avait faim, elle était fatiguée. À ses pieds, des cadavres encore chauds gisaient sur le plancher de bois. Parmi les survivants, un jeune homme, deux femmes et seulement un enfant, ce dernier mâchant un bout de chair sanguinolent entre ses sanglots.

Un groupe de gardes armés se présentèrent derrière la cage, et l'un d'entre eux la déverrouilla alors que les autres les menaçaient de leur pique. L'un d'entre eux s'exclama dans sa langue natale, avec une moue dégoûtée et se couvrant le nez. Oui, l'odeur d'un corps en putréfaction n'était pas enchanteresse, qui l'eut cru, même s'il était celui d'une très belle fille de village, dont les yeux noirs étaient rivés sur la princesse, figés dans cette même expression de supplication silencieuse qu'elle lui avait adressée alors qu'elle s'éteignait devant elle.

Les corps furent tirés hors de la cage, puis jetés négligemment en bord de route.
7
Le Seikusu Palace et cinéma / Re : L'Intrigante Divinité ~ Regalis
« Dernier message par Regalis le Aujourd'hui à 00:53:15 »
-Oh ? … Tu vas me supplier ?

Il se mit alors à rire un peu. Était-ce un message cacher de sa part afin de démontrer sa réelle envie de lui ? Elle lui donnait des idées à force … Cela pourrait se retourner contre elle pour s’en amuser et la frustrer. Les querelles entre les dieux et les démons n’étaient que des enfantillages à vrai dire. Lorsque l’on savait vraiment de quoi ça partait … Nous ne valions pas mieux que les humains, capable de se frapper pour un bout de pain. Mais elle s’en fichait visiblement. Tant mieux … Il aurait eu un petit pincement au cœur de devoir détruire ce lieu en même temps que la succube. Après tout, cette salle pouvait offrir quelques divertissements.

-On dirait presque … Ce que les humains appel une petite annonce que j’ai pu voir dans un de leur journaux … Succube cherche dieu pour échange d’amour …

Bien qu’il puisse parfois montrer de la froideur ou refléter son immense gouffre de colère dans ses regards, il restait sur un humour un peu provocateur. Mais cela ne semblait pas déranger la demoiselle. Mais il remarquait aussi qu’elle n’avait pas poser un seul regard sur l’écran. L’histoire ou ses apparences ne semblaient pas l’intéresser ? Pourtant il y avait bien de leçon à apprendre, au-delà des simples bêtises humaines.

-D’accord … Tu ne séduis pas un dieu avec la politesse mais en même temps, ayant si faim, tu ne demandes pas directement que je profite de ton corps pour te nourrir … Alors que la retenue est une forme de politesse non ?

Il laissait un de ses doigts venir s’enrouler autour d’une mèche de cheveux de la succube pour s’amuser avec en la faisant tourner autour. Il devait bien avouer qu’elle l’amusait en ce moment même et qu’il avait déjà une grande partie des informations sur une partie de l’histoire de ce monde avec ce film qui continuait. Que faire ? Surtout qu’elle se montrait plus … physique. Venant savourer le cou du dieu en déposant ses lèvres sur son cou, sentant son souffle chaud sur sa peau … et cette poitrine contre son torse …

-Ce qui fait défaut c’est la confiance … C’est une chose qui à trop été brisé. Prouver quelque chose ne sert à rien. Il y a aucune certitude derrière. D’autant plus que c’est la succube qui est affamée et qui croit avoir capturé une proie … N’a-t-elle pas des solutions plus radicales ? … Comme … hmmm … des pactes ? Ou alors doute-t-elle de la qualité et hésite-t-elle à se lancer corps et âme ?

Il décroche alors son regard du film, observant la succube avant de laisser sa main se poser sur une cuisse de la demoiselle … remontant doucement celle-ci d’une caresse en laissant son pouce à l’intérieur … toujours de plus en plus proche de son intimité. Il penche un peu la tête vers son oreille, décidant de la taquiner un peu d’un murmure bien osé et mielleux …

-N’a-t-elle pas envie d’entendre de la bouche d’un dieu l’envie de la nourrir, au cœur de son être ?
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Les bas fonds / Kneel before the dragon. [ft. Iseult]
« Dernier message par Astral Bonds le Aujourd'hui à 00:38:18 »
   
Le Dragon de l'Est & La Dragonne de l'Ouest

Depuis des années, j'ai tenté d'oublier le passé tumultueux qui me liait à elle, à ma némésis, la dragonne d'Azur de l'Ouest. Mais même sous ma forme humaine, j'ai toujours ressenti sa présence, comme une ombre qui planait dans les recoins de mon esprit. Son souvenir hantait mes pensées, réveillant des émotions que je croyais enfouies à jamais. J'ai passé tant d'années à me reconstruire, à ériger des barrières autour de mon cœur pour me protéger de cette attraction magnétique, de cette tension sexuelle qui semblait toujours présente entre nous. Mais maintenant, alors que son nom résonne à nouveau dans les vents, toutes ces barrières menacent de s'effondrer. Pourtant, malgré ma volonté de lutter contre mes sentiments, je ne peux nier l'attraction qui persiste. C'est comme si nos âmes étaient liées par un fil invisible, un lien que je ne peux rompre aussi facilement que je le voudrais. Et c'est cette vérité qui me terrifie le plus.

Chaque fois que je ferme les yeux, je revois nos combats épiques dans les cieux, nos flammes se mêlant dans une danse mortelle. Mais ce n'étaient pas seulement des combats de dragons, c'étaient des affrontements de volontés, des luttes pour la suprématie, des étreintes passionnées déguisées en batailles. Je sais que je dois rester sur mes gardes. Elle est rusée, manipulatrice, prête à tout pour atteindre ses objectifs. Et pourtant, malgré le danger qu'elle représente, je ne peux m'empêcher de ressentir une certaine excitation à l'idée de la revoir, à l'idée de défier à nouveau son pouvoir. Mais je ne peux pas me permettre d'oublier ce qu'elle a fait, les innocents qu'elle a blessés dans sa quête de domination. Je dois me rappeler qui je suis maintenant, loin des feux du passé, loin de la furie des dragons.

Astral Bonds... Le nom résonne dans mon esprit avec une signification bien plus profonde que ce que les mots peuvent exprimer. C'est le lien indéfectible qui unit six âmes, chacune issue de mondes différents mais unies par une passion commune pour la musique et une forme de paix au travers des mondes. Nous sommes une symphonie vivante, un mélange harmonieux de voix et d'instruments, capturant l'essence même de notre héritage cosmique à travers chaque note. Je suis le chanteur, accompagné de deux guitaristes et d'un batteur, formant un tout indissociable. Malgré nos origines diverses et nos souvenirs perdus, nous avons forgé une grande loyauté entre nous, alimentée par la magie de la musique. Et bien que nous ayons oublié notre propre âge, notre lien transcende le temps et l'espace, nous reliant à travers les éons.

La fumée de ma cigarette danse dans l'air nocturne, se mêlant aux soupirs de la ville endormie. Depuis le balcon de ma chambre d'hôtel, je contemple les rues sombres et tortueuses des bas-fonds de Nexus. L'agitation de la soirée s'est dissipée, remplacée par un calme précaire qui enveloppe la ville comme un voile de silence. Le concert est terminé, les applaudissements et les acclamations résonnent encore faiblement dans ma mémoire. Mes camarades de groupe continuent de festoyer quelque part dans les entrailles de la ville, mais pour moi, la nuit est un refuge solitaire, un moment de répit dans le tumulte de nos vies itinérantes. Un frisson me parcourt soudainement l'échine, rompant le calme fragile qui régnait dans ma chambre. Une aura familière, chargée de puissance et de menace, envahit l'air autour de moi, faisant vibrer chaque fibre de mon être. C'est elle, ma némésis, qui s'approche.

« Hoy hoy hoy ~ J'espère que tu ne comptes pas entamer des hostilités ici. J'ai pas utilisé mes pouvoirs depuis un bail... »

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Le Seikusu Palace et cinéma / Re : L'Intrigante Divinité ~ Regalis
« Dernier message par Sareeth le Aujourd'hui à 00:18:32 »
« Je n’adhère pas… La frustration est plus intéressante. Elle mêle les plaisirs et leur inaccessibilité. N’est-ce pas plus drôle de voir une femme se tordre sous vous pour chercher le contact jusqu’à vous supplier d’assouvir ses désirs ? »  L’ennui est mon pire ennemi. Il est douloureux et insidieux, toujours à m’attendre et me saisir impuissante.

Il est une torture difficile à en rendre fou ses victimes. Ce n’est pas ce que j’y cherche. Un supplice doit être lent et vicieux, jusqu’à plier à notre volonté le bénéficiaire. Il ne doit ni le rendre incapable, ni impuissant. Les effets dévastateurs de l’ennui n’ont que peu de manières de trouver réparation. Je n’ai jamais été pour briser mes souffre-douleurs. Il est toujours mieux de pouvoir les garder sous le coude si une opportunité se présente. Toutefois, le dieu semble en connaître un rayon sur ce sujet, différemment de mes propres connaissances. Cette information cruciale ne m’en apprend pas plus sur son identité. Je ne cherche pas à la connaître.

La vieille querelle entre démons et dieux se remet sur la table. La légitimité de la question ne la rend pas moins barbante. Je lève les yeux au plafond. « Il est vrai que les démons n’apprécient guère le panthéon mais… Ce ne sont pas mes affaires. Pourquoi chercher à faire la guerre quand nous pourrions tous nous entendre joyeusement ? Je n’aime pas le conflit. Je préfère donner de l’amour. »

Il doute de mon explication. Le dieu a raison, la faim seule n’a suffit à me guider jusqu’à ses genoux et ce risque pris. L’avouer immédiatement gâcherait le charme de la situation. Je ne remarque pas son attention à suivre le film et les événements. Les voix et les bruits sont occultés par mon esprit trop concentré sur cet homme.

Il s’offusque de mes manières, ce à quoi je réponds d’une pointe d’insolence. « Ce n’est pas avec de la politesse que je vais séduire un dieu. » Il soulève un point juste, propre à ma race insatiable et instable. Pourtant, par ma présence même en ces lieux et sur ses genoux, je suffis à me distinguer des congénères. « Oui. Je sais que vous le ferez. » Mon assurance cache ma peur de l’échec.

« Est-ce là le souci qui vous retient à la chasteté ? L’humeur changeante des succubes ? Il vous suffit de me prouver que je serais à l’avenir incapable de me passer de vous. Rien d’impossible pour un dieu. » Il est temps pour moi de passer à l’étape suivante. Je me relève légèrement et dépose mes lèvres dans son cou. Je prends garde à ne jamais le gêner dans son visionnage mais je m’espère lui faire oublier l’existence du film.

Mes doigts brûlants trouvent leur chemin sous son haut. Ma poitrine se plaque contre son torse. « Ne sentez-vous pas mon souffle chaud et mon coeur affolé par votre présence ? Mon corps vous désire pour ce que vous êtes. » Son hostilité, doublée de sa méfiance enflamme mon appétit.
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Prélude / Re : Les petits contrats de Mel [Anéa]
« Dernier message par Serenos I Aeslingr le jeudi 09 mai 2024, 23:57:28 »
*regarde ses ciseaux et le numéro de téléphone du service d'urgence*

J'ai comme l'impression que je vais en avoir besoin, je sais pas pourquoi.
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