Le Grand Jeu
Plan de Terra => Ville-Etat de Nexus => Place publique => Discussion démarrée par: Ludmilla le dimanche 01 mars 2009, 10:51:21
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Ludmilla parcourut des yeux la liste, soupira en la regardant. Encore des choses chiantes à acheter ... elle n'avait pas vraiment faim, et s'ennuyait à mourir à attendre son tour pour acheter des choses qu'elle n'aimait pas, voir qu'elle détestait. Elle se frotta les mains, regarda autour d'elle. Elle ne connaissait pas cet endroit. NI de vue, ni de nom ... les petites rues l'inquiétaient, les gens la dévisageaient, on la sifflait ... elle fronça les sourcils. Elle était quelque peu perdue ici ... Elle s'arrêta devant un étalage, adressa un sourire au vendeur et fit sa commande.
- Hum ... ça ... Deux kilos ... ah ? Bin non trois alors ... Oui, merci ... Ouah les prix grimp.. Non, rien !
Elle ne se sentait pas en sécurité ici ... elle marcha droit devant elle, ignorant les remarques, ignorant le chemin qu'elle prenait et celui qu'elle prendrait pour revenir ...
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Musashi était venu faire un tour au marché, face au prix et à la basse qualité des aliments qu'on trouve au centre commercial, peut être qu'ici il trouverait des aliments de qualité et à bas prix... mais il était loin du compte: les produits ne semblaient pas toujour en excellent état, l'origine en était plus que douteux et les prix étaient fou notre homme aurait trés bien put acheté un gros rat rotie alors qu'i voulait faire passer ça pour du lapin par exemple où subir un autre arnaque dans le même genre.
Notre homme rencontra également un marchand d'armes, il vendait différentes lames de toute beauté mais encore une fois le produit n'était que beau en apparence... on voyait que le métal était éffrité à la base à sa jointure avec le pommau de l'arme, un coup avec ça et la lame se barre... Miyamoto aurait à son époque exécuté ce sois-disant forgeron de qualité s'il avait essayé de lui vendre de pareille déchets et produits avec autant d'imprefections.
Alors qu'il faisait son tour, il apperçu une demoiselle qui elle aussi semblait faire son marché, la petite n'avait pas peur de trainer seule dans ces rues avec toute cette racaille qui trainait autour, elle se faisait d'ailleur siffler et plusieurs vautours de mauvais augures l'observaient avec quelques sombres desseins... Miyamoto fronça les sourcils en voyant tout ceci et encore plus en voyant un petit groupe de voyous se mettant à suivre la demoiselle... notre homme décida de la suivre de loin au cas où...
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La jeune fille sentit sa gorge se serrer quand elle entendit des pas derriére elle. Elle préféra ne pas y prêter attention - aprés tout, il n'y avait pas tellement de dangers , du moins l'espérait t'elle - et continuer à marcher. Elle n'avait que 15 ans ... et elle savait que ses mains tremblaient.
- Hey mademoiselle ? Tu veux de l'aide ?
Elle accelera encore le pas. Surtout, ne pas prêter attention à eux ...
- Bin réponds !!
Elle voulut accelerer mais sentit une main saisir son poignet. l'espace d'un instant, elle voulut hurler, mais aucun son ne sortit de sa bouche. Elle était mal, trés mal ... Elle attrapa son panier et le balança au visage de la personne, avant de partir en courant, ignorant les insultes et les menaces. " Chuimalchuimalchuimaaaaal ". Elle heurta un caillou, s'ecrasa sur le sol, et sentit un main attraper sa cheville.
- Lâchez moi espéce d'enflure !! hurla t'elle.
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- Lâchez moi espéce d'enflure !!
Entendit Miyamoto de loin alors qu'il continuait de suivre discrétement la jeune femme, il accéléra le pas en entenda cette phrase, il arriva alors dans une petite ruelle mal famé et a l'odeur nauséabonde... il avança un peu plus et vit deux jeunes debout en train d'en observer un troisiéme qui était à genoux penché au-dessus d'une jeune femme celle que notre samouraïe suivait... le jeune l'avait saisit par les cheville et ramené contre lui il tentait décarter ses jambes mais elle se débattait avec force et avec tant d'ardeur qu'il répliqua en la battant violemment... bien qu'il n'était plus mortel et que ce genre de choses ne le regardait plus notre guerrier s'avança d'un pas lent mais serein.
Il marcha dans une flaque d'eau alors qu'il était à peine à quelques métres de la scéne où se passait les évennement l'un des deux jeunes qui était debout entre de se faire plaisir en voyant ça se retourna en direction du bruit qu'avait émit notre protagoniste, il fut alors accueillit d"un violent coup dans les parties et se retrouva projeté contre le mur, le second voulut alors intervenir mais Musashi le saisit par les cheveux et lui fit faire une violente rencontre entre son visage et le mur en brique qui était à sa droite.
Le dernier de cette bande de délinquant se leva alors, il avait la ceinture déboutonné et avait descendu le zip de sa braguette, notre samouraï l'avait interromput alors que celui-ci s'apprêtait à violer la demoiselle qui était resté pétrifié sur le sol et quelque peu ébétté par les coups de son aggresseurs. L'homme sortit alors un couteau et menaça notre guerrier avec celui-ci, Musashi eut un léger sourire en coin quand il vit son opposant chargé il lui laissa même le plaisir de lui enfoncer sa lame dans le bide, du sang se mi alors à couler de notre protagoniste qui avait le couteau planté dans ses cotes sans que celui-ci ne laissa transparaitre la moindre faiblesse ni douleur.
Il se saisit du poignet de son ataquant et le brisa d'un coup sec et tandis que ce dernier se mit à hurler de douleur, Miyamoto délogea la lame qu'il avait encore en lui et vint la planter violemment dans les parties du malheureux qui redoubla d'intensité dans ses cris de douleurs et de supplication avant de sombrer dans l'inconscience tant il avait mal... notre non-vivant observa la plaie sur son corps qui cessa peu à peu de saigner et commençait à cicatriser... une particularité de sa nouvelle vie qu'il avait récemment découvert et à présent il laissait a ses adversaires un coup gratuit: ça l'amusait de voir qu'il ne gardait qu'une légére cicatrice des coups de couteaux ou de griffes...
Mais bref, il redirigea son attention sur la demoiselle dont la poitrine avait été mit à nue par le voyou et qui avait également déchiré sa culotte, il se pencha au-dessus d'elle et l'aida à se relever pour ensuite retirer son manteau roude et long pour l'entourer avec... il lui demana ensuite de sa voix grave et impitoyable:
"Est-ce que ça va aller?"
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Un moment de parfaite innatention, de secousses effroyables, de peur ... comme si elle revivait la scéne qu'elle avait vécue avec Don. Elle était rouée de coups, mais résistait fidélement et méchamment. Il lui avait arraché le haut de sa robe, et elle lui avait collée une gifle. Elle s'était battue a sa façon, en criant, frappant et iinsultant, mais ce jeune homme avait la main lourde et ses coups lui faisaient mal. Et puis a un moment où elle allait tout laisser tomber, dépassée par les événements et tout ce qui s'ensuivait et qu'elle ne pouvait pas suivre, la jeune fille entendit un bruit, et son assaillant aussi. Elle avait les yeux embués de larmes, le coeur battant, et la peur qui lui donnait envie de vomir ... Mais à cet instant précis, elle se savait sauvée.
Un homme, assez grand et fort, était là. Pour l'aider. Elle n'avait pas bien suivie la bataille, ses oreilles bourdonnants a cause des hurlements inhumains. Sa tête lui tournait. Elle se savait certes sauvée, mais aussi mise à nue quasiment. Elle voulu se relever et passa sa main sur son front. Elle saignait méchamment ...
" Est ce que ça va aller ? "
Elle regarda l'homme. Sa main. L'homme. Sa main. L'homme.
" Je ... Je ne crois ... pas "
Elle s'écroula sur le sol.
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" Je ... Je ne crois ... pas "
Elle s'écroula mais il la rattrappa juste avant que sa tête ne percute le sol ce qui aurait put faire de sacré dégats supplémentaires à cette pauvre petite, il était à présent debout avec une jeune fille enroulé dans son manteau et qu'il portait sans aucun soucis dans ses bras... que pouvait-il bien en faire? Il ne pouvait se rendre dans des endroits publiques tel que les hopitaux ou bien un commissariat, lui qui n'avait pas de papiers d'identité et qui aurait certainement des ennuis avec ce qu'il avait fait subir à ces trois jeunes bien qu'ils avaient tenté de violer la jeune femme aprs tout ce serait sa parole contre la leur.
Il ne lui resta alors plus qu'une solution... plus tard la jeune demoiselle se réveilla dans un lit enveloppé dans de couce et épaisse couverture en peau d'animal, il y avait face à elle une cheminé avec un feu qui crépitait et envellopait la piéce d'une douce chaleur ennivrante, et devant ce feu se trouvait un fauteuil sur lequel quelqu'un était assit, elle ne pouvait pas voir qui c'était... Musashi était cet homme, il buvait une boisson sucré, un diabolo grenadine qui était une boisson qu'il avait découvert depuis peu mais dont il était totalement dingue, il lisait également une oeuvre philosophique dont il se servait d'exemple pour ses cours.
La piéce était vaste mais sombre, éclairé seulement par le feut de la cheminé, la jeune femme et Miyamoto était dans la chambre de celui-ci, elle reposait dans un list caste et confortable qui lui réchauffait certainement le coeur aprés ce qu'elle avait subit tandis que la piéce était lugubre. L'inconnue n'avait pas été déshabillé mais posé dans ce lit tel que Musashi l'avait découvert dans cette ruelle bien qu'il avait retiré ses soulliers, mais rien de plus... il attendait paisiblement qu'il se réveille pour savoir quoi faire d'elle, pu=our qu'elle lui dise si elle voulait qu'il la dépose chez elle, ou dans un hospital ou il ne savait trop quoi d'autres... en tout cas étant dos à elle il ne la verrait pas se réveiller...
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Un baillement ... la jeune fille ouvrit les yeux. Puis fut prise d'un tremblement. Où était-elle ? Que ... Elle n'osait pas remuer dans ce lit, tentant de se remémorer les événements de la veille. Elle s'en souvint rapidement, tandis qu'elle rougissait en se mordant la lèvre inférieure. Elle se souvenait avec difficulté. Mais elle ne savait toujours pas où elle était. Elle se tourna doucement sur le côté, et manqua de pousser un cri. Qui ... Ah oui ! Elle passa sa main sur son front, doucement, et fixa son dos. Un homme, grand, qui s'était battu pour l'aider. Elle était tombée dans les pommes ... Elle passa sa main sur son front. Plus aucune goutte de sang. Elle poussa un long soupir de soulagement.
" Bon ... je fais quoi maintenant? songea t'elle, la gorge séche "
Elle se releva doucement, la couverture ramenée contre elle.
- Mon ... monsieur ? Je ... soif ... s'il vous plait ...
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- Mon ... monsieur ? Je ... soif ... s'il vous plait ...
Musashi déposa son verre ainsi que son livre pour ensuite se lever et rejoindre la jeune femme qui était resté blottit dans la couverture, il s'approcha d'elle pour observer la blessure sur son front, elle en garderait une vilaine trace mais au moins elle ne saignait plus, c'était déjà ça de prit, il recula alors l'observant de ses yeux vides et sans aucune compassion.
Non pas qu'ils se moquait de son sort ou de ce qu'elle venait de lui dire mais il avait, depuis sa réincarnation dans ce corps, un regard peu expressif qui pouvait faire penser à un zombie bien qu'il ne l'était pas! Quoi qu'il correspondait un peu à la définition du mort vivant étant mort alors qu'il était en vie... il était ni l'un ni l'autre mais les deux à la fois! J'expliquerais ce détails une autre fois pour vous éviter le mal de crane...
Bref, il était la devant une adolescente dont il aurait put être le pére voir même plutot le grand pére ou l'arriére arriére arriére arriére... grand pére. Elle lui demandait à boire, pourquoi pas cela lui ferait le plus grand bien et il avait déjà prévu cette éventualité si elle se réveillait, il y avait une grande cruche d'eau du une petite table a proximité avec un verre vide qu'il remplit avec l'eau fraiche de la cruche puis il lui tendis le verre d'un geste amical.
"Tenez."
Notre homme ne portait pas le manteau rouge qu'il quittait rarement, celui-ci était posait sur une chaise dans un coin de la piéce, Musashi portait alors un tee-shirt sans manche noir ainsi qu'un pantalon tout aussi sombre et en cuir tané de taureau... il l'avait réalisé lui même dans un art traditionnel de son temps et qu'une qualité fabuleuse, un pantalon a l'apparence soble mais d'un grande élégance et doux au toucher.
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Ludmilla attrapa le verre silencieusement. Cet homme l'intriguait. Il avait un regard froid, vide ... elle voulait essayer de détailler ces yeux, mais ... elle serait passée pour une folle, une tarée, si elle n'avait pas cesser de la fixer pour essayer de determiner son regard. Vraiment, il était du genre étrange. Comme s'il ne ressentait rien du tout. Comme s'il était mort. Elle vida le verre d'un seul coup, essayant de ne plus penser à ça. " Difficile ... " Chaque fois qu'elle levait les yeux, elle tombait sur les siens, et assitôt rebaissait la tête. " Il n'y a rien dans ses yeux ... "
- Mer ... erci ... Monsieur ... balbutia t'elle en voulant reposer le verre par terre.
Mais le choc du coup de poing qu'elle s'était prise l'etourdissait encore. Elle retomba en arriére sur le lit, avec une respiration saccadée. Ce souvenir était encore trop dur ... trop difficile à surmonter ...
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- Mer ... erci ... Monsieur ...
Il l'observait sans dire un mot, ses méches dissimulaient un peu son visage et lui donnait un côté ténébreux et encore plus mystérieux qu'il ne l'était déjà ainsi vêtu... la demoiselle semblait encore épuisé par ce qu'elle avait subit au point qu'elle se laissa retombé en arriére sur le lit avec le souffle haletant, notre homme ne savait trop quoi faire il était professeur de philosophie et pas psy ou infirmiére même si il avait quelques notions dans les deux matiéres mais pas suffisalement pour savoir quoi faire en cet instant, elle souffrait et seul le temps pouvait vraiment y changer quelque chose... aussi lui dit-il:
"Vous pouvez rester tant que vous le voulez, quand vous vous sentirez apte je vous raccompagnerais chez vous... si vous avez besoin de quelques chose n'hésitez pas..."
Puis il la laissa là sur le lit, il retourna prés de son fauteuil pour recupérer son verre mais laissa le livre à la page qu'il était en train de lire, il salua la jeune femme et sortit de la piéce se rendant dans une autre partit de ce petit manoir, vi Musashi avait récupérer cette maison en périphérie de la ville apparemment elle avait appartenu à ses descendants et il peut la récupérer pour une bouché de pain... un maison avec de trés nombreuses piéces et beaucoup d'espace: il y avait 5 ou 6 chambres, deux salle de bains, une cuisine immense, un salon, une salle à manger, un séjour et d'autres piéces annexes et indispensable...
Il se rendit pour sa part à la cuisine qui se trouvait au rez de chaussé, il descendit les marches d'un pas lent puis traversa le hall d'entrée, la salle à manger et arriva enfin dans les cuisines, il y déposa son verre vide et se mit à se préparer un petit casse croute il décida donc de se découper un morceau de boeuf séché qu'il alla ensuite manger dans le salon tout en regardant dans le vague attendant toujour ses fameuses réponses qui ne viendrait sans doute jamais.
Il y avait, tout comme dans la chambre, trés peu de lumiéres, les teintes étaient sombre et il y avait de la moquette pleine de poussiére un peu partout, cela faisait penser à une vieille maison abandonné bien qu'elle était habitait tout de même par une âme errant sur le monde d'aujourd'hui... il n'y avait aucune couleur chaleureuse mais de nombreux portrait et objets de collections anciens un peu partout... dans le salon qui avait également une cheminé il y avait un magnifique portrait de Musashi Miyamoto au-dessus de la cheminé, c'était un portrait de sa premiére vie où il ne ressemblait pas vraiment au corps qu'il avait en ce jour... son nom était gravé sur le cadre de la peinture mais une fine couche de poussiére rendait le nom de "Musashi Miyamoto illisible...
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Qu'il était froid ... Elle eut un tremblement qui lui parcourut l'echine. La peur, la hantise ... Elle se redressa doucement, se plaçant sur le lit en tailleur, calmement. Elle ne savait pas tellement où elle était, avec un homme relativement plus vieux qu'elle. Il était agréable a regarder, et semblait quelque peu cultivé, et bien élevé. Elle replia la couette sur ses épaules, regardant sa robe déchirée. " Fichue ... " C'était sa rbe préférée ... C'était étrange comme il était mystérieux. Comme un de ces chanteurs qui fait le fantasme des jeunes femmes. " Non ... pas comme ça , se corrigea t'elle. Plutôt comme un homme que l'on croise et auquel on pense toute la soirée "
Elle descendit du lit sur la pointe des pieds, attrapa le manteau du garçon, aprés tout elle ne pouvait pas de balader avec une robe déchiquetée dans toute la maison, et poussa la porte. Où était-il passé ? Elle décida de se repérer au bruit. Elle descendit les escaliers, jetant un oeil curieux. IL était là ... Elle donna un coup dans une toile d'araignée, et resta assise sur les marches, elle le regarda. Puis décida d'entamer la conversation. Avec ce visage innocent, comme une enfant, et cette voix fine et fragile ...
- Dites moi ... C'est pour séduire, ou parce que vous êtes comme cela habituellement, que vous êtes si froid ? Vous faites presque peur.
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- Dites moi ... C'est pour séduire, ou parce que vous êtes comme cela habituellement, que vous êtes si froid ? Vous faites presque peur.
Musashi se retourna en direction de la demoiselle comme surprit par sa présence lui qui était en pleine réflexion puis constatant qu'elle là assise sur les marches avec son manteau sur le dos il se réinstalla confortablement dans son fauteuille observant le vide droit devant lui et laissant place à un silence de mort, il faisait penser un peu à ces vieux sages qui réfléchissent avant de sortir nimporte quoi et qui prenne le temps de jauger chacune des paroles qu'ils s'apprêtent à prononcer puis finallement il dit:
"On ma déjà dit que je faisais peur... certains avait raison de ressentir cela, mais d'autres, comme vous, n'ont aucune raidon de me craindre. Si je suis si froid c'est parce que c'est dans ma nature..."
Il détourna légérement le regard dans la direction de la demoiselle, son regard rouge vif réflêtant en plus de cela les flammes du feu de cheminés et donnant à ses yeux un effet hypnotiques mais aussi effrayant... il détourna à nouveau le regard pour regarder droit devant lui, il ne cherchait pas à lui faire peur mais il était comme ça: solitaire et froid et c'était encore pire depuis quelques temps, cette demeurre semblait le rendre encore plus terne et pâle qu'à son habitude alors que lui si sentait bien au contraire.
Un nouveau silence s'installa mais celui-ci fut de courte durée, notre homme désirant profiter de la présence de la demoiselle et ayant une nature curieuse se décida à poser une ou deux question à celle-ci, aussi il ouvrit la bouche et dit lentement de sa voix grave et entrainante à l'attention de son invitée:
"Vous devriez faire plus attention, les rues ne sont jamais trés sûre... que faisiez vous toute seule dans ce quartier mal famé? N'avez vous pas peur d'être aggressé?"
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Ludmilla referma le manteau , le resserant. Hum ... la réponse était assez satisfaisante, mais il n'était pas d'une nature bavarde, cela se voyait nettement. Elle recoiffa ses cheveux en passant ses doigts dedans, ne réagissant pas tout de suite à la question qu'il venait de poser. " On dirait un vampire ... " Elle se reinstalla plus aisement sur la marche, le regardant à peine, prise de peur à cause de ses yeux.
- Hum ... Je ne connais pas bien ce lieu. Je le connais même trés peu. Pas du tout. Je sais que les rues sont mal famées, ma vie me l'a bien fait comprendre. Disons que mon apprentissage à débuté dans le lit d'un de ce genre de gars, et que je n'en suis pas sortie indemne . Alors evidemment, je me disais que plus rien ne pouvait m'arrivait, aprés ce viol qui m'a nettement tuée de l'interieur. Je n'avais pas peur. Mais aprés ce rendez vous surprise, j'avoue qu'il me faudra être plus méfiante à l'avenir.
Elle eut une moue gênée, un instant. Déballer ses souvenirs, ce marchand d'esclave et tout ce tralala dont elle n'était pas fiére ... ça ne lui plaisait guére.
- Mais ... pourquoi êtes vous si froid ? pourquoi est-ce votre nature ? J'ai vécue des choses que je n'aurais pas dû vivre et pourtant ... je ne suis pas si froide ... les gens froids m'ont toujours intrigués ...
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- Hum ... Je ne connais pas bien ce lieu. Je le connais même trés peu. Pas du tout. Je sais que les rues sont mal famées, ma vie me l'a bien fait comprendre. Disons que mon apprentissage à débuté dans le lit d'un de ce genre de gars, et que je n'en suis pas sortie indemne . Alors evidemment, je me disais que plus rien ne pouvait m'arrivait, aprés ce viol qui m'a nettement tuée de l'interieur. Je n'avais pas peur. Mais aprés ce rendez vous surprise, j'avoue qu'il me faudra être plus méfiante à l'avenir.
C'est donc cela... il comprenait mieux à présent, pourtant s'étant déjà avaoir une premiére fois elle aurait dut par la suite retenir la leçon peut être était-elle un peu naïve dans le fond pour risque sa jolie peau une seconde fois, en tout les cas celui qui l'avait violé n'était qu'un vile salopard, Musashi ne comprenait pas comment on pouvait faire cela à une femme! Il fallait réellement avoir l'esprit tordu et être un véritable malade mental, pour Miyamoto c'est le genre d'hommes qui méritent de se faire castrer et qu'on les laisse pourir sous le soleil ardent dans un désert étouffant mais il ne pouvait s'occupait de tout les violeurs de la terre ceux qu'ils croisaient ça faisait déjà pas mal et puis il y en avait temps des hommes infâmes...
- Mais ... pourquoi êtes vous si froid ? pourquoi est-ce votre nature ? J'ai vécue des choses que je n'aurais pas dû vivre et pourtant ... je ne suis pas si froide ... les gens froids m'ont toujours intrigués ...
"Hum...?"
Miyamoto resta silencieux une nouvelle fois, que pourvait-il répondre? il ne pouvait pas lui dire qu'il était mort il y a plus de 4 séiacles et que la personne qui était avec elle n'était autre qu'un vieux samouraï réincarné pour une raison qui lui était inconnue, dans un but tout aussi inconnu et qu'en plus de cela il bénéficiait de donc particuliers comme la télékinésie ou bien la régénération cellulaire ou encore l'immortalité. Mais il ne voulait pas lui mentir non plus, c'était un homme juste qui n'avait pour habitude de mentir et qui n'aimait d'ailleurs que la franchise poussait à l'absolu, ou du moins tant qu'elle ne pouvait causer de dégats. Aussi finit-il par dire:
"C'est... quelque peu compliqué mais regarder cette demeurre tout d'abords... un homme vivant seule dans une maison comme celle-ci ne peut^que ressentir un vide en lui... sachez simplement qu'ici est peut être le seul endroit où vous ne craindrez jamais rien... je ne peux vous dire mieux que cela."
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Ludmilla eut un petit regard ( Genre le chat dans Schrek :D ) pour l'homme. Elle se triturait la peau des doigts depuis tout à l'heure, en l'ecoutant, en le regardant réfléchir. Elle ne savait pas trop quoi dire en cet instant précis ... Elle se contenta de se rapprocher de lui et de s'asseoir en tailleur à coté de son fauteuil, en manquant de glisser à cause de la longueur du manteau.
- Je ne vous envie pas, je ... vous ne devez pas avoir une vie facile, hein ? Enfin, je ne sais pas trop quoi dire ... Je suppose que les gens mystérieux ne doivent pas tout dire, pour ainsi rester mystérieux. Comme les magiciens qui ne doivent pas dévoiler leurs secrets.
Elle eut un petit sourire attendrissant envers lui, et ne put s'empêcher de passer sa main ( a elle )sur sa joue ( a lui ). Et quand elle s'en rendit compte, elle recupera in extremis sa main.
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Elle était charmante, Musashi évita de la regarder lorsqu'elle joua au chat potté de shreck car c'est le genre de regard devant lequel il craque facilement, surtout s'il vient d'une demoiselle aussi jolie et pleine de vie qu'elle... à ses paroles il lui souria également amicalement mais durant à peine quelques secondes n'étant pas habitué à faire des témoignage d'émotion de façon volontaire mais quand elle déposa sa main chaude sur sa peau froide il eut un frisson qui lui parcoura tout le corps et en resta quelque peu bouche bée, il en rougit même et resta silencieux...
C'était le genre de marque affectif qui le faisait complétement chavirer et fasse à quoi il se sentait totalement désemparé ne sachant plus quoi dire ni quoi faire mais il se resaisit il ne pouvait laissait transparaitre cette bréve amotion d'envie qu'il ressentait à présent pour elle alors qu'elle était aussi jeune et venait de subir une épreuve douloureuse, non pas qu'il été dégouté par les filles s'étant fait violé mais il ne cherchait pas à les charmer de peur de réveiller une profonde blessure... mais il ne pouvait laisser ce silence s'éterniser en voyant que le gest qu'elle avait fait la mettait également mal à l'aise, aussi dit-il:
"J'oubliais presque, quel manque de courtoisie je fais preuve... je me nomme Musashi Miyamoto et vous?"
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Ludmilla se mordit la lèvre inférieure, n'osant plus le regarder. L'entendre parler à nouveau lui fit pousser un soupir de soulagement. Elle avait l'impression de faire des bêtises, de dire des bêtises ...
- Je m'appelle Ludmilla. Je suis une ex- esclave :)
Eh oui, destin ... on l'avait rachetée, vendue, et maintenant elle était dans une bonne pension où elle apprenait les bonnes maniéres pour devenir une bonne actrice. Un vrai bonheur, tout tournait en sa faveur, le bonheur revenait, mais là, elle avait l'impression de ... Elle tritura la manche du manteau, toussant une ou deux fois, pour briser le léger silence, et tourna la tête pour le regarder.
- Monsieur ... n'allez pas croire que je suis fragile parce que je me suis fait violer. Ne me regardez pas comme une pauvre petite victime, je déteste ça. Je suis une femme - hum hum - une jeune femme. Pas une pauvre fille traumatisée. Ce genre d'événements est à oublier. C'est tout.
Elle avait pris un ton calme, posé, mature. Et elle disait ce qu'elle avait sur le coeur.
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"Hum...?"
Musashi était plutot embetté, a vrai dire il ne la regardait pas comme ça ni évitait de la regarder a cause de ce qu'elle avait subit, il ne pouvait exprimer suffisament d'émotions pour pouvoir s'appitoyer sur le sort de la jeune femme bien qu'il était intérieurement navré pour elle, non il était embetté car il commençait à éprouver du désire pour elle et il s'y refusait d'un car effectivement elle avait éprouvé une chose troublante mais aussi car elle était tout de même trés jeune et lui était si vieux... comment pouvait-il lui expliquer sans l'effrayer ni la blessé...?
Il réfléchit un instant mais ne savait pas quoi lui dire et se contentait de rougir légérement lorsque leur regard se croisait, mais une nouvelle fois il ne pouvait rester sans réponse, il se devait de lui donner une explication tout d'abord pour la forme et ensuite car si il restait à ne rien dire elle finirait pa r s'en aller alors qu'il appréciait de plus en plus sa présence en ce lieu avec lui... aussi finit-il par dire cela:
"Enchanté Ludmilla... écoutez je ne vous prends pas en pitié... je suis embarassé car... vous me plaisez a vrai dire... alors que je pourrais être votre pére et même plus et ceci m'embarasse.. j'en suis désolé."
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Elle eut un petit sourire. Son pére ? Il aurait pu être son grand frère tout au plus !! Mais pas son père ... Elle était quand même ravie de voir qu'elle plaisait à un homme. Il l'avait vu peu vêtue, angoissée, endormie, et là, en cet instant, elle lui plaisait. Elle se rapprocha de lui, posant sa tête sur ses genoux ( elle est assise au sol ).
- Et bien moi, vous m'intriguez, m'attirez. Tout ce qui est intriguant est attirant.
Elle essayait cette fois de capter son regard. Elle se releva, s'appuyant sur ses genoux, afin d'être à sa hauteur de son visage, et fixa ses yeux pour ne plus les lâcher. Il avait des yeux vraiments ... comme des joyaux, des merveilles, des cadeaux ... Elle s'approcha un peu plus, comme si elle voulait s'y noyer, appuyant ses mains sur les jambes du jeune homme, et descendit ses yeux, déposant un baiser sur ses lèvres.
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- Et bien moi, vous m'intriguez, m'attirez. Tout ce qui est intriguant est attirant.
Il rougit une fois de plus à cette remarque il ne savait plus ou se mettre et frissonnait de plus en plus, elle déposa sa tête sur genoux et fit monter en lui une vague d'excitation, puis elle elle prit appuit sur ses genoux pour se mettre à sa hauteur et se plonger dans son regard un peu comme un petit chat et cela le faisait fondre, il était hypnotisé par le regard de la fillette et elle semblait l'être par le sien, elle s'approchait de plus en plus alors que Musashi s'enfonçait dans son fauteuil jusqu'à ne plus pouvoir reculer et là elle l'embrassa tendrement...
Miyamoto se laissa embrasser tout d'abord puis répondit en l'embrassant a son tour, avec hésitation tout d'abords et lenteur puis avec un peu plus de conviction, ses mains qui s'étaient scotché à son fauteuil dessérérent leur étreinte et vinrent petit à petit sur le corps de la demoiselle et il frissonna en sentant sa peau douce et en la sentant elle, il adorait son odeur sucré... il se mit alors à la caresser tout en douceur commençant par ses cuisses puis remonta le long de ses hanches... il cessa de l'embrasser et lui dit alors:
"Ne joue pas avec moi si c'est le cas... car là tu me fais terriblement envie... je ... je te veux..."
Lui dit-il avec plein de géne et d'hésitation... s'il elle le désirait aussi alors elle ferait le premier acte l'y autorisant car lui était comme figé sur place il ne pourrait aller plus loin de son propre chef...
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Ludmilla ne put s'empêcher de penser qu'elle avait tout autant peur que lui. A partir de l'instant où elle l'avait embrassée, il aurait pu la rejetter, la mettre dehors, ou dieu sait quoi d'autre. mais son... il semblait aussi perdue qu'elle, tremblant, frissonnant ... Elle même essayait de cacher toute cette peur, cette angoisse sortit d'on ne sait où. Par ce qu'elle le voulait.
- C'est pareil pour ... moi ...
Elle l'embrassa a nouveau, glissant sa mains sous son tee-shirt noir pour la laisser se balader sur son buste, tandis que son autre main venait se poser contre sa nuque, la caressant doucement. Elle ne lâchait plus ses lèvres, y déposant des baisers chaque fois plus intenses les un que les autres, se rapprochant dangereusement de lui.
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- C'est pareil pour ... moi ...
Il rougit en entendant cela mais se sentit quelque peu rassuré par ses paroles, ses mains firent alors glisser son manteau qu'elle portait toujour comme une grand couverture puis il glissa ses mains à nouveau mais sous ses vêtement cette fois-ci, caressant ses hanches à même sa peau, sa main droit préféra venir caresser la nuque de Ludmilla mais sa gauche resta sur sa hanche et remonta même jusqu'à la naissance de ses seins... et sans quitter ses lévres qu'il dévorait de par ses baisers tendre il se mit à caresser son sein droit tout en douceur et sans la brusquer...
Voyant qu'elle aimait ça et qu'elle continuait de l'embrasser, il décida de la soulever légérement pour la mettre à califourçon sur lui qu'il puisse la sentir contre lui, elle avait ses jambes de part et d'autres du bassins de son amant, et sont entre jambe était appuyé sur le membre durcissant de Miyamoto qui se laissait aller par le plaisir soudain que lui procurait cette adorable adolescente.
Notre professeur avait replacé ses mains sur le corps de sa chére et tendre et reprit ses caresses sans cesses de l'embrasser... il la désirait plus que tout en cet instant et sentir son corps si chaud et doux contre le sien qui était si froid lui donnait des frissons agréables, il continuait de mêler sa langue à la sienne de façon sensuel et maintenant érotique mais toujour avec beaucoup d'amour et d'envie mais surtout avec du respect: il ne la forçait pas ni ne la brusquait.
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Aucune inquiétude à avoir. La jeune adolescente se sentait en parfaite sécurité. Ainsi collée a son amant, elle ne laissait partir aucune goutte de cet instant. Ses lévres collées à celles du jeune homme, tout contre lui, elle laissant desormais ses mains vagabonder sur le buste et le bas ventre du jeune homme, lui rendant en soupirant sensuellement chacunes de ses caresses, chacun de ses baisers, et chaque moment, chaque instant passé avec lui faisait monter en elle un désir enflammé.
Elle fit un mouvement d'épaule pour laisser tomber sa robe, dévoilant sans timidité apparente sa poitrine nue. Au fond d'elle , elle stressait, avait une peur de décevoir cet homme, mais elle se voulait plus franche dans chacun de ses mouvements, une des ses mains allant même se glisser pour ouvrir son pantalon délicatement, toujours en l'embrassant.
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Elle dévoilà sa poitrine, son coeur ne fit qu'n bond dans sa poitrine en la voyant ainsi dévétit alors qu'elle recommançait à l'embrasser avec passion ne lui laissant aucun répis pour son plus grand plaisir elle commença même à descendre les caresses qu'elle prodiguait sur son buste à la faire de son membre commençant par déboutonner son pantalon, il la désirait de plus en plus son corps s'enflammant comme un feu vivace, il cessa de l'embrasse pour ensuite retirer son tee-shirt, une fois son torse a nue il alla loger sa tête contre la poitrine de Ludmilla, embrassant ses seins et les léchant tout en douceur il mordillait également parfois ses tétons avec une extrême tendresse...
Il les suçota un moment puis colla son torse contre le sien pour revenir à ses lévres l'embrasser, mêler sa langue à la sienne échanger sa salive avec cette créature splendide... il la voulait, il caressait le dos nue de l'adolescente ainsi que ses fesses sans aucune vulgarité et encore une fois sans la précipité mais en essayant de lui faire autant de plaisir que faire ce peut; il caressait tout son corps l'embrassait avec de plus en plus de pasion tandis que son torse se frottait contre ses seins fermes et doux... il murmura a l'oreille de sa douce Ludmilla:
"Tu me fais chavirer...je te veux mon adoré..."
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:o Comment pouvait-elle faire autant d'effet ? Chaque matin, son reflet ne lui montrait qu'une gosse normale, que personne ne voulait, et maintenant elle était dans un fauteuil avec un homme, qui la caressait et l'embrassait avec désir ... Jamais elle n'aurait cru ça ... Les événements la prenaient, mais ils étaient agréables. Elle n'en voulait que plus, elle ne voulait que lui ... Ce qu'il lui chuchota la fit sourire. Ses caresses, sa tendresses et ses baisers lui procurait un bien fou, elle avait des gémissements éfouffés, ne voulant pas en faire trop ... Chaque baisers était rendu avec plus d'ardeur, ses petites mains fines volaient sur le corps de l'homme ... L'extase.
- Je ne veux pas quitter ce fauteuil ... dit elle en souriant, avec une voix quelque peu émue.
Elle ne voulait pas partir, elle voulait rester, contre lui, avec lui ... Sa main calîne acheva d'ouvrir son pantalon, et vint se glisser timidement pour caresser son membre durci, tandis qu'elle l'embrassait toujours autant, collée à lui.
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Il eut une bouffé de chaleur lorsqu'elle se saisit de son membre et il ne put s'empêcher de l'embrasser avec encore plus de passion, d'envie et de tendresse qu'il ne l'avait fait jusqu'ici... elle l'excitait au plus au point et en prenant entre ses mains son membres pour commencer à le caresser ils avaient passer le point de non retour, du moins pour notre samurai qui dés lors ne pourrait plus se défaire de son envie pour elle... il vint lui susurer à l'oreille entre deux baisers:
"Moi c'est toi que je ne veux pas quitter..."
Il l'embrassa evc passion, il pensait sincérement ce qu'il venait de dire, il voulait rester ici à jamais dans ses bras et ne jamais cesser de lui faire l'amour, de l'embrasser de la serrer dans ses bras de lui faire plaisir... il voulait sa compagnie plus que tout en cet instant et faire durer le moment aussi longtemps que possible... et alors qu'elle le masturbait, lui glissa ses mains sur ses fesses qu'il caressa avec passion, l'une de ses main vint met jusqu'à son entre jambe titiller juste légérement son intimité du bout des doigts...
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Elle se trouvait au même stade que lui : elle avait envie de lui, maintenant, tout de suite ... Il jouait avec son intimité, faisant monter en elle l'envie, le désir, accentuant les baisers. Elle logea sa tête dans son cou, y déposant des doux baisers, mordillant légérement avec envie. Elle ne voulait plus que lui. Juste lui ... Elle voulait rester ici, ne pas songer à la fin de ce moment ...
- Je veux que ça dure une éternité ...
Elle se rapprocha encore de lui, collant son entrejambe encore plus proche de la sienne.
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Il fit glisser les derniérs vêtements de Lumilla la mettant alors complétement nue sur lui il se mmit ensuite à embrasser sn cou ses lévres puis ses seins, changeant assez souvent pour qu'elle est l'impression d'être recouvert de baisers et aussi pour titiller tout ses sens en embrassant, lêchant, et mordant en douceur toutes les zones qui étaient à porté de sa bouche pour lui donner un maximum de plaisir et de sensations.
Quand à ses mains, l'un s'occupait de caresser son dos en descendant jusqu'à ses fesses, tandis que la seconde restait sur la croupe de Ludmilla, titillant son entre-jambe en douceur mais sans cesser d'insister et d'accentuer de plus en plue les caresses qu'ils faisaient sur son clitoris. Il avait envie d'elle, de sentir son membre sous ses soins, de l'entendre gémir sous les siens, et enfin de se sentir en elle sous les soupirs de plaisirs des deux protagonistes jusqu'à la jouissance...
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Un moment de bonheur qu'elle voulait prolonger longtemps ... sa bouche glissant le long du cou de Mushahi, , serrait ses cheveux, avec violence et douceur, sous les effets des caresses du jeune homme qui la faisait gémir doucement. Sa main passait sur son membre avec encore plus d'avidité, d'envie, la jeune fille ne voulant que lui, uniquement lui, seulement lui ...
- Mmmh ...
Un gémissement plus haut que les autres quand elle sentit son clitoris décharger en elle des ondes de plaisir. Elle s'accrochait à lui de toutes ses forces, sans lâcher prise, laissant sa bouche descendre tout doucement le long de son buste pour arriver à déposer quelques baisers au niveau de son bas ventre, sans aller plus loin. Sa bouche remontait, descendait chaque fois déposer des baisers plus bas.
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Il avait l'impression qu'elle était comme un petit chat jouant avec son corps en se ballant de son buste et si prés de son membre ét déposant des baisers de plus en plus bas mais remontant finallement, une délicieuse frustration qu'elle lui faisait subir et ce jeu là il lui rendait bien en caressant son intimité de plus en plus fort faisant parfois croire qu'il allait insérer un doigt en elle pour finallement ne pas le faire et retourner la titiller et aiguiser ses sens... il sentait la chaleur montait dans son corps tout comme il sentait l'excitation qui s'emparait de sa compagne aux formes si parfaite.
"Tu es si belle... je t'aime..."
Il continuait de la caresser à la limite de la pénétrer avec ses doigts mais il ne pouvait plus l'embrasser vu que la belle embrassait son torse et qu'à moins de se casser le dos il n'était pas assez souple pour pouvoir l'atteindre avec ses lévres, il continua cependant de la caresser, une main restant sur son intimité mes l'autres venant caresser la tête de sa partennaire avec un grand plaisir montant sans cesse...
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( Tu réponds juste quand j'apprends une mauvaise nouvelle ... Merci ;D )
" Je t'aime " ... Ces deux mots enflammérent tout son être, même si elle se doutait que c'était sous le coup du moment. Enfin, elle était bien, dans ses bras, sous ses caresses, contre lui, sa bouche virevoltant doucement, avec des baisers papillons, sur le membre de Musashi. Le fait de sentir sa main sur son dos, et son autre main qui la titillait gentiment lui faisait un bien fou, un réel plaisir. Chaque instant était mieux que l'autre, chaque baiser sur son membre se faisait plus fort, sans vulgarité. Elle remonta le regarder dans les yeux, lui souriant, l'embrassant encore une fois.
- Je ne veux plus te quitter ... je sais que je veux beaucoup de choses mais ... j'en suis sûre ... je ne veux que toi ... prononça t'elle d'une voix bégayante, émue, prise par cet instant de plaisir.
Elle reposa sa bouche sur son cou, se collant encore à lui, ses mains caressant sa taille et son torse. " Câliiiiin (L) *
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(Arf dsl pour toi... si tu veux en parler je suis là :) )
"Moi aussi je ne désire que cela... restait avec toi... et je suis sincére je commence a t'aimer, tu sais je ne suis pas mauvais et si je m'offre a une femme ce n'est pas que sous une envie sexuel..."
Il vint à ses lévres l'embrasser de façon torride mais aussi avec beaucoup beaucoup d'amour, ses caresses redoublérent d'intensité et de vigueur, il la prit également dans ses bras la serrant fort contre lui sans lui faire de mal dans son étreinte mais en lui faisant sentir qu'il était là avec elle et pour elle et que si elle le désirait rien n'y changerait... ormis la mort, car bien qu'immortel elle ne l'était pas et il savait que tôt ou tard tout devrait se terminer mais il ne voulait pas y songer pour le moment, seul comptait cette instant féérique en sa compagnie...
Il la serrait contre lui son membre en contact avec l'entre jambe de Ludmilla, il sentait tellement de chaleur et un bien fou, il n'avait que trop rarement ressentit autant de plaisir et de bien être... une véritable bouffé d'air pure que cette petite entre ses bras... il n'en voulait pas d'autres ni n'en désirait d'autres, il la voulait elle, juste elle.
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( Oh joli p'tit coup de blues ... je reviens du cimetiére et revoir la tombe de ma tite soeur, ça me chamboule ... )
Et que pouvait-elle répondre ? Elle ne voulait que rester dans ses bras, dans ces bras ... Contre lui, sentir sa respiration saccadée en harmonie avec la sienne, sentir ses baisers, sa peau, ses cheveux ... Elle revivait. Elle se sentait capable de tout, comme remontée, elle aurait ou vaincre, tuer, en cet instant précis, tellement elle se sentait bien. Avec lui. Elle sentait à l'entrée de son intimité le membre de l'homme, et pour une fois, n'ent ressentait aucune peur. Elle savait que quoi qu'il arrive, elle resterait contre lui, elle ne le lâcherait pas. Il n'y avait plus d'âge, plus rien pour les séparer en cet instant. Elle plongea son regard dans le sien, l'embrassant plus fort encore, pour lui dire " Moi aussi ... je ne veux que toi ". Sa main alla se perdre dans ses cheveux et sa nuque, l'autre prenant dans sa petite main fraîche une de celles de Musashi, et jouant avec doucement ...
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(vraiment désolé... :/ je suis con désolé vraiment.)
Il se blotit contre elle, il aimait la chaleur de son corps, ainsi que leur proximité, il l'aimait sincérement et il pensait qu'elle aussi, il ne cherchait pas à l'exciter mais maintenant à lui faire sentir qu'elle était le bienvenue ici qu'elle n'avait absolument rien à craindre et qu'elle pouvait se fier à lui, il l'enserrait de ses bras fort et muscler tandis que son membre gonfler par l'excitation restait là contre l'entre jambe de sa chére et tendre sans essayer de la pénétrer sans la forcer rien juste lui montrer qu'il l'aimait et qu'il désirait l'avoir dans ses bras autant que faire ce peut.
Il l'embrassait avec passion, se logeant dans son cou pour y déposer de tendre baiser fiévreux et la mordiller légérement avec amour et tendresse sans cesser de caresser son dos avec plein d'amour et d'ivresse pour elle. Elle avait la peau si douce et sentait si bon, il adorait cette présence en un lieu noù il s'y était toujour sentit si seul et si éloigné de tout, là il avait un lien avec une personne une unique personne certes mais cela lui suffisait emplement, il n'avait pas besoin de plus, pas besoin de quelqu'un de plus, juste elle, seulement elle...
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( pas de problémes ;) )
Juste lui, seulement lui ... Ludmilla restait blottit contre lui, tendrement, doucement, les yeux clos mais sans dormir, à le sentir contre elle. Elle était sur un nuage, un gros nuage. Tout contre lui, contre sa peau, sans aucun problémes et aucune pudeur. Avec lui, tout simplement. Comme si le temps s'était arrêté. Comme si il n'y avait que du vide autour d'eux. Elle approcha sa bouche de son oreille.
- Je n'ai pas peur, avec toi. Je te fais confiance.
L'envie et l'amour. Un joli couple ... Elle avait envie de lui, il était devenu une drogue en l'espace de quelques instant. plus rien de comptait, plus rien. Elle dépendait de lui. Elle l'embrassa, une invitation à continuer, elle n'avait pas peur. Elle continua de jouer avec sa main, la serrant, la caressant ...
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Il aimait qu'elle joue ainsi avec sa main sa faisait jeune couple, c'était vraiment charmant et attendrissant, lorsqu'elle l'embrassa il comprit qu'elle était de nouveau fiévreuse d'envie et qu'elle désirait poursuivre leur acte érotique aussi il l'embrassa avec beaucoup de passion, ses mains revinrent caresser ses fesses et l'autre son intimité, cette fois-ci cependant il y alla avec plus de franchise en accomplissant ses geste si on puis dire...
Sa main gauche massait ses fesses tandis que sa main droite massait son entre jambe en y rentrant parfois un doigt ou deux et commençant de long et lent va et viens en elle pour électriser de plaisir tout son corps, il savait quel endroit toucher pour enflamer une femme aussi il appuyait de temps en temps sur le point G de la demoiselle pour la faire frissonner encore plus tandis que lui trembler de plaisir sous son corps et sous ses caresses...
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Chaque frisson, chaque tremblement était reçu par lui. Elle était tout contre lui, et ainsi chaque endroit sensible qui était touché, qui la faisait frissoner ou gémir un peu plus fort, faisait aussi frissoner le jeune homme. Il était toujours aussi mystérieux, mais elle avait tellement envie de savoir ... De le connaître mieux ... Tout ne s'arrêterait pas aujourd'hui, ça continuerait, elle le reverrait ... Elle se le jura. Sa peau frissonnante, collée à celle du jeune homme, leurs cheveux calmement mélangés, leur envie commune ... Elle ne pouvait pas le lâcher. Elle était jeune - certes - ne connaissait pas grand chose à la vie et son fonctionnement, mais là, elle découvrait l'envie, le désir ... Tout cela mélangé en elle. Ses mains glissaient sur le corps de Musashi, massant, caressant, touchant celui qu'elle voulait.
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Il la désirait tellement, l'excitation remontait en lui comme s'il était une bête sauvage qui avait envie de s'accoupler avec sa femmelle, sa raison elle lui permettait de rester respectueux et de s'occuper d'elle comme si elle était sa reine, il la caressait comme si elle était sa déesse, il la touchait avec une grande humilité mais aussi avec beaucoup de passion... il l'embrassait comme un fou (comme un soldat! ... oki je commence pas... ^^') et il la désirait plus que tout en cet instant présent, ses mains se faisaient de plus en plus passionné et insistant dans leur caresse et chaque tremblement de Ludmilla l'électrisait...:
"Mon amour, je suis a toi et serviteur de tes désirs, commande et j'obéis..."
Il l'embrassa avec passion, puis sans cesser ses délicieuses caresses mais commençant a frotter son membre contre elle il s'offrit entiérement à lui... elle pouvait lui faire tout ce qu'elle voulait: aussi bien le laisser en plan ici, que le baffer... que prendre en bouche son membre que le chevaucher que le tuer... tout ce qu'elle désirait cela n'avait plus d'importance si elle voulait lui faire du mal car là il touchait à un utlime plaisir qu'il ne connaissait que trés peu.
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Ludmilla était un peu vaporeuse, pour tout vous dire ... Elle était en pleine extase, un sourire sur les lèvres, tout contre lui, contre sa peau ... elle sentait son coeur qui battait, son âme qui tremblait d'envie, sa peau qui soupirait.... Ses pensées se dispersaient, se semaient, il ne restait plus qu'elle et lui, et leurs deux corps rapprochés. Elle se contenta de le regarder, de lui sourire et de l'embrasser d'une maniére si douce et si calme ... Elle eut un petit mouvement de bassin, sans pour autant quitter ses yeux, afin de faire entrer son membre à l'interieur d'elle ( désolé si tu voulais une fellation ... :-[ ) doucement, calmement. Elle ne voulait pas se souvenir de Don, alors elle ne lâchait plus son regard, ni sa bouche, ni sa peau ... Elle ne voulait qu'être avec lui, et ne pouvait rien dire d'autre.
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(non non je ne savais pas vers quoi me diriger ^^ alors t'ais laissé le choix ;) )
Il sentit alors son membre pénétrer la demoiselle sus on i nitiative elle avait entamer un mouvement de bassin long et lent pour le faire entrer en elle et commencer la pénétration et cela l'excitait au plus au point qu'elle prenne les devant... il plaça ses deux mais sur les fesses de sa partennaire pour accompagner les va et viens de son bassin, elle se déhanchait sur lui avec une danse de ses hanches qui faisait beaucoup d'effets à son homme et qui n'en voulait que plus il accompagna alors les mouvements de la jeune femme pour se faire un chemin un peu plus profond en elle mais il y allait en douceur sans la brusquer et sans lui faire de mal car il voulait se faire du bien avec elle pas profiter de son corps juste pour lui.
En parralléle de cette pénétration, où elle le chevauchait comme une une professionnel, il se mit à embrasser sa poitrine avec avidité, léchant et mordillant ses petits tétons si bon... il faisait ç lentement, il le faisait tendrement... il le faisait bien. Il s'arrêtait parfois pour lacher un soupir long et franc de plaisir intense sous l'effet que produisait le sexe de Ludmilla entourant le sien et le compriment de plaisir, c'était si bon!
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Les joues de la petite rougissaient rapidement sous l'effet de cet instant de bonheur, où elle avait sentit entrer en elle avec une extrême douceur le sexe de cet homme. Une petite apréhension avait disparue, elle était quasiment aux anges, ses mains virevoltant le dos, la nuque et les cheveux de Misashi. Elle se laissait porter doucement par lui, les mouvements de hanches allant chaque fois plus loin, la faisant gémir délicieusement à chaque instant. Elle était heureuse, collée à lui, sentant monter en elle une sensation inconnue encore jusque là, quila réchauffait et la faisait gémir de plus en plus, de plus plus en plus fort. Elle savait qu'il faisait des efforts pour ne pas la brusquer et l'en remerciai interieurement, en deposant ses baisers sur son cou, sa joue, sa bouche étant inaccessible.
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Il continuait ses mouvement de bassins sans cesser de flatter sa poitrine, il adorait le gout de sa peau et de ses tétons... alle l'excitait au plus au point et avec une efficacité défiant l'imagination, il adorait ce moment il vénérait son corps et n'en souhaiter que plus toujour, plus de temps en sa compagnie, plus de temps en elle plus de temps dans ses bras, plus de temps pour profiter de ses baisers... s'il devait mourir et qu'une derniére volonté devait lui être accordé alors c'est ce moment qu'il demanderait à pouvoir revivre avant la fin car c'est tout ce qui pouvait bien compter.
Il accélérait doucement le rythme de la pénétration se mouvant aux rythmes des gémissements de l'adolescente si douce et tendre qu'il tenait entre ses bras... il massait avec passion ses fesses moelleuses... sa peau lui rappelait la soie tant elle était douce et agréable à toucher... il sentait l'excitation monter de plus en plus en lui et à ce rythme il finirait par venir en elle ou partout où elle le souhaiterait, elle le chevauchait et c'est donc elle qui avait les rennes de cette étreinte et ce avec la bénédiction de Musashi et se sincéres remerciement... il vint l'embrasser avec passion mêlant sa langue à la sienne dans un baiser fiévreux, la salive dégouliner le long de leur bouche, c'était bon, terriblement bon.
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Effectiveme, c'était bon. Un délice, un grand plat même. Rien n'aurait pu égaler ce moment. Elle était tellement bien ... Elle s'aggripait à lui, avec la crainte de le laisser partir, s'envoler, qu'il tombe en poussiére. Sa peau frissonnait, tendre, sous ses caresses. Elle voulait son corps, sa bouche, sa voix ... Il accelerait, lui arrachant des cris plus forts, au fur et à mesure que le plaisir augmentait. Elle aussi voulait rester ici, revivre sans cesse cet instant, et d'autres encore, oui, d'autres ... Elle se sentait bien, en sécurité, n'avait plus peur de rien ni de personne. Elle le voulait, lui, et seulement lui. Alors elle se rapprochait encore lui, elle se mordait la lévre inférieure jusqu'au sang, pour ne pas trop crier. Et elle l'embrassait encore. Et toujours ...
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Il continuait toujour plus loin, plus vite et plus fort, il la prenait de façon un peu plus sauvage mais il en était venu à ce stade de façon progressif du coup elle avait eut le temps de s'habituer à la présence de son membre en elle pour en arriver à ce moment torride et plein de passion... du moins c'est que Miyamoto avait recherché a faire en y allant progressivement, à présent chaque coup de bassin en elle pouvait le faire tressaillir, chaque coup lui donnait envie de se laisser aller et bientot il ne pourrait plus se retenir, aussi il cessa de l'embrasser et vin lui mordiller l'oreille tendrement avant de lui murmurer:
"Je vais bientot venir Ludmilla... tu es si agréable... a toi de choisir où tu veux que je vienne..."
Il laissait entendre son plaisir, il se laissait envahir par une envie de jouir qui se fit de plus en plus présente en lui et qui avait débuté dans l'accélération des battements de son coeur pour petit à petit redescendre puis remonter le long de son membre et bientot il déverserait toute sa semence combler par l'infini plaisir que lui avait donné son amour de Ludmilla... il se retenait encore pour donner le plus de plaisir possible à sa chére et tendre et c'est elle qui pourrait décider de la façon de conclure cet acte...
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Quelle sensation étrange ... La dernière fois, Don ne lui avait pas fait de cadeau. Pas de propositions, rien. Et là, elle se retrouvait avec un homme qui lui laissait le choix, qui la laissait diriger ... Elle se sentait heureuse, ses gémissements se changeant en de jouissements. Elle passa sa main dans ses cheveux, avec une expression calme et posée, et vint passer sa main le long de sa joue, le caressant.
- Restons comme nous sommes, Masashi. Tout va bien.
Elle l'enserra brutalement aussitôt aprés cette phrase. Le fait qu'il allait venir en elle signifiait que le jeu allait se terminer ... que tout allait ... se finir. Elle étouffa cette pensée, le serrant plus fort encore, sachant que penser à la fin le ferait pleurer. Déjà elle sentait une larme sur sa joue, qui descendait sur ses lèvres, répandant un goût salé dans sa bouche.
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Elle le serra plus fort, et il sentit qu'elle se contractait d'un coup ce qui n'eut pour effet que d'accélérer la fin de cette acte, aprés quelque coup de bassin il ne put se retenir davantage et se fut dans une déferlante de coup de bassin en elle et de gémissements qu'il finit par se laisser à aller mêlant son plaisir et ses rales à ceux de sa partennaire ou du moins il espérait qu'elle également avait eut un orgasme ou du moins put profiter autant que possible de cet acte...
Musashi ne se retira pas tout de suite, il resta là sa tête blottit entre les seins de Ludmilla l'embrassant légérement et la serrant contre elle tout en caressant son dos avec amour, tendresse et lenteur puis un fois son souffle reprit il alla l'embrasser et retira son membre de l'intimité de son amour pour ensuite se lever en la soulevant dans ses bras musclé, il lui sourit alors qu'elle ne devait pas comprendre.
Il l'embrassa à nouveau puis, tout en la gardant dans ses bras, il quitta le salon, monta les marches une a une, regagna sa chambre dont le feu n'était pas encore éteint puis avec la pensée sans qu'elle ne puisse le voir la captant avec son regard, il souleva les couvertures pour ensuite glisser dans son lit Ludmilla avant de l'y rejoindre et ces sous les couettes qu'il poursuivit cet acte qui alors n'était pas sexuel mais sensuel...
Il la couvrait de calin et de baisers partout où cela pouvait la faire gémir et rougir de plaisir, il voulait qu'elle comprenne que même une fois jouis et ayant put profiter de son corps il la désirait toujour et ses sentiments qui était ardent durant l'acte l'était tout autant aprés... du moins c'est ce qu'il essayait de lui faire comprendre en l'invitant dans son lit et s'occupant ainsi d'elle comme si elle était sa compagne de façon officielle...
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Certes elle n'avait pas tout compris ... Oo Elle était étonnée, ses yeux étaient rouges, ses joues chaudes et roses. Elle s'était retrouvée dans son lit, c'était un délice. Comme si cet instant se prolongeait. Elle sentait ses mains chaudes sur elle, et le contact doux de la couette entre eux. Elle se colla à lui, roulée en boule sur elle même, se blottissant tout contre sa peau. Elle devait penser au bien, pas a la suite, mais au moment, mais elle avait peur ... Peur qu'il disparaisse, s'evapore dans un nuage de fumée. Et qu'elle se retrouve seule ...
Elle leva la tête pour l'embrasser, et plongea dans son regard ses yeux rouges et trempés.
- Je ne veux pas ... que tu me laisses ... que tu partes ... qu'on ne se revoit plus. Je ne veux pas !
Elle se serra encore à lui ( musique de tragédie X3 ), glissant ses mains dans son dos pour le caresser, restant contre lui.
-
"Si tu te serres autant contre moi je vais te demander un second round..."
Lui dit-il en souriant, et il souriait rarement, alors que son membre commençait à retrouver de la vigueur au contact de la peau si chaude et douce de sa petite Ludmilla, il l'aimait sincérement et trés fort qui plus est, il n'avait pas envie de quitter ce lit mais il voulait rester en sa présence et ce pour toujour même s'il savait trés bien que cela était impossible, elle n'était pas immortel et il lui faudrait bien un jour ou l'autre quitter ce lit et continuer sa vie cependant cela ne signifiait pas qu'ils se quitteraient pour toujour aussi il lui dit entre deux baisers adressé à ses lévres:
"Cette maison ne s'envolera pas et je suis trés attaché à cette demeurre... tu dois continuer ta vie mais je serais toujour là et ma porte te seras toujour ouverte alors ne te tracasse pas..."
Il l'embrassa a nouveau et retourna caresser son corps, sentant un retour à son excitation il ne put s'empêche de se placer entre ses jambes pour garder son sexe en contact avec celui de son amante, il se frottait contre elle et la caressait en espérant la faire gémir de plaisir encore un peu plus et lui donner tout le plaisir qu'elle méritait et désirait.
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Ludmilla eut un sourire admirable, touchée, émue. Il l'avait dit d'un ton si ... rassurant. Elle reviendrait, un jour, elle reviendrait. Elle se plaça doucement en dessous de lui, toujours en l'embrassant. Sentir le poids de cet homme sur elle ne la gênait pas, elle se sentait à l'aise. Elle frottait tout autant que lui son sexe contre lui, gémissant davantage. Non, elle ne voulait pas l'exciter, mais se lâcher, juste se lâcher ... Elle le serra encore contre lui, remuant la couverture qui se deplaça dans un bruit doux, pour se remettre sur lui.
- Alors je reviendrais ... Et un deuxiéme round n'est pas un obstacle, Musashi ...
Elle avait prononcé son prenom calmement, avec une voix qu'elle voulait sensuelle, mais pas vulgaire. Elle se sentait bien, contre lui, mais alors bien ... Sa bouche descendit dans son cou, puis plus bas, terminer le travail qu'elle n'avait pas terminé tout à l'heure ... sa bouche vagabonda jusqu'au sexe du jeune homme, qu'elle continua de caresser avec sa bouche, ses lévres et sa langue.
-
Il lui sourit à ses paroles et fut surprit lorsqu'elle retourna la situation, à ses mots il avait pensé finallement qu'elle allait le chevaucher à nouveau et il s'en mordait déjà les doigts à cette idée mais ce fut tout autre, elle descendit le long de son corps avec ses lévres déposant des baisers sur son torse pour finallement en venir à son membre qu'elle se mit à caresser et sucer d'une façon des plus agréable et bandante, son membre doubla alors de dimension étant à nouveau durcit sous l'excitation revenu à la charge... elle savait satisfaire ses besoins d'hommes de la plus exquise des manirées, il sentait son membre (encore humide de son voyage en Ludmilla) dans la bouche de sa petite amie et s'était plus que délicieux de sentir cette chaleur et l'humidité de sa salive...
"Tu me rends complétement fou... je t'aime mon amour..."
Il adorait cette fellation ( ;) ) et il se mit à caresser la tête de la jeune adolescente qui continuait ses soins sur son membre et c'était vraiment plus qu'appréciable... il frissonnait en sentant les coup de langue sur son gland et sur sa verge gonflé par le plaisir et le désir qu'il éprouvé pour elle... si elle continuait de s'occupper de lui aussi efficacement et avec autant de tendresse elle finirait bientot par sentir un liquide chaud couler le long de sa gorge tandis que lui était figé par le plaisir se contentant de lacher des râles de plaisir et étant incapable defaire autre chose que d'exprimer son plaisir et de la caresser...
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Ludmilla eut un sourire ravi. Elle continuai tout de même son petit travail, faisant balader sa langue sur le membre du jeune homme, chatouillant son gland, faisant tourner cette langue baladeuse tout autour, et ses lèvres douces suçant son sexe avec une douceur incomparable. Aux anges .... Elle voulait qu'il soit aux anges. POur rien au monde elle ne voulait gâcher cet instant. Elle continuait les mouvements avec sa bouche, sentant les doigts du jeune homme entre ses cheveux. " Je t'aime ". Il l'avait redit. Elle l'avait pensée.
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Elle continuait son petit jeu sur son membre et il adorait sentir sa petite langue agile venir titiller son sexe avec insistance et répétition comme si elle adorait faire cela... elle l'aimait ça se sentait dans ses gestes et dans sa façon de s'occuper de lui et quand viendrait son tour il avait bien l'intenantion de lui rendre l'appareil en s'occupant d'elle avec sa langue à lui pour lui rendre tout le plaisir qu'elle lui donnait actuellement...
Son souffle se faisait haletant et son excitation de necessait de grandir, il sentait presque la semence monter le long de son penis pour finallement rester bloquer au niveau du gland sous les efforts infini de notre homme qui faisait tout pour ne pas se laisser aller sur son visage ou dans sa bouche et en profiter le plus possible tant elle était foué... mais bientot il le pourrait plus se retenir et il avait peur de sa réaction en sentant le liquide de Musashi... il avait peu qu'elle soit dégouté et il ne le voulait pour rien au monde car alors il n'aurait plus l'occasion de lui rendre tout ce bien.
Seulement voilà, elle s'occupait si bien de lui qu'il en était totalement immobilisé, le plaisir et l'excitation faisant contracter tout ses muscles en commençant par son membre dur et imposant dont s'occuppait Ludmilla... il était véritablement aux anges dans sa bouche et entre ses mains sous ses coups de langue... bientot il ne puis plus se retenir... il continuait de la caresser mais le moment où il allait jouir finit par venir...
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Elle le sentait à la manière qu'il avait de se tenir, les muscules tendus ... Elle releva doucement la tête, se glissa sur lui et lui caressa doucement la joue, en souriant. Elle se plaça à nouveau sur lui, l'embrassant avec ferveur, et releva finalement son visage au dessus du sien, s'attardant à l'admirer un instant.
- Ne t'inquiétes pas, ne te retiens pas, fais toi plaisir ... dit elle d'un ton calme.
Elle reglissa le long de lui, calmement, terminer son petit travail, et donna un coup de langue au bout de son membre, puis la fit tourner autour. Elle le reprit en bouche, doucement, avec des lèvres qu'elle voulait experte, et fit glisser ses mains le long du torse de Musashi, pour le caresser doucement et le titiller, lui donner envie.
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- Ne t'inquiétes pas, ne te retiens pas, fais toi plaisir ... dit elle d'un ton calme.
Cela surprit Musashi mais il fit comme elle l'avait demander, et il se laissa faire totalement se laissant emporté au rythme de ses succions et de ses caresses qui étaient experte à ses yeux, il ne notait aucune fausse note et au contraire un plaisir immense dans ses geste et ce qu'elle lui faisait... il ne fallut plus tant de temps pour que finallement il se laisse totalement aller vidant sa semence en partie sur le visage de Ludmilla et d'autre partie dans sa bouche car elle était en train de laissait son membre lentement de la base en remontant vers le gland et la bouche a moitié ouverte devant son sexe excité et se retrouva aspergé dessus et de-dans...
Il resta sur le dos comme inquiet de découvrir la réaction quelle allait avoir en ayant gouté et en sentant son sperme... puis finallement, alors qu'il en profitait pour récupérer son souffle et que son sexe se ramolissait aprés cet effort et aprés avoir été autant titillé par le plaisir et la bouche de sa compagne, il se redressa légérement pour constater la réaction de sa partennaire...
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Comme dans ses souvenirs ... Elle avait un sourire sur le visage, un petit sourire ravi d'avoir fait du bien à son partenaire, et elle s'essuyait le visage tant bien que mal avec ses petites mimines toutes chaudes ( mimines = mains ). Elle lui adressa un grand sourire, attrapa sa main et s'allongea à nouveau à coté de lui, jouant avec sa main, faisant glisser ses doigts, collant sa paume à la sienne, et constatant que ses mains étaient bien plus grandes que les siennes. Elle remua son nez, comme un petit chat, et le fixa dans les yeux.
- Dire que tu me faisais peur au début ... Maintenant je ne peux pas me séparer de toi.
Elle l'embrassa a nouveau, l'entraînant sur le côté afin de se mettre en dessous de lui, elle était dans sa bulle, une bulle de chaleur reconfortante, confortable et epaisse .
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Il était rassuré que cette jouissance ne li ait pas couper son envie d'être au-prés de lui, elle revin contre lui retournant la situation pour qu'il se trouve à nouveau sur elle, un peu comme si elle cherchait à se faire son petit havre de plaisir et de chaleur, recouverte par Musashi comme si c'était son bouclier contre toutes les mauvaises pensées et tout le mal qui se trouvait à l'extérieur... lui était entre ses jambes son sexe contre celui ce Ludmilla et son torse contre la poitrine de son amante qui avait encore un peu de sa semence au coin de la bouche mais qu'il retira d'une tendre caresse avant de l'embrasser avec amour.
Il avait sourit à sa remarque, il n'avait jamais eu l'intention de lui faire peur, cette image il la véhiculait malgrés lui à la plus part des gens qu'il croisait et ce certainement à cause de sa nature froide et détaché des choses... il n'était pas un grand sentimental ni trés expressif aussi soit on le prnait pour un demeuré soit on le craignait ou d'autres encore comme Ludmilla en tombait folle amoureuse... d'ailleurs en parlant d'elle il décida de s'occupper un peu de son cas... aussi aprés l'avoir embrassé avec passion il descendit le long de son corps, titillan ses seins embrassant son ventre et il vin finallement coller sa langue sur l'intimité de sa partennaire et il commença à la lécher avec avidité.
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Si elle s'attendait à ça !! >Elle était prise par les événements. Elle n'avait pas pu lacher son regard enflammé, désireuse de lui, et seulement lui. Et ne l'avait pas sentit glisser le long d'elle. Une legere aprehension monta dans son coeur. Elle n'avait pas l'habitude de ça ... Mais elle commençait tout de même à sentir montée en elle un degré d'excitation etrange et encore inconnu jusqu'a ce jour. elle etait bien, et sentait quelques un de ses muscles se tendre calmement sous l'effet de ses coup de langue
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Il continua de s'occupper d'elle ainsi accentuant ses coups de langues sur l'intimité de sa chére et tendre Ludmilla et accélérant également le rythme de ses léchouilles... il adorait le goût qu'elle avait en faite il adorait tout d'elle et voulait en profiter autant de temps que c'était possible, il ne cessa donc pas son jeu sensuel entre ses jambes mais compléta par un jeu de main sur sa ferme et tendre poitrine, caressant et titillant les tétons au pointe durcissante.
Aprés de longues minutes a faire gémir son amour ainsi il décida de la pénétrer avec sa langue allant appuyé sur son point g pour la faire mouiller et lui donner encore plus de plaisir si elle en avait déjà ce qu'il pensait effectif vu les gémissements que celle-ci poussait sans aucune retenue et avait le don de redonner de l'excitation à Musashi. Il la désirait encore et toujour mais avant d'unir une nouvelle fois leur corps il voulait lui faire toucher le septiéme ciel avec ses caresses et sa langue agile.
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Et c'était merveilleusement réussit ... C'était comme si un bourgeon venait de s'ouvrir à nouveau en elle, dispersant en son intérieur une bouffée d'air pur et de plaisir. Tout son corps s'agitait, réagissant sous les coups de langue de son amant, sentant doucement qu'elle arrivait dans un état de plaisir qui pourrait faire exploser son coeur en milliards de morceaux brûlants. Quand il decida de deposer doucement sa langue en ses parois, elle ne put se retenir de gémir plus fort, sentant son point G soupirer de plaisir. Elle sentait en elle une chaleur indescriptible, ce qui ne lui était jamais arrivée auparavant ... Un orgasme ? Elle soupira de plaisir, avec l'impression de tout le bonheur du monde venait de lui tomber sur le visage. Elle attrapa la main de son partenaire et la posa sur son cou, pour qu'il voit à quel point son coeur battait ( on peut le sentir battre dans le cou, parait-il ) et afin de sentir le contact de sa main contre sa peau brûlante.
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Il ne cessait de s'occupper de son intimité mais il y mettait plus de force et encore plus d'envie qu'il ne l'avait déjà fait jusqu'ici et sentant le coeur de sa compagne battre à tout rompre et en attendant ses gémissement qui se faisaient de plus en plus puissant, elle brûlait également de désir et cela se sentait en touchant sa peau... on aurait dit qu'elle avait la fiévre mais ici le virus était Musashi et semblait plus que positif aussi il continuait dans son élan.
Bientot la main qui caressait encore sa poitrine la quitta glissant sur son corps avec des caresses douces puis vint tout doucement commencer à caresser son entrejambe avant de bientot remplacer sa langue et c'est alors qu'il entama un va et viens en elle avec son index puis il y ajouta son majeur avant de venir titiller son sexe avec sa langue le tout faisant encore plus gémie Ludmilla et il le voyant en sentant toute cette humidité ne cessant de croitre...
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Il faudrait la bayonner ... Elle avait un trop plein de plaisir, de désir, et sentait ses muscules se tendre , son coeur battre. Sa peau était électrique, et ses gémissements se transformaient au fur et à mesure du temps et des soins en jouissement étouffés, puis plus aigus, plus forts ... plus bon. Le plaisir augmentait, son intimité réclamant le membre de son amant, reclamant sa peau, sa bouche ... Elle eut un cri plus fort de les autres, quand le plaisir explosa en elle, explosant dans sa gorge, son coeur, son âme, venant brutalement mais delicieusement ...
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Elle finit enfin par avoir un orgasme et par jouir, il le sentit en recevant davantage de sa mouille qu'il lécha avec un trés grand plaisir tandis que son gémissement s'était fait extrémement puissant et avait encore plus donner envie à Musashi de la prendre aussi il lui laissa un instant pour retrouver ses esprits et surtout son souffle, pendant ce temps il titilla son intimité avec sa langue pour la nettoyer et lui donner de petit frisson...
Lorsqu'il jugea le moment opportunt il remonta son corps pour venir l'embrassant se plaçant entre ses jambes, il frotta un instant son penis contre ses lévres intimes puis le saisit et revint en elle en douceur et aprés quelques va et vient en elle il se saisit de ses mains croisant ses doigts avec les siens et là il entama un va et vient régulier en elle tout en la regardant dans les yeux...
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C'était comme revivre un rêve ... Une sensation torride et brûlante qui vous agrippe et ne vous lâche plus, un coeur qui bondit vite mais sûrement, un esprit embrumé mais chaud ... La jeune femme le laissa prendre ses mains, et capta son regard, connaissant la suite. Elle avait chaud, froid ... Mais elle était bien. Tout son corps n'était qu'une immense zone sensible, et la pointe de plaisir montait rapidement, descendait, comme une montagne russe. Les vas et viens lui faisait pousser des soupirs de plus en plus fort, des soupirs de plaisir ( evidemment ><" )
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Il continuait ses va et viens rapide en elle avec douceur et tendresse mtout en accélérant le rythme et la cadence de ses coups de reins et bassins... elle adorait cela et ça se voyait à ses gémissement prolongés ainsi qu'à ses soupirs de plaisirs intense que Musashi partageait avec elle avec trés grand plaisir, il parvenait à venir en elle avec de plus en plus de facilité et de plus en plus loin accentuant ainsi les sensations des deux protagoniste, le frotement entre son gland et les parois interne de son aimé le faisait frémie de plaisir et trés bientot jouir... a une cadence aussi éléve il ne pourrait que trés bientot se laissé aller tant la pression et l'excitation était grande mais avant que cela n'arrive il elbrassa avec force et fougue sa Ludmilla...
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Et elle lui rendit son baiser avec cette même passion, tandis que ses mains glissaient le long de son dos, sur son torse, partout. Elle le serrait contre elle, ne voulant plus le lâcher. C'était un délice ... Elle gémissait de plus en plus fort, contre lui, en sentant ces accelerations et cette tension, ce plaisir, cette envie ... Elle ne voulait plus lâcher ses lèvres, comme si elle voulait lui faire partager par ses baisers son plaisir. Alors elle donnait elle même des mouvements de hanches, et partageait ce plaisir intense.