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La Couleur tombée du ciel. -- PV

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Abel A. Tout-lu:
─ Oh non, il n’y a rien de mal à se laisser aller au plaisir. Accepte le plénitude que veut te donner ton Dieu, libère-toi. Rien n’est interdit désormais, fit Abel en venant effleurer la bouche de Mary avec la sienne. Il glissa sa langue sur les lèvres pulpeuses, avalant goulûment la bave de la jeune fille.

La sensation des orteils sur son sexe lui fit beaucoup de bien et il le sortit de son caleçon, libérant son engin pour sentir les pétons sur sa propre peau. C’était une sensation agréable qui le fit grossir, excitant son pouvoir. Il avait envie d’elle, de la prendre à jamais et de lui faire l’amour jusqu’à la nuit des temps.

─ C’est bien, gentille fille. Continue à me caresser doucement, voilà. Tu la sens grossir ? C’est mon pénis que tu as sous tes pieds, sens comment il vibre sous tes va-et-vient. C’est doux, non ?

Il la laissa faire pendant quelques minutes, savourant ce contact exquis. Les tentacules se resserrent autour de la victime, la faisant pivoter dans une nouvelle position. Assise à quatre pattes devant la toute-puissance d’Abel qui vient lui ficher son gland aux bords des lèvres.

─ Ton Dieu souhaite que tu me fasses du bien, tu n’oserais pas le contrarier, n’est-ce pas ? souffla-t-il en lui passant une main dans ses cheveux blonds. Prends ma virilité dans ta bouche. Ne t’avise pas de refuser ou de me faire mal, je risque de devenir très méchant sinon.

Deux langues spectrales filandreuses apparurent derrière elle, lapant avec gourmandise les fesses de la nonne, se rapprochant dangereusement de son buisson paradisiaque. D’autres tentacules émergèrent du vide pour venir titiller la généreuse poitrine, s’enroulant autour de ses tétons, les étirant et les pressant avec une certaine impatience.

─ Montre moi que tu es dévouée à ton Sénieur et j’épargnerai peut-être ta virginité. Mais je veux que tu sois soumise à mon pouvoir, que tu prennes goût à ma semence. Fais-moi jouir, ma fille, et tu auras le droit à l’éternité. Je te le promets.

Soeur Mary:
Je sentais son souffle chaud si proche de mes lèvres, à quelques centimètres de moi, je n’osais plus bouger, les lèvres en coeur je peinais à respirer comme il faut. Avant de sentir sa langue les caresser, un nouveau gémissement glisse jusqu’à son oreille. Je suis en train de devenir folle ce n’est pas possible. En plus de ça je n’arrive pas à arrêter de trémousser mon pied sur cette chose, voulant savoir ce que c’était. Je montais contre cette tige dure, elle était longue, arrivant au-dessus la forme n’était plus la même, pareille quand j’étais en bas c’était plus mou. Le tissu se retire pour découvrir une nouvelle sensation, une texture différente.

Son pénis ? Je ne savais pas à quoi un sexe d'homme ressemblait, on pourrait me dire n'importe quoi que je pourrais le croire… A cet instant, je ne savais pas quoi faire, retirer mon pied car je n'avais pas le droit de toucher à ce genre de chose ou continuer d'explorer l'inconnu, de sentir les veines entre mes doigts de pied. La limite entre la verge et le gland si chaud gonflé de sang au bout légèrement humide. Un liquide gluant tout aussi chaud que le reste de cette longue tige. Et plus bas ? Je descends je sens une grosseur… Mon Seigneur qu'est ce que je suis en train de faire, pour je ne peux m'arrêter de glisser contre ce pénis.

"A l'aide… Mon Seigneur…"

Je me fais trimbaler comme une poupée, les liens me retournent je ne peux pas lutter. Obligé de mettre à quatre pattes, mes mamelles claquant dans le vide, mes fesses moelleuses tendues vers l'arrière.

Devant mon nez je sens une odeur inconnue, qui me fait tourner la tête, je bascule en avant mes lèvres pulpeuses se posent sur le gland que j'ai caressé avec mes pieds, le même liquide chaud se colle à moi cette fois. J'ouvre la bouche légèrement.

"Je… Je ne veux pas décevoir mon Seigneur… Pourtant, je suis pas sur… Qu'il est l'envie de me voir… Ainsi…"

Je suis prise de tous les bords, les longues choses visqueuses agresse mes fesses déposant comme de la salive dans mon sillon, alors que d'autres viennent tirer sur les tétons. Mon coeur tambourine dans ma poitrine de plus en plus fort, je vais lâcher prise. Je n'y arrive pas mon Seigneur, comment résister à toute cette pression.

"Je… Je ne veux pas de l'éternité… Promettez juste que je garderai ma pureté… Je ne peux me présenter devant mon Seigneur sans.. Pitié Abel et je ferais n'importe quoi pour vous…"

Montrant ma bonne foi, j'ouvre enfin ma bouche en plus grand pour faire rentrer son gland chaud à l'intérieur. Mes lèvres se serrent sur le morceau de chair, alors que je ne sais pas quoi faire avec ma langue. Est ce que je dois la bouger, la laisser là ? Le plus important était que je venais de lui montrer que j'étais capable de prendre sa virilité en bouche. Juste quelques secondes et je me recule, ce goût dans la bouche reste, descend dans ma gorge quand j'avale ma salive. Ça a un goût particulier, attractif, légèrement sucré comme le miel. Mais innocente comme je l'étais et novice en la matière, pour moi j'avais fait ce qu'il m'avait demandé. Allez plus loin, pourrait me faire du mal, me forcerait à ouvrir ma bouche en plus grand et à baver. Ce n'était pas possible de faire plus, ce pénis était trop gros pour l'étroitesse de mon antre humide.

"Je ne peux pas aller plus loin… J'ai… J'ai fais ce que vous m'avez demandé… Tenez votre promesse pour notre Seigneur…"

Un couinement plus fort que les autres sort de ma bouche, je trémousse mon postérieur plus vite. Mes hanches roulent, mon dos se creuse. Je perds la tête.

Abel A. Tout-lu:
─ Hm. Oui. Si tu te montres plaisante, je te laisserai inchangée pour que tu puisses rencontrer ton Seigneur. Mais il faut que je me sente satisfait, il faut que tu te montres digne de cet honneur, de garder ta pureté pour le Très-Haut. Si ça ne me plaît pas, il me faudra la prendre. Tel est le souhait de l’homme du ciel.

Dit-il en l’observant avec désir. Elle s’approcha de son sexe en prenant le bout dans sa bouche, seulement quelques centimètres. La demoiselle ne semblait pas avoir beaucoup d’expérience dans le domaine. Il la laissa faire, savourant cette sensation de puissance, gonflant son pénis d’impatience. Elle se retira prestement, ne l’ayant qu'à peine goûtée. Frustré, le bibliothécaire changea un peu de ton.

─ Non, ce que tu as fait n’est pas suffisant. Il va te falloir faire bien plus pour me contenter, tu ne seras libre que dès lors. Ma mission est de recueillir ta jouissance et de la mêler à la mienne, nous ne faisons que débuter ma douce. Et la journée sera longue.

Il lui caressa doucement le visage, avec une tendresse infinie. Ses doigts détaillèrent les formes de sa bouche en les effleurant à peine, comme s’il n’osait plus  la toucher. Puis, plus vivement, il fit durcir ses liens tentaculaires pour lui provoquer de la douleur, lui montrer que ce n’était pas le temps de négocier. Elle n’était pas en position pour cela. Non, elle était en position pour autre chose.

─ Je vais être bon avec toi, car je sens que tu veux bien faire, que tu as envie de bien faire. Mais il faut que tu saches que je n’aime pas répéter sinon je pourrai sévir, tu n’aimerais pas que je sévisse, hein ? Fit-il en glissant son pouce dans sa bouche. Il tâta la langue avant de saisir les deux extrémités, pour lui montrer comment écarter pour son plaisir.

─ Je veux que tu ouvres la bouche, que tu prennes mon pénis à l’intérieur et que tu lèches son pourtour. Je veux la sentir en entier dans ton antre moite, que tu baves sur mon gland et que tu me goûtes comme une glace. Me suis-je bien fait comprendre ?

Il fit glisser un appendice sur les rebords du sexe de la demoiselle, sans y entrer, juste pour lui montrer qu’il pouvait la souiller d’un geste. Mieux, d’une simple pensée. Il approcha de nouveau son engin vers elle pour qu’elle lui fasse du bien tout en attrapant sa chevelure de blés. Si la sœur ne voulait pas l’aider dans sa mission, il devrait peut-être appuyer son entrée.


Soeur Mary:
Le ton d'Abel changea rapidement quand je venais de relâcher sa virilité, comprenant rapidement que ce n'était pas suffisant, il ne s'attendait pas à ça, il en voulait plus. Je grimace de peur de recevoir une punition de sa part et pourtant je sens juste un léger contact sur mes lèvres humides, m'effleurant à peine telle une délicate fleur qu'on ne voudrait abîmer. Ça me rassure jusqu'au moment où je sens ces horribles choses visqueuses se serrer autour de mon corps…

- HAAAA !

Un crie déchirant sort de ma bouche sous la douleur que je ressens à ce moment. Alors qu'Abel reprend la parole pour m'expliquer qu'il me laissait une deuxième chance pour faire mes preuves, pour le satisfaire sous peine de devoir saisir. Il me laisse même le temps de répondre qu'il vient fourrer ma bouche avec son doigt pour tapoter ma langue et ensuite tirer sur les extrémités de mes lèvres pour me faire ouvrir grand la bouche.

Il m'indiquait son désir, tout ce qu'il voulait alors que ma bouche était grande ouverte laissant apparaître ma langue, ma salive que je n'arrivais pas à avaler dans ces conditions. Des gargouillis sortaient de ma gorge comme si j'essayais de lui répondre… Ou c'est seulement la panique qui me faisait réagir ! Un peu des deux alors que je sentais un appendice se diriger vers mon intimité… Ma pureté ! Il s'arrête… Il me mettait juste la pression, ne pas le décevoir encore une fois sous peine de la perdre… Enfin, il relâche ma petite gueule, je sens une légère douleur à la mâchoire et ça ne va pas finir…

- Je… Excusez-moi Monsieur Abel, je ne voulais pas vous décevoir autant… Je… S'il vous plaît ne punisser pas, je vais faire de mon mieux pour… Pour…

Je m'arrête un instant ne sachant pas comment aborder la chose, même s'il devait se douter de quoi je voulais parler.

- Je vous comprends très bien, Monsieur Abel…

J'avais peur de ce qu'il pouvait m'arriver si je m'occupais mal de son sexe, de la punition qu'il pouvait m'infliger. Perdre ma pureté, qu'il m'enfonce son sexe dans la bouche avec force, me torturer encore… Il y avait tellement de possibilités alors que j'étais ligotée sans pouvoir bouger le petit doigt.

- Je… Vais le faire Monsieur Abel… J'y vais…

Pour me rassurer, me donner du courage… Je sens la chaleur de son gland contre mes lèvres. Je sors ma langue pour donner quelques coups sur le bout, sentant une nouvelle fois le liquide sucré activer mes papilles. Comme une glace il a dit, rentrer son sexe entièrement dans ma bouche… Je prends une grande inspiration, ouvrant ma bouche à son maximum et j'avance cherchant son sexe pour le faire rentrer… Trop haut le bout vient taper contre mon menton, trop bas cette fois il vient claquer mon nez… Un peu trop sur le côté une substance visqueuse mieux m'acculer ma joue.

Cette fois c'est la bonne, je sens cette barre rigide prendre place dans mon antre humide, ma langue se plaquant directement contre. Son sexe prend rapidement toute la place dans ma bouche, je peux sentir chaque détail… La couronne du gland qui râpe ma langue, les veines qui ressortent sur sa peau. Ma langue commence à s'agiter autour descendant et remontant contre, l'imprégnant au maximum de ma salive pour faciliter la glissade vers ma gorge.

Je continue de le faire avancer aussi loin que je peux, poussant des gloussements sourds et humide au fur et à mesure. Loin d'être une experte en la matière, la salive déborde de ma bouche pour couler sur mon menton, alors que j'arrive au bout. Mon nez se fait chatouiller par sa pilosité, de même que mon menton qui vient heurter une peau plus molle à la base de sa barre. Son sexe est entièrement dans ma bouche, son gland à passé ma glotte pour continuer son chemin vers ma gorge… Du mieux que je peux je continue d'agiter ma langue, me reculant pour reprendre un peu d'air et diminuer la pression au niveau de ma mâchoire pour mieux revenir. Sans en être réellement consciente j'opérais des vas et viens sur son sexe tendu. Continuant de pousser des bruits moites provenant de ma salive, de mon manque d'expérience et de souffle.

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