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Messages - Le Diablotin

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Les terres sauvages / Re : La Prise [PV Le Diablotin]
« le: mercredi 09 juillet 2014, 01:39:03 »
Il lui baisa la gueule avec force, prouvant son statut d’Incube, une main crispée sur ses cheveux. Ses dents serrés laissaient échapper quelques soupirs, alors qu’il remuait en elle, d’avant en arrière. Elle était vaincue, à genoux, brisée, cette petite sorcière rebelle et arrogante. Alastar y trouvait là un plaisir immense. Sérieusement ?! Pensait-elle qu’il suffirait de l’insulter et de le provoquer pour qu’il s’écroule ? Ah, l’arrogance de ces humains le surprendrait toujours ! Il était Alastar Magoa, il était un Incube, un fier Incube, et seule sa sœur avait le droit de le dominer, car elle était une succube supérieure. Elle, les humaines comme elle, elles étaient ses chiennes. Il était gentil avec elles, mais, si elles le cherchaient, elles découvraient une autre facette de l’agréable Incube. Non, Alastar n’était pas un démon cruel et monstrueux, quelqu’un qui faisait commerce des âmes. Seule la chair l’intéressait, et celle de cette femme était délicieuse. Il lui baisait la bouche pour lui inculquer un peu de respect, et, s’il ne se retenait pas, il lui pisserait carrément dans la gueule ! Le plaisir montait en lui, dominateur et violent, et, plus il était excité, et plus il comprenait...

Tout s’éclaircit quand il inonda la bouche de la sorcière de foutre chaud. Cette salope arrogante était VIERGE ! Aucune queue ne l’avait jamais engrossé, aucun homme ne s’était allongé sur elle pour lui déflorer le trou, pour lui péter la rondelle en lui explosant le fion. Elle était vierge, et elle avait voulu le dominer !

Le silence qui s’installait entre les deux fut alors rompu par l’éclat de rire goguenard du Diablotin. Sa queue était plantée dans la bouche de la sorcière, baignant dans son sperme. Il avait plutôt bien éjaculé, comme à son habitude. Sur ce point, l’Incube était généreux. Il ne voyait aucun problème à engrosser des femmes. Leurs bébés naissaient avec l’apparence d’une humaine, sauf s’il engrossait d’autres démones. Que vouliez-vous, Alastar était un galant homme, et il supposait que, au cours de son existence, il avait déjà du engrosser quelques centaines de femmes. Hey ! C’est que notre diable de Diablotin était sacrément productif dans ce domaine, et que la misère sexuelle était très grande dans ce monde. Son sexe resta donc planté en elle, et il finit par la repousser, la renversant sur le sol.

« Tu es vierge ! Une sorcière vierge... Sha te tuerait sur place si elle l’apprenait ! »

Sha, la Déesse des Sorcières, était une vieille connaissance du Diavblotin. Ses sorcières l’invoquaient fréquemment pour qu’il les engrosse, mais l’Ombre, curieusement, éprouvait des sentiments mitigés vis-à-vis de lui. Elle avait déjà goûté à sa belle verge, mais il se faisait parfois battre par elle, à grands coups de sortilèges magiques qui lui noircissaient la peau. Autant dire que ça faisait mal, car elle n’hésitait pas à lancer des boules de feu ! Des boules de feu, oui, parfaitement ! Sur le dos de notre pauvre Diablotin ! Mais qui pouvait-il, lui, si ses amantes hurlaient tellement qu’elles en troublaient le sommeil de Sha ? L’Ombre était partiale, voilà tout.

Pour l’heure, Alastar s’amusait de cette femme, ayant saisi son talon d’Achille.

« J’aime les petites vierges, mais elles sont généralement moins farouches que toi... Certaines s’offrent à moi en pleurant, d’autres font leurs timides... Hum, ce sont mes préférées, elles. Elles couinent comme des petits porcinets qu’on enverrait à l’abattoir, et leurs gémissements... Ah, bordel, c’est si intense ! Mais, avec toi, je sens que je vais faire une exception... »

Le Diablotin esquissa un sourire en s’avançant vers elle.

« Je vais te prendre sauvagement, ma belle... Ça va être un viol sanglant, car j’ai toujours aimé baiser les sorcières... Alors, imagine quand elles sont vierges... Je t’invite à te débattre, à griffer, à mordre... Fais parler le fruit de la passion, ça ne m’exigera que davantage quand je t’humilierais, quand je te violerais, et quand je te battrais ! »

Il lui sourit, un sourire mesquin, alors que sa queue caudale se déplaçait à nouveau, venant caresser la joue de la femme, glissant sur son menton. Elle était assise devant lui, et il se tenait face à elle, avec son chibre qui s’était redressé, sali par des traces de sperme et de salive qui glissaient dessus. Le Diablotin ne se trompait pas : il l’avait senti. Cette femme voulait la jouer hardcore.

Il s’empresserait donc de la servir.

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Les terres sauvages / Re : La Prise [PV Le Diablotin]
« le: mardi 08 juillet 2014, 01:11:54 »
Elle le caressa, l’embrassa, puis lui cracha dessus, et le gifla. Alastar était, parmi les démons, une sommité de patience, mais même lui avait ses limites... De plus, il sentait clairement que cette femme le provoquait uniquement pour qu’il s’énerve. Elle voulait la jouer à la dure. La hard way, sans douceur. Elle voulait goûter au chibre impérial d’un Incube dominateur, et il allait la satisfaire. Cette femme allait chèrement payer de l’humilier ainsi. Il sentait la mouille de cette femme, renforçant son désir, et un sourire sinistre éclaira ses lèvres.

« Je crois que tu as besoin d’une petite correction, ma chérie... Histoire de te rappeler de quoi un démon est capable. »

Il tendit alors sa main, et envoya une onde d’Air qui renversa la femme sur le sol. Alastar se releva alors, avec sa verge dressée, et s’avança vers la femme, puis posa ses mains sur son torse, tirant d’un coup sec, déchirant ses vêtements. Il tira d’un coup sec sur le haut, puis retourna la femme, et enroula sa queue caudale autour de son cou, l’étouffant à moitié. Ses mains tirèrent sur les lacets du corset, écartant ce dernier, exhibant son dos. Les mains du Diablotin ne tremblaient pas, et il tira sur le corset, puis retira ce dernier, le balançant au loin, et griffa ensuite la joue de la femme en la caressant avec ses ongles tranchants. Ses ongles s’enfoncèrent dans sa peau, et il releva ensuite ses doigts, et lécha le sang de cette femme. Lorsqu’Alastar sourit à nouveau, on put voir, désormais, deux canines en train de pointer.

Le démon n’était pas qu’un ravissant incube, il était aussi un vampire, et il se releva, libérant le cou de la femme, puis retira son pagne, dévoilant son sexe tendu, une belle verge rouge qui se dressait devant lui, tendant vers la rebelle femme agenouillée devant lui. Il la tenait à sa merci, faible et fragile, sans moyen de défense. Un sourire mauvais, vicieux, éclairait son visage, les idées se multipliant dans sa tête pour trouver le meilleur moyen possible de maîtriser cette insolente jeune femme. Sa main se tendit encore, un doigt dressé vers la femme, envoyant une autre onde magique qui l’écrasa contre le sol, faisant voler des nuages de poussière. Sans perdre son temps, le Diablotin lui marcha dessus, posant son pied sur son ventre, et avança l’autre, le bout de ses doigts de pied atteignant les lèvres de la femme.

« Une sorcière privée de ses pouvoirs magiques... Je vais te baiser comme la pire des putes, petite salope. »

Ceci ne faisait maintenant plus l’ombre d’un doute. Il appuya légèrement avec son pied sur son estomac, afin de la faire souffrir un peu, puis se retira... Et la fouetta avec sa queue. Sa belle queue caudale se redressa, ondulant comme un serpent, et s’abattit ensuite sèchement sur la pointe d’un de ses seins.

« Assez joué. »

Alastar l’agrippa par les cheveux, tirant vers l’arrière, faisant basculer la bouche de la femme, et il la souleva. Sa force était surhumaine, galvanisée par l’excitation de cette pute, et il posa son autre main sur son sexe, profitant des cris et des gesticulations de la femme pour enfoncer d’un coup sec sa verge dans sa bouche, optant pour une redoutable gorge profonde.

« Suce ma queue, salope... Ou je te pisse dans la gueule. L’un dans l’autre, tant que je peux me soulager en toi, ça me soulagera. »

Il lui serrait les cheveux avec sa main, serrant fort, et remua son bassin d’avant en arrière, jouant lui-même avec la bouche de la femme, la baisant bien comme il faut. Le séducteur et tendre démon laissait place à une toute autre façade, celle du démon dominateur et violent. Il posa son autre main sur ses cheveux, serrant à nouveau ses ongles, et sa queue caudale glissait dans son dos, la caressant... Avant de la fouetter sèchement. Sa queue claqua au milieu de son dos, et il continua à lui baiser la bouche.

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Les terres sauvages / Re : La Prise [PV Le Diablotin]
« le: samedi 05 juillet 2014, 02:14:02 »
Elle jouait avec ses pieds sur lui, continuant à le narguer, à le provoquer. Comme Onyxian... Mais en moins violente, et en moins impressionnante. Cette sorcière n’était qu’une humaine, elle n’impressionnait pas le bel Incube, et, plus elle mouillait, plus elle était en train de perdre du terrain. Le Diablotin la laissait volontairement agir. Oh, il n’était pas un redoutable magicien, mais l’excitation sexuelle des autres était sa force, surtout des femmes. Or, il sentait que cette femme était en train de mouiller abondamment. Tandis que ses pieds glissaient sur sa nuque, il voyait sa culotte s’humidifier, renforçant ses pouvoirs. Il aurait pu la renverser sur le sol, et la violer sur le place... Et cette idée le travaillait, au fur et à mesure que son sexe remuait sous son pagne noir, tirant sur ce vêtement moulant. Sa virilité se redressait, défiant la gravité, réclamant son dû, mais la sorcière continuait à le narguer, désirant montrer à Alastar qu’elle était un pur produit de la libération sexuelle. Les sorcières avaient bien évolué. Il fut un temps où elles avaient vendu leurs âmes à de puissants démons en échange de pouvoirs magiques très élevés, et leurs héritières avaient retenu la leçon, utilisant des sorts d’invocation pour soumettre des démons, et ainsi faire d’eux leurs esclaves. C’était toujours risqué de tenter de soumettre des démons, car un démon attendrait toujours le meilleur moment pour planter un couteau dans le dos de son supérieur, et, si ce supérieur avait de jolies fesses, si possible en la violant sèchement.

Pour Alastar, les choses étaient différentes. Cette femme ne l’avait pas invoqué, et il lui avait sauvé la vie. Théoriquement, il avait donc le droit de la violer, selon les principes démoniaques. Les Anges ne se déplaceraient pas pour une sorcière flirtant avec les démons et la magie noire, et, pour l’heure, seul son tempérament amusé l’encourageait à ne pas agir. Il se laissa ainsi tomber sur le sol, excité par le comportement insolent de cette dernière, et faussement autoritaire. Elle essayait de dissimuler l’excitation qu’elle ressentait. Il n’y avait que les humains pour faire ça : masquer ce qu’ils pensaient vraiment, même quand personne ne les jugerait pour ça. Alastar la vit s’enfoncer des doigts dans la bouche pour réprimer son plaisir, et, pour lui, ce fut le signe qu’il pouvait agir.

« Alors...tu vas rester bien sage et retirer ta promesse de me baiser comme une truie. Si fait, je serai peut-être clémente et t'offrirai un second tour. »

Il l’observa en clignant des yeux, un sourire narquois éclairant ses lèvres :

« Un second tour ? Pour moi, ma chérie, nous n’avons fait que l’ébauche de préliminaires... Tu crois pouvoir tenir plus longtemps que moi à ce petit jeu ? Ma sœur s’est amusée à me mettre une ceinture de chasteté sur le sexe et à m’immobiliser en me laissant assister à ses orgies interminables. Pour elle, une bonne orgie avec ses esclaves n’a lieu que si trois de ses esclaves meurent d’épuisement. J’ai passé des jours et des jours à bander fermement, et je ne te raconte pas ce qui est arrivé aux femmes que ma sœur m’a ensuite donné pour me soulager. Je crois que personne ne les a jamais pris avec autant de violence que moi. Je les ai défoncés, baisés, baisés, tellement baisés que j’ai bien failli briser leurs reins. »

Il parlait calmement, une lueur espiègle dans les yeux.

« Tu mouilles comme une rivière en fuite, ma chérie. Ce n’est pas comme une truie que je vais baiser, non... Mais comme une foutue grosse chienne. Plus tu mouilles, et plus tu me renforces. C’est moi qui t’ait sauvé. En vertu de mes principes, tu as une dette de vie envers moi. Si je le voulais, je pourrais te violer pendant des heures, t’enculer comme une chienne en te claquant le cul jusqu’à ce que tu te casses les cordes vocales à force d’hurler comme une démente hystérique. »

Alastar était vulgaire, oui, et il s’en moquait bien. Il était allongé sous elle, et sa queue caudale se déplaça, décrivant une courbe pour heurter les fesses de la femme, filant sous sa minijupe pour s’enfoncer contre sa croupe. Le Diablotin continuait à sourire, de ce sourire insolent et délicieux qui ne pouvait que faire envie.

« J’ai du mal à comprendre pourquoi tu résistes... Ou pourquoi tu cherches à croire pouvoir me dominer. Seule une succube peut dominer un incube. C’est moi qui exauce les fantasmes des femmes, que ce soit de timides pucelles, ou des chiennes en chaleur comme toi. Tu ne m’as pas invoqué, je suis venu ici de mon plein gré... Autrement dit, tu n’as aucun moyen de me soumettre que ma volonté et mon goût immodéré pour le jeu... Dommage que tu ne veuilles pas jouer » conclut-elle avec un sourire pervers.

Dommage, en effet.

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Les terres sauvages / Re : La Prise [PV Le Diablotin]
« le: jeudi 03 juillet 2014, 01:04:34 »
Son esprit résiste, son corps succombe. C’est ainsi que les femmes ont toujours fonctionné, perpétuellement insaisissables, toujours à glisser, et jamais à admettre ce qu’elles voulaient. En un sens, c’est ce qui faisait leur charme. Il savait à qui il avait affaire. Une sorcière, une femme qui avait l’habitude de côtoyer les gens comme lui, de les invoquer. Alastar savait que les Incubes avaient mauvaise réputation au sein des démons, où on les voyait comme de vulgaires gigolos. Avec toutes ses amantes, il aurait sans problème pu devenir arrogant et machiste. Fort heureusement, en un sens, il était le petit-frère d’une terrifiante succube, Onyxian, qui passait son temps à le torturer, pour sa propre satisfaction personnelle. Les supplices subis par cette dernière l’avaient formé, lui apprenant l’humilité, et lui apprenant à aimer coucher avec des femmes fortes, voire à se faire soumettre et dominer par elles.

Le baiser avec cette sorcière fut délicieux, et elle lui répondit, commençant à mouiller… Il n’avait pas besoin de la voir, il le sentait. Un sourire malicieux éclairait ses lèvres, et il se les humecta quand elle le repoussa, faisant sa prude, sa petite mijaurée. Délicieuse salope, aurait-il envie de dire, surtout quand elle posa son pied sur son torse, son talon remontant. C’était une femme agile, cette petite, et Alastar soupira faiblement en la sentant, son érection s’accroissant. Vu le mince pagne qu’il portait sur le corps, il était impossible de manquer son état d’excitation, et ce d’autant plus qu’il ne cherchait pas à s’en cacher.

Elle le titillait, lui proposant son corps, lui disant qu’elle était difficile à satisfaire. Il se contenta d’un léger sourire, en la laissant remuer son pied sur son corps, sa queue caudale continuant à onduler sous ce rythme Cette garce était vraiment douée ! Il sourit lentement, presque de manière sadique :

« Oh, vraiment ? Les faire pâlir de jalousie ? Tu veux que je te montre ta sœur pour que tu puisses comparer ? »

Sacré challenge que celui proposé… Onyxian était une succube terrible, mais Alastar plaisantait, bien entendu. Si Onyxian mettait la main sur cette sorcière, elle la voudrait pour elle. Elle était beaucoup moins partageuse que lui. La preuve en est que, à chaque fois qu’il se faisait surprendre en train d’engrosser les femmes de son harem personnel, Ony’ le battait terriblement… Parfois même en lui mettant une ceinture de chasteté ! Pauvre Diablotin… Battu et torturé par sa sœur ! Pour l’heure, il savourait ce spectacle, et sa main vint saisir le bout de la jambe de la femme, l’agrippant à hauteur du talon, alors qu’il s’était lentement écarté.

Le Diablotin fléchit les genoux, se mettant en position accroupie sur le sol, les jambes en croix, la jambe élégante et fine de la sorcière glissant devant lui. Elle était excitée, il le sentait, et un sourire vorace éclairait son visage. Ses mains commencèrent à masser son collant, filant jusqu’à la jarretelle blanche, caressant

« J’ai toujours aimé les vêtements féminins… Ils sont si tendres, si doux… Les toucher, les caresser, les palper, les embrasser… C’est un véritable régal. Ils sont le délicieux emballage esthétique de votre beauté, sensuelle et sauvage. »

Alastar ne cherchait pas à faire le poète, il se contentait de parler, de s’exprimer, sur un ton calme. Malgré son érection, il savait se retenir. Il releva la jambe, et embrassa le pied de la femme, posant ses lèvres sur sa botte, l’une de ses mains allant ensuite dénouer les lacets de cet objet, jusqu’à le retirer. Il agissait avec une lenteur savamment calculée, et se mit à masser le pied de sa femme entre ses deux mains, le caressant en le frottant tendrement, ses mains douces et chaudes glissant dessus.

Un sourire malicieux éclairait ses lèvres, et il continuait à gratter la jambe de la femme, la frottant tendrement, avant de reprendre :

« Alors, comment veux-tu la jouer, sorcière ? Tu veux me soumettre ? Me montrer que tu es aussi forte que mes charmantes sœurs ? C’est un défi ardu, tu sais… Mais, si tu y arrives, je consentirais à te libérer… Mais, si tu échoues… »

Son sourire s’accentua, et il ménagea une pause de quelques secondes :

« Je te baiserais comme une truie, ma chérie. »

Alastar était un démon très joueur, quelqu’un qui appréciait les défis et les challenges. Il était donc normal qu’il relève le défi de cette femme.

Une femme dont il ignorait d’ailleurs toujours le nom, alors que lui avait eu la décence de se présenter.

*Le beau sexe se doit d’être impoli pour justifier sa beauté…* se dit-il tout simplement.

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Les terres sauvages / Re : La Prise [PV Le Diablotin]
« le: mercredi 02 juillet 2014, 00:34:25 »
*Oups !*

Son sort avait peut-être été un peu trop appuyé… Lui qui voulait simplement impressionner ces esclavagistes venait d’en tuer un, et de blesser d’autres, qui roulèrent dans le sol, leurs corps transformes en torches humaines. Alastar eut un bref sursaut de frayeur. Ce genre d’incidents pouvait déclencher la colère des emplumés, mais il ne sentit rien… Aucune présence angélique. Il avait du attaquer les mauvais bougres, des gens pour qui les Anges ne voyaient pas l’utilité de se déplacer. Il resta donc seule avec cette femme, et mit fin aux hurlements insupportables d’un homme en tendant son doigt, envoyant une attaque magique qui le frappa à la tête, le laissant joyeusement brûler. Le Diablotin n’avait aucun intérêt pour ces gens, et préférait observer la belle femme devant lui.

Ces rustres avaient dégrafé ses vêtements, révélant un corset un peu trop serré, qui soulevait la belle poitrine de la femme. Alastar sentait en elle un certain pouvoir magique, ainsi qu’une sorte d’attirance mêlée à de la répulsion le concernant… L’homme comprit alors à qui il avait affaire, et fronça lentement les sourcils. Une sorcière. Le genre de femmes qui invoquaient les incubes comme lui lors des sabbats. Les Incubes étaient plus rares en Enfer que les succubes, et étaient donc prisés… Surtout le Diablotin. Avec sa belle peau rouge et ses yeux bleus intenses, il était relativement beau, et le savait très bien. Il s’avança vers la femme, la laissant s’installer sur la cage, et, quand il la vit croiser ses jambes, son érection s’accrut… C’est d’ailleurs à ce stade qu’il réalisait qu’il bandait déjà. Naturellement, il ne faisait rien pour le cacher. L’Incube n’allait pas se cacher de sa beauté.

La sorcière lui demandait ce qu’elle devrait faire, maintenant que l’Incube l’avait sauvé. Lui offrir son âme ?

« Pah ! » cracha alors le démon en haussant les épaules.

Sérieusement, que ferait-il de son âme ? Non, il n’en avait rien à foutre, et la sorcière le savait, car elle fit rapidement une offre plus intéressante, tout en commençant à se tripoter… Il sourit, toujours silencieux, et se rapprocha d’elle, sa queue caudale glissant derrière ses jambes. Analysant son corps, outre sa superbe poitrine, il avait remarqué son collier en argent, qui avait un pouvoir magique répulsif, annihilant les pouvoirs de son porteur. C’était le genre d’appareils que les esclavagistes mettaient sur le cou de leurs prisonniers, afin de les rendre obéissants et sages. Cette femme avait un corset, mais également des jarretières blanches, et il se rapprocha donc, jusqu’à pouvoir, en avançant sa main, caresser le haut de cette jambe, glissant sur sa jarretelle.

Un sourire vint éclairer le visage d’Alastar, qui se pencha vers elle.

« C’est une offre un peu plus intéressante… »

Il avança sa main, et caressa la joue de la femme, avant de l’attraper par le cou. L’une de ses griffes alla titiller les lèvres de la jeune femme, glissant dessus.

« Mais je ne veux pas faire de toi mon esclave… Si je devais soumettre toutes les filles qui tombent sous mon charme, je passerais mon temps à les engrosser dans mon palais. Or, un Incube comme moi se doit de rester de libre, de rassurer la ménagère esseulée incapable de jouir par son mari, de dépuceler la jeune fille trop honnête et trop timide pour oser répondre aux avances d’un jeune adolescent prépubère qui ne la fera jamais autant bander que moi. Je vends du rêve, ma chérie. Pas besoin de m’invoquer pour que je vienne, je viens à vous… Mais tu as une dette envers moi. »

C’était un point sur lequel les démons ne rigolaient pas : la dette. Il relâcha la nuque de la femme, et continua à caresser sa jarretelle. Alastar était toujours propre, et il sentait bon. Coquet, notre incube se parfumait légèrement, tout en se rasant proprement les aisselles. Il se devait d’être l’incarnation de la beauté pour ça.

« Voilà le défi, ma chérie… Si tu me fais l’amour jusqu’à ce que le soleil se lève, je te retirerais ton collier. Autrement, je t’amènerais auprès de cet esclavagiste qui t’a enfui, et je lui expliquerais que tu ne vaux pas la peine que je me dévoue pour toi… Et, si tu ne veux pas jouer… »

Un sourire espiègle vint éclairer les lèvres de l’insolent démon. Sa queue caudale s’était redressée, ondulant pour s’enrouler autour de l’une des jambes de la femme.

« Qui sait ? Peut-être serais-je assez cruel pour te conduire dans un couvent ? Mais, l’un dans l’autre, ça n’a aucune importance. Je suis un incube, trésor, je lis les désirs des autres... Et je sais que tu as autant envie que moi que je te baise toute la nuit, et même que je fasse des prolongations avec ton corps de Déesse. »

Et il recommença à sourire, plantant son regard dans celui de la femme, et se pencha ensuite pour l’embrasser.

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Les terres sauvages / Re : La Prise [PV Le Diablotin]
« le: jeudi 26 juin 2014, 01:10:38 »
« Alastar, haaa !! Haaaa !! Haaaaaaaaaaaaaa !! »

La grange tremblait sur place sous les assauts fougueux de l’homme. Prise contre le mur, la belle paysanne ne pouvait que subir les assauts rugueux et intenses de l’Incube, hurlant son bonheur, tandis que les deux queues du Diablotin jouaient en elle, lui offrant un plaisir inouï pour ce qui, concrètement, était sa première fois. Quand son phallus avait perforé le vagin de la femme, et goûté à son premier sang, le Diablotin avait failli en jouir. Cette paysanne était un cadeau de la nature, belle et voluptueuse, toute en chair, et bourrée de problèmes existentiels, sa psyché se heurtant à ses envies de femme naissante et à l’éducation stricte de son parent, le père du village. Son père, en effet, était un prêtre, dirigeant la paroisse locale depuis son église. Elle était sa fille unique, une sœur religieuse qui avait pour but de rejoindre un couvent afin de devenir une sœur. Cependant, elle était belle, et le Diablotin avait senti sa souffrance sexuelle, les caresses qu’elle s’offrait discrètement, dans la grange d’une ferme abandonnée. Elle se caressait chaudement, sensuellement, dans cet endroit isolé, et Alastar avait senti son appel. Il était donc intervenu, face à elle, alors qu’elle nettoyait l’église.

Sa peur initiale avait rapidement cédé, et le Diablotin la ramonait généreusement depuis une bonne heure, fidèle à sa nature d’Incube, honorant fièrement cette dernière. Elle hurlait son bonheur, et la sentir s’abandonner contre lui était jouissif, délicieux. Alastar la prit ainsi pendant un certain temps avant de la laisser, étalée sur le sol, au pays des rêves. Qu’on ose dire, ensuite, que les incubes faisaient le mal. Il lui avait offert tant de bonheur, un plaisir intense et exquis, et il la laissait rêver. Ce n’était pas très galant, mais il était un démon… Et un démon ne s’attachait pas à ses clientes. Qui sait ? Peut-être reviendra-t-il la voir…

Il reprit sa route. Ce village se situait dans des zones reculées de Terra, le long de grandes campagnes dans les Contrées du Chaos, plus proche de Nexus que d’Ashnard. De fait, la plupart des esclavagistes du secteur venaient de guildes et de corporations nexusiennes, traquant les autochtones locaux pour les asservir et les vendre. Le Diablotin aurait pu rentrer chez lui, retourner au harem de sa sœur, mais il préféra se promener un peu, déambuler tranquillement, afin de rechercher de nouvelles proies. Coucher avec cette femme avait aiguisé son appétit, et il n’avait désormais envie que d’une chose : trouver une nouvelle poulette afin de lui faire l’amour. Alastar restait un Incube, un démon sexuel et pervers. Il ne pouvait pas changer d’attitude, et n’en avait pas envie. Il était ce qu’il était, et le sexe le démangeait. Troublant, quand on savait qu’il venait de faire l’amour pendant des heures, et ce de bien belle manière.

Dissimulant son apparence démoniaque sous un long manteau marron de pèlerin, il s’avança à travers une forêt, et ne tarda pas à ressentir, au loin, la présence troublante d’une chair féminine. Bien qu’il ne soit pas un puissant magicien, Alastar avait certains tours sous sa manche, et, outre ressentir le désir sexuel, il pouvait aussi sentir les frémissements délicats et vibrants de la magie… Ce qu’il se mit exactement à ressentir en ce moment. Il s’avança plus rapidement, se téléportant pour raccourcir la distance le séparant de cette silhouette.

C’était une région pauvre, dévastée par la guerre entre Nexus et Ashnard. Les Ashnardiens avaient ravagé cette région, et le Diablotin arriva dans les ruines, dans des villages qui avaient été complètement abandonnés par la guerre, les survivants étant asservis de force par les esclavagistes, qu’ils soient originaires de Nexus ou d’Ashnard. C’était la loi de la Nature, tout simplement Alastar s’avançait dans les ruelles d’un village fantôme, tout en entendant, à proximité, des bruits. Vu les huttes hirsutes et les constructions sommaires, il supposait que ce village avait été le refuge de Terranides. Des hommes se battaient entre eux, excités, échauffés. Le Diablotin sentait leurs désirs, hurlant dans leurs poitrines et dans leurs corps.

*De tels esprits ne s’échaudent que pour le corps d’une femme…*

Il s’avança discrètement, et les vit. Quatre hommes.

« Si tu la touches, elle perdra de sa valeur ! Elle est peut-être encore vierge !
 -  Tu me prends pour qui ? Je connais des moyens de me faire plaisir sans lui enlever sa virginité ! À supposer qu’elle le soit, bien sûr !
 -  On ne peut pas prendre ce risque ! »

Un chariot se trouvait à proximité, avec un cinquième larron. Alastar comprit avoir affaire à des esclavagistes, et son regard s’attarda sur la silhouette de la femme capturée par ces quatre individus. S’ils voulaient la vendre à Ashnard, et non à Nexus, c’était probablement qu’ils étaient poursuivis dans la cité-État. Le Diablotin hésita, avant de se dire que ces individus ne méritaient pas une telle perle.

La loi de la Nature.

Leur chef essayait de résonner celui qui avait une érection, et Alastar réfléchit à une manière de les surprendre. Il retira son long manteau de pèlerin, et sentit sa verge frissonner quand son regard croisa le visage de cette femme. Elle avait l’air d’avoir un sacré caractère, incapable de se laisser faire. Il aimait ça. Il lui fallait juste trouver un moyen de la secourir. Le Diablotin, un héros étincelant venant au secours de la demoiselle en détresse... L’image faisait presque sourire.

Tandis qu’ils se disputaient, Alastar s’avança lentement, un sourire sur les lèvres, jusqu’à sortir de l’ombre. Ses deux bras étaient écartés, et des flammes brûlaient dans ses paumes, un sourire vicieux éclairant ses lèvres.

« Navré, Messieurs, mais cette femme est à moi.
 -  C’est qui, ce mec ?! »

Le Diablotin sourit. Sa peau rouge leur apparut alors, tandis que le feu brûlant dans ses mains se mit à s’accentuer. Il le libéra alors, balançant un jet de feu vers eux.

« Dégagez, vermisseaux, gronda Alastar, ou je vous plombe ! »

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One Shot / Re : Submission in Hell (PV Le Diablotin)
« le: vendredi 20 juin 2014, 01:12:24 »
La pauvre petite angelotte était troublée depuis qu’il venait de dire qu’elle était belle. C’était amusant, cette manière qu’elle avait de se dévaloriser elle-même, de se dire nulle. Diable ! Ces Anges n’avaient décidément pas les yeux en face des trous ! Si Elenwen était née ici, elle serait déjà une reine. Les démons étant généralement laids, ils étaient bien plus sensibles à la notion de beauté physique que les anges, pour qui la laideur physique était virtuellement proscrite. La pauvre Elenwen était perdue, mais sur la bonne voie. Il fallait y aller délicatement. Si elle devenait corrompue, ses ailes noirciraient. Le Diablotin savait qu’un Ange était corrompu dès lors qu’il éprouvait des pensées particulièrement néfastes, qui altéraient son âme. Il s’agissait de tomber dans l’un des Sept Péchés Capitaux : l’Orgueil, la Luxure, l’Avarice, la Gourmandise, la Colère, la Paresse, et l’Envie. Chacun de ces péchés était interprété par les Anges, comme Alastar le savait, et celui qui allait les concerner serait la Luxure. Contrairement à ce que certains extrémistes pouvaient penser, l’âme n’était pas corrompue en soi par quelques relations sexuelles, mais Alastar allait devoir être prudent. Si on en croyait les dogmes angéliques, chaque être était par définition béni de Dieu. Dès lors, une relation sexuelle avec un démon n’était pas forcément néfaste... Il aurait en tout cas l’occasion de le vérifier, mais il devait bien admettre que voir cette Ange chutait lui ferait perdre de sa valeur. Oh, qu’on ne se trompe pas, il ne la rejetterait pas pour autant, car elle était toujours une Ange, mais il fallait bien admettre que l’avoir avec lui, la guider, la cajoler, la former... Voilà qui serait délicieux.

Lentement, l’Ange posa sa main sur le membre d’Alastar, s’appuyant dessus, remuant un peu. Elle le serra légèrement, avec ses magnifiques ongles violets, leur pointe s’enfonçant dans sa chair, le faisant remuer. Ce fut comme si son sexe hoqueta, et Alastar sentit un frisson le traverser. C’était une chance qu’il ait abondamment joui avec ses Terranides. Autrement, il le sentait, il aurait été dans l’incapacité de se retenir, dans l’incapacité totale d’agir calmement, en conservant les idées claires. Il l’aurait violé. C’était terrible à dire, mais les incubes étaient ainsi. Le sexe était leur vie, leur ciment, des pulsions bien plus fortes que des humains normaux. Quand ces pulsions venaient à s’exprimer, on ne pouvait rien faire pour les repousser. C’était ça qui était terrible chez les incubes, et c’était ce qui inquiétait Alastar. En soi, il ne craignait pas de réussir à séduire cette femme... Non, il craignait surtout de ne pas se contrôler, et de se montrer violent. Faire preuve de douceur, pour lui, n’était pas aussi évident que ça. Une succube avait un peu plus de talent là-dedans. Un incube avait un chibre, et, quand ce dernier était éveillé, il avait tendance à vous perturber.

Elenwen avait buté sur le qualificatif « belle », et sa masturbation manquait de vigueur... L’inexpérience. Cette femme était tellement naïve, tellement innocente. Onyxian se serait fait un plaisir de la faire souffrir, de la corrompre, de la faire hurler, de démontrer que le Mal pur triomphait sur le Bien pur. Pourquoi Alastar n’avait pas envie de le faire ? Pourquoi tenait-il tant à conserver cette pureté, à protéger cette femme de ses congénères ? Qu’est-ce qui n’allait pas chez lui ? Ces questions se mélangeaient à son esprit embrumé. Elle demanda s’il pensait vraiment qu’elle était belle, et il soupira.

« Si tu veux, je peux t’emmener auprès d’une quinzaine de démons, et ils se feront un plaisir de répondre à toutes tes interrogations sans le moindre doute possible. »

Il rajouta rapidement, en se penchant vers elle, et en rapprochant son visage du sien, posant chacune de ses mains sur ses joues.

« Bien sûr que tu es belle, Elenwen. Ma parole, les Anges sont-ils donc si aveugles pour ne pas le voir ? Ma chérie, si je te larguais auprès de mes hommes, ils te violeraient sans arrêt et sans relâche, tant tu les exciterais ! »

Sa naïveté était sa force, mais aussi sa faiblesse. Il allait devoir l’entraîner là-dessus. Il se rapprocha à nouveau d’elle, et aventura sa main, la posant sur sa nuque. Il aurait encore pu parler, mais il préféra agir, et posa ses lèvres sur les siennes, l’embrassant tendrement, généreusement. Il se pressa contre elle, et prolongea un peu le baiser. S’il y avait bien une chose dans laquelle le Diablotin excellait, c’était bien les baisers. Après avoir fermé les yeux, il les rouvrit, ses beaux yeux bleus étincelants constituant comme deux phares dans le désir qui envahissait la poitrine des femmes (ou des hommes) ayant la chance d’y goûter. Ses lèvres se pressèrent aux siennes, et sa main se serra contre ses cheveux, caressant doucement sa peau, tandis que son autre main s’appuyait sur son épaule. Il ne glissa pas sa langue, se contentant juste de presser ses lèvres contre les siennes, de les remuer.

Le baiser dura bien une bonne minute, avant que, lentement, Alastar ne le replie. Il resta néanmoins proche d’elle, son nez glissant contre celui d’Elenwen, avec toujours, sur les lèvres, ce léger sourire insolent, malicieux.

« Ça, ma chérie, c’est ce qu’on appelle un baiser. C’est bon, hein ? Tu vois... Tu ignores tout de ce que tu es. Les Anges ont éduqué ton esprit, mais ils ont oublié de te dire que tu avais un corps. Crois-tu donc toujours que je veuille ta perte ? Que tous les démons ne sont que des idiots sans cervelle ? Nous rêvons tous de liberté. »

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One Shot / Re : Submission in Hell (PV Le Diablotin)
« le: jeudi 19 juin 2014, 23:17:53 »
Elle ne comprenait pas, pauvre petite chose... Docile petite créature. À sa place, un Ange de la Milice en aurait déjà profité pour le repousser et l’étrangler avec ses propres chaînes. Ces anges-là étaient de véritables teignes, mais elle... Elle, elle était une petite fleur, belle et innocente, qui devait rêver de pâquerettes et d’enfants au grand sourire quand elle descendait voir des ploucs pour les soigner. Elle ne comprenait même pas ce qu’était le sexe, trop innocente pour en avoir jamais entendu parler. Que ces anges pouvaient être énervants ! Il aurait juste fallu qu’ils soient un peu moins coincés, et Anges et Démons auraient pu se réconcilier depuis longtemps ! Elenwen avait grandi dans cette propagande angélique à l’égard des démons, faisant des démons le Mal pur, parfait, et absolu. Une vision simpliste des choses, qui avait pour elle d’éviter de remettre les Anges en question sur leurs propres erreurs. Pourtant, les plus puissants Princes infernaux, comme Lucifer ou Azazel, venaient de leur propre camp. Alastar observa la femme. Elle était sceptique, surprise, mais moins effrayée... Car elle avait bien retenu qu’elle pouvait ne pas se faire battre. Oh, bien sûr, Alastar la battrait, mais plus tard... Et elle apprécierait ça.

Elle se tenait face à lui, indécise, se rattachant à lui. Lentement, son plan fonctionnait. Il voulait qu’elle prenne conscience de l’horreur de sa situation, et du fait que, à sa manière, il voulait la protéger. Il avait vu le regard de cette femme loucher sur son érection, mais elle n’avait rien dit, ne manifestant pas la moindre surprise, ni le moindre dégoût. Une preuve supplémentaire, s’il en est, que ce n’était pas une bigote, simplement une adulte encore fille. Ses belles ailes dorées étaient magnifiques, et Alastar sentait le désir continuer à croître entre lui. Sa verge commençait à lui faire mal, et il cligna des yeux à plusieurs reprises.

« Qu’est-ce que tu ne comprends pas, mon ange ? Oh, laisse-moi deviner... On t’a dit que tous les démons étaient des sauvages ignares vivant dans leur propre crasse, sans aucun goût ? Des rustres cruels et idiots incapables de réfléchir ? Ma pauvre petite... On dit les Anges cultivés, et, pourtant, de ta tour d’ivoire, tu ne sais rien... »

Sa main glissa à nouveau sur son visage, la caressant tendrement, caressant ses cheveux. Le Diablotin avait toujours sur son visage ce petit sourire léger, et ses yeux bleus étincelants continuaient à l’observer. Il savait combien ce regard électrique pouvait être hypnotique, et, pourtant, ce regard n’avait aucun pouvoir magique. Le Diablotin continuait à observer ce minois, à réfléchir, à laisser ses pulsions l’envahir.

« Tu es comme Icare, tu sais... Tu voles si près du soleil qu’il t’a aveuglé. »

Son doigt glissa sur les lèvres de la femme, redressant légèrement son visage, et il fourra son ongle entre ses lèvres. Il était toujours très propre, passant des heures à se nettoyer, généralement en faisant l’amour dans son grand bain.

« Tu ne comprends donc pas qui je suis, Elenwen ? Je suis un incube. Toi, tu aides les gens à se soulager de leurs maux, et moi, je les aide à aller mieux... Pourquoi les démons seraient foncièrement mauvais, hein ? »

Son sourire mielleux s’accentua, et il retira son doigt de sa belle bouche, retournant caresser son visage, puis il tendit son autre main vers son short, et le défit, tirant sur les lacets de ce dernier, et le retira. Son sexe rouge jaillit alors, redressé fièrement, exprimant toute la souffrance de cet homme. Il relâcha la joue de la femme, et attrapa tendrement l’une de ses belles mains, pour l’approcher de son sexe. Son regard oscillait entre le visage d’Elenwen et sa belle main. Elle était aussi fragile qu’une poupée de porcelaine entre ses mains, incapable de réagir, se laissant tout simplement faire.

Il avait une idée derrière la tête, et ne tarda pas à l’exprimer :

« Je suis ton ami, Elenwen... Ton Maître, ton mentor, et ton ami... Et je vais te montrer des choses sur toi que tu ignores totalement. Et, pour ça, tu vas commencer par faire quelque chose de simple, d’extrêmement simple. »

Oh, comme sa voix était mielleuse ! Rien à faire avec les voix caverneuses et terrifiantes des démons auxquels elle devait être habituée.

« Caresse mon sexe avec tes deux mains, ma belle... Je veux que tu touches cet organe, que tu le presses, et que tu remues dessus, que tu te l’appropries. Tu vois ? Ce n’est pas compliqué. Tu peux même utiliser ta bouche, si tu veux... N’hésite pas à le caresser, tout comme mes testicules. Caresse et palpe toute cette partie de mon corps, ma chérie. »

Sa formation sexuelle commençait.

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One Shot / Re : Submission in Hell (PV Le Diablotin)
« le: jeudi 19 juin 2014, 21:29:33 »
Sa peur aurait sans doute pu susciter sa pitié, ou développer une sorte de compassion avec elle, mais la voir ainsi, terrorisée, recroquevillée sur le sol, ne contribuait en réalité qu’à accroître fortement son excitation. Elle était encore plus belle ainsi, encore plus innocente, encore plus attirante ! Ce n’était pas une Ange guerrière, mais l’une de ces Anges qui grandissaient dans les Cieux, et qui se racontaient entre elles bien des histoires sur les choses terribles qui arrivaient en Enfer. Elle était complètement terrorisée, complètement paniquée, et Alastar allait devoir négocier cette partie délicatement, s’il ne voulait pas que les belles ailes blanches d’Elenwen ne se mettent à noircir. Grâce à Onyxian, ils avaient déjà une Ange déchue, mais Alastar, lui, voulait qu’elle conserve sa blanche pureté, pour pouvoir ainsi dompter Onyxian. Elle pleurait, incapable de retenir ses sanglots, et il ne dit rien, en profitant pour la mater.

Peu importe où il regardait, il ne voyait que du charme, que de la beauté... Était-il donc si monstrueux, pour qu’elle puisse craindre qu’il ne lui veuille du mal ? Comment pourrait-il briser quelque chose de si beau ? Ces Anges étaient tellement frustrants ! Ils ignoraient à quel point ils étaient beaux jusqu’à ce qu’on le leur montre sous le nez. Ils étaient tellement arrogants, tellement prétentieux, qu’ils en oubliaient les simples plaisirs de la chair, préférant uniquement se concentrer sur ceux de l’esprit, négligeant des plaisirs qu’ils partageaient avec des animaux. Il louchait donc sur elle, voyant son petit string, voyant ces pièces d’armures que les esclavagistes avaient conservé, comme un emballage. Ils s’étaient retenus de la violer, mais ne l’avaient pas fait. Alastar l’avait senti. Il savait qu’il existait des techniques permettant de reconstituer un hymen, mais on ne trichait pas avec un incube. On ne l’avait jamais embrassé, jamais caressé intimement. Elle était totalement pure, et être à nouveau si proche d’elle redonna envie au Diablotin de retourner baiser ses nekos.

*Retiens-toi, retiens-toi...* s’encourageait-il.

Il ferma les yeux, puis se rapprocha un peu, alors que, entre plusieurs sanglots et autres renâclements, Elenwen le suppliait de l’épargner. Sa main gauche vint caresser sa joue, et glissa sur son menton, relevant un peu sa tête, doucement, mais avec une certaine fermeté. Leurs regards de se croisèrent, et Alastar se mit à lui parler :

« Tu es une petite angelotte, pas vrai ? Je le sens... Tu n’es pas dédiée à la Milice, mais à l’érudition... On a du te raconter tant de choses sur nous, les démons... Et je crains fort que bien des choses que tu saches sur nous ne fassent que minimiser la réalité. Nous sommes en Enfer, après tout. »

Il relâcha son menton, et utilisa sa magie pour défaire les liens qui la retenaient. Il se glissa alors dans son dos, et massa ses épaules, sa queue caudale glissant sur le sol.

« L’Enfer, l’endroit le plus effrayant de l’Univers... Sinon, ce ne serait pas l’Enfer. Tu ne reverras plus jamais les tiens, Elenwen, et personne ne viendra t’aider si je te bats. Personne. Il faut que tu le comprennes, ma puce, que tu le comprennes vraiment. Tu es à moi, et tu es dans un monde où tous les autres démons verront en toi une insolente Ange à briser en mille morceaux. Ils t’arracheront des plumes, ils te fouetteront avec des fouets enflammés, t’enfermeront dans des cellules où croupissent des quinzaines de prisonniers qui chercheront à manger ta bonne chair... »

Elle était sans doute déjà assez paniquée comme ça, mais Le Diablotin savait ce qu’il faisait. N’en doutez pas, il était un fieffé manipulateur, et tenait à le prouver. Il se pencha ver selle, et l’embrassa dans le creux du cou.

« Fais tout ce que je te dis, ma belle, fais exactement ce que je veux, et je te promets qu’il ne t’arrivera rien de douloureux. Personne ne te fouettera, personne ne te brisera. Tu es trop belle pour que je le permette, mais tu me dois d’être obéissante. Tu connais ça, n’est-ce pas ? Vous, les Anges, vous apprenez à servir. Ici, c’est pareil. Je suis ton Maître, maintenant. Si tu tentes de fuir, alors je te punirais. Sévèrement. Si tu m’obéis, je te récompenserais. »

Il continuait à embrasser son corps, et son érection se renforçait. Alastar retourna se placer devant elle. Il restait assis sur le sol, et s’assit même sur le flanc, permettant ainsi à Elenwen de voir son érection. L’incube ne cherchait nullement à cacher sa vigueur, qui déformait son short. Un sourire ornait à nouveau son visage, et il retourna caresser la joue de la femme, puis rapprocha son visage. Il aurait pu l’embrasser, mais il préféra plutôt lécher l’une de ses joues, remontant le long de ses larmes.

« Si tu doutes de moi, dis-toi que je n’ai aucune raison de te faire du mal. Je t’ai pris car je te voulais pour moi... Je ne voulais pas que ces imbéciles d’humains te souillent. J’aime les choses belles, et je dois admettre que tu es magnifique. Je ne te ferais jamais de mal, crois-le bien. »

Alastar sourit à nouveau, proche d’elle, caressant son visage, remuant ses doigts dans ses mèches de cheveux, la palpant, l’appréciant, entretenant par la même occasion sa raideur.

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One Shot / Re : Submission in Hell (PV Le Diablotin)
« le: jeudi 19 juin 2014, 19:01:42 »
Nathaniel Duparc était un honorable marchand nexusien membre d’une guilde. C’était un homme assez âgé, quoique distingué, qui se déplaçait toujours en se tenant avec une canne, et qui achetait des esclaves pour entretenir sa propriété, un ravissant cottage en bord de mer. C’était un homme qu’on voyait peu, et ce n’était pas surprenant. Si, d’extérieur, sa maison était très belle, en y pénétrant, on ne pourrait que constater que quelque chose n’allait pas. Il n’y avait rien dedans. Rien, si ce n’est des murs délabrés, une odeur persistante de moisi, des meubles brisés, et la tenace impression que cet endroit était abandonné depuis des années, particulièrement vétuste. La table à manger était brisée, et, si on s’avançait, on verrait un escalier menant à la cave…. Normalement. En réalité, cet escalier s’enfonçait encore plus loin, car, de la cave elle-même, un passage secret conduisait à des grottes souterraines, profondes et sinueuses, jusqu’à un Portail infernal. C’est ce chemin que Duparc emprunta, tenant entre ses bras la délicieuse silhouette raffinée endormie.

En s’enfermant dans son cottage, l’honorable marchand laissa tomber ses frusques, révélant alors sa véritable apparence, celle d’un démon à la peau rouge, portant de légers vêtements, arborant fièrement une longue queue caudale, une belle tignasse de cheveux sombres et courts, ainsi que, cerise sur le gâteau, de beaux yeux bleus intenses. Alastar Magoa avait une érection en contemplant cette belle proie endormie, droguée par de puissantes potions. C’était une Ange, une véritable Ange, avec un corps magnifique, et une beauté spirituelle renversante. Quand il l’avait vu, il l’avait acheté tout de suite, incapable de la refuser. Les simples esclavagistes l’avaient vendu à un prix très élevé, mais eux-mêmes n’avaient pas conscience de la valeur réelle de cette femme. Lui le savait, car il était un démon. Il était le pire ennemi des anges, mais aussi l’un de ceux qui les connaissaient le plus. Il sentait sa puissance, cette force, et il la conduisait lentement vers le Portail.

« Un monde nouveau s’ouvre à toi, ma belle… murmurait Alastar à cette dernière. Et je te guiderais, ma chérie… Oh oui, tu verras, ce sera formidable. »

Elle, ce serait son esclave. Il était exclu qu’Onyxian ne la lui pique, comme elle lui avait déjà volé bien d’autres esclaves. Non, pas cette fois ! Cette fois, Alastar la conserverait avec lui, au chaud, il la formerait, il l’éduquerait, et ensemble, ils feraient l’amour pendant des heures. Ou des jours entiers. Rien qu’à y penser, il en avait des tremblements, avec de fortes envies de jouir sur place. Il bandait sévèrement, ayant presque du mal à marcher. Se retenir, se retenir… Ah, mais comment faire, quand on voyait un aussi joli minois ? Comment se retenir de ne pas lui sauter tout de suite dessus, de la baiser dans sa courte armure blanchâtre, quand on voyait cette silhouette de rêve ? Les anges avaient toujours été beaux, d’une sainte beauté, et Alastar allait devoir se débrouiller pour conserver cette pureté, cette incroyable beauté, tout en pouvant en profiter au mieux. Fort heureusement, le désir avait chez lui cette force de stimuler son imagination, de l’exciter, et les idées affluaient dans son esprit.

Il n’avait plus qu’à les appliquer concrètement.



L’Ange, dont il ignorait jusqu’au nom, se réveilla dans les cachots du château familial, en Enfer. On aurait pu l’enfermer dans des cellules communes, mais, luxe inouï, Alastar l’enferma dans une chambre individuelle, et ce en prenant un maximum de précautions. Il fallait surtout éviter qu’Onyxian, sa sœur, ne soit au courant. Elle voudrait lui piquer cette Ange, il la connaissait assez pour le savoir. Il l’enferma donc en personne, en éloignant les geôliers, et conserva pour lui la clef. Tandis qu’elle divaguait, émergeant peu à peu, le Diablotin observa son corps de rêve, sa silhouette magique… Lentement, il lui caressa les cheveux, avec une douceur infinie, et partit précipitamment.

Pendant les quatre prochaines heures, il fit sauvagement l’amour avec plusieurs de ses esclaves, pensant à cette Ange, à cette beauté transcendante, à cette innocence délicate qu’il palpait entre ses doigts. Oh, comme elle était belle ! Il se revoyait encore toucher cette belle peau, glissant sur ses lèvres… Il avait été jusqu’à lui souffler un baiser pendant son sommeil, et y repenser renforçait son agressivité, accroissant son envie de sexe, l’amenant à baiser ses nekos avec un acharnement renouvelé, ses deux queues labourant la belle petite Terranide qui poussait de longs hurlements entrecoupés de miaulements frénétiques.

Le Diablotin délaissa sa chambre après cette intense partie de sexe, laissant derrière lui des Terranides épuisées, puis retourna dans les cachots du palais. La partie supérieure du palais, abritant le harem des succubes et des incubes, ainsi que leurs chambres individuelles, était très belle, un palace fastueux et luxueux où il était très agréable de vivre.  Il retourna dans les escaliers en pierre menant dans les profondeurs du palais, et retourna près de l’épaisse porte fermée. L’Ange était derrière, enchaînée au mur. Contrairement à une prison infernale classique, la prison des succubes était un lieu de sexe perpétuel, où on ne torturerait que pour faire jouir, et où les gardes se plaisaient à multiplier des tournantes sauvages sur de belles prisonnières. Ainsi, s’ils apprenaient qu’une ange était là, sa pureté disparaîtrait immédiatement, fondant comme neige au soleil. Il laissa donc des gardes passer, puis ouvrit la porte, et s’engouffra à l’intérieur.

La pièce était plongée dans la pénombre, et le mince rai de lumière qui jaillit de la porte ne devait pas permettre de le voir très bien. Il referma tranquillement cette dernière, puis tendit sa main, et utilisa un bref sort de Feu pour éclairer des bougies dans les coins, révélant ainsi divers instruments « de torture » : chevalet, croix, fouet, cheval en bois… Autant d’instruments sadomasochistes qui semblaient horrifiants, à première vue. Un sourire sur les lèvres, Alastar vit que la belle ange était bien réveillée, et qu’elle semblait paniquée. Il s’avança lentement vers elle, sa queue caudale glissant sur le sol, son vêtement noir peinant à masquer son érection.

Il s’accroupit devant elle, un léger sourire séducteur sur les lèvres.

« Salut, toi… Je m’appelle Alastar Magoa, mais on m’appelle aussi Le Diablotin. Comment t’appelles-tu ? »

Sa voix était calme, chaleureuse. Elle avait déjà suffisamment peur comme ça, il ne voulait pas lui donner des raisons supplémentaires de paniquer, et de perdre tout contrôle sur elle-même.

Chaque chose en son temps.

401
Ville-Etat de Nexus / Re : Confessions intimes [Arphélia Von Krone]
« le: dimanche 26 janvier 2014, 02:13:52 »
Alastar avait senti le fonctionnement de cette femme. Une ancienne repentie. Peut-être avait-elle vraiment, un jour, désiré changer de vie, mais il n’y croyait pas trop. Il pensait que les aventures sexuelles de cette femme avaient du énerver ses parents, qui l’avaient envoyé au couvent, en espérant que l’Ordre Immaculé et les préceptes religieux élèveraient les motivations de leur rebelle de fille, et la forceraient à s’assagir, et à mener une vie chaste et honorable. Le Diablotin s’amusait toujours de cette philosophie simpliste et faussement morale, qui voulait voir le sexe comme une sorte de maladie qu’on pouvait soigner. Le sexe était à la base de la vie, au centre de la Création. On ne pouvait pas le nier, mais la société faisait comme si, partant du principe que ce qui était au cœur du monde se devait d’être caché. Une sorte d’ambivalence troublante, mais dont il ne se plaignait pas. Le Diablotin n’allait pas cracher dans la soupe, et il y avait là quelque chose de doublement excitant. Non seulement il se tapait de belles nanas, mais il agissait un peu comme une sorte de vicieux professeur.

À quatre pattes, Arphélia offrait à la vue du Diablotin la vue de ses magnifiques fesses. Il l’avait laissé s’avancer vers le confessionnal, s’écartant un peu de son corps, s’imprégnant de cette atmosphère de sainteté. Coucher dans une église, c’était jouissif. Le sexe, c’était se perdre avec un autre, c’était fusionner, assembler deux corps pour qu’ils se transcendent. C’était, en un sens, un acte de foi. L’église était donc toute indiquée pour faire l’amour, et, si ça n’avait tenu qu’à lui, il aurait suggéré au Grand Confesseur de Nexus la possibilité d’organiser des soirées orgasmiques dans les églises.

La nonne avait cessé sa futile résistance, et léchait désormais les flaques de sperme. Le sperme d’un incube avait généralement des propriétés aphrodisiaques, mais il pensait que ce ne serait pas forcément nécessaire, vu le comportement de la petite Arphélia. La nonne avait renoué avec ce qu’elle était profondément : une femme qui aimait le sexe. Il aurait pu lui dire que c’était là tout à fait honorable, et qu’elle n’avait pas à en avoir honte, mais il n’était pas là pour la libérer. Il était là pour l’exciter, et pour s’exciter lui-même. Un contrat tacite les liait entre eux, l’obligeant à la satisfaire. Tandis que cette salope léchait le carrelage, lui avait une belle érection, déformant sa lourde culotte en cuir. Un sourire sur le coin des lèvres, il la vit ensuite se retourner, avant de se rapprocher de sa longue queue caudale. Créature de désir, elle vint alors se frotter contre sa queue, la faisant glisser le long de sa peau. Le Diablotin en eut un frémissement. Il avait les bras croisés, et les déplia, les faisant pendre à droite et à gauche de son corps, montrant de belles griffes.

« Seigneur... Ça m'a tellement manquée.. » soupira-t-elle.

Il sourit, tandis que sa queue caudale s’enroula lentement autour du cou de la femme.

« C’est bien pour ça que je suis venu. C’est toi qui m’as appelé, Arphélia. J’ai ressenti ta soif sexuelle, tu comprends ? Comme les vampires ressentent le sang, les incubes ressentent le sexe... J’ai senti un appel ici... Un appel inconscient, mais non moins exact... Celui d’une salope qui regrettait l’époque où elle se faisait défoncer le cul par des ivrognes et des hommes brutaux dans les bas-fonds de cette ville puante. »

Il restait debout devant elle, et sa queue caudale se resserra alors un peu autour du cou de la nonne, mais sans l’étouffer.

« Tu vas le dire, maintenant, ma petite pute... Tu vas dire que je suis ton Maître, et que tu n’es qu’une sale chienne, une pute qui ne désire que se faire défoncer le cul sévèrement. Je veux que tu t’insultes, que tu me donnes envie de te baiser. »

La perversion, c’était tout un art, un art qu’un incube se devait de maîtriser à la perfection. Il fléchit les genoux, sa queue caudale libérant le cou de la femme. Il posa alors chacune de ses mains sur les joues d’Arphélia. Ses mains étaient chaudes et réconfortantes, et il s’assura que son regard croise celui de la femme. Alastar pouvait être aussi bestial que romantique, et il se pencha vers elle, l’embrassant sur les lèvres. Il voulait qu’elle réalise qu’elle n’était qu’un jouet entre ses mains, qu’il pouvait en faire ce qu’il voulait, et ce que bon lui semblait. Pendant plusieurs secondes, il l’embrassa ainsi, goûtant à la saveur de sa bouche, pour un long et sensuel baiser, enfonçant sa langue dans la bouche de la femme. Il s’imprégna de sa salive, de sa délicieuse odeur, de ses délicieux soupirs, tout en glissant l’une de ses mains sur l’un de ses seins, le serrant, le pinçant à hauteur du téton. Lentement, il tira sur le corset blanc de la jeune femme, pour découvrir ses deux lourds seins, et les pinça tous les deux, tout en l’embrassant.

Le baiser dura bien plusieurs minutes, avant qu’il ne rompe, en aventurant sa langue violette sur ses lèvres et sur le bout de son nez, dans un sourire espiègle. Il planta à nouveau ses yeux dans les siens.

« Je pourrais te faire l’amour ainsi, comme on le fait à une reine, avec sensualité, fermeté... Mais toi, tu n’es pas une reine, pas vrai ? Tu es une salope, et tu vas me le dire. »

Il se releva alors subitement, et la tira par les cheveux, faisant basculer sa tête, la penchant vers l’arrière.

« Insulte-toi, pétasse ! Allez, vite !! »

402
Le Palais Infernal / Re : Putain de soirée ! [PV Diablotin]
« le: mardi 14 janvier 2014, 02:08:07 »
Dans un coin de l’immense salle, si vaste qu’on aurait pu se croire dans le hall d’entrée d’une forteresse naine, confortablement assise sur un fauteuil, Onyxian était effectivement en train de discuter avec la mère d’Amaryllis. Représentant fièrement les Magoa, Onyxian était bien prédestinée à devenir la matriarche de clan d’incubes et de succubes. Elle n’était pas qu’une succube, mais aussi une redoutable guerrière. Tandis qu’elle s’entretenait avec la mère d’Amaryllis, l’un de ses esclaves, un homme, dont le sexe était dissimulé sous un étroit caleçon en cuir, était entre ses cuisses, léchant son intimité, tandis que d’autres, faisant faussement offices de gardes du corps, étaient derrière elle. Onyxian les appelait de temps en temps pour se désaltérer, en faisant une longue fellation, jusqu’à se délecter de leur sperme, utilisant sa magie rose pour qu’il décharge des litres entiers. Les esclaves sexuels d’Onyxian étaient des pervers dans l’homme, d’anciens violeurs ou pervers sexuels, qui avaient trouvé une place digne de ce qu’ils faisaient sur Terre : servir une succube jusqu’à ce qu’ils en meurent, que leur corps craque, et qu’ils ne se réincarnent en démons, créatures abominables qui peupleraient l’Enfer.

Du coin de l’œil, après avoir roulé une pelle magistrale à la mère d’Amaryllis, Onyxian vit cette dernière, très élégante, repousser vigoureusement le brave Alastar. Elle lui balança un verre de vin sur la tête, ce qui fit pouffer Onyxian. Alastar resta tout penaud pendant quelques secondes, avant de la suivre, et Onyxian reporta son attention sur la mère d’Amyrillis.

« Votre fille a effectivement du caractère... Je peux sentir qu’elle est encore vierge... »

Pour une succube, c’était une offense. Onyxian provoquait la mère d’Amyrillis. Les succubes étaient conçues pour le sexe. Si le Grand Patron apprenait qu’il existait une succube vierge, sa maison en serait discréditée. Elle pouvait d’ailleurs tout à fait se faire tuer. Si elle n’était pas contente à faire du sexe, le chef des démons, Belzébuth, pouvait tout à fait estimer qu’elle voulait être ailleurs, et la décapiter. Son âme se réincarnerait dans un autre démon... Ce qui serait toutefois regrettable, vu le joli petit lot qui se dandinait. Onyxian en vint alors à se demander si cette fête n’avait pas aussi pour objectif d’initier Amaryllis au sexe. En pleine réflexion, elle claqua alors des doigts, et tourna sa tête. Une belle verge hérissée se présenta à elle, et elle l’enfila dans sa bouche, la faisant disparaître entre ses lèvres, avant de la sucer.



« Eh bien, monsieur Alastar, enchanté, et au revoir d'ailleurs. Va te faire voir enfoiré. Fiche-moi la paix ! »

Voilà bien une réaction que le pauvre Diablotin n’avait pas calculé. En quelques secondes, il se retrouva avec du vin dégoulinant d’entre ses cornes, plaquant ses cheveux noirs, et filant entre ses yeux. Outrée, la succube se mit à partir, et Alastar cligna des yeux. Il ne s’était clairement pas attendu à une telle réaction. Pour ce bel incube, qu’une succube daigne le repousser était inconcevable. En effet, ce n’était tout simplement pas logique. Les succubes et les incubes étaient les démons du sexe. Le repousser, c’était une grave faute de politesse, et une atteinte à sa fierté. Il était presque tenté d’envoyer cette petite sotte au diable, mais, pourtant, il se retourna vers elle, et entreprit de la poursuivre.

Alastar aimait bien le défi, et il pensait que cette jeune femme voulait tout simplement le défier, voir de quoi il était capable. Sa queue caudale le débarbouilla des traces de vin, se frottant contre ses cheveux, et il alla proprement l’essuyer sur le dos d’une esclave en train de danser sur le corps d’un incube, glissant dessus, laissant des traînées de vin.

Il se planta devant la femme, et haussa les bras en l’air, comme pour faire signe qu’il ne cherchait pas la bataille :

« Si je vous ai offensé, vous m’en voyez navré. Je nous croyais à une fête entre démons, pas à une cérémonie religieuse entre nonnes. »

Se faire comparer à une nonne n’était pas très honorant pour une succube, et cette femme l’excitait terriblement. Il rajout adonc :

« Désolé de vous avoir pris pour une vulgaire esclave. Votre... Votre timidité m’a fait penser que vous seriez une humaine, mais, maintenant que je vous vois de face... Ben, je constate que t’es pas une humaine... Tu me pardonnes ? »

403
Le Palais Infernal / Re : Putain de soirée ! [PV Diablotin]
« le: mercredi 08 janvier 2014, 01:55:48 »
« Hummm... Là, petite esclave, haaaannn... »

La belle esclave dansait sensuellement, au-dessus du corps d’Onyxian.La délicieuse succube caressait les hanches de son esclave, savourant son corps enfoncé contre son chibre. En tant que pure succube, Onyxian était une hermaphrodite, et le justifiait en ce moment, en défonçant le vagin de sa belle esclave, qui dansait au-dessus d’elle, posant ses mains en appui sur ses épaules, gémissant silencieusement.

De la délégation des Magoa, Onyxian était naturellement la première à faire l’amour, car elle était, après tout, la sœur aînée. Les Magoa avaient décidé de rendre visite à une petite famille de succubes, afin de faire ce que les succubes et les incubes savaient faire de mieux entre eux : sexe sauvage et orgie interminable. Une sorte de Bacchanale démoniaque. Il était constant que les clans de succubes cherchent à entretenir de bons liens entre eux. Onyxian n’allait pas se faire prier pour augmenter son influence. Elle était aussi perverse qu’ambitieuse, et se prédestinait bien à devenir, un jour, la Matriarche du clan... Ce qui n’était pas sans exciter Alastar. Le brave petit Diablotin était souvent l’amant sexuel endurci de sa sœur, qui adorait sentir son chibre en elle, ou, au contraire, le prendre parles fesses, en se délectant des gémissements et des cris que l’incube poussait.

Les incubes étaient relativement rares chez les démons de sexe. Dans un coin du mur, Alastar observait l’immense salle. Elle était grande, et comprenait deux bassins très jolis, des colonnades en marbre dans les coins, plusieurs grands lits rouges installés de part et d’autre des lits, et, dans la première partie de cette vaste pièce, des fauteuils et des tables. Le groupe venait d’arriver depuis maintenant une quinzaine de minutes, et Onyxian était déjà en train de coucher avec des femmes.

Regardant l’assemblée, Alastar se remémora certains noms, afin de pouvoir mieux identifier les différents membres qui participaient à la fête :

  • Onyxian Magoa. Onyxian est donc la sœur aînée d’Alastar. Une succube intelligente, mais aussi une guerrière. Elle se baladait généralement les seins à l’air, et se faisait souvent invoquer par des humains. C’était une femme à la terrifiante beauté, extrêmement impatiente, qui tuait souvent ses partenaires, en fonction de la règle d’or des démons du sexe. N’importe quel individu invoquant une succube, et ne parvenant pas à la satisfaire, pouvait se faire dévorer par elle. C’est ainsi qu’Onyxian était devenue aussi forte, en absorbant l’âme des humains fiévreux qu’elle tuait, augmentant ainsi sa puissance ;

  • Myriath Magoa. Contrairement à la plupart des Magoa, qui avaient la peau rouge, Myriath avait une belle peau bleue, et se remarquait surtout par ses seins opulents. C’était aussi une grande sœur d’Alastar, qui avait presque, pour le Diablotin, le rôle de doucereuse mère. Il adorait, même encore, lui faire l’amour en suçant ses gros seins, pouvant ainsi téter, et absorber son lait féminin, très aphrodisiaque, durcissant son sexe à chaque fois. Myriath était une succube agréable, qui prenait également un malin plaisir à enculer sec Alastar, mais qui était aussi une succube très compréhensive envers les autres ;

  • Barbara. Barbara était une femme forte, amatrice de latex et de cuir. Une démone qui n’était pas une Magoa, mais qui avait décidé de les rejoindre. Cette ancienne humaine avait couché jadis avec Onyxian, et avait survécu. Dans sa vie d’antan, Barbara était un redoutable bourreau ashnardien, qui avait torturé bien des gens. En Enfer, comme elle avait couché avec Onyxian, cette dernière avait pu la récupérer dans les Limbes. Elle était une formatrice d’esclave et amante occasionnelle, aimant les coups de fouet ;

  • Nyli Magoa était la plus douce des membres de la famille d’Alastar, car elle était soumise. Son amour pour le sexe s’exprimait dans la soumission, ce qui faisait qu’on la prenait souvent pour une esclave. Si sa mère était bien une succube, son père, en revanche, était un Terranide. Ceci expliquait sans doute le penchant pour la soumission. Nyli vouait notamment un profond respect envers Onyxian, qu’elle considérait comme sa Maîtresse naturelle. Alastar se prenait souvent à l’humilier aussi, la plus grande passion de Nyli étant de se comporter comme une petite chienne ;

  • Eloha. Eloha est une ange déchue, l’une des meilleures esclaves des Magoa. Servant fidèlement les Magoa depuis plusieurs siècles, elle avait, lors d’une mission dans les plans intermédiaires entre le Paradis et l’Enfer, était capturée par les démons. Pendant des années, Eloha était restée pure, jusqu’à ce qu’elle se mette progressivement à sombrer. Se plumes étaient devenues noirâtres, signe de sa corruption, et elle était aujourd’hui une magnifique esclave sexuelle.



Naturellement, il y avait également d’autres mondes, mais Alastar n’y pensa plus lorsqu’il vit une succube descendre.

Elle était d’une redoutable beauté », mais se démarqua du reste.

Lui eut une formidable érection, qu’il alla soulager auprès d’une esclave. Pour la décoration, plusieurs esclaves avaient été attachées contre les murs. Dans des tenues attrayantes en latex, on leur avait mis des gag-balls sur les lèvres, et des bandeaux autour des yeux, tout en les offrant aux individus. Une sorte de jouet sexuel vivant. Elles étaient enchaînées, gémissant silencieusement, et Alastar en défonça une, tout en buvant un verre d’alcool.

Au bout d’une ou deux heures, après avoir défoncé plusieurs gorges chaudes, et pénétra quelques cons, Alastar, nullement épuisé, se rapprocha de la femme. Tout n’était que gémissements, soupirs, caresse, griffures. Les bains d’eau chaude rougissaient au fur et à mesure. Alastar était alors tout nu, son sexe tendu, lorsqu’il se rapprocha d’Amaryllis.

Il avait couché avec Amelia, la sœur d’Amaryllis, afin d’en savoir plus sur cette femme. Depuis qu’il l’avait vu, dans ses collants, il avait une envie phénoménale de se la faire. Amelia lui avait expliqué, en se pressant contre l’homme, et en le couvrant de baisers, que sa sœur était une femme insolente, une succube dévergondée qui avait du mal à se laisser aller au plaisir du sexe. Visiblement, elle avait été amenée ici, dans l’espoir qu’on la dévergonde.

Si le Diablotin arrivait à corrompre de simples humaines, alors il ne pouvait qu’y arriver. Les succubes et les incubes se nourrissaient du sexe. Leur magie reposait sur la magie rose, ce qui faisait que les séances de sexe pouvaient être très longues. Alastar y songeait tout en se glissant dans le dos de la femme, son sexe tendu heurtant ses fesses, ses doigts rougeâtres glissant sur les lacets de son espèce de corset.

« Ne vous sentez-vous donc pas seule ? Je vous observe depuis votre arrivée, et je m’étonne de vous voir si seule... Vous qui êtes si belle... »

Il approcha ses lèvres de son oreille, tout en caressant son corps, glissant le long de ses hanches.

« Je suis Alastar, jeune femme. »

404
Les Limbes / Re : Pêche aux nekos [Iris et Mina]
« le: mardi 07 janvier 2014, 01:55:24 »
« Beurk ! »

Cet air nauséabond déplaisait vraiment à Alastar. Si ça ne tenait qu’à lui, il ne se serait jamais aventuré si loin des Enfers, aux frontières. Et s’ils se noyaient dans l’Achéron, hum ? Alastar n’avait nullement envie que son esprit soit tourmenté pendant des milliers d’années par les fantômes sinistres qui hantaient les profondeurs du fleuve. Petit, on lui répétait sans cesse que, s’il ne se pliait pas à la volonté de sa Mère, il finirait dans l’Achéron, là où on envoyait les « petits démons capricieux n’en faisant qu’à leur tête ». Les Limbes, c’é&tait un endroit effrayant. Ce n’était pas un lieu pour Alastar. Il préférait une chambre sensuelle, et le con d’une femme à ramoner avec sa queue, pas un endroit sinistre, une brume éternelle où les âmes des morts en perdition gémissaient et hurlaient.

Alastar sentait qu’Onyxian n’était également pas totalement rassurée dans cet endroit. Ils s’enfonçaient dans la brume. On disait que les âmes errantes n’étant pas rattrapées par les démons se transformaient peu à peu en redoutables monstres, et que les monstres sauvages des Enfers venaient de là. Que la rumeur soit fondée ou non, elle était suffisamment effrayante pour qu’on daigne la prendre en considération. Avec son collier magique autour du cou, Alastar était obligé de suivre sa sœur, mais attendait de voir comment cette dernière allait réagir lorsqu’un koshchey leur tomberait dessus. Ces redoutables araignées-crabes gigantesques avaient une carapace résistant à la plupart des sortilèges et des attaques physiques, notamment les souffles des dragons, ce qui faisait des koshcheys les rares créatures existantes à pouvoir les chasser. Fallait-il être fou pour vouloir explorer les Limbes... Tout ça parce qu’Onyxian s’ennuyait, et était impatiente. Incapable d’attendre que les prisons infernales capturent, à leur place, des esclaves, et qu’ils aillent ensuite les chercher.

À l’idée d’imaginer son arrogante sœur en difficulté, Alastar en avait une érection. Naturellement, si sa sœur devait être en difficulté, lui risquait d’avoir de sérieux problèmes, mais ce genre de considérations lui passaient au-dessus de la ceinture. Il avait une érection, ce qui n’échappa guère à Nyxian, car elle s’arrêta soudain, et tourna sa tête vers lui.

« Mon jeune frère, je t’ai demandé de la concentration, pas de fantasmer sur mon cul ! »

Alastar haussa les épaules, un sourire sardonique sur les lèvres.

« Les voix de ces spectres m’agressent. C’est le meilleur remède connu. Tu devrais être flattée, que ta vieille carcasse m’excite encore. »

Onyxian hésita un peu, lorsque, soudain, les deux démons entendirent des cris effrayés, ainsi qu’un gloussement amusé. Elle se mit alors à courir, et relâcha Alastar. Déséquilibré, surpris par ce rythme soudain, Alastar battit des bras et s’affala sur le sol. Pestant, il se releva également, et se mit à courir.

Lui qui parlait de monstres était servi. L’énorme créature qui s’attaquait aux nekos était une sorte de troll démoniaque, créature massive, insoumise, n’appartenant à aucune réelle Légion, et qui était généralement persécuté par les démons. Anthropophage, il se rendait aux Limbes en espérant satisfaire son estomac en dévorant quelques âmes perdues, ou des démons. Tomber sur deux nekos bien juteuses, voilà ce qui, pour lui, s’apparentait à un vrai festin.

« KYAAAH !!! Nan mais lâche moi sale bête !!! Je suis pas bonne à manger heuuuu !!! Regarde ! Ya pas de graisse !! Faut aller voir les gros pas beaux là bas ! Eux ils sont bons à manger !! »

Le monstre rigola doucement, et attrapa l’autre Terranide par sa queue. Elle était inanimée, et il la souleva, puis avança sa bouche vers la première neko, celle qu’il tenait dans la main. Sa bouche s’ouvrit. Parmi son haleine putride, une langue jaillit, et lécha la joue de la neko, répandant sa bave.

« Peu de chair, mais de la chair bien juteuse. Vos petites griffes me chatouillent, huhu. Je vais commencer par toi, tu es la plus bruyante. »

Le monstre ouvrit sa gueule édentée, s’avançant vers la tête de la neko... Lorsqu’une explosion magique le heurta au flanc. Relâchant les nekos, surpris, le monstre tomba sur les fesses, et tourna la tête, furieux. Il se tenait dans un endroit des Limbes où la brume était un peu moins forte, en raison d’un massif rocheux qui écartait les nuages sombres. Ce petit coin était son repaire, et on pouvait voir, dans un recoin, des ossements et des morceaux de chairs séchés.

« J’aurais du m’en douter... Les trolls errent dans les régions périphériques. »

Le troll grogna, furieux. Onyxian sortit la première de la brume, ses doigts laissant s’échapper un peu de fumée. Elle avait balancé des arcs électriques qui avaient carbonisé le flanc du troll. Sa peau particulièrement résistante lui avait permis de survivre. Furieus,e la bête poussa un rugissement sonore, et balança une boule de feu depuis sa gueule. Une langue de feu jaillit vers Onyxian, qui forma un bouclier magique. Le feu rebondit sur sa paroi. Alastar arriva dans le dos d’Onyxian, et se téléporta près des deux nekos. Il en attrapa une dans chaque bras, et se téléporta à nouveau, revenant derrière Onyxian.

« Restez derrière ma sœur, belles Terranides », les encouragea-t-il.

Proche des deux Terranides, le Diablotin réalisa qu’il avait encore sa belle érection, et que son sexe heurtait la jambe de la neko qui était encore réveillée.

Lorsque le troll cessa de cracher son feu, Onyxian, dont les yeux flamboyaient, répliqua en balançant d’intenses arcs électriques qui frappèrent le troll. Ce dernier dut se protéger de ses bras. Il n’était pas en position de force, et dut se résoudre à fuir, hurlant en maudissant les démons. Ceci fait, Onyxian, dans un sourire, se retourna vers les deux nekos, els toisant de toute sa hauteur.

« Que font deux nekos habillées dans un endroit comme celui-ci ? »

405
Prélude / Re : Un bisou mes petits loups ? ♥
« le: lundi 06 janvier 2014, 01:33:55 »
L'Incube que je suis est heureux de souhaiter la (re?)bienvenue à la succube que vous êtes.

800 ans sans sexe :o Ta Mère a bien fait de te remettre sur le droit chemin è_é Tu aurais fini par devenir folle. Le sexe, c'est bon pour la santé, ça revigore <3

En revanche, je trouve que ton avatar est étrangement flou, par rapport à l'image de base. C'est un effet de style voulu ?

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