Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Le métro et la gare / Re : La frotteuse du métro (PV - Molly)
« Dernier message par Jin Tanaka le Aujourd'hui à 09:02:07 »
La souffrance ne fait qu'augmenter sous son jean quand l'inconnue décide de lui montrer ce qu'elle frottait contre lui depuis plusieurs minutes. N'importe qui penserait maladroitement qu'une personne qui s'adonne à ce genre de chose doit être moche, mal foutue ou alors déséquilibrée mentalement. Dans quelle catégorie est-ce qu'il faudra la ranger ? La question devra attendre car sa bouche lâche un nouveau soupir de plaisir suite au second freinage du métro. Cette contrainte n'a pas arrêtée la belle jeune femme. Au contraire, elle y repart de plus belle.

Explorer et réaliser les fantasmes de ses fans en plus des siens fait partie de son quotidien d'une certaine manière. Le thème des petits plaisirs en extérieur revient régulièrement dans ses échanges avec eux. Lui qui n'était pas vraiment intéressé par cela au début a fini par développer une curiosité à ce sujet. D'abord par des photos envoyées par des femmes qui se dévoilaient peu à peu. Mais aussi par des couples. Exclusifs comme libertins d'ailleurs. Tous ces partages ont fait germer une petite graine de perversité en lui avec le temps.

Jusque là les mains de l'enseignant étaient accrochées à une barre métallique au-dessus de sa tête pour bien se cramponner et éviter de se faire entraîner par la foule. Sauf que la situation est différente maintenant que tout le métro est à l'arrêt.
Mais alors qu'il est sur le point de prendre une initiative, une paire de main délicate vient ouvrir son jean et sa braguette à sa place.
Il se laisse alors faire en observant d'un œil attentif et amusé.

Lorsque l'inconnue revient se presser avec son petit cul bien ferme contre sa queue encore emprisonnée sous son boxer, il décide que c'est l'occasion parfaite pour rejoindre son petit jeu. Sa main droite vient alors se poser sur la fesse à la peau aussi douce qu'il se l'imaginait pour la caresser avec tendresse dans un premier temps.

Il aurait bien voulu pimenter la chose en lui disant quelque chose. Seulement le bruit des contestations inonde la rame de métro et personne ne doit s'entendre ne serait-ce que penser.
Incapable de lui partager oralement sa surprise ou sa complicité, il ne lui reste plus que les gestes. Et c'est ce qu'il fait en utilisant sa seconde main qui vient se poser sur la hanche fine de l'autre côté de ce corps de rêve. Sa grosse main aux doigts épais se faufile jusqu'à un ventre plat pour en couvrir une bonne partie. Une façon comme une autre de lui faire comprendre que maintenant qu'elle a commencé à jouer elle n'ira nulle part.

Toujours incapable de lui parler directement sans avoir à trop élever la voix, son crâne se penche légèrement en avant pour se retrouver au niveau de la chevelure de sa partenaire de jeu surprise. Et là il se met à respirer un peu plus fort. Son rythme est dépendant de son excitation grandissante à cause des mouvements de leurs bassins respectifs qui font frotter son bout de viande épais et son derrière. Elle devrait l'entendre et sentir à quel point il est réceptif à ses gestes.

C'est alors que la main posé sur le petit cul se met à glisser pour venir se frotter à l'intérieur de sa cuisse de manière plus dangereuse.
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One Shot / Re : Première leçon [Pv]
« Dernier message par Draven Dairn le Aujourd'hui à 08:33:36 »
La jeune fille se sentait-elle mieux ? le Hayao que je présentais face à elle faisait tout pour cela, ceci dit. Il se montrait doux, prévenant, affectueux mais sans excès, il montrait même qu’il pouvait la protéger. Je pouvais le faire, bien sûr. Je pouvais la protéger et lui éviter des ennuis, ne serait-ce que parce que je pouvais offrir des cauchemars sans fin à quiconque userait de ces images contre elle. C’était tout le sel de la chose je doutais qu’elle puisse le comprendre réellement. Il faudrait peut-être que je révèle anonymement ça à quelqu’un et que je le terrorise suffisamment pour qu’il ne s’en serve pas, et qu’elle le sache, pour que je renforce ma position, réellement… avec un peu de chance, cela pourrait se faire, à méditer.
Du cou, quand elle plaisanta sur le fait que ce n’étaient que des paroles, je ne pouvais pas la blâmer, il était vrai que c’était probablement ce qu’elle devait penser au fond, mais n’osait pas le dire autrement qu’en plaisantant.

« Tant que personne ne te ressort ces images et te force à recommencer alors on peut dire que j’ai raison. Et si ça arrive… eh bien disons que tu comprendras bien vite que je ne suis pas démuni de moyen pour te protéger. »

Je souris.

« Je te promets que je ferai le nécessaire pour que tu ne sois pas importunée par tout ça… mais en retour, tu me promets que tu ne rechigneras jamais à aucun sacrifice pour que j’assure ta réussite. N’est-ce pas ? »

Donnant donnant, toujours, mais cette fois, je présentais les choses de manière un peu plus poussée :  elle ne devrait rechigner à rien. Cela me permettrait d’y aller dans la gradation. Je pourrai lui proposer de pire en pire en pire et ce de manière crescendo. En somme, une fois le doigt dans le processus… trop tard.
Mais puisqu’elle était prête à travailler, alors go ! je remontais mes manches et je m’apprêtais à travailler.

« Je vois. C’est très ingénu, mais je suppose qu’on n’a pas pu tout t’enlever. C’est une bonne chose. Enfin bon, allez, au travail ! »

Nous avions bien entamé le temps de travail mais ce n’était pas grave, et je commençais à la faire travailler. Un travail bête et méchant qui consistait à lui expliquer des kanjis et les lui faire tracer, avec les explications de pourquoi il était tracé comme ça, et les définitions de concept qui allait avec. Enfin, presque à la fin, je lui proposais.

« On se refait une session de cartes pour terminer ?  Avec enjeu cette fois, si tu gagnes, tu peux demander une récompense – raisonnable bien sur – de ton choix, et si tu perds, tu devras avoir un gage ou une petite punition. Là aussi tu me proposeras quelque chose qu’est-ce que tu en dis ? »

Je commençais à ressortir les cartes.
3
La nuit semblait permanente. Reprit-il conscience ? Possible, mais tout restait sombre, flou, la douleur et le mal ne lui offrait aucune échappatoire autre que l’oubli rude de l’inconscience…. Le heures suivantes furent seulement une suite de conscience endormie et d’inconscience, en boucle, offrant parfois de petits moments de lucidités où sa vision était trouble. La fatigue n’avait rien aidé, bien sûr. Et il passa sans doute plus d’un jour à dormir ou à rester évanoui, selon les moments, alors que l’on s’occupait de lui. Il délirait peut-être un peu, même, pendant ses périodes assoupies, des choses incompréhensibles, des prières à la flamme éternelle de l’Ardant, aussi sans doute….

Quand il se réveilla, il était….
Où est-ce qu’il était ?

Machinalement, il chercha sa longue épée à portée mais elle n’était pas là. Et une violente douleur cisailla le bras. Il tourna la tête et au-delà de son bras, pansé, qui montrait qu’on s’était occupé de lui et dont il venait probablement de ruiner une partie des efforts étant donné la teinte sanglante que ceux-ci prenaient. Il releva la tête sur le visage de celle qui semblait le veiller. Son premier réflexe fut d’essayer de voir si elle portait une arme. Non. Pas d’arme a priori. Il la scruta un peu.

Elle était penchée sur lui, dans une robe blanche simple et pudique, mais ce n’était pas cela qui le choqua. Ce fut son air… tiré…. Fatigué… éteint… elle aurait pu sembler être fanée…

« Qui êtes-vous ?  Où suis-je ? »

Deux questions essentielles mais qui étaient nécessaires… il porta sa main valide à son crâne, qui lui faisait un mal de chien.

« Ma tête… j’ai dormi longtemps ? »

Nouvelle question. Il la dévisageait. Elle était jolie, et le serait plus si elle avait été plus en forme, elle aurait été très belle, alors. Il regarda autour de lui. Il était sur une couche de mousse et de végétaux dans ce qui semblait être une petite clairière, dans une cabane, sans doute.
Il essaya de se lever. Peine perdue.
4
Le métro et la gare / Re : Une souris verte...qui courait dans l'herbe. [Zack]
« Dernier message par Zack Arias le Aujourd'hui à 04:50:41 »
Esclave de ses pulsions, Zack déboula dans le salon en trombe et se jeta sur la proie qu'il avait capturé dans ses câbles sans autres formes de procès. Le cris qui découla de cette action fit reprendre ses esprits au criminel.

"Ce n'est pas sa voix, ce n'est pas Mona" réalisa t'il.

Face lui, le dos plaqué au sol et les pieds empêtré dans les câbles de captures, se trouvait une femme d'une quarantaines d'années. Ses traits du visage était tiré comme s'il y'avait des pinces à linge derrières sa tête, sa bouche prononcé et ses lèvres gonflés rappelait le bec d'un canard. Si on ajoute un maquillage beaucoup trop marqué pour une personne au beau milieu de la nuit et un chignon étriqué lui servant de coiffure de fortune, le terme qu'emploierai Zack pour décrire cette femme était "sale truie périmé". Elle portait un robe de chambre dont la ceinture était parfaitement serré autour de sa hanche et qui semblait être confectionnée dans un tissus bien trop cher pour ce qu'il est

La pauvre résidente de l'immeuble eu même pas le temps de demander ce qu'il se passe que le kidnappeur ouvrit le peignoir de sa victime révélant ainsi une nuisette en soie bleu nuit. Cette dernière fut arraché dans la seconde pour faire apparaitre une poitrine absurdement refaite, le tout enveloppé dans une lingerie de charme luxueuse mais qui n'était toujours pas du genre que Zack affectionne. Un premier cri féminin raisonna dans tout l'appartement ainsi que le couloir, mais il fut vite interrompu par un coup de poing au visage au sec que violent, deux lueurs rouges terrifiantes s'approchèrent du visage de la victime.

"Tu ressembles à un vieux produit d'occasion qu'on aurait retapé pour pouvoir le vendre et se faire un peu d'argent". Déclara le Grey Stalker avec un dégoût manifeste dans la voix. "tu n'es rien de plus qu'une pute au rabais. Tu pourrais avoir au moins la décence de porter des sous-vêtements digne de ce nom.". Les cris reprirent et de nouveaux coups se joignirent à la voix stridente qui devenait de plus en plus hystérique au fur et à mesure qu'elle se faisaient frapper. "OÙ EST LA FEMME QUI VIT ICI ?! OÙ EST MONA DUVAL ?!" Hurla l'homme. Si à l'instant on pouvait voir les yeux de ce dernier, ils seraient injecté de sang.

Entre deux hurlements, Zack remarqua un léger tintement métallique qui le figea net, c'était un bruit qu'il aurait pu reconnaitre entre mille et qui fut le détail qui réinstaura le calme dans la pièce. Seul restait de faible gémissement larmoyant provenant d'une femme qui se demandais encore comment elle avait pu en arriver là. Observant rapidement la pièce autour de lui malgré l'obscurité, le criminel aperçu des traces de sang sur le sol à l'aide de ses lunettes qui formèrent une fine trainé menant vers une fenêtre ouverte du salon. Son cerveau fit immédiatement le rapprochement logique de ce qui s'était passé et son corps se mit en action en conséquence. Soulevant la résidente de l'immeuble sur son épaule comme un sac de charbon, il l'a fit passer au travers de la fenêtre en la déposant douloureusement sur le sol métallique de l'escalier de secours. L'homme jeta un œil par dessus la rembarde et aperçu Mona qui était entrain de dévaler les marches à toute allure, elle avait une bonne avance mais pour quelqu'un qui pouvait emprunter la voie des airs pour descendre comme lui, cela ne représentais aucune difficulté de la rattraper. Il fallut 45 secondes à Zack pour saucissonner sa récente victime, de prime abords cela donnait l'impression d'un insecte pris dans une toile d'araignée, mais pour un œil averti il s'agissait là d'une merveille de ligotage. En plus d'une double corde qui traversait la bouche pour bâillonner la femme et l'empêcher de se mordre la langue, le tout formait une sorte de harnais de corde qui maintenait le corps entier sans pour autant couper la circulation du sang. Le kidnappeur vérifia une dernière fois la position de de Mona, il ne lui restait plus que 2 ou 3 étages à descendre pour s'échapper du bâtiment, mais après une minute de préparation tout était prêt. Si l'homme ne portait pas son masque, on pourrait apercevoir tout le sadisme qui émane de son sourire carnassier.

A partir de ce moment là, tout s'enchaina très vite. Zack bascula la résidente de l'immeuble dans le vide, se positionnant sur la rembarde pour que cette dernière tombe de la façon la plus verticale possible. Le frottement de la corde contre ses gants lui chauffait douloureusement ses mains, mais il n'en avait rien à faire, car tout son attention était focalisé sur une seule chose. Deux secondes à peine s'étaient écoulé que l'homme stoppa progressivement la chute de sa victime pour qu'elle s'arrête pile à l'étage de où se situait Mona. La quarantenaire qui s'était évanoui au cours de la chute, était à présent suspendu par les pieds, et arborant un visage déformé par la terreur. Oui, Zack avait fait tout ça dans un unique but de mise en scène. Tout son cerveau malade avait travaillé pour imaginer une scène qui aurait pour conséquence de provoquer une peur soudaine chez sa proie, car c'est désormais de ça qu'il se nourrit.

Ne perdant pas d'avantage de temps, le kidnappeur fixa le câble d'escalade pour que la longueur reste la même, puis il utilisa cette même corde qui maintenait la résidante de l'immeuble dans le vide pour descendre en quelque seconde en rappel jusqu'à l'étage où se trouvait Mona. L'homme se tenait à présent devant Mona qui était assise sur le sol en métal, elle avait probablement dû tomber à la renverse face à la surprise de voir sa voisine apparaitre dans cette état devant ses yeux.

"Mooooonaaaaaa". Fredonna t'il. Voir sa proie dans un tel état de panique avait un peu apaisé sa colère.

La jeune femme prit la fuite en tentant de remonter l'escalier de secours, Zack lui emboita le pas mais ne chercha pas à lui courir après, il se contenta simplement de marcher à un rythme légèrement soutenu. Au début, sa proie n'eut aucun mal à le distancer, cela devait être une personne sportive car elle ne semblait pas avoir de difficulté à enchainé les étages façon effréné. Mais la pluie rendait les marches glissantes, les entailles à ses pieds devaient transformer l'exercice de monter les marches  en véritable supplice, et la fatigue se manifesta rapidement. Mona trébucha une première fois, permettant au criminel de rattraper un peu son retard mais il n'accéléra pas pour autant. L'écrivaine se releva péniblement mais repris rapidement son ascension, mais cette première chute aggrava son état de panique, et il fallut peu de temps avant qu'elle ne tombe une seconde fois. C'était devenu un véritable cercle vicieux, plus Zack s'approchait d'elle est plus la peur lui faisait perdre ses moyens, l'empêchant de réussir quelque chose d'aussi simple que de monter plus de trois marches sans tomber. S'en était à un tel point, qu'il était parvenu à la rattraper en marchant simplement.

"Mooooonaaaaaa". Fredonna t'il à nouveau.

Ca y'est, la revoilà enfin, tentant de monter péniblement les marches à quatre pattes, rampant presque d'épuisement et de peur. La forme sombre de l'homme s'approchait inéluctablement de sa victime, les deux lueurs rouges produites par ses lunettes donnait un aspect surnaturel au criminel, si les lumières de la ville n'était pas là, on aurait pu croire qu'il s'agissait d'un spectre. Alors qu'elle tentait toujours de s'éloigner de son agresseur, Mona se mit à insulter ce dernier, l'ordonnant de la laisser tranquille, mais il ne s'arrêta pas. Les propos injurieux perdirent progressivement de leur assurance à mesure qu'il s'approchait pour devenir des demandes effrayés jusqu'à devenir des supplications larmoyantes lorsqu'il ne resta plus qu'un petit mètre entre eux.

Alors qu'elle était sur le point de gravir un nouvel étage, Zack saisi le pied de la jeune femme avec sa main droite et la tira vers lui, la faisant dégringolé de deux ou trois marche. Puis, il lui agrippa les longs cheveux de cette dernière avec sa main gauche pour la tirer d'avantage vers lui. Elle tenta vainement de se débattre tout en continue à le supplier d'arrêter mais l'homme n'eut aucun mal à la maitriser en s'allongeant simplement sur elle de tout son poids. Pour une raison qu'il ignorait, elle empestait le patchouli, mais ce n'était pas ça qui aller le stopper. Les vêtements des deux étaient complètement imbibé d'eau de pluie, mettant magnifiquement en valeur les formes de Mona et il était encore plus facile pour elle de sentir l'érection de ce dernier à travers sa combinaison. C'était l'un des moments que le kidnappeur aimait le plus lors d'une traque, celui de retreindre sa proie. Il attrapa la menotte qui pendait à la main droite de Mona pour tirer dessus et la forcer à la mettre dans le dos. Toujours plaqué contre l'escalier, les seins écrasé contre les marches en métal, elle décida d'utiliser sa main gauche pour agripper de toute ses forces un barreau de la rembarde. Malgré toutes ses mots suppliants et ses larmes, une part d'elle ne semblait pas vouloir abandonner, ce qui le fit rire.

"Hahaha, c'est inutile.". Murmura t'il.

Au lieu de tirer sur son bras, ce qui aurait été aussi pénible que fastidieux, Zack fit le choix de saisir le poignet de sa pauvre victime pour le serrer comme un étau et lui faire aussi mal que possible. Après plusieurs secondes d'un duel de volonté qui semblait interminable, la jeune femme lâcha finalement le barreau, l'homme ramena doucement le bras de Mona dans son dos malgré que cette dernière tentait désespérément de lutter pour empêcher cela. Il faisait exprès d'y aller lentement pour qu'elle puisse pleinement prendre conscience de ce qui était entrain de se produire, qu'elle visualise que sa défaite était proche et tout ce que cela pouvait impliquer. C'est alors que d'un seul coup, lorsque la main gauche de l'écrivaine fut suffisamment proche que le criminel referma la menotte, serrant aussi fermement que celle à la main droite, provoquant un cliquetis caractéristique.

Au moment au Mona fut menotté pour de bon, cela provoqua chez elle une vive crise de nerf qui la fit crier et pleurer abondamment. Zack ne savait pas si cette dernière était maintenant convaincu qu'elle allait mourir, mais si c'est ce qu'elle pensait cela lui allait très bien. Une telle détresse provoquait chez lui une excitation telle, que son érection ne pouvait pratiquement pas être plus forte. En réalité, il aurait presque pu jouir sans autres éléments pour le stimuler, mais cela serait dommage pour lui de s'arrêter là, il lui fallait plus. Le criminel le robe noire de sa proie pour révélé un magnifique fessier vêtu d'une culotte de coton grise complètement trempé, cette dernière était très légèrement remonté dans les fesses à cause de toutes les tentatives de Mona pour se débattre, donnant sensiblement l'impression qu'elle portait un tanga.

"je veux bien pardonner cette écart vestimentaire quand je vois un cul pareil". Annonça t'il avant de reprendre. "Bon voyons le reste de la marchandise".

Sans difficulté Zack retourna sa captive sur le dos et déchira violemment la robe d'un coup sec en écartant depuis le col. Il tira ensuite le soutiens gorge vers le bas pour enfin révéler une généreuse poitrine qui ne demandais qu'à être dévoré, les gouttes de pluies qui tombait sur cette poitrine somptueuse, formait un ruisseau dégoulinant le long de son corps, une pure œuvre d'art. Même s'il ne la violerait pas ce soir, s'en était trop pour le criminel qui défit son pantalon afin de libérer son membre viril. Ce dernier d'une taille convenable, n'était certainement pas le plus imposant qui soit, mais sa pâleur, sa légère courbure et ses veines boursoufflé d'une teinte violacé le rendait repoussant. Zack se saisit vigoureusement des seins de l'écrivaine et s'en servit masturber son pénis entre eux, c'était un vrai délice. Chaque coup de reins dans la poitrine de sa victime était accompagné d'un petit couinement de dégout de cette dernière. C'était un plaisir unilatérale et égoïste, le but n'était en aucun cas d'essayer de procurer une quelconque sensation à Mona, mais purement de savourer le fruit de son travail. Il ne fallut pas longtemps pour que le kidnappeur jouisse abondamment sur la poitrine de Mona, projetant quelque filet de sperme supplémentaire sur son coup et sa joue provenant de sa verge encore palpitante.

"Aaaah". Soupira t'il satisfait tout en reboutonnant son pantalon. "Ce fut cours mais satisfaisant. Pas trop mal, tu feras une excellente pute".

Devant le regard terrifié de Mona, Zack s'approcha du visage de sa proie pour éclaircir ses propos.

"Oui parce que mon but c'est de te revendre à des proxénètes. Une écrivaine célèbre comme toi peut me rapporter pas mal d'argent à moi mais aussi à ceux qui vont te mettre sur le trottoir".

Il ne savait pas s'il allait vraiment faire ça, c'était une très forte possibilité, mais le but était surtout de continuer à l'effrayer.

"Quand tu auras danser dans tous les clubs de striptease, sucer toutes les bites dans les rues et avoir jouer dans tous les pornos, je peux t'assurer que la célèbre Mona Duval ne sera plus connu pour ses talents d'écrivaine". Il s'approche alors son visage de celui de la jeune femme. "Tu peux dire adieu à tous tes proches, ta vie viens de prendre fin".

Mona s'apprêtais à répondre quelque chose mais elle se figeât net lorsqu'elle aperçu le bâillon boule de Zack dans sa main droite. Il l'approcha doucement du visage de cette dernière pour qu'elle puisse bien l'observer. On pouvait distinguer l'usure sur le silicone de la balle, de légère entailles prouvant non seulement qu'il y avait eu d'autre victime avant elle, mais qu'elles avaient probablement dû mordre très fortement dedans. Aussi loin que remonte les souvenirs du kidnappeur, il ne se rappelle pas avoir eu déjà quelqu'un blêmir autant à la vue de cette boule noire. A l'aide de sa main gauche, il agrippa la mâchoire de l'écrivaine, la forçant à douloureusement ouvrir la bouche. Le bâillon était en contact avec ses lèvres marquant un temps de pause, une dernière poussé et elle serait dedans, tous les rêves et espoir de la jeune femme prendrait alors fin.

C'est alors qu'une sirène de police retenti au loin. Zack ne savait pas si c'était pour lui ou non, cela n'avait aucune importance, car c'était l'opportunité rêvé pour lui de poursuivre sa mise en scène. L'homme se releva d'un coup en se tournant en direction du bruit, profitant de l'opportunité pour volontairement faire tomber la clé des menottes à côté de Mona et faire comme s'il n'avait pas remarqué. Le criminel prit rapidement la fuite dans les ombres sans autre formes de procès car il voulait encore jouer avec elle, persuadé d'être capable de la pousser plus loin dans la peur et le désespoir. Zack reviendra la chasser dans quelques jours et à ce moment là, il abuserait d'elle comme il se doit.

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One Shot / Re : Première leçon [Pv]
« Dernier message par Priscilla Nichols le Aujourd'hui à 04:39:36 »
Priscilla était très surprise par la réponse de son tuteur. Elle pensait qu'elle allait se faire réprimander pour sa familiarité, mais au contraire, il ne faisait que la rassurer. Elle n'en croyait pas ses oreilles, il assurait qu'il allait la protéger de son passé. Elle avait du mal à y croire mais espérait qu'il allait tenir sa parole.

« Ce n'est pas bien de jouer avec les sentiments d'une fille. Vous ferez mieux d'appuyer vos dires avec des faits, sinon je vais répandre cette rumeur "Tachibana-sensei ne tient pas ses paroles". » dit-elle en plaisantant.

Un air un peu plus sérieux se posa sur son visage. On pouvait voir de l'inquiétude et un doute. Elle ne savait toujours pas si elle pouvait faire confiance à Hayao, mais même si la seule chose qu'il pouvait lui offrir était sa parole, elle voulait juste l'entendre pour se rassurer.

« Vous me promettez ? »

Priscilla ne comprenait pas pourquoi il en ferait autant pour une simple étudiante, mais elle s'en fichait un peu, elle voulait juste retrouver un jour cette douce et chaleureuse enlace. Et pour cela, elle devait redoubler ses efforts.

« Je suis prête à travailler, c'est pour ça que vous êtes là après tout, je n'ai pas envie de gacher votre temps. » dit elle avec sourire.

La jeune femme ouvrait un fichier sur son ordinateur avec tous les kanjis dessus pour se remettre à étudier quand elle entendit la question suivante. Forcément elle y avait pensé. Il y avait toujours un risque. Cependant quelque chose dans sa tête lui disait que tout allait bien se passer. Ainsi, elle tourna sa tête vers lui avec son plus gros sourire.

« Vous n'avez pas l'air bien méchant. » dit-elle d'un ton un peu moqueur mais innocent.

L'instinct de Priscilla lui donnait le feu vert, rien ne faisait paraitre que Tachibana-sensei allait répandre ses images, et puis juste avec leurs courts échanges précédents, elle pensait que c'était un homme bien, ou du moins bien mieux que ce dont elle avait été habituée à Manchester.
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One Shot / Re : Le lion et la nymphe (non, ce n'est pas une fable) [Pv]
« Dernier message par Sareeth le Aujourd'hui à 00:50:58 »
« Néméa. Quelqu’un est entré. » La voix familière se disperse dans la brise nocturne. Il ne demeure nul être autour de la maison. Seule ma silhouette fanée est déposée sur le cadran de la fenêtre ouverte. Mes bras entrelacés forment un coussin où ma tête a reposé quelques instants. J’ai relevé mon visage. L’appel m’a troublé.

Depuis sa disparition, son absence me hante. De jour et de nuit, l’espoir pèse sur mon cœur. Que ferais-je sans lui si ma forêt est attaquée ? Il a été mon héros, mon protecteur quand moi, gardienne des lieux, je fais face à ma propre impuissance.

Il n’est pas aisé d’entrer au sein de l’ancestrale forêt de Céphrusa. Elle n’ouvre son passage qu’aux âmes blessées dans leur corps ou leur cœur. Mais il est possible de le forcer pour les plus puissants malhonnêtes car elle converse en son sein des joyaux inestimables de la nature. Tout ce qui entre est su, tout ce qui demeure est accepté. Je ressens la présence de cet homme blessé. C’est une étrange créature qui se distingue mais il a besoin d’aide. Je ne le lui refuserais pas. Je me lève à peine pour partir à sa rencontre.

L’eau la guidait jusqu’au refuge de la forêt. Quand il tombe dans l'inconscience, les racines des arbres le soulèvent à travers la forêt. Je suis à mi-chemin quand je peux observer son corps baladé avec délicatesse et l'étendue de ses blessures. « Guide-le jusqu’au lit. » La nature répond à ma requête. Je suis d’un pas pressé les souches se reliant. La porte de la maison dans l’arbre s’ouvre devant. Il est déposé avec douceur dans les draps chauds de mon propre lit. Je récupère une bassine remplie d’eau chaude.

Je m’attèle au soin durant les heures suivantes. Les différentes propriétés magiques de l’eau et du baume apaisent les douleurs les plus vives mais elles ne permettent pas une guérison complète. Le repos est son meilleur allié. Je demeure à son chevet durant les heures suivantes qui lui sont nécessaires. Son réveil tarde. Il signifiera peut-être l’ouverture de son appétit.

Un oiseau est missionné pour veiller sur lui. Il est posé distraitement au bord de la fenêtre pendant que je me charge de trouver quelques baies et fruits à offrir à mon invité. Nymphe des bois et divinité inférieure, je ne connais aucun appétit mais les cadeaux de la forêt sont toujours un délice. Quand j’entre, les premiers signes d’un réveil se font imminent. Alors je prépare un verre et dépose la corbeille sur la table de nuit.

Ma place est reprise sur le tabouret à son chevet. J’attends son éveil pour m’assurer que les douleurs ont disparu et de la bonne voie de sa guérison.
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La zone industrielle / Re : Tester la marchandise - PV (Sareeth)
« Dernier message par Sareeth le dimanche 19 mai 2024, 23:21:53 »
« Très bien. » Un mois, ça peut être extrêmement court comme une véritable éternité. Je ne sais ce qu’il met derrière ses conditions. Mais il est clair que je ne décevrais pas notre engagement. Séduire des hommes est si facile que j’en ai perdu le goût. Je n’ai aucune inquiétude à avoir. Mais lui devrait se faire du souci pour sa part du marché. Il se distingue et quelque chose de spécial se dégage de lui. Cette sensation s’accentue quand il s’approche mais est-ce suffisant ? Assez pour attiser mon intérêt, pour l’instant. « C’est vous que je veux une fois mes preuves faites. » Sans détour, j’exprime mon envie.

Il ne reste planté devant moi que pour attraper l’invocateur et lui ordonner ma libération. Le cercle s’efface et je peux enfin bouger à ma guise. Je m’étire de mon long. Ils s’éloignent tous comme si je représentais un réel danger ? Le petit humain était si fière de son invocation, il y a encore quelques secondes. Maintenant, je suis devenue une source d’inquiétude. Il n’est pas le seul à posséder cette réaction étrange. Son absence de courage m’arrache un rire et me permet de patienter jusqu’à la présentation de mon épreuve.

Avec l’homme de main sous le nez, je comprends vite les intentions du contractant. Je lui laisse toutefois le loisir d’expliquer la situation et les différents méfaits qui l’ont conduit à cette situation. S’il me livre, c’est qu’il ne doit plus le considérer d’une grande utilité. Une telle décision est souvent motivée par la trahison. « C’est le fruit d’une mauvaise éducation. Tuer pour des gâteaux, c’est une première. Fais-le pour une bonne raison la prochaine fois. » Je n’ai peut-être pas compris la métaphore que leur chef a glissé derrière les biscuits mais ça ne change rien à ma mission.

Le fautif tente de se défendre mais atterrit toujours plus bas, face contre terre. Il m’oblige à m’accroupir devant lui. Les jambes à peine écartées, il peut voir ma culotte. Mais il n’est pas le seul car ma courte jupe remonte au niveau de mes fesses pour le plaisir des hommes derrière moi. Mon corps est fait pour répondre aux fantasmes de ses hommes. « Evitez de le mettre en morceaux avant ! » Il est pas loin de m’offrir un cadavre comme entretien d’embauche… Y a mieux quand même !

Je dépose avec douceur une main sur la joue de James. « Mon pauvre James, il vous malmène pour des biscuits. » Ma voix se fait langoureuse et je n’utilise pour l’instant aucun de mes pouvoirs mais seulement mon charme surnaturel. Je sens tout de suite l’homme réceptif mais rendu méfiant par la présence de son boss. « Je peux vous aider… Vous libérez de lui. » J’appuie chacun de mes mots, à travers eux mon pouvoir de séduction s’immisce. « Lâchez-le et éloignez-vous. » J’ordonne à Randal mais je n’ai pas besoin de ça pour parfaire mon emprise sur James.

« Que dois-je lui faire faire ? »

 Il est déjà à mes pieds. Mais la situation se fait plus parlante s’il s’éloigne. James peut se détendre et se laisser consommer par son désir.

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One Shot / Le lion et la nymphe (non, ce n'est pas une fable) [Pv]
« Dernier message par La légion de l'Eternel Ardant le dimanche 19 mai 2024, 22:52:30 »
« Général, général, vous devez fuir ! »

L’aide de camp, un homme lézard particulièrement vilain avec cette espèce d’écailles dressées sur la tronche, avait un bras en moins. Cela repousserait, bien sûr… mais les choses étaient claires pour le seigneur Pyrrhus, les légions des nuées étaient vaincues et étaient actuellement joyeusement massacrées. Et voilà où ils en étaient… le Champion des nuées avait de nombreuses blessures, rien de grave selon lui. Au fond, même la mort n’était pas grave. Mais il savait ce qu’était la captivité et il ne voulait pas y retourner… et ils savaient qu’il ne mourrait pas assez facilement pour éviter cela, au rythme où les choses allaient. Alors oui, la fuite était la seule option. Il pesta et saisit son griffon ardant pour se mettre en selle et fit claquer les rênes sur l’encolure de l’animal. Il se mit à courir et battit des ailes un moment, commençant à s’élever.

Les flèches sifflaient autour, et une cuisante douleur atteignit son épaule suivit d’une autre, dans le bas. Ne pas retirer les flèches, ne pas retirer les flèches, malgré la douleur, ça évitait au sang de sortir à flot. Une nouvelle flèche qui siffla à deux pouces de sa tête. Et là, ce fut un cri qui déchira les oreilles du général. Et sa monture commença à perdre de l’altitude, battant des ailes pour rien ou presque, parce que l’une d’elle commençait à se tordre. La flèche avait atteint la jointure… et quand elle percuta le sol, le terranide lion fit un roulé boulé et se releva péniblement pour se mettre à courir. Il tu avait de l’eau plus loin. Un bon moyen de faire perdre sa trace. Mais alors même qu’il commençait à nager, la douleur à son, épaule, et celle à son bras, lui firent comprendre que c’était peine perdue. Alors, au lieu de nager, il tenta au moins d’avancer d’un bras l’autre pendant mollement. Il savait laisser du sang dans l’eau.

Tant pis. Il ne chercha pas à remonter le courant, mais se laissa porter, jusqu’à s’échouer sur une berge, dans une forêt. Il faisait nuit. Mais il n’avait plus la force, c’était se reposer ici ou se noyer. Au moins était-il en forêt. Il toussa, essaya de se relever, mais c’était peine perdue. Alors, il se traina juste dans un fourré, à proximité, et s’abandonna. Allez, un peu de repos, juste un peu de repos. Il allait fermer les yeux quelques minutes. Essayer de se reposer pour se relever vraiment et partir. ?
Il tomba dans l’inconscience.
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Centre-ville de Seikusu / Re : Satisfaire le pacte ~ Regalis
« Dernier message par Sareeth le dimanche 19 mai 2024, 22:35:49 »
« Jamais. Imposez-moi la punition que vous désirez. » Il n’est aucunement question de l’amadouer. Au contraire, il m’a rendue curieuse par cette seule évocation. Qu’a-t-il en tête ? Quelle est sa manière de punir ? Je me le demande. Je suis impatiente de recevoir son attention quelque soit la manière. Mes doigts qui s’attardent le long de sa queue nous font patienter le temps que les choses se corsent.

J’apprécie lui montrer mon impatience à l’idée qu’il me fasse à nouveau connaître le même plaisir qu’au cinéma. Dans l’attente, sa verge frotte contre mes cuisses et parfois remonte contre mes lèvres. Il serait préférable qu’elle y trouve refuge mais la caresse sensuelle m’ôte un soupir brûlant. « Je changerais les draps. Ne vous souciez pas des détails. » Le lit ou ailleurs ça n’a pas d’importance. Toutes les pièces finiront par être marquées de nos intenses ébats.

Il attrape mes fesses. J’apprécie son intérêt mais il me surprend quand ses mains descendent pour me soulever. Mes jambes entourent ses cuisses et mes mains se déposent sur ses épaules. Il me porte haut au point que ma poitrine se colle contre son visage. Je comprends vite son intention quand peu à peu dans une caresse sensuelle, nos corps se frottent l’un à l’autre. Son gland se presse contre mes lèvres intimes. J’allais lui répondre mais la pénétration me coupe la parole.

Je m’accroche à lui alors qu’il commence son avancée. Le gland seul m’offre déjà de nombreuses sensations. « Le passage est libre pour que vous puissiez me remplir à nouveau. » Je gémis contre son oreille. Il prend peu à peu possession de moi et de mon orifice toujours très étroit pour son imposante verge. Il est pressé et étouffé dans mon antre brûlante. « Soyez sauvage… Plus encore qu’au cinéma. » Je le supplie alors qu’il me lâche.

Je m’empale jusqu’à sa garde, gémissant plus fort. Surprise par son geste, je lui ai griffé le dos en m’accrochant à lui. « Regalis… Ne me posez plus jamais cette question ! Démontez moi… » Il ose me poser cette question alors que je suis à sa merci. Je n’ai aucune manière de lui résister ou de pouvoir bouger pour nous donner ce plaisir tant désiré. Il me fait attendre avec sa verge prenant pleinement possession de mon corps désireux.

Est-ce cela sa punition ? A me laisser le sentir sans pouvoir bouger, il me fait connaître cette même horrible frustration qu’au cinéma. « Démontez-moi à chaque fois… Que vous en avez envie. » Je lui fais part de ma requête. Je n’ai pas envie qu’il s'embarrasse des convenances, du lieu ou du moment. Je veux pouvoir sentir sa queue me prendre à chaque fois qu’il en a envie ou que je le réclame. Mon regard le supplie de bouger et de me baiser.
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Centre-ville de Seikusu / Protection rapprochée ~ Shun
« Dernier message par Molly Murphy le dimanche 19 mai 2024, 20:56:24 »
Point de vue de Molly.

Sienna est toujours la première debout comme si l’alcool ne l’atteint pas. Elle est assise sur le canapé, devant un dessin animé dont elle a coupé le son pour ne pas nous réveiller. Je me suis endormie de l’autre côté. J'émerge lentement avec une sacrée migraine. Je suis sûre d’une chose : on a abusé sur la vodka. Le sol me le confirme. Il est recouvert de cadavres de bouteilles dispersés autour de la table basse. Quand mon amie remarque mes yeux ouverts, elle commence à me faire une série de signes bizarres. Je penche la tête sur le côté pour tenter de décrypter son message mais… Je comprends que dalle ! « Quoi !? » Je m’indigne à voix basse.

Elle s’agace. Sienna essaye de pas trop bouger car la tête d’Hazel repose sur ses cuisses. « L’aspirine est sur la table ! » A son tour, elle marmonne doucement mais j’arrive enfin à comprendre son message. Je me relève mais bizarre, mes pieds ne touchent pas le sol ? Macy est allongée comme une merde par terre au milieu des bouteilles. Malgré l’inconfort, elle se tape sa meilleure nuit. J’essaye de l’éviter pour récupérer le verre d’eau préparé et les cachets. Heureusement qu’elle est là. Sienna est la responsable du groupe, celle qui prend toujours soin des autres.

Après avoir englouti mon verre, je me lève pour m’asseoir à côté d’elle et dépose ma tête contre son épaule. Il est temps d’attendre que les autres se réveillent maintenant… Mais un soudain message fait vibrer nos téléphones à l’unisson. Hazel continue ses paisibles rêveries mais Macy se fait soudainement réveillée. Elle se cogne la tête contre la table basse et se roule de douleur sur son lit de fortune. Son vacarme conclut au réveil de la belle au bois dormant. « C’est quoi ce bordel ? » Sienna râle en attrapant son portable. Un sms inquiétant s’affiche :

Vous avez été témoin d'événements compromettants. [...]

La suite se résume à différentes menaces si nous osons voir la police. Après comparaison de nos téléphones (quand Hazel et Macy se sont enfin levées), les messages sont identiques. Mais aucun de nous n’arrive à considérer ce qui a pu amener à cette situation.

(Macy) - On fait quoi ?
(Hazel) - On ignore, c’est de la merde. Ils veulent nous faire payer une rançon. C’est courant.
(Macy) - C’est toi, la gosse de riche ! Pourquoi on l’a toutes eu ?
(Molly) - On devrait peut-être contacter la police…
(Sienna) - Vous vous rappelez de l’autre soir où Macy a voulu aller baiser des gars dans une rue ?
(Macy) - Lequel ? Y en a tellement…
(Hazel) - Ceux avec des mallettes pleines de thunes ? Oui je me souviens de leur visage.
(Molly) - Putain…
(Sienna) - Je pense que Molly a raison, on devrait aller voir la police.
(Macy) - C’est peut-être juste un canular !
(Sienna) - C’est plus prudent.

Sienna s’occupe d’appeler la police. Après différents échanges, elle leur envoie les différentes captures d’écran des messages reçus sur nos téléphones. Hazel qui a la meilleur mémoire eidétique leur décrit les visages. Les hommes sont vite identifiés comme étant des membres éminents de la mafia japonaise ce qui n’est pas vraiment pour me rassurer mais Sienna fait de son mieux pour garder une cohésion au sein du groupe.

A la fin de la discussion, il est conclu qu’il est plus prudent que nous restions chez Hazel. Sa résidence est difficile d’accès et particulièrement sécurisée. Son penthouse offre assez de place pour que nous puissions y rester quelques jours si le besoin se fait sentir. Mais ils assurent qu’un policier va venir prendre nos dépositions complètes en fin d’après-midi et un autre lui secondera en début de soirée pour notre sécurité. Il nous invite à ne pas nous rendre au rendez-vous pour bien rester en sécurité. Nous obéissons. Nous faisons le nécessaire demandé. Nous barricadons les fenêtres avec l'aide du premier agent qui constate lors de notre entretien des nouvelles menaces.

Il prend tout en note. En début de soirée, son collègue nous rejoint. Il est à peine entré que Macy lui saute presque au cou.

(Macy) - Combien de temps allons-nous rester, Monsieur l’Agent ?
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