Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Amaelia Darko

Pages: 1 [2] 3 4
16
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 06 novembre 2013, 17:42:26 »
*lui tends une bassine, compatissante*

J'ai attrapé froid moi. Et j'ai plus de voix.

17h43

17
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 06 novembre 2013, 17:36:51 »
Je suis contente, j'ai réussis à faire une bonne description du lieu de vie d'Amaelia.

17h37

18
Le quartier de la Toussaint / Re : Entre mythes et réalités. PV ~
« le: mercredi 06 novembre 2013, 17:26:01 »
A voir sa tête, même si l'expression restait blasée, elle songea qu'il pensait qu'elle allait se me mettre à crier. Qu'elle allait céder à une crise d'hystérie, s'écrouler en pleurs dans ses bras, le frapper en criant des paroles tragiques d'un ton déchirant et larmoyant, et ainsi de suite. Mais elle n'est pas comme ça. Elle ne crois pas. Alors sa réaction est... Plus pragmatique. Elle ne cède pas à la panique. Oui, il y avait un serpent géant dans la ruelle qu'elle traversait, et il a voulu la dévorer. Oui, ce type étrange s'est presque tranché la tête en deux avec sa pelle, et il est toujours vivant. Oui, c'est bien de la matière cervicale qui s'est collé à ses doigts, et qui orne maintenant son manteau. Et alors ? Rien de bien dramatique en soi. Enfin si, mais... Il y a des questions à poser, du genre demander des explications sur ce qui s'était passé au juste, puisque ça avait eu l'air irréel.

Elle pensait presque qu'il allait ignorer ses questions quand il reprit la parole. Elle l'écouta, sans l'interrompre, en haussant progressivement les sourcils. Son explication frôlait la démence. Si elle n'avait pas été témoins de cela, elle aurait pensé qu'il délirait complètement.


« Un... Monstre ? »

Elle finit par hocher la tête. C'était une interrogation rhétorique. Elle avait occulté ses menaces. Elle n'allait certainement pas raconter ça à quiconque. On la prendrait pour une folle, et on l'enfermerait à l'asile. Alors si, en plus, c'était pour se faire enterrer...

« Je veux un chien. Pour la peluche. »

Histoire de se détendre un peu, elle blague. C'est pourri. Sa blague. Pas la circonstance. Mais c'est vrai que, s'il l'enterre, autant que ça soit avec une peluche qu'elle aime bien plutôt qu'un truc qui la laisse indifférente. Elle ferme les yeux, atterrée de ses réactions complètement stupides. Elle ne sait pas comment réagir, là. Elle n'a jamais vécu de pareille situation.

Elle fut surprise de le sentir embrasser son front. En ouvrant les yeux, Elle le vit s'asseoir en face d'elle. Machinalement, elle resserra ses jambes et les étendis légèrement. On voyait sa culotte avant. Une blanche en plus, rien de plus discret. Elle n'est pas pudique, mais c'est des gestes qu'on  lui a appris à faire. Ne pas laisser un garçon voir sa culotte, ne pas paraître nue au milieu des autres, faire bonne figure, être polie, ce genre de chose. C'est un automatisme à présent. Même si elle le voulait, ce serait extrêmement dur de l'en débarrasser.


« Chez moi ? »

Ce n'est pas prudent d'inviter un inconnu chez soi. Mais... Mais il lui a sauvé la vie ce soir. Il tient sûrement à la garder saine et sauve, histoire de ne pas s'être fait mal -un euphémisme- avec sa pelle pour rien, et tient sans doute à être au calme pour discuter de ces choses étranges dont il semble coutumier. Et puis, sans qu'elle ne sache pourquoi, elle lui fait suffisamment confiance. Alors elle hoche la tête.

« Ouais. »

Il l'aide à se relever, et elle s'époussette rapidement avant qu'il ne lui prenne la main. Elle est surprise qu'elle soit aussi froide que la sienne l'était. Elle s'est un peu réchauffée à présent, et elle constate donc ce qu'elle n'avait pas senti tout à l'heure. Malgré le sang, Elle lui laisse sa main. Esquissant un petit sourire, discret, et faisant un signe de tête, elle reprit le chemin où elle avait été interrompue par le serpent.

« C'est par là. Ce n'est pas trop loin, même si il n'y a plus de bus à cette heure pour y aller. »

Et le métro ne s'arrête pas à proximité de chez elle. Elle est dans le centre, mais vraiment dans le centre. Et les stations de métro les plus proches sont à la même distance de son loft que la distance qu'il leur reste à parcourir jusque chez elle.

Elle ne parle pas, trop occupée à calmer son esprit enfiévré. C'est maintenant, une fois que l'action est passée et que l'adrénaline est redescendue, qu'elle sent qu'elle risque de céder à une crise d'hystérie. Mais elle se retient. Elle est plus forte que ça. Elle peut encaisser, non ?

Le temps passe. Un peu plus de dix minutes. Comme il n'y a personne dehors à cette heure, le trajet se fait vite. Déjà, ils arrivent. De grands immeubles les regardent passer, et elle s'arrête devant l'un d'eux, à proximité du centre commercial. Il est récent, et très élégant de l'extérieur. De sa main libre, elle fouille dans sa poche pour prendre ses clés, et passe le badge sur le détecteur. La porte, comme dans les magasins, s'ouvre alors et leur livre le passage. Elle s'avance, appelant l'ascenseur, et grimpe dedans quand il arrive pour appuyer le le neuvième étage. Rapidement, ils y sont. Partant vers la gauche à la sortie de l'ascenseur, l'étrange couple parcours presque la moitié du couloir avant qu'Amaelia ne s'arrête devant une porte rouge, large, à la poignée noire. Avec ses clés, elle déverrouille, pousse la porte et lui livre le passage.

Quand on entrait*, on se trouvait dans un petit vestibule. Un porte-manteau, à droite de la porte qui s'ouvrait (vers la droite, la poignée étant à gauche), se tient prêt à accueillir des vêtements. Un petit rideau sombre, face à la porte, masque la luminosité de la pièce qui suit. Quand on le pousse, on accède au salon. Il se compose comme suit : Une grande baie vitrée à droite, un canapé d'angle de cuir gris sous les fenêtre, une petite table basse en verre, un fauteuil en plastique blanc Ikéa et une télé de 180cm sur son meuble faisant face au canapé d'angle. Puis, sans porte, on passe à un plan de travail pour la cuisine, avec de multiples rangements, qui est adossé à un bar qui fait le prolongement de la baie vitrée. En face du bar, il y a un frigo à l'américaine. A côté de celui-ci, on trouve un congélateur avec, au-dessus, des rangements pour que le four et le micro-onde s'y encastrent. En face, à côté du plan de travail, on trouve quatre plaques de cuisson à induction. Puis une étagère en face de ces dernières pour les épices, et divers aliments tels que conserves, brioches, nutella, gâteau apéros, lait, jus d'orange, etc. Et à côté, un grand évier. Et encore à côté, un lave-vaisselle.

Au bout du bar, il y a un vide, et on arrive dans la pièce de vie, avec une table pour six, six chaises, et des rangements pour la vaisselle. La pièce de vie s'étale vers la droite, suivant l'angle de la pièce. La baie vitré, après avoir marqué un arrêt au bar change de sens pour former un ange donnant sur l'extérieur, et prolonger la pièce de vie. Là, un autre rideau masque l'entrée d'un petit couloir. A droite de ce dernier, il y a une salle de bain. Grande, pourvue d'une baignoire, d'un lavabo, et de WC séparés du reste par une sorte de bar où sont rangés les produits d'entretiens. Entièrement carrelée, elle scintille avec la lumière du lampadaire qui brille, visible par la fenêtre qui se trouve sur le mur à droite.

La chambre, elle, se trouve à gauche du couloir. Grande aussi, elle contient une immense armoire emplie de vêtements, un dressing pour les chaussures, et une petite pièce en extension qui est, pour le moment, encombrée de cartons. Elle contient aussi un lit de presque trois place, à baldaquins, avec un dais sombre au-dessus. La fenêtre, sur la gauche de la pièce et sur le fond, donne une luminosité sans égale à la chambre. Pour le moment, les volets électriques se baissent d'eux-même, et des rideaux sont prêts à être tirés.

Au bout du couloir, deux autres pièces : L'une contenant un bureau, une grande armoire, et divers autres cartons. Un clic-clac aussi. Et une baie vitrée au fond de la pièce. Et l'autre servant de buanderie, avec une machine à laver et un sèche-linge.


« Voici mon chez-moi. »

C'étais assez impressionnant, et grand. Presque 100m² de surface habitable, dans les tons blancs, gris sombres, gris clairs et noirs.

« Tu veux peut-être te laver les mains... ? »

Elle le précéda, après avoir fermé la porte et donné un tour de clé par précaution, jusqu'à l'évier où se trouvait un distributeur de savon automatique et quelques torchons. Elle ouvrit le robinet, réglant l'eau sur tiède.



* Le loft, vu de la porte d'entrée.

19
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 05 novembre 2013, 19:51:19 »
Allez. Se lever tôt à ses inconvénients.
Bisous à tous ♥

19h52

20
Archives / Re : Les tabou et envie des membres
« le: mardi 05 novembre 2013, 19:46:15 »
Tu n'imagines même pas !
Mais il fait froid quand le plaisir retombe, il faut se dépêcher de rentrer pour prendre une douche chaude (et recommencer, aussi ;D) !

En tabous, je dirais (et répéterais sans doute beaucoup de ce qui a été dit) que ce qui est nécrophilie, pédophilie, zoophilie et autres ne m'attirent pas, voire me dégoûte un peu.

En envies, je n'en ai pas particulièrement. Je vois ça sur le moment (le coup de l'orage par exemple), et souvent c'est très excitant x)

21
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 05 novembre 2013, 16:49:20 »
Alors je vais peut-être m'y mettre, quand j'aurais le courage ^^

16h50

22
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 05 novembre 2013, 16:41:49 »
Ah oui ? On m'a dit que la série était décevant par rapport au bouquin..

16h42

23
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 05 novembre 2013, 16:15:12 »
Et c'est fait.
Plus qu'à attendre les propositions **

16h16

24
Le coin du chalant / Re : Would you have some Scwheppes, just you and me ?
« le: mardi 05 novembre 2013, 16:14:09 »
Ajout d'un RP Libre en section One-Short.

Citer
Épisodes Bonus ~ One-Shot.


Me contacter par MP si intéressé(e)s par une de mes trames ou par le One-Shot. ♥

25
One Shot / Lutte éternelle (Tryzox)
« le: mardi 05 novembre 2013, 16:11:58 »

Situation générale :

Je m’appelle Angharad Sutton. J’ai actuellement trente deux ans, mais j’ai arrêté de vieillir après vingt-deux. Je croyais n’être qu’une simple humaine, mais en réalité, je suis bien plus. Je suis l’incarnation d’une âme très ancienne appelée « Lathiel ». C’était autrefois un ange, l’ange de l’intégrité, qui a été déchue après avoir cédé à un démon. Pas n’importe quel démon. C’était sa Némésis : « Vetis », le démon de la corruption. Elle a été chassée du Paradis, et s’est retrouvée privée de ses ailes sur la terre. Mais Vetis lui fit un don : Il lui donna le pouvoir de survivre à travers les âges, pour influencer les humains. Il était mauvais, oui. Mais il respectait énormément Lathiel, et respectait l’effort qu’elle avait fourni pour lui résister durant tous ces millénaires. Il tenait à toujours avoir un adversaire de sa qualité à affronter… Mais également, il voulait avoir le plaisir de la corrompre à chaque nouvelle vie. Le vice était son gagne-pain après tout.

Je suis la cinquième femme à posséder l’esprit de Lathiel. Les quatre autres, disséminées dans l’histoire à partir de l’an quatre cent neuf, sont mortes depuis longtemps. Chacune a résisté aussi longtemps qu’elle a pu à la corruption de Vetis, qui s’incarnait pour venir les tenter. Mais au final, elles ont toutes cédé. Je sais que je ne suis sans doute pas meilleure qu’elles. Mais j’essaie d’être intègre dans chacune des facettes de ma vie. Peut-être pas honnête, mais nul ne l’est totalement. J’ai voulu devenir officier de police dès mon plus jeune âge pour lutter contre le fléau que représentent les Yakuzas dans la ville de Seïkusu. Mais j’ai vite compris que la police était pourrie à la racine, malgré de bons éléments en bas de la chaîne. Alors, je me suis tournée vers les forces spéciales. Aujourd’hui, je suis un agent de terrain confirmé, pour éliminer tout type de menace. J’ai appris l’existence de créatures infâmes, telles que les vampires ou les monstres de la même engeance. J’ai pu apprécier la réalité du pouvoir de ceux que l’on appelle des Super Héros. J’ai même collaboré avec certains. J’ai aussi pu constater que l’influence des Yakuzas allait même jusqu’à ces créatures et ces individus hors du commun.

Pour l’instant, je n’ai pas croisé Vetis. Il se cache, ou il ne sait pas que Lathiel me conseille. Il s’est bien passé trois cents ans depuis que la dernière incarnation de l’Ange a sombré. Mais je n’ai aucun doute. Je le trouverais un jour. Et le combat entre nous deux sera aussi stimulant que féroce. Je lutterais jusqu’au bout, et lui aussi. J’ignore si je résisterais, mais je l’espère de tout cœur. J’ai bien résisté à l’appel de la chair pour l’instant, malgré tout les beaux spécimens de mâles que j’ai croisé. Je sais que je suis attirée par les mauvais garçons, c’est indéniable. Mais je résiste pour le moment. Je ne me laisse pas prendre aux pièges de leurs mains puissantes, de leur voix grave et chaude, de leur sourire envoûteurs ou de leurs manières rudes mais envoûtantes. Croyez bien que ce n’est pas facile de résister. Je mobilise toutes mes forces pour ne pas céder à l’appel de mon corps. Lathiel m’aide à tenir. Mais elle ne pourra rien si le désir me submerge comme il l’a fait avec elle, bien des siècles plus tôt. Je le sais, parce que j’ai vécu ses souvenirs en rêve, ainsi que ceux des quatre autres incarnations.

J'ai été mannequin, à un moment. Quand j'étais encore jeune. J'avais dix-huit ans, peut-être. J'étais très belle, et très photogénique. Encore aujourd'hui, je garde la couverture du magazine pour lequel j'ai posé. Topless. J'avais juste une cape, rattachée à mes épaules par une attache d'or, et un tanga, avec une ceinture brillante et un voile accroché. Maintenant, je suis agent, et je me sers des armes plutôt que du maquillage. Changement radical. Je ne suis plus à la poursuite de la gloire, depuis que j'ai pris conscience de Lathiel, mais de la justice.

Situation actuelle :

Le temps est couvert sur le bord de mer. Le vent forcit, et fouette mes cheveux. Je suis à quelques kilomètres de Seïkusu, dans une petite crique presque totalement abritée. Juchée sur un rocher, je scrute l'horizon dans l'espoir d'apercevoir un signe. Ces derniers temps, les rumeurs ont enflées, à propos d'un mal qui semblait nouveau, et qui rongeait encore plus les fragiles fondations de la ville. J'ai entendu de nombreuses personnes se plaindre d'avoir trop cédé à la gourmandise, ou que leur ami(e) avait un amant inconnu, ou encore que des civils sans histoires se sont tout à coup mis à braquer des banques.

Tout ça, c'est sûrement Vetis. Il arrive, enfin. Je cherche dans les cieux assombris l'ultime preuve : Des éclairs rouges qui zèbrent le plafond étoilé. Et j'en vois un. Puis deux. C'est parti, la traque commence. Pour lui. Pour moi. Bref, pour nous.

~ ~ ~ ~ ~ ~

Je suis acculée. Je sais que Vetis est là, dehors. Il dirige une petite bande de malfrat qui a soudain eu l'envie de braquer la base militaire. Ils sont forts, pour des humains. Mais ce n'est que des dons provisoires du démon qui les guide. J'halète en courant, cherchant un lieu sûr pour me reprendre. Vetis a failli m'avoir. Je l'ai senti près de moi. Son souffle contre ma nuque, ses mains chaudes à quelques millimètres de mes bras... Sans même me toucher, il me fait déjà de l'effet. Je n'imagine pas ce que ce sera s'il me tient entre ses griffes, si sa voix murmure des tas de choses indécentes dans le creux de mon oreille...

J'ouvre une porte au hasard et m'engouffre dans la pièce. D'un coup de pied, je referme le battant métallique. Je suis la seule à être rester à la base ce soir. L'ordre a été donné hier : On abandonne la base pour aller ailleurs. Mais je devais finir... Je devais attendre. Je savais que Vetis allait venir, et que notre lutte aurait lieu ici. Alors je suis restée. Et me voilà prise au piège. J'entends les pas de ses hommes dans le couloir. Je me faufile dans un des casiers vides ouverts, et je referme le montant en bois. L'endroit est exigu. J'ai de la peine à y tenir. Ma poitrine effleure le matériau, et si je respire trop fort, je crains de l'ouvrir par inadvertance.

L'ambiance est chargée d'électricité. C'est Vetis. Il sait où je suis. Folle, j'ai cru que je gagnerais du répit en me cachant. Plus encore : Je pensais être prête à affronter le démon. Mais je crois que j'étais irrationnelle...

Citer
VOUS : Si ça vous dit, vous pouvez jouer Vetis. Ou l'un de ses subalternes.

- Si vous jouez le premier, il faut qu'il soit dominateur, mais pas dans le sens extrême. Lui, il domine par la persuasion. Par le charme. Il est envoûtant, et donne envie de céder. Et ce qui l'obnubile, c'est de faire céder chacune des incarnations de Lathiel jusqu'à ce qu'elle se soumette enfin à lui complètement.
- Si vous jouez un de ses hommes, libre à vous. C'est des méchants, mais ils seront comme vous le désirez. Il faut juste ne pas oublier que Vetis les dominent totalement.

26
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 05 novembre 2013, 15:47:33 »
Wesh !
J'me bouge pour lancer, alors.

15h48

27
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 05 novembre 2013, 15:45:19 »
Je crois que j'ai envie de faire un One Shot avec le début de fiche du perso créé hier...

15h46

28
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 05 novembre 2013, 15:05:32 »
Ah, pardon xD.
*lui offre les clés d'une pelleteuse de pro*

15h06

29
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 05 novembre 2013, 15:02:53 »
*lui tends une pelle*

Fais-toi plaisir. :D

15h03

30
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mardi 05 novembre 2013, 14:52:40 »
C'te flemme que j'ai, de finir la fiche entamée hier soir...

14h53

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