Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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La nuit semblait permanente. Reprit-il conscience ? Possible, mais tout restait sombre, flou, la douleur et le mal ne lui offrait aucune échappatoire autre que l’oubli rude de l’inconscience…. Le heures suivantes furent seulement une suite de conscience endormie et d’inconscience, en boucle, offrant parfois de petits moments de lucidités où sa vision était trouble. La fatigue n’avait rien aidé, bien sûr. Et il passa sans doute plus d’un jour à dormir ou à rester évanoui, selon les moments, alors que l’on s’occupait de lui. Il délirait peut-être un peu, même, pendant ses périodes assoupies, des choses incompréhensibles, des prières à la flamme éternelle de l’Ardant, aussi sans doute….

Quand il se réveilla, il était….
Où est-ce qu’il était ?

Machinalement, il chercha sa longue épée à portée mais elle n’était pas là. Et une violente douleur cisailla le bras. Il tourna la tête et au-delà de son bras, pansé, qui montrait qu’on s’était occupé de lui et dont il venait probablement de ruiner une partie des efforts étant donné la teinte sanglante que ceux-ci prenaient. Il releva la tête sur le visage de celle qui semblait le veiller. Son premier réflexe fut d’essayer de voir si elle portait une arme. Non. Pas d’arme a priori. Il la scruta un peu.

Elle était penchée sur lui, dans une robe blanche simple et pudique, mais ce n’était pas cela qui le choqua. Ce fut son air… tiré…. Fatigué… éteint… elle aurait pu sembler être fanée…

« Qui êtes-vous ?  Où suis-je ? »

Deux questions essentielles mais qui étaient nécessaires… il porta sa main valide à son crâne, qui lui faisait un mal de chien.

« Ma tête… j’ai dormi longtemps ? »

Nouvelle question. Il la dévisageait. Elle était jolie, et le serait plus si elle avait été plus en forme, elle aurait été très belle, alors. Il regarda autour de lui. Il était sur une couche de mousse et de végétaux dans ce qui semblait être une petite clairière, dans une cabane, sans doute.
Il essaya de se lever. Peine perdue.
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Le métro et la gare / Re : Une souris verte...qui courait dans l'herbe. [Zack]
« Dernier message par Zack Arias le Aujourd'hui à 04:50:41 »
Esclave de ses pulsions, Zack déboula dans le salon en trombe et se jeta sur la proie qu'il avait capturé dans ses câbles sans autres formes de procès. Le cris qui découla de cette action fit reprendre ses esprits au criminel.

"Ce n'est pas sa voix, ce n'est pas Mona" réalisa t'il.

Face lui, le dos plaqué au sol et les pieds empêtré dans les câbles de captures, se trouvait une femme d'une quarantaines d'années. Ses traits du visage était tiré comme s'il y'avait des pinces à linge derrières sa tête, sa bouche prononcé et ses lèvres gonflés rappelait le bec d'un canard. Si on ajoute un maquillage beaucoup trop marqué pour une personne au beau milieu de la nuit et un chignon étriqué lui servant de coiffure de fortune, le terme qu'emploierai Zack pour décrire cette femme était "sale truie périmé". Elle portait un robe de chambre dont la ceinture était parfaitement serré autour de sa hanche et qui semblait être confectionnée dans un tissus bien trop cher pour ce qu'il est

La pauvre résidente de l'immeuble eu même pas le temps de demander ce qu'il se passe que le kidnappeur ouvrit le peignoir de sa victime révélant ainsi une nuisette en soie bleu nuit. Cette dernière fut arraché dans la seconde pour faire apparaitre une poitrine absurdement refaite, le tout enveloppé dans une lingerie de charme luxueuse mais qui n'était toujours pas du genre que Zack affectionne. Un premier cri féminin raisonna dans tout l'appartement ainsi que le couloir, mais il fut vite interrompu par un coup de poing au visage au sec que violent, deux lueurs rouges terrifiantes s'approchèrent du visage de la victime.

"Tu ressembles à un vieux produit d'occasion qu'on aurait retapé pour pouvoir le vendre et se faire un peu d'argent". Déclara le Grey Stalker avec un dégoût manifeste dans la voix. "tu n'es rien de plus qu'une pute au rabais. Tu pourrais avoir au moins la décence de porter des sous-vêtements digne de ce nom.". Les cris reprirent et de nouveaux coups se joignirent à la voix stridente qui devenait de plus en plus hystérique au fur et à mesure qu'elle se faisaient frapper. "OÙ EST LA FEMME QUI VIT ICI ?! OÙ EST MONA DUVAL ?!" Hurla l'homme. Si à l'instant on pouvait voir les yeux de ce dernier, ils seraient injecté de sang.

Entre deux hurlements, Zack remarqua un léger tintement métallique qui le figea net, c'était un bruit qu'il aurait pu reconnaitre entre mille et qui fut le détail qui réinstaura le calme dans la pièce. Seul restait de faible gémissement larmoyant provenant d'une femme qui se demandais encore comment elle avait pu en arriver là. Observant rapidement la pièce autour de lui malgré l'obscurité, le criminel aperçu des traces de sang sur le sol à l'aide de ses lunettes qui formèrent une fine trainé menant vers une fenêtre ouverte du salon. Son cerveau fit immédiatement le rapprochement logique de ce qui s'était passé et son corps se mit en action en conséquence. Soulevant la résidente de l'immeuble sur son épaule comme un sac de charbon, il l'a fit passer au travers de la fenêtre en la déposant douloureusement sur le sol métallique de l'escalier de secours. L'homme jeta un œil par dessus la rembarde et aperçu Mona qui était entrain de dévaler les marches à toute allure, elle avait une bonne avance mais pour quelqu'un qui pouvait emprunter la voie des airs pour descendre comme lui, cela ne représentais aucune difficulté de la rattraper. Il fallut 45 secondes à Zack pour saucissonner sa récente victime, de prime abords cela donnait l'impression d'un insecte pris dans une toile d'araignée, mais pour un œil averti il s'agissait là d'une merveille de ligotage. En plus d'une double corde qui traversait la bouche pour bâillonner la femme et l'empêcher de se mordre la langue, le tout formait une sorte de harnais de corde qui maintenait le corps entier sans pour autant couper la circulation du sang. Le kidnappeur vérifia une dernière fois la position de de Mona, il ne lui restait plus que 2 ou 3 étages à descendre pour s'échapper du bâtiment, mais après une minute de préparation tout était prêt. Si l'homme ne portait pas son masque, on pourrait apercevoir tout le sadisme qui émane de son sourire carnassier.

A partir de ce moment là, tout s'enchaina très vite. Zack bascula la résidente de l'immeuble dans le vide, se positionnant sur la rembarde pour que cette dernière tombe de la façon la plus verticale possible. Le frottement de la corde contre ses gants lui chauffait douloureusement ses mains, mais il n'en avait rien à faire, car tout son attention était focalisé sur une seule chose. Deux secondes à peine s'étaient écoulé que l'homme stoppa progressivement la chute de sa victime pour qu'elle s'arrête pile à l'étage de où se situait Mona. La quarantenaire qui s'était évanoui au cours de la chute, était à présent suspendu par les pieds, et arborant un visage déformé par la terreur. Oui, Zack avait fait tout ça dans un unique but de mise en scène. Tout son cerveau malade avait travaillé pour imaginer une scène qui aurait pour conséquence de provoquer une peur soudaine chez sa proie, car c'est désormais de ça qu'il se nourrit.

Ne perdant pas d'avantage de temps, le kidnappeur fixa le câble d'escalade pour que la longueur reste la même, puis il utilisa cette même corde qui maintenait la résidante de l'immeuble dans le vide pour descendre en quelque seconde en rappel jusqu'à l'étage où se trouvait Mona. L'homme se tenait à présent devant Mona qui était assise sur le sol en métal, elle avait probablement dû tomber à la renverse face à la surprise de voir sa voisine apparaitre dans cette état devant ses yeux.

"Mooooonaaaaaa". Fredonna t'il. Voir sa proie dans un tel état de panique avait un peu apaisé sa colère.

La jeune femme prit la fuite en tentant de remonter l'escalier de secours, Zack lui emboita le pas mais ne chercha pas à lui courir après, il se contenta simplement de marcher à un rythme légèrement soutenu. Au début, sa proie n'eut aucun mal à le distancer, cela devait être une personne sportive car elle ne semblait pas avoir de difficulté à enchainé les étages façon effréné. Mais la pluie rendait les marches glissantes, les entailles à ses pieds devaient transformer l'exercice de monter les marches  en véritable supplice, et la fatigue se manifesta rapidement. Mona trébucha une première fois, permettant au criminel de rattraper un peu son retard mais il n'accéléra pas pour autant. L'écrivaine se releva péniblement mais repris rapidement son ascension, mais cette première chute aggrava son état de panique, et il fallut peu de temps avant qu'elle ne tombe une seconde fois. C'était devenu un véritable cercle vicieux, plus Zack s'approchait d'elle est plus la peur lui faisait perdre ses moyens, l'empêchant de réussir quelque chose d'aussi simple que de monter plus de trois marches sans tomber. S'en était à un tel point, qu'il était parvenu à la rattraper en marchant simplement.

"Mooooonaaaaaa". Fredonna t'il à nouveau.

Ca y'est, la revoilà enfin, tentant de monter péniblement les marches à quatre pattes, rampant presque d'épuisement et de peur. La forme sombre de l'homme s'approchait inéluctablement de sa victime, les deux lueurs rouges produites par ses lunettes donnait un aspect surnaturel au criminel, si les lumières de la ville n'était pas là, on aurait pu croire qu'il s'agissait d'un spectre. Alors qu'elle tentait toujours de s'éloigner de son agresseur, Mona se mit à insulter ce dernier, l'ordonnant de la laisser tranquille, mais il ne s'arrêta pas. Les propos injurieux perdirent progressivement de leur assurance à mesure qu'il s'approchait pour devenir des demandes effrayés jusqu'à devenir des supplications larmoyantes lorsqu'il ne resta plus qu'un petit mètre entre eux.

Alors qu'elle était sur le point de gravir un nouvel étage, Zack saisi le pied de la jeune femme avec sa main droite et la tira vers lui, la faisant dégringolé de deux ou trois marche. Puis, il lui agrippa les longs cheveux de cette dernière avec sa main gauche pour la tirer d'avantage vers lui. Elle tenta vainement de se débattre tout en continue à le supplier d'arrêter mais l'homme n'eut aucun mal à la maitriser en s'allongeant simplement sur elle de tout son poids. Pour une raison qu'il ignorait, elle empestait le patchouli, mais ce n'était pas ça qui aller le stopper. Les vêtements des deux étaient complètement imbibé d'eau de pluie, mettant magnifiquement en valeur les formes de Mona et il était encore plus facile pour elle de sentir l'érection de ce dernier à travers sa combinaison. C'était l'un des moments que le kidnappeur aimait le plus lors d'une traque, celui de retreindre sa proie. Il attrapa la menotte qui pendait à la main droite de Mona pour tirer dessus et la forcer à la mettre dans le dos. Toujours plaqué contre l'escalier, les seins écrasé contre les marches en métal, elle décida d'utiliser sa main gauche pour agripper de toute ses forces un barreau de la rembarde. Malgré toutes ses mots suppliants et ses larmes, une part d'elle ne semblait pas vouloir abandonner, ce qui le fit rire.

"Hahaha, c'est inutile.". Murmura t'il.

Au lieu de tirer sur son bras, ce qui aurait été aussi pénible que fastidieux, Zack fit le choix de saisir le poignet de sa pauvre victime pour le serrer comme un étau et lui faire aussi mal que possible. Après plusieurs secondes d'un duel de volonté qui semblait interminable, la jeune femme lâcha finalement le barreau, l'homme ramena doucement le bras de Mona dans son dos malgré que cette dernière tentait désespérément de lutter pour empêcher cela. Il faisait exprès d'y aller lentement pour qu'elle puisse pleinement prendre conscience de ce qui était entrain de se produire, qu'elle visualise que sa défaite était proche et tout ce que cela pouvait impliquer. C'est alors que d'un seul coup, lorsque la main gauche de l'écrivaine fut suffisamment proche que le criminel referma la menotte, serrant aussi fermement que celle à la main droite, provoquant un cliquetis caractéristique.

Au moment au Mona fut menotté pour de bon, cela provoqua chez elle une vive crise de nerf qui la fit crier et pleurer abondamment. Zack ne savait pas si cette dernière était maintenant convaincu qu'elle allait mourir, mais si c'est ce qu'elle pensait cela lui allait très bien. Une telle détresse provoquait chez lui une excitation telle, que son érection ne pouvait pratiquement pas être plus forte. En réalité, il aurait presque pu jouir sans autres éléments pour le stimuler, mais cela serait dommage pour lui de s'arrêter là, il lui fallait plus. Le criminel le robe noire de sa proie pour révélé un magnifique fessier vêtu d'une culotte de coton grise complètement trempé, cette dernière était très légèrement remonté dans les fesses à cause de toutes les tentatives de Mona pour se débattre, donnant sensiblement l'impression qu'elle portait un tanga.

"je veux bien pardonner cette écart vestimentaire quand je vois un cul pareil". Annonça t'il avant de reprendre. "Bon voyons le reste de la marchandise".

Sans difficulté Zack retourna sa captive sur le dos et déchira violemment la robe d'un coup sec en écartant depuis le col. Il tira ensuite le soutiens gorge vers le bas pour enfin révéler une généreuse poitrine qui ne demandais qu'à être dévoré, les gouttes de pluies qui tombait sur cette poitrine somptueuse, formait un ruisseau dégoulinant le long de son corps, une pure œuvre d'art. Même s'il ne la violerait pas ce soir, s'en était trop pour le criminel qui défit son pantalon afin de libérer son membre viril. Ce dernier d'une taille convenable, n'était certainement pas le plus imposant qui soit, mais sa pâleur, sa légère courbure et ses veines boursoufflé d'une teinte violacé le rendait repoussant. Zack se saisit vigoureusement des seins de l'écrivaine et s'en servit masturber son pénis entre eux, c'était un vrai délice. Chaque coup de reins dans la poitrine de sa victime était accompagné d'un petit couinement de dégout de cette dernière. C'était un plaisir unilatérale et égoïste, le but n'était en aucun cas d'essayer de procurer une quelconque sensation à Mona, mais purement de savourer le fruit de son travail. Il ne fallut pas longtemps pour que le kidnappeur jouisse abondamment sur la poitrine de Mona, projetant quelque filet de sperme supplémentaire sur son coup et sa joue provenant de sa verge encore palpitante.

"Aaaah". Soupira t'il satisfait tout en reboutonnant son pantalon. "Ce fut cours mais satisfaisant. Pas trop mal, tu feras une excellente pute".

Devant le regard terrifié de Mona, Zack s'approcha du visage de sa proie pour éclaircir ses propos.

"Oui parce que mon but c'est de te revendre à des proxénètes. Une écrivaine célèbre comme toi peut me rapporter pas mal d'argent à moi mais aussi à ceux qui vont te mettre sur le trottoir".

Il ne savait pas s'il allait vraiment faire ça, c'était une très forte possibilité, mais le but était surtout de continuer à l'effrayer.

"Quand tu auras danser dans tous les clubs de striptease, sucer toutes les bites dans les rues et avoir jouer dans tous les pornos, je peux t'assurer que la célèbre Mona Duval ne sera plus connu pour ses talents d'écrivaine". Il s'approche alors son visage de celui de la jeune femme. "Tu peux dire adieu à tous tes proches, ta vie viens de prendre fin".

Mona s'apprêtais à répondre quelque chose mais elle se figeât net lorsqu'elle aperçu le bâillon boule de Zack dans sa main droite. Il l'approcha doucement du visage de cette dernière pour qu'elle puisse bien l'observer. On pouvait distinguer l'usure sur le silicone de la balle, de légère entailles prouvant non seulement qu'il y avait eu d'autre victime avant elle, mais qu'elles avaient probablement dû mordre très fortement dedans. Aussi loin que remonte les souvenirs du kidnappeur, il ne se rappelle pas avoir eu déjà quelqu'un blêmir autant à la vue de cette boule noire. A l'aide de sa main gauche, il agrippa la mâchoire de l'écrivaine, la forçant à douloureusement ouvrir la bouche. Le bâillon était en contact avec ses lèvres marquant un temps de pause, une dernière poussé et elle serait dedans, tous les rêves et espoir de la jeune femme prendrait alors fin.

C'est alors qu'une sirène de police retenti au loin. Zack ne savait pas si c'était pour lui ou non, cela n'avait aucune importance, car c'était l'opportunité rêvé pour lui de poursuivre sa mise en scène. L'homme se releva d'un coup en se tournant en direction du bruit, profitant de l'opportunité pour volontairement faire tomber la clé des menottes à côté de Mona et faire comme s'il n'avait pas remarqué. Le criminel prit rapidement la fuite dans les ombres sans autre formes de procès car il voulait encore jouer avec elle, persuadé d'être capable de la pousser plus loin dans la peur et le désespoir. Zack reviendra la chasser dans quelques jours et à ce moment là, il abuserait d'elle comme il se doit.

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One Shot / Re : Première leçon [Pv]
« Dernier message par Priscilla Nichols le Aujourd'hui à 04:39:36 »
Priscilla était très surprise par la réponse de son tuteur. Elle pensait qu'elle allait se faire réprimander pour sa familiarité, mais au contraire, il ne faisait que la rassurer. Elle n'en croyait pas ses oreilles, il assurait qu'il allait la protéger de son passé. Elle avait du mal à y croire mais espérait qu'il allait tenir sa parole.

« Ce n'est pas bien de jouer avec les sentiments d'une fille. Vous ferez mieux d'appuyer vos dires avec des faits, sinon je vais répandre cette rumeur "Tachibana-sensei ne tient pas ses paroles". » dit-elle en plaisantant.

Un air un peu plus sérieux se posa sur son visage. On pouvait voir de l'inquiétude et un doute. Elle ne savait toujours pas si elle pouvait faire confiance à Hayao, mais même si la seule chose qu'il pouvait lui offrir était sa parole, elle voulait juste l'entendre pour se rassurer.

« Vous me promettez ? »

Priscilla ne comprenait pas pourquoi il en ferait autant pour une simple étudiante, mais elle s'en fichait un peu, elle voulait juste retrouver un jour cette douce et chaleureuse enlace. Et pour cela, elle devait redoubler ses efforts.

« Je suis prête à travailler, c'est pour ça que vous êtes là après tout, je n'ai pas envie de gacher votre temps. » dit elle avec sourire.

La jeune femme ouvrait un fichier sur son ordinateur avec tous les kanjis dessus pour se remettre à étudier quand elle entendit la question suivante. Forcément elle y avait pensé. Il y avait toujours un risque. Cependant quelque chose dans sa tête lui disait que tout allait bien se passer. Ainsi, elle tourna sa tête vers lui avec son plus gros sourire.

« Vous n'avez pas l'air bien méchant. » dit-elle d'un ton un peu moqueur mais innocent.

L'instinct de Priscilla lui donnait le feu vert, rien ne faisait paraitre que Tachibana-sensei allait répandre ses images, et puis juste avec leurs courts échanges précédents, elle pensait que c'était un homme bien, ou du moins bien mieux que ce dont elle avait été habituée à Manchester.
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One Shot / Re : Le lion et la nymphe (non, ce n'est pas une fable) [Pv]
« Dernier message par Sareeth le Aujourd'hui à 00:50:58 »
« Néméa. Quelqu’un est entré. » La voix familière se disperse dans la brise nocturne. Il ne demeure nul être autour de la maison. Seule ma silhouette fanée est déposée sur le cadran de la fenêtre ouverte. Mes bras entrelacés forment un coussin où ma tête a reposé quelques instants. J’ai relevé mon visage. L’appel m’a troublé.

Depuis sa disparition, son absence me hante. De jour et de nuit, l’espoir pèse sur mon cœur. Que ferais-je sans lui si ma forêt est attaquée ? Il a été mon héros, mon protecteur quand moi, gardienne des lieux, je fais face à ma propre impuissance.

Il n’est pas aisé d’entrer au sein de l’ancestrale forêt de Céphrusa. Elle n’ouvre son passage qu’aux âmes blessées dans leur corps ou leur cœur. Mais il est possible de le forcer pour les plus puissants malhonnêtes car elle converse en son sein des joyaux inestimables de la nature. Tout ce qui entre est su, tout ce qui demeure est accepté. Je ressens la présence de cet homme blessé. C’est une étrange créature qui se distingue mais il a besoin d’aide. Je ne le lui refuserais pas. Je me lève à peine pour partir à sa rencontre.

L’eau la guidait jusqu’au refuge de la forêt. Quand il tombe dans l'inconscience, les racines des arbres le soulèvent à travers la forêt. Je suis à mi-chemin quand je peux observer son corps baladé avec délicatesse et l'étendue de ses blessures. « Guide-le jusqu’au lit. » La nature répond à ma requête. Je suis d’un pas pressé les souches se reliant. La porte de la maison dans l’arbre s’ouvre devant. Il est déposé avec douceur dans les draps chauds de mon propre lit. Je récupère une bassine remplie d’eau chaude.

Je m’attèle au soin durant les heures suivantes. Les différentes propriétés magiques de l’eau et du baume apaisent les douleurs les plus vives mais elles ne permettent pas une guérison complète. Le repos est son meilleur allié. Je demeure à son chevet durant les heures suivantes qui lui sont nécessaires. Son réveil tarde. Il signifiera peut-être l’ouverture de son appétit.

Un oiseau est missionné pour veiller sur lui. Il est posé distraitement au bord de la fenêtre pendant que je me charge de trouver quelques baies et fruits à offrir à mon invité. Nymphe des bois et divinité inférieure, je ne connais aucun appétit mais les cadeaux de la forêt sont toujours un délice. Quand j’entre, les premiers signes d’un réveil se font imminent. Alors je prépare un verre et dépose la corbeille sur la table de nuit.

Ma place est reprise sur le tabouret à son chevet. J’attends son éveil pour m’assurer que les douleurs ont disparu et de la bonne voie de sa guérison.
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La zone industrielle / Re : Tester la marchandise - PV (Sareeth)
« Dernier message par Sareeth le dimanche 19 mai 2024, 23:21:53 »
« Très bien. » Un mois, ça peut être extrêmement court comme une véritable éternité. Je ne sais ce qu’il met derrière ses conditions. Mais il est clair que je ne décevrais pas notre engagement. Séduire des hommes est si facile que j’en ai perdu le goût. Je n’ai aucune inquiétude à avoir. Mais lui devrait se faire du souci pour sa part du marché. Il se distingue et quelque chose de spécial se dégage de lui. Cette sensation s’accentue quand il s’approche mais est-ce suffisant ? Assez pour attiser mon intérêt, pour l’instant. « C’est vous que je veux une fois mes preuves faites. » Sans détour, j’exprime mon envie.

Il ne reste planté devant moi que pour attraper l’invocateur et lui ordonner ma libération. Le cercle s’efface et je peux enfin bouger à ma guise. Je m’étire de mon long. Ils s’éloignent tous comme si je représentais un réel danger ? Le petit humain était si fière de son invocation, il y a encore quelques secondes. Maintenant, je suis devenue une source d’inquiétude. Il n’est pas le seul à posséder cette réaction étrange. Son absence de courage m’arrache un rire et me permet de patienter jusqu’à la présentation de mon épreuve.

Avec l’homme de main sous le nez, je comprends vite les intentions du contractant. Je lui laisse toutefois le loisir d’expliquer la situation et les différents méfaits qui l’ont conduit à cette situation. S’il me livre, c’est qu’il ne doit plus le considérer d’une grande utilité. Une telle décision est souvent motivée par la trahison. « C’est le fruit d’une mauvaise éducation. Tuer pour des gâteaux, c’est une première. Fais-le pour une bonne raison la prochaine fois. » Je n’ai peut-être pas compris la métaphore que leur chef a glissé derrière les biscuits mais ça ne change rien à ma mission.

Le fautif tente de se défendre mais atterrit toujours plus bas, face contre terre. Il m’oblige à m’accroupir devant lui. Les jambes à peine écartées, il peut voir ma culotte. Mais il n’est pas le seul car ma courte jupe remonte au niveau de mes fesses pour le plaisir des hommes derrière moi. Mon corps est fait pour répondre aux fantasmes de ses hommes. « Evitez de le mettre en morceaux avant ! » Il est pas loin de m’offrir un cadavre comme entretien d’embauche… Y a mieux quand même !

Je dépose avec douceur une main sur la joue de James. « Mon pauvre James, il vous malmène pour des biscuits. » Ma voix se fait langoureuse et je n’utilise pour l’instant aucun de mes pouvoirs mais seulement mon charme surnaturel. Je sens tout de suite l’homme réceptif mais rendu méfiant par la présence de son boss. « Je peux vous aider… Vous libérez de lui. » J’appuie chacun de mes mots, à travers eux mon pouvoir de séduction s’immisce. « Lâchez-le et éloignez-vous. » J’ordonne à Randal mais je n’ai pas besoin de ça pour parfaire mon emprise sur James.

« Que dois-je lui faire faire ? »

 Il est déjà à mes pieds. Mais la situation se fait plus parlante s’il s’éloigne. James peut se détendre et se laisser consommer par son désir.

6
One Shot / Le lion et la nymphe (non, ce n'est pas une fable) [Pv]
« Dernier message par La légion de l'Eternel Ardant le dimanche 19 mai 2024, 22:52:30 »
« Général, général, vous devez fuir ! »

L’aide de camp, un homme lézard particulièrement vilain avec cette espèce d’écailles dressées sur la tronche, avait un bras en moins. Cela repousserait, bien sûr… mais les choses étaient claires pour le seigneur Pyrrhus, les légions des nuées étaient vaincues et étaient actuellement joyeusement massacrées. Et voilà où ils en étaient… le Champion des nuées avait de nombreuses blessures, rien de grave selon lui. Au fond, même la mort n’était pas grave. Mais il savait ce qu’était la captivité et il ne voulait pas y retourner… et ils savaient qu’il ne mourrait pas assez facilement pour éviter cela, au rythme où les choses allaient. Alors oui, la fuite était la seule option. Il pesta et saisit son griffon ardant pour se mettre en selle et fit claquer les rênes sur l’encolure de l’animal. Il se mit à courir et battit des ailes un moment, commençant à s’élever.

Les flèches sifflaient autour, et une cuisante douleur atteignit son épaule suivit d’une autre, dans le bas. Ne pas retirer les flèches, ne pas retirer les flèches, malgré la douleur, ça évitait au sang de sortir à flot. Une nouvelle flèche qui siffla à deux pouces de sa tête. Et là, ce fut un cri qui déchira les oreilles du général. Et sa monture commença à perdre de l’altitude, battant des ailes pour rien ou presque, parce que l’une d’elle commençait à se tordre. La flèche avait atteint la jointure… et quand elle percuta le sol, le terranide lion fit un roulé boulé et se releva péniblement pour se mettre à courir. Il tu avait de l’eau plus loin. Un bon moyen de faire perdre sa trace. Mais alors même qu’il commençait à nager, la douleur à son, épaule, et celle à son bras, lui firent comprendre que c’était peine perdue. Alors, au lieu de nager, il tenta au moins d’avancer d’un bras l’autre pendant mollement. Il savait laisser du sang dans l’eau.

Tant pis. Il ne chercha pas à remonter le courant, mais se laissa porter, jusqu’à s’échouer sur une berge, dans une forêt. Il faisait nuit. Mais il n’avait plus la force, c’était se reposer ici ou se noyer. Au moins était-il en forêt. Il toussa, essaya de se relever, mais c’était peine perdue. Alors, il se traina juste dans un fourré, à proximité, et s’abandonna. Allez, un peu de repos, juste un peu de repos. Il allait fermer les yeux quelques minutes. Essayer de se reposer pour se relever vraiment et partir. ?
Il tomba dans l’inconscience.
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Centre-ville de Seikusu / Re : Satisfaire le pacte ~ Regalis
« Dernier message par Sareeth le dimanche 19 mai 2024, 22:35:49 »
« Jamais. Imposez-moi la punition que vous désirez. » Il n’est aucunement question de l’amadouer. Au contraire, il m’a rendue curieuse par cette seule évocation. Qu’a-t-il en tête ? Quelle est sa manière de punir ? Je me le demande. Je suis impatiente de recevoir son attention quelque soit la manière. Mes doigts qui s’attardent le long de sa queue nous font patienter le temps que les choses se corsent.

J’apprécie lui montrer mon impatience à l’idée qu’il me fasse à nouveau connaître le même plaisir qu’au cinéma. Dans l’attente, sa verge frotte contre mes cuisses et parfois remonte contre mes lèvres. Il serait préférable qu’elle y trouve refuge mais la caresse sensuelle m’ôte un soupir brûlant. « Je changerais les draps. Ne vous souciez pas des détails. » Le lit ou ailleurs ça n’a pas d’importance. Toutes les pièces finiront par être marquées de nos intenses ébats.

Il attrape mes fesses. J’apprécie son intérêt mais il me surprend quand ses mains descendent pour me soulever. Mes jambes entourent ses cuisses et mes mains se déposent sur ses épaules. Il me porte haut au point que ma poitrine se colle contre son visage. Je comprends vite son intention quand peu à peu dans une caresse sensuelle, nos corps se frottent l’un à l’autre. Son gland se presse contre mes lèvres intimes. J’allais lui répondre mais la pénétration me coupe la parole.

Je m’accroche à lui alors qu’il commence son avancée. Le gland seul m’offre déjà de nombreuses sensations. « Le passage est libre pour que vous puissiez me remplir à nouveau. » Je gémis contre son oreille. Il prend peu à peu possession de moi et de mon orifice toujours très étroit pour son imposante verge. Il est pressé et étouffé dans mon antre brûlante. « Soyez sauvage… Plus encore qu’au cinéma. » Je le supplie alors qu’il me lâche.

Je m’empale jusqu’à sa garde, gémissant plus fort. Surprise par son geste, je lui ai griffé le dos en m’accrochant à lui. « Regalis… Ne me posez plus jamais cette question ! Démontez moi… » Il ose me poser cette question alors que je suis à sa merci. Je n’ai aucune manière de lui résister ou de pouvoir bouger pour nous donner ce plaisir tant désiré. Il me fait attendre avec sa verge prenant pleinement possession de mon corps désireux.

Est-ce cela sa punition ? A me laisser le sentir sans pouvoir bouger, il me fait connaître cette même horrible frustration qu’au cinéma. « Démontez-moi à chaque fois… Que vous en avez envie. » Je lui fais part de ma requête. Je n’ai pas envie qu’il s'embarrasse des convenances, du lieu ou du moment. Je veux pouvoir sentir sa queue me prendre à chaque fois qu’il en a envie ou que je le réclame. Mon regard le supplie de bouger et de me baiser.
8
Centre-ville de Seikusu / Protection rapprochée ~ Shun
« Dernier message par Molly Murphy le dimanche 19 mai 2024, 20:56:24 »
Point de vue de Molly.

Sienna est toujours la première debout comme si l’alcool ne l’atteint pas. Elle est assise sur le canapé, devant un dessin animé dont elle a coupé le son pour ne pas nous réveiller. Je me suis endormie de l’autre côté. J'émerge lentement avec une sacrée migraine. Je suis sûre d’une chose : on a abusé sur la vodka. Le sol me le confirme. Il est recouvert de cadavres de bouteilles dispersés autour de la table basse. Quand mon amie remarque mes yeux ouverts, elle commence à me faire une série de signes bizarres. Je penche la tête sur le côté pour tenter de décrypter son message mais… Je comprends que dalle ! « Quoi !? » Je m’indigne à voix basse.

Elle s’agace. Sienna essaye de pas trop bouger car la tête d’Hazel repose sur ses cuisses. « L’aspirine est sur la table ! » A son tour, elle marmonne doucement mais j’arrive enfin à comprendre son message. Je me relève mais bizarre, mes pieds ne touchent pas le sol ? Macy est allongée comme une merde par terre au milieu des bouteilles. Malgré l’inconfort, elle se tape sa meilleure nuit. J’essaye de l’éviter pour récupérer le verre d’eau préparé et les cachets. Heureusement qu’elle est là. Sienna est la responsable du groupe, celle qui prend toujours soin des autres.

Après avoir englouti mon verre, je me lève pour m’asseoir à côté d’elle et dépose ma tête contre son épaule. Il est temps d’attendre que les autres se réveillent maintenant… Mais un soudain message fait vibrer nos téléphones à l’unisson. Hazel continue ses paisibles rêveries mais Macy se fait soudainement réveillée. Elle se cogne la tête contre la table basse et se roule de douleur sur son lit de fortune. Son vacarme conclut au réveil de la belle au bois dormant. « C’est quoi ce bordel ? » Sienna râle en attrapant son portable. Un sms inquiétant s’affiche :

Vous avez été témoin d'événements compromettants. [...]

La suite se résume à différentes menaces si nous osons voir la police. Après comparaison de nos téléphones (quand Hazel et Macy se sont enfin levées), les messages sont identiques. Mais aucun de nous n’arrive à considérer ce qui a pu amener à cette situation.

(Macy) - On fait quoi ?
(Hazel) - On ignore, c’est de la merde. Ils veulent nous faire payer une rançon. C’est courant.
(Macy) - C’est toi, la gosse de riche ! Pourquoi on l’a toutes eu ?
(Molly) - On devrait peut-être contacter la police…
(Sienna) - Vous vous rappelez de l’autre soir où Macy a voulu aller baiser des gars dans une rue ?
(Macy) - Lequel ? Y en a tellement…
(Hazel) - Ceux avec des mallettes pleines de thunes ? Oui je me souviens de leur visage.
(Molly) - Putain…
(Sienna) - Je pense que Molly a raison, on devrait aller voir la police.
(Macy) - C’est peut-être juste un canular !
(Sienna) - C’est plus prudent.

Sienna s’occupe d’appeler la police. Après différents échanges, elle leur envoie les différentes captures d’écran des messages reçus sur nos téléphones. Hazel qui a la meilleur mémoire eidétique leur décrit les visages. Les hommes sont vite identifiés comme étant des membres éminents de la mafia japonaise ce qui n’est pas vraiment pour me rassurer mais Sienna fait de son mieux pour garder une cohésion au sein du groupe.

A la fin de la discussion, il est conclu qu’il est plus prudent que nous restions chez Hazel. Sa résidence est difficile d’accès et particulièrement sécurisée. Son penthouse offre assez de place pour que nous puissions y rester quelques jours si le besoin se fait sentir. Mais ils assurent qu’un policier va venir prendre nos dépositions complètes en fin d’après-midi et un autre lui secondera en début de soirée pour notre sécurité. Il nous invite à ne pas nous rendre au rendez-vous pour bien rester en sécurité. Nous obéissons. Nous faisons le nécessaire demandé. Nous barricadons les fenêtres avec l'aide du premier agent qui constate lors de notre entretien des nouvelles menaces.

Il prend tout en note. En début de soirée, son collègue nous rejoint. Il est à peine entré que Macy lui saute presque au cou.

(Macy) - Combien de temps allons-nous rester, Monsieur l’Agent ?
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Centre-ville de Seikusu / Re : Satisfaire le pacte ~ Regalis
« Dernier message par Regalis le dimanche 19 mai 2024, 19:39:11 »
Visiter son domaine ? … Il était difficile de répondre à cette question. Il ne savait pas ce qu’il était devenu. Il ne sait même pas si les autres dieux sont au courant qu’il n’est plus dans sa prison. Et si c’était le cas, auraient-ils préparé un piège qui se refermerait sur lui lorsqu’il y mettra les pieds ? De plus, si des créatures avaient été mise chez lui par ses semblables, les araignées étaient effectivement des adversaires ou il ne pourrait pas se permettre d’épargner son habitat. Après tout, on extermine la vermine.

-Peut-être un jour … Je dois m’assurer qu’il existe encore.

Bien que cette phrase puisse soulever d’autres questions, il esquivait au moins les autres sujets plus délicats. C’était une succube. Par définition, les problèmes de Regalis étaient loin d’être les siens. Aucune raison ne l’obligeait à partager tout ça. Ce n’étaient pas des cachoteries non plus. Cela ne concernait que lui après tout et ce, depuis le début de l’histoire.

Bien qu’elle soit mise en valeur dans cette douche, ayant un appétissant corps dont les courbes appelaient au vice, il la faisait languir tout en la titillant sur cet individu qu’elle n’avait pas puni pour lui avoir parlé de la sorte. Elle ne semblait pas apprécier, esquivant même plutôt le sujet à vrai dire, ne lui répondant pas clairement sur la raison de sa présence. Mais il n’était pas stupide non plus … Il pouvait facilement émettre une hypothèse. Les réactions des vivants étaient parfois des fables ouvertes.

-D’accord je vois …


Il n’en disait rien de plus. De toute façon, avait-il besoin ? Elle savait très certainement qu’elle avait donné des réponses malgré les cachoteries qu’elle était en train de faire. Bien qu’il ne sache pas la vrai vérité, il agissait en dieu. Elle coupait l’eau pour le rejoindre. Elle restait humide, ne se séchant pas. Il devinait la suite … il devra la réchauffer car l’eau finira par lui donner quelques frissons. Cette fois, avec la lumière, elle semblait profiter d’une manière plus intense des dessins qu’offrait son corps. Elle disait accepter n’importe qu’elle punition tout en entourant sa queue de ses doigts …

-Avec cette action … n’es tu pas en train d’essayer de réduire la difficulté de cette punition ?

Elle le guidait alors en dehors de la salle de bain. Il entrait alors dans une chambre, la sienne très certainement. Elle reculait vers le lit, petit pas par petit pas, laissant sa verge caresser ses cuisses de temps en temps, ses lèvres intimes avant de se faufiler entre ses cuisses quand elle s’arrête, laissant la chaleur de ce pieu se répandre sur cette peau encore humide …

-Le lit risque d’être mouillé … Et tu as fourni de beau effort pour que je rende honneur à ce corps … Alors …

Il posait ses mains sur ses fesses en la regardant. Elle devait bien avoir compris que ses fesses étaient appréciées du dieu. Il se penchait légèrement pour les passer sur ses cuisses et la souleva sans peine et assez haut pour que sa verge se dresse directement en dessous d’elle … Elle pointait vers ses lèvres intimes, la laissant descendre petit à petit contre lui, laissant sa peau frotter la sienne, comme un ascenseur jusqu’à ce que son gland touche ses lèvres intimes … Il s’arrête alors …

-Est-ce encore plein ? … Ou la succube a déjà bien absorbé tout ça ? …

Il ne lui laissait pas le temps de répondre, laissant la descente continuer et son gland écarter ses lèvres intimes, lui laissant le plaisir de redécouvrir la largeur de sa verge qui écartait à nouveau ses chaires étroite … gémissant lorsque le gland est entièrement en elle … Continuant la route jusqu’à deux tiers de sa longueur …

-Ce sera sauvage je te préviens …

Il laisse alors les derniers centimètres être parcouru en la laissant tomber le long de sa verge ! Son bassin bien collé au sien, il se lèche les lèvres devant elle avant de serrer ses fesses entre ses mains …

-Puis je … Te défoncer ?

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One Shot / Re : Dans les songes de l'écrivaine. ~ Draven
« Dernier message par Draven Dairn le dimanche 19 mai 2024, 19:15:28 »
Les gens se rendaient-ils compte à quel point ils se laissaient aller parce que c’était un rêve ? En fait, cela dépendait si l’on considérait que l’on était lucide ou pas dans un rêve. Généralement, ceux qui étaient lucides dans le rêve faisaient perdre un peu de sa saveur à celui-ci par leur non implication. Ou au contraire par leur sur-implications, en fait. Là par exemple, on était à la limite de là sur implication…
Mais j’avais la dalle, et puis bon, un peu de bon temps, ça ne devrait pas poser de problème.

« Et si cet ascenseur était celui des bureaux de ton patron ? Le risque est suffisant ? »

Je venais l’embrasser avec tendresse, mes mains à ses fesses, en place, la pelotant allègrement, ses fesses mises à nues alors que la robe était remontée par mes bras à ses hanches pour plus de praticité... elle se laissait clairement faire. Et je ne l’en blâmerais pas. Nombre de femmes – et que dire des hommes – faisaient des rêves érotiques bien débridés. Elle restait sage, pour le moment, elle…

« Lui ou un autre pourrait monter dès que l’ascenseur reprendra sa route… et tu seras alors là, à moitié nue, avec un homme qui te ferait l’amour. Devant lui… »

Les mots étaient progressifs. Comme des invitations à l’imagination.

« Mais ce qui serait vraiment gênant, ce serait de ne pas profiter pleinement de ses fantasmes… »

Je souris. Oui, les fantasmes étaient une forme de rêve. Viscéraux et prenants, alors autant qu’elle s’y livre…

« Et pour les réaliser, il suffit de les dire. »

Mais le rêve « vacilla » un court instant… comme une hésitation, je le sentis, même si rien de visible ne se fit sentir, vraiment, mais moi, je savais, parce que je connaissais les rêves. Elle avait eu un instant de doute et le rêve avait failli basculer.
Ce fuit donc avec un peu de retard et une petite hésitation que je répondais à sa phrase clichesque en l’embrassant à pleine bouche, venant la débarrasser d’un geste sec et d’un bruit de tissu déchiré de sa robe, exposant sa nudité pour continuer à jouer. Mes lèvres venant descendre à sa mâchoire, à son cou, à sa gorge… apparemment, elle voulait faire sage et gentillette et s’acharnait juste sur ma ceinture et ma braguette pour finalement venir saisir le sexe impatient et dur de l’envie d’elle…
Pourtant j’avais d’autres objectifs… je vis doucement écarter ses mains de mon sexe pour me pencher, et pour venir embrasser son sein, mordiller le mamelon ;

« Je vais te montrer comment se comporte un fantasme digne de ce nom… »

Je ne m’attardais par sur l’auréole assombrie de son sein et je descendais, me mettant à genoux, pour venir embrasser son ventre, son nombril, descendant…

« Savoure, savoure, sinon, Il pourrait revenir… »

J’avais lâché ça comme une peur, une menace, ou un avertissement, comme si son cauchemar était dehors, tant qu’elle serait à fond dans son fantasme…
Et je baisais son pubis glabre comme si je n’avais rien dit.
Mais avais-je dit quelque chose ou son esprit avait il été saisi d’une pensée que le rêve lui avait glissé ?
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